Plan pré-établi, organisant la chaîne des secours, destiné à porter secours à de nombreuses victimes en mettant rapidement tous les moyens engagés

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Plan pré-établi, organisant la chaîne des secours, destiné à porter secours à de nombreuses victimes en mettant rapidement tous les moyens engagés"

Transcription

1 LES PLANS DE SECOURS PLAN ROUGE/ORSEC PLAN BLANC PLANS NRBC Dr N.Pansard Dr M. Sebbane B.Debien PLAN ORSEC ORSEC de spécialisation (inondation, pollution maritime ) Utilisé pour des catastrophes à moyens dépassés (CMD) Couteux / intervention ti armée Déclenché par le prêfet départemental 1

2 LE PLAN ROUGE DEFINITION Plan pré-établi, organisant la chaîne des secours, destiné à porter secours à de nombreuses victimes en mettant rapidement tous les moyens engagés sous un même commandement Pour éviter un afflux massif de victime vers l hôpital 2

3 OBJECTIFS Remédier aux conséquences d un accident catastrophique Mise en place rapide des moyens Organisation rationnelle du commandement Emploi de moyens suffisants et adaptés Coordination dans la mise en œuvre de ces moyens CIRCONSTANCES DE DECLENCHEMENT Accidents de transport: routier, maritime, aérien, ferroviaire Accidents géologiques ou météorologiques Accidents sociaux: foule,panique, émeutes, attentats Grands incendies, explosions 3

4 PREFET: PLAN ROUGE DOS POLICE SP SAMU ACCIDENT Les moyens engagés Informations mutuelles Bilan premiers intervenants PREFET Plan rouge Préfecture PC fixe SP SAMU Police DDASS Autres services : gendarmerie DDE 4

5 ORGANISATION GENERALE Le déclenchement du plan rouge entraîne la mise en place de 2 chaînes aux missions distinctes mais complémentaires : la chaîne incendie et secours la chaîne médicale LA CHAINE INCENDIE - SECOURS Elle a pour missions i d effectuer: les reconnaissances la lutte contre le sinistre et ses effets secondaires la recherche, la localisation, la protection des victimes les opérations techniques de dégagements des victimes 5

6 LA CHAINE MEDICALE Elle a pour missions d effectuer : l évaluation du nombre de victimes la médicalisation du relevage et du brancardage des victimes, de l avant vers le PMA le recensement, la catégorisation et la mise en condition avant évacuation des victimes la détermination des priorités d évacuation vers les structures hospitalières PREFET: PLAN ROUGE DOS POLICE SP SAMU COS ACCIDENT 6

7 Commandant des Opérations de Secours LE COS organise les secours coordonne les secours dispose de 2 adjoints ( DSI et DSM) Il porte un chasuble de couleur jaune portant l inscription COS PREFET: PLAN ROUGE DOS COS POLICE SP SAMU DSM DSI ACCIDENT 7

8 LE DSM Directeur des Secours Médicaux prend les décisions d ordre médical médecin SP ou SAMU Il porte un chasuble jaune portant l inscription DSM LE DSI Directeur des secours incendie assure la lutte contre les sinistre et ses effets secondaires participe aux reconnaissances et recherches des victimes et aux premières opérations de ramassage Il porte un chasuble jaune portant l inscription DSI 8

9 PREFET: PLAN ROUGE DOS COS POLICE SP SAMU DSM DSI ACCIDENT Petite noria PMA ACCUEIL TRI SOINS EVACUATION LE PMA implanté dans un local sécurisé : local existant sinon tente proche du sinistre iit et facilement accessible énergie, eau, matériel spécifique nécessaires (lots PSM) possède une entrée-accueil des victimes (secrétariat et tri) zone de traitement divisée en 2 : UA et UR possède une sortie (secrétariat d évacuation) dépôt mortuaire à proximité 9

10 Lot PSM injectés au PMA LES 3 PHASES DU DISPOSITIF Le RAMASSAGE: relevage et transport des victimes au PMA (petite noria) La CATEGORISATION: et la mise en condition des victimes au PMA L EVACUATION: du PMA vers les structures adaptées après régulation parlecentre15 (grande noria) 10

11 LE RAMASSAGE c est le relevage des victimes du lieu de détresse vers le PMA sous la responsabilité du DSI se fait le plus souvent à pied, relevage médicalisé ou non Cette phase est assurée par des personnels équipés de brassards ou chasubles rouges 2ème PHASE : l accueil au PMA 5 phases se succèdent au PMA : le recensement le triage le traitement la régulation la mise en condition avant évacuation Le personnel travaillant au PMA porte des chasubles blanches identifiées PMA 11

12 PMA: accueil Fiche d identification 12

13 CLASSIFICATION DES VICTIMES Urgences absolues (UA) Urgences relatives (UR) Urgences différées (UD) Impliqués indemnes PEC immédiate PEC dans les 6 heures PEC dans les 12 heures PEC par le CUMP Décédésédé PREFET: PLAN ROUGE DOS COS POLICE SP SAMU DSM DSI ACCIDENT Petite noria PMA ACCUEIL TRI HOPITAUX SOINS EVACUATION Grande noria 13

14 3 ème Phase : évacuation Il s agit donc de l évacuation des victimes après mise en condition vers les structures adaptées après régulation par le centre 15. ( GRANDE NORIA) vers les hôpitaux, clinique Le personnel d évacuation porte des chasubles bleues identifiées «évacuation». 14

15 LES MOYENS D EVACUATION les VSAV des services incendies secours les UMH des SMUR (hélicos, ambulances) les moyens de transport sanitaires agréés les moyens de transport non sanitaires les moyens de transport spécialisés (pompes funèbres) PREFET: PLAN ROUGE DOS COS POLICE SP SAMU DSM DSI ACCIDENT Petite noria PMA ACCUEIL TRI Dépôt mortuaire HOPITAUX SOINS EVACUATION CUMP Grande noria 15

16 LE CUMP création des CUMP en France en 1995 suite aux attentats du métro Saint Michel à Paris (CUMP 34 en 1998) objectif : éviter l installation durable et difficilement traitable des névroses posttraumatiques dans l année suivant l événement en favorisant l expression des ressentis par les victimes lors d une PEC précoce 7 CUMP permanents dans les régions à risques CUMP 34 basé à Béziers sous la responsabilité du Dr Galy personnels : psychiatres, psychologues et IDE volontaires LE PLAN BLANC 16

17 Plan Blanc hospitalier Circulaire i Mai 2003: une obligation 1. Un plan blanc pour chaque établissement 2. Prévoyant le risque NRBC Objectifs du Plan Blanc Configurer rapidement l hôpital à recevoir en grand nombre de victimes PMA mutiple depassé Évacuation sauvage 17

18 Les moyens du Plan Blanc Les premières mesures permettent à l hôpital de monter très vite en puissance: i reorganisation de l hôpital maintien du personnel sur place et rappel report des activités programmés ORGANISATION Deux sites dédiés : Deux tris urg. catastrophe / non catastrophe urg. vital / relative Un seul commandement : le directeur Deux PC cellule de crise cellule de gestion et de régulation 18

19 Déclenchement du Plan Blanc SAMU Directeur de l hôpital Plan Blanc Organisation cellule de crise Organisation cellule de régulation reorganisation du CHU Évènement catastrophique PMA Urgences classiques 2ème Tri médical UR 1 er Tri à l entrée de l hôpital Lapeyronie UA Consultations externes d orthopédie Urgences / Réanimation Consultations (Service gynéco- obstétrique) (ADV) Sortie Hospitalisations LAPEYRONIE: hôpital de la catastrophe ADV : hôpital hors catastrophe 19

20 Accueil et tri des victimes de la catastrophe sous l auvent de Lapeyronie Urgences Absolues Service des Urgences Lapeyronie Accueil des UA aux urgences Lapeyronie 20

21 PLANS DE SECOURS S NRBC N R B C NUCLEAIRE RADIOLOGIQUE BACTERIOLOGIQUE CHIMIQUE SPECIFICITE RISQUES NRBC TRES NOMBREUSES VICTIMES : PLAN ROUGE/PLAN BLANC RISQUE DE CONTAMINATION = Organisation spécifique en zones de défense = Plans specifiques Piratox / piratome / biotox annexe NRBC Plan blanc 21

22 Organisation Spécifique 7 zones de défense civile en métropole 11 Laboratoires P3 5 ZONES Outre Mer H Laboratoires Hospitaliers Laboratoires Défenses Laboratoires AFSSA Pasteur Recherche Polynésie Française Antilles Guyane Sud de l Océan Indien De la Nouvelle Calédonie ORGANISATION ZONALE Circulaires: 284 du 03/05/2002, 700 du 26/04/2002, 800 du 23/04/2003, 260 du 28/05/ ZONES DE DEFENSE SANITAIRES : 7 métropole, 5 outre mer LE PREFET DE ZONE /DELEGUE DE ZONE 9 HOPITAUX REFERENTS MONTPELLIER : zone de défense SUD ( Languedoc Roussillon et PACA) hôpital réfèrent CHU de MARSEILLE CONTRÔLE ET COORDONNE PLANS DEPARTEMENTAUX 22

23 Préfet de Zone de défense: coordination de TOUS LES SECOURS Hôpital référent NRBC Conseil Diagnostic Traitement Services spécialisés Laboratoire référent SAMU ZONAL COORDONNE SAMU de la Zone PLANS DE SECOURS PREHOSPITALIER PiRATOX (chimique) / PiRATOME (nucléaire) / BIOTOX (biologique) HOSPITALIER Annexes NRBC du Plan Blanc PRISE EN CHARGE RAPIDE DE NOMBREUSES VICTIMES CONTAMINEES / INFECTEES SANS CONTAMINER L HOPITAL 23

24 CADRE JURIDIQUE Circulaire 284 du 3/5/2002: plan d afflux massif de victimes (blancs hospitaliers ) Circulaire 700 du 26/4/2002 : risque chimique. Circulaire 800 du 23/4/2003 : risque radiologique. Circulaire 260 du 28/5/2003 axes pédagogiques OBJECTIF Prise en charge rapide de tres nombreuses victimes contaminées é ou infecteés 3 PRINCIPES PROTEGER (site/hôpital/personnel/population) DECONTAMINER / ISOLER SOIGNER 24

25 DECLENCHEMENT ACCIDENTS industriels TOULOUSE (usine AZF)/ BHOPAL TCHERNOBYL ACTES TERRORISME TOKYO ( sarin) EPIDEMIE SDRA/GRIPPE AVIAIRE TOKYO SARIN utilisé par un groupe terroriste, métro de TOKYO en 1995, 32 morts pour 5510 victimes dont 1300 hospitalisées ( 50 sévères ), arrivée sur les hôpitaux en 20 min, pas de décontamination sur site, 135 intoxiqués (10%) des intervenants, 43 graves, 110 soignants hospitaliers DESORGANISATION DU SYSTEME 25

26 RISQUE CHIMIQUE PLAN PIRATOX ANNEXE NRBC PLAN BLANC 26

27 ORGANISATION SUR LE SITE SAMU Police SP Zone de Soutien Zone Contrôlée Rassemblement + TRI EVACUATION SAUVAGE ZDL ZD V Zone d Exclusion Chaîne non contaminée Décontamination Grande Noria Petite Noria H TRI PLAN BLANC PMA CHIMIQUE /PIRATOX PROTECTION 1) SITE : POLICE(masque ARFC/TOM) 2) INTERVENANTS : SP (scaphandre) 3) POPULATION: confinement DELIMITATION 3 zones : contrôle du COS Exclusion : RELEVAGE Contrôlee : DECONTAMINATION Soutien (non contaminee) : PMA 27

28 C.M.I.C.R CELLULE MOBILE D INTERVENTION CHIMIQUE RADIOLOGIQUE ( une par département ) DETECTION et IDENTIFICATION de L AGENT CONTAMINANT RESPONSABLE COLMATAGE, MESURE,PERIMETRE DE SECURITE 28

29 MESURES DE PROTECTON COLLECTIVES ALERTE AUX POPULATIONS Sirène de 1 minute 5 s de silence émis 3 fois Respecter les consignes complémentaires Ne pas récupérer les enfants à l école, éviter toute flamme et étincelle HOSPITALIER ANNEXE CHIMIQUE PLAN BLANC 1) PROTECTION maximale hôpitaux ( police) Personnel Personnel (TOM, T3P, TYCHEM,Masque ARFC Population (confinement 2) Décontamination avec TRI 3) Soins ( antidotes/resp.) Décontamination prime sur soins 29

30 1)PROTEGER LES HOPITAUX UNE SEULE ENTREE / SORTIE BARRAGE POLICIER VILLE SMUR SAU NON contaminés PMA Classique Rassemblement Détection Module I Pré-décontamination Antidotes t MEC Décontamination Contrôle Le PMA chimique à l entrée de l hôpital référent / 1 ligne SMUR T3 TOM Module 2 Soins Tri Évacuation Services plan blanc SMUR et SAU tenue légère H 30

31 PROTECTION INTERVENANT TOM : risque vapeur TLD : risque vapeur/liquide 31

32 2)DECONTAMINER TENTE DE DECONTAMINATION S.A.M.U 34 (option du C.H.U Montpellier) Modèle Utilis S.A.M.U 34 32

33 Montage Installation des compartiments couloir de décontamination pour victimes invalides 33

34 Vu de la tente compartimentée (temps de montage 30 minutes) LA CHAINE DE DÉCONTAMINATION CHU (12 pers.) TRI CHIMIQUE / NUCLEAIRE DEPLACEMEN SENS T UNIQUE VALIDE TRI PLAN BLANC / SERVICE SPECIALISE H F.... ACCUEIL DESHABILLAGE DOUCHE NON VALIDE VENTILATION SECHAGE HABILLAGE 34

35 Accueil des victimes contaminées Trie valide et non valide, protection autocontamination (adsorption,masques), antidotes Identification, Récupération des effets personnels Découpe des vêtements sur invalide Élimination de 90 % de la contamination, 98 % après la douche En cas de contamination accidentelle Bac avec solution de décontamination polyvalente pour les ciseaux Gants poudreurs en secours pour contact avec la peau 35

36 Douchage d une victime invalide Lavage Rinçage Lavage des invalides se fait à 2 opérateurs: 6 personnes / heure / douche Séchage de la victime Par tamponnage pas par friction 36

37 Contrôle après douche par dosimètre Puis habillage en tenue à usage unique Trie plan blanc 3)SOIGNER Les Antidotes Cyanokit et Kelocyanore Atropine et contration iode en cp 37

38 Diriger les victimes decontaminées es vers le «Tri Plan Blanc» CUMP en extra-hospitalier 38

39 Tchernobyl Risque nucléaire et radiologique Contamination, Circonstances Irradiations: Contamination et irradiation EVITER QU UNE CONTAMINATON INTERNE 39

40 PLANS RISQUE NUCLEAIRE 1) PREHOSPITALIER PIRATOME PPI(centrale nucléaire) 2) HOSPITALIER ANNEXE Nucléaire et radiologique du plan blanc 1) PREHOSPITALIER: PROTECTION 1) SITE :POLICE 2) INTERVENANTS : SP ( CMIR) 3) POPULATION : calfeutrage/lavage/iode DELIMITATION 3 zones : contrôle du COS Exclusion RELEVAGE Contrôlee : DECONTAMINATION Soutien (non contaminee) : PMA 40

41 PLAN IODE Distribution de comprimés d iode stable afin de réduire les risques sanitaires liés à l inhalation d iode radioactif Plan particulier (PPI) : la population autour des installations nucléaires detient des cp d iode 2)HOSPITALIER ANNEXE NUCLEAIRE PLAN BLANC 1)PROTECTION hôpital : police personnel : Masques ffp2/3 /lunettes/gants/combinaisons /dosimétres) population : calfeutrage / lavage/iode 2)DECONTAMINATION TRIE : SEPARER IRRADIES ET CONTAMINES ( sonde de détection ) contaminé : Décontamination irradié : pas de décontamination 3)SOINS IRRADIE : BILAN /BRULURES CONTAMINE : IODE Soins prime sur décontamination et eviter qu une contamination externe devienne interne 41

42 PROTECTION PERSONNEL combinaison/masque ffp2/ lunette /gants/iode RISQUE BIOLOGIQUE PREHOSPITALIER PLANS BIOTOX/GA/VARIOLE HOSPITALIER ANNEXE biologique plan blanc 42

43 Plan BIOTOX AGENTS INFECTIEUX : - Virus (Grippe, fièvre hémorragique, variole.) - Bactéries ( charbon, peste ) Plan grippe aviaire Situation 1 : Absence de propagation Situation 2 : Epizootie Situation 3 : Cas humains isolés Situation 4 : Cas humains groupés localisés Situation 5 : Larges foyers de cas groupés Situation 6 : Pandémie grippale Situation 7 : Fin de vague pandémique 43

44 Principes d organisation GA Maintien à domicile +++ de 95% des grippés 1. Mobilisation des personnels de santé 2. Organisation pré hospitalière ( quadrillage/renforcement SAMU et permanence de soins) 3. Organisation hospitalière : volet infectieux du Plan Blanc - ANNEXES BIOLOGIQUE PLAN BLANC 1)PROTECTION de l hôpital : TRI: EN AMONT des urgences (collége J.de mail (GA) HOPITAL DEDIE ( MIT /CH St Eloi) du Personnel : simple Masques ( Ffp2), lunettes, charlotte, surblousses, gants de la population 2)ISOLEMENT cas suspects : Maintien à domicile INVS / MG cas probables : Secteur d isolement hospitalier 3)SOINS SOINS : réa resp/antiviraux(tamiflu, relenza)/vaccins 44

45 Organisation du système hospitalier Tri en amont des urgences Retour à domicile Hospitalisation en zone de haute densité virale Structure extra hospitalière Urgences grippe Urgences non grippe Orientation/soins en fonction de la pathologie Accueil TRI Appel centre 15 flux régulé Flux non régulé Hospitalisation en zone de base densité virale Retour à domicile Masques de protection 45

46 Tenue de Protection : Risque Biologique SMUR 34 CHU Montpellier Document Acrobat protection population 1. Limitations des déplacements 2. arrêt des transports collectifs 3. Fermeture des frontières 4. Fermeture des écoles 5. Quarantaines 6. réquisitions 7. Hôpitaux de campagne 46

47 Variole : 5 niveaux d alerte Niveau 1: aucun cas de variole dans le monde Équipe nationale dédiée vaccinée(100pers) Niveau 2 : menace avérée Vaccination des équipes zonales( 600 à 900 pers) Niveau 3 : 1 cas de variole dans le monde(hors France) Vaccination des intervenants de 1ére ligne (4à6 millions de sujets) Niveau 4 : 1 cas de variole en France + tous les sujets contacts dans les 4 jours Niveau 5 : nombreux cas de variole simultanée en France Vaccination de toute la population en 14 jours Nous vous remercions pour votre attention 47

Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES

Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES Dispositions générales ORSEC Dr M.NAHON SAMU75 02/2013 Crises sanitaires, Accidents catastrophiques à effets limités (ACEL), Catastrophes Majeures 2 Crises sanitaires,

Plus en détail

Organisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011

Organisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 Organisation de la gestion de crise à Mayotte Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 SOMMAIRE INTRODUCTION AVANT LA CRISE PENDANT LA CRISE APRES LA CRISE 2 Service interministériel de défense

Plus en détail

Plan ORSEC. du département du Finistère

Plan ORSEC. du département du Finistère PRÉFET DU FINISTÈRE Préfecture du Finistère Cabinet du préfet Service interministériel de défense et de protection civiles Plan ORSEC «secours à nombreuses victimes» du département du Finistère Plan ORSEC

Plus en détail

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des

Plus en détail

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service

Plus en détail

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière

Plus en détail

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau

Plus en détail

P.C.S. Plan Communal de Sauvegarde

P.C.S. Plan Communal de Sauvegarde P.C.S Plan Communal de Sauvegarde Plan Communal de Sauvegarde de CHINON Sommaire CHAPITRE 1 INTRODUCTION FI 1 Préambule FI 2 Objet du PCS et cadre réglementaire FI 3 Arrêté municipal de réalisation du

Plus en détail

Guide d aide à l organisation de l offre de soins en situations sanitaires exceptionnelles

Guide d aide à l organisation de l offre de soins en situations sanitaires exceptionnelles Guide d aide à l organisation de l offre de soins en situations sanitaires exceptionnelles 2014 Page 1 sur 47 Page 2 sur 47 SOMMAIRE I. Présentation du Guide... 5 II. Principes de l organisation de l offre

Plus en détail

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France? 53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées

Plus en détail

PLAN ROUGE VILLE DE MARSEILLE. B.M.P.M. - Service Santé SMUR 0

PLAN ROUGE VILLE DE MARSEILLE. B.M.P.M. - Service Santé SMUR 0 PLAN ROUGE VILLE DE MARSEILLE B.M.P.M. - Service Santé SMUR 0 Généralités Le Plan Rouge : art 3 loi 87-565 du 22/07/1987 relative à «l organisation de la sécurité civile» Sous l autorité du Préfet des

Plus en détail

DISPOSITIONS GENERALES ORSEC LIVRE 2 MODES D ACTION GENERAUX DU DISPOSITIF ORSEC PLAN ORSEC NOMBREUSES VICTIMES

DISPOSITIONS GENERALES ORSEC LIVRE 2 MODES D ACTION GENERAUX DU DISPOSITIF ORSEC PLAN ORSEC NOMBREUSES VICTIMES ORGANISATION DE LA REPONSE DE SECURITE CIVILE TOME I DISPOSITIONS GENERALES LIVRE 2 Plan ORSEC nombreuses victimes Préfecture des Landes Cabinet du Préfet - SIDPC - DISPOSITIONS GENERALES ORSEC LIVRE 2

Plus en détail

ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE

ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE Ministère de la Santé et des Solidarités Direction de l Hospitalisation et de l Organisation des Soins ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE > FICHES DE RECOMMANDATIONS 1 re édition

Plus en détail

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.

Plus en détail

Gestion de la crise sanitaire grippe A

Gestion de la crise sanitaire grippe A Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS ADMINISTRATION

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS ADMINISTRATION ADMINISTRATION ADMINISTRATION GÉNÉRALE MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR, DE L OUTRE-MER ET DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES MINISTÈRE DE LA SANTÉ, DE LA JEUNESSE, DES SPORTS ET DE LA VIE ASSOCIATIVE Secrétariat

Plus en détail

PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE

PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE 2011 PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE SOMMAIRE SOMMAIRE 2 DECLENCHEMENT DU PCS 3.1 ROLE ET OBJECTIFS DU PLAN 3.2 MODALITES DE DECLENCHEMENT DES DIFFERENTES ALERTES

Plus en détail

Planification d urgence et gestion de crise en Belgique

Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Noodplanning en crisisbeheer_fr.indd 1 21/01/2013 10:29:57 Noodplanning en crisisbeheer_fr.indd 2 21/01/2013 10:29:57 Planification d urgence La sécurité

Plus en détail

Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP

Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP 1- Sécurité civile et police administrative L activité opérationnelle des sapeurs pompiers s exercent dans le cadre de la police administrative. La police administrative

Plus en détail

Planification d urgence et gestion de crise en Belgique

Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Planification d urgence La sécurité s'exprime par plusieurs aspects : maintien de la tranquillité et de l'ordre public, sauvegarde de la sécurité

Plus en détail

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6

Plus en détail

Ce document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67).

Ce document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67). Cher Client, Ce document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67). Rattaché au pôle d anesthésie réanimations chirurgicales

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

RETOUR D EXPERIENCE. Exercice Départemental DAREGAL 2012 Milly la forêt DESCRIPTION DE L EXERCICE

RETOUR D EXPERIENCE. Exercice Départemental DAREGAL 2012 Milly la forêt DESCRIPTION DE L EXERCICE Exercice Départemental DAREGAL 22 - SAP - RETEX EXER DESCRIPTION DE L EXERCICE HISTORIQUE Date : 20 janvier 22 Heure de début: 14h00 Heure de fin : 16h30 LIEU Adresse : D 948, OBJECTIFS DE L EXERCICE Pour

Plus en détail

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,

Plus en détail

retour d expérience accident ferroviaire de Brétigny-sur-Orge (91), le 12 juillet 2013 RETOUR D EXPÉRIENCE DE L ACCIDENT...2

retour d expérience accident ferroviaire de Brétigny-sur-Orge (91), le 12 juillet 2013 RETOUR D EXPÉRIENCE DE L ACCIDENT...2 SOMMAIRE RETOUR D EXPÉRIENCE DE L ACCIDENT...................................................2 CHRONOLOGIE DES FAITS...........................................3 ORGANISATION DE LA CHAÎNE DE COMMANDEMENT.............................................4

Plus en détail

Formation obligatoire d adaptation à l emploi

Formation obligatoire d adaptation à l emploi Cycle de formation Praxis Conforme à l arrêté du 16 juillet 2009 Formation obligatoire d adaptation à l emploi Agent de service mortuaire Madame, Monsieur, Depuis l arrêté du 16 juillet 2009 relatif à

Plus en détail

Après les années MEP, les années mis. Pour ma mutuelle, je sais où je vais

Après les années MEP, les années mis. Pour ma mutuelle, je sais où je vais Après les années MEP, les années mis Pour ma mutuelle, je sais où je vais Bienvenue dans vos années mis Vos études sont terminées, il vous faut donc passer de votre mutuelle étudiante à une mutuelle spécialisée

Plus en détail

Présentation générale Underwriting & International Risk Management

Présentation générale Underwriting & International Risk Management Présentation générale Underwriting & International Risk Management Assurances de personne Biens & Responsabilités des Entreprises Production audiovisuelle Schéma général 1 PRESENTATION GENERALE L association

Plus en détail

JORF n 0060 du 12 mars 2009. Texte n 18

JORF n 0060 du 12 mars 2009. Texte n 18 Le 16 mars 2009 JORF n 0060 du 12 mars 2009 Texte n 18 ARRETE Arrêté du 10 février 2009 fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE Contacts presse

DOSSIER DE PRESSE Contacts presse DOSSIER DE PRESSE Contacts presse : Bureau de la communication interministérielle - 02.48.67.34.36 pref-communication@cher.gouv.fr Préfecture du Cher - Place Marcel Plaisant CS 60022-18020 BOURGES Cedex

Plus en détail

1 - Qu est-ce qu une mission, comment déterminer son contenu et qui va les accomplir?

1 - Qu est-ce qu une mission, comment déterminer son contenu et qui va les accomplir? FICHE N 20 : LES MISSIONS DE TERRAIN À ASSURER Pour assurer la mise en œuvre des missions de sauvegarde, il est nécessaire de disposer d intervenants de terrain. En fonction des phénomènes, de la situation,

Plus en détail

Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick)

Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick) Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick) Le danger : propriété ou capacité intrinsèque d un équipement, d une substance, d une méthode de travail, de causer

Plus en détail

Présentation des règles et procédures. environnement nucléaire

Présentation des règles et procédures. environnement nucléaire Présentation des règles et procédures de travail en environnement nucléaire 1 Sommaire Les grandes lignes de la réglementation Le contrôle de l exposition aux rayonnements ionisants Les moyens de protection

Plus en détail

Les services de secours face aux phénomènes météorologiques: La gestion des alertes. Luxembourg, le 11 décembre 2012

Les services de secours face aux phénomènes météorologiques: La gestion des alertes. Luxembourg, le 11 décembre 2012 Les services de secours face aux phénomènes météorologiques: La gestion des alertes Luxembourg, le 11 décembre 2012 Trends in global disasters Wild fire 4% Slide 5% Floods 32% World distribution of disasters

Plus en détail

«CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS CEMLOC SERVICES Version 2 Page 1 sur 10

«CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS CEMLOC SERVICES Version 2 Page 1 sur 10 CEMLOC Services 4 Avenue des Roses Zac des petits Carreaux 94380 - Bonneuil sur Marne Téléphone : 09 67 46 51 09 - Fax : 01 43 99 51 09 www.cemloc-services.fr «CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS

Plus en détail

Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP

Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de

Plus en détail

URGENCES. Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels.

URGENCES. Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels. Chapitre 113 Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels I. MONSEUR, N. LUBINSKI, V. DUPONT, Dr SICOT, C. MINNE, Dr GOLDSTEIN 1 re

Plus en détail

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences

Plus en détail

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application : 1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...

Plus en détail

«Une heure pour savoir»

«Une heure pour savoir» PLAN CYCLONE. ORGANISATION DÉPARTEMENTALE ET ZONALE DE LA GESTION DE CRISE «Une heure pour savoir» LE 8 JUILLET 2011 E.FONTANILLE/ J. VINCENT Les CYCLONES aux ANTILLES Depuis 1986 le Cyclone (en Grec Dieu

Plus en détail

Conseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation

Conseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation Conseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation automatisée externe par le public Conférence d Experts Coordonnateur : Pr P

Plus en détail

CHAPITRE 10 LES BRANCARDAGES ET LE TRANSPORT

CHAPITRE 10 LES BRANCARDAGES ET LE TRANSPORT CHAPITRE 10 LES BRANCARDAGES ET LE TRANSPORT Objectifs Indiquer les positions d une victime sur un brancard Appliquer les règles de base d un brancardage Installer dans un véhicule de premiers secours

Plus en détail

ACCIDENT TECHNOLOGIQUE

ACCIDENT TECHNOLOGIQUE EXERCICE ACCIDENT TECHNOLOGIQUE EN ZONE INDUSTRIELLE SUD À CHALON-SUR-SAONE RISQUE CHIMIQUE ET TOXIQUE le 14 novembre 2012 DOSSIER DE PRESSE SOMMAIRE 1 - Communiqué de presse 2 - Description de l'évènement

Plus en détail

Secteur Protégé d Hématologie

Secteur Protégé d Hématologie INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de

Plus en détail

3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires

3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires FICHE-MESURE Plan pandémie grippale 3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires Validation : 13/10/2011 Ministère-pilote et rédacteur : Ministère chargé de l intérieur Ministères

Plus en détail

PPMS. Ce recueil de tableaux vous guidera dans la conception et dans la présentation du PPMS de l établissement. Plan Particulier de Mise en Sureté

PPMS. Ce recueil de tableaux vous guidera dans la conception et dans la présentation du PPMS de l établissement. Plan Particulier de Mise en Sureté PPMS Ce recueil de tableaux vous guidera dans la conception et dans la présentation du PPMS de l établissement Page 1 1 IDENTIFICATION DE L ETABLISSEMENT Année de réalisation du PPMS Nom de l établissement

Plus en détail

GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND

GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas

Plus en détail

La régulation des transports sanitaires par les SAMU

La régulation des transports sanitaires par les SAMU La régulation des transports sanitaires par les SAMU DHOS SDO Bureau O1 1 L organisation des transports sanitaires urgents : une mission permanente Principe : Les transports sanitaires sont une mission

Plus en détail

Communauté de Communes du Pays de Livarot

Communauté de Communes du Pays de Livarot Rue des Frères Lumière 14120 MONDEVILLE 02 31 35 64 35 02 31 35 64 36 Email : contact@inea-be.com Communauté de Communes du Pays de Livarot Aménagement de l ancienne usine Leroy en un Pôle de Santé Libéral

Plus en détail

ACCIDENT NUCLÉAIRE OU RADIOLOGIQUE MAJEUR

ACCIDENT NUCLÉAIRE OU RADIOLOGIQUE MAJEUR Premier ministre PLAN NATIONAL DE RÉPONSE ACCIDENT NUCLÉAIRE OU RADIOLOGIQUE MAJEUR NUMÉRO 200/SGDSN/PSE/PSN - ÉDITION FÉVRIER 2014 2 PRÉFACE L a France a choisi d exploiter les technologies nucléaires

Plus en détail

Transport des victimes d accidents par les taxis de Ho Chi Minh ville

Transport des victimes d accidents par les taxis de Ho Chi Minh ville Transport des victimes d accidents par les taxis de Ho Chi Minh ville Dr David TRAN Afravietmur Association Franco-Vietnamienne de médecine d urgence Assises de la coopération franco-vietnamienne Brest

Plus en détail

DEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR

DEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR DEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR H e a r t S t a r t ( Philips ) Démonstration réalisée par les Docteurs Alain LIAGRE & Thierry LEDANT Membres du Conseil Syndical DOMAINE DE SAINT PIERRE

Plus en détail

Les procédures médico-légales d hospitalisation

Les procédures médico-légales d hospitalisation Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience

Plus en détail

P.A.R.M. (Permanencier Auxiliaire de Régulation Médicale) Quelle est cette profession de santé Méconnue et non reconnue?

P.A.R.M. (Permanencier Auxiliaire de Régulation Médicale) Quelle est cette profession de santé Méconnue et non reconnue? P.A.R.M. (Permanencier Auxiliaire de Régulation Médicale) Quelle est cette profession de santé Méconnue et non reconnue? Référentiel métier de PARM Vr 4 - Mai 2007 Page 1 sur 9 Ce document a été rédigé

Plus en détail

STOP à la Transmission des microorganismes!

STOP à la Transmission des microorganismes! STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions

Plus en détail

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON 20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)

Plus en détail

Mieux comprendre la protection sociale

Mieux comprendre la protection sociale Mieux comprendre la protection sociale www.cnrs.fr Direction des ressources humaines Service du développement social Septembre 2010 1 - En préambule Premier volet : ma protection sociale en quelques lignes

Plus en détail

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics) Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)

Plus en détail

Règlement Intérieur. Date : 6 novembre 2014. Code documentaire : ORU.REGLINT.ENR006

Règlement Intérieur. Date : 6 novembre 2014. Code documentaire : ORU.REGLINT.ENR006 Règlement Intérieur Date : 6 novembre 2014 Code documentaire : ORU.REGLINT.ENR006 OBJECTIFS - FINALITES DE L ORU-MiP Article 1. : Conformément à sa convention constitutive, la mission principale du GIP

Plus en détail

Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire

Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire Référence : DEP-Bordeaux-0538-2009 Monsieur le directeur du CNPE de Civaux BP n 64 86320 CIVAUX Bordeaux, le 15 avril 2009 Objet : Réf. : Contrôle des installations nucléaires de base Centre nucléaire

Plus en détail

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret

Plus en détail

VILLE D ASNIERES SUR SEINE PLAN DE CONTINUITE DE L ACTIVITE DES SERVICES MUNICIPAUX - PANDEMIE GRIPPALE

VILLE D ASNIERES SUR SEINE PLAN DE CONTINUITE DE L ACTIVITE DES SERVICES MUNICIPAUX - PANDEMIE GRIPPALE VILLE D ASNIERES SUR SEINE PLAN DE CONTINUITE DE L ACTIVITE DES SERVICES MUNICIPAUX - PANDEMIE GRIPPALE A. EQUIPE PANDEMIE... 1 B. ORGANIGRAMME DEGRADE... 2 C. GESTION DES SERVICES DELEGUES... 4 D. FORMATION

Plus en détail

Conseils aux voyageurs

Conseils aux voyageurs Conseils aux voyageurs Informations issues du site du Ministère des Affaires Etrangères en France : http://www.diplomatie.gouv.fr/ Entrée / Séjour : Un visa d entrée est nécessaire pour les ressortissants

Plus en détail

ÉCOLE DES HAUTES ÉTUDES EN SCIENCES SOCIALES

ÉCOLE DES HAUTES ÉTUDES EN SCIENCES SOCIALES LE PRESIDENT FW/GB/ 149-2009 PLAN D ORGANISATIONET DE CONTINUITE DES ACTIVITES DE L ECOLE DES HAUTES ETUDES EN SCIENCES SOCIALES EN CAS DE PANDEMIE GRIPPALE (VERSION DU 30 JUILLET 2009) L objectif prioritaire

Plus en détail

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail. Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité

Plus en détail

GAREAT. Documents annexes

GAREAT. Documents annexes GAREAT Documents annexes Qu est ce que le GAREAT? Le GAREAT est un Groupement d Intérêt Economique dont l objet est la mise en place d un programme de réassurance au nom et pour le compte de ses adhérents

Plus en détail

UNIVERSITE DES ANTILLES ET DE LA GUYANE

UNIVERSITE DES ANTILLES ET DE LA GUYANE UNIVERSITE DES ANTILLES ET DE LA GUYANE UFR DES SCIENCES MEDICALES FACULTE DE MEDECINE Hyacinthe BASTARAUD Campus Universitaire de Fouillole B.P. 145 97154 Pointe-à-Pitre Cedex Tél. : 0590 48 33 33 Fax

Plus en détail

FICHES FORMATIONS 2013

FICHES FORMATIONS 2013 FICHES FORMATIONS 2013 Comment faire? Pour visualiser les formations qui vous intéresse, il vous suffit de cliquer sur le nom de la formation lorsqu une main apparait. Vous aurez la possibilité de revenir

Plus en détail

ORGANISATION DU SECOURS A PERSONNE ET DE L AIDE MEDICALE URGENTE

ORGANISATION DU SECOURS A PERSONNE ET DE L AIDE MEDICALE URGENTE ORGANISATION DU SECOURS A PERSONNE ET DE L AIDE MEDICALE URGENTE REFERENTIEL COMMUN Élaboré par le comité quadripartite associant les représentants des structures de médecine d urgence et des services

Plus en détail

Ken Bell s Sommaire des Abréviations

Ken Bell s Sommaire des Abréviations Ken Bell s Sommaire des Abréviations AUG: CSAM: DSA: PUI: RCP: RIA: SCR: Arrêt Urgence Général CERN Safety Alarm Monitoring Défibrillateur Semi-Automatique Plan Urgence D Intervention Réanimation Cardio-Pulmonaire

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

Sommaire... 2. Le mot du Maire... 3. Glossaire... 4. Pour en savoir plus... 4. Qu'est-ce qu'un risque majeur... 5

Sommaire... 2. Le mot du Maire... 3. Glossaire... 4. Pour en savoir plus... 4. Qu'est-ce qu'un risque majeur... 5 Sommaire Sommaire... 2 Le mot du Maire... 3 Glossaire... 4 Pour en savoir plus... 4 Qu'est-ce qu'un risque majeur... 5 Les risques naturels... 6 Les inondations... 6 Les phénomènes météorologiques... 7

Plus en détail

dmt Organisation des urgences dans l entreprise Sauvetage-secourisme du travail (89 TC 85)

dmt Organisation des urgences dans l entreprise Sauvetage-secourisme du travail (89 TC 85) dmt dossiers médico-techniques Organisation des urgences dans l entreprise Sauvetage-secourisme du travail (89 TC 85) Le défibrillateur semi-automatique : place dans la chaîne des secours et intérêt dans

Plus en détail

Le risque inondation : comment s en protéger?

Le risque inondation : comment s en protéger? Franck Boston PRÉVENTION ET SÉCURITÉ Le risque inondation : comment s en protéger? RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Liberté Égalité Fraternité Le principal risque naturel susceptible d affecter l Île-de-France est

Plus en détail

Plateforme Lorraine de services mutualisés pour l échange et le partage de données médicales 16/02/2009

Plateforme Lorraine de services mutualisés pour l échange et le partage de données médicales 16/02/2009 Plateforme Lorraine de services mutualisés pour l échange et le partage de données médicales 16/02/2009 1 Le GCS Télésanté Lorraine La télésanté en lorraine Groupement de Coopération Sanitaire créé en

Plus en détail

Principaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d emplois correspondant au poste, la durée de travail, etc

Principaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d emplois correspondant au poste, la durée de travail, etc MODELE DE FICHE DE POSTE INTITULE DU POSTE : AGENT POLYVALENT DES SERVICES TECHNIQUES OBJECTIF PRINCIPAL DU POSTE : Principaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d

Plus en détail

La Garantie Santé. Enfin une complémentaire santé qui répond à vos attentes. Mutuelle soumise aux dispositions du livre II du Code de la Mutualité,

La Garantie Santé. Enfin une complémentaire santé qui répond à vos attentes. Mutuelle soumise aux dispositions du livre II du Code de la Mutualité, Enfin une complémentaire santé qui répond à vos attentes La Garantie Santé Mutuelle soumise aux dispositions du livre II du Code de la Mutualité, immatriculée au registre national des mutuelles sous le

Plus en détail

Document unique d évaluation des risques professionnels

Document unique d évaluation des risques professionnels Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires

Plus en détail

Un poste central de sécurité, pour quoi faire? XVII e rencontres nationales du GP Sup Clermont-Ferrand - 24 et 25 juin 2004

Un poste central de sécurité, pour quoi faire? XVII e rencontres nationales du GP Sup Clermont-Ferrand - 24 et 25 juin 2004 Un poste central de sécurité, pour quoi faire? XVII e rencontres nationales du GP Sup Clermont-Ferrand - 24 et 25 juin 2004 Présentation du site Rénovation d un site industriel de la Manufacture des Tabacs

Plus en détail

alarme incendie (feu non maîtrisable)

alarme incendie (feu non maîtrisable) INCIDENT N 1 alarme incendie (feu non maîtrisable) Vérification des matériels et systèmes de à disposition au - système de détection incendie (test lampe, signal sonore) - centrale d alarme intrusion(état

Plus en détail

Focus Assistance 2014

Focus Assistance 2014 Focus Assistance 2014 SOCIETE D ASSURANCE MUTUELLE LES SERVICES D ASSISTANCE INTÉGRÉS À VOS CONTRATS D ASSURANCES SOMMAIRE Assistance Route Tranquille... 3 Assistance Automobile... 4-5 Assistance Vie Tranquille...

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

La prise en charge. de votre affection de longue durée

La prise en charge. de votre affection de longue durée La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin

Plus en détail

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1. Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...

Plus en détail

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février

Plus en détail

Contexte de la chimiothérapie à domicile

Contexte de la chimiothérapie à domicile Marie LAFFETAS / Stéphanie COUDERT Toulouse Le 05 octobre 2012 Contexte de la chimiothérapie à domicile Problématique et objectifs Méthode et résultats de l étude Discussion et conclusion 2 1 Développement

Plus en détail

L hébergement d urgence en Loire-Atlantique

L hébergement d urgence en Loire-Atlantique 18/02/2015 Dossier de presse L hébergement d urgence en Loire-Atlantique M. Henri-Michel COMET, préfet de la région Pays de la Loire, préfet de Loire-Atlantique a rencontré le mercredi 18 février 2015

Plus en détail

CRITERES DE REMPLACEMENT

CRITERES DE REMPLACEMENT ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires

Plus en détail

de Paris La Brigade de Sapeurs-Pompiers Depuis toujours, Ses missions :

de Paris La Brigade de Sapeurs-Pompiers Depuis toujours, Ses missions : REportage La Brigade de Sapeurs-Pompiers Depuis toujours, Au Vieux Campeur collabore avec les acteurs français du secourisme et du sauvetage : Gendarmerie Nationale, Sécurité Civile, CRS de montagne, Sapeurs-pompiers

Plus en détail

Convention d assistance 921.147. FORMULE 2 Véhicule de collection Sans franchise kilométrique

Convention d assistance 921.147. FORMULE 2 Véhicule de collection Sans franchise kilométrique Convention d assistance 921.147 FORMULE 2 Véhicule de collection Sans franchise kilométrique Les prestations de la convention d'assistance souscrite par TEA CEREDE auprès de Fragonard Assurances (Société

Plus en détail

FICHE METIER et PASSERELLES AGENT POLYVALENT DE RESTAURATION

FICHE METIER et PASSERELLES AGENT POLYVALENT DE RESTAURATION FICHE METIER et PASSERELLES AGENT POLYVALENT DE RESTAURATION Domaines : Services à la population Sous domaine : Restauration collective Code fiche du répertoire des métiers territoriaux : 11/D/24 AGENT

Plus en détail

Service Privé d ambulances 2010

Service Privé d ambulances 2010 FICHE TECHNIQUE Intitulé du métier ou de l activité : Service Privé d ambulances Codification NAA : 85.16 Codification ONS : 85.17 Codification Agriculture : / Codification Artisanat : / Codification CNRC

Plus en détail

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

LA PREVENTION DES RISQUES MAJEURS LE DICRIM

LA PREVENTION DES RISQUES MAJEURS LE DICRIM LA PREVENTION DES RISQUES MAJEURS LE DICRIM Madame, Monsieur, Les Pianais vivent dans un environnement naturel de qualité qui ne doit pas nous faire oublier les risques auxquels nous pouvons être confrontés.

Plus en détail

Défibrillation et Grand Public. Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline

Défibrillation et Grand Public. Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline Défibrillation et Grand Public Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline Quelques chiffres (1) 50 à 60 000 décès en France par mort subite dont la moitié font suite à l apparition d une tachycardie

Plus en détail

Emis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014

Emis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014 Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.

Plus en détail