LES LEÇONS DU MARIAGE ENTRE LES MODÈLES D'ÉQUILIBRE GÉNÉRAL CALCULABLE ET LA NOUVELLE THÉORIE DU COMMERCE INTERNATIONAL: APPLICATION À LA TUNISIE 1

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1 LE LEÇON DU MARIAGE ENTRE LE MODÈLE D'ÉQUILIBRE GÉNÉRAL CALCULABLE ET LA NOUVELLE THÉORIE DU COMMERCE INTERNATIONAL: APPLICATION À LA TUNIIE 1 par John COCKBURN 2 Bernard DECALUWE 2 et Benoît DOTIE 2 1 Ce projet a bénéfcé du support fnancer du Programme d'analyse et de Recherche Applquées au Développement Internatonal (PARADI) et du programme de bourses pour jeunes chercheurs de l'acdi. Les remarques habtuelles s'applquent. Nous tenons à remercer Tobal Muller, Jame de Melo, hantayanan Devarajan et un évaluateur anonyme pour leurs préceux consels. 2 Respectvement chercheur assocé, chercheur réguler et chercheur assocé au Centre de recherche en économe et fnance applquées (CRÉFA), Unversté Laval.

2 INTRODUCTION L'analyse économque de poltques commercales s'est beaucoup transformée au cours des dernères années avec la prse en compte de la présence de concurrence mparfate et d économes d échelle dans les économes étudées. ur le plan théorque, l'ntroducton de la concurrence mparfate peut modfer de manère radcale et même nverser les prévsons des analyses tradtonnelles de poltques commercales. Cec est le cas, entre autres, pour les effets sur le ben-être, l'allocaton des ressources et la rémunératon des facteurs. Par exemple, comme nous allons l'explorer plus lon, la lbéralsaton commercale peut mener à une expanson des secteurs protégés, une contracton des secteurs non protégés et des pertes de ben-être, contrarement à l'ntuton tradtonnelle. Ben que cette théore at été applquée à l'orgne aux problèmes des pays dts développés, nous verrons que la concurrence mparfate et les économes d échelle sont des phénomènes peut-être auss répandus, snon plus, dans les pays en développement (PD). Notre analyse ne tent compte que du pouvor de marché local détenu par les producteurs dans les pays en développement et ans met de côté les cas de producteurs ayant un pouvor de marché sur le plan nternatonal. Il exste très peu d'études sur l ampleur de la concurrence mparfate dans les PD. Une excepton notore est l'étude de Rodrk (1988) qu montre que les taux de concentraton dans le secteur ndustrel sont substantellement plus élevés dans un échantllon de PD. En effet, les barrères à l entrée de nouveaux concurrents, étrangers et locaux, sont s répandues dans les PD que la présence de concurrence mparfate y est presque névtable 1. Les barrères à la concurrence de produts étrangers, essentellement les nstruments de poltque commercale, y sont partculèrement prononcées: Drots de douanes élevés, restrctons quanttatves, etc. On peut donc s'attendre à ce que la lbéralsaton commercale réduse le pouvor de marché des producteurs locaux, ce qu pourrat modfer consdérablement les prédctons quant aux conséquences de la lbéralsaton pour l'ensemble de l'économe. Les barrères à l'entrée de frmes sur le marché local sont également très mportantes: mécansmes de réglementaton admnstratve complexes, absence de poltque anttrust, talle restrente du marché local, octro de lcences d'explotaton, présence de marchés de captaux peu développés, etc. De plus, dans pluseurs PD, le contrôle des entreprses mportantes est souvent concentré entre les mans d'une mnorté, ce qu est de nature à favorser la colluson. Pluseurs caractérstques des PD lassent supposer qu l y exste également des économes d échelle nexplotées. Tout d abord, la concurrence mparfate elle-même encourage les producteurs locaux à restrendre leur producton à des nveaux sous-optmaux. De plus, dans bon nombre d actvtés qu sont protégées de la concurrence étrangère, notamment les actvtés manufacturères, la talle du marché ntéreur est trop pette pour permettre aux producteurs locaux d attendre une échelle effcente de producton. Cette neffcacté est exacerbée par les poltques d'nctaton à l nvestssement qu ont encouragé les producteurs locaux à trop nvestr. Étant donné la sous-utlsaton conséquente de la capacté de producton locale, les gans d effcacté qu résulteraent d une augmentaton de l échelle de producton locale sont d autant plus mportants. Cependant, en l'absence de vértables études emprques, la présence et l'ampltude de ces économes d'échelle nexplotées demeurent hypothétques et spéculatves. Rodrk (1988) montre que les fabrcants d'automobles dans les pays en développement opèrent à des échelles de producton ben audessous de l'échelle mnmale d'effcence. Des études effectuées au Chl par Tybout et al. (1991) et Westbrook et Tybout (1993) concluent que pour la plupart des ndustres (vor auss Lttle (1987)), l est dffcle de rejeter l'hypothèse selon laquelle les rendements d'échelle sont constants. Force est de conclure que la présence et la magntude des économes d échelle nexplotées dans les PD restent sujets à dscusson. Cette étude est composée de quatre sous-sectons. Dans la premère sous-secton, nous explquons comment la prse en compte de la concurrence mparfate peut, en théore, nverser les conclusons tradtonnelles des analyses de poltques commercales en ce qu concerne les effets de ben-être, d allocaton des ressources et de rémunératon des facteurs. Nous y dscutons également de la 1 Notre argumentaton c s nspre largement de Rodrk (1988). 1

3 méthodologe adoptée et des résultats obtenus dans les prncpales études applquées de poltques commercales dans les PD ncorporant la concurrence mparfate. Étant donné l ampleur des modfcatons assocées à la lbéralsaton commercale et les effets d équlbre général qu en découlent, le modèle d équlbre général calculable (MEGC) est devenu l nstrument ncontournable d analyse emprque. Par conséquent, nous lmtons notre revue de la lttérature aux seules études menées à l ade de MEGC. Nous présentons, dans la deuxème sous-secton, un bref aperçu de l économe tunsenne et ses enjeux actuels en matère de poltque commercale. Nous poursuvons avec une présentaton succncte de notre MEGC dans laquelle nous mettons l emphase sur la procédure à suvre pour adapter un MEGC tradtonnel afn d ntégrer de manère cohérente la présence de concurrence mparfate et d économes d échelle nexplotées. La quatrème sous-secton est réservée à la présentaton des résultats des smulatons et notamment à la comparason des résultats obtenus en concurrence parfate et en concurrence mparfate. Des conclusons suvent. 1. LA THEORIE ET E APPLICATION La nouvelle théore du commerce nternatonal soulgne l mportance de tenr compte de la présence de concurrence mparfate et de rendements d échelle dans l analyse de poltques commercales. Toutefos, malgré l'ampleur apparente de ces deux phénomènes dans les PD, très rares sont les études applquées de poltque commercale qu en tennent compte et ce, malgré le contexte actuel de lbéralsaton commercale sans précédent. on exclut les travaux de Melo et Roland-Holst (1991a-1991b-1994) et ceux de Gunasekera et Tyers (1991) sur la Corée du ud, pays qu'on pourrat décrre comme étant nouvellement ndustralsés plutôt qu'en développement, l n'y a que deux études avec MEGC de la lbéralsaton commercale en présence de concurrence mparfate: celles du Cameroun de Devarajan et Rodrk (1989 et 1991) 2. Dans cette secton, nous présentons l ambguïté théorque au sujet des effets de la lbéralsaton commercale en présence de concurrence mparfate et examnons les résultats des études applquées mentonnées c-haut à cet égard. Pour les besons de cette secton, lorsque nous parlerons de lbéralsaton commercale, nous entendrons par là la réducton des tarfs douaners ou des barrères quanttatves à l'mportaton. 1.1 L'allocaton des ressources Dans les MEGC tradtonnels, une réducton des barrères douanères condut habtuellement à une réducton des prx dans les secteurs protégés (généralement le secteur manufacturer dans les PD) relatvement aux prx dans les secteurs mons protégés (généralement les secteurs agrcoles). Ces changements dans les prx relatfs provoquent une réallocaton des ressources des secteurs auparavant relatvement protégés vers les secteurs mons protégés (généralement une contracton du secteur manufacturer et une expanson du secteur agrcole). De la même façon, la lbéralsaton des échanges encourage l'ouverture de l'économe en augmentant les prx relatfs des bens exportables relatvement à ceux des substtuts aux bens mportés. Cependant, s les frmes des secteurs protégés oeuvrent sous des condtons de concurrence mparfate, cela pourrat modfer ces conclusons. Cec est partculèrement le cas dans les PD où les barrères douanères sont une source mportante du pouvor de marché des producteurs locaux. Prenons l'exemple llustré par la fgure 1 où une seule frme locale produt au sen d une branche, le cas du monopole. Dans l'hypothèse où les produts locaux seraent mparfatement substtuables aux produts mportés (l'hypothèse d'armngton), la réducton des barrères douanères a alors deux prncpaux effets, un effet-demande et un effet-offre. Tout d abord, l y a l effet tradtonnel de dmnuton de la demande du produt local étant donné la réducton du prx du produt mporté substtut. Cet effet, qu se tradut par un déplacement de la courbe de demande (et de la courbe de revenu margnal qu lu est assocée) vers 2 Harrs (1984) fat fgure de ponner dans cette lttérature avec son étude du Canada. 2

4 l'ntéreur, fat dmnuer la producton locale 3. Toutefos, en stuaton de concurrence mparfate, un deuxème effet s y ajoute. Face à une concurrence étrangère accrue, le monopoleur subt une basse de son pouvor de marché qu se tradut par une augmentaton de la pente de la courbe de demande à laquelle elle fat face. Ce deuxème effet, qu se solde par une basse du taux de marge et du prx du monopoleur et une hausse conséquente de ses ventes sur le marché ntéreur, est l'effet dt pro-compéttf de la lbéralsaton commercale. Fgure 1: Effets allocatfs ambgus des poltques commercales en présence de concurrence mparfate P P rm' rm D' D cm rm rm' D D' cm Q Q Étant donné que ces deux effets jouent en sens contrare, l est mpossble de dre a pror s le monopoleur augmentera ou dmnuera sa producton. Dans la parte gauche de la fgure 1, la lbéralsaton commercale provoque une basse de la producton du secteur. L'effet nverse est llustré dans la parte drote de cette fgure. Une analyse emprque est donc nécessare pour connaître l'effet le plus probable dans des cas réels. Notons qu'l est toujours vra que les secteurs auparavant relatvement protégés auront à supporter une concurrence accrue de la part des mportatons et donc, ceters parbus, le plus grand déplacement vers l'ntéreur de leur courbe de demande ntéreure. Cependant, étant donné que la concurrence mparfate est généralement assocée aux secteurs hautement protégés, le secteur manufacturer en partculer, l'effet procompéttf y sera également sent plus fortement. En théore, ce deuxème effet peut être assez pussant pour que les secteurs fortement protégés connassent une expanson sute à la lbéralsaton commercale alors que les secteurs mons protégés se contractent. Le MEGC consttue l outl d analyse appropré pour conclure dans des études applquées. D alleurs, les effets ambgus de mesures de lbéralsaton commercale au nveau de l allocaton des ressources ont été llustrés dans pluseurs MEGC. Au nveau des PD, l est utle d'examner les conclusons de Devarajan et Rodrk (1991) qu effectuent des comparasons quant à la réallocaton des ressources résultant de la lbéralsaton commercale au Cameroun sous tros scénaros dfférents: Concurrence parfate, olgopole de Cournot avec et sans économes d'échelle. Les résultats des smulatons montrent une expanson du secteur manufacturer au détrment du secteur agrcole alors que le contrare se produt dans les smulatons en concurrence parfate. L'ntroducton des économes d'échelle dans les secteurs avec concurrence mparfate ne vent quant à elle que renforcer cette nouvelle réallocaton des ressources. 3 Rappelons que le nveau de producton locale est donné par l ntersecton de la courbe (drote dans ce cas) de coût margnal et la courbe de demande, en concurrence parfate, ou la courbe de revenu margnal, en concurrence mparfate. Dans les deux cas, la basse de demande fat dmnuer la producton locale. 3

5 Toutefos, comme nous verrons plus lon, le modèle de Devarajan et Rodrk comporte une ncohérence qu mène à une surestmaton consdérable des mpacts de la prse en compte de la concurrence mparfate. Ben entendu, les réallocatons de ressources dépendent auss de la structure de protecton ntale. Dans le modèle coréen de Melo et Roland-Holst (1991a), l'ntroducton de la concurrence mparfate ne vent que renforcer la réallocaton des ressources vers le secteur manufacturer. Étant donné que c'est le secteur agrcole qu y est plus fortement protégé alors que le secteur manufacturer se caractérse par de la concurrence mparfate, l'effet pro-compéttf et l'effet demande agssent tous deux en faveur d'une expanson du secteur manufacturer et une contracton du secteur agrcole. Même s Gunasekera et Tyers (1991) n'effectuent pas de comparasons avec un modèle à concurrence parfate, ls notent auss que la lbéralsaton en Corée bénéfce prncpalement au secteur manufacturer. 1.2 Le ben-être En termes de ben-être, les modèles tradtonnels soulgnent les gans trés de l'nternalsaton des prx mondaux et la réallocaton subséquente des ressources des secteurs protégés, produsant à des nveaux sur-optmaux, vers les secteurs non protégés qu produsent à des nveaux sous-optmaux. Cependant, s les secteurs protégés sont caractérsés par la présence de concurrence mparfate, l est possble qu ls produsent à un nveau sous-optmal plutôt que sur-optmal alors que les secteurs non protégés produsent à un nveau sur-optmal. c est le cas, une contracton des secteurs protégés et une expanson des secteurs non protégés pourraent dmnuer le ben-être. De manère plus générale, les effets de ben-être dépendront de l optmalté du nveau ntal de producton dans chaque secteur et de la réallocaton des ressources qu résulte de la lbéralsaton commercale. La prse en compte de la présence d économes d'échelle nexplotées ne fat qu augmenter l ambguïté théorque des effets de ben-être de la lbéralsaton commercale en présence de concurrence mparfate. Rodrk (1988) a proposé un modèle smple permettant d'analyser comment les structures de marché non compéttves et l'exstence d'économes d'échelle peuvent nfluencer l'évaluaton des gans/pertes attendus d'une réforme tarfare. Lassons de côté pour le moment les effets revenu et supposons que les produts locaux et étrangers (mportés) sont homogènes. Nous adoptons auss l'hypothèse que la demande peut être représentée par une foncton de dépense E(p,W) où p représente le vecteur des prx dans l'économe et W un ndce de ben-être. La foncton E représente donc la dépense mnmale à effectuer pour attendre le nveau de ben-être W. Du théorème de l'enveloppe, on dédut que la consommaton du ben, C est égale à la dérvée partelle de notre foncton de dépense par rapport au prx du ben. on suppose que chaque secteur de notre économe se compose de n frmes dentques, alors la producton d'une frme représentatve du secteur, x, est égale à la producton totale de l'ndustre, X, dvsée par n. La technologe de l'ndustre est caractérsée par une foncton de coûts untares, c (w, x,), où w représente le vecteur des rémunératons des facteurs. Comme c(.) est foncton de x, le modèle admet la possblté de rendements d'échelle crossants auquel cas la dérvée partelle de la foncton de coûts par rapport à la producton de la frme est strctement nféreure à zéro. L'applcaton du lemme de heppard à la foncton de coût nous donne la demande de facteurs par unté de producton. L'équaton (1) nous assure de l'égalté entre l'offre et la demande sur le marché des facteurs de producton: υ j c = X ; j wj (1) où j représente la dotaton en facteur de producton j. Quant aux mportatons nettes du ben, M, elles sont smplement égales à la dfférence entre la quantté ntéreure demandée C et l'offre ntéreure, X (M = C - X ). 4

6 On peut représenter l'équlbre de l'économe par l'égalté entre le revenu et la dépense natonale. Dans cette économe, le revenu natonal se trouve à être la somme de tros termes: () les rentes dues aux quotas ou les revenus provenant des tarfs, () les profts purs et () les revenus des facteurs. En conséquence, notre dentté natonale peut s'écrre: * E(.) = ( p p ) M + [ p c(.)] X + wjυ j (2) où p * représente le prx mondal du ben, qu'on suppose exogène. Ben que nous ne tenons pas explctement compte des consommatons ntermédares, notons qu'on pourrat nterpréter X comme étant la producton nette. Mantenant, consdérons une réforme tarfare partelle. Quel en sera l'effet sur le ben-être? Pour obtenr quelques éléments de réponse, l est utle de dfférencer l'équaton (2) dans un vosnage de l'équlbre ntal pour dentfer les réallocatons de ressources susceptbles d'augmenter le ben-être de l'économe. Après quelques substtutons, supposant que p * = 0 pour restrendre notre attenton à l'allocaton des ressources, nous obtenons: j (a) (b) (c) * 1 E dw p p dm p c dx nc g dx W = ( ) + [ (.)] + [ 1 ] (3) où g est le paramètre d'échelle et est égal au rato du coût moyen sur le coût margnal. Les tros expressons, (a), (b) et (c) correspondent chacune à une source partculère d'mperfecton du marché. L'expresson (a) ndque qu une augmentaton des mportatons de bens protégés (p j >p * ) contrbuerat à augmenter le nveau de ben-être. Les gans en cause seraent drectement proportonnels à l'écart que les tarfs ont creusé entre les prx ntéreurs et les prx nternatonaux. C'est la source habtuelle des gans lés à une basse des tarfs. Étant donné l mprobablté que cette augmentaton des mportatons se traduse par une augmentaton équvalente de la demande ntéreure, cec mplque une basse de la producton (sur-optmale) ntéreure. Quant à l expresson (b), elle est lée au nveau de profts excessfs dans les secteurs à concurrence mparfate. Dans de tels secteurs, le prx du marché est supéreur au coût margnal. Ans, l expresson (b) sgnfe que des gans de ben-être peuvent être attendus d'une hausse de la producton de ces secteurs (l'effet d'offre ou pro-compéttf de la secton précédente). Cependant, un secteur, généralement le secteur manufacturer des PD, peut être affecté smultanément par ces deux dstorsons. Ans, on peut vor que la condton (a) exgerat une contracton de ces secteurs alors que la condton (b) demanderat le contrare, c'est à dre une augmentaton de la producton de ces entreprses. L'effet sur le ben-être est donc ambgu. Quant au terme (c), l capte l nfluence d économes d échelles nexplotées. Pour les secteurs affectés, une expanson augmente le ben-être. Rodrk soulgne toutefos que l on peut trancher en excluant pour le moment les économes d échelle nexplotées (coût margnal = coût moyen) et en remplaçant l égalté suvante dans l équaton (3): dm = dc - dx.. Nous voyons alors que la concluson tradtonnelle en faveur d une contracton des secteurs protégés se tent à condton que leur coût margnal sot supéreur au prx mondal (c>p * ), c est-àdre qu ls produsent à un nveau sur-optmal. Par contre, l ampleur des gans résultant d une telle réallocaton sera toujours affectée dépendant de l écart (p * - c ) plutôt que (p - c ). Dans le cas contrare, où l mpact restrctf de la concurrence mparfate domne l mpact expansf de la protecton dans un secteur protégé tel que la producton locale est sous-optmale (c<p * ), une expanson de la producton locale est souhatable. 5

7 Toutefos, ce modèle ne fat pas référence aux gans de ben-être susceptbles de découler d'une augmentaton de la varété des produts offerts aux consommateurs. Ces derners sont probablement non néglgeables dans les pays en développement. De plus, le processus d'entrée et de sorte des frmes sur les marchés non compéttfs n'est pas prs en compte dans ce modèle 4. Les condtons selon lesquelles les frmes peuvent entrer et sortr du marché sont potentellement mportantes., sute à une lbéralsaton commercale, les frmes non effcentes à la marge quttent le marché, cela permettra aux frmes restantes de meux exploter leurs économes d'échelle même s la producton totale de l'ndustre dmnue. Cette ratonalsaton de l'ndustre permettrat d'augmenter ans les évaluatons des gans de ben-être résultant de la lbéralsaton commercale. La présompton la plus courante est que, advenant une basse de la proftablté du secteur due par exemple à l'élmnaton de tarfs et de subventons à l'exportaton, la réforme de la poltque commercale poussera certanes frmes à qutter le marché. ces dernères quttent un secteur bénéfcant d'économes d'échelle, l'effet sur le ben-être de l'économe serat améloré. D alleurs, Tybout (1993) suggère que l'utlsaton d'économes d'échelle nexplotées sute à la lbéralsaton serat plutôt dépendante d'une potentelle ratonalsaton de l'ndustre. C'est auss la concluson à laquelle parvent Rodrk (1995). Fnalement, l est mportant de soulgner qu'l s'agt c d'un modèle smplfé qu dffère des MEGC en pluseurs ponts, notamment l'hypothèse de parfate substtuablté entre produts locaux et étrangers. Au nveau emprque, les études fates à l ade de MEGC montrent que la prse en compte du pouvor de marché des frmes locales a pour effet de magnfer les gans à attendre de la lbéralsaton commercale dans les pays développés (vor auss la revue de lttérature de Rchardson (1990)). Les résultats sont auss très sgnfcatfs dans les travaux portant sur les pays en développement. Les évaluatons de Gunasekera et Tyers (1991) portant sur la lbéralsaton en Corée montrent que celle-c pourrat amener des gans d'envron 8 à 10% du PIB de l'économe coréenne. Même s les gans de ben-être augmentent auss dans l analyse du Cameroun de Devarajan et Rodrk (1991), l'ampleur de cet effet est plus fable que dans les modèles sur la Corée du ud. En effet, ls obtennent des estmatons de gans de ben-être de 0.5% dans un modèle à concurrence parfate, gans qu augmentent à 1% lorsqu'ls modélsent la concurrence mparfate et à 2% lorsqu'ls modélsent les économes d'échelle. Ce résultat s'explque par le fat que la lbéralsaton commercale provoque une forte ratonalsaton des ndustres manufacturères coréennes dans le modèle de Gunasekera et Tyers, leur permettant ans de bénéfcer d'mportantes économes d'échelle alors que cet effet est pratquement absent dans le modèle de Devarajan et Rodrk. De plus, l faut soulgner que la structure de protecton tarfare n'état pas la même dans les deux pays avant les efforts de lbéralsaton. Celle du Cameroun est plus près de celle qu prévaut dans la plupart des pays en développement. En partculer, comme nous l avons déjà mentonné, ce sont les secteurs agrcoles (à concurrence parfate) qu sont plus fortement protégés en Corée. Par conséquent, tous les effets tradtonnels de lbéralsaton commercale en termes de réallocaton des ressources et de gans de ben-être sont renforcés par les effets pro-compéttfs. Une grande attenton est portée sur la provenance des gans de ben-être dans une des études réalsées par de Melo et Roland-Holst (1991a) sur la Corée. À chaque fos, les auteurs décomposent les gans de ben-être en les mêmes composantes que Rodrk: Ceux qu provennent de l'nternalsaton des prx nternatonaux, ceux qu résultent de la perte de pouvor de marché des olgopoleurs et ceux qu provennent de l'explotaton d'économes d'échelle. Par exemple, ls montrent que dans leur modèle, s on double les possbltés d'économes d'échelle, cela doublera auss l'évaluaton des gans de ben-être résultant de la lbéralsaton commercale. Les gans de ben-être sont de 1.1% du PIB en concurrence parfate alors qu ls varent de -0.6% à 10.2% du PIB selon la magntude et la façon dont la concurrence mparfate et les économes d échelle sont ncorporées. Cependant, on retent que la plupart des smulatons montre que les évaluatons de ben-être doublent au mnmum lorsqu on prend en compte ces mperfectons du marché. omme toute, l ensemble de ces études emprques soulgne l'mpact de la prse en compte de la 4 Vor à cet égard les travaux de Melo et Roland-Holst (1994). 6

8 concurrence mparfate et des économes d'échelle dans l'évaluaton des effets des poltques de lbéralsaton du commerce extéreur. 1.3 La rémunératon des facteurs Nous termnons ce chaptre avec une pette note sur les effets possbles de la poltque commercale sur la rémunératon des facteurs. Dans un modèle à deux facteurs mobles (le traval et le captal), une basse des tarfs aura normalement pour effet d augmenter la rémunératon réelle du facteur utlsé de manère relatvement mons ntensve dans les ndustres relatvement protégées en augmentant la valeur de son produt margnal (effet tolper-amuelson). Cependant, dans les études applquées, l arrve parfos que l'effet tolper-amuelson sot contrebalancé par d'autres facteurs. Comme nous l'avons vu, en tenant compte de la concurrence mparfate, l est possble que, sute à la lbéralsaton commercale, les secteur relatvement protégés prennent de l'expanson alors que les autres se contractent. Cec engendrat une hausse de la rémunératon du facteur utlsé de manère ntensve dans les secteurs protégés. De plus, la prse en compte d économes d'échelle pourrat avor un mpact supplémentare sur ces conclusons. la lbéralsaton commercale amène des économes d'échelle suffsamment postves, l est possble que les facteurs de producton se partagent les bénéfces lés à ce gan d'effcacté tel que leurs rémunératons réelles augmentent tous les deux. Une llustraton de la force de ces effets peut être trouvée dans l'artcle de Brown (1994). Dans son analyse de l mpact de l'aléna, elle montre que les rémunératons des facteurs traval et captal se trouvent à augmenter dans les tros pays concernés sute à l'accord. Aux États-Uns, c'est l'améloraton des termes d'échange qu en est la cause, le nveau de protecton de ce pays étant le plus fable avant l'ntégraton. Au Mexque et au Canada, les effets d'échelle postfs sont à l'orgne de ce résultat. Ans, on ne peut dre a pror s'l va y avor un facteur perdant ou gagnant sute à la lbéralsaton. L'évoluton des rémunératons des facteurs dépendra de tros effets 5 : L'effet tolper-amuelson, l'effet procompéttf et enfn, les effets d'échelle de producton. Encore une fos, une évaluaton numérque est de mse pour avor une dée de l'effet domnant. Avant de procéder nous-mêmes à une évaluaton de ces effets dans le cadre tunsen, nous décrvons en détal dans la prochane secton les enjeux actuels de la lbéralsaton commercale en Tunse. Nous verrons auss comment le cadre nsttutonnel tunsen ressemble à pluseurs égards à celu qu prévaut dans la plupart des pays en développement. Nous examnerons enfn pourquo l'emplo d'un MEGC ncorporant la concurrence mparfate et les économes d'échelle nous apparaît plus appropré pour l'étude de la lbéralsaton commercale en Tunse. 5 Nonobstant les effets de termes d'échange. 7

9 2. L'EXPÉRIENCE TUNIIENNE L'économe tunsenne est relatvement développée et dversfée lorsqu'on la compare aux autres pays en développement. C'est en effet le seul pays de l'unon du Maghreb Arabe à obtenr un ndce de développement ntermédare selon l'organsaton des Natons-Unes. D'alleurs, l'agrculture n'y emploe respectvement que 30% des ressources, 40% de la populaton actve et 16% du PIB, ben que l'autosuffsance almentare ne sot pas acquse Martn et al. (1992b). Le pays est auss relatvement rche en ressources naturelles telles le pétrole, le phosphate et le fer. Les secteurs des textles et des produts almentares sont auss mportants, de même que le secteur tourstque. La Tunse a d'alleurs d'mportantes recettes d'exportatons de servces non-facteurs, envron 35% des exportatons totales, ce qu représente ben l'mportance du secteur tourstque sur les entrées de devses. Tableau 1 tructure de la répartton des exportatons de bens (%) Produts almentares Phosphates et dérvés Textles et curs Industres mécanques et électrques Autres ndustres Énerge Total ource: Caractérstques et analyses des échanges extéreurs , IEQ, (1993) Le pétrole, le gaz et le phosphate sont les autres prncpales ressources d'exportaton (vor Tableau 1). Ces dernères actvtés ont d'alleurs perms la créaton d'mportants complexes ndustrels dans la régon côtère alors que les actvtés textles se sont surtout développées dans les vlles. Ces chffres montrent que la Tunse est clarement passée dans le rang des exportateurs de produts ndustrels. Les mportatons sont quant à elles prncpalement consttuées de bens ndustrels et d'équpement, d'hydrocarbures, de produts almentares et de bens de consommaton courante (vor Tableau 2). Tableau 2 tructure de la répartton des mportatons de bens (%) Bens d équpement Matères premères et dem-produts Almentaton Bens de consommaton Énerge Total ource: Caractérstques et analyses des échanges extéreurs , IEQ, (1993) Pett pays, la Tunse est très dépendante du commerce nternatonal, en partculer de l'unon Européenne (UE). Celle-c est en effet le prncpal partenare commercal de la Tunse, fournssant le 2/3 des mportatons et absorbant le 3/4 de ses exportatons (vor Tableau 3). 8

10 Tableau 3 tructure géographque des échanges de bens (%) Exportatons Importatons CEE UMA Amérque du Nord Autres ource: Caractérstques et analyses des échanges extéreurs , IEQ, (1993) 2.1 L'Accord de Lbre-Échange de 1995 C'est en reconnassance de l'mportance du marché européen pour la Tunse qu'un accord de lbreéchange a été sgné entre les deux économes en La Tunse y obtent une garante d'accès, sans drot de douane, au marché européen pour de nouveaux produts agrcoles, tels que les salades de fruts et les fleurs coupées. D'autres produts agrcoles comme le concentré de tomate, les pommes de terre et les prmeurs auront par alleurs un accès améloré au marché communautare. En retour, l y aura un démantèlement des drots de douane sur les produts ndustrels européens qu s'échelonnera sur une pérode de 12 ans, tout en tenant compte du degré de vulnérablté des secteurs ndustrels concernés. Il y aura en outre harmonsaton des normes de qualté et améloraton des télécommuncatons et du transport tunsen avec l'ade fnancère de l'ue. De plus, l'accord est assort d'une ade européenne drecte substantelle destnée à faclter la "mse à nveau" des entreprses tunsennes peu préparées à la concurrence des mportatons européennes. Auss, cet Accord vent couronner les efforts de lbéralsaton entreprs en Tunse depus quelques années. Le processus de lbéralsaton du commerce extéreur tunsen a été engagé depus 1987 dans le cadre d'un Programme d'ajustement tructurel (PA) sous les auspces des organsmes de Bretton Woods. Il a déjà perms de supprmer les restrctons quanttatves à l'mportaton sur les matères premères, demproduts, pèces de rechange et bens d'équpement non fabrqués localement 6. Parallèlement, les exportatons on été lbérées à l'excepton de quelques produts (par exemple le pétrole et les tableaux d'art). Une seconde étape a été amorcée en 1989 avec la lbéralsaton partelle de toutes les mportatons ayant leurs smlares fabrqués localement. Cette mesure vsat à ntrodure progressvement de la concurrence pour les producteurs locaux et à favorser la compéttvté des produts tunsens. L'ntroducton de la concurrence étrangère a été précédée par la lbéralsaton des prx ntéreurs à la producton et des marges de dstrbuton afn d'accroître la fludté des marchés et d'augmenter la concurrence locale. De plus, l'nstauraton de la convertblté du dnar, début 1993, en garantssant une plus grande moblté des captaux, a donné une dmenson nouvelle aux poltques de lbéralsaton de l'économe. L'mpact de certanes modaltés de l'accord de lbre-échange avec l'unon Européenne a été étudé tout récemment par Rutherford et al. (1995) et Decaluwé et ouss (1996). Les premers auteurs trouvent tout d'abord que les effets de dverson d'échange sont relatvement peu mportants car déjà plus de 70% des mportatons non pétrolères tunsennes provennent de l'europe. Auss, et dans la mesure où les mécansmes de dverson d'échanges sont peu mportants par rapport à la créaton des échanges, l'accord avec l'unon Européenne devrat en prncpe être favorable à l'économe tunsenne (Page et Underwood (1995)). D'autre part, et en utlsant le même modèle et la même base statstque que Rutherford et al., Decaluwé et ouss ont montré que l'mpact d'une poltque de lbéralsaton du commerce extéreur état largement dépendant des autres dstorsons fscales qu grèvent le fonctonnement harmoneux des marchés. 6 Pendant les années 80, les taux moyens de protecton ont en moyenne chuté de 10% (vor Bouslama et al. (1995)). Vor également les travaux de Bousselm, Decaluwé, Martens et Monette (1989). 9

11 En partculer, ls ont montré qu'en présence d'un régme de TVA dstorsonnare, le lbre-échange et les autres mesures contenues dans l'accord pouvaent très ben condure à une perte substantelle de ben-être. Dans ces condtons, l apparassat mportant de réformer prortarement la fscalté ndrecte ntéreure avant de mettre en place un régme de lberté du commerce. Les prncpaux bénéfcares de l'accord sont cependant les consommateurs. En effet, les exportatons non agrcoles tunsennes bénéfcant déjà d'une lbre-entrée au marché européen, un des bénéfces majeurs de l'accord se trouve dans la réducton des prx des produts européens mportés. Dans le modèle (Rutherford et al. (1995)), ces gans compensent amplement les pertes relées à la réallocaton du traval et du captal des secteurs échangeables, devenus non compéttfs, vers les autres secteurs. Ben qu'utles, ces travaux récents lassent de côté un des aspects les plus mportants de l'accord de lbre-échange entre la Tunse et l'unon Europénne. En effet, ces modèles ne tentent pas de sasr l'mpact probable de l'accord sur le pouvor de marché des frmes locales et sur leur échelle de producton car ls supposent que tous les secteurs opèrent en concurrence parfate. on se fe à la dscusson dans l'ntroducton à ce paper, tout porte à crore que la concurrence mparfate et les économes d'échelle nexplotées consttuent des phénomènes mportants en Tunse. En dépt des changements récents, force est de reconnaître que la stuaton tunsenne reste à ben des égards représentatve de la plupart des PD. Les stratéges de substtutons aux mportatons suves par le gouvernement au cours des années 1970, une structure de protecton encore mportante 7 et des marchés fnancers encore relatvement peu développés (vor Page et Underwood (1995)) sont toutes de bonnes rasons de soupçonner la présence de structures de marché non compéttves. Comme le montrent Martn, Decaluwé, Martens et al. (1992a), le secteur moderne tunsen a fonctonné dans un envronnement excessvement admnstré et fortement protégé de la concurrence étrangère pendant de nombreuses années. D'une part, ce secteur état abrté par un système complexe de mesures tarfares et non tarfares. D'autre part, l état soustrat aux pressons d'une concurrence sur le marché ntéreur étant donné l'exstence d'un système strct de contrôle des nvestssements et des prx. Certans ont affrmé d'alleurs (vor Bousselm et al. (1989)) que les autortés étaent confrontées à la quadrature du cercle. D'une part, l'étrotesse du marché ne permettat pas le développement d'un marché ntéreur compéttf. Mas, d'autre part, l'état voulat évter que les monopoles ou quas-monopoles ans créés ne se tradusent pas en prx et en marges de proft exagérés. Paradoxalement, alors que la protecton lmtat la concurrence, le contrôle des prx état vu comme un moyen de protéger les consommateurs du pouvor monopolstque dont joussat un pett nombre d'entreprses dans pluseurs branches d'actvtés. Il état évdent que le système global de contrôle des mportatons, des nvestssements et des prx, en élmnant tout réflexe de concurrence n'avat pas ncté les entrepreneurs à se lancer dans l'exportaton et à fare face à la concurrence nternatonale. Le programme de réformes ms en place à partr de 1986 a été caractérsé par un étapsme prudent destné à évter les frctons, vore les explosons socales qu accompagnent fréquemment les poltques de lbéralsaton tout azmut (Martn et al. (1992a)). C'est ans que s les grandes orentatons du programme ont été dessnées dès 1986, pluseurs des mesures envsagées n'ont été mses en applcaton que ben plus tard. Cec porte auss à penser que les entreprses locales gardent toujours un certan degré de pouvor de marché. Dans ces crconstances, l y a leu de réévaluer la portée des prédctons tradtonnelles quant à l'mpact d'une lbéralsaton sur l'allocaton des ressources et les effets de ben-être lorsque les frmes possèdent toujours un certan pouvor de marché. De plus, s on suppose que l'économe tunsenne est caractérsée par des économes d'échelle mportantes, les évaluatons des gans de ben-être rsquent d'être basées. Pour condure notre argumentaton, nous décrvons dans la prochane secton la structure du 7 En fat, en 1990, les drots de douanes étaent généralement comprs dans les fourchettes suvantes (vor Bhoudaf (1995)): 17% à 27% pour les bens d'équpement 17% à 26% pour les matères premères et dem-produts 27% à 47% pour les bens de consommaton. 10

12 modèle de même que les procédures de calbraton employées pour ntrodure la concurrence mparfate et les économes d'échelle dans notre MEGC de l'économe tunsenne. Les résultats du modèle quant aux effets ambgus de la lbéralsaton commercale sont présentés dans la secton quatre. 3. LE MODÈLE Nous adoptons comme modèle de base le Modèle 3 de l'école PARADI (Decaluwé et al (1995)) comme exemple d'un MEGC conventonnel à rendements d'échelle constants et concurrence parfate. MOD3 est un modèle pédagogque d'une économe ouverte à tros secteurs (ndustrel, agrcole et admnstratf). L'utlsaton d un modèle smple nous permet de dégager clarement les aspects technques de la modélsaton des phénomènes de concurrence mparfate et d économes d échelle qu peuvent s adapter faclement à des modèles plus complexes. Pour la modélsaton de la concurrence mparfate, nous avons chos un comportement à la Cournot 8. Ce chox de modélsaton représente un comproms ntéressant entre notre désr de capter les caractérstques les plus mportantes de l économe tunsenne et les données lmtées que nous possédons sur la magntude du pouvor de marché et des rendements d'échelle auxquels font face les entreprses tunsennes. Nous comparons l mpact d une lbéralsaton commercale complète en Tunse en utlsant tros varantes du modèle: concurrence parfate et rendements constants; concurrence mparfate et rendements constants; concurrence mparfate et rendements crossants. 3.1 La concurrence parfate Dans le modèle à concurrence parfate, le consommateur représentatf possède une foncton d'utlté de forme Cobb-Douglas. Les produts sont homogènes au sen des frmes locales d une même branche mas dfférencés selon leur orgne (produt local ou mporté) et selon leur destnaton (produt local ou exporté) avec des fonctons d'agrégaton CE et CET, respectvement. Comme le modèle est standard, nous nous attarderons seulement sur les éléments partculers à l ntroducton de la concurrence mparfate dans certans secteurs. La producton totale de chaque branche est dénotée par X. Les fonctons de producton sont de type Leontef dans les consommatons ntermédares CI j et la valeur ajoutée VA : CI VA = o X =υ X (4) (5) où o et =(1-o j ) sont respectvement les parts de la demande ntermédare et de la valeur ajoutée dans la producton pour le secteur. La valeur ajoutée est à son tour une foncton Cobb-Douglas du traval L et du captal K : VA α = A L K 1 α (6) où A et sont respectvement le paramètre d'échelle et l élastcté de l offre par rapport au traval. Ans, nous pouvons écrre la foncton de producton de la manère suvante: X α AL K υ 1 α = (7) 8 Vor Doste, Cockburn et Decaluwé (1996) pour un tratement théorque des dfférentes structures de marché utlsées dans les MEGC avec concurrence mparfate. 11

13 Le traval et le captal sont mobles entre les secteurs de l'économe mas leur dotaton totale est fxe pour l économe. Le taux de salare s'ajuste de façon à mantenr le plen emplo. Les demandes de traval et de captal, dérvées du problème de maxmsaton des profts, prennent la forme suvante: L VA P VA = α w d (8) K = ( 1 α ) P r VA VA (9) où: P VA = PX Q Pj CIJ j VA j (10) CIJ = a CI j j j (11) a j étant la part de la consommaton ntermédare du ben utlsée dans la producton du ben j alors que P VA, P et P j Q sont respectvement le prx de la valeur ajoutée, le prx au producteur et le prx du ben composte à la consommaton. En terme de résoluton du modèle, les fonctons de demande factorelles peuvent être substtuées dans l'équaton (7) pour obtenr la foncton d'offre du secteur. Les prx et les quanttés d'équlbre sont détermnés par les condtons de l'offre et de la demande. La condton de maxmsaton des profts n'apparaît pas de manère explcte mas elle découle de la condton que la rémunératon de chaque facteur sot égale à la valeur de son produt margnal à l équlbre (équatons 8 et 9). 3.2 L'olgopole Pour ntrodure la concurrence mparfate dans notre modèle, nous devons modélser le processus de décson des producteurs dans les secteurs à concurrence mparfate. Le reste du modèle demeure nchangé. Les condtons de maxmsaton des profts de l'olgopoleur sur les marchés ntéreur et à l exportaton prennent les formes suvantes: D D P ( X) MC ( X) 1 D = P ( X) N ε E E P ( X) MC ( X) 1 E = P ( X) N ε D E (12) (13) où P D, P E,MC D, MC E,N, E et D sont respectvement le prx ntéreur, le prx à l exportaton, le coût margnal de la producton vendue sur le marché ntéreur, le coût margnal de la producton exportée, le nombre de frmes et les élastctés-prx de la demande ntéreure et de la demande des exportatons telles 12

14 que perçues par un producteur du secteur. La demande des exportatons est supposée très élastque (=20) compte tenu du fable pouvor de marché des entreprses tunsennes sur les marchés mondaux. Les expressons décrvant les coûts margnaux provennent du problème de mnmsaton des coûts totaux du producteur: Q CT wl rk P CIJ = + + (14) j j j sujet à la contrante de dfférentaton des produts selon la destnaton. Rappelons que la dfférentaton des produts est modélsée avec une foncton de type CET: ρ E ρ D { δ ( ) ( 1 δ)( ) } t X = a X + X 1 ρ (15) où X, X D et X E réfèrent mantenant à la producton totale, la producton vendue localement et exportée par frme. Étant donné la dfférentaton des produts selon leur marché de destnaton, les coûts margnaux de producton sont dfférents selon que la producton est exportée ou vendue localement. Contrarement à Devarajan et Rodrk ( ), nous avons mantenu cette dfférentaton dans notre modèle à concurrence mparfate. Nous l'avons jugé plus conforme à la réalté étant donné les dfférences de qualté/ caractérstques entre les produts exportés et les produts vendus localement au sen d une branche. De plus, cec assure la comparablté des résultats par rapport au modèle à concurrence parfate. En effet, à travers dverses smulatons, nous avons découvert que les résultats attrbués à l ntroducton de la concurrence mparfate dans le modèle de Devarajan et Rodrk sont plutôt attrbuables à l ntroducton de la parfate substtuablté dans les secteurs olgopolstques. Comme nous le verrons dans la secton 4, l ntroducton de la concurrence mparfate ne modfe pas les résultats du modèle de manère qualtatve. Les résultats quanttatfs sont affectés plus ou mons selon le secteur étudé. Du problème du producteur, nous obtenons tout d abord les fonctons de demande condtonnelle pour le traval et le captal: L α r = ( 1 α ) w 1 α υx A (16) K ( 1 α ) w = α r α υx A (17) où r et w sont respectvement les rémunératons des facteurs traval et captal 9. 9 Notons que les équatons (16) et (17) n'apparassent pas toutes les deux dans les équatons complètes du modèle. En terme de résoluton du modèle, les nveaux de producton et les prx sont détermnés par les fonctons de demande ntéreure et d exportaton, la foncton CET et les équatons de Lerner (équatons 12 et 13). Étant donné le nveau de producton totale et l'une des deux fonctons de demande condtonnelle de facteurs, la foncton de producton (7) détermne mplctement la demande de l'autre facteur. Ans, l'une des deux équatons (16) et (17) est redondante et peut être élmnée. Dans notre modèle, nous avons chos d'élmner la foncton de demande condtonnelle de captal pour le secteur olgopolstque. 13

15 Nous pouvons défnr les coûts margnaux de producton par marché de destnaton étant donné leur mparfate substtuablté 10 : MC MC D E CT X = X X CT X = X X D E (18) (19) on remplace les équatons (4), (5), (11), (16) et (17) dans l'équaton des coûts totaux (14), et dfférente cette équaton par rapport à la producton totale, on obtent, après smplfcatons, que: α α CT o w r Q = ( 1 ) ( 1 ) o a P j j X A + α α 1 j (20) D autre part, à partr de l équaton (15), on peut dérver, X X D X X E ρ 1 { } 1 ρ [ δ ρ E D ρ δ ρ D ( ) ( 1 )( ) ] ( 1 δ) ( ) t = a X + X X ρ 1 { } 1 ρ [ δ ρ E D ρ δ ρ E ( ) ( 1 )( ) ] δ ( ) t = a X + X X (21) (22) Les deux dernères expressons dépendent évdemment du chox de la CET comme foncton d agrégaton. Alors que l élastcté-prx de la demande sur le marché à l exportaton est fxée de manère exogène, l'élastcté-prx de la demande pour la producton locale sur le marché ntéreur, D dans l'équaton (12), est détermnée quant à elle de façon endogène par le modèle. Consdérant la structure de la foncton de demande ntéreure (CE à l Armngton), on obtent: σ d 1 σ δ ( P ) ε = σ + ( 1 σ) ( 1 δ) ( P ) + δ ( P ) σ 1 σ σ 1 σ m d (23) où les X représentent les volumes du ben CE composte (Q) et du produt local (D), respectvement, vendus sur le marché ntéreur; est l'élastcté de substtuton entre les bens mporté et local. Il est donc apparent qu'une réducton du prx des produts mportés fat augmenter l'élastcté-prx à laquelle fat face la frme locale, ce qu engendre l'effet pro-compéttf de la lbéralsaton commercale. Les profts de la branche olgopolstque sont détermnés de façon résduelle comme étant la dfférence entre la valeur de la producton de l'olgopole et le coût des facteurs: Q PR = P X P CIJ wl rk j j (24) j Ces profts sont drectement alloués aux ménages dans notre modèle. 10 Nous remercons Tobas Muller de nous avor proposé cette formulaton du modèle. 14

16 Pour ncorporer des rendements d'échelle crossants, l sufft d ncorporer un coût fxe en captal spécfque à chaque frme (KF j,). On peut alors séparer le captal utlsé par le secteur en une parte varable KV et une parte fxe 11 : KV = K N KF (25) De façon cohérente, le len entre les coûts moyen et margnal s'écrt: AC D X X D E = MC + MC X X E r KF + f (26) X où AC représente le coût moyen. À l'encontre de pluseurs études applquées dans cette lttérature, nous mantenons constant le nombre de frmes et ne fasons pas de smulaton dte "de long terme" avec lbre entrée/sorte de frmes et profts nuls. Compte tenu de l'hypothèse (à l'armngton) d'mparfate substtuablté entre produts locaux et étrangers habtuellement adoptée dans les MEGC, la lbéralsaton commercale rédut mas n'élmne pas le pouvor de marché des producteurs locaux. Ans, on dot supposer que la concurrence mparfate est attrbuable à des barrères nsttutonnelles ou technologques (rendements d'échelle non constants) à l'entrée de frmes locales. la concurrence mparfate est causée par des barrères nsttutonnelles (ce qu est nécessarement le cas dans le modèle à rendements d'échelle constants), l n'y a aucune rason de crore que ces barrères dsparaîtront sute à la lbéralsaton commercale. Une smulaton de lbéralsaton commercale avec profts nuls correspondrat donc à une stuaton très partculère dans laquelle l y a smultanément lbéralsaton commercale et élmnaton des barrères à l'entrée de frmes locales, ce qu n'est pas l'objet de notre analyse. De plus, en autant que les profts demeurent postfs (le cas dans l'ensemble de nos smulatons), l'on ne devrat pas s'attendre à une sorte de frmes. c'est la présence de rendements d'échelle crossants qu a engendré la concurrence mparfate, étant donné que les profts dmnuent après la lbéralsaton commercale mas demeurent postfs, l ne devrat y avor n entrée n sorte (ratonalsaton) de frmes. 3.3 Données et calbraton Les données de base de notre modèle sont contenues dans le Tableau Entrées-ortes de 1990 de l'économe tunsenne, produt par l'insttut Natonal de la tatstque. On y trouve des nformatons détallées sur l'emplo des ressources, la producton et le commerce extéreur pour 18 secteurs. Le tableau 4 donne quelques données descrptves pour chacun de ces secteurs. Même s le secteur agrcole est mons protégé que la plupart des secteurs ndustrels (ndustres agro-almentares, céramque et verre, mécanque, chmque et mnère), les secteurs des textles et des hydrocarbures sont encore mons protégés. Auss, l faudra en tenr compte lors de l'analyse des résultats des smulatons présentés dans la secton suvante. 11 Noter qu l faut alors remplacer la varable K par la varable KV dans les équatons 6, 7 et

17 Tableau 4 Producton Exportatons (2)/(1) Importatons Consommaton (4)/(5) captal wage mport tax remuneraton payment rate (1) (2) (3) (4) (5) (6) (7) (8) (9) Agrculture/Pêches 2,015 0,085 0,042 0,258 2,212 0,117 1,666 0,090 0,062 Industre Agro-Almentares 1,587 0,179 0,113 0,324 2,098 0,154 0,072 0,142 0,187 Industre Céramque et Verre 0,497 0,088 0,177 0,083 0,509 0,163 0,044 0,090 0,186 Industre Mécanque et Électrque 1,050 0,346 0,330 2,188 3,024 0,724 0,073 0,143 0,120 Industre Chmque 1,015 0,458 0,451 0,687 1,308 0,525 0,022 0,073 0,110 Textle, Habllement et Curs 1,662 1,184 0,712 1,014 1,590 0,638 0,221 0,277 0,023 Industres Dverses 0,668 0,224 0,335 0,533 1,069 0,499 0,112 0,077 0,094 Industre Mnère 0,132 0,033 0,250 0,025 0,126 0,198 0,003 0,068 0,136 Hydrocarbures 1,054 0,523 0,496 0,438 1,105 0,396 0,608 0,023 0,063 Électrcté 0,268 0,273 0,029 0,049 Eau 0,075 0,077 0,018 0,029 Bâtment et Travaux Publcs 1,451 1,457 0,364 0,309 Commerce 1,355 0,129 0,095 1,225 0,714 0,160 Transport 1,180 0,358 0,303 0,162 1,052 0,154 0,411 0,367 Toursme/Hôtellere 0,968 0,928 0,959 0,142 0,195 0,728 0,358 0,198 ervces Fnancers 0,460 0,009 0,020 0,023 0,487 0,047 0,205 0,131 Autres ervces 1,338 0,116 0,087 0,076 1,368 0,056 0,914 0,162 ervces Non-Marchands 1,719 1,853 1,135 16

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