Imagerie des tumeurs du sacrum R. Ben Khelifa El Moncer, S. Drissi, A. Daghfous, S. Felah M. Maarouf, L. Rezgui Marhoul
|
|
- Richard Bessette
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Imagerie des tumeurs du sacrum R. Ben Khelifa El Moncer, S. Drissi, A. Daghfous, S. Felah M. Maarouf, L. Rezgui Marhoul Service d Imagerie Médicale Centre de Traumatologie et Des Grands Brûlés. Tunis. Tunisie
2 INTRODUCTION Les tumeurs du sacrum sont rares: 5% des tumeurs osseuses Pathologie maligne prédominante, Les métastases sont les tumeurs les plus fréquentes puis le chordome
3 La symptomatologie clinique est pauvre et retardée; il peut s agir de: Douleurs périnéales Troubles statiques, urinaires ou digestifs Compressions nerveuses Tuméfactions postérieures INTRODUCTION Le diagnostic est souvent tardif Le pronostic est fonction de l histologie
4 Toutes les structures constitutives du sacrum peuvent être à l origine de tumeur: os, cartilage, nerfs, vestiges de la notochorde, méninges But de l imagerie Diagnostic positif et approche étiologique Bilan d opérabilité Guidage des biopsies Suivi post thérapeutique
5 CAS N 1 Patiente suivie pour cancer du sein opéré et traité par radio et chimiothérapies depuis 3 ans Elle se plaint de sciatalgies et de douleurs fessières
6 IRM du rachis lombo sacré en coupes sagittales T1 T2 T1 Gado a b c Masse tissulaire sacrée, en hyposignal T1 (a), de signal hétérogène en T2 (c) et après Gadolinium, ménageant des plages de nécrose (b)
7 CAS N 1 T2 T1 Gado IRM du bassin en coupes axiales chez la même patiente Processus tissulaire sacré de signal hétérogène en T2 et après contraste Métastase sacrée d un cancer du sein
8 Tumeurs osseuses secondaires malignes: métastases et localisation sacrée des hémopathies Ce sont les tumeurs malignes les plus fréquentes du sacrum Elles se voient essentiellement dans les cancers du sein, du rein, du poumon, de la prostate, de la thyroïde, cancers ORL, digestifs et le mélanome
9 Imagerie -Lésions ostéolytiques ++ sans ostéosclérose périphérique -Parfois ostéocondensantes (prostate, sein) - Expansives mal limitées ou petite taille (myélome) - Extension dans les parties molles habituellement minime
10 CAS N 2 Patient âgé de 66 ans, présentant une tuméfaction douloureuse de la fesse droite a b Radiographies centrées sur le sacrum de face (a) et de profil (b) Lésion ostéolytique du sacrum de contours flous
11 CAS N 2 TDM du bassin en fenêtre osseuse et parties molles Masse sacrée ( ) à double composante tissulaire et liquidienne, contenant de fines microcalcifications ( ) SPC APC
12 T1 CAS N 2 T1FS Gado T2 T2 Diagnostic histologique: CHORDOME IRM du bassin en coupes axiales et sagittale Masse tissulaire sacro coccygienne plurilobulée en hyposignal T1 hétérogène, en hypersignal T2, se rehaussant intensément par le Gadolinium. Noter l extension épidurale bien visible sur la séquence sagittale ( )
13 Chordome Représente 2 à 4% des tumeurs osseuses malignes mais 40% des tumeurs du sacrum et 50% des tumeurs malignes du sacrum Développé à partir des restes de la notochorde. H>F, pic de fréquence 40 à 60 ans 2 localisations préférentielles : sacrée (55%), sphéno-occipitale (40%)
14 Chordome Algies lombosacrées, déficits neurologiques Evolution lente, longtemps insidieuse => découverte tardive Malignité locale, métastases à distance rares.
15 Chordome Radiographie standard: ostéolyse médiane, de contours polycycliques, avec parfois ostéosclérose périphérique TDM: - localisation médiane souvent très basse de S3 à S5 - ostéolyse franche avec soufflure osseuse - calcifications intra tumorales dans 50 à 60% des cas
16 Chordome TDM: - développement pré-sacré important++ (PDC) - rehaussement par le produit de contraste IRM: - iso et/ou hypointense en T1 - hypersignal T2 marqué avec septas en hyposignal - prise de contraste discrète - extension endo canalaire jusqu en sous cutané
17 Traitement chirurgical Chordome Récidive locale dans 80% des cas, constante si exérèse incomplète Les métastases sont rares et tardives (poumon, os, foie, peau) Survie globale de 50% à 5 ans
18 CAS N 3 Patiente de 26 ans Douleurs fessières et sciatalgies bilatérales Radiographie du sacrum (F): lésion ostéolytique du sacrum à limites floues par endroit
19 CAS N 3 a b TDM du bassin en coupe axiale (a) avec reformation coronale (b) Processus lytique du sacrum avec importante extension endopelvienne TUMEUR À CELLULES GÉANTES
20 Tumeur à cellules géantes (TCG) La TCG représente 68% des tumeurs primitives bénignes du sacrum 2 ème tumeur sacrée primitive après le chordome Malignité dans 20% des cas Prédominance féminine Pic d incidence entre 15 et 30 ans
21 TCG Radiographie standard: Lésion ostéolytique, mal limitée, sans ostéocondensation avec soufflure et parfois rupture corticale TDM: - Lésion lytique latéralisée parfois multi loculée - Isodense aux muscles - Zones hypodenses = nécrose - Calcifications - Prise de contraste hétérogène - Masse des parties molles
22 TCG IRM: - Hypo T1/ HyperT2 - Zones hypo en T2= hémosidérine - Niveaux liquide-liquide Traitement : - chirurgical - embolisation préalable discutée
23 CAS N 4 Patiente âgée de 58 ans, sans antécédent pathologique, consultant pour une lombosciatique gauche, évoluant depuis 8 mois avec claudication neurogène et diminution du périmètre de marche, le tout dans un contexte d altération de l état général Biologie normale
24 CAS N 4 Coupes axiales TDM en fenêtre osseuse et parties molles Masse intracanalaire, hétérogène, élargissant le fourreau dural et érodant l os en regard
25 CAS N 4 TDM en reconstructions sagittales en fenêtre osseuse et parties molles: Processus expansif intracanalaire lombo-sacré avec scalopping vertébral
26 CAS N 4 IRM en coupes axiale et coronale en pondération T2 Processus expansif endo-canalaire en hypersignal T2
27 CAS N 4 T1 FatSat+Gado T2 T1 IRM en coupes sagittales T1, T2 et T1 Fat Sat Gado Prise de contraste périphérique de la formation intracanalaire sur la séquence T1 Fat Sat Gado SCHWANNOME MALIN
28 Schwannome Tumeur de la gaine périphérique du nerf Les schwannomes développés à l étage sacré représentent 1 à 5 % des schwannomes rachidiens et sont rarement révélateurs d une lombosciatique. Habituellement solitaire mais peut être multiple
29 Pic de fréquence entre 20 et 50 ans Masse bien limitée, continue avec un nerf mais excentrée par rapport à lui, entourée d un halo de graisse Hypodense au scanner Schwannome Iso ou léger hypersignal T1 et hypersignal T2 en IRM Rehaussement variable, non spécifique mais volontiers central
30 Schwannome Traitement: exérèse avec préservation du nerf. La récidive est rare La transformation maligne est rare
31 CAS N 5 Patient âgé de 29 ans Lombosciatique droite Radiographie du bassin centrée sur le sacrum: lésion ostéolytique de l aileron sacré droit
32 CAS N 5 TDM du bassin en coupes axiales: étude osseuse (a) et en parties molles (b) a b Lésion ostéolytique de l aileron sacré droit avec importante masse hétérogène endopelvienne homolatérale ( )
33 CAS N 5 a b T1 T1Gado c T2 IRM du bassin en coupes axiales (a,b) et coronale (c) Lésion lytique de l aileron sacré droit, étendue à l aile iliaque homolatérale avec volumineuse masse endopelvienne en hypo T1, hypersignal T2, se rehaussant par le Gadolinium. SARCOME D EWING
34 Sarcome d Ewing Le sacrum est la localisation rachidienne la plus fréquente du sarcome d Ewing Pic de fréquence de 10 à 30 ans Tumeur lytique mitée avec destruction de la corticale, réaction périostée et extension importante aux parties molles.
35 CAS N 6 Patient âgé de 75 ans, présentant une tuméfaction en regard de l aile iliaque droite Radiographie standard centrée sur le sacrum de face Radiographie standard: lésion ostéolytique sacro iliaque droite ( )
36 CAS N 6 c a TDM du bassin en coupes axiales (a,b), coronales (c) en fenêtre osseuse (a) et parties molles (b,c) Processus tissulaire expansif ostéolytique sacro iliaque droit étendu au trou sacré et à l articulation sacro iliaque droite avec importante extension endo pelvienne et aux parties molles de la fesse droite b
37 CAS N 6 T2 T1 Gado T2 IRM du sacrum: séquences coronale et sagittales Volumineux processus expansif tissulaire de l aile iliaque et de l aileron sacré droit, de contours polylobés, de signal et de rehaussement hétérogène, contenant de multiples zones de nécrose, envahissant les parties molles de la fesse droite Liposarcome dédifférencié
38 Liposarcome Les tumeurs osseuses primitives Localisation sacrée rare malignes rares Pic de fréquence entre 20 et 40 ans Souvent de haut grade Chondrosarcome localisation sacrée rare (5%) Légère prédominance masculine Pic de fréquence entre 30 et 70 ans Il se développe de novo ou sur un enchondrome, un ostéochondrome, une maladie de Paget ou après irradiation Lésion lytique agressive + matrice tumorale calcifiée
39 Fibrosarcome survient sur os anormal dans 25%cas : irradiation, Paget... dégénérescence possible d une tumeur bénigne Ostéosarcome localisation sacrée rare survenue sur os anormal fréquente Plasmocytome solitaire
40 CAS N 7 Fillette de 13 ans Douleurs sacrées depuis 2 ans irradiant aux deux hanches d'aggravation progressive sans fièvre ni altération de l état général Examen: apyrétique, tuméfaction fessière droite
41 CAS N 7 Radiographie centrée sur le sacrum Lésion lytique de l aileron sacré droit, contenant de fines micro calcifications
42 CAS N 7 TDM du sacrum en coupes axiales Lésion ostéolytique expansive sacrée, aux contours polylobés, soufflant la corticale, bien limitée par une coque correspondant à une ostéogenèse sous-périostée; La matrice est faite de tissu associant des zones d ossification et des calcifications. OSTÉOBLASTOME
43 Ostéoblastome 3 % des tumeurs osseuses bénignes et moins de 1 % de l ensemble des tumeurs de l os. Les localisations sacrées sont exceptionnelles (10%) Age moyen de 23 ans avec une nette prédominance masculine Clinique: radiculalgie, tuméfaction
44 Ostéoblastome Radiographie: lésion ostéolytique expansive bien limitée, soufflant la corticale, limitée par une coque correspondant à une ostéogenèse sous-périostée. La matrice est faite de tissu associant des zones d ossification et/ou des calcifications. TDM: précise et caractérise la matrice tumorale, les limites de la lésion, étudie la réaction périostée et l extension aux parties molles.
45 Ostéoblastome IRM: - Lésion expansive lobulée, homogène en isosignal ou hyposignal T1, en hyper ou isosignal T2, limitée par une coque en hyposignal T1 et T2. - Précise les rapports entre la tumeur et les structures radiculaires Diagnostic différentiel: kyste anévrysmal, l ostéome ostéoïde, abcès de Brodie. Traitement:- chirurgical - radiothérapie discutée
46 CAS N 8 Femme de 38 ans Douleurs lombaires et du bassin Bilan phospho calcique perturbé Echographie cervicale: nodule parathyroïdien
47 CAS N 8 a TDM du bassin en coupe axiale (b) et en reconstruction 3D (a) Multiples lésions lytiques, tissulaires du bassin et du sacrum, avec expansion dans les parties molles par endroit simulant des métastases. TUMEURS BRUNES b
48 Tumeurs brunes S observent au cours des hyperparathyroïdies primitives ou secondaires Radiographie et TDM: lésion lytique bien limitée, parfois expansive, plutôt excentrée IRM: -hypo T1, hyper T2, se rehaussant après Gadolinium - parfois niveaux liquide-liquide
49 Autres tumeurs osseuses bénignes Kyste anévrysmal Kyste de Tarlov Schawannome bénin Ostéome ostéoide Hémangiome caverneux
50 Kyste anévrysmal Constitué de cavités remplies de sang Adulte jeune avec un pic de fréquence à 20ans Légère prédominance féminine
51 Kyste anévrysmal TDM: Lésion purement lytique sans composante tissulaire, cernée d un fin liseré calcifié, niveaux liquide-liquide fréquents et typiques IRM: -Lésion multiloculaire bien limitée. -Les images de niveau sont bien visibles. -L injection de Gadolinium révèle l hypervascularisation massive de la lésion
52 Kyste de Tarlov Topographie S2 et/ou S3 Pathogénie: anomalie acquise liée à une ischémie, un traumatisme, une inflammation, une hémorragie Prévalence: 5% chez l adulte
53 Kyste de Tarlov Clinique: asymptomatique le plus souvent, parfois algies périnéales, troubles sphinctériens Diagnostic: scanner et IRM Traitement chirurgical si kyste symptomatique de plus que 15mm
54 IRM du rachis lombaire en coupe sagittale pondérée T2 Formation kystique intra durale en regard de S3 en rapport avec un kyste de Tarlov
55 CONCLUSION L imagerie multi coupes permet le diagnostic positif des tumeurs du sacrum, guide la biopsie, précise l extension, participe au choix de la technique opératoire et surveille l évolution. L IRM est la technique la plus sensible dans l appréciation de l extension à la moelle osseuse.
IRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailINTRODUCTION; OBJECTIFS; NOTRE SÉRIE;
PLAN INTRODUCTION; OBJECTIFS; NOTRE SÉRIE; MATÉRIELS & MÉTHODES; RÉSULTATS; DISCUSSION: GÉNÉRALITÉS; RAPPEL ANATOMIQUE DE LA BASE DU CRÂNE; CLASSIFICATION DES TBC; CLINIQUE. LES MOYENS D IMAGERIE DES TBC;
Plus en détailMédecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride
Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailTUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE?
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE? R.CAMPAGNA, F.THEVENIN, D.RICHARME, H.GUERINI, A.FEYDY, F.LAROUSSERIE, JL.DRAPÉ Service de Radiologie B CHU
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailImagerie interventionnelle en pathologie ostéo-articulaire
Imagerie interventionnelle en pathologie ostéo-articulaire B. Daenen CHC Liège Préalables Prise en charge protocolée Information au patient Interrogatoire du patient Indication du geste Absence de contre-indication
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailDiagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires
Diagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires Emmanuelle Vignot Hôpital Edouard Herriot, Lyon Unité Inserm UMR1033 Lyon emmanuelle.vignot@chu-lyon.fr Arthrite septique (1) 1/ Monoarthrite :
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie MC. Votre assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie MC Votre assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailRadiculalgie et syndrome canalaire
38 Item 279 Radiculalgie et syndrome canalaire Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Savoir diagnostiquer une radiculalgie et un syndrome canalaire. Identifier les situations d urgence et planifier
Plus en détailLombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat
Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat rappeler l examen clinique du rachis Reconnaître les signes d alertes(red flags) Distinguer la lombalgie commune d une lombalgie
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailItem 215 : Rachialgies
Item 215 : Rachialgies COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...5 SPECIFIQUE :...5 I Cervicalgies... 6 I.1 Quand faut-il
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailPathologie Lombaire Mécanique
Pathologie Lombaire Mécanique 10 fiches pour Authentifier Éliminer Classer Connaître Évaluer Traiter Présentation de Christian Mansat BIOMÉCANIQUE VERTÉBRALE - FICHE 1 BIOMÉCANIQUE VERTÉBRALE La compréhension
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailVice Présidents : Pr. Patrick DISDIER et Dr. Jean Claude DURAND. Membres du conseil d administration : - Dr. François Marie SANTINI
1 Président : Dr. Patrick DAOUD Vice Présidents : Pr. Patrick DISDIER et Dr. Jean Claude DURAND Secrétaire : Dr. Christine VINCENT Secrétaire Adjoint : Dr. Christine CARISSIMI Trésorier : Dr. Maurice SOULTANIAN
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailItem 279 : Radiculalgie et syndrome canalaire
Item 279 : Radiculalgie et syndrome canalaire Date de création du document 2008-2009 Table des matières 1 Atteintes radiculaires des membres inférieurs... 1 1. 1 Lomboradiculalgies communes...1 1. 1. 1
Plus en détailLa colonne vertébrale (organisation générale et bases biomécaniques)
FICHE 1 La colonne vertébrale (organisation générale et bases biomécaniques) La colonne vertébrale est un axe souple, composé de vertèbres étagées les unes au dessus des autres, articulées entre elles
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailTable des matières. Remerciements...v. Préface... vii. Avant-propos... xi. Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv
Remerciements...v Préface... vii Avant-propos... xi Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv Nomenclature française traditionnelle et terminologie anatomique officielle...xvii Table des matières...
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailRachialgies aux urgences Docteur Carole PAQUIER Juillet 2003
Rachialgies aux urgences Docteur Carole PAQUIER Juillet 2003 Pré-Requis : Les différents syndromes rhumatologiques. Résumé : Objectifs du cours sur la prise en charge des rachialgies aux urgences : 1/
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailLes tumeurs bénignes ne sont pas cancéreuses. Elles ne se propagent pas à d autres parties du corps.
Vivre avec le cancer Renseignements généraux à propos du cancer Le cancer apparaît lorsque des cellules deviennent anormales et prolifèrent de manière incontrôlée. Ces cellules empêchent les cellules saines
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailRADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE
RADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE EN CONDITIONS STÉRÉOTAXIQUES Classement CCAM : 17 code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis La
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailLE SYNDROME PARIÉTAL THORACIQUE
LE SYNDROME PARIÉTAL THORACIQUE Sémiologie, étiologies et diagnostics différentiels J Giron, N Sans, ML Despeyroux, O Loustau, H Gandois, D Galy, JJ Railhac Service central d imagerie CHU Purpan - Toulouse
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailGuide des définitions des maladies graves
Guide des définitions des maladies graves Assurance maladies graves Sun Life La vie est plus radieuse sous le soleil Guide des définitions des maladies graves Ce guide vous aidera à comprendre les maladies,
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailNeurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen
Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche
Plus en détail