PLAN DE L ELIMINATION DE LA ROUGEOLE EN BELGIQUE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PLAN DE L ELIMINATION DE LA ROUGEOLE EN BELGIQUE"

Transcription

1 PLAN DE L ELIMINATION DE LA ROUGEOLE EN BELGIQUE Avril 2004 Le Comité pour l Elimination de la Rougeole en Belgique

2

3 TABLE DE MATIERES 1. INTRODUCTION 5 2. INFORMATIONS GENERALES Incidence de la rougeole 6 Politique nationale de vaccination 7 Couverture vaccinale 8 Etude de séroprévalence 8 Surveillance de la rougeole 8 3. PLAN D ACTION Objectif général 11 Objectifs spécifiques 11 Activités 1) Vaccination 11 2) Surveillance de la rougeole 12 3) Advocacy 14 Budget 14 ANNEXES 1. Brochure d information Surveillance de maladies rares chez l enfant en Belgique 2. Activités à charge des Communautés 3. Budget pour la surveillance de la rougeole 4. Laboratoire National de la rougeole

4 4

5 1. INTRODUCTION Avec près de 1 million de morts par an dans le monde, la rougeole reste une des principales causes de morbidité et de mortalité parmi les maladies évitables par la vaccination. Le Bureau régional de l OMS (Organisation Mondiale de la Santé) pour l Europe a ciblé l élimination de la rougeole dans la région pour l année Les objectifs généraux du plan stratégique pour l élimination de la rougeole et de la rubéole congénitale en Europe pour 2010, adopté en 1998 par l OMS sont les suivants : - interruption de la transmission endémique de la rougeole 1 ; et - prévention de la rubéole congénitale (moins d un cas de SRC pour naissances d enfant vivant). Six stratégies clés sont recommandées pour atteindre ces objectifs : 1) atteindre et maintenir une couverture vaccinale très élevée au moyen de deux doses de vaccin contre la rougeole, grâce à des services de vaccination systématique de qualité ; 2) offrir une seconde opportunité d immunisation contre la rougeole grâce à des mesures de vaccination supplémentaires destinées aux populations à risque, conformément aux objectifs nationaux de lutte antirougeoleuse ; 3) tirer parti de ces mesures de vaccination supplémentaire contre la rougeole pour cibler les populations exposées à la rubéole, le cas échéant ; 4) assurer la protection contre la rubéole des femmes en âge de procréer en garantissant une couverture vaccinale élevée ; 5) renforcer le système de surveillance au moyen d études de cas poussées, avec confirmation en laboratoire ; 6) mettre à la disposition des professionnels et du public des informations utiles et complètes sur les avantages et les effets secondaires de la vaccination contre la rougeole et la rubéole. Un Comité pour l Elimination de la Rougeole en Belgique a été créé en janvier Le comité est constitué de représentants du SPF de la Santé Publique, de représentants des 3 régions de la Belgique (Communauté flamande, Communauté française et Région de Bruxelles-Capitale), de représentants des associations de pédiatres et de médecins généralistes, de virologues et d épidémiologistes. Le gouvernement belge a approuvé la composition du comité en avril Le rôle du comité est d élaborer un plan d action national et d assurer le suivi des activités. Les stratégies pour le contrôle de la rubéole congénitale pourront ne pas être implémentées dans un premier stade. 1 Situation dans laquelle il ne peut plus y avoir de transmission durable du virus et où la propagation secondaire à la suite de cas importés cesse d elle-même, sans intervention. 5

6 2. INFORMATIONS GENERALES Incidence de la rougeole En et de 1982 à l année 2000, la surveillance de la rougeole était assurée par un système de surveillance vigie, constitué d environ 150 médecins généralistes (MG), représentatifs des MG belges et couvrant 1.5% de la population en Belgique. Les cas de rougeole étaient notifiés sur base de la clinique uniquement. Les données d incidence ainsi obtenues représentent des sous-estimations de l incidence réelle, mais permettent d évaluer les tendances au cours des années. Comme représenté dans le Tableau 1 et la Figure 1, l incidence de rougeole rapportée en Belgique a diminué de 998 par habitants en 1982 à 6 par habitants en Tableau 1: Incidence de la rougeole par habitants en Belgique. Incidence 95% IC Au cours des années, des différences dans les taux d incidence ont été observées entre les Communautés. Figure 1: Incidence de la rougeole par habitants dans la Communauté flamande et la Communauté française ( ) Incidence par habitants Communauté flamande Communauté française 6

7 Figure 2: Distribution des cas de rougeole par groupes d âge (en années) en Belgique ( ) < > 19 Comme attendu suite à l usage généralisé du vaccin contre la rougeole, l âge moyen au moment de l infection a augmenté. L incidence de la rougeole devenant trop basse (seul 8 cas de rougeole rapportés en 1999), le réseau de médecins généralistes vigies n était plus approprié pour en continuer la surveillance, et elle a donc été interrompue. Il n y a pas de données disponibles pour les années 2000 à La surveillance de la rougeole a été réintroduite en octobre 2002 par un réseau de pédiatres et médecins généralistes (voir plus loin). En 2003, 24 cas de rougeole (principalement sur base de données cliniques) ont été rapportés par le système de surveillance, et 18 autres cas ont été identifiés par des services de médecine scolaire ou des laboratoires, soit un total de 42 cas. En juin 2003, un foyer de cas de rougeole a été déclaré dans une école à Bruxelles. Grâce au système de surveillance, des cas de rougeole ont été identifiés dans 2 autres écoles du voisinage. Au total, 16 cas de rougeole ont été déclarés, âgés de 6 à 10 ans. Seuls deux cas (12,5%) ont été confirmés au laboratoire. Le cas à l origine de l épidémie était un enfant non vacciné ayant passé les vacances de Pâques en Italie. Politique nationale de vaccination La vaccination contre la rougeole est inclue dans le schéma de vaccination de routine de l enfant en Belgique, mais elle n est pas obligatoire. Le vaccin antirougeoleux est disponible sur le marché belge depuis La vaccination en masse contre la rougeole a démarré en 1982 avec le vaccin combiné rougeole-oreillons-rubéole (ROR), administré à l âge de 15 mois. Depuis 1994, il est recommandé d administrer une deuxième dose de vaccin ROR à tous les enfants âgés de 10 à 12 ans. En 2002, le Conseil Supérieur d Hygiène a recommandé l administration de la première dose du vaccin ROR à l âge de 12 mois. Le statut vaccinal des enfants de 5 à 6 ans doit être vérifié à l école, et complété au besoin. 7

8 Couverture vaccinale Les données les plus récentes sur la couverture vaccinale de la rougeole ont été obtenues en 1999, 2000 et 2003 par des enquêtes par échantillonnage en grappes dans les trois régions, comme représenté dans le tableau ci-dessous. En 2004, la Communauté flamande réalisera une étude de couverture vaccinale chez les enfants de 18 à 24 mois et de 12 ans. Tableau 2: Couverture vaccinale chez les enfants de mois, Belgique, Vaccin rougeole Wallonie Flandre Région Bruxelles- Capitale (ROR) 1999 (n=835) 2003 (n=767) 1999 (n=1005) 2000 (n=564) % 95 % IC % 95 % IC % 95 % IC % 95 % IC 1 ère dose 82,4 79,8 85,0 82,5 79,7 85,4 83,4 80,3 86,5 74,5 70,1-78,9 Dans les trois régions, la couverture vaccinale pour une dose est au dessous de la couverture de 95% visée dans le but de l élimination de la rougeole. Des données fiables sur la couverture pour la deuxième dose du vaccin ROR ne sont actuellement pas disponibles. La récente modification du calendrier vaccinal, recommandant l administration avancée de la première dose de ROR, simultanément à la vaccination contre le Méningocoque C (instaurée depuis 2001), est supposée améliorer la couverture pour une dose de ROR. Etude de séroprévalence La Belgique participe au projet European Sero-Epidemiology Network 2 (ESEN 2). L objectif général de ce projet est de coordonner et d harmoniser la surveillance sérologique de l immunité pour plusieurs maladies évitables par vaccination, y compris la rougeole. La participation de la Belgique à ce projet consistait, entre autres, à l établissement d une banque de sérums, comptant 3378 échantillons représentatifs pour la population belge de 1 à 65 ans, entre novembre 2001 et mars Les résultats pour la sérologie de la rougeole seront disponibles en Surveillance de la rougeole La rougeole n est pas une maladie à déclaration obligatoire en Belgique, excepté dans le cadre de la déclaration des maladies infectieuses dans les écoles. Le système de surveillance des maladies rares de l enfant de la BPSU (British Paediatric Surveillance Unit) ayant été un succès, la même méthodologie a été adoptée pour établir un système de surveillance en Belgique. Il s agit d un système de rapportage mensuel de plusieurs affections pédiatriques rares, comme la rougeole et la rubéole. La surveillance a démarré en octobre

9 Elle vise tous les pédiatres belges, et dans un premier temps, les médecins généralistes (MG) dans la Région de Bruxelles-Capitale. L élargissement à d autres MG sera examiné dans le futur. Au total 2230 médecins (1240 pédiatres et 990 MG) sont enregistrés parmi ces deux catégories et ont été contactés pour participer au réseau de surveillance. Tous ont reçu une brochure d information sur le système de surveillance et sur l importance de leur participation (annexe 1). Les médecins rapportent sur base volontaire via un site Internet ou en envoyant par la poste un formulaire dans le courant de la première semaine de chaque mois. La déclaration de zéro-cas est requise. Globalement, 38% des médecins souhaitent participer même si, en ce moment, la participation mensuelle varie autour des 28%. Les médecins déclarant un cas de rougeole reçoivent un questionnaire pour rassembler des données épidémiologiques (annexe 1). Les données de surveillance basées sur les cas sont transférées au réseau européen pour la surveillance des maladies évitables par vaccination Euvac.Net localisé au Statens Serum Institut à Copenhague au Danemark. Le réseau compte des institutions de surveillance dans les 15 pays européens plus l Islande, la Norvège, la Suisse et Malte et collabore avec l OMS. Les données de surveillance de la rougeole sont rassemblées et analysées dans le but de décrire l épidémiologie de la rougeole dans les pays participant. Conformément aux définitions de cas des maladies transmissibles décrites dans la Décision n 2119/98/EC de la Commission européenne, la définition de cas suivante est d application pour la rougeole : Description clinique Tableau clinique compatible avec la rougeole, c est-à-dire une éruption cutanée généralisée durant plus de trois jours et une température supérieure à 38 C et un ou plusieurs des symptômes suivants : toux, rhinite, taches de Koplik, conjonctivite. Classification des cas 2 Possible : cas pour lequel un médecin a posé un diagnostic de rougeole Probable : cas compatible avec le description clinique Confirmé : cas confirmé en laboratoire ou cas compatible avec la description clinique et ayant un lien épidémiologique. Un cas confirmé en laboratoire ne doit pas répondre à la définition du cas clinique. 2 Un cas probable dans cette classification correspond à un cas confirmé cliniquement dans la classification de l OMS. 9

10 Schéma opérationnel Echantillon sanguin adéquat 3 Résultat négatif pour les IgM Ecarté Résultat positif pour les IgM Cas de rougeole suspect Lien épidémiologique avec un cas confirmé Confirmé Pas d échantillon sanguin adéquat Pas de lien épidémiologique avec un cas confirmé Cas de rougeole probable Pas de données cliniques disponibles Cas de rougeole possible 3. PLAN D ACTION Selon l OMS, les pays peuvent être classés en trois catégories, en fonction du stade dans lequel ils se trouvent : Phase I : contrôle limité de la rougeole Pays pour lesquels la couverture par la première dose de vaccin antirougeoleux a été en permanence inférieure ou égale à 90% et qui ont, à terme, enregistré une accumulation de cohortes sensibles dans la population. Ces pays connaissent toujours des épidémies de rougeole séparées par des intervalles inférieurs ou égaux à 5 ans et qui touchent souvent les groupes les plus jeunes, avec des conséquences plus graves. Phase II : contrôle de la rougeole Pays bénéficiant d une couverture par le vaccin antirougeoleux qui a été contrôlée et maintenue à un niveau élevé (de 90 à 95%) avec au minimum une dose de vaccin. Ces pays enregistrent encore des épidémies de rougeole (qui touchent essentiellement les groupes les plus âgés), mais avec une période interépidémique supérieure à 5 ans. 3 Même si les tests Elisa IgM sont plus spécifiques 4 à 28 jours après l apparition de l exanthème, un seul échantillon prélevé lors du premier contact avec le système de santé dans un délai de 28 jours après le début de la maladie, est considéré comme adéquat pour la surveillance de la rougeole. 10

11 Phase III : quasi-élimination de la rougeole Pays maintenant une couverture par le vaccin antirougeoleux à un niveau très élevé (supérieur à 95% à l échelle nationale, à 90% dans toutes les régions) avec deux opportunités de vaccination incluant les cohortes sensibles les plus âgées. Les données indiquent que la transmission endémique de la rougeole a été stoppée. La Belgique se situe toujours en première phase avec un contrôle limité de la rougeole, puisque la couverture vaccinale pour la première dose administrée en routine n atteint jamais les 90%. Selon les recommandations de l OMS dans le plan stratégique pour l élimination de la rougeole au sein de l Union européenne, les objectifs suivant ont été proposés : Objectif général - Interrompre la transmission locale de la rougeole en Belgique pour l année Objectifs spécifiques - Améliorer la couverture vaccinale en routine pour le vaccin combiné rougeoleoreillons-rubéole (ROR) jusqu à, au moins, 95% dans les trois régions belges. - Atteindre une couverture vaccinale d au moins 95% avec une deuxième dose du vaccin administrée en routine. - Etablir un système de surveillance sensible pour la couverture vaccinale et pour les cas de rougeole suspects incluant la confirmation du diagnostic par le laboratoire. Afin d atteindre ces objectifs, un plan d action national devra être implémenté. Une politique concernée et des moyens financiers seront donc nécessaires. Les activités s efforceront plus spécifiquement d améliorer le système de surveillance épidémiologique existant et de renforcer le rôle du laboratoire dans la surveillance de la rougeole. Activités 1) Immunisation 1.1.Vaccination Pour contrôler avec succès la rougeole, il faut que 95% de la population soit immunisé avec deux doses de vaccin. Puisque les pourcentages de la couverture avec la première dose dans les trois régions sont en dessous de cette couverture ciblée, il faudra améliorer la couverture vaccinale en routine. Le besoin de campagnes de vaccination supplémentaires sera évalué en fonction des résultats de l étude de la couverture vaccinale (réalisée par la Communauté française en 2003 et prévu par la Communauté flamande en 2004) et des résultats de l étude de la séroprévalence réalisée en Le Conseil Supérieur d Hygiène joue un rôle important dans la coordination des activités dans les communautés. 11

12 1.2. Suivi de l immunisation Il faut un système fiable pour le monitoring de la couverture vaccinale. Des études de la couverture vaccinale pour la première dose de vaccin seront régulièrement réalisées en parallèle dans les trois régions de la Belgique, en utilisant la même méthodologie dans les trois régions. En accord avec les recommandations du Conseil Supérieur d Hygiène, des informations sur le statut vaccinal des enfants entre 5 et 6 ans seront collectées dans les écoles. La couverture vaccinale de la seconde dose sera également étudiée. A partir de 2004, la Communauté flamande prévoit la collecte, en routine, de données sur le statut vaccinal de tous les élèves, à travers les centres de médecine scolaire (Centra voor Leerlingenbegeleiding). La responsabilité de la réalisation de la vaccination et du suivi de la couverture vaccinale revient aux Communautés. Chaque Communauté est demandée de planifier chaque année ses activités et de fournir un rapport semestriel au Comité pour l Elimination de la Rougeole en Belgique Détermination de la population susceptible Afin d éviter des épidémies, il est essentiel d évaluer la susceptibilité de la population. Un système de déclaration de cas de maladies sous-estime souvent l incidence de la maladie, en particulier quand une partie des cas est atypique et sous-diagnostiquée. Il est donc recommandé de compléter la surveillance de la maladie avec la sérosurveillance. Les données de sérosurveillance contribuent aussi en grande partie au modèle mathématique permettant de prédire le nombre potentiel de cas dans le futur et indiquer quand et dans quel groupe d âge une intervention sera nécessaire afin d éviter une épidémie. A l aide d études de couverture vaccinale et de séroprévalence, la susceptibilité liée à l âge peut être évaluée. Des stratégies seront établies afin de réduire la susceptibilité à < 15% pour les enfants entre 0 et 4 ans, < 10% pour les enfants entre 5 et 9 ans et < 5% pour les personnes >= 10 ans, comme recommandé par l OMS. 2) Surveillance de la rougeole 2.1. Renforcement de la surveillance de la rougeole Un système de surveillance sensible est essentiel pour le suivi de l avancement de l élimination de la rougeole. Pour l élimination de la maladie, il faut collecter des données épidémiologiques (dont le statut vaccinal) et des informations virologiques pour tous les cas suspects de rougeole. Le système de surveillance devra donc être exhaustif pour l année 2010 et impliquer tous les médecins confrontés à de possibles cas de rougeole. La responsabilité de la surveillance de la rougeole revient aux Communautés. 12

13 En 2004, la rougeole deviendra très probablement une maladie à déclaration obligatoire en Communauté flamande; la Communauté française ne prévoit aucune révision de la liste des maladies à déclaration obligatoire dans le futur. La surveillance par un système de déclaration par les écoles dans les deux communautés et par toutes les instances de santé dans la Communauté flamande sera complétée par la surveillance du réseau de pédiatres et de médecins généralistes. Pour cela, les différents systèmes de surveillance devront collaborer étroitement Investigation des épidémies Une investigation rapide des épidémies devra être réalisée, avec confirmation du diagnostic en laboratoire et génotypage pour le plus grand nombre de cas possible. Les différentes communautés développeront des directives pour l investigation et la prise en charge de foyers de cas. Des instructions pour la prise en charge de cas de rougeole en milieu scolaire sont disponibles en Communauté flamande Indicateurs de performance Conformément aux recommandations de l OMS, les indicateurs de performance suivants seront suivis régulièrement : - Couverture vaccinale nationale pour la première dose du vaccin antirougeoleux disponible annuellement - Couverture vaccinale pour la deuxième dose connue - Incidence de la rougeole rapportée par mois, année, lieu et statut vaccinal - Rapports mensuels de surveillance complets et à temps - Investigation complète et rapide des épidémies - Pourcentage d épidémies avec confirmation en laboratoire - Pourcentage de cas déclarés avec données épidémiologiques minimales connues (âge et statut vaccinal) 2.4. Confirmation du diagnostic de la rougeole Dans la phase 1 du processus d élimination, la confirmation par le laboratoire est recommandée pour le plus de cas de rougeole suspects possible. Les tests diagnostiques de rougeole, recherchant les anticorps spécifiques (IgM), peuvent se faire dans les laboratoires privés. Les résultats devront être rapportés au Laboratoire National de la rougeole ou au réseau de surveillance des cas de rougeole. Lorsqu une épidémie est suspectée, il est conseillé d envoyer au Laboratoire National des échantillons d au moins un cas et de préférence de plusieurs cas (5 échantillons quand au moins 5 cas ont été identifiés), et ce de chaque chaîne infectieuse. Des échantillons de sang devront être rassemblés pour confirmation du diagnostic et des échantillons d urine, de sécrétions nasopharyngées et de sang (sur EDTA si tôt dans l évolution clinique) pour l isolement du virus ou la détection d acide nucléaire et la séquençage génétique. Tous les laboratoires en Belgique ont reçu les instructions pour le prélèvement et l envoi des échantillons au Laboratoire National de la rougeole. La caractérisation moléculaire des isolements de virus est utile pour trouver des liens entre les cas et pour déterminer l origine géographique des virus importés. 13

14 A l approche de l élimination de la rougeole, la confirmation de tous les cas suspects de la rougeole par le laboratoire national et l isolement du virus ou la détection d acide nucléique de toutes les chaînes infectieuses de la rougeole sont essentiels afin de déterminer l interruption de la transmission locale de la rougeole et d évaluer l impact des activités d élimination Laboratoire National Le Laboratoire National pour la rougeole fait partie du Service de Virologie de l Institut Scientifique de la Santé publique à Bruxelles. Dans la phase I du processus d élimination, le laboratoire sera responsable de la confirmation par tests sérologiques d une éventuelle épidémie de rougeole et de l envoi d échantillons du virus de la rougeole pour génotypage au laboratoire de référence de l OMS au Luxembourg. Le Laboratoire National participe à la recherche nationale, telles que les projets ESEN 2 (European Sero-Epidemiology Network 2) et ELSM (Enhanced Laboratory Surveillance for Measles) et travaille à la validation d une technique de détection des anticorps de la rougeole (IgM et IgG) sur la salive. Des techniques d acide nucléique seront développées avant la fin de Renforcement de la collaboration internationale L Institut Scientifique de Santé Publique travaillera en étroite collaboration avec Euvac.net et l OMS. 3) Advocacy Des stratégies de sensibilisation seront nécessaires afin d obtenir une aide politique et publique. Beaucoup d efforts sont fournis pour responsabiliser les communautés quant à l élimination de la rougeole. Toutes les activités de sensibilisation des professionnels de la santé et du grand public devraient être coordonnées avec les deux communautés. Les médecins généralistes, les pédiatres et les médecins dans le milieu scolaire ou les crèches seront informés de la stratégie d élimination de la rougeole en Belgique et de l importance de la surveillance de la rougeole dans cette stratégie. Du matériel d information sur les signes cliniques de la rougeole est requis pour les professionnels de la santé. Budget Le Comité souhaite insister sur le fait que certaines activités prévues requièrent des moyens financiers supplémentaires. Les différentes communautés de la Belgique sont responsables du financement de la réalisation et du suivi de la vaccination. La recherche de fonds pour la sensibilisation devra être discutée avec les communautés et le gouvernement fédéral. Le Comité pour l Elimination de la Rougeole se charge de la recherche de fonds pour la surveillance de la rougeole et les frais administratifs du Comité. Le laboratoire national à l Institut Scientifique de la Santé Publique devra également être financé de façon spécifique. 14

15 Trois activités devront donc obtenir des financements spécifiques, à évaluer séparément (voir annexes 2, 3, 4) : 1. Suivi des vaccinations et advocacy ; 2. Surveillance de la rougeole et Comité; 3. Laboratoire national, tel qu il a été proposé dans les directives de l OMS. Dans l annexe 2, figurent les différentes activités qui devraient être financées par les communautés. Des montants spécifiques devraient être définis par les autorités en fonction des priorités et des programmes existants. Les frais estimés pour les deux premières années de la surveillance de la rougeole sont détaillés dans l annexe 3. L annexe 4 donne un aperçu des frais des activités du laboratoire national, tel qu il a été proposé par le chef du Service de Microbiologie. Les frais pour les années à venir seront estimés suite à l évaluation des résultats obtenus. 15

16 16

17 Annexe 1: Brochure d information Surveillance de maladies rares chez l enfant en Belgique 1. Introduction Dans le cadre de l éradication de maladies rares, entre autres chez l enfant, un système de surveillance s impose. La surveillance consiste en un enregistrement volontaire de maladies, par lequel des données épidémiologiques collectées et analysées de façon continue et systématique sont ensuite transmises aux instances concernées. Un système de surveillance efficace doit pouvoir identifier rapidement tous les cas de maladies rares, assurer un suivi, prendre des mesures pour éviter la propagation de la maladie (dans le cas d une maladie infectieuse), et rapporter régulièrement aux médecins impliqués afin de les informer des fruits de leur collaboration. Les données épidémiologiques obtenues peuvent être utiles pour la recherche scientifique et l élaboration de plans d actions. Depuis 1986, 10 pays ont mis en place un système de surveillance de maladies rares chez l enfant, l Angleterre étant le pionnier avec la création du BPSU (British Paediatric Surveillance Unit) en 1986, suivi notamment par les Pays-Bas en 1990 et le NSCK (Nederlands Signalerings Centrum Kindergeneeskunde), ainsi que le Canada en 1996 avec le CPSP (Canadian Paediatric Surveillance Program). Au niveau mondial, ces systèmes de surveillance se sont regroupés en juin 2000 pour créer un réseau international, le INoPSU (International Network of Paediatric Surveillance Units). Sur base de l expérience acquise au cours de toutes ces années par les différents systèmes, la Belgique souhaite également démarrer la surveillance de quelques maladies rares, telles que la rougeole et la Paralysie Flasque Aiguë (PFA) dans le cadre de l éradication de la poliomyélite. Afin de pouvoir identifier tous les cas d une maladie rare, la participation de tous les médecins qui posent le diagnostic de la maladie est requise. Pour lancer le système en Belgique, on se limitera à la surveillance de 4 maladies, par tous les pédiatres belges et les médecins généralistes de la Région de Bruxelles. Par la suite, la surveillance pourra être étendue à d autres pathologies et s adresser à un groupe de médecins plus large. 2. Maladies retenues pour la surveillance Dans beaucoup de pays, la sélection des maladies surveillées se fait sur base de propositions et demandes des pédiatres, en fonction de l intérêt de la surveillance pour la recherche.

18 Pour démarrer le système en Belgique, 4 maladies rares ont été retenues : la PFA, la rougeole, les oreillons et la rubéole. La surveillance de la PFA est un des piliers du programme mondial de l OMS (Organisation Mondiale de la Santé) pour l éradication de la poliomyélite. Bien que l Europe ait été déclarée exempte de polio en juin 2002, le risque d importation du virus sauvage est réel, et il est donc important de démarrer la surveillance des cas de PFA. L OMS vise également l élimination de la rougeole en Europe pour l année Des données précises sur le nombre de cas de rougeole en Belgique sont inexistantes et la surveillance de la rougeole, avec confirmation en laboratoire de tous les cas suspects, doit donc être mise en place rapidement. Etant donné que la rubéole et les oreillons sont également prévenus par le vaccin contre la rougeole (MMR / Priorix), il semble pertinent de les retenir pour la surveillance. Celle-ci nous permettra ainsi d évaluer l impact de la vaccination par MMR en Belgique. 3. Méthode La signalisation des cas commencera début novembre 2002, avec un premier rapportage pour le mois d octobre. Une phase pilote de 6 mois est prévue pour évaluer la faisabilité de la méthodologie et la fonctionnalité des questionnaires proposés. Si la surveillance de maladies rares semble faisable en Belgique, un engagement continu des médecins sera sollicité. Nous vous demandons de signaler mensuellement les nouveaux cas des maladies rares retenues, diagnostiquées au cours du mois écoulé. La signalisation est la plus simple et rapide par internet. Si vous préférez cette voie de rapportage, veuillez le signaler au moyen du questionnaire ci-joint, afin que nous puissions vous envoyer un code d accès. Pour les personnes n ayant pas d accès à internet, une carte de signalisation sera envoyée à la fin de chaque mois. Lorsque aucun cas d une des maladies retenues a été vu, il suffit de cocher la case «Rien à signaler». Le médecin signalant un cas recevra un questionnaire à remplir afin de pouvoir assurer un suivi épidémiologique. Toutes les données seront traitées de façon confidentielle et anonyme. Une investigation approfondie, avec par exemple un contact entre l épidémiologiste et le patient, nécessitera l accord du médecin et du patient ou de sa famille. Un rapport semestriel analysera les résultats de la surveillance, et sera envoyé à tous les participants. La surveillance sera coordonnée par l Institut Scientifique de la Santé Publique (ISP). Personne de contact : Tinne Lernout tél : 02/ ISP fax : 02/ Service d Epidémiologie tinne.lernout@iph.fgov.be Rue J. Wytsman Bruxelles 18

19 ROUGEOLE Introduction L objectif d éradiquer la rougeole doit être atteint en 2010 et une surveillance de la rougeole avec confirmation sérologique de tous les cas suspects se révèle donc indispensable. Le but de la surveillance est triple : 1. Récolter des données sur la source d infection lors d une signalisation d un nouveau cas de rougeole et prendre les mesures nécessaires pour limiter la propagation de la maladie 2. Evaluer les progrès obtenus dans le processus d éradication de la rougeole en Belgique 3. Démontrer que le faible taux d incidence de la rougeole en Belgique est attribuable à l absence réelle du virus, et non à une signalisation incomplète ou inadéquate. Définition de cas Tableau clinique d une éruption cutanée généralisée durant plus de trois jours et une température supérieure à 38.0 C et un ou plusieurs des symptômes suivants : toux, rhinite, taches de Koplik, conjonctivite. (Source : Décision de la Commission Européenne du 19/03/2002 établissant des définitions de cas pour la déclaration des maladies transmissibles). Classification des cas : - Cas possible : cas pour lequel un médecin a posé un diagnostic de rougeole - Cas probable : cas compatible avec la description clinique - Cas confirmé : cas confirmé en laboratoire ou cas compatible avec la description clinique et ayant un lien épidémiologique (exposé à un cas confirmé ou ayant eu la même exposition) Instructions Si vous avez vu un nouveau cas probable de rougeole au cours du mois écoulé, veuillez remplir les données requises (initiales et date de naissance du patient) sur la fiche de signalisation. Il s agit de tous les cas que vous avez rencontrés en tant que clinicien, même les cas pour lesquels vous avez donné un avis extérieur, mais qui ne sont pas directement vos patients. Tous les cas suspects doivent être confirmés au laboratoire par sérologie, de préférence entre le 4 e et 28 e jour suivant l apparition de l éruption cutanée. S il s agit de plusieurs cas confirmés, il serait utile de compléter les examens par une culture virologique et une analyse génétique dans le but de différencier un virus indigène d un virus importé. 19

20 Après la signalisation d un cas, vous recevrez un questionnaire afin de recueillir les données épidémiologiques utiles. QUESTIONNAIRE ROUGEOLE Médecin signalant (cachet) : Date : 1. Identification du patient Initiales (prénom, nom) : Date de naissance (jour/mois/année) : / / Sexe : masculin féminin Code postal : 2. Statut vaccinal Est-ce que le patient est vacciné contre la rougeole? Oui Non Inconnu Si non, pourquoi? Si oui, combien de doses a-t-il reçu? Date du dernier vaccin? / / Est-ce que la carte de vaccination est disponible? Oui Non Inconnu 3. Données cliniques Date d apparition des premiers symptômes : / / Résumé des symptômes Eruption cutanée : Date d apparition : / / Durée : Aspect : maculopapulaire vésiculaire autre :... Fièvre? Oui Non Inconnu Date d apparition : / / Toux? Oui Non Inconnu Rhinite? Oui Non Inconnu Conjonctivite? Oui Non Inconnu Taches de Koplik? Oui Non Inconnu Complications? (précisez).. 20

21 Hospitalisation? Oui Non Durée : Décès? Oui Non Date du décès : / / Cause du décès :. 4. Examens complémentaires A-t-on fait un examen sérologique à la Oui Non Inconnu recherche d AC contre la rougeole? Si oui, à quelle date a-t-on fait le prélèvement et quel est le résultat? Date du 1 e échantillon : / / Date du 2 e échantillon : / / Résultat : Titre IgG : Résultat : Titre IgG :.. (ou AC totaux) (ou AC totaux) Titre IgM : Inconnu Titre IgM :.. Inconnu A-t-on fait une culture virologique? Oui Non Inconnu Si oui, quel type d échantillon a-t-on prélevé, à quelle date et quel est le résultat? Type d échantillon :.. Date : / / Résultat : Négatif Positif Inconnu 5. Sources possibles de l infection Y a-t-il eu contact avec un cas probable de rougeole Oui Non Inconnu 7 à 23 jours avant l apparition de l éruption? Si oui, avec qui? Où? Y a-t-il eu d autres cas de rougeole signalés récemment Oui Non Inconnu dans la région? Est-ce que le patient a résidé à l étranger 7 à 23 jours Oui Non Inconnu avant l apparition de l éruption? Si oui, où? Est-ce que le patient travaille dans le secteur du tourisme Oui Non Inconnu ou a des contacts internationaux fréquents? Y a-t-il un lien épidémiologique avec un cas importé Oui Non Inconnu de rougeole? Si oui, avec qui?. Où? 21

22 6. Classification finale Diagnostic final :. Date : / / Diagnostic clinique Confirmation au laboratoire Lien épidémiologique Virus importé? Oui Non Inconnu Pays d importation : 22

23 Annexe 2 : Activités à charge des communautés 1. Implémentation de la vaccination en routine 2. Campagnes de vaccination supplémentaires, au besoin 3. Suivi de la vaccination (documentation de la couverture vaccinale pour la première et deuxième dose) 4. Surveillance de la rougeole dans les écoles 5. Elaboration de directives pour la prise en charge d épidémies 6. Advocacy et campagnes de sensibilisation 23

24

25 Annexe 3 : Surveillance de la rougeole et Comité Budget ( ) Personnel Epidémiologiste (1/2 FTE, 24 mois) Secrétaire (1/4 FTE, 24 mois) euro euro Frais administratifs (24 mois) Investigation d épidémies Frais généraux (12,5%) euro euro euro TOTAL euro 25

26

27 Annexe 4 : Laboratoire National tel.: fax: Contactperson : R. Vranckx Secretariat: A.-M. Gijsbrechts Robert.Vranckx@iph.fgov.be Scientific Institute of Public Health Department Microbiology date The Section of Virology of the Scientific Institute of Public Health was designated as National Laboratory for Measles. To accomplish this task we need to have the disposal of budget. Proposal of budget 2004: Staff 100,000 (1 college-taught + 1 technician level 2+) Working 50,000 (see reference, diagnostic & research activities) Investments 50,000 (see reference, diagnostic & research activities) National Reference Laboratory for Measles :. Reference Activities: Ensuring the laboratory part of the epidemiological investigations conducted on the initiative of the Minister of Public Health. Collaboration in the evaluation of the vaccination coverage and immunogenicity of the measles vaccination. Continuous collection of rare IgM-positive sera. Follow-up of immunity in the general and selected populations.. Diagnostic & research activities: Carries out serological and serological (IgG & IgM antibodies) and NAT (measles RNA) verification of clinical cases of measles infections. Validation of saliva-technology for measles antibodies (IgG & IgM) detection. Participation in international surveys: ESEN-2 (EU) : standardisation of the immunity evaluation in the general populations. ELSM (UK) : co-ordination of epidemiological surveillance. WHO : evaluation of a proficiency panel for anti-measles(igm) Robert Vranckx Head of Department 27

INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire

INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral

Plus en détail

Objectif 3 : Confinement et certification

Objectif 3 : Confinement et certification Objectif 3 : Confinement et certification CONFINEMENT ET CERTIFICATION Principaux objectifs Indicateurs de réalisation Principales activités Certifier l éradication et le confinement de tous les poliovirus

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares

Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Assurance maladie et accidents Etat 4 mai 2015 Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares

Plus en détail

La planification de l offre médicale en Belgique: les kinésithérapeutes

La planification de l offre médicale en Belgique: les kinésithérapeutes La planification de l offre médicale en Belgique: les kinésithérapeutes ETAT DE LA SITUATION 2007 V1.1 Direction générale Soins de Santé primaires et Gestion de Crise Bruxelles, octobre 2008 1. Les Kinésithérapeutes

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS

URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS 1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION

Plus en détail

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON 20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et

Plus en détail

Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux

Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)

Plus en détail

des banques pour la recherche

des banques pour la recherche ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs

Plus en détail

La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation

La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

CONTRAT DE MOBILITE 2015-2016 POUR LES MOBILITES D ETUDES DU PROGRAMME ERASMUS+ dans les pays participant au programme (mobilités européennes)

CONTRAT DE MOBILITE 2015-2016 POUR LES MOBILITES D ETUDES DU PROGRAMME ERASMUS+ dans les pays participant au programme (mobilités européennes) 1 CONTRAT DE MOBILITE 2015-2016 POUR LES MOBILITES D ETUDES DU PROGRAMME ERASMUS+ dans les pays participant au programme (mobilités européennes) Nom légal complet de l établissement d envoi et code Erasmus

Plus en détail

SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR

SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises

Plus en détail

DEMANDE DE BOURSE Note : Ce formulaire ne peut pas être utilisé pour une demande de stage ou de voyage d étude.

DEMANDE DE BOURSE Note : Ce formulaire ne peut pas être utilisé pour une demande de stage ou de voyage d étude. AGENCE INTERNATIONALE DE L ÉNERGIE ATOMIQUE (AIEA) WAGRAMER STRASSE 5, P.O. Box 100, A-1400 VIENNA (AUSTRIA) TELEPHONE (+43 1) 2600, FACSIMILE: (+43 1) 26007 E-MAIL: Official.Mail@iaea.org, TC WEB SITE:

Plus en détail

Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec

Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec AVIS DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LA RUBÉOLE Comité sur l immunisation du Québec Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec Juin

Plus en détail

AU BURKINA FASO GUIDE TECHNIQUE POUR LA SURVEILLANCE INTEGREE DE LA MALADIE ET LA RIPOSTE (SECTION 1 A 8 : ETAPES DE LA SURVEILLANCE)

AU BURKINA FASO GUIDE TECHNIQUE POUR LA SURVEILLANCE INTEGREE DE LA MALADIE ET LA RIPOSTE (SECTION 1 A 8 : ETAPES DE LA SURVEILLANCE) MINISTERE DE LA SANTE BURKINA FASO ------------- Unité Progrès Justice SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION SANITAIRE ------------- DIRECTION DE LA LUTTE CONTRE LA MALADIE

Plus en détail

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085 Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013

Plus en détail

Quel est le temps de travail des enseignants?

Quel est le temps de travail des enseignants? Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans

Plus en détail

Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients?

Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients? 5 ème journée des référents en antibiothérapie Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients? Philippe Berthelot, Unité d hygiène inter hospitalière, Service des Maladies

Plus en détail

1 ère manche Questions fermées

1 ère manche Questions fermées Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée

Plus en détail

4. LISTE DES PERSONNES VIVANTS À LA MÊME ADRESSE (ADULTES ET ENFANTS)

4. LISTE DES PERSONNES VIVANTS À LA MÊME ADRESSE (ADULTES ET ENFANTS) (Réservé à l administration) No du dossier : Montant accordé : $ DEMANDE D AIDE FINANCIÈRE pour l année scolaire 2015-2016 1. IDENTIFICATION DE L ÉLÈVE Document confidentiel Nom de l élève : Adresse :

Plus en détail

BOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE

BOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE BOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE Professionnels de la restauration rapide : Perception et mise en pratique des recommandations d hygiène pour une maîtrise du risque infectieux

Plus en détail

Appel à Projets. Constitution de bases clinicobiologiques multicentriques à visée nationale en cancérologie. Action 3.1 et 23.2

Appel à Projets. Constitution de bases clinicobiologiques multicentriques à visée nationale en cancérologie. Action 3.1 et 23.2 Appel à Projets Constitution de bases clinicobiologiques multicentriques à visée nationale en cancérologie Action 3.1 et 23.2 Soumission en ligne: http://www.e-cancer.fr/aap/bcb11 Date limite de candidature

Plus en détail

Conférence de Presse 11/09/2013. «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg»

Conférence de Presse 11/09/2013. «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg» Conférence de Presse 11/09/2013 «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg» La Santé Périnatale au Luxembourg Etat des lieux Présentation de deux rapports : Surveillance de la Santé

Plus en détail

2007-2012. L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire

2007-2012. L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire 2007-2012 L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire Cinq ans : petit coup d œil dans le rétro Cher lecteur, chère lectrice, 2012 est une année particulière

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

INSCRIPTION d'un ETUDIANT ETRANGER DIPLOME à l'etranger

INSCRIPTION d'un ETUDIANT ETRANGER DIPLOME à l'etranger Année académique 2015-2016 INSCRIPTION d'un ETUDIANT ETRANGER DIPLOME à l'etranger I. DOCUMENTS A TRANSMETTRE à l'ecam, dès que possible, pour permettre à la Commission d'admission d émettre un avis sur

Plus en détail

La version électronique fait foi

La version électronique fait foi Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.

Plus en détail

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec

Plus en détail

DOSSIER D INSCRIPTION

DOSSIER D INSCRIPTION DOSSIER D INSCRIPTION AUX ACCUEILS PERISCOLAIRES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES AGLY-FENOUILLEDES NAP ALSH DES MERCREDIS APRES-MIDI ALAE RESTAURATION SCOLAIRE Nom de l enfant :... Prénom :... Date de naissance

Plus en détail

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose

Plus en détail

PROPOSITION D ETUDE ETUDE DU MARCHE BELGE DES SEMINAIRES ET CONFERENCES

PROPOSITION D ETUDE ETUDE DU MARCHE BELGE DES SEMINAIRES ET CONFERENCES PROPOSITION D ETUDE ETUDE DU MARCHE BELGE DES SEMINAIRES ET CONFERENCES MAI 2007 TABLE DE MATIERES 1. FICHE TECHNIQUE 3 1.1. Objet 3 1.2. Méthode 3 1.3. Questions et analyses exclusives 3 1.4. Rapport

Plus en détail

Vaccinations et milieu professionnel

Vaccinations et milieu professionnel La place de la vaccination dans la prévention des risques infectieux La prévention des risques infectieux au travail ne se réduit pas à la protection vaccinale. La vaccination s inscrit comme une des mesures

Plus en détail

Fiche de projet pour les institutions publiques

Fiche de projet pour les institutions publiques POLITIQUE SCIENTIFIQUE FEDERALE rue de la Science 8 B-1000 BRUXELLES Tél. 02 238 34 11 Fax 02 230 59 12 www.belspo.be Fiche de projet pour les institutions publiques Cette fiche est remplie par une institution

Plus en détail

La protection de vos données médicales chez l assureur

La protection de vos données médicales chez l assureur La protection de vos données médicales chez l assureur Brochure 2009 2 Questions & Réponses fréquentes FAQ 2009 La communication de données est le point de passage obligé pour le bon fonctionnement de

Plus en détail

Assurances assistances

Assurances assistances Assurances assistances Pour rappel, le volontaire partant en dehors de l'espace économique européen DOIT souscrire à une assurance assistance. Soit vous prenez une assurance de votre choix par vous même,

Plus en détail

SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES

SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Page 1 of 10 SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Le Groupe de travail canadien sur la malnutrition (GTCM) a mené une étude à l échelle nationale de 2010 à 2013 afin de déterminer la prévalence de la malnutrition

Plus en détail

SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES. Numéro 2 (révisé)

SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES. Numéro 2 (révisé) DIFFUSION GÉNÉRALE OCDE/GD(95)66 SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES Numéro 2 (révisé) ORIENTATIONS A L INTENTION DES AUTORITES DE

Plus en détail

ACCRÉDITATION DES CENTRES PRIVÉS ET DES PROGRAMMES DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN HAÏTI. Formulaire de demande d une autorisation de fonctionnement

ACCRÉDITATION DES CENTRES PRIVÉS ET DES PROGRAMMES DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN HAÏTI. Formulaire de demande d une autorisation de fonctionnement ACCRÉDITATION DES CENTRES PRIVÉS ET DES PROGRAMMES DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN HAÏTI Formulaire de demande d une autorisation de fonctionnement Juin 2011 Projet d accompagnement de l INFP dans la révision,

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

CAMELEON JUNIOR CAMELEON Dynamico JUNIOR

CAMELEON JUNIOR CAMELEON Dynamico JUNIOR CAMELEON JUNIOR CAMELEON Dynamico JUNIOR CAMELEON JUNIOR - CAMELEON Dynamico JUNIOR 1 TYPE D ASSURANCE-VIE GARANTIES Assurance-vie combinant un rendement garanti (branche 21) et un rendement lié à des

Plus en détail

BELGIQUE. Septième session de la Conférence des Etats Parties à la Convention relative aux Droits des Personnes handicapées

BELGIQUE. Septième session de la Conférence des Etats Parties à la Convention relative aux Droits des Personnes handicapées BELGIQUE Septième session de la Conférence des Etats Parties à la Convention relative aux Droits des Personnes handicapées Ouverture de la Conférence DECLARATION DE S.E. Mme BENEDICTE FRANKINET AMBASSADEUR

Plus en détail

NOUS SOIGNONS CEUX QUE LE MONDE OUBLIE PEU A PEU

NOUS SOIGNONS CEUX QUE LE MONDE OUBLIE PEU A PEU 1/ Résultats de l enquête sur la couverture vaccinale et l accès aux soins de santé des populations roms sur Bruxelles 2/ Quelques bonnes pratiques: «film» 3/ Piste pour la suite NOUS SOIGNONS CEUX QUE

Plus en détail

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison

Plus en détail

Le CPAS (Centre Public d Action Sociale), qu est-ce que c est?

Le CPAS (Centre Public d Action Sociale), qu est-ce que c est? Le CPAS (Centre Public d Action Sociale), qu est-ce que c est? Version n : 1 Dernière actualisation : 13-10-2006 1) A quoi sert cette fiche? 2) Qu est-ce qu un CPAS (Centre Public d Action Sociale)? 3)

Plus en détail

I Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :

I Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie : ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante

Plus en détail

PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes

PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes But Les professionnels de la santé publique suivent de plus en plus une approche fondée sur des données probantes lorsqu il s agit de planifier,

Plus en détail

Les tests génétiques à des fins médicales

Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l

Plus en détail

Kit Demande de Bourse Etude Erasmus 2014-2016

Kit Demande de Bourse Etude Erasmus 2014-2016 CESI-ERA- 1415 - Informations Programme Erasmus ERASMUS 2014-2016 Période d Etude Note d information aux élèves Les élèves de l ei.cesi et d exia.cesi peuvent bénéficier d une bourse Erasmus : - pour une

Plus en détail

Article I. DÉFINITIONS

Article I. DÉFINITIONS Conditions particulières de vente «Hébergement dédié» ONLINE SAS au 22/10/2012 ENTRE : Le Client, Ci-après dénommé l' «Usager». ET : ONLINE, Société anonyme par actions simplifiée, au capital de 214 410,50

Plus en détail

1. Rappel des engagements - Roadmap actuelle (RM) Action 8

1. Rappel des engagements - Roadmap actuelle (RM) Action 8 ACTUALISATION ROADMAP esante 2013-2018 SESSION N 1 04/05/15 Projet A8 : Instauration d un instrument d évaluation uniforme (BelRAI) 1. Rappel des engagements - Roadmap actuelle (RM) Action 8 En 2013, l

Plus en détail

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault

Plus en détail

Questionnaire Médical

Questionnaire Médical Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant

Plus en détail

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de

Plus en détail

COMMENT PAYEZ-VOUS? COMMENT VOUDRIEZ-VOUS PAYER?

COMMENT PAYEZ-VOUS? COMMENT VOUDRIEZ-VOUS PAYER? COMMENT PAYEZ-VOUS? COMMENT VOUDRIEZ-VOUS PAYER? 2/09/2008-22/10/2008 329 réponses PARTICIPATION Pays DE - Allemagne 55 (16.7%) PL - Pologne 41 (12.5%) DK - Danemark 20 (6.1%) NL - Pays-Bas 18 (5.5%) BE

Plus en détail

Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang

Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du

Plus en détail

Fécondation in vitro avec don d ovocytes

Fécondation in vitro avec don d ovocytes Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com

Plus en détail

CIGNA INTERNATIONAL EXPATRIATE BENEFITS. MBA : Medical Benefits Abroad. (Prestations médicales à l étranger) Documents de voyage importants

CIGNA INTERNATIONAL EXPATRIATE BENEFITS. MBA : Medical Benefits Abroad. (Prestations médicales à l étranger) Documents de voyage importants CIGNA INTERNATIONAL EXPATRIATE BENEFITS MBA : Medical Benefits Abroad (Prestations médicales à l étranger) Documents de voyage importants Carte de contact Téléphone gratuit : +1.800.243.1348 Fax gratuit

Plus en détail

Adresse : Code postal : Ville : Tél :... Web : www... E-mail :.@... Pays Préfixe Numéro tel direct : +... Adresse :... 3 année

Adresse : Code postal : Ville : Tél :... Web : www... E-mail :.@... Pays Préfixe Numéro tel direct : +... Adresse :... 3 année CONTRAT DE STAGE Entre les soussignés: L ENTREPRISE :. Secteur : Agence de voyage Hôtellerie Société d événement Agence MICE Animation Office de tourisme autres :.... Représentée par Mr/Mrs.qui dispose

Plus en détail

Syndicat Libre de la Fonction Publique Secrétariat national

Syndicat Libre de la Fonction Publique Secrétariat national Syndicat Libre de la Fonction Publique Secrétariat national Votre lettre du Vos références Nos références Zaventem - - SLFP-MD-SEPA Date de la poste Objet: Votre demande d affiliation via notre site internet

Plus en détail

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan

Plus en détail

Retraité d un régime français d assurance vieillesse

Retraité d un régime français d assurance vieillesse Retraité d un régime français d assurance vieillesse Bulletin d adhésion Identification N de Sécurité sociale Nom... Nom de jeune fille... Prénoms... Date de naissance... Lieu... Nationalité... Je suis

Plus en détail

LES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1

LES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1 LES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1 1ère Partie : La recherche biomédicale en France Historique Responsabilité et Assurance

Plus en détail

Nous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse

Nous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe

Plus en détail

Charte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon

Charte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon Sommaire 1. PREAMBULE... 2 2. DEFINITIONS... 2 3. CADRE LEGAL... 3 4. ORGANISATION DE LA BACG... 4 5. PRESTATIONS DE LA BACG... 5 6. MODALITES DE CONTRIBUTION ET D UTILISATION DES SERVICES... 5 7. REGLES

Plus en détail

Système d autorisation de mise en circulation de lots du CBER : vue d ensemble du processus actuel

Système d autorisation de mise en circulation de lots du CBER : vue d ensemble du processus actuel Système d autorisation de mise en circulation de lots du CBER : vue d ensemble du processus actuel DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait au système d autorisation de mise en circulation de lots du CBER.

Plus en détail

Les maladies rares sont définies comme étant des affections avec une prévalence de moins d 1 personne sur 2000. La Belgique s est engagée à suivre l

Les maladies rares sont définies comme étant des affections avec une prévalence de moins d 1 personne sur 2000. La Belgique s est engagée à suivre l Les maladies rares sont définies comme étant des affections avec une prévalence de moins d 1 personne sur 2000. La Belgique s est engagée à suivre l appel européen et à développer un plan d action pour

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal

Plus en détail

Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions

Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions TABLE DES MATIERES... 1 INTRODUCTION... 2 1 FINANCEMENT ET FINANCEMENT MINIMUM... 3 1.1 FINANCEMENT... 3 1.2 FINANCEMENT DE PLAN... 3 1.3 FINANCEMENT MÉTHODE

Plus en détail

admission aux urgences

admission aux urgences Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

Programme d assurance-invalidité de courte durée

Programme d assurance-invalidité de courte durée Programme d assurance-invalidité de courte durée Votre trousse de six pages Aperçu Le Programme d assurance-invalidité de courte durée (PAICD) assure un traitement uniforme pour tous les employés lorsqu

Plus en détail

CONTRAT DE MOBILITE POUR LES MOBILITES D ETUDES DU PROGRAMME ERASMUS+

CONTRAT DE MOBILITE POUR LES MOBILITES D ETUDES DU PROGRAMME ERASMUS+ CONTRAT DE MOBILITE POUR LES MOBILITES D ETUDES DU PROGRAMME ERASMUS+ Nom légal complet de l établissement d envoi et code Erasmus si applicable : UNIVERSITE PARIS DAUPHINE FPARIS 009 Adresse (adresse

Plus en détail

La biologie médicale en France : présent et avenir. Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015

La biologie médicale en France : présent et avenir. Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015 La biologie médicale en France : présent et avenir Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015 Les fondamentaux de la biologie médicale en France Une discipline jeune, apparue dans les années

Plus en détail

RAPPORT D'ENQUÊTE SPÉCIALE DU PROTECTEUR DU CITOYEN: Gestion de la crise de listériose associée aux fromages québécois SOMMAIRE

RAPPORT D'ENQUÊTE SPÉCIALE DU PROTECTEUR DU CITOYEN: Gestion de la crise de listériose associée aux fromages québécois SOMMAIRE RAPPORT D'ENQUÊTE SPÉCIALE DU PROTECTEUR DU CITOYEN: Gestion de la crise de listériose associée aux fromages québécois LE CONTEXTE SOMMAIRE Le 19 août 2008, le ministère de la Santé et des Services sociaux

Plus en détail

Ministère de l Éducation Guide de l utilisateur de l Initiative pilote des écoles vertes

Ministère de l Éducation Guide de l utilisateur de l Initiative pilote des écoles vertes Ministère de l Éducation Guide de l utilisateur de l Initiative pilote des écoles vertes Version 1.0 Juin 2010 Table des matières Aperçu... 1 1.0 Accès au module IPÉV avec SIIS... 2 1.1 Page Web du SIIS...

Plus en détail

apparentés), titulaires d un diplôme ou d un titre paramédical européen, souhaitant exercer en région Nord Pasde-Calais et délivrées par les DRJSCS*

apparentés), titulaires d un diplôme ou d un titre paramédical européen, souhaitant exercer en région Nord Pasde-Calais et délivrées par les DRJSCS* L équivalence Les autorisations des diplômes d exercice étrangers en France dans le pour les ressortissants secteur du paramédical européens (ou apparentés), titulaires d un diplôme ou d un titre paramédical

Plus en détail

agrément DES professions paramédicales

agrément DES professions paramédicales agrément DES professions paramédicales LES ERGOTHÉRAPEUTES Table des matières Pourquoi agréer les ergothérapeutes?...3 Un ergothérapeute au sens de la loi : de qui s'agit-il?...4 L'agrément est obligatoire...5

Plus en détail

AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS :

AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : ÉLÉVATION DES PLAFONDS À PARTIR DU 1 ER JANVIER 2002

Plus en détail

Concerne : Protocole Orientation usagers SPF Sécurité sociale et autorité fédérale

Concerne : Protocole Orientation usagers SPF Sécurité sociale et autorité fédérale Service public fédéral Sécurité sociale Service public fédéral Sécurité sociale Place Victor Horta 40 boîte 20 1060 Bruxelles Personne de contact Machteld Ory 02/528.63.18 machteld.ory@minsoc.fed.be Concerne

Plus en détail

Service public fédéral Emploi, Travail et Concertation sociale Direction générale Humanisation du travail. Fonds de l expérience professionnelle

Service public fédéral Emploi, Travail et Concertation sociale Direction générale Humanisation du travail. Fonds de l expérience professionnelle Service public fédéral Emploi, Travail et Concertation sociale Direction générale Humanisation du travail Fonds de l expérience professionnelle Réservé à l administration Réf. du dossier : Date de réception

Plus en détail

9. Les registres d essais cliniques

9. Les registres d essais cliniques 9. Les registres d essais cliniques Les registres d essais thérapeutiques sont des bases de données qui enregistrent les essais thérapeutiques planifiés, en cours de réalisation ou terminés, possédant

Plus en détail

POLITIQUE DE GESTION DES DOCUMENTS ADMINISTRATIFS

POLITIQUE DE GESTION DES DOCUMENTS ADMINISTRATIFS 1. OBJET DE LA POLITIQUE La présente politique a pour objet l application d un ensemble de méthodes et de systèmes portant sur le classement, la conservation et la protection des informations contenues

Plus en détail

Don d organes. Notre pays a une nouvelle loi sur la transplantation depuis juillet 2007.

Don d organes. Notre pays a une nouvelle loi sur la transplantation depuis juillet 2007. Don d organes Donner ses organes et ses tissus à son décès est un geste généreux qui permet de sauver la vie de plusieurs personnes et d en aider de nombreuses autres à recouvrer la santé. La transplantation

Plus en détail

AMMA HOSPI-PLAN Déclaration de sinistre

AMMA HOSPI-PLAN Déclaration de sinistre AMMA HOSPI-PLAN Déclaration de sinistre AMMA ASSURANCES a.m. Association Mutuelle Médicale d Assurances entreprise d assurance mutuelle association d assurance mutuelle à cotisations fixes conformément

Plus en détail

FORTUNA di GENERALI. Fiche info financière assurance-vie pour la branche 23. FORTUNA di GENERALI 1

FORTUNA di GENERALI. Fiche info financière assurance-vie pour la branche 23. FORTUNA di GENERALI 1 FORTUNA di GENERALI 1 TYPE D ASSURANCE-VIE GARANTIES Assurance-vie dont le rendement est lié à des fonds d investissement (branche 23). Fortuna di Generali garantit des prestations en cas de vie ou en

Plus en détail

PROPOSITION D ASSURANCE GAMME DE PRODUITS POUR LE PARTICULIER ET SA FAMILLE

PROPOSITION D ASSURANCE GAMME DE PRODUITS POUR LE PARTICULIER ET SA FAMILLE PROPOSITION D ASSURANCE GAMME DE PRODUITS POUR LE PARTICULIER ET SA FAMILLE Nouvelle affaire Date d effet / / Prise d effet : début au plus tôt à 0.00H. le lendemain de la date du cachet de réception à

Plus en détail

Working Group du Sénégal sur les HIVDR Presenté par Dr. Adama NDIR

Working Group du Sénégal sur les HIVDR Presenté par Dr. Adama NDIR Suivi de l emergence des résistances aux ARV et facteurs associés au Sénégal Working Group du Sénégal sur les HIVDR Presenté par Dr. Adama NDIR HIV Drug Resistance Programme de TARV Résistance Transmise

Plus en détail

Règlement de la Consultation

Règlement de la Consultation MARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES CENTRE HOSPITALIER D UZES Services Economiques Cellule Marchés 1 & 2 Avenue Foch BP 81050 30701 UZES Cedex Tél: 0466637113 TRANSPORTS EN AMBULANCES

Plus en détail

O5 CONSOLIDATION FINANCIÈRE

O5 CONSOLIDATION FINANCIÈRE O5 CONSOLIDATION FINANCIÈRE 5.1. Subventions pour la sécurité sociale Le SPF Sécurité sociale prépare les engagements et la liquidation des subventions de l État pour la sécurité sociale. Nous communiquons

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA INSTRUCTIONS À L ATTENTION DE L ANIMATEUR La boite à images pour la prévention de la FHVE (La Fièvre Ebola est une maladie épidémique, contagieuse

Plus en détail

Facultés: les Facultés, l Ecole des Sciences Humaines et Sociales, l Ecole de Droit, l Institut de Recherche en Sciences et Technologies du Langage.

Facultés: les Facultés, l Ecole des Sciences Humaines et Sociales, l Ecole de Droit, l Institut de Recherche en Sciences et Technologies du Langage. REGLEMENT CONCERNANT LES ETUDIANTS SPORTIFS DE HAUT NIVEAU (DECISION N 9/ XXXI DU CONSEIL D ADMINISTRATION DU 14 JUIN 2010, MODIFIEE PAR DECISION N 40/XII DU CONSEIL D ADMINISTRATION DU 1 ER JUILLET 2013

Plus en détail

Lutte contre les spams par SMS et vocaux. et les prospections téléphoniques non-désirées

Lutte contre les spams par SMS et vocaux. et les prospections téléphoniques non-désirées Lutte contre les spams par SMS et vocaux et les prospections téléphoniques non-désirées Lundi Hervé NOVELLI Secrétaire d Etat chargé du Commerce, de l Artisanat, des Petites et moyennes entreprises, du

Plus en détail

crédit-logement prospectus n 7 le crédit-logement d application à partir du 26 février 2010

crédit-logement prospectus n 7 le crédit-logement d application à partir du 26 février 2010 crédit-logement prospectus n 7 d application à partir du 26 février 2010 le crédit-logement Prospectus Crédits-logement Ce prospectus est applicable à toutes les sociétés appartenant au Groupe AXA, soit

Plus en détail

Fiche info financière pour assurance de vie non fiscale Valable à partir du 23/10/2013

Fiche info financière pour assurance de vie non fiscale Valable à partir du 23/10/2013 Fiche info financière pour assurance de vie non fiscale Valable à partir du 23/10/2013 DL Strategy Type d assurance vie - Assurance vie composée de fonds à taux d intérêt garanti par la compagnie d assurance

Plus en détail