Le bassin versant. Définition Comportement hydrologique Caractéristiques Temps de concentration
|
|
- Chantal Michel
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Valérie Borrell Estupina Cours d Hydrologie Générale Module FLST403 L2 Montpellier 2011 Le bassin versant Définition Comportement hydrologique Caractéristiques Temps de concentration
2 Le bassin versant Bassin Versant (BV) = L unité de référence en hydrologie. Son rôle = collecter les eaux de pluie et concentrer les écoulements vers les cours d eau. Il permet ainsi la mise en relation des précipitations au sol et des débits observés dans les cours d eau. Définitions = Bassin versant = bassin topographique = bassin fluvial = bassin hydrographique parfois impluvium (sauf si eaux minérales) BV = région qui possède un exutoire commun pour tous ses écoulements de surface. Un BV est toujours associé à : - un cours d eau - une section de ce cours d eau : l exutoire ou émissaire
3 Le bassin versant Bassin Versant (BV) = L unité de référence en hydrologie. BV = région qui possède un exutoire commun pour tous ses écoulements de surface. Un BV est toujours associé à : - un cours d eau - une section de ce cours d eau : l exutoire ou émissaire Section exutoire Cours d eau BV Ligne de partage des eaux (condition de flux nul) BV = zone géographique (unique) drainée par un cours d eau (et ses affluents) à son exutoire Aire BV : de qqs ha à qqs millions de km 2 : BV Amazone : km 2 BV Roujan : 91 ha soit 0,91 km 2
4 Le bassin versant Délimitation des frontières res d un BV topographique = Limites du BV = les LIGNES DE PARTAGE DES EAUX identifiées à partir des courbes de niveaux * => lignes de crêtes, sommets et thalwegs, points hauts de la région 1. Identification de l exutoire 2. Reconnaissance du réseau hydrographique (principal au minimum) rattaché à l exutoire 3. Évent. Repérage du réseau hydrographique des bassins alentours (surtout en zones plates) 4. Identification des points culminants sur la zone 5. Tracer du contour en bassin à 90 des lignes de niveau (ligne de crêtes) : On contourne l ensemble du tronçon amont, incluant tous ses tributaires. On revient au point de départ. REM : A partir d une carte IGN (type BD TOPO 25m 50m 100m) A partir d un MNT (Modèle Numérique de Terrain source IGN ou satellites 10m 20m 50m 75m ) A partir de relevé de topo sur le terrain (manque de précision en zones urbaines, zones endoréiques réelles ou erronées, bassins de trop petites superficie, zones plates) REM : La ligne de partage des eaux ne doit jamais croiser un cours d eau! Les lacs de tête peuvent appartenir à 2 BV L exutoire est le point bas du BV L exutoire est souvent un point de mesure Des sous bassins peuvent être définis
5 Le bassin versant Délimitation des frontières res d un BV topographique = Limites du BV = les LIGNES DE PARTAGE DES EAUX identifiées à partir des courbes de niveaux => lignes de crêtes, sommets et thalwegs, points hauts de la région REM : Ligne de crêtes et de talwegs : Passent par les extrema (crêtes : max / talwegs : min) et les cols de la surface La courbure horizontale de la ligne de niveau y présente un maximum (la concavité est inversée entre lignes de crêtes et de talwegs) altitude z2 z1 x1 Section exutoire x2 x3 BV Cours d eau Position x4 xi le long du plan fictif x1 x2 x3 x4 Z1 Points hauts, sommets Z2>Z1 Ligne de partage des eaux Ligne de crête entre les 2 sous bassins versants Plan fictif perpendiculaire à la carte
6 Le bassin versant Limites de la notion de LIGNES DE PARTAGE DES EAUX identifiées es à partir des courbes de niveaux Bv hydrogéologique ou réel Bv topo Dans le cas où l alimentation des cours d eau ne se fait que par le ruissellement de surface, cette définition du bassin versant ne pose pas de pb. formation perméable Substratum imperméable Lorsque des écoulements souterrains, guidés par le pendage* des couches géologiques les moins perméables, contribuent aussi aux écoulements des cours d eau, la frontière du bassin d alimentation ne correspond alors plus à la frontière du bassin topographique. *inclinaison des formations géologiques sédimentaires Bv topographique / hydrogéologique BV topo : écoulement superficiel prédominant / apport souterrain BV hydrogéol : délimitation de la zone d alimentation du cours d eau à partir de la connaissance topographique et de la connaissance des formations géologiques du site (=impluvium pour les eaux minérales)
7 Le bassin versant Limites de la notion de LIGNES DE PARTAGE DES EAUX identifiées es à partir des courbes de niveaux Bv hydrogéologique ou réel Bv topo Cette notion de bassin hydrogéologique est aussi très importante dans le cas des bassins karstiques* au sein desquels les écoulements souterrains peuvent être non négligeables voire devenir dominants par rapport aux écoulements de surface. formation perméable Substratum imperméable Bv topographique / hydrogéologique Exemple de certaines régions karstiques : Bassin de la Sorgue Bassin versant du Lez *KARST = ensemble de formes superficielles et souterraines résultant de la dissolution de roches carbonatées (calcaires, dolomies) par l eau rendue acide par le dioxyde de carbone.
8 Le bassin versant Bv topographique / hydrogéologique Bassin du Lez Source : Jourde,Lafare
9 Le bassin versant Limites de la notion de LIGNES DE PARTAGE DES EAUX identifiées es à partir des courbes de niveaux Bv phréatique Bv topographique Coupe de terrain Le relief de la nappe phréatique définit le BV phréatique dont les limites évoluent dans le temps (évolution de l état de la nappe) Différence généralement minime pour les gds BV «naturels», parfois importantes pour les pts BV urbains. BV topographique / BV phréatique
10 Le bassin versant Bassin versant et influence anthropique : Barrières artificielles : digues, chemins de fer, routes Apports latéraux artificiels : réseaux d eaux usées ou potables, drainages, routes, fossés, retenues, pompages ou dérivations artificielles modifiant le bilan hydrologique, sillons de labour => BV = Limites topographiques, limites souterraines, effets anthropiques
11 Le bassin versant Bassin versant et Exutoire Bassin ayant plusieurs exutoires : S ils sont pourvus d un lac possédant plusieurs sorties (lac du Wollaston au Canada) Zone exutoire en terrain plat Le nombre d exutoire peut varier dans le temps (moins nombreux en période d étiage) Bassin endoréique : BV sans exutoire superficiel, caractéristique zone aride (Bassin intérieur, bassin fermé) Exemples : la mer morte au Moyen-Orient (salinité élevée), la mer d Aral (entre Kazakhstan et Ouzbékistan), le Grand Lac Salé (près de Salt Lake City) Une doline (petite dépression fermée que l on trouve en région karstique) Vue en coupe Vue en plan
12 Valérie Borrell Estupina Cours d Hydrologie Générale Module FLST403 L2 Montpellier 2010 Le bassin versant Définition Comportement hydrologique Caractéristiques Temps de concentration
13 Le bassin versant La réaction du BV face à une sollicitation (précipitation) se mesure par l observation de la quantité d eau qui s écoule à l exutoire du système Représentations graphiques : HYDROGRAMME DE CRUE : Q(t) LIMNIGRAMME : H(t) Temps de réponse du BV = Temps écoulé entre le centre de gravité de l averse et le débit de pointe HYETOGRAMME : P(t) Pluie (mm) Temps (heures ) Débit (m3/s) 35 0 HYDROGRAMME Le rêve de l hydrologue : déterminer Q connaissant P... ce sera l objet de ce cours
14 Valérie Borrell Estupina Cours d Hydrologie Générale Module FLST403 L2 Montpellier 2010 Le bassin versant Définition Comportement hydrologique Caractéristiques Temps de concentration
15 Intitulé Superficie du BV Formule = Aire (km²) circonscrite par la ligne de partage des eaux + S BV gd => + la pluie captée gde => potentiellement + le Q crue pourra être gd Superficie du BV = Aire (km²) circonscrite par la ligne de partage des eaux + SBV gd, + la pluie captée gde Exemples de loi : Q(crue moy) = 1.61 *A 0.70 Remenieras Extrait du stage de Cipriani Thomas M2 GERE Qi10=0.70*Sh 0.85 Alpes internes Nord cemagref Qi10=2.84*Sh 0.69 Piémont Azuréen cemagref Ou bien : Q(T) = constante (OdS, Pluie(T)) * A
16 Intitulé Allongement du bassin Indice de compacité = Coefficient de Gravelius 1914 (forme BV) Formule M : allongement L : le plus long cheminement hydraulique A : superficie du bassin Ce coefficient est utilisé pour corriger un débit évalué par des formules empiriques dans le cas où le bassin est très allongé ou au contraire très ramassé. L idée est que le débit varie à l inverse de l allongement. A = surface du bassin versant (km 2 ) P = périmètre du bassin versant (km) M = K G = K G =Périmètre du BV/ Périmètre du cercle de même surface L A P A KG#1 KG>1 BV à forme + compacte Temps de parcours max + faible Et donc débit de pointe plus fort
17 Intitulé Formule Courbe hypsométrique Altitude Altitude max z i Altitude médian e Altitude min (exut) A i 50% Abv (km²) A i /Abv 100 (%) Rectangle équivalent = répartition des surfaces du bassin en fonction de l altitude. Elle décrit le % de l Aire BV au dessus / au dessous d une altitude donnée Le relief influence les écoulements (précipitations, T et végétation varient avec l altitude, vitesse des écoulements varient avec la pente ) Ai : aire du BV dont l altitude est au moins z i Altitude moyenne = Aire du BV A i.z *(z i i +z i+1 )/2 i Longueur du rectangle équivalent (rectangle de Gravelius; Roche 1963) : L=? L = P + 2 P 4 16A Entre le BV et le Rect équivalent on a : A= ; P= ; KG= ; => répartition hypsométrique = A bv A = Ll P = 2( L + l)
18 Le bassin versant - Caractéristiques Intitulé Pente Moyenne du BV urbanisé (m/m) Indice de pente global Coefficient ruissellement Très utilisé! Mais attention!! de Formule I : la pente moyenne L : le plus long cheminement hydraulique constitué de tronçons successifs de longueurs L K et de pente constante I K Z= Altitude max Altitude min (de la rivière) L: longueur du rectangle équivalent Coefficient de ruissellement = Pour une crue, Volume des eaux qui ruissellent en surface / Volume des eaux précipitées. Permet de déterminer le Qp. Caractérise les processus de transfert. Se détermine à partir d une table de valeur, ou bien que se calcule à partir de l occupation du sol. Coefficient d écoulement rapide de crue = volume de l écoulement rapide de crue / volume d eau précipitée. C est la part des eaux qui provoquent un gonflement de l hydrogramme de crue. Caractérise les volumes transférés (influence des eaux sub-surfaciques et souterraines possibles piston par exemple). Se détermine à partir des hydrogrammes de crues et des hyétogrammes observés. Coefficient d écoulement = Rapport entre volume d eau écoulée et volume d eau précipitée sur une durée T et pour un BV donné. L eau peut venir de ressources souterraines, d antécédents pluvieux = Coefficient d apport en hydrologie urbaine I = L L K I K Z I g = L 2
19 Le bassin versant - Caractéristiques Coefficient de ruissellement Pour un bassin urbain : Cr = taux d imperméabilisation du BV = Cr = A / A Cr = Superficie de la surface revêtue / Superficie totale du Bassin Cr urbain > 0.2 car la superficie de la voirie et des aires de services ~ 20% *A Pour un bassin rural : Type de sol Couverture du bassin versant Cultures Pâturages Bois, Forêts A fort taux d'infiltration Sols sableux ou graveleux A taux d'infiltration moyen Limons et sols similaires A faible taux d'infiltration Sols lourds, argileux Sols peu profonds sur le substratum Milieu imperméable Autres données tabulées : Cr = f( pente, texture du sol, végétation) Mais le volume infiltré dépend aussi du contenu en eau initial du BV... Extrait du SCS
20 Intitulé Formule Ordre d un cours d eau : classification qui reflète la ramification d un réseau de drainage Classification topologique de Strahler (1957) À chaque cours d eau ordre j - Un cours d eau sans affluent est d ordre j=1 - À une confluence entre 2 cours d eau d ordre i etj le cours résultant est d ordre le max(i,j) si i j d ordre j+1, si i=j Rapport de confluence (développement du réseau de drainage) Nx= nombre de cours d eau d ordre x Nx+1 = nombre de cours d eau d ordre x+1 R c = N N x x+1 Rapport de longueur lx+1 = longueur moyenne des cours d eau d ordre x+1 Lx = longueur moyenne des cours d eau d ordre x R l = l x + 1 l x
21 Le bassin versant - Caractéristiques Intitulé Densité de drainage (Horton) Sol perméable, couvert végétal, Peu de relief Peu de végétation, relief marqué Formule L = la longueur totale de tous les cours d eau, Dd = exprimée en km/km² Abv = surface du bassin (en km²) Dd 3 à 4 : réseau à développement très limité à Dd 1000 réseau très ramifié Un réseau dense aura une Dd gde et des ordres élevés, il est susceptible de favoriser un drainage rapide du BV Dd = L i A bv i
22 Intitulé Indice de couverture forestière Formule Indice de couverture forestière = Surface forêt / Aire du BV *100 = Caractérisation du comportement hydrologique d un BV à partir de son couvert végétal (ici la forêt) Interception d une partie du volume des pluies Amortissement des crues de faibles et moyennes amplitudes Limitation de l érosion Taux d imperm imperméabilisation Indice de surface d eau libre = lac, cours d eau, canal Idem avec les surfaces imperméables Augmentation du taux d imperméabilisation => diminution de l infiltration => augmentation de la lame d eau ruisselante => diminution des temps des réactions Indice de surface d eau libre = Surface eau libre / Aire du BV *100 = Caractérisation du comportement hydrologique d un BV à partir de son occupation des sols (ici les surfaces d eau libre) Amortissement ou laminage des crues : Qp diminue par stockage temporaire Rhône Porte du Scex Extrait de Musy Lac Léman Genève
23 Le bassin versant - Caractéristiques Géologie du sous-sol Source Neppel 2006 Schéma simplifié de l influence l du sol et du sous-sol sol sur les écoulements : perméable Sol imperméable Sans tenir compte des - caractéristiques des pluies -conditions initiales d humidité sur un BV - Sous-sol sol perméable - Ecoulement superficiel crues rapides (risque inondation) - Pas de réserve r souterraine en saison sèche : débit faible (risque sécheresse) imperméable Nappe ou aquifère en liaison avec le réseau hydrographique : Crue lente & Risque de sècheresse + faible Augmentation de l'humidité du sol jusqu'à saturation comportement similaire au sol imperméable
24 Valérie Borrell Estupina Cours d Hydrologie Générale Module FLST403 L2 Montpellier 2010 Le bassin versant Définition Comportement hydrologique Caractéristiques Temps de concentration
25 Le bassin versant - Isochrones Temps de concentration Pluie constante et infinie exutoire temps & Hydrogramme de crue : Une pluie homogène (invariante par translation) et uniforme (invariante dans le temps) incidente sur le BV va engendrer une croissance des débits à l exutoire jusqu à une valeur maximale pour laquelle tout le bassin contribuera au débit à l exutoire. Une fois le débit maximum atteint, l hydrogramme reste sur cette valeur plateau tant que la pluie constante incidente dure. pluie débit Temps d équilibre = Tc Qp Qn<Qp exutoire Tn<Tc temps
APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.
APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins
Plus en détailLa base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace
3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de
Plus en détailPrésentation : A. A. TOSSA
LA BANQUE DE DONNEES INTEGREE (BDI) DE LA DIRECTION GENERALE DE L HYDRAULIQUE Un Outil pour la Gestion des ressources en eau Présentation : A. A. TOSSA 1- Le Service de la Banque de Données Intégrée (SBDI)
Plus en détailÉtude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique
Étude de la carte de Vézelise Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Double objectif de la séance Étude d un paysage lorrain de côte Apprentissage de la lecture du relief sur une
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détailLIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés
LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /
Plus en détailCommune de la Tène Viabilisation de la zone du casino
Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino RAPPORT TECHNIQUE Evacuation des eaux et alimentation en eau potable Dossier 10N026 Version 001 26 novembre 2010 RWB Holding SA Aménagement du territoire
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailCommune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse
Commune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse Département de la Haute Saône Zonage d assainissement Renaud LADAME Chargé d Affaires Géoprotech Agence Franche Comté Hôtel dentreprises ZA les Charrières
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailAMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE
AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. CREATION D UNE BANQUE DE DONNEES GEOSPATIALE CREATION A D UNE L ECHELLE BANQUE NATIONAL DE DONNEES GEOSPATIALES NATIONALE 1 AMTEC RESOURCES MANAGEMENT LTD. P O Box 3463
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailLOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES. drainage. Micro Drainage
LOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES drainage Micro Drainage QUELS SONT LES DOMAINES D APPLICATION DE XPSWMM? Gestion des eaux pluviales: Modélisation
Plus en détail1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 2. DESCRIPTION DE LA MASSE D'EAU SOUTERRAINE CARACTERISTIQUES INTRINSEQUES
1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE Codes entités aquifères Code entité V1 Code entité V2 concernées (V1) ou (V2) ou secteurs hydro à croiser : 532a 532b Type de masse d'eau souterraine : Imperméable
Plus en détailcollection mise au point état initial et prévision d impact dans les documents d incidences milieu aquatique
collection mise au point milieu aquatique état initial et prévision d impact dans les documents d incidences 1 PRINCIPES DE LA DEMARCHE.. 10 1.1. CHAMP D APPLICATION.... 12 1.2. UNE DEMARCHE EN QUATRE
Plus en détailElaboration d un Plan Local d Urbanisme / d un Agenda 21
Elaboration d un Plan Local d Urbanisme / d un Agenda 21 Phase diagnostic Par : P. Mordelet, Université Toulouse 3 C. Aschan-Leygonie, Université Lyon 2 F. Boussama, Université Montpellier 1 C. Mathieu,
Plus en détailMémoire de Fin d Etudes Ingénieur ENGEES
Ecole Nationale du Génie de l Eau et de l Environnement de Strasbourg ANALYSE DES IMPACTS DES ETIAGES DE LA RIVIERE MONTMORENCY SUR LES USAGES DE LA RESSOURCE EN EAU Mémoire de Fin d Etudes Ingénieur ENGEES
Plus en détailFonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source
Régionale Orléans Tours Visualiser cette sortie dans Google Earth Fonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source Position géographique
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailIntégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne
Intégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne point de vue sur l importance attributaire d un référentiel 1 Plan de la présentation
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailEîude réalisée dans le cadre des actions de Service Public du BRGM 02PIR115. E. Equilbey, J.F. Vernoux. mars 2002 BRCMIRPB 1576-FR
Avis hydrogéologique sur des dossiers de demande de reconnaissance de l état de catastrophe naturelle liée à une remontée de nappe phréatique - Communes de Marcoussis et du Val-Sain t-germain (Essonne)
Plus en détailTrait de côte Histolitt v1.0 Descriptif technique Version du document 1.0 *** Sommaire
Trait de côte Histolitt v1.0 Descriptif technique Version du document 1.0 *** Sommaire 1 Producteurs 2 Dénomination du produit 3 Protection militaire 4 Abréviations 5 Description générale 1. Définition
Plus en détailRégionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL
Plus en détailLa collecte et la gestion des données dans le cadre de la prospection d énergie solaire
Conférence SIG 2012 - ESRIFRANCE La collecte et la gestion des données dans le cadre de la prospection d énergie solaire Serge MANG-JOUBERT GAIAGO Eric VIDALENC - ADEME 1 Auteurs : Rodrigo MARIONI, Serge
Plus en détailLaboratoire Hydrologie et Aménagement (HYDRAM) Rapport de Master
Faculté de l Environnement Naturel, Architectural et Construit (ENAC) Section de Sciences et Ingénierie de l Environnement (SIE) Programme de Master en Sciences et Ingénierie de l Environnement Laboratoire
Plus en détaildocument de travail Phase 2 : groupe de travail Eau et biodiversité
document de travail Extrait du tableau de bord de la Région de Bruxelles-Capitale, amendé par la Coordination associative : «Nouvelles Rivières Urbaines» et biodiversité 1.2.1. intégration des principes
Plus en détailCommune de VILLARD-SUR-DORON
I n g é n i e r i e d e s M o u v e m e n t s d e S o l e t d e s R i s q u e s N a t u r e l s Siège : Parc Pré Millet - 38330 MONTBONNOT tél : 04 76 52 41 20 - fax : 04 76 52 49 09 email : ims@imsrn.com
Plus en détailSommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...
1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte
Plus en détailLes technologies IT au service de la. Application àl ORBE. Présentation: Dr Philippe Heller
Les technologies IT au service de la prévision de débitd Application àl ORBE Présentation: Dr Philippe Heller ARPEA AG 2014 1 EIA FR -- e-dric.ch -- EPFL Trépied EPFL Apprendre et innover e-drich Mettre
Plus en détailPlan d action stratégique
STRATÉGIE QUÉBÉCOISE SUR LES AIRES PROTÉGÉES Plan d action stratégique Premiers résultats Photographie : Jean Gagnon Table des matières Mots des ministres...4 1. Une aire protégée, un concept à connaître...6
Plus en détail16- Grand lac Shaw Portrait 2006
Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude
Plus en détailMesurer les altitudes avec une carte
www.ign.fr > Espace éducatif > Les fiches thématiques > Lecture de la carte Mesurer les altitudes avec une carte Les cartes topographiques ne sont pas uniquement une représentation plane de la surface
Plus en détail1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T
1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T 2. RECHERCHE DE SITES 2.1 Les objectifs 2.2 Les contraintes environnementales liés à l aménagement du territoire liées au transport liés aux documents d urbanisme 3.
Plus en détailLes Bassins Hydrauliques du Maroc 1. PRESENTATION
1. PRESENTATION Les bassins côtiers méditerranéens s'étendent du bassin de l'oued Rhiss-Nekor à l est au bassin de l'oued Fnidek à l ouest et occupent une superficie de près 6.910 Km 2, leur altitude moyenne
Plus en détailCahier des Clauses techniquesparticulières
ARCHES PUBLICS MAIRIE DE BASTIA Avenue Pierre Guidicelli 20410 BASTIA CEDEX MARCHE D ETUDES A MAITRISE D OUVRAGE EN VUE DE L ORIENTATION ET DU DEVELOPPEMENT DU SYTEME D INFORMATION GEOGRAPHIQUE SERVICE
Plus en détailPrésenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF
Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté
Plus en détailThème Le domaine continental et sa dynamique
Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels
Plus en détailCadre légal des CLD. Au Canada le développement socioéconomique relève de la juridiction des provinces
Banque de terres Simon Ouellet Agent de développement rural Un outil pour le développement territorial CLD des Collines-de-l Outaouais Emmanuel Roy Agent de développement écologique Cadre légal des CLD
Plus en détailTRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION
TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION Sommaire 1. Méthodologie : comment tracer le graphe d'une fonction... 1 En combinant les concepts de dérivée première et seconde, il est maintenant possible de tracer le
Plus en détailPlateforme nationale de gestion et traitement de données pour l'hydraulique et les inondations
Les données LIDAR : utilisation pour la prévention des risques d'inondation Plateforme nationale de gestion et traitement de données pour l'hydraulique et les inondations (Ex Plateforme Nationale pour
Plus en détailCLUB DE MARCHE Ballade et Randonnée
CLUB DE MARCHE Ballade et Randonnée SOMMAIRE 1 LA CARTE 1.1 Les types de carte 1.2 Les différentes échelles 1.3 - Les informations figurants sur les cartes au 1/25000 ème 1.3.1 - Le cadre 1.3.2 Les couleurs
Plus en détailE T U D E D I M P A C T
C o m m u n a u t é d A g g l o m é r a t i o n d u P l a t e a u d e S a c l a y V i l l e d e P a l a i s e a u P R O J E T D U Q U A R T I E R C A M I L L E C L A U D E L A P A L A I S E A U E T U D
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailRivière Saint-Charles Tronçon 2 Ville de Québec
Rivière Saint-Charles Tronçon 2 Ville de Québec Mise à jour des cotes de crues Rapport final Pour plus de renseignements, contactez la Direction de l expertise hydrique du Centre d expertise hydrique du
Plus en détailFranck VAUTIER, Jean-Pierre TOUMAZET, Erwan ROUSSEL, Marlène FAURE, Mohamed ABADI, Marta FLOREZ, Bertrand DOUSTEYSSIER
Utilisation d images dérivées d un jeu de données LIDAR pour la détection automatisée de vestiges archéologiques (programme de recherche méthodologique LiDARCHEO) Franck VAUTIER, Jean-Pierre TOUMAZET,
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailSommaire 3.4. CRUE SUR UN PETIT BASSIN VERSANT... 19 3.6. INTUMESCENCE - DYSFONCTIONNEMENT D OUVRAGES HYDRAULIQUES...22
Préambule La collection des guides de l ASN regroupe les documents à destination des professionnels intéressés par la réglementation en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection (exploitants, utilisateurs
Plus en détailRéférentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités. Rapport final
Référentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités Rapport final BRGM/RP-52261-FR janvier 2003 Référentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités
Plus en détailOFFICE NATIONAL DE L EAU POTABLE
OFFICE NATIONAL DE L EAU POTABLE DIRECTION DE L ASSAINISSEMENT ET DE L ENVIRONNEMENT ETUDE D ASSAINISSEMENT DE LA VILLE D EL KSIBA MISSION I : ANALYSE CRITIQUE DES ETUDES EXISTANTES, INVESTIGATIONS PRELIMINAIRES,
Plus en détailI Mise en place d un SIG pour la gestion des équipements sur les routes départementales de la Loire I
I Mise en place d un SIG pour la gestion des équipements sur les routes départementales de la Loire I I Déroulement de la présentation I Les missions de la cellule programmation Le patrimoine routier Le
Plus en détailPrédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8
Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8 Christine TURCK 1 * et **, Christiane WEBER**, Dominique THOME*
Plus en détailPREFECTURE DE HAUTE-SAVOIE
λ siège Alpes du Nord : P arc Pré Millet 38330 M ONTB ONNO T tél 04 76 52 41 20 fax. 04 76 52 49 09 E m ail = i m s @ i m s r n. c o m agence Alpes du Sud Nice : tél. 04 92 29 11 10 fax. 04 92 29 11 20
Plus en détailOPTIMISATION D ADDUCTION DDUCTION D EAU POTABLE. Ville de Thouars. Deux Sèvres
OPTIMISATION DU RESEAU D ADDUCTION DDUCTION D EAU POTABLE Ville de Thouars Deux Sèvres La Régie R de l Eaul Crée e fin 2001 ( reprise en Régie R suite à fin d un d contrat d affermage d ) Petite structure
Plus en détailMESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation
COMITÉ FRANÇAIS DE MÉCANIQUE DES SOLS Journée «HYDRAULIQUE» du 23-01-2002 MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure,
Plus en détailTerritoire3D. Descriptif de contenu. Institut Géographique National. www.ign.fr. Date du Document : Mars 2011
Territoire3D Descriptif de contenu Date du Document : Mars 2011 Institut Géographique National 73 avenue de Paris 94165 Saint-Mandé Cedex www.ign.fr Révision : Spécifications externes A 18/03/2011 Création
Plus en détailLa gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques
La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques Par Philippe PARENT Institution des Wateringues Par Philippe PARENT Institution
Plus en détailBASE DE DONNEES ET PLAN D ACTIONS POUR UNE GESTION DURABLE DES RESSOURCES EN EAU DES REGIONS DE MONTAGNE, MADAGASCAR
BASE DE DONNEES ET PLAN D ACTIONS POUR UNE GESTION DURABLE DES RESSOURCES EN EAU DES REGIONS DE MONTAGNE, MADAGASCAR E602 :Data Base and action plan for a Sustainable Management of Water Resources in Malagasy
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailMécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols
Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations
Plus en détailASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique
Plus en détailRESERVOIR MONITORING A PARTIR D IMAGES SATELLITES APPLICATIONS POUR LES ACTIVITÉS AMONT DE SONATRACH EN ALGÉRIE
RESERVOIR MONITORING A PARTIR D IMAGES SATELLITES APPLICATIONS POUR LES ACTIVITÉS AMONT DE SONATRACH EN ALGÉRIE Johanna GRANDA (1), Alain ARNAUD (1) et Azzédine BOUDIAF (2) (1) ALTAMIRA INFORMATION S.L.,
Plus en détailModélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Plus en détailAvant d aller à la recherche d un terrain
Choisir un terrain Bien choisir un terrain pour construire une maison solide Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité de la construction.
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détailApport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal
Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon
Plus en détailSystèmes de stockage simples à installer et économiques
Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de
Plus en détailModélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé
1 TGR Modélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé Simon Munier Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l'environnement (AgroParisTech)
Plus en détailDISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N
DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N CARACTERE DE LA ZONE Zone faisant l objet d une protection en raison soit de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt notamment du
Plus en détailLambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011
Aménagement rural et développement durable Dépendance à la voiture en milieu rural : le cas de la Province du Luxembourg Constats, enjeux et pistes de solutions à moyen-long terme via l aménagement du
Plus en détailLes lieux d où l on voit les Alpes font partie de ces espaces chargés de
Voir les Alpes depuis la Franche-Comté visibilité Daniel JOLY, ThéMA, umr 6049 du cnrs-université de Franche-Comté Les lieux d où l on voit les Alpes font partie de ces espaces chargés de sens : par le
Plus en détailLe contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2
Le contexte global Superficie : 41 526Km 2 Population: 16,34M.(89,6% urbaine: / 10,4% rurale:) 2006 PIB/hab 2007: 35 576 USD Divisions administratives: 12 provinces et 467 communes en nombre variable Régime:
Plus en détailALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS
ALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS Utilisation du radar HYDRIX et de la plateforme RAINPOL sur la commune d ANTIBES JUAN-LES-PINS European Local Authorities Rencontres
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailLa surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers
Symposium on Innovation and Technology in The Phosphate Industry - SYMPHOS May 6-10, 2013 Agadir, Marocco La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Méthodes et Technologies
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détailCommune de Saint-Etienne-de-Crossey (Isère) CAHIER DES PRESCRIPTIONS SPECIALES
Réalisation Assistance Maître d Ouvrage Commune de Saint-Etienne-de-Crossey (Isère) CAHIER DES PRESCRIPTIONS SPECIALES Cahier des prescriptions spéciales accompagnant le zonage des risques Date Avancement
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailCAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE
Cahier des charges pour l évolution des réseaux de surveillance des eaux souterraines en France CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE Version complétée
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailINTEGREE DES RESSOURCES EN EAU
Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel
Plus en détailApplications of Earth Observation for Disaster Risk Management
Satellite Earth Observation & Disaster Risks Applications of Earth Observation for Disaster Risk Management Hicham EZZINE, Regional Centre for Disaster Risk Reduction Data Info. INRODUCTION INRODUCTION
Plus en détailComment valoriser sa toiture plate en milieu urbain
Séminaire Bâtiment Durable : Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain 27/03/2015 Bruxelles Environnement Comment valoriser les eaux pluviales grâce à sa toiture? Maggy Hovertin MATRIciel Objectifs
Plus en détailEssais de charge sur plaque
Page No.: 1 L essai de charge sur plaque est exécuté entre autres dans des galeries d exploration ou dans des puits, mais il peut aussi être exécuté à la surface en appliquant un poids mort ou en chargeant
Plus en détailScientific registration n : 35 Symposium n : 27 Presentation : Poster. SAFAIAN Nosrat, SHOKRI Maryam
Scientific registration n : 35 Symposium n : 27 Presentation : Poster Etude de l'influence des activités humaines sur l'érosion du sol dans la zone aride du Sud-Est de l'iran The study of the human activities
Plus en détailPrise en compte des dangers naturels dans l aménagement du territoire et les permis de construire
Prise en compte des dangers naturels dans l aménagement du territoire et les permis de construire Guide pratique Partie I - Informations générales Département du territoire et de l environnement Direction
Plus en détailPREAMBULE. Le réseau d Alimentation en Eau Potable (A.E.P.) de la commune de SAINT- SAUVEUR est exploité en régie communale.
1 PREAMBULE Le réseau d Alimentation en Eau Potable (A.E.P.) de la commune de SAINT- SAUVEUR est exploité en régie communale. Les élus souhaitent disposer d'une analyse exacte de la situation actuelle,
Plus en détailRévision de la numérotation des règlements
Révision de la numérotation des règlements Veuillez prendre note qu un ou plusieurs numéros de règlements apparaissant dans ces pages ont été modifiés depuis la publication du présent document. En effet,
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailRAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE
Bureau Alpes Contrôles bac.bourg@alpes-controles.fr - RAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE REFERENCE: BT120018 indice 0 NOM DU PROCEDE: MODULES PHOTOVOLTAIQUES ASSOCIES EN POSE PORTRAIT OU PAYSAGE:
Plus en détailInstallation de Stockage de Déchets Inertes
MBM Lapanouse Route d Espalion 12 850 ONET LE CHATEAU Dossier de demande d autorisation au titre de l article L.541-30-1 du Code de l Environnement Dossier de déclaration au titre de la Loi sur l Eau au
Plus en détailSoumise à l effet du vent, à la différence
CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux
Plus en détaild'une EXTRACTION AVEC RABATTEMENT DE NAPPE
ENTREPRISE CHAPELLE S.A. ROUTE DE RIOTTER - LIMAS 69400 - VILLEFRANCHE SUR SAONE /DOCUMENT NON PUBLIC/ PROJET D'IfPLAmTION D'UE GRAVIERE A CRECHES SUR SAOE (71) EXA^EN DE L INCIDENCE SUR DES OUVRAGES DE
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailQu est-ce qu un service rendu?
Evaluation économique des services rendus par les écosystèmes Place des inondations Économie et politiques publiques Paris Yann Laurans info@ecowhat.fr Previrisq 2 Comment s évaluent économiquement les
Plus en détailRESUME NON TECHNIQUE DE L ETUDE D IMPACT
E1 RESUME NON TECHNIQUE DE L ETUDE D IMPACT 28 E1 RESUME NON TECHNIQUE DE L ÉTUDE D IMPACT 28 1. - PRESENTATION DE L OPERATION 2. - APPRECIATION DES IMPACTS DU PROGRAMME 3. - AUTEURS DES ETUDES 4. - ETAT
Plus en détailCentre Multimodal de Distribution Urbaine Logistique Urbaine et système d information
Centre Multimodal de Distribution Urbaine Logistique Urbaine et système d information Jean-Charles DECONNINCK Président de Generix Group 19 Septembre 2014 Generix Group Qui Éditeur de solutions applicatives
Plus en détail