Projet : Coordination Informatique et Société

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1 Projet : Coordination Informatique et Société Félix Hauri consultant en micro-informatique 8 juin 2000 Résumé Sans interrompre sa croissance vertigineuse, l informatique à pourtant cessé d évoluer et arrive à un point d étrange saturation. Les ressources et les performances sont pourtant bien là, à notre disposition. Nous devons maintenant comprendre comment les utiliser, pour apprendre à les rentabiliser. 1

2 Table des matières 1 Introduction Buts Mon profil Situation Le business de la micro-informatique Les clients Les solutions en paquets Les utilisateurs Synthèse et développement Couches et hiérarchie Le peuple de l informatique Les professions de l informatique Les super-utilisateurs Les coordinateurs Les intégrateurs Les distributeurs Les conseillers Éthique et déontologie Confiance et dépendance Objectifs Mise en œuvre Concept Coordination Rendement Structuration Cahier des charges Formation Domaines d application Réalisation Conclusion Pensées inspirées 24 6 Remerciements 24 2

3 Table des figures 1 Modèle OSI de répartition des couches réseau Répartition des procédures pour la gestion d une base de données centralisées Intégration d un moteur de mise en page, uniformisation des documents Différents chemins de formations pour des supers-utilisateurs Distribution des charges en fonction des choix, besoins et options d une société

4 1 Introduction 1.1 Buts L informatisation aujourd hui est décousue, incomprise et dénuée de sens. Les absences de bases et de rigueur ont un effet déstabilisant et déroutant sur les êtres humains qui y sont confrontés, qu il s agisse des utilisateurs ou des chefs d entreprises. Les tensions humaines qui entourent ce phénomène laissent présager une révolution imminente. Bien sûr, je ne parle pas de sang (du moins je l espère), mais simplement de changement. Les changements à venir devront se produire sur de nombreux plans humains, avant de devenir perceptibles au travers de nos machines. Le but de ce projet est de mettre en oeuvre cette révolution en douceur, avec un maximum de discernement et d ouverture, afin qu elle soit le plus bénéfique possible, pour le plus de monde possible. 1.2 Mon profil Tout commence en l an mille neuf cent septante-sept, j ai alors douze ans et me passionne pour les bricolages électroniques. En face de chez moi, le patron du magasin de composants électroniques me propose de travailler pour lui, pour me faire de l argent de poche. Cette année là, il reçoit ses premiers micro-ordinateurs, il s agit de circuits électroniques surélevés de claviers hexadécimaux. L année suivante, les premiers micros qui seront utilisés dans des environnements professionnels, les AppleII, PET et TRS-80 commençent à supporter des applications telles que traitement de texte et base de données. En septante-huit, je m offre mon premier PC, un PET de Commodore doté de huit kilo-octets de mémoire vive et un lecteur de cassettes (format magnétophones standards) pour lire et sauver les programmes ou les fichiers. Le choix de mon orientation professionnelle, du fait que l informatique balbutiante ne dispose pas de plans de formation dans ma direction, se porte sur la profession de monteur électricien, ce qui me permet de faire connaissance avec les techniques et problématiques des réseaux de communication, au niveau matériel. Puis, je décide d obtenir un titre de Technicien ET en suivant des cours du soirs. J opte pour 4

5 la profession de Technicien en Électronique et Électrotechnique soucieux de bien maîtriser les bases de ma profession. N ayant à aucun moment cessé de suivre l évolution de l informatique, j ai renoncé à m engager dans un cours d ingénieur en informatique car l investissement en temps et en argent était trop important par rapport à l enseignement que j en aurais retiré. Certes un diplôme ferait un bel effet... 5

6 2 Situation 2.1 Le business de la micro-informatique Il y a trois grands secteurs de revenus liés à l informatique : les constructeurs, les développeurs et les distributeurs. Ces derniers ont pris l habitude de conseiller leurs clients, si cela est plutôt une bonne chose au fond, le fait de revendiquer le statut de conseiller lorsque l on est avant tout distributeur, c est à dire expert des seuls produit que l on représente, pose en revanche un problème de déontologie. Pour moi, être conseiller indépendant signifie ne dépendre de personne pour conseiller le client au mieux de ses intérêts. Les professions libérales qui ont une assise dans nos moeurs, car plus anciennes telles que médecin, avocat, architecte ou encore ingénieur conseil, appliquent systématiquement un code de profession lié à l honneur, qui leur interdit des pratiques tendancieuses du type vente des produits conseillés ou publicité. Les informaticiens agissent dans la confusion totale. La plupart calculent leur chiffre d affaire de la même manière que les commerces, en se basant sur un flux de fournitures. Si bien que les clients, particuliers ou les décideurs des sociétés, ont l habitude d acquérir des solutions informatiques sous la forme de paquets avec lesquelles leurs employés doivent se débrouiller moyennant éventuellement quelques cours. Les conséquences, à priori, sont que les utilisateurs finaux ne sont peu ou pas encadrés, que les solutions en paquets évoquées précédemment ne sont que peu ou pas intégrées et surtout que les spécialistes, mandatés en dernière heure, se retrouvent étrangers en terre inconnue et passent énormément de temps pour comprendre le système et les bidouillages apportés avant de pouvoir entreprendre une quelconque intervention. Il y a aussi des conséquences, à plus long terme, que l on peut mesurer dès à présent et qui se situent plus sur le plan social. N imaginant pas à quel point l informatique deviendrait une seconde peau de la nature humaine, les écoles n ont pas prévus suffisamment de branches dans l informatique. Dès que celles-ci furent plus ou moins prêtes à produire des informaticiens, une vague de jeunes gens s est lancée à bras raccourcis dans cette direction. Beaucoup d inscrits, beaucoup d élus, mais une profession encore mal dessinée, insuffisamment fractionnée et où les conseillers ne respectent pas assez leur propres limites faute de spécialisations reconnues. Le résultat est visible aujourd hui : Les employeurs sont mécontents, conscient de n utiliser qu une infime partie des performances et ressources informatiques et humaines qu ils ont à disposition. 6

7 Un manque évident de spécialistes de l informatique, dans beaucoup de domaines ciblés. Certains employés polyvalents, se retrouvent débordés car peu productifs dans leur domaine en raison du temps qu ils consacrent à la maintenance informatique. Bien souvent ces spécialistes pourraient être tentés de changer de profession au profit d une carrière dans l informatique. 2.2 Les clients Les clients, les investisseurs, eux n ont pas changé, ils sont toujours aussi ignorants (en matière d informatique). Peut-être un peu plus méfiants, certainement un peu moins riches. Au début, certaines entreprises se sont lancées dans de gros investissements informatiques en espérant ainsi, pouvoir réduire à moyen terme, d une part leurs effectifs et d autre part les coûts d exploitation. Très vite, ces personnes ont déchanté, je me souviens d un rapport annuel émanant de l une de nos grandes banques, dont un chapitre consacré au bilan de l informatisation, faisait état d un résultat lourdement négatif. Ce rapport était établi avant Non seulement les effectifs n ont pas été réduits dans les proportions escomptées, mais une bonne partie des postes libérés ont été réoccupés par des employés lourdement qualifiés, donc plus chers, de plus l exploitation informatique avec sa course aux performances et ses régulières acquisitions de mises à jour, maintenances et évolutions ont joyeusement crevé tous les plafonds des estimations que les plus pessimistes des experts avaient avancés vers 1980 pour les dix années à venir. L erreur à été de croire que la machine pourrait remplacer l homme. Elle peut, au mieux, l assister, le décharger et le suivre, mais en aucun cas l accompagner ou le devancer. 7

8 S il est vrai que les progrès informatiques surprennent régulièrement par leurs nouveaux potentiels, il ne faut pas oublier que nous comparons là, de la technologie avec de la technologie...plus récente. On entend bien parler d intelligence artificielle ou de systèmes experts, réseaux neuronaux ou logique floue. Mais attention! Il s agit là de termes de vocabulaire qu utilisent les ingénieurs en développement pour s émoustiller. Cela n a encore pas grand-chose à voir avec ce que peuvent faire nos petites cellules grises. En fait, les spécialistes les plus avancés ne comprennent qu une infime partie de la mécanique cérébrale. Juste ce qu il faut pour leur permettre de crier : «demain on y arrivera», mais sortons de l utopie, ces promesses ont désormais atteint un âge vénérable. Les ordinateurs actuels sont cependant capables de faire souvent bien plus, en matière de performances, que les client ne peuvent se représenter. Toutefois pour ce qui est de l intuition, ils ne sont pour l heure, qu en mesure de restituer des attitudes qu on leur a enseignées. Ce travail précisément, de constituer dans une machine ou un réseau, un environnement propre au client, qui lui permette d évoluer dans son univers avec la compagnie de son informatique est un travail de personnalisation. A la fois simples et complexes, en principe, les procédures informatiques sont maîtrisées et faciles à mettre en oeuvre. Toutefois, la parfaite compréhension des besoins du client est un travail de contact qu il faut considérer comme jamais achevé. En effet, ce n est qu en se fréquentant régulièrement, l informaticien et le client, que le dialogue devient fiable, efficace, et productif. Le client idéal de l informatique est quelqu un, qui a les moyens de se donner le temps et le financement pour chercher à améliorer la qualité, la régularité et la présentation de son produit. Il aura alors la satisfaction de maîtriser son système et de l utiliser avec le même naturel qu il verra évoluer son entreprise. Le bilan sera alors positif : gain de temps, de qualité et de régularité pour un coût d exploitation stable et plutôt bas. Chercher à gagner du temps ou de l argent à court terme avec un ordinateur est un doux rêve soigneusement entretenu par les conseillers évoqués précédemment. 8

9 2.3 Les solutions en paquets Il s agit d un aspect important de la situation. Ces paquets logiciels sont nombreux et touchent une grande masse d utilisateurs, de par leur présentation et surtout, leur vocation. Réalisés pour des configurations stéréotypées correspondantes à la moyenne des différents cas d utilisations, développés par des groupes d ingénieurs très compétents et distribués en grand nombre, ils représentent le logiciel complet le plus rationnel au niveau rapport qualité / prix. Toutefois, pour répondre à un éventail large de type de besoins différents, ces solutions sont très souvent lourdes et, du coup, complexes à utiliser. Il est amusant de voir qu à force de vouloir simplifier le travail de nos secrétaires, (dans le cas, par exemple d une simple lettre), celles-ci se retrouvent en fin de compte face à un écran sur lequel une lucarne de 12cm de haut leur permet de taper du texte et tout autour, des rangées et colonnes de boutons qui commencent à ressembler à un tableau de bord d avion de ligne... Il faut comprendre que si ces paquets logiciels permettent effectivement de bénéficier du travail important de nombreux ingénieurs, pour les utiliser convenablement, il est nécessaire au préalable, de faire effectuer par un ingénieur unique (et coûteux en regard du prix des centaines d heures de travail que représente un paquet logiciel), un travail d installation qui consistera à intégrer ces paquets à l entreprise. Actuellement, si ces paquets sont largement répandus, leur utilisation est relativement hasardeuse dans la majorité des situations. Les conséquences sont diverses : Les utilisateurs perdent énormément de temps à s adapter au logiciel s ils n arrivent pas à adapter le logiciel à leur besoins. Dans tous les cas, un temps considérable est investi. Les documents émanant d une même société peuvent changer de présentation en fonction des utilisateurs, des nouveaux logiciels ou parfois simplement d un jour à l autre. Certains utilisateurs ne parvenant pas à obtenir un résultat désiré en suivant les procédures décrites dans les manuels, s accommodent de leur résultats en le bidouillant pour qu il ressemble au souhait initial. Tout peut ainsi fonctionner pendant longtemps avant qu une petite nouveauté n interdise la bidouille organisée. Dans ce cas, il y a fort à parier que l utilisateur, auteur de la géniale acrobatie informatique, ne fasse plus partie de la société, cette dernière se retrouve alors en panne jusqu à ce qu un professionnel arrive à comprendre, remettre en ordre et concevoir un schéma pour la réalisation du souhait initial...ou qu un autre génial utilisateur ne réalise une nouvelle acrobatie... Les gestions de sécurités et maintenance des données laissées au soins des utilisateurs peuvent plonger une entreprise solide dans une situation précaire, après une simple panne informatique. Les utilisateurs manipulant des outils leurs permettant de tout faire, en oublient leurs propres limites de connaissances. Ils se trouvent ainsi, par exemple, à réaliser des œuvres 9

10 graphiques souvent lourdes en couleurs et inadéquates au possible. Nombre de cartes de visites farfelues faites maisons, ne respectant pas les règles élémentaires que tous bons graphistes et imprimeurs ont appris pour l exercice de leur métier Les utilisateurs Il y a autant de catégories d utilisateurs que d applications informatiques différentes, de plus pour chaque catégories, les niveaux de connaissances vont de débutant à expert en passant par toutes les variations. Ils sont ceux qui connaissent le mieux les problèmes qui relient leur branche professionnelle au système informatique. Il sont les seuls à pouvoir demander une amélioration sur leur système ou encore à pouvoir concevoir les bases d une application informatique dédiée. Toutefois, il ne sont que peu écoutés, ne serait-ce que par le fait que l on est habitué à utiliser les paquets logiciels qui contribuent à creuser le gouffre qui sépare les utilisateurs des développeurs. On rencontre, parfois, des super-utilisateurs qui ont littéralement transformé l utilisation de l informatique, au sein d un service ou d une petite entreprise. Ce sont des professionnels de tous secteurs, (hormis l informatique), qui se sont passionnés et qui ont une certaine facilité naturelle à comprendre ces systèmes. Ils ont réalisé, pour leur équipe, une foule de petits gadgets qui rendent énormément de services. Il s agit à proprement parler des travaux d intégration et de personnalisation. Malheureusement, cela ne s étend en général pas, car au temps investi pour des personnalisations vient s ajouter le temps nécessaire à la bonne marche des travaux courants et rapidement le super-utilisateur devra choisir entre quitter l entreprise pour exercer dans l informatique ou ranger ses ambitions et reprendre ses travaux courants pour conserver sa situation. 10

11 3 Synthèse et développement 3.1 Couches et hiérarchie Pour gérer un concept important, nous avons appris depuis très longtemps à pratiquer des sectorisation et implanter des hiérarchies. Les militaires sont un très bel exemple, on y trouve un nombre impressionnant de spécialistes gérés par une hiérarchie homogène. Mais plus proche de notre sujet, tous les logiciels informatiques sont en fait le résultat d un assemblage de diverses couches spécialisées Couche Application comportent les programmes d application utilisant le réseau. Couche Présentation standardise la présentation des données destinées aux applications. Couche Session gère les sessions entre applications. Couche Transport assure la détection et la correction d erreur de bout en bout. Couche Réseau gère les connexions au travers du réseau pour les couches supérieures. Couche Liaison assure la transmission des données sur la liaison physique. Couche Matériel définit les caractéristiques physiques du matériel réseau. FIG. 1 Modèle OSI de répartition des couches réseau. Les ingénieurs mandatés pour la réalisation des premiers réseaux informatiques avaient pratiqué d entrée une découpe en cinq, puis sept couches. Certains concepts passaient par l utilisation de neuf couches distinctes censées gérer la nature des fils qui relient physiquement les réseaux, pour la couche la plus basse et la langue parlée par l utilisateur pour la couche la plus haute. En fait, pour qu une solution informatique soit gérable, il est nécessaire de la découper en plusieurs couches afin de traiter individuellement chaque étape. Un petit exemple, situé dans une société de distribution, indépendament de son importance... Un découpage approfondi permet de mieux gérer les liaisons entre les différents modules et ainsi de profiter au maximum de l intégration. Un autre exemple, pour une production de documents uniformes d un bout à l autre de l entreprise, axés sur une base de données commune... 11

12 Gestion des stocks Production Secrétariat Promotion commerciale Comptabilité Administration Présentation Présentation Présentation Présentation Présentation Présentation Sélection Interrogation Sélection Interrogation Sélection Interrogation Sélection Interrogation Sélection Interrogation Sélection Interrogation Accès Sécurité Accès Sécurité Accès Sécurité Accès Sécurité Accès Sécurité Accès Sécurité Moteur de base de données FIG. 2 Répartition des procédures pour la gestion d une base de données centralisées Réseau d imprimantes Accès sécurité Moteur de base de données Accès sécurité Feuilles de styles, documents types. Accès sécurité Sélection Interrogation Moteur de mise en page Présentation - interface utilisateur FIG. 3 Intégration d un moteur de mise en page, uniformisation des documents. 3.2 Le peuple de l informatique Le nombre d individus concernés par la sectorisation décrite précédemment devrait rapidement s approcher des effectifs militaires toutes proportions gardées. On comprend facilement que cela nécessiterait un important dispositif humain, qui ne se mettra pas en place en quelques jours. Cependant il faut savoir que ce dispositif est déjà disponible. En effet, de plus en plus d individus possédant des connaissances en informatique, proposent des services de tous genres, essentiellement liés à la personnalisation. De plus la quasi totalité des sociétés employant plus de dix personnes sur des postes informatiques, recensent au moins un super-utilisateur et deux débutants. N oublions pas que l informatique est là pour nous rendre service et non le contraire. Un employé qui est un mauvais utilisateur parce que réfractaire à l informatique, peut être cependant, un excellent spécialiste dans sa branche. Ce serait par conséquent une perte de temps que de chercher à lui inculquer le maniement informatique, alors que potentiellement, d autres employés plus amateurs 12

13 de claviers et souris se feraient un plaisir de travailler en tandem avec le premier. Un employé qui se passionne pour les claviers et qui est bon dans son domaine d application sera potentiellement un super-utilisateur chargé de la bonne marche de l informatique dans son secteur. Cependant il faut faire attention, pour sectoriser les aspect informatiques, seul un bon spécialiste, expert dans sa branche et passionné ou convaincu par l informatique pourra devenir un spécialiste informatique dans sa branche. Il s agit de compétences propres qui permettent la visualisation des concepts informatiques qui y sont liés. 13

14 3.3 Les professions de l informatique Les super-utilisateurs Il s agit de professionnels maîtrisant leur propre métier et disposant de certaines facilités à comprendre et utiliser les ordinateurs. Chargés des tâches de gestion et tenue à jour des cahier des charges et livres de bords, ce sont eux qui s occuperont de formation des utilisateurs, maintenance, sauvegardes, création de rapports, etc. Professionnel confirmé, utilisateur. Pratique intérêt pour l informatique Utilisateur avancé Cours de bases informatiques et spécialisations Super utilisateur Informaticien CFC Pratique installation logiciels spécialisés Informaticien spécialiste cours théorique et pratiques (stages) Super utilisateur FIG. 4 Différents chemins de formations pour des supers-utilisateurs. Pour un groupe de trois à vingt utilisateurs œuvrant dans un seul secteur donné, deux superutilisateurs suffiront pour assumer le travail de gestion du site et d interlocuteur auprès des spécialistes. En principe, ces personnes auront les mêmes activités que les autres utilisateurs pour des contraintes de rendement inférieur, mais avec en plus un travail d observation et de critique aux fins d améliorations des principes d utilisation Les coordinateurs Pour une équipe de vingt personnes, il faudra au minimum deux super-utilisateurs par secteur d activité informatique et un coordinateur pour quatre à cinq secteurs informatiques différents. Dans les petites entreprises, le chef de la société est bien souvent le coordinateur. Censé connaître le fonctionnement global du système informatique de sa société, il est chargé de superviser, mandater les spécialistes en cas de besoin, coordonner les travaux des différents intervenants et instruire les super-utilisateurs. Dans le cas de configurations encore plus importantes, il devient nécessaire de passer par plusieurs niveaux de coordinateurs. Pour des très grosses installations, touchant un grand nombre de secteurs, le nombre de niveaux de coordinateurs tiendra du nombre de couches de développement. Les rôles de coordinateurs pourront êtres tenus, par des conseillers indépendants et/ou par des distributeurs, selon les cas. 14

15 3.3.3 Les intégrateurs Leur importance et leur existence se justifie dès les configuration mono-postes, chargés de rendre l ensemble machine-logiciel accessible à l utilisateur avec un maximum de performances et de rationalisation. Ce sont des experts connaissant parfaitement leur gamme de logiciels spécialisés qu ils sont capable d installer, peaufiner et enseigner. Dans de nombreux cas, ces spécialistes sont distributeurs des dits logiciels spécialisés. Les supers-utilisateurs peuvent, selon leur niveau de connaissances, assumer la tâche d intégration Les distributeurs Ils sont le contact promotionnel pour tout le secteur auquel ils ont accès. Constamment à jour et au fait des dernières nouveautés, les vendeurs restent les meilleurs conseillers en matière de connaissance des produits qu ils distribuent, le passage incontournable lors de recherche de nouvelles solutions ou de particularités. Leur tâche consiste à fournir et intégrer les solutions qu ils distribuent, ainsi qu effectuer les formations nécessaires Les conseillers Attachés fondamentalement aux intérêts de leurs clients, ils doivent, avant tout s assurer une parfaite compréhension des besoins et devoirs de ces derniers. Spécialistes ou généralistes, ils sont appelés pour les travaux d audits, évaluations, appels d offres, comparatifs, assistances à l adjudication, supervisions, coordinations, expertises et autres. 3.4 Éthique et déontologie Plusieurs groupements d informaticiens sont apparus avec l ambition de présenter une norme d informaticiens, avec un code d éthique. Cela montre qu ils sont conscients du fait que la confiance de leurs clients n est pas acquise, mais que, au contraire, de nombreuses déceptions sont à l origine de beaucoup de méfiance. 15

16 Actuellement, aucun code de moralité, aucune protection de l appellation conseiller en informatique ne différencie le bricoleur du vendeur ou de l expert. Le seul moyen d évaluer un conseiller est de discuter de sa vocation et de ses motivations. Pour ma part, j ai toujours pris soins de ne jamais lancer d affirmations s il se trouvait la moindre chance qu elle ne se vérifie pas, je me suis toujours attaché à préserver l intérêt de mes clients en priorité et ai systématiquement refusé toute commission sur les produits que j aurais fait acheter par mes clients. Au contraire, j ai demandé à ce que, si une réduction pouvait être calculée, qu elle le soit sur la facture adressée à mon client. Lorsqu il s est agit de choisir un système d exploitation ou un ensemble de bureautique, je n ai jamais caché les lacunes, instabilités, défauts ou autre carences des systèmes que je me trouvais forcé de recommander par soucis de compatibilité. Je pense qu il est important de faire une distinction entre les distributeurs et les conseillers. En effet, lorsqu un professionnel décide de distribuer un produit, il va devoir investir du temps pour bien connaître son produit, par conséquent il aura moins de temps à consacrer à suivre l évolution des marques qu il aura choisi de ne pas distribuer. Un conseiller doit rester indépendant, c est à dire ne dépendre d aucun intérêt susceptible d entrer en conflit avec ceux de ses clients. Actuellement, en dehors des institutions publiques de l enseignement, je ne connais que très peu de conseillers répondants à ces caractéristiques. 3.5 Confiance et dépendance La Suisse, bel exemple de pluralité et d intégration, fonctionne, depuis pas mal de temps, sur un schéma présentant comme principaux conseillers, non pas un, mais sept sages censés se compléter, mais aussi se contenir les uns, les autres. Pour ce qui est de la conception d un système complexe ( tel que décrit dans le présent projet ), si elle doit effectivement être contrôlée au niveau de sa cohérence dans son ensemble, par une seule entité, le fait de faire suivre ce contrôle par une ou plusieurs autres entités équivalentes ne peut être qu un gage de sécurité. En deux mots, je pense qu un client ne doit pas dépendre d un seul conseiller. 16

17 3.6 Objectifs hiérarchisation maîtrise et compréhension des concepts de l ensemble du système informatique. intégration amélioration du rendement en qualité et en productivité. structuration accroissement des performances et de la fiabilité, réduction des coûts d exploitation. Intérieur Extérieur Intérieur Extérieur Direction Direction Conseillers Coordinateur technique Fournisseurs Fournisseurs Utilisateurs AVANT Super utilisateurs Utilisateurs APRÈS Intégrateurs Variante brune: solution "économique", coordination sous-traitée à l extérieur. Variante bleue: solution complète, présence constante et maîtrise totale. FIG. 5 Distribution des charges en fonction des choix, besoins et options d une société. 17

18 4 Mise en œuvre 4.1 Concept Société. Informatique. Réseau. Entreprise Concept : Assistance à la création d un concept d intégration de l informatique dans votre entreprise. L informatique d aujourd hui est composée d une multitude d options qui doivent permettre à l utilisateur lambda, vous, de créer et de réaliser tout ce qu il souhaite tant au niveau professionnel que personnel. Le résultat ressemble encore trop souvent à ce que peut ressentir un automobiliste aux commandes d un Jumbo jet... C est pourquoi nous vous proposons d étudier avec votre collaboration, tous les aménagements disponibles vous permettant de piloter votre entreprise sans crainte d affronter le crash... 18

19 4.2 Coordination Coordination : De la coordination naît l organisation. En étant à l écoute de vos besoins par le biais d audits, et pour répondre aux mieux à vos attentes, il s avère nécessaire et utile de coordonner les divers secteurs de votre entreprise liés à l exploitation de l informatique. Ce précepte est valable dans le sens contraire c est-à-dire, coordonner les divers secteurs de votre informatique liés à l exploitation de l entreprise. 4.3 Rendement Rendement : A quoi sert la puissance si on ne sait pas la maîtriser? Tous le monde sait qu il n utilise pas la totalité des performances de son système. Vous seriez impressionné(s) de savoir à quel point il est possible d améliorer le rendement et accroître la facilité d utilisation. 19

20 4.4 Structuration Structuration A effectuer en collaboration avec les intervenants. Il est essentiel d établir le cahier des charges précis de chaque collaborateur en fonction de l utilisation optimale de son poste de travail (ordinateur, réseau, applications, etc.) 4.5 Cahier des charges Cahier des charges : Premier élément de tout développement conceptuel. Il s agit d établir plusieurs types de cahiers des charges : En fonction de chaque collaborateur (utilisateur) Du poste de travail (applications) De chaque intervenant (spécialiste informatique) Du réseau physique (spécialités) Du réseau des données 20

21 4.6 Formation Formation : Se tenir au courant, rester à jour et faire perpétuer la connaissance. Nous établirons également le contrôle des motivations et compétences de chaque intervenant. Afin d assurer un service de qualité et pour permettre de ne pas se sentir dépassé par les nouvelles technologies, il est bon de permettre une formation continue à toutes les étapes du développement professionnel, de Monsieur ou Madame tout le monde jusqu au spécialiste. Nous pouvons mettre sur pied des cours de vulgarisation informatique, séminaires, cours thématiques, exposés ayant trait aux bases de l informatique, à ses étendues, aux options proposées, ainsi qu aux différentes adaptations des outils informatiques relatives aux utilisations individuelles et spécialisées. Ces différentes prestations s adressent aux cadres des entreprises pas forcément à l aise dans une technologie sans grand rapport avec leur domaine professionnel de base et qui doivent s adapter à l évolution de cette fin de millénaire. 4.7 Domaines d application Application : Tous les domaines d activités professionnelles où l informatique est présente. Liste non exhaustive des différents spécialistes informatiques : Système 21

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