ÉQUIPE SUR LE BUDGET ET LES FINANCES 1 COALITION POUR LA COUR PÉNALE INTERNATIONALE (CCPI)
|
|
- Aurore Larouche
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ÉQUIPE SUR LE BUDGET ET LES FINANCES 1 COALITION POUR LA COUR PÉNALE INTERNATIONALE (CCPI) SOUMISSION À L ATTENTION DU COMITÉ SUR LE BUDGET ET LES FINANCES LORS DE SA DIX-SEPTIÈME SESSION DU 22 AU 30 AOÛT 2011 Commentaires relatifs au projet de budget-programme pour 2012 de la Cour pénale internationale et autres domaines 17 août 2011 I. INTRODUCTION L Équipe sur le Budget et les Finances (l Équipe) de la Coalition pour la Cour pénale internationale (CCPI) a été créée lors de la sixième session de la Commission préparatoire. Ses membres, eux-mêmes membres d ONG ont suivi et contribué à la préparation du Règlement financier, des Règles de gestion financière, de la rémunération des Juges, du budget du premier exercice financier de la Cour et des budget-programmes de 2004 à L Équipe souhaite aider le Comité sur le budget et les finances (Comité) et l Assemblée des Etats parties (Assemblée) dans leur examen du budget de la CPI et d autres questions financières en soumettant des commentaires et des recommandations détaillées qui intègrent l expertise et la connaissance pratique des membres de l Équipe sur les questions liées à la justice internationale. Ainsi, l Équipe remarque que, depuis plusieurs années, des questions clés relevant de la politique générale de la Cour sont soulevées au cours de l adoption du budget. L Équipe reste préoccupée par le fait qu il soit souvent demandé au Comité, unique organe subsidiaire de l Assemblée, de réviser les questions clés relevant de la politique générale sans le soutien ni la contribution d autres organes subsidiaires d experts. Ce document contient les commentaires et les recommandations de l Équipe sur le Projet de budget-programme pour 2012 de la Cour pénale internationale (Projet de budget). 3 Le Projet de budget sera examiné par le Comité lors de sa dix-septième session du 22 au 31 août L Équipe est disponible en vue de discuter toute question avec le Comité ou les États parties en prévision de la session du Comité et peut être contactée par le biais du 1 Bien que le travail de l Équipe sur le Budget et les finances illustre la position des membres de la CCPI les plus actifs sur des questions spécifiques et qu il soit revu par les autres équipes de la CCPI, ce document ne devrait être considéré comme le reflet des opinions de toutes les organisations ou membres de la CCPI. 2 Les Équipes de la CCPI sont composées de membres de la CCPI et travaillent sur un large éventail de thèmes spécifiques relatifs à la justice internationale. Les Équipes s intéressent particulièrement à des questions spécifiques comme le budget annuel. Les Équipes suivent les développements de la CPI et de l Assemblée et entreprennent des recherches et des activités de plaidoyer pertinentes. Tous les membres de la CCPI peuvent rejoindre une équipe et sont régulièrement informés du travail des équipes. 3 Projet de budget-programme pour 2012 de la Cour pénale internationale (Projet de budget 2012), CPI- ASP /10/10, 21 juillet 2011.
2 Bureau de La Haye de la CCPI Bezuidenhoutseweg 99a, 2594 AC La Haye, Tel : +31(0) ). II. RÉSUME DES RECOMMANDATIONS PRESENTEES DANS CE DOCUMENT 1. L Équipe recommande à l Assemblée d approuver une augmentation générale du budget de la Cour suffisamment élevé pour mener à bien les activités additionnelles liées aux enquêtes et procès. 2. L Équipe recommande à l Assemblée de rejeter les efforts visant une politique de croissance-zéro pour la Cour. Une croissance responsable au cours des prochaines années est fondamentale pour que la Cour atteigne sa pleine capacité garantissant ainsi l efficacité et l impact maximal de l application de son mandat tel qu énoncé dans le Statut de Rome. 3. Par le biais de la révision du Projet de budget et la soumission de ses recommandations à l Assemblée, l Équipe encourage le Comité à prendre en compte le niveau actuellement insuffisant du financement des domaines d activité de la Cour cités dans la section III L Équipe encourage le Comité à consulter la Cour afin d identifier les raisons du sous-financement de ces domaines d activité citées dans la section III.3 et à soumettre des recommandations à la Cour sur la manière de résoudre ces problèmes. 5. L Équipe encourage le Comité à examiner et fournir les recommandations nécessaires à l Assemblée et à la Cour concernant : a) les risques associés au financement inadéquat de la Section de la participation des victimes et des réparations ainsi que du Bureau du conseil public de la Défense, en évoquant notamment les conséquences possibles sur les droits des accusés et des victimes et sur l efficacité des procédures judiciaires ; b) les risques associés à la mise en œuvre d un programme de sensibilisation restreint aux victimes et aux communautés touchées, à la fois dans les situations en cours et à venir, y compris celles faisant l objet d une enquête préliminaire. 4 c) la capacité de la Cour à fournir un soutien et une présence adaptés sur le terrain, notamment en soutenant la révision des fonctions de gestion des bureaux sur le terrain ; et d) les risques pour la Cour que provoquerait un financement inadéquat du Bureau de l audit interne ; 6. L Équipe encourage le Comité à demander à la Cour et à l Assemblée de fournir lors des prochaines propositions une estimation des incidences budgétaires pour les activités potentielles qui dépendent encore d une décision judiciaire imminente, comme une nouvelle enquête en attente d approbation mais surtout la préparation des procédures liées au procès dans le cas oú les charges seraient confirmées. À cet égard, le Comité pourrait également considérer prudent de disposer d une estimation des incidences budgétaires (y compris 4 L AEP a vivement encouragé lors de sa neuvième session «la Cour à étoffer et développer le Plan stratégique d information et de sensibilisation dans les pays touchés, notamment en procédant, selon que le besoin et dès que possible, à des actions rapides de sensibilisation, y compris durant la phase d évaluation préliminaire». ICC-ASP /9/Res.3, «Renforcement de la Cour pénale internationale et de l Assemblée des États parties», para. 38.
3 savoir si l hypothèse des procès consécutifs suffira pour l ensemble de l année 2012) dans le cas où une nouvelle enquête en Côte d Ivoire, la préparation du procès ainsi que les possibles audiences seraient menées pour les cas Ruto et al., Muthaura et al. ainsi que celui de Callixte Mbarushimana ; 7. Compte tenu du fait que l intensification de l aide judiciaire naît de l activité judiciaire et de l exécution du système d aide judiciaire adopté par l Assemblée, l Équipe encourage le Comité à recommander à l Assemblée d approuver l augmentation de l aide judiciaire en L Équipe exhorte le Comité à revoir sa décision de geler la création de postes permanents pour 2012 et de demander également à la Cour un rapport présentant quels sont parmi les postes temporaires demandés pour 2012 ceux qui pourraient être changés en postes permanents; 9. L Équipe encourage le Comité à travailler en collaboration avec la Cour afin d élaborer un agenda clair et réaliste pour le parachèvement du processus de nouvelle justification de création de postes permanents. 10. En particulier, l Équipe exhorte le Comité à encourager vivement l Assemblée à approuver le poste de conseiller juridique au Fonds au profit des victimes ainsi que celui de psychologue/spécialiste en traumatismes psychologiques pour l Unité d aide aux victimes et aux témoins. III. LE PROJET DE BUDGET POUR 2012 Le 21 juillet 2011, la Cour pénale internationale (Cour) a publié son Projet de budget pour Dans ce document, la Cour demande 117,73 millions d euros. 1. Une augmentation du budget nécessaire Ce montant indiqué dans le Projet de budget pour 2012 représente une augmentation de 14,12 millions d euros par rapport à l année L Équipe estime qu une telle augmentation générale du budget est justifiée au vue de l extrême intensification des activités attendues en Les ressources supplémentaires sont notamment fondamentales pour mener à bien une enquête de manière efficace sur les crimes commis en Libye et pour financer l intensification des activités judicaires (aide juridique comprise). En effet, comme il sera présenté dans la troisième section ci-dessous, l Équipe s inquiète de voir que la Cour continue de sous-financer ses activités dans de nombreux domaines d activité. Recommandation : L Équipe encourage l Assemblée à approuver une augmentation générale du budget de la Cour suffisante pour mener à bien ses activités liées aux procès et aux enquêtes. 2. Un appel irréaliste à une «croissance-zéro» L Équipe reste préoccupée du fait que certains États parties continuent de plaider pour une croissance nulle du budget de la Cour, malgré les arguments incontestables en faveur d une augmentation du budget pour L Équipe a adressé une lettre à tous
4 les ministres des affaires étrangères des États parties afin de les exhorter à s opposer aux volontés de croissance-zéro. 5 Un tel scénario est clairement irréaliste au vue des hypothèses pour En effet, des augmentations seront de rigueur ces prochaines années dans la mesure où les procès en cours avancent et d autres sont ouverts. Néanmoins, la Cour a dépassé le stade de commencement et ses procédures judiciaires doivent atteindre leur pleine capacité. Par ailleurs, les activités de la Cour continuent de s intensifier en réponse aux nouvelles situations où des crimes sont commis et aux demandes d intervention exprimées par la communauté internationale, comme l a démontré clairement le renvoi de la situation en Libye à la Cour en février de cette année. L Équipe souhaite de nouveau insister sur le fait que bien que la Cour ait la responsabilité de s assurer que ses activités se déroulent d une manière efficace et rentable tout en communiquant aux États parties une vision claire et cohérente pour une croissance et un développement responsable de l institution, son mandat juridique exige que son budget soit déterminé en tenant compte des ressources nécessaires pour mettre en œuvre ses activités. Une croissance-zéro tout comme de grandes réductions arbitraires mineraient l efficacité du travail de la Cour et réduiraient sa capacité à répondre rapidement aux situations où des crimes sont commis. Recommandation : L Équipe encourage l Assemblée à s opposer aux volontés d imposer une politique de croissance-zéro pour la Cour. Une croissance responsable et continue au cours des prochaines années est essentielle afin de s assurer que la Cour atteigne sa pleine capacité, garantissant ainsi l efficacité et l impact maximal de son mandat tel qu énoncé dans le Statut de Rome. 3. Preuve d un sous-financement dans le Projet de budget Malgré l augmentation présentée dans le Projet de budget pour 2012, l Équipe s inquiète de constater le sous-financement de domaines d activité clé de la Cour comme il apparaît dans différents passages du Projet. Section de la participation des victimes et des réparations (SPVR) Le tableau 99 montre qu il manque actuellement dix juristes adjoints au sein de la Section de la participation des victimes et des réparations pour faire face à la charge de travail de la SPVR. Par ailleurs, le Projet de budget indique qu il n y a pas eu «d augmentation du personnel du SPVR au sein du siège depuis 2006, alors que la masse salariale a maintes fois augmenté.» 6 L Équipe remarque que le sous-financement a récemment empêché l accès à la participation d au moins 470 victimes à l audience de confirmation des charges de Callixte Mbarushimana étant donné que leurs demandes n ont pas pu être examinées à temps. 7 Le Greffe a également justifié l impossibilité de mise en place de consultations auprès des communautés touchées du fait de la limitation des ressources, bien que la Chambre préliminaire l ait instruit en accord avec la règle 5 Lettre de la CCPI sur le budget 2012, 6 juillet 2011, disponible sur: 6 Projet de budget 2012, para Voir: Redress, Communiqué de presse, Le manque de ressources de la CPI empêche des centaines de victimes de participer à des audiences de haute importance, 15 juillet Disponible en anglais sur :
5 90 du Règlement de procédure et de preuve, pour le recrutement d une représentation légale commune dans les cas de Ruto et al., Banda et Jerbo. Mis à part le manque flagrant de ressources, le Projet de budget demande uniquement trois des dix nouveaux postes de juristes adjoints nécessaires un juriste adjoint chargé de l assistance des procédures et les deux autres pour la situation en Libye. 8 Bureau du conseil public pour la Défense (BCPD) Le Projet de budget pour le BCPD présente des insuffisances significatives relatives aux réponses aux exigences pour l assistance des équipes de la Défense. Le Projet déclare expressément «[c]ompte tenu des ressources actuelles du Bureau, on estime qu en 2012 le BCPD serait incapable de répondre aux 345 requêtes qu il a reçu concernant le conseil juridique, ce qui pourrait amener la Défense à demander des ajournements des procédures.» 9 Section de l information du public et de la documentation (SIPD) Le Projet de budget admet que : «avec des ressources limitées la Cour ne peut répondre totalement à la pétition de l Assemblée de poursuivre le développement et mise en œuvre du Plan stratégique pour la sensibilisation dans les pays concernés, y compris là où une sensibilisation précoce est nécessaire dès le début de l intervention de la Cour, y compris au stade d enquête préliminaire. La Section doit limiter la portée de son travail afin de toucher en priorité les victimes et les communautés affectées» 10 Il y est ensuite indiqué que des «[r]estrictions des ressources humaines pour l équipe audio-visuelle présupposent que la SIPD n aura pas les moyens de suivre quotidiennement les audiences, et ne pourra donc pas continuer à produire des résumés hebdomadaires des procès en cours, comme elle l a fait en 2010 et 2011.» 11 Ceci se reflète également dans les réductions proposées des activités de sensibilisation dans les régions en situation, notamment en Ouganda et au Soudan, ainsi que les nouvelles situations. Ceci est d autant plus déconcertant que le manque d information persiste et que les besoins en sensibilisation et en diffusion publique d informations pour gérer les attentes des victimes et des communautés affectées n ont toujours pas été satisfaits. Unité des victimes et des témoins(uvt) Le Projet de budget signale que la UVT a tenté de réduire les coûts en limitant la disponibilité géographique de son Système de réponse immédiate (IRS), en diminuant le nombre de déplacements de témoins en ce qui concerne la situation au Kenya et en réduisant le coût des mesures de protections locales. 12 Ceci est inquiétant compte tenu de l insuffisance des mécanismes de protection nationale et au vue du fait que l incapacité perçue de la Cour de protéger les témoins peut affecter sa crédibilité. 8 Projet de budget 2012, para Projet de budget 2012, para Projet de budget 2012, para Projet de budget 2012, para Projet de budget 2012, para.398.
6 Section des opérations hors siège 13 Alors que le Projet de budget signale que la «capacité et le cycle de vie des bureaux et la présence sur le terrain continueront d être dictés pas le rythme des développements judiciaires de chaque situation», il n y fait aucune mention de la présence sur le terrain en Libye ou en Côte d Ivoire (si une enquête devait être ouverte). 14 Il y est ensuite proposé d effectuer des réductions substantielles de l actuelle présence sur le terrain et un redéploiement des ressources soit vers d autres bureaux locaux soit vers les sièges. Bureau de l audit interne La Cour reconnaît que le Projet de budget pour le Bureau de l audit interne qui mène un travail essentiel en assurant l intégrité administrative et financière de la Cour est presque équivalent à la moitié du budget requis pas les «normes». 15 Le budget du Bureau représente 0,52% du montant total du projet de budget. La Cour indique que «[c]e ratio n est pas en accord avec les normes, qui exigent que le budget de l audit interne soit approximativement égal à 1% du budget total d une organisation». 16 Recommandations : Au vue des remarques précédentes, l Équipe présente les recommandations suivantes: À travers la révision du Projet de budget et la soumission de ses recommandations à l Assemblée, l Équipe encourage le Comité à prendre en compte le niveau actuel insuffisant du financement des domaines d activité de la Cour mis en exergue dans la section III.3. l Équipe encourage le Comité à consulter la Cour afin d identifier les raisons du sous-financement de ces domaines d activité citées dans la section III.3 et à soumettre des recommandations à la Cour sur la manière de résoudre ces problèmes. l Équipe encourage le Comité à examiner et fournir les recommandations nécessaires à l Assemblée et à la Cour concernant : a. les risques associés au financement inadéquat de la Section de la participation des victimes et des réparations ainsi que du Bureau du conseil public de la Défense, en évoquant notamment les conséquences possibles sur les droits des accusés et des victimes et sur l efficacité des procédures judiciaires ; b. les risques associés à la mise en œuvre d un programme de sensibilisation restreint sur les victimes et les communautés touchées, à la fois dans les situations en cours et à venir, y compris celles faisant l objet d une enquête préliminaire ; L Équipe réitère son soutien à l augmentation de la coordination locale. Voir Équipe de la CCPI sur le Budget et les Finances, Soumission au Comité sur le budget et les finances lors de sa quinzième session (17 août 2010), p.4. L Équipe encourage le CBF à soutenir la révision des fonctions de gestion des bureaux locaux de la Cour. 14 Projet de budget 2012, para Projet de budget 2012, para Ibid. 17 L AEP a vivement encouragé lors de sa neuvième session «la Cour à étoffer et développer le Plan stratégique d information et de sensibilisation dans les pays touchés, notamment en procédant, selon que le besoin et dès que possible, à des actions rapides de sensibilisation, y compris durant la phase d évaluation préliminaire». ICC-ASP /9/Res.3, «Renforcement de la Cour pénale internationale et de l Assemblée des États parties», para. 38.
7 c. la capacité de la Cour à fournir un soutien et une présence adaptés sur le terrain, notamment en soutenant la révision des fonctions de gestion des bureaux sur le terrain de la Cour; et d. les risques pour la Cour que provoquerait un financement inadéquat du Bureau de l audit interne ; 4. Omission de certaines activités prévisibles contingentes aux décisions judiciaires L Équipe note que cette année il y a un certain nombre d activités généralement prévisibles mais dont le passage au stade suivant dépend des décisions judiciaires comme la confirmation des charges et l autorisation donnée au Bureau du Procureur (BdP) d ouvrir une enquête. Le Projet de budget et ses annexes ne contiennent pas assez d informations sur les incidences financières qu impliquerait la possible exécution de ces activités. L enquête en Côte d Ivoire Le Projet de budget ne semble pas inclure les ressources destinées à une enquête en Côte d Ivoire. L enquête n est pas mentionnée dans les hypothèses pour 2012, ce qui montre qu elle pourrait avoir été exclue du Projet de budget parce que la pétition du Procureur d ouvrir une enquête n avait pas été approuvée au temps de la rédaction du Projet de budget. Cependant, le Projet de budget signale bien que si l enquête est approuvée, le BdP absorberait les coûts supplémentaires de cette enquête grâce aux ressources demandées pour Il n est fait aucune référence non plus à la possibilité d absorption des coûts liés à une situation par d autres organes. Compte tenu de la limite des ressources pour un certain nombre de fonctions de la Cour, l Équipe reste sceptique à l idée que les coûts soient absorbés sans que cela n entraîne des conséquences néfastes sur les activités des situations en cours. Même en reconnaissant qu il existe des motifs raisonnables de s opposer à l inclusion des coûts de l enquête dans le budget du fait qu elle n ait pas encore reçu d approbation, il est regrettable compte tenu de la grande probabilité qu elle la reçoive qu il n y ait pas plus d informations sur les incidences financières d une nouvelle enquête potentielle. Une réduction des coûts des organes ajoutée à une enquête potentielle annexée au projet de budget aurait pu fournir des indications utiles sur les coûts associés à l ouverture d une enquête et aurait pu devenir un outil de planification profitable. Estimations des activités liées aux procès Le Projet de budget ne semble pas envisager les ressources judiciaires au delà des activités de préparation des procès dans les cas de Ruto et al., Muthaura et al. et Callixte Mbarushimana mais signale uniquement que les activités futures de ces cas seront parmi les facteurs qui affecteront le nombre de nouveaux juges nommés à temps plein en Alors que les hypothèses du budget ont été présentées en mars 2011, des décisions concernant la confirmation de charges dans chacun de ces trois cas ont pu être prises avant la fin de l année Ceci marquera la fin des procédures préliminaires et si les cas sont envoyés en jugement, le début au moins de la préparation des procès en 2012, 18 Projet de budget 2012, para. 86(c). 19 Projet de budget 2012, para. 72.
8 si ce n est pas le début des mêmes procès. Alors que la Cour semble sceptique à l idée d assumer tout éventuel résultat des procédures de confirmation de charges concernant ces cas, il serait cependant approprié de fournir des informations supplémentaires sur les incidences budgétaires sur les ressources judiciaires et autres dans le cas où les charges seraient confirmées. Recommandations : L Équipe encourage le Comité à demander à la Cour et à l Assemblée de fournir lors des prochaines propositions une estimation des incidences budgétaires pour les activités potentielles qui dépendent cependant d une décision judiciaire imminente, par exemple une nouvelle enquête en attente d approbation mais surtout la préparation des procédures liées au procès si les charges sont confirmées. À cet égard, le Comité pourrait également considérer prudent de disposer d une estimation des incidences budgétaires (y compris savoir si l hypothèse des procès consécutifs suffira pour l ensemble de l année 2012) dans le cas où une nouvelle enquête en Côte d Ivoire, la préparation du procès ainsi que les possibles audiences sont menées dans les cas Ruto et al., Muthaura et al. ainsi que celui de Callixte Mbarushimana ; 5. Intensification de l aide judiciaire pour la Défense et les victimes L Équipe remarque une augmentation substantielle d environ 4,9 millions d euros en aide judiciaire demandée pour 2012 à la fois pour la Défense et les victimes cette année, ceci résultant de l intensification des activités judiciaires. L Équipe reconnaît que l aide judiciaire entraîne des coûts significatifs pour la Cour, soit une institution qui s engage à exécuter le droit de l accusé à un procès équitable ainsi que les droits des victimes tels énoncés dans le Statut de Rome. Des coûts supplémentaires sont inévitables lorsque l activité judiciaire principal générateur de coûts de la Cour s intensifie. 20 Tout comme le budget du Bureau du Procureur augmente lorsque l activité judiciaire s intensifie, l aide judiciaire devra également croître dans le but de garantir aux autres parties à la procédure une représentation adaptée. En effet, la Cour rappelle avec justesse dans le Projet de budget que les augmentations sont basées sur la demande du système d aide judiciaire pour la Défense et les victimes, approuvée antérieurement par le Comité sur le Budget et les Finances ainsi que l Assemblée. 21 L Équipe note que toute question relative au système d aide judiciaire devrait être examinée en tant que partie intégrante d une révision programmée pour le parachèvement du premier cycle judiciaire. L Équipe note également que le Greffe a commencé indépendamment une révision minutieuse du système actuel «en tenant compte de l expérience acquise par la Cour jusqu'à présent». Il est attendu que ceci génère «le système le plus rentable à travers l adoption de mesures efficaces.» 22 L Équipe suivra minutieusement cette révision afin de s assurer que les droits de la Défense et des victimes y sont respectés. Recommandation : Compte tenu du fait que l intensification de l aide judiciaire naît de l activité judiciaire et de l exécution du système d aide judiciaire adopté par l Assemblée, 20 Projet de budget 2012, para Projet de budget 2012, para Projet de budget 2012, para. 166.
9 l Équipe exhorte le Comité à recommander à l Assemblée d approuver l augmentation de l aide judiciaire en Dépendance excessive au personnel temporaire L Équipe note une augmentation significative de 4,56 millions d euros des demandes de personnel temporaire en 2012, notamment par le Bureau du Procureur qui ne demande quasiment que des nouveaux postes comme ceux liés à la situation en Libye- financés au titre de contrats de 12 mois. La décision doit se faire selon la recommandation du Comité lors de sa quinzième session : «que la Cour gèle le nombre de postes permanents au niveau accordé en 2010 jusqu'à la présentation d une nouvelle justification pour la création des postes la Cour devrait fournir au Comité une nouvelle justification pour les postes qui sera incluse dans la soumission annuelle du budget.» 23 L Équipe est préoccupée du fait qu une augmentation significative des postes temporaires en 2012 peut avoir des conséquences à court terme sur sa capacité à recruter et à choisir des personnes hautement qualifiées pour remplir les fonctions de la Cour, notamment pour la situation en Libye. Elle aura également des conséquences à long terme en constituant un nombre excessivement élevé de postes temporaires au sein de la Cour et en créant le besoin de changer ultérieurement un grand nombre de postes temporaires en postes permanents. L Équipe note qu aucun calendrier n a été mis en place par le Comité pour le parachèvement de la nouvelle justification complète de tous les postes. Malgré l importance de mener une nouvelle justification complète des actuels postes permanents, il est peu probable qu elle ait lieu à travers le processus du budget annuel standard compte tenu du temps que requiert une révision minutieuse et du volume de la documentation. Recommandations : L Équipe exhorte le Comité à revoir sa décision de geler la création de postes permanents pour 2012 et à demander également à la Cour un rapport présentant quels sont parmi les postes temporaires demandés pour 2012 ceux qui pourraient être changés en postes permanents; L Équipe encourage le Comité à travailler en collaboration avec la Cour afin d élaborer un agenda clair et réaliste pour le parachèvement du processus de la nouvelle justification. 7. Approbation de postes spécifiques L Équipe exhorte le Comité à encourager l Assemblée à approuver les deux postes spécifiques suivants : Conseiller juridique Fonds au profit des victimes 24 L Équipe note que le financement actuel par le gouvernement allemand de ce poste arrivera à échéance à la fin de l année Il s agit de l unique poste de conseil juridique que possède le Secrétariat du Fonds au profit des victimes et 23 Rapport du Comité sur le budget et des finances sur les travaux menés lors de sa quinzième session, ICC-ASP/9/15, 24 novembre 2010, para Projet de budget 2012, para. 482.
10 devrait donc être maintenu. Ce poste est d autant plus important qu il est attendu que la Cour instruise un procès de réparation en 2012 qui pourrait amener la Cour à verser des réparations par le biais du Fonds. Psychologue Spécialiste des traumatismes psychologiques 25 L Équipe soutient l approbation de ce poste compte tenu de l importance vitale pour l Unité d aide aux victimes et aux témoins de fournir un soutien psychologique aux victimes et aux témoins comparaissant devant la Cour. En effet, comme il a été remarqué, ce poste a été spécifiquement mandaté aux termes de l article 43(6) du Statut de Rome. Il est difficile de déterminer s il s agit du même poste que le Comité avait envisagé de reclasser en tant que poste permanent à l Assemblée en Le cas échéant, il est décevant de constater que le besoin continu de ce poste n a pas reçu de réponse et qu il n a pas encore été incorporé en tant que poste permanent. Recommandation : L Équipe exhorte le Comité de recommander à l Assemblée d approuver ces postes. 25 Projet de budget 2012, para
Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications
Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications La présente annexe au document de politique du Procureur
Plus en détailCHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES
CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES Méthode de sélection: les dispositions qui suivent s appliquent lorsqu elles ne sont pas contraires à celles préconisées dans les
Plus en détailLa chambre du conseil de la Cour d'appel du Grand-Duché de Luxembourg a rendu le douze février deux mille quatorze l'arrêt qui suit:
Arrêt n 102/14 Ch.c.C. du 12 février 2014. (Not. : 22032/99/CD) La chambre du conseil de la Cour d'appel du Grand-Duché de Luxembourg a rendu le douze février deux mille quatorze l'arrêt qui suit: Vu les
Plus en détailRÈGLEMENT DE LA COUR
RÈGLEMENT DE LA COUR Adopté par les juges de la Cour le 26 mai 2004 Cinquième session plénière La Haye, 17 28 mai 2004 Documents officiels de la Cour pénale internationale ICC BD/01 01 04 Règlement de
Plus en détailAssemblée des États Parties
Cour pénale internationale Assemblée des États Parties Distr. : générale 29 octobre 2013 ICC-ASP/12/47 FRANÇAIS Original : anglais Douzième session The Hague, 20-28 novembre 2013 Rapport de la Commission
Plus en détailCour. des droits QUESTIONS FRA?
Cour européenne LA CEDH des droits de l homme EN 50 QUESTIONS FRA? AN COURT OF HUM La CEDH en 50 questions Préparé par l Unité des Relations publiques de la Cour, ce document ne lie pas la Cour. Il vise
Plus en détailAccord négocié régissant les relations entre la Cour pénale internationale et l Organisation des Nations Unies. Préambule
Accord négocié régissant les relations entre la Cour pénale internationale et l Organisation des Nations Unies Préambule La Cour pénale internationale et l Organisation des Nations Unies, Ayant à l esprit
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailLA DÉCISION D'URGENCE PROPOS INTRODUCTIFS
LA DÉCISION D'URGENCE PROPOS INTRODUCTIFS L exécution d un chantier ou d une prestation de service sur une période relativement longue conduit quasi-inévitablement à des divergences de points de vue entre
Plus en détailLA DEFENSE DEVANT LES JURIDICTIONS PENALES INTERNATIONALES
LA DEFENSE DEVANT LES JURIDICTIONS PENALES INTERNATIONALES PAR François ROUX Depuis Nuremberg jusqu au Tribunal spécial pour le Liban, la défense devant les tribunaux pénaux internationaux a subi une évolution
Plus en détailLA CHAMBRE PRELIMINAIRE III SITUATION EN REPUBLIQUE DE COTE DTVOIRE. AFFAIRE LE PROCUREUR c. LAURENT GBAGBO
ICC-02/11-01/11-32 09-02-2012 1/10 NM PT ICC-02/11-01/11-32-Conf-Exp 27-01-2012 1/10 CB PT Cour Pénale Internationale International Criminal Court Original: français N«: ICC-02/11-01/11 Date: 27 janvier
Plus en détailEvaluation de l organisation interne
Module 1 Module Evaluation de l organisation interne Table des matières SECTION 1 Mission et valeurs 34 SECTION 2 Gestion 1 40 SECTION 3 Gestion 2 46 T E A R F U N D 2 0 0 3 33 Module 1 Section 1 Mission
Plus en détailAssemblée des États Parties
Cour pénale internationale Assemblée des États Parties ICC-ASP/6/INF.3 Distr.: générale 4 décembre 2007 FRANÇAIS Original: Anglais Sixième session New York 30 novembre - 14 décembre 2007 Conférence de
Plus en détailRègle 63 DIVORCE ET DROIT DE LA FAMILLE
Règle 63 DIVORCE ET DROIT DE LA FAMILLE Définitions (1) Les définitions qui suivent s appliquent à la présente règle. Champ d application «demande de réparation» Sont comprises parmi les demandes de réparation
Plus en détail1. Politiques en matières d appel. 2. Définitions. 3. Portée de l appel
1. Politiques en matières d appel L Association Québec Snowboard ( ci-après désignée par AQS ) reconnaît le droit de tout Membre d en appeler des décisions de l AQS et offre par les présentes un processus
Plus en détail25. la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe)
-coopération 25. la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe) 1 9. Reconnaît les conséquences négatives que la non exécution des requêtes de la Cour peut avoir sur la capacité de la Cour à mener à bien
Plus en détailLa Justice et vous. Les acteurs de la Justice. Les institutions. S informer. Justice pratique. Vous êtes victime. Ministère de la Justice
La Justice et vous Les acteurs de la Justice Les institutions S informer Justice pratique Ministère de la Justice Vous êtes victime Vous pouvez, en tant que victime d une infraction, déposer une plainte
Plus en détailComparaison de l expertise judiciaire au pénal et au civil
Questions Réponse Références des Art. 156 à 169 du c.p.p. Avant l expertise Désignation de l expert Nombre d experts Nombre d experts dans le cadre d une contre expertise Possibilité de nommer une personne
Plus en détailLoi organique relative à la Haute Cour
Loi organique relative à la Haute Cour Dahir portant loi organique n 1-77-278 du 24 chaoual 1397 (8 octobre 1977) relative à la Haute Cour (1) Louange à Dieu Seul! (Grand Sceau de Sa Majesté Hassan II)
Plus en détailCOUR PENALE INTERNATIONALE
ICC-01/04-01/06-917 30-05-2007 1/10 EO PT COUR PENALE INTERNATIONALE Original : Français No : Date de dépôt : 29 mai 2007 LA CHAMBRE PRELIMINAIRE 1 Composée comme suit : M. le Juge Claude Jorda Mme la
Plus en détailDécision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-187
Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-187 RESUME ANONYMISE DE LA DECISION Décision de recommandations - article 25 de la loi organique Domaine(s) de compétence de l Institution : Défense des droits
Plus en détail27. Procédures de l Assemblée concernant la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe)
27. Procédures de l Assemblée concernant la non-coopération (ICC-ASP/10/Res.5, annexe) L Assemblée des États Parties, 1 [ ] 9. Reconnaît les conséquences négatives que la non exécution des requêtes de
Plus en détailApplication de la convention pour la prévention et la répression du crime de génocide. (Croatie c. Serbie).
COUR INTERNATIONALE DE JUSTICE Palais de la Paix, Carnegieplein 2, 2517 KJ La Haye, Pays-Bas Tél : +31 (0)70 302 2323 Télécopie : +31 (0)70 364 9928 Site Internet : www.icj-cij.org Communiqué de presse
Plus en détailPartenariat Faire reculer le paludisme (RBM)
Partenariat Faire reculer le paludisme (RBM) Cahier des charges du Groupe de Travail sur le Plaidoyer pour la lutte contre le paludisme (MAWG) Révision basée sur l examen du cadre de responsabilisation
Plus en détailQuestionnaire du projet Innocence
1 Questionnaire du projet Innocence Directives : Répondez de façon aussi détaillée que possible à chacune des questions suivantes ayant trait à votre dossier. Des réponses complètes et précises nous permettront
Plus en détailLA CONSTITUTION DE PARTIE CIVILE DANS UN PROCES PENAL.
LA CONSTITUTION DE PARTIE CIVILE DANS UN PROCES PENAL. 1/ Le rôle de l'avocat. 2/ Le roulage /police d'assurance en protection juridique ou défense en Justice. 3/ La constitution de partie civile devant
Plus en détailRECOURS COLLECTIFS - LA COMPÉTENCE RATIONE MATERIAE : UNE QUESTION PRÉLIMINAIRE
RECOURS COLLECTIFS - LA COMPÉTENCE RATIONE MATERIAE : UNE QUESTION PRÉLIMINAIRE Par : Catherine Piché Fasken Martineau DuMoulin s.r.l. Tour de la Bourse Bureau 3400, C.P. 242 800, Place Victoria Montréal
Plus en détailCHAPITRE 6 PROTECTION STATUTAIRE ET ASSURANCE GROUPE RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE
CHAPITRE 6 PROTECTION STATUTAIRE ET ASSURANCE GROUPE Textes applicables : Article 11 de l ordonnance n 58-1270 du 22 décembre 1958 portant loi organique relative au statut de la magistrature ; Article
Plus en détailUn seul droit de la famille pour toutes les femmes.
2 Protection de l enfance et droit de la famille FR 002 LE DROIT DE LA FAMILLE ET LES FEMMES EN ONTARIO Un seul droit de la famille pour toutes les femmes. Renseignez-vous sur vos droits. Protection de
Plus en détailI. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A.
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DU TRAVAIL ET DE LA SOLIDARITÉ Délégation générale à l emploi et à la formation professionnelle Sous-direction des formations en alternance et de l insertion des jeunes
Plus en détailLe Manuel de la secrétaire juridique et du parajuriste Julie Tondreau TABLE DES MATIÈRES
TABLE DES MATIÈRES TARIFS (pages grises) : TARIF DES FRAIS JUDICIAIRES EN MATIÈRE CIVILE ET DES DROITS DE GREFFE... I TARIF DES INDEMNITÉS ET LES ALLOCATIONS PAYABLES AUX TÉMOINS ASSIGNÉS DEVANT LES COURS
Plus en détailREVENDICATIONS PARTICULIÈRES : NÉGOCIER L ACQUITTEMENT DE LA DETTE NATIONALE DU CANADA
REVENDICATIONS PARTICULIÈRES : NÉGOCIER L ACQUITTEMENT DE LA DETTE NATIONALE DU CANADA Chef Maureen Chapman Comité des Chefs sur les revendications Mémoire prébudgétaire au Comité permanent des finances
Plus en détailCONSTITUTION. Barreau de la Liste des Conseils près la Cour Pénale Internationale PRÉAMBULE. Liste des Conseils près la Cour Pénale Internationale
CONSTITUTION = BLC-ICC MGKarnavas DRAFT-1= Barreau de la Liste des Conseils près la Cour Pénale Internationale PRÉAMBULE Liste des Conseils près la Cour Pénale Internationale RASSEMBLÉE à (lieu) le (date)
Plus en détailDÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division générale Assurance-emploi
Citation : R. G. c. Commission de l assurance-emploi du Canada, 2014 TSSDGAE 10 Appel n o : GE-13-2316 ENTRE : R. G. Appelant Prestataire et Commission de l assurance-emploi du Canada Intimée DÉCISION
Plus en détailLA CHAMBRE DE PREMIERE INSTANCE II. Mme la juge Fatoumata Dembele Diarra Mme la juge Christine Van den Wyngaert
ICC-01/04-01/07-3383 10-06-2013 1/7 NM T Cour m) Pénale Internationale International Criminal Court /^^.^"^ ^%;^s:^ Original : français N : ICC-01/04-01/07 Date : 10 juin 2013 LA CHAMBRE DE PREMIERE INSTANCE
Plus en détailContrat de création d un site web
http://www.droitbelge.net infos@droitbelge.net Contrat de création d un site web Auteur: Me Frédéric Dechamps, avocat AVERTISSEMENT Ce document est une version d évaluation du contrat. Il a pour seul objectif
Plus en détailConférence des Cours constitutionnelles européennes XIIème Congrès
Conférence des Cours constitutionnelles européennes XIIème Congrès Les relations entre les Cours constitutionnelles et les autres juridictions nationales, y compris l interférence, en cette matière, de
Plus en détail' '(!)('( ' #$%&'# ! '! " #$%&
ATTAQUER LE LISTING DU SOUTIEN AU TERRORISME DE NOUVELLES OPTIONS JURIDIQUES? UN RESUME DES JUGEMENTS RECENTS DE LA COUR DE JUSTICE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES Dès les arrêts Yusuf 1 et Kadi 2, d une part,
Plus en détailGUIDE SUR LES INDICATEURS DE PERFORMANCE DANS LES UNITÉS DE VÉRIFICATION INTERNE
GUIDE SUR LES INDICATEURS DE PERFORMANCE DANS LES UNITÉS DE VÉRIFICATION INTERNE FRVI Mars 2009 Guide sur les indicateurs de performance dans les unités de vérification interne 2 Table des matières Introduction..04
Plus en détailDÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division d appel Décision d appel
Citation : C. B. c. Commission de l assurance-emploi du Canada, 2013 TSSDA 7 Appel No : 2013-0063 ENTRE : C. B. et Appelante Commission de l assurance-emploi du Canada Intimée DÉCISION DU TRIBUNAL DE LA
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailLes droits de la défense devant la Cour pénale internationale
Analyses et libres propos Les droits de la défense devant la Cour pénale internationale Par Claire Fourçans 1 Le jugement d acquittement rendu le 18 décembre 2012 à l égard de M. Ngudjolo illustre et prouve,
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailCHARTE DU CORRESPONDANT MODELE TYPE
CHARTE DU CORRESPONDANT MODELE TYPE CHAPITRE 1: CONDITIONS DANS LESQUELLES LE BUREAU LUXEMBOURGEOIS ACCORDE, REFUSE OU RETIRE SON AGREMENT A UN CORRESPONDANT 1.1 Comment remplir la fonction de correspondant
Plus en détailGUIDE DE SOUMISSION D UN PROJET DE RECHERCHE
Direction générale adjointe Planification, qualité et mission universitaire Coordination de l enseignement et de la recherche 1250, rue Sanguinet, Montréal, QC H2X 3E7 Tél. : (514) 527-9565 / Téléc. :
Plus en détailFICHE TECHNIQUE. Intitulé du métier ou de l activité : Avocat
Codification NAA : KK 74.11 Codification ONS : 74 11 Codification CNRC : / FICHE TECHNIQUE Intitulé du métier ou de l activité : Avocat Inscription de l activité : au tableau de l ordre des avocats Observation
Plus en détailGUIDE POUR L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES DESSINS ET MODÈLES INDUSTRIELS EN VERTU DE L ARRANGEMENT DE LA HAYE
GUIDE POUR L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES DESSINS ET MODÈLES INDUSTRIELS EN VERTU DE L ARRANGEMENT DE LA HAYE (mis à jour en janvier 2015) Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle GENÈVE
Plus en détailLA CHAMBRE PRELIMINAIRE III
ICC-01/05-01/08-166 17-10-2008 1/6 VW PT Cour Pénale Internationale International Criminal Court Original : français N : ICC-01/05-01/08 Date : 17 octobre 2008 LA CHAMBRE PRELIMINAIRE III Composée comme
Plus en détailOrganisme d arbitrage autorisé par la Régie du bâtiment : Centre canadien d arbitrage commercial (CCAC)
ARBITRAGE En vertu du Règlement sur le plan de garantie des bâtiments résidentiels neufs (Décret 841-98 du 17 juin 1998, c. B-1.1, r.0.2, Loi sur le bâtiment, Lois refondues du Québec (L.R.Q.), c. B-1.1,
Plus en détailExposé-sondage. Conseil des normes actuarielles. Avril 2013. Document 213018
Exposé-sondage Révisions aux Normes de pratique applicables aux régimes de retraite Hypothèses pour les évaluations de liquidation hypothétique et de solvabilité Conseil des normes actuarielles Avril 2013
Plus en détail1er trimestre 2015 Version n 2. Les tendances PARL. Procédures alternatives de résolution de litiges de l Afnic
1er trimestre 2015 Version n 2 Les tendances PARL Avant-propos En 2012, l Afnic éditait pour la première fois les tendances SYRELI : Une mine d'informations pour tous ceux qui désiraient comprendre la
Plus en détailInfo-assurance Séance d information de l IASB du 19 mars 2015
www.pwc.com/ca/insurance Info-assurance Séance d information de l IASB du 19 mars 2015 Puisque divers points de vue sont analysés lors des réunions de l IASB, et qu il est souvent difficile de décrire
Plus en détailPROTECTION DES DROITS DU TRADUCTEUR ET DE L INTERPRETE
PROTECTION DES DROITS DU TRADUCTEUR ET DE L INTERPRETE Le traducteur ou l interprète non salarié doit en permanence veiller à la préservation de ses droits tant dans l établissement de sa relation avec
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. Accompagnant le document
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 19.12.2011 SEC(2011) 1611 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT Accompagnant le document Proposition de règlement du Parlement
Plus en détailCour européenne des droits de l homme. Questions & Réponses
Cour européenne des droits de l homme Questions & Réponses Questions & Réponses Qu est-ce que la Cour européenne des droits de l homme? Ces questions et réponses ont été préparées par le Greffe de la Cour.
Plus en détailCONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES
CONDITIONS GENERALES REGLEMENTANT LE PRET DE MAIN- D ŒUVRE ENTRE ENTREPRISES Le prêt de main d œuvre est pratiqué de longue date dans le secteur du Bâtiment. Il consiste, de la part d un entrepreneur,
Plus en détail1. Contexte. 2. Dresser le bilan : expériences et nouveaux développements
Renforcer la redevabilité mutuelle pour améliorer l efficacité et les résultats en matière de développement pour la santé : accords conclus à Nairobi par les signataires du IHP+ sur la future approche
Plus en détailTitre I Des fautes de Gestion
Base de données Loi n 85-74 du 20 Juillet 1985 relative à la définition et à la sanction des fautes de gestion commises à l égard de l Etat, des établissements publics administratifs, des collectivités
Plus en détailNORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES
NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES Introduction (Applicable aux audits d états financiers pour les périodes ouvertes à compter du 15 décembre 2009) SOMMAIRE Paragraphe
Plus en détailPROTOCOLE DE LA COUR DE JUSTICE DE L UNION AFRICAINE
PROTOCOLE DE LA COUR DE JUSTICE DE L UNION AFRICAINE 1 PROTOCOLE DE LA COUR DE JUSTICE DE L UNION AFRICAINE Les Etats membres de l Union africaine : Considérant que l Acte constitutif a créé la Cour de
Plus en détailL ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs
L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945 Exposé des motifs Il est peu de problèmes aussi graves que ceux qui concernent la protection de l enfance, et parmi eux, ceux qui ont trait au sort de l enfance traduite
Plus en détailAssociation SYNADEC. Association Loi 1901 Siège social : Association SYNADEC
Association SYNADEC Association Loi 1901 Siège social : Association SYNADEC Il est fondé, entre les adhérents aux présents statuts, une association régie par la loi du 1er juillet 1901, le décret du 16
Plus en détailJe suis honnorée de m' addresser à vous à l'occasion du Onzième Congrès des Nations Unis pour la Prevention du Crime et la Justice Penale.
Intervention de la Roumanie à l'occasion de la session «Haut Niveau» de l' Onzieme Congrès des Nations Unis sur la prévention du crime et la justice pénale Madame KIBEDI Katalin Barbara, Sécretaire d'
Plus en détailSommaire. L entrée en vigueur de l avenant n 21 sur les salaires minima au 1 er novembre 2013
informations sociales octobre novembre décembre 2013 Dans le cadre du mandat qu elle reçoit du FNCIP-HT, la Fédération Nationale de l Habillement informe chaque trimestre les entreprises à jour de paiement
Plus en détailSAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste
DESCRIPTIF DE VISION SAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste Un centre d expertise en tant que balise pour le huissier de justice soucieux
Plus en détailPRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE
PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE SYNTHESE Le 15 septembre 2003, Madame Anne D HAUTEVILLE, professeur
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA JUSTICE ET DES LIBERTÉS Décret n o 2010-148 du 16 février 2010 portant application de la loi organique n o 2009-1523 du 10 décembre 2009 relative
Plus en détailIntroduction. Une infraction est un comportement interdit par la loi pénale et sanctionné d une peine prévue par celle-ci. (1)
Vous êtes victime Introduction Vous avez été victime d une infraction (1). C est un événement traumatisant et vous vous posez sûrement de nombreuses questions : Quels sont mes droits? Que dois-je faire
Plus en détailAllocution de M. Hassan B. Jallow Procureur du TPIR et du MTPI, devant le Conseil de sécurité de l ONU 10 décembre 2014
United Nations Mechanism for International Criminal Tribunals Nations Unies Mécanisme pour les Tribunaux pénaux internationaux ALLOCUTION (Destiné exclusivement à l usage des médias. Document non officiel.)
Plus en détailGuide de la pratique sur les réserves aux traités 2011
Guide de la pratique sur les réserves aux traités 2011 Texte adopté par la Commission du droit international à sa soixante-troisième session, en 2011, et soumis à l Assemblée générale dans le cadre de
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES
RÉPUBLIQUE DU BÉNIN COUR CONSTITUTIONNELLE REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES Article 1 er : Le présent Règlement Intérieur est pris en application des dispositions de la Loi n 90-032
Plus en détailTABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28
Ordonnance n 03-08 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19 juillet 2003 relative à la protection des schémas de configuration des circuits intégrés TABLE DES MATIERES Articles Titre I : Dispositions
Plus en détailProjet de loi n o 30 (2003, chapitre 25)
PREMIÈRE SESSION TRENTE-SEPTIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 30 (2003, chapitre 25) Loi concernant les unités de négociation dans le secteur des affaires sociales et modifiant la Loi sur le régime de
Plus en détailMINISTÈRE DE L ÉQUIPEMENT. Direction des routes et de la circulation routièrẹ Sous-direction des routes et des affaires générales. 3 bureau.
MINISTÈRE DE L ÉQUIPEMENT. - TEXTES OFFICIELS MINISTÈRE DE L ÉQUIPEMENT Direction des routes et de la circulation routièrẹ Sous-direction des routes et des affaires générales. 3 bureau. CIRCULAIRE N 12
Plus en détailParticuliers, la Banque de France vous informe LE SURENDETTEMENT. Vos droits, vos obligations Les solutions possibles La vie de votre dossier
Particuliers, la Banque de France vous informe LE SURENDETTEMENT SURENDETTEMENT Vos droits, vos obligations Les solutions possibles La vie de votre dossier Sommaire 1. Être surendetté : qu est-ce que c
Plus en détailINTRODUCTION PRÉSENTATION DE L'ORGANISME. Origine, historique & structure. Développements futurs. Vision 1. Activités et spécificités
INTRODUCTION Nom officiel Début des activités Formation : 2002 Consultance : 2005 Adresse Rue des Ursulines 2a Forme juridique actuelle sa Ville 1000 Bruxelles Constitution forme juridique 1996 Tél. 02/507
Plus en détailGroupe de travail. Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT
Groupe de travail Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT Les participants ont tous reçu une copie du rapport particulièrement riche du précédent groupe de travail. A l issue des rapports des représentantes
Plus en détailTRAITEMENT DU SURENDETTEMENT. Évolutions résultant de la loi portant réforme du crédit à la consommation
Direction générale des activités fiduciaires et de place Direction de la surveillance des relations entre les particuliers et la sphère financière Service infobanque et surendettement TRAITEMENT DU SURENDETTEMENT
Plus en détailCHAPITRE 7 RELATIONS DE TRAVAIL
Les relations de travail sont révélatrices de l atmosphère qui règne au sein de votre entreprise. Le gestionnaire désirant obtenir de saines relations de travail se doit d être proactif dans ses actions.
Plus en détailObtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION
Obtenir le titre de prêteur agréé La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL aide les Canadiens à répondre à leurs besoins en matière de logement. En tant qu autorité en matière
Plus en détail5. Règlement de procédure et de preuve *+
5. Règlement de procédure et de preuve *+ Table des matières Règle Chapitre 1. Dispositions générales 1. Emploi des termes... 2. Textes faisant foi... 3. Amendements... Chapitre 2. Composition et administration
Plus en détailCERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité?
CERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité? Automne 2011 QU EST-CE QU UN CERTIFICAT DE SÉCURITÉ? Créée en 1978, la procédure actuelle trouve son fondement dans la loi sur l immigration
Plus en détailCHARTE BNP Paribas Personal Finance DU TRAITEMENT AMIABLE DES RECLAMATIONS
CHARTE BNP Paribas Personal Finance DU TRAITEMENT AMIABLE DES RECLAMATIONS RECLAMATION & MEDIATION «BNP Paribas Personal Finance» veille à apporter à ses clients la meilleure qualité de service. Toutefois,
Plus en détailCommentaire. Décision n 2011-216 QPC du 3 février 2012. M. Franck S. (Désignation du représentant syndical au comité d entreprise)
Commentaire Décision n 2011-216 QPC du 3 février 2012 M. Franck S. (Désignation du représentant syndical au comité d entreprise) La Cour de cassation a renvoyé au Conseil constitutionnel le 18 novembre
Plus en détailANNEXE. L obligation d extrader ou de poursuivre («aut dedere aut judicare») en droit international. Observations préliminaires. (Zdzislaw Galicki)
ANNEXE L obligation d extrader ou de poursuivre («aut dedere aut judicare») en droit international Observations préliminaires (Zdzislaw Galicki) I. Introduction générale du sujet 1. L expression «extrader
Plus en détailLa fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun. Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris
La fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris La volonté affichée au printemps 2013 par le Président de la République d intensifier la
Plus en détailUNEP/OzL.Conv.10/4. Programme des Nations Unies pour l environnement
NATIONS UNIES EP UNEP/OzL.Conv.10/4 Distr. : générale 5 août Français Original : anglais Programme des Nations Unies l environnement Conférence des Parties à la Convention de Vienne la protection de la
Plus en détailCORRIGÉ GEDOC SA. Proposition de barème sur 70 points
CORRIGÉ GEDOC SA Proposition de barème sur 70 points Questions à traiter Travaux demandés Dossier 1 Organisation des réunions 1.1 Mettre en évidence les inconvénients de l organisation actuelle des réunions.
Plus en détailMARCHÉ COMMUN DE L'AFRIQUE ORIENTALE ET AUSTRALE
MARCHÉ COMMUN DE L'AFRIQUE ORIENTALE ET AUSTRALE MARCHE COMMUN DE L AFRIQUE ORIENTALE ET AUSTRALE COMESA السوق المشتركة للشرق والجنوب الا فریقى حكمة العدل COURT DE JUSTICE APPELS À CANDIDATURES Présentation
Plus en détailBureau du commissaire du Centre de la sécurité des télécommunications
Bureau du commissaire du Centre de la sécurité des télécommunications 2009-2010 Rapport sur les plans et les priorités L honorable Peter Gordon MacKay, C.P., député Ministre de la Défense nationale TABLE
Plus en détailLOIS ET DECRETS PUBLIES DANS LA FEUILLE OFFICIELLE
LOIS ET DECRETS PUBLIES DANS LA FEUILLE OFFICIELLE Feuille officielle numéro 50, du 7 juillet 2006 Délai référendaire: 16 août 2006 Loi sur l'assistance pénale, civile et administrative (LAPCA) Le Grand
Plus en détailLe montant forfaitaire envisagé "est le même que celui en vigueur pour l'indemnisation des ayants droit des agents décédés", ajoute la DGOS.
APM International Jeudi 26 mai 2011-18:43 Gestion des CET: la DGOS annonce des modifications PARIS, 26 mai 2011 (APM) - Des dispositions modifiant la gestion des comptes épargne temps (CET) dans la fonction
Plus en détailCOMITÉ DE DISCIPLINE
CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COMITÉ DE DISCIPLINE Ordre des technologues professionnels du Québec N : 39-04-00003 DATE : 29 novembre 2005 LE COMITÉ : Me Jean-Jacques Gagnon Président M. Léopold Théroux, t.p.
Plus en détailNuméro : 300. Excédents, méthodes de calcul - Ligne 7 de la Déclaration des salaires
Numéro : 300 Excédents, méthodes de calcul - Ligne 7 de la Déclaration des salaires Décembre 2013 Objectif de cette note d orientation... 4 Références légales... 4 Contexte... 5 Historique du calcul hebdomadaire
Plus en détailProcédure pénale. Thèmes abordés : Procédure par contumace/ Nouvelle procédure par défaut
Procédure pénale Thèmes abordés : Procédure par contumace/ Nouvelle procédure par défaut Corrigé : Dissertation Le jugement de la personne poursuivie en son absence Indications de méthodologie : Sur la
Plus en détailCEDH FRANGY c. FRANCE DU 1 ER FEVRIER 2005
CEDH FRANGY c. FRANCE DU 1 ER FEVRIER 2005 L article 11 du Code de procédure civile énonce que la procédure au cours de l'enquête et de l'instruction est secrète. La divulgation des informations contenues
Plus en détailTABLEAU JUSTIFICATIF DES EXPURGATIONS PROPOSÉES
ICC-01/04-01/07-819-Anx 12-01-2009 1/6 VW T ANNEXEA TABLEAU JUSTIFICATIF DES EXPURGATIONS PROPOSÉES REQUÉRANT : A - Identification de l'élément de preuve A - 1 Numéro d'enregistrement 1 : A- 2 Date de
Plus en détailVersion consolidée AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ----- Règlement intérieur du Collège. Chapitre 1 er Composition des formations
Version consolidée AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ----- Règlement intérieur du Collège Article 1 er Chapitre 1 er Composition des formations Les membres composant le Collège restreint, les sous-collèges
Plus en détailCour de justice de l Union européenne COMMUNIQUE DE PRESSE n 70/14
Cour de justice de l Union européenne COMMUNIQUE DE PRESSE n 70/14 Luxembourg, le 13 mai 2014 Presse et Information Arrêt dans l'affaire C-131/12 Google Spain SL, Google Inc. / Agencia Española de Protección
Plus en détail