LES PLAIES. Tout autre type de plaie non identifiée comme grave relève d une plaie simple.
|
|
- Estelle Chevalier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 FICHE TECHNIQUE N 09 1 Etre capable d adapter des gestes et techniques professionnels en intervention en rapport avec la nature des risques rencontrés. En intervention, le policier doit être capable d identifier une plaie grave et installer la victime en position d attente. Analyser le risque et mettre la victime en position d attente adaptée. LES PLAIES Le policier sauveteur doit pouvoir distinguer deux types de plaies : La plaie grave, dont la gravité dépend : - de sa localisation - de son aspect - de son mécanisme Tout autre type de plaie non identifiée comme grave relève d une plaie simple. La plaie simple, petite coupure ou éraflure superficielle. En cas de doute toujours considérer la plaie comme grave. Si la plaie saigne abondamment, adopter la conduite à tenir de la fiche technique «Saignement abondant». La victime présente une plaie grave. Pour répondre de manière adaptée aux problématiques qui peuvent se poser du fait même de l évolution de la situation, le policier doit toujours garder à l esprit le principe de réflexion suivant: Que se passe t-il? Analyse de la situation Quelles sont les conditions légales de l intervention? Cadre juridique Comment vais-je intervenir? Tactique d action I LA VICTIME QUI PRESENTE UNE PLAIE GRAVE EST POLICIER. PRINCIPE GENERAL Le policier sauveteur réalise la conduite à tenir appropriée, conformément au guide national de référence de la formation des premiers secours. (cf. GNRFPS)
2 FICHE TECHNIQUE N 09 2 JUSTIFICATION Suivant son importance et sa localisation, la plaie peut être à l origine de dangers immédiats comme l hémorragie (voir fiche technique «saignement abondant»), une défaillance de la respiration ou de complications secondaires, comme une infection. CONDUITE A TENIR Lors de l intervention, les policiers doivent : - supprimer le danger - identifier la gravité de la plaie - mettre la victime en position d attente - rendre compte au Centre d Information et de Commandement - surveiller l état des fonctions vitales du policier blessé - récupérer l arme de service (chargeurs, cartouches), le bâton de défense et les menottes ainsi que la carte de réquisition (mesures conservatoires) - faire prendre en charge le policier blessé par les secours d urgence adaptés NOTA : Si un corps étranger (couteau, outils, morceau de verre ) est inclus dans la plaie, il ne faut jamais le retirer car son retrait ou sa mobilisation peut aggraver la lésion et le saignement. II LA VICTIME QUI PRESENTE UNE PLAIE GRAVE N EST PAS POLICIER ET SE SOUMET AU GESTES DE PREMIERS SECOURS. PRINCIPE GENERAL Après avoir sécurisé l intervention, le policier met en œuvre les gestes de premiers secours adaptés en présence d une plaie grave, conformément au guide national de référence de la formation de premiers secours. Son coéquipier assure la protection de l intervention et de l environnement. JUSTIFICATION Une protection particulière consiste, au cours de l examen de la victime destinée à rechercher une autre lésion éventuelle, de s assurer dans le même temps qu elle ne porte aucun objet dangereux pour elle même ou autrui. CONDUITE A TENIR La localisation de la plaie détermine la position d attente dans laquelle le policer installe la victime.
3 FICHE TECHNIQUE N 09 3 PLAIE DE L ABDOMEN Position à plat dos, cuisses fléchies pour relâcher les muscles de l abdomen et diminuer la douleur. Le policier sauveteur positionne son arme du côté des pieds de la victime de façon à la rendre inaccessible. PLAIE DU THORAX Position demi-assise pour faciliter la respiration de la victime. PLAIE DE L OEIL Allonger à plat dos, tête calée, en recommandant au blessé de fermer les yeux et de ne pas bouger. Ne jamais chercher à retirer un corps étranger oculaire. Cette position évite une aggravation éventuelle de la lésion de l œil.
4 FICHE TECHNIQUE N 09 4 AUTRE TYPE DE PLAIE : Allonger la victime à l abri en position horizontale pour diminuer les complications et prévenir d une défaillance. III LA VICTIME QUI PRESENTE UNE PLAIE GRAVE EST L AUTEUR D UNE INFRACTION, QUI PEUT REFUSER DE SE SOUMETTRE AUX INJONCTIONS, TENTER DE PRENDRE LA FUITE OU PRESENTER UN DANGER POUR ELLE-MEME OU POUR AUTRUI. PRINCIPE GENERAL La protection pour l intervention de premiers secours constitue un préalable indispensable (équipage intervenant, environnement, victime ). Si la victime a une arme accessible à portée de sa main, soustraire l arme, sauf si celle-ci (couteau, etc. ) est incluse dans la plaie. Dans ce cas, les policiers lors de l intervention font tout leur possible pour éviter la mobilisation ou le retrait de celle-ci. Même menottée la victime doit être installée en position d attente. Son coéquipier assure la protection de l intervention et de l environnement. JUSTIFICATION DE L ACTION En application des dispositions de l article 803 du C.P.P., le policier est en mesure de soumettre au port des menottes l individu blessé puis effectue une palpation lombaire. L individu est placé dans la position qui permet de réaliser le geste de premiers secours. Compte tenu des risques encourus, la sécurité des personnes présentes sur les lieux passe au rang de priorité. Dans cette hypothèse ou l agitation de l individu, ou la position des menottes dans le dos rendent problématique la réalisation correcte du maintien en position d attente, celle-ci peut être adaptée en conséquence (voir photos / position initialement «allongé dos» aménagée en «allongé latéral»). La position d attente réalisée et en l absence d une autre détresse, une palpation de sécurité est effectuée. (voir fiche technique TDI / La palpation de sécurité ). En fonction de la constatation effective d une aggravation de l état de la victime (arrêt respiratoire), les menottes peuvent être aussitôt enlevées afin de pouvoir procéder sans délais aux gestes de premiers secours adaptés.
5 FICHE TECHNIQUE N 09 5 CONDUITE A TENIR Plaie de l abdomen victime allongée jambes fléchies Plaie de l abdomen Victime allongée sur le côté jambes fléchies Le policier peut être amené à mettre en œuvre une position d attente adaptée «allongé sur le côté». Il veille à maintenir les cuisses de la victime fléchies et garde un contrôle des mains menottées à hauteur de la tête de cette dernière. Après avoir sécurisé l intervention, le policier sauveteur met en œuvre les gestes de premiers secours adaptés en présence d une plaie grave, conformément aux objectifs du guide national de référence de la formation aux premiers secours. Commentaire technique : Le policier sauveteur se positionne de façon à ce que son arme ne soit pas accessible par la victime. Son coéquipier assure la protection de l intervention et de l environnement. Pour rappel concernant la protection du sauveteur face aux risques d exposition au sang, voir fiche technique «saignement abondant». Pour toute victime présentant une plaie simple, lui demander si elle est vaccinée contre le tétanos et depuis quand. Si la vaccination n est pas récente, lui conseiller de consulter un médecin.
6 FICHE TECHNIQUE N 09 6 ANNEXE PLAIES PAR ARMES A FEU Les plaies par armes à feu sont des plaies particulières. Les dommages créés par une arme à feu dépendent de la nature de la munition et de la distance entre l arme et la victime. Même si la plaie visible semble insignifiante, la balle peut avoir créé en pénétrant et en traversant l organisme des dommages internes majeurs. Les aspects : Les plaies par arme à feu sont habituellement doubles. Il existe une plaie au niveau de l orifice d entrée de la balle et une au niveau de l orifice de sortie. S il existe qu un seul orifice, c est que la balle est restée à l intérieur. Certaines plaies par arme à feu sont plus petites qu une pièce de monnaie (plaie punctiforme) d autres s accompagnent d un délabrement important de la peau (lacération), L orifice d entrée est en règle générale beaucoup plus petit que l orifice de sortie. Les plaies par arme à feu peuvent dans certains cas rester inaperçues. Le risque : Plaie par arme à feu : orifice d entrée La majorité des décès par arme à feu sont dus à une hémorragie interne par plaie d organes et des gros vaisseaux. Les plaies par arme à feu du tronc et du cou sont souvent accompagnées de lésions de la moelle épinière. Dans ce cas, comme il est très difficile de connaître le trajet de la balle, il est nécessaire de toujours considérer ces victimes comme porteuses d une lésion de la colonne vertébrale.
7 FICHE TECHNIQUE N 09 7 La conduite à tenir : Les plaies par arme à feu sont particulièrement graves et nécessitent des gestes de secours rapides. assurer la liberté des voies aériennes et examiner correctement la respiration et la circulation de la victime, arrêter toutes hémorragies externes à l aide d une compression manuelle, alerter le plus rapidement les secours médicalisés, examiner complètement la victime pour être sûr d avoir trouvé tous les orifices d entrée et de sortie, lutter contre la détresse circulatoire, éviter autant que possible de manipuler la victime si elle présente une plaie par arme à feu du tronc ou du cou. A - La victime est consciente : allonger la victime en position horizontale, installer la victime en position demi-assise si elle présente des difficultés à respirer (plaie du thorax), B - La victime est inconsciente : mettre la victime en position latérale de sécurité, couvrir pour éviter le refroidissement, éviter toute mobilisation intempestive de la victime (plaie du tronc et du cou), réaliser une réanimation cardio-pulmonaire si la victime présente un arrêt cardiaque.
8 FICHE TECHNIQUE N 09 8 La victime se plaint après un traumatisme Éviter une aggravation d une plaie. d une brûlure. d une douleur des os ou des articulations. Arroser à l eau Pendant 5 min Ne pas mobiliser La plaie est-elle grave? Oui La brûlure estelle grave? Oui Douleur du dos, de la nuque, de la tête? Oui Non Non Non Nettoyer Protéger Position d attente Continuer à arroser Allonger Respecter la position Maintenir la tête Vérifier vaccination Vérifier vaccination Faire alerter ou alerter (Si ce n est pas déjà fait) Parler régulièrement Expliquer
LA PERTE DE CONSCIENCE
CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailSauvetage Secourisme du Travail
Sauvetage Secourisme du Travail Guide des données techniques et conduites à tenir L Institut national de recherche et de sécurité (INRS) Dans le domaine de la prévention des risques professionnels, l INRS
Plus en détailPRÉVENTION ET SECOURS CIVIQUES
Recommanda)ons DE LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA SÉCURITÉ CIVILE ET DE LA GESTION DES CRISES relatives à l unité d enseignement PRÉVENTION ET SECOURS CIVIQUES de niveau 1 L unité d enseignement «Prévention
Plus en détailI. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture
148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailExercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement
Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement Pendant la grossesse, les muscles du ventre, appelés abdominaux, s étirent beaucoup et perdent souvent de la force. Il est important
Plus en détailLES FORMATIONS CONTINUéES
8.1. Hygiène dans les cuisines collectives Module I : Formation de base reprenant la réglementation et les exigences légales dans le secteur alimentaire ainsi que les bonnes pratiques d hygiène Economes,
Plus en détailFormation aux Premiers Secours
MINISTÈRE DE L'INTÉRIEUR DIRECTION DE LA DEFENSE ET DE LA SECURITE CIVILES SOUS-DIRECTION DES SAPEURS-POMPIERS BUREAU DE LA FORMATION ET DES ASSOCIATIONS DE SECURITE CIVILE Formation aux Premiers Secours
Plus en détailPro. EPN- Education Nationale Initiation grand public ACR et DAE Page - 1 -
Pro EPN- Education Nationale Initiation grand public ACR et DAE Page - 1 - SOMMAIRE Page de garde page : 1 Sommaire page : 2 Fiche pratique page : 3 Programme page : 4 Progression pédagogique pages : 6
Plus en détailErgonomie au bureau. Votre santé avant tout
Ergonomie au bureau Votre santé avant tout L individu est unique, sa morphologie aussi. L aménagement ergonomique de la place de travail doit tenir compte des spécificités de chacun. Il permet d éviter
Plus en détailAllégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2
Allégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2 Objectif Les apprenants soulèvent et portent des charges correctement. Public-cible - Des apprenants
Plus en détailMinistère de l intérieur, de l outre-mer et des collectivités territoriales
! Ministère de l intérieur, de l outre-mer et des collectivités territoriales Recommanda)ons DE LA DIRECTION DE LA SÉCURITÉ CIVILE relatives!!! à l initiation du grand public à la prise en charge de l
Plus en détailCeinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus)
Orthèse lombaire et abdominale Mother-to-be (Medicus) Prévention Soutient courbe lombaire Supporte poids du ventre Ajustable Soulage les maux de dos en position debout (Beaty et al. 1999) Ceinture Home
Plus en détailFormation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA)
Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Que devons nous savoir? Utiliser en toute sécurité un défibrillateur semi-automatique au cours de la réanimation cardio-pulmonaire Durée
Plus en détailKen Bell s Sommaire des Abréviations
Ken Bell s Sommaire des Abréviations AUG: CSAM: DSA: PUI: RCP: RIA: SCR: Arrêt Urgence Général CERN Safety Alarm Monitoring Défibrillateur Semi-Automatique Plan Urgence D Intervention Réanimation Cardio-Pulmonaire
Plus en détailAthénée Royal d Evere
Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement
Plus en détailLES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43
LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE Comité pédagogique SAP SDIS 43 DEFINITIONS Electrisation: manifestations physiopathologiques liées au passage du courant dans l organisme Electrocution: décès par électrisation
Plus en détailManuel de l ergonomie au bureau
Manuel de l ergonomie au bureau 1 Manuel préparé par le Service environnement, santé et sécurité de l Université Concordia. Pour tout complément d information sur l ergonomie, les étirements et les autres
Plus en détailExtraits et adaptations
Extraits et adaptations Guide de prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS) en clinique dentaire - 2007 MOYENS DE RÉCUPÉRATION MUSCULAIRE Il est difficile de donner des soins dentaires en évitant
Plus en détailSIÈGE SURFACE DE TRAVAIL
Les accidents strictement de nature «ergonomique» coûtent une fortune aux entreprises canadiennes. En effet, Statistique Canada évaluait en 1996 à 1,5 milliards de dollars les coûts annuels associés aux
Plus en détailACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 25
ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 25 HYGIENE ET SÉCURITÉ DÉCEMBRE 2002 Robin EMERIT Technicien en équipements électrique et énergie Tel : 02 38 79 46 74 Francis MINIER Inspecteur d Hygiène
Plus en détailProgramme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation
Programme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation 1 1 Contexte - Public ciblé 1/3 des accidents du travail sont dus à des manutentions. Coût annuel : 1,5 milliards d euros. Les lombalgies représentent
Plus en détail1. But général. 2. Public - cible. 3. Contenu de la formation. 3.1 Evaluation de la situation. 3.2 Alerte
Niveau 1 pour la formation de non-professionnels dans le domaine du sauvetage (Cours de sauveteur dans les situations différées et BLS 1 selon les normes SRC 2 ) 1. But général La formation de niveau 1
Plus en détailLa technique en 7 étapes. Déroulement du mouvement. ASTA Association Suisse de Tir à l Arc. Conseil des entraîneurs
Déroulement du mouvement 1. Position Position des pieds Jambes Hanches Buste Tête 2. Bras d arc Main d arc Point de pression Coude Bras de l arc Epaule 3. Bras de corde Prise de corde Position des doigts
Plus en détailERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS
Qu est ce que l ergonomie d un poste de travail? ERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS Un poste de travail ergonomique est un poste qui offre un environnement et des équipements permettant de créer
Plus en détailANALYSER et PROTÉGER.
1/ Analyser et Protéger Alerter 2/ Secourir. 3/ PLS Inconscience 4/ RCP Réanimation cardio-pulmonaire 5/ Malaises plaies 6/ brûlures traumatisme noyade ANALYSER et PROTÉGER. Être rapide et calme 1/ Analyser
Plus en détailPREMIERS SECOURS EN ÉQUIPE DE NIVEAU 2
PARTIE 7 LES PANSEMENTS ET LES BANDAGES 1. OBJECTIFS A la fin de cette partie, vous serez capable de protéger une lésion de la peau à l aide d un pansement. Plus précisément, il s agit de : Indiquer les
Plus en détailPROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc
CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc
Plus en détail& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT
A5-MNTrefonte.indd 1 28/07/2011 08:28:01 & BONNES S TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES Le guide Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 2 28/07/2011 08:28:02 SOULEVER UN OBJET LOURD OU UNE PERSONNE
Plus en détailBien utiliser son échelle : généralités
Bien utiliser son échelle : généralités Les échelles et escabeaux sont des moyens d'accès en hauteur. Les échafaudages sont des moyens de travailler en hauteur. La norme EN 131 n'étant pas doublée d'une
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailOr 4 victimes sur 5 qui survivent à un arrêt cardiaque ont bénéficié de ces gestes simples pratiqués par le premier témoin.
La mort subite est la conséquence d un arrêt cardiaque et respiratoire. Elle survient soudainement chez un individu qui se livre à ses occupations habituelles : au travail, en faisant ses courses, mais
Plus en détailAnnée 2012-2013. Fiches pédagogiques. pour l enseignement des premiers secours à l école maternelle et élémentaire
Année 2012-2013 Fiches pédagogiques pour l enseignement des premiers secours à l école maternelle et élémentaire 15 18 Sommaire Introduction.... 1 Progression «apprendre à porter secours»... 2 Fiches séquences
Plus en détail7e ÉDITION. Secourisme en milieu de travail. en milieu de travail. www.csst.qc.ca/secourisme
en milieu de travail 7e ÉDITION Secourisme en milieu de travail www.csst.qc.ca/secourisme Ce document est réalisé par la Direction générale de la prévention-inspection et du partenariat, en collaboration
Plus en détailSoulever et porter correctement une charge
Soulever et porter correctement une charge Sommaire Cette brochure explique comment éviter de se surmener ou d avoir un accident en soulevant et en portant une charge. Le port et le levage d une charge
Plus en détailManutentions manuelles Statistique nationale / Ile de France 1992
Unité d Ergonomie Faculté de Médecine Pitié-Salpêtrière 91, bd de l Hôpital 75 634 Paris cedex 13 www.ergonomie.chups.jussieu.fr DIPLÔME D ERGONOMIE ET DE PHYSIOLOGIE DU TRAVAIL option1 Ergonomie du travail
Plus en détailANALYSE DU MOUVEMENT EXEMPLE : LE SQUAT
PACOUIL Christophe1 Option culturisme 2012-2013 ANALYSE DU MOUVEMENT 1. Nous étudions les articulations concernées 2. Nous analysons la mécanique 3. Nous cherchons les muscles sollicités au plan moteur,
Plus en détailSUJET. M. Geoffrey DUPONT vient d'obtenir son CAP. Il envisage de rechercher son premier emploi, et son premier logement.
SUJET (l'usage de la calculatrice n'est pas autorisé) 1 - DOMAINE ENTREPRISE ET VIE PROFESSIONNELLE / 4 points M. Geoffrey DUPONT vient d'obtenir son CAP. Il envisage de rechercher son premier emploi,
Plus en détailMOUVEMENTS DE BASE (global) EN MUSCULATION. bphiver2013 Hamrouni Samy 1
MOUVEMENTS DE BASE (global) EN. bphiver2013 Hamrouni Samy 1 Squat Développé Couché Traction Traction bphiver2013 Hamrouni Samy 2 Un travail de ces mouvements sur appareils guidés est plus sécurisant mais
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailLe Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales
Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales Le Kin-AP est une évaluation qui se déroule à travers un parcours comprenant différentes stations qui simulent les tâches que le technicien ambulancier-paramédic
Plus en détailLES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE
Circulaire d'informations n 2009/17 du 15 septembre 2009 LES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE Références : - Loi n 84-594 du 12 juillet 1984 modifiée relative à la formation des agents de
Plus en détailDEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR
DEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR H e a r t S t a r t ( Philips ) Démonstration réalisée par les Docteurs Alain LIAGRE & Thierry LEDANT Membres du Conseil Syndical DOMAINE DE SAINT PIERRE
Plus en détailalarme incendie (feu non maîtrisable)
INCIDENT N 1 alarme incendie (feu non maîtrisable) Vérification des matériels et systèmes de à disposition au - système de détection incendie (test lampe, signal sonore) - centrale d alarme intrusion(état
Plus en détailLa prévention c est pour la vie! LES MAUX DE DOS. La colonne vertébrale : un assemblage bien pensé
D O S S I E R S P É C I A L LES MAUX DE DOS La colonne vertébrale : un assemblage bien pensé La source du mal Éviter les maux de dos Écouter son corps Quand la douleur demeure : les maux de dos chroniques
Plus en détailLa musculation en période hivernaleeeee
Centre de formation CR4C Roanne Flash performance n 2 (entraînement, biomécanique, nutrition, récupération ) Réalisé par Raphaël LECA & Jean-Charles ROMAGNY www.culturestaps.com La musculation en période
Plus en détailw w w. m e d i c u s. c a
www.medicus.ca En appelant la colonne vertébrale «arbre de vie» ou «fleuve sacré qui irrigue tout le corps», les Anciens voyaient juste. De tout temps considéré comme fragile, cet axe du corps se révèle
Plus en détailPREMIERS SECOURS EN ÉQUIPE DE NIVEAU 1
TECHNIQUE 9.1 MISE EN ŒUVRE D UN DAE 1. Justification La survie des personnes en arrêt cardio-respiratoire par fonctionnement anarchique du cœur est amélioré si une défibrillation est réalisée précocement.
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailLE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS
LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS DOCUMENT ÉTABLI PAR LA COMMISSION PARITAIRE SANTÉ ET PRÉVENTION DES RISQUES DES TÉLÉCOMMUNICATIONS LE CONTEXTE Quel que soit le secteur d activité,
Plus en détailDéfibrillation et Grand Public. Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline
Défibrillation et Grand Public Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline Quelques chiffres (1) 50 à 60 000 décès en France par mort subite dont la moitié font suite à l apparition d une tachycardie
Plus en détailDystrophie musculaire
Définition Les maladies neuromusculaires font référence à un groupe de maladies qui affectent la motricité. Ces maladies se manifestent à des degrés divers par la dégénérescence et l affaiblissement progressif
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailDocument unique d évaluation des risques professionnels
Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires
Plus en détailinformations pratiques
COLLECTIVITÉS LOCALES Arrêt cardiaque informations pratiques avec le soutien de Arrêt cardiaque I Informations pratiques I 1 2 I L arrêt cardiaque L arrêt cardiaque est la première cause de mortalité des
Plus en détailTransport des victimes d accidents par les taxis de Ho Chi Minh ville
Transport des victimes d accidents par les taxis de Ho Chi Minh ville Dr David TRAN Afravietmur Association Franco-Vietnamienne de médecine d urgence Assises de la coopération franco-vietnamienne Brest
Plus en détailFormations à la sécurité Obligations de l employeur
Formations à la sécurité Obligations de l employeur 1 2Sommaire Introduction 3 Obligation liée à la formation à la sécurité incendie 4 Mise en oeuvre des extincteurs 5 Equipier de 1 ère intervention 6
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailMaladie neuromusculaire
Définitions Maladie neuromusculaire Les maladies neuromusculaires font référence à un groupe de maladies qui affectent la motricité. Ces maladies se manifestent à des degrés divers par la dégénérescence
Plus en détail-Détails du programme- 3 ème DAN
-Détails du programme- 3 ème DAN (Utilisation obligatoire d arme en bois, en caoutchouc ou en mousse) * Le candidat devra apporter ses armes et protections Tronc commun 3 ème DAN 1. UV1 Kihon, techniques
Plus en détailPrenez soin de votre dos. Informations et astuces contre les douleurs lombaires
Prenez soin de votre dos Informations et astuces contre les douleurs lombaires Prenez soin de votre dos 1 2 3 4 Des causes diverses, souvent liées au travail Plaintes et lésions Prévention: mieux vaut
Plus en détail9e Colloque SST Sherbrooke, 14 mai 2014. ASFETM Ergonomie - TMS - Prévention des maux de dos
9e Colloque SST Sherbrooke, 14 mai 2014 ASFETM Ergonomie - TMS - Prévention des maux de dos par Charbel Mawad, M.Sc. Hygiéniste industriel / Ergonome ASFETM Association sectorielle - Fabrication d équipement
Plus en détaildos La qualité au service de votre santé Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse p r e n d r e s o i n d e s o n
dos p r e n d r e s o i n d e s o n Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse La qualité au service de votre santé Cette information, éditée par l Institut de physiothérapie de la Clinique de La Source, vous
Plus en détailL ERGONOMIE AU POSTE DE TRAVAIL INFORMATISÉ
Pour ce faire, il faut disposer le poste de travail de sorte que la ligne de vision de l utilisateur à l écran soit parallèle aux fenêtres et aux luminaires et entre les rangées de luminaires (Figure E).
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailManuel d utilisation du Défibrillateur automatisé externe (DAE)
Manuel d utilisation du Défibrillateur automatisé externe (DAE) IMPORTANT Lisez attentivement et intégralement le présent manuel d utilisation avant d utiliser l appareil pour la première fois. Les informations
Plus en détailOrganisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011
Organisation de la gestion de crise à Mayotte Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 SOMMAIRE INTRODUCTION AVANT LA CRISE PENDANT LA CRISE APRES LA CRISE 2 Service interministériel de défense
Plus en détailGUIDE POUR AMÉLIORER LE CONFORT AU TRAVAIL Travail à l écran en imprimerie
GUIDE POUR AMÉLIORER LE CONFORT AU TRAVAIL Travail à l écran en imprimerie Mise en garde Le rôle de l Association paritaire de santé et de sécurité du travail, secteur imprimerie et activités connexes
Plus en détailRÉPUBLIQUE FRANÇAISE. Elle a pris connaissance de la procédure judiciaire. Elle a entendu M. D.M., ainsi que M. E.P., officier de police judiciaire.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE COMMISSION NATIONALE DE DÉONTOLOGIE DE LA SÉCURITÉ Saisine n 2008-108 AVIS ET RECOMMANDATIONS de la Commission nationale de déontologie de la sécurité à la suite de sa saisine, le
Plus en détail25/09/2014 CR : BRASSIER Julia. LEVERRIER Floriane L2 Médecine d'urgence (AFGSU) P. MICHELET 8 pages. Détresse vitale Arrêt cardiaque Alerte
25/09/2014 CR : BRASSIER Julia. LEVERRIER Floriane L2 Médecine d'urgence (AFGSU) P. MICHELET 8 pages Détresse vitale Arrêt cardiaque Alerte Plan A. Introduction B. Donner l'alerte I. L'alerte en milieu
Plus en détailSièges d auto pour enfants
! Sièges d auto pour enfants Du siège de nouveau-né à la ceinture de sécurité, tout ce que vous devez savoir pour que votre enfant soit en sécurité! C est la loi En auto, les enfants qui mesurent moins
Plus en détailPROGRAMME DE FORMATION
PROGRAMME DE FORMATION 3 journées de 7 heures : 21 heures de formation qui peuvent se dérouler : Soit sur 2 journées consécutives et une journée à une semaine d'intervalle pour un travail inter-session
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détailLes postes de travail informatisés
Les postes de travail informatisés Informations importantes pour votre bien-être Lorsque vous travaillez sur écran, ressentez-vous fréquemment des douleurs? Vous arrive-t-il par exemple d avoir les yeux
Plus en détailLa préparation physique en basket- ball Gilles COMETTI (2002)
La préparation physique en basket- ball Gilles COMETTI (2002) 1 Les conditions : 1) Respecter la santé de l athlète. 2) Mettre la condition physique à sa place. 1) LES PRINCIPES DE LA PREPARATION PHYSIQUE
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailLE SECOURISME EN ENTREPRISE
MASTER PREVENTION DES RISQUES ET NUISANCES TECHNOLOGIQUES LE SECOURISME EN ENTREPRISE ET LA CONDUITE A TENIR EN CAS D ACCIDENT BOUX Sylvain PELOUX Marianne ROCHE Pauline Projet UE 5 2009 1 REMERCIEMENTS
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailLes échelles portables peuvent aussi être très dangereuses. Conseils pour votre sécurité
Les échelles portables peuvent aussi être très dangereuses Conseils pour votre sécurité Sommaire 1 Introduction 3 2 A quoi reconnaît-on une échelle sûre? 4 2.1 Lors de l achat d une échelle 4 2.2 Lors
Plus en détailLe déplacement du patient
10 Le déplacement du patient CONTENU: 10.1 Introduction 10.3 10.2 Objectifs 10.4 10.3 Anatomie du dos 10.5 10.4 Quelques causes de mal du bas du dos 10.7 10.5 Quelle charge peut-on soulever 10.7 10.6 Quelques
Plus en détailContinuité d activité. Enjeux juridiques et responsabilités
Continuité d activité Enjeux juridiques et responsabilités Introduction Pourquoi le droit? - Contrainte - Outil de gestion Droit et management de la continuité d activité : 3 niveaux d intervention Dans
Plus en détailADAPSA. Tél : 01.80.87.64.18 Fax : 01.80.87.64.19 Mobile : 06.23.02.09.00. E-mail : Contact@adapsa.com www.adapsa.com.
Tél : 01.80.87.64.18 Fax : 01.80.87.64.19 Mobile : 06.23.02.09.00 E-mail : Contact@adapsa.com www.adapsa.com Membre d UNAFOS Habilité Intervenant en Prévention des Risques Professionnels par la CNAM -
Plus en détailSuva Sécurité durant les loisirs Case postale, 6002 Lucerne. Renseignements Tél. 041 419 51 11
«Top 10» de l hiver Suva Sécurité durant les loisirs Case postale, 6002 Lucerne Renseignements Tél. 041 419 51 11 Commandes www.suva.ch/waswo-f Fax 041 419 59 17 Tél. 041 419 58 51 Auteurs Dr Hans Spring,
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailLes vers marins. Deux embranchements représentent les vers marins de nos côtes littorales: les vers plats (plathelminthes) et les vers segmentés
Les vers marins A partir des vers marins, les animaux se complexifient dans l organisation de leur tissus. Nous avons vu qu avec les coraux, les organismes possédaient deux feuillets séparés d une gelée.
Plus en détailRecours aux entreprises extérieures
RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation
Plus en détailColloque APDQ 2012. Véhicule enlisé ou accidenté. Pas de présence policière. Pas d information transmise sur le type de véhicule en cause
Véhicules «verts» et remorquage 1 Colloque APDQ 2012 autoprevention.qc.ca/depannage Véhicule enlisé ou accidenté Pas de présence policière Pas de blessé Pas de dommage à l environnement Pas de dommage
Plus en détailTECHNIQUES DE RENFORCEMENT MUSCULAIRE SOUS LA DIRECTION DE A. A. BELKHIRIA
TECHNIQUES DE RENFORCEMENT MUSCULAIRE SOUS LA DIRECTION DE A. A. BELKHIRIA OBJECTIF : Cette formation a pour objectif de favoriser la capacité de l étudiant à maitriser les fondamentaux du renforcement
Plus en détailArlette Osta (1) «Chauffer sa voix» (1) Orthophoniste 1, Avenue du Dr. Roux 06200. Nice
Arlette Osta (1) «Chauffer sa voix» (1) Orthophoniste 1, Avenue du Dr. Roux 06200. Nice PASSAGE OBLIGATOIRE «CHAUFFER SA VOIX» FEUILLETS D ÉCHAUFFEMENT INDIVIDUEL à l usage de tous les chanteurs et chefs
Plus en détailLa mécanique sous le capot
La mécanique sous le capot L ergonomie Comment éviter et diminuer les TMS aux membres supérieurs Pourquoi vos articulations vous font-elles souffrir? De nombreux travailleurs souffrent de troubles musculo-squelettiques
Plus en détailLe mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé. Acti March
Le mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé Acti March Une Fédération pour votre forme Moyen de déplacement à la portée de tous, quel que soit son âge, la marche est une forme d activité physique
Plus en détail2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques
2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Canada. Bien que leur incidence ait diminué au cours des dernières
Plus en détailMode d emploi. Plate-forme monte-escalier GTL 15/20/30. Attention:
Mode d emploi Plate-forme monte-escalier GTL 15/20/30 Attention: Lors d une panne de votre monte-escalier, veuillez lire attentivement la page 11 du chapitre 7. Si vous êtes dans l impossibilité de résoudre
Plus en détailPrévenir... les accidents des yeux
Prévenir... les accidents des yeux 19 Ce qui peut venir troubler notre vision Chaque année, des milliers de personnes perdent la vue ou ont une importante baisse de la vision, à la suite d un accident
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailHOPITAL LOCAL INTERCOMMUNAL SOULTZ-ISSENHEIM DOCUMENT UNIQUE EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS. Mise à jour : 15/06/09
HOPITAL LOCAL INTERCOMMUNAL SOULTZ-ISSENHEIM DOCUMENT UNIQUE EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS Mise à jour : 15/06/09 Rédaction : M.GSCHWIND Validation : M. Herrgott Gestionnaire des risques Directeur
Plus en détail