MULLER : empan 7 plus ou moins 2 quelque soit l information on peut mettre en mémoire 7 couleurs, 7 mots, 7 fleurs... ex : énoncer au sujet une série
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- Marie-Madeleine Goudreau
- il y a 7 ans
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1 LA MEMOIRE A COURT TERME (MCT) I) MCT MLT (distinction parfois contestée) MCT : mémoire de courte durée, donc les informations ne sont pas conservées longtemps. MLT : informations conservées très longtemps, voire toute la vie. EX : faire une addition de tête : apprendre et mettre en mémoire le procédé, le conservé et le réutiliser : mémoire à long terme retenir les résultats des partiels : mémoire à court terme. ATKINSON ET SHIFFRIN (1968) expérience : on a donné à apprendre au sujet des trigrammes (ensemble de trois lettres) non significatifs et ne correspondant pas à des sigles connus (ex : Bol, TVA,...) on empêche le sujet de s occuper de cela pendant un délai plus ou moins long ( 0-18 secondes) durant lequel on les occupe : tâche inférante pour les empêcher de faire une révision mentale. on demande aux sujets de restituer et on s aperçoit que les sujets n ont presque plus de souvenirs d autant moins que le délai est long. il y a une mémoire qui ne fonctionne pas très longtemps : la mémoire à court terme : limite maximale : 15 secondes. Les informations sont soit perdues ou elles passent dans la mémoire à long terme. (une caractéristique : la durée) II) capacité de la MCT (capacité limitée). Capacité définie par l empan mnésique relatifs à la même mnémonique empan : anglais span memory = distance entre le pouce et l annulaire = unité de mesure corporelle mesure de la MCT.
2 MULLER : empan 7 plus ou moins 2 quelque soit l information on peut mettre en mémoire 7 couleurs, 7 mots, 7 fleurs... ex : énoncer au sujet une série de chiffres répéter les chiffres 7 unités significatives : 7 lettres ou 7 mots = CHUNKS4 varie tout de même selon la longueur de l information. Recherche : 6 mots de 2 syllabes comparés avec une série de 6 mots de 3 syllabes. Si règle de 7 même empan pour les deux listes alors que 6 mots de 3 syllabes : empan plus bas. L empan mnésique diminue en fonction de la longueur des mots. III) Le mécanisme de maintient de l information en MCT autorépétition : le sujet se répète à lui même les informations révision mentale. Expérience : PETERSON ET PETERSON (1959) on veut comparer deux groupes : un GE libre d auto répéter un GC qu on empêchera de répéter par une tâche inférante de distraction série de 6 lettres pendant un intervalle de 30 secondes, on demande aux sujets du GC de compter à rebours de 3 en 3 à partir d un nombre donné le GE peut répéter pendant ce temps là à partir de ce qu on lui demande de répéter. VI : autorépétition résultat : le nombre de lettres restitué par le GC est inférieur à celui du GE l autorépétition est un mécanisme efficace pour retenir l information en MCT
3 IV) L oubli de la MCT L estompage : (effacement de la tâche du au temps qui passe) l oubli survient s il n y a pas de répétition. L interférence : transfert négatif. L oubli peut se faire à cause d une interférence. (ex : lire des mots en même temps que compter à rebours). V) La récupération en MCT STENBERG (1969) expérience : 1 ère phase : on présente aux sujets une série de chiffres (t. brève 1 à 2 sec.) 2 ème phase : le sujet doit dire si une chiffre qu on lui présente appartient à la liste de départ ou pas. jugement d identité un stimulus présenté et un stimulus en mémoire. VD= temps de réaction. Résultat : le temps de réaction augmente proportionnellement à la longueur de la série. Temps de réaction en fonction de la longueur de la série. Tout se passe comme si le sujet parcourait la liste ( plus la liste est longue est plus il lui faut de temps.)
4 si on lui présente un chiffre qui n est pas dans la liste de départ, il a besoin du même temps = même résultat. Résultats retrouvés par d autres auteurs mais avec un autre matériel, donc les item augmentent, changent (pour les syllabes, 73 ms). VI) Comment l information est elle codée? deux grands types de codage : codage auditif = acoustique = échoïque codage visuel = imagé = iconique ex : quand on apprend à lire, on connaît les sons et on associe les sons aux formes. Historiquement, on a appris à lire à voix haute avant d apprendre à lire silencieusement. reconnaître des formes et les mettre en mémoire à cout terme. Expérience : P R visuellement se ressemblent mais les sons sont différents. P T presque les mêmes sons mais formes différentes VD : on compare le nombre d erreur phonétique au nombre d erreur visuelle. Les confusions de type auditives sont beaucoup plus nombreuses que les confusions de type imagées. Dans la MCT, le mode privilégié de codage est le codage auditif. BADDELEX (70) a proposé un modèle. Dans la MCT, le suje fera un codage grâce à une boucle articulatoire. La mémoire active de l information sous une forme propre au langage. (la mémoire préférentielle = mémoire phonétique) POSNER (67) utilise des stimulus codés sous forme acoustique ou imagée ex : deux fois la même lettre avec le même graphie ou des graphies imagées. A A A a il demande au sujet de prononcer un jugement d identité (est-ce que les lettres sont les mêmes ou pas) délai très court (max 2 sec.)
5 une lettre présentée, on demande au sujet si c est la même lettre ou pas. Résultats : le temps de réaction pour le 2 ème type de stimulus (Aa) est plus long que pour le premier type de stimulus (AA) il y a aussi un codage imagé. VII) Loi de position sérielle (position dans la série) (cf apprentissage des déplacements). S applique à tous les types de matériel les items placés en début et en fin de liste sont mieux restitués que ceux au milieu. Résultats : la courbe creuse au milieu. Le début et la fin sont mieux restitués (surtout à la fin où on a le plus d items) effet de grâce au fait que les items sont encore dans la MTC effet de primarité expliqué par inférance. Ex : L item n est pas gêné par un autre mot mais le 2 èmé point est gêné (effet de transfert proactif, effet d inférance) l effet de primarité plus on est au début de la série, moins il risque d avoir d inférence proactive.
6 plus on est un fin de liste, plus il y a d inférence rétroactive. NORMAN dissocier le délai et l interférence expérience : présentation de 16 items VI présentation modalités : rythme 4 items par secondes. Rapide 4 sec. Av. dem. De restitution rythme 1 item par seconde. lent 16 secondes pour 16 items. quantité de matière identique dans les deux conditions. Mémorisation lente et rapide. Raisonnement : délai plus lent, on fait moins bien ce qu on fait pendant la durée. Résultats : le meilleur résultat est dans la mémorisation lente pour les items en fin de liste. Mémorisation lent > mémorisation rapide. L oubli en MCT est bien du aussi à l interférence. Autres expériences montrant le rôle de l interférence en MCT comparer des tâches plus ou moins distractives, plus ou moins interférentes. Pendant le délai, on fait faire des soustractions. tâche risquant d engendrer l interférence, d autres gens lisent des chiffres. plus la tâche produit d interférences, moins le rappel est bon. VIII) un modèle pour la MCT. Le modèle d ATKINSON ET SHIFFRIN pour la MCT Ils partent de la perception pour aller à la MCT. On reprend le modèle sous forme d une boite. L information rentre dans un registre sensoriel dans lequel les informations gardent leur caractère sensoriel. Entrée informmation Générateur de réponse réponse du sujet registre sensoriel MCT MLT
7 les informations rentrent dans le registre sensoriel (on ressent une sensation) mais ne dure pas longtemps. Si cela dure trop longtemps, les informations passent en MLT pour un stockage permanent. A partir de ces trois registres, on a un générateur de réponse, une liaison c est à dire que le sujet répond. Dans le cas de pathologies, on peut trouver des dissociations entre la MCT et la MLT. Pour les gens qui ont des troubles de mémoire, ils portent uniquement sur la MCT ou la MLT. On abandonne ce modèle et on en trouve un nouveau : le concept de w ou encore MDT (...) BADDELEX/ propose le concept de MDT MCT MDT MCT : capacité à maintenir puis à restituer de l information. Reproduction littérale de l information présentée. L information arrive et est renvoyée telle quelle. MDT :mémoire active. Capacité à maintenir de l information pendant la réalisation d une activité complexe. La production dem. Est consécutive ou associée au traitement d une autre information. Pour la MCT : tâches typiques et l empan mnésique (reproduction de chiffres par exemple). Pour la MDT : on répète en ayant fait un nouveau travail sur chaque chiffre.(+2 ou-1). BADDELEX A fait un modèle pour la MDT ( ) l information entre dans le système et peuvent avoir un codage acoustique ou visuel. En principe, toutes les informations dans la MCT passent par une retranscription verbale ou boucle phonologique, articulatoire mécanisme d autorépétition subvocale. Administrateur central boucle phonologique calpinvisuospatial informations acoustiques inf. visuelles
8 des informations restent pourtant imagées un calpin visuo spatial c est à dire des informations qui ne pourraient pas être traduites en langage. Le langage n est pas capable de traduire certaines choses. L administration centrale contrôle, sélectionne et coordonne les options de traitement. La MDT met en jeu des activités cognitives complexes, on peut donc penser que la MDT devrait se développer chez l enfant en même temps que l intelligence. Si la MDT = MCT, alors la MCT devrait subir le même développement que les actions cognitives complexes, que l intelligence. Or ce n est pas le cas. L empan mnésique se développe beaucoup à partir de six ans. En revanche, l option intellectuelle se développe beaucoup après 7 ans. Les développements sont décalés donc la MDT MCT peut être. CONCLUSION-TRANSITION Est ce qu il n y aurait que du codage sémantique dans la MCT? on distingue des aspects physiques et sémanti.... le codage sémantique est une particularité de la MLT mais il semble qu il y en ait aussi dans la MCT expérience : 3 premiers essais : on présente des fruits aux 4 groupes au 4 ème essai : on fait intervenir la VI. Pour le goupe contrôle on continue à mémoriser d autres fruits. Pour les 3 GE, on mémorise autre chose (ex : noms de profs) en résumé : pour le GE1 on fait mémoriser des légumes + pour le GE2 on fait mémoriser des fleur + pour le GE3 on fait mémoriser des profs + pour le GC on fait mémoriser des fruits +
9 l effet de transfert proactif négatif. L interférence pour les trois premiers essais, les performances au 4 ème essai, GC diminue mais pour GE3 les résultats augmentent. Pour les GE1 et les GE2 on a un résultat de 40 et 60%. Plus on s éloigne donc sémantiquement et plus l interférence est grande, moins les gens sont gênés.
NB : J ai trouvé ce texte sur le net sans que son auteur soit indiqué. Je regrette donc de ne pouvoir lui rendre hommage pour ce travail.
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