Les abeilles d hiver ou comment bien démarrer la prochaine saison. Dr Therville-Tondreau Gérald Diplômé en apiculture, pathologie apicole Oniris/ENVA

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1 Les abeilles d hiver ou comment bien démarrer la prochaine saison. Dr Therville-Tondreau Gérald Diplômé en apiculture, pathologie apicole Oniris/ENVA

2 Les abeilles d hiver ou comment bien démarrer la prochaine saison. Exposé inspiré de l article «préserver le capital de vie des abeilles» écrit par José Artus et paru dans Abeilles et Cie mai-juin 2010.

3 Les abeilles d hiver ou comment bien démarrer la prochaine saison. La préparation de la nouvelle saison se fait en amont et pas en aval; La future récolte est déterminée par la population d abeilles qui sortira de l hivernage et bien sur, par l état sanitaire de la colonie.

4 Rôle des abeilles d hiver Assurer l hivernage Elever le premier couvain printanier Et butiner

5 Les abeilles d hiver ou comment bien démarrer la prochaine saison.

6 Les abeilles d hiver ou comment bien démarrer la prochaine saison. Leur production est enclenchée par le déclin de la ponte en été( jusqu à moins de 200 œufs par jour) A partir du 15 août, le processus commence Lié aux phéromones du couvain T du nid à couvain (HJ plus élevé à 34 )

7 Les abeilles d hiver Signaux de la colonie, de l environnement, facteurs héréditaires Hormone juvénile dans le sang; peu=abeilles d hiver, beaucoup=abeilles d été Récepteurs dans cerveau, cellules neurosecrétices, neurohormones Métabolisme de l hormone juvénile Hormone juvénile

8 Les abeilles d hiver ou comment réussir la prochaine saison. Pas simplement une ouvrière «hibernante»; il y a des modifications physiologiques. Corps gras+++ Protéines >> dans l hémolymphe et glandes hypopharyngiennes Hormone juvénile--- Vitellogénine+++ ET SURTOUT LONGEVITE

9 RAPPEL DU RÔLE DES ABEILLES Assurer l hivernage D HIVER Elever le premier couvain printanier Et partir butiner

10 Les abeilles d hiver Corps adipeux d une abeille d hiver (à gauche) et d une abeille d été (à droite) (ALP forum no 68 février 2010, Imdorf et al.)

11 Les abeilles d hiver

12 Pourquoi une durée de vie différente? Ces abeilles vivent à «l économie», elles n effectuent pas le cycle des tâches d une abeille d été, leur potentiel de vie n est pas consommé, elles reprennent un cycle «accéléré» à la reprise d élevage. Elles ont un «capital de vie» différent!

13 Durée de vie des abeilles d hiver On parle souvent de 160 à 200 jours Concrètement,quel impact? En supposant une production des abeilles d hiver au 15 septembre (modèle nordique) Le but est d obtenir une superposition des abeilles d hiver,nées après le 15 septembre, avec la nouvelle génération née à partir de.?

14 Durée de vie des abeilles d hiver 160 ou 200 jours, qui vont faire la différence de force des colonies en sortie d hiver, voire leur survie 15 sept 15 février 15 sept 15 avril reprise de ponte? 15 mars

15 Comment préserver le capital de vie de ces abeilles?

16 Les facteurs de risques pour le capital de vie des abeilles d hiver Varroase et maladies associées Par conséquences, traitement inadapté de la varroase. Facteurs zootechniques INDISCOCIABLES Mauvais nourrissement et isolation Maintient ou reprise de ponte tardive Surconsommation hivernale..liste non exhaustive.

17 Varroa et maladies associées

18 Varroa et maladies associées Effet de l infestation sur le poids des abeilles parasitées Déformations morphologiques externes Réduction de l espérance de vie Réduction de la taille des glandes hypopharyngiennes

19 Varroa et maladies associées

20 Varroa et maladies associées Altération des fonctions cérébrales de l abeille avec conséquences sur dérive Modifications comportementales (réduction stade nourrice) Diminution du potentiel reproducteur des faux-bourdons( spz et vol) immunosuppression chez l abeille..

21 Varroa et maladies associées Un vecteur de virus: SBV,ABPV,DWV Le SBV qui en dehors des mortalités larvaires, altère les glandes hypopharyngiennes des nourrices

22 Impact sur nos abeilles d hiver? Qui va élever les futures abeilles d hiver? Réponse: les abeilles nées juste avant elles qui seront leur nourrice; rien de compliqué. Et après ce qu on vient de résumer sur varroa, quelle genre de nourrice va émerger en pleine infestation? Que vont-elles pouvoir élever?

23 Impact sur nos abeilles d hiver? Modélisation du niveau d infestation par l acarien V. destructor des abeilles adultes et du couvain au cours d une année (Martin, 1998a).

24 Impact sur nos abeilles d hiver? Il faut avoir à l esprit le but exact du traitement contre varroa, on ne cherche pas «seulement» à réduire sa population pour préserver les abeilles du moment mais bien à anticiper l élevage de nos futures nourrices, butineuses Il faut traiter à temps et surveiller l efficacité des traitements (ré-infestation! Échec!) Comptage des varroas!!!

25 Le nourrissement

26 Le nourrissement Respecter les besoins en nourriture et les corréler aux cycles de pontes L idée est d apporter la nourriture avec des quantités adaptées à chaque séquence qui suivra la récolte d été pour aboutir à la production des abeilles d hiver avec 5000 abeilles produites après le 15 septembre(modèle nordique)

27 Le nourrissement Deux principes: En post-récolte, on peut stimuler (sirop léger), petites quantités, régulièrement pour restimuler la ponte. Puis phase de complémentation hivernale (sirop lourd) pour compléter les réserves et bloquer la ponte

28 Un bémol: maintient ou reprise de ponte tardive Si les abeilles d hiver doivent élever suite à une ponte tardive, elles vont perdre leurs réserves et entamer leur capital-vie, par contre les abeilles nées tardivement n auront pas nécessairement la physiologie voulue pour l hivernage Ne pas stimuler la ponte tardivement

29 Le nourrissement Pour rappel: entre fin septembre et début mai, les colonies d abeilles consomment 8 à 13 kg de provisions hivernales chiffre TRES théorique! Où? Quelles abeilles? Quel hiver? Les abeilles d une colonie plus petite consomment proportionnellement davantage de provision hivernale La consommation de nourriture est plus élevée aux emplacements plus froids qu aux emplacements plus chauds. A moduler avec durée ex: hivers longs en montagne La consommation printanière (de mars à avril) peut dépasser la consommation hivernale

30 Le nourrissement Pour rappel, 1dm2 de cadre bâti=400g de miel ou 800 cellules de couvain (-10% de vide) et un cadre Dadant=10 dm2

31 Le nourrissement Ne pas oublier l eau et les réserves de pollen Attention aux types de réserves(miellats, bruyères.) Caractéristiques à prendre en compte: faible proportion de polysaccharides (oligo et polysaccharides) exempt de germes (LA) pas fermenté teneur en substances minérales (teneur en cendres) inférieure à 0,1 g / 100 g teneur HMF inférieure à 30 mg/kg exempt de souillures et de colorants ph faiblement acide à neutre (ph 4 7) Provisions cristallisées

32 L isolation

33 L isolation Deux principes: la grappe se chauffe elle-même, elle ne chauffe pas son logement; La consommation n est pas inversement proportionnelle à la T extérieure.

34 L isolation Indispensable dès qu il y a de l élevage, l isolation épargne de l énergie quand les abeilles commencent à s activer La ventilation est importante aussi, eau et gaz carbonique à évacuer, besoin d oxygène mais pas de courant d air (orientation du rucher!!) Le volume doit être adapté à la colonie: pensez à la partition.

35 Surconsommation hivernale A éviter si on veut éviter de se retrouver en manque de provision au printemps, moment où la consommation va vraiment reprendre, il faut élever, bâtir, et il y a encore peu de rentrées Surconsommation via dérangement, T trop élevée, vibrations

36 En bref Capital de vie de nos abeilles d hiver= avenir de la colonie compromis par Varroase et maladies associées Traitement inadapté de la varroase. Mauvais nourrissement et isolation Maintient ou reprise de ponte tardive Surconsommation hivernale..liste non exhaustive.

37 Merci de votre attention

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