CLINIQUE & PSYCHOPATHOLOGIE DU DEUIL
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- Jérémie Adrien Roux
- il y a 7 ans
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1 Mme Millet Sciences Humaines CLINIQUE & PSYCHOPATHOLOGIE DU DEUIL I)Bases conceptuelles et modèles théoriques A)Le modèle psychanalytique 1)Définition du deuil 2)Le deuil : une expérience de perte 3)Le deuil : une expérience de souffrance 4)Le deuil : une occasion de changement, voire de croissance II)Le deuil normal et ses étapes A)Les premiers moments B)L'état central : l'état dépressif III)Les deuils pathologiques et «anormaux» A)Critères qui peuvent entraver le processus de guérison B)Deuils compliqués : approche psychopathologique C)La mélancolie : approche psychanalytique IV)Quelques moyens de faciliter le travail de deuil : les intervetions possibles du soignant V)La santé des soignants VI)Quelques conseils que le soignant peut suivre pour vivre sainement ses deuils :
2 I)Bases conceptuelles et modèles théoriques Le modèle psychanalytique Le modèle humaniste A)Le modèle psychanalytique «Le deuil est régulièrement la réaction à la perte d'une personne aimée ou d'une abstraction mise à sa place, la patrie, la liberté, un idéal etc. L'action des mêmes événements provoque chez de nombreuses personne, pour lesquelles nous soupçonnons de ce fait l'existence d'une prédisposition morbide, une mélancolie au lieu du deuil. Il est aussi remarquable qu'il ne nous vient jamais à l'idée de considérer le deuil comme un état pathologique et d'en confier le traitement à un médecin, bien qu'il s'écarte sérieusement du comportement normal. Nous comptons bien qu'il sera surmonté après un laps de temps et nous considérons qu'il serait inopportun et même nuisible de la perturber.» Au moment de la perte il faut se détacher de la personne, s'en désinvestir. Freud, 1917 Tout deuil représente un traumatisme psychique qui sidère les défenses habituelles de ceux qui y sont confrontés. Il s'agit d'une perte définitive qui entraîne un sentiment intense de manque (et non d'une simple séparation qui permet de retrouver «l'objet», en l'occurrence, la personne perdue). Le «travail de deuil» représente un rééquilibrage progressif qui permet à chacun de se détacher de l'objet perdu et de réinvestir de nouveaux «objets» dans la vie présente. Le processus est lent (pas moins d'une année en général) et représente un véritable travail psychique qui vise à sortir de la contradiction douloureuse provoquée par le décès. B)Le modèle humaniste
3 1)Définition du deuil Le deuil : expérience de perte, de souffrance et une occasion de changement voire de croissance. Le deuil recouvre plusieurs sens. Thomas (1988, p 92-93), mentionne : (...) dans l'expression être un deuil, il s'agit de la situation, du statut de quelqu'un qui vient de perdre un être cher. Dans faire son deuil, la formule désigne l'ensemble des états affectifs qui vit l'endeuillé ; c'est ce que les psychanalystes nomment le «travail de deuil» au cours duquel le sujet fini par passer progressivement de la dépression qui l'accable pour retrouver le goût de vivre.» 2)Le deuil : une expérience de perte Il est important de comprendre, que pour qu'il y ait deuil, il faut qu'il y ait reconnaissance de la perte et que, de plus, l'endeuillé est la personne la plus en mesure de saisir toute l'importance de cette perte à la lumière de la signification subjective qu'elle accorde à «l'objet de la perte». 3)Le deuil : une expérience de souffrance La perte d'un être aimé ou toute autre perte importante engendre une souffrance considérable, souffrance ressentie ou non à laquelle la personne endeuillée ne peut se soustraite sans risque de séquelles importantes. 4)Le deuil : une occasion de changement, voire de croissance L'héritage peut se définir comme l'ultime étape du deuil où s'effectue la récupération des projections de la personne aimée. C'est en quelque sorte se réapproprier l'amour, l'énergie, les qualités et les talents qu'on avait déposés dans l'autre. L'héritage c'est le véritable élément de croissance, il signe l'actualisation du potentiel de la personne. Autrement dit, vous devrez répondre aux questions suivantes : Que représente cette perte pour la personne?
4 Quelle place l'endeuillé laisse t'il à l'expression de la souffrance et sous quelles formes se manifeste t'elle? Comment progresse chez l'endeuillé le travail de deuil et comment assume t'il les tâches qui y sont associées? Qu'apprend-il de lui dans cette expérience et qu'en retire-t-il? II)Le deuil normal et ses étapes Les trois stades du deuil Les premiers moments L'étape centrale : l'état dépressif La fin du deuil : la période de rétablissement A)Les premiers moments *La sidération, l'abattement, la stupéfaction, l'engourdissement et le refus. Déni de la réalité. /! \ La décharge émotionnelle : pleurs, larmes qui succèdent à l'annonce et au choc. *Des réactions physiques, cognitives et comportementales et émotives diverses. Somatiques & psychiques : -eczéma -maux de ventre -maux de dos -migraines -troubles du sommeil -manque d'énergie -ralentissement moteur Cognitives :
5 -la conscience générale de la personne va être altérée -personne suspendue -sentiment de retrait par rapport aux autres -sentiment de dépersonnalisation, -préoccupation intense pour la personne décédée pouvant aller jusqu'à des ruminations -difficultés à se concentrer -incompréhension -refus de croire à la perte -confusion -pas d'organisation -troubles de la mémoire -vision de la personne décédée Comportementales : -besoin de s'occuper sans être productif -difficulté à trouver le sommeil -rêves de la personne -retrait social -colère contre l'entourage mais en fait contre soi même ou contre la vie Réactions émotives : plus intenses et plus longues -choc -décharge émotionnelle -la personne est submergée par un flot d'émotion : peur, tristesse, solitude, abandon, colère, culpabilité -impuissance face à cette perte : difficile à gérer. Cela demande un lâcher prise. -frustration de ne rien pouvoir changer B)L'état central : l'état dépressif *Dépression, douleur et souffrance Ralentissement moteur et psychique, perte de plaisir, d'envie à faire les choses. Le deuil devient de plus en plus réel. Il y a une souffrance psychique.
6 *C'est un travail de détachement progressif. La personne se remémore tous les souvenirs attachés à la personne, et il faut les confronter à la réalité de la perte, ce qui permet le détachement. L'idée de la disparition soit intégrée à ce moment là. Souvent la différence entre la dépression et le deuil est qu'il y a une mésestime de soi dans la dépression que l'on ne retrouve pas dans le deuil. S il y a un sentiment d'auto reproche c'est de la mélancolie (deuil pathologique). La dépression n'est pas toujours liée à une perte donc elle est parfois dans le deuil pathologique et il n'y a pas de reproches. C)La fin du deuil : la période de rétablissement Après avoir reconnu la réalité de la perte il faut en faire le deuil, lâcher prise. L'endeuillé va devoir accepter la possibilité d'investir à nouveau de nouveaux objets, de faire des projets en l'absence de l'autre. La douleur va s'apaiser, de nouveaux investissements vont apparaître, la personne retrouve goût à la vie. La fin du deuil se manifeste par la capacité d'aimer à nouveau et à créer de nouveaux liens objectaux (lien avec les objets). Ainsi le questionnement du pourquoi va passer au comment (comment vivre sans l'autre? Comment retrouver du travail?...) 5 critères de récupération du deuil : Le retour de l'aptitude et de l'énergie pour la vie quotidienne, permettant de fonctionner dans le présent. Dans le cas contraire la vie paraît vide et sans signification. Le confort psychique sans douleur et sans détresse. Il n'y a plus de flashback, plus de souvenirs douloureux interférant avec les cognitions et les actions actuelles. Une aptitude à anticiper et faire l'expérience des gratifications et des plaisirs. Les événements sont la plupart redevenus positifs et enrichissants. Les projections dans le futur sont faites de prévisions positives avec planification de projets.
7 Une adaptation correcte des rôles sociaux. Le deuil va supposer un travail psychique qui comporte certaines expériences internes que l'on peut accompagner, reconnaître et stimuler mais dont on ne peut pas forcer la présence. III)Les deuils pathologiques et «anormaux» A)Critères qui peuvent entraver le processus de guérison L'impossibilité de donner un sens à la perte. L'ambivalence empêchant l'acceptation et le détachement, avec persistance de la culpabilité, du remord, de la confusion. L'estime de soi, si elle était mauvaise et dépendante de la figure d'attachement qui assurait la sécurité émotionnelle peut obliger au maintien imaginaire de cette relation rendant alors le deuil impossible. Un sentiment de responsabilité, d'engagement, de devoir de protection à l'endroit de cette figure d'attachement, peut imposer le maintien d'une loyauté persistante vis-à-vis du défunt. La loyauté est quelque chose qu'on retrouve souvent. («ma vie n'a plus de sens et je n'ai pas le droit d'y redonner un sens puisque la personne n'est plus là») Le deuil est une situation qui exige un effort d'adaptation ou changement. La personne n'arrive pas à s'adapter B)Deuils compliqués : approche psychopathologique Le deuil inhibé Impossibilité à parler complètement du deuil, à exprimer le chagrin, à extérioriser ses affectes (émotions), de pleurer et de verbaliser la perte. Le deuil prolongé C'est quand ça dure plus d'un an et quand sont gravement réactiver les émotions aux moments d'anniversaire.
8 Culpabilité, reproche envers soi même, registre d'ordre dépressif, tentative de prolonger le lien avec le défunt. Le deuil inachevé Il se réactive plusieurs années après. Il ne se fait pas selon les trois étapes normales. La personne ne pleure pas, ne dénie pas la perte. Et donc suite à une autre perte il y a réactivation du premier deuil non réalisé et la personne tombe dans un état de dépression profonde où les deux deuils se mélangent et entraînent de la confusion chez la personne. C)La mélancolie : approche psychanalytique Le facteur déclenchant est souvent un choc émotionnel (deuil, perte d'objet d'amour). Sentiment de culpabilité et de honte. Le sujet retire l'investissement de l'objet réel et opère une identification à l'objet perdu. Pour Freud le deuil consiste à un désinvestissement de l'objet, retrait de la libido sur le moi par le biais de la remémoration. Le deuil prend une tournure pathologique quand il va y avoir déni de la réalité. Le sujet va s'identifier au défunt. A la différence du deuil, le sujet aura une idée fantasme de mort sur le sujet d'amour. Ces fantasmes auraient trouvé un aboutissement dans la réalité. Le mélancolique pourra exprimer des sentiments de sentence. Sentiment de honte, d'auto accusation, de reproche. Il y a des tentatives de suicides. La personne met en place un scénario sur son suicide. La plus fréquente est la mélancolie délirante. Le mélancolique dit qu'il na plus de capacités à aimer. IV)Quelques moyens de faciliter le travail de deuil : les interventions possibles du soignant Aider le survivant à actualiser la perte
9 Aider le survivant à reconnaître ses émotions et à les exprimer. Aider l'endeuillé à vivre sans la personne décédée Donner le temps de vivre le deuil Interpréter les comportements normaux, procurer un soutien continu Poser des questions à la personne en lui demandant -ce que représentait la personne décédée pour elle -l'événement de la mort -si la personne avait de l'entourage - comment a-t-elle apprit la mort -qui l'en a informé... Comment l'endeuillé a t'il composé avec la perte? Savoir si la personne à un entourage afin de se confier, si quelqu'un partage les mêmes émotions. V)La santé des soignants Je citerai ici Miron et Savard (1990) : Il faut ici le redire... à la mort. VI)Quelques conseils que le soignant peut suivre pour vivre sainement ses deuils : Prêter attention à soi Boucler certaines boucles d'expériences Clarifier ce que signifie aider une personne sur le point de mourir ou atteinte de maladie chronique Échanger avec ses collègues CONCLUSION *Le travail auprès de personnes souffrantes et mourantes ainsi que de leur famille ne peut laisser indifférent. La perte engendrée par le décès d'une personne en qui nous avons investi émotivement peut être perçue par certains comme une expérience menaçante qui invite à la fuite et au repli sur soi. Il en est de même pour la perte de certains idéaux reliés à nos échecs sur les plans personnel et professionnel.
10 *Lorsqu'ils sont mal vécus, ces moments sont ponctués de stress intense, de souffrances, d'impuissance et de frustration de toutes sortes. La dernière partie de ce cours peut aussi constituer des occasions de réflexion, de partage, et de croissance personnelle et professionnelle.
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