Introduction. XIX e siècle, il faut attendre quelques milliers d années pour arriver
|
|
- Théophile Delorme
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 De la lumière du feu de l homme préhistorique, en passant par la lampe à huile, puis la chandelle, la lanterne qui apparaît dans les rues de Paris au XVII e siècle et l éclairage au gaz au début du XIX e siècle, il faut attendre quelques milliers d années pour arriver à l éclairage électrique, découvert tout d abord par l Américain Humphrey Davy qui invente la première lampe électrique. En fait, d où vient la lumière? Du rayonnement solaire diffusé par les gaz, les vapeurs et les poussières de l atmosphère. En 1802, Humphrey Davy constate qu en faisant passer un courant électrique à travers un fil de platine ou un crayon de charbon, on peut porter ces matériaux à l incandescence et qu ils brillent jusqu à ce qu ils soient détruits par oxydation. La même année, il découvre la possibilité de maintenir un arc électrique continu entre les deux électrodes de charbon de bois de son «œuf électrique». Ces deux principes constituent les deux grandes technologies de lampes : l incandescence et la décharge. En 1879, un autre américain Thomas Edison a l idée d enfermer un filament de coton à l intérieur d une ampoule de verre sous vide et de le porter à incandescence par un courant électrique. Cette première lampe incandescente durera 45 heures! Un autre physicien, anglais celui-là, se livrera à la même expérience, à peu près au même moment, mais Joseph Wilson Swan sera vite oublié. Cependant c est à Swan qu on doit le système de culot à baïonnette (B22), Edison ayant pour sa part développé le culot à vis (E14, E27 ). Tous les matériaux seront testés pour améliorer la durée de vie de la lampe. Et c est en 1906, qu Auer von Welsbach utilise des métaux 9
2 L éclairage intérieur plus réfractaires à la fusion qui permettent de prolonger la combustion du filament. Cela augmente en même temps sa température, donc la quantité de lumière fournie, le flux lumineux (voir Glossaire). En 1910, William D. Coolidge réussit à obtenir du tungstène permettant de réaliser des filaments flexibles. 2015, date probable de la fin des lampes incandescentes classiques? En juin 2007, les principaux fabricants de lampes européens membres d ELC (European Lamp Companies Federation), ont proposé à la Commission européenne d arrêter, d ici 2015, la mise en vente de lampes incandescentes classiques, lampes les plus énergivores, donc responsables d importantes émissions de CO 2. La disparition de ces lampes entraînerait une réduction de 60 % des émissions de CO 2 (23 méga tonnes par an) dues à l éclairage et une économie de 7 milliards d euros pour les consommateurs européens, soit GWh d électricité. Cette opération a pour objectif de réduire les dépenses énergétiques via l utilisation massive de sources lumineuses consommant bien moins d énergie à quantité de lumière produite égale. On pense notamment aux lampes fluocompactes dans un premier temps, aux leds dans un second temps, mais ceci est une autre histoire (voir chapitre 3). Principe de l incandescence Le principe de la lampe incandescente est le suivant : un filament de tungstène est chauffé à blanc par un courant électrique dans une ampoule de verre translucide. En présence d oxygène, le filament porté à haute température brûlerait instantanément, c est la raison pour laquelle, dès l origine, ce type de lampe a été muni d une enveloppe de verre isolant un milieu sans oxygène, l ampoule, qui a donné son nom populaire au dispositif, puis par extension à tout système, protégé par une enveloppe en verre, destiné à fabriquer de la lumière à partir d électricité. 10
3 Fig. 1 Coupe d une lampe incandescente classique 1. Ampoule de verre, aussi appelée globe, bulbe ou enveloppe 2. Gaz inerte 3. Filament de tungstène 4. Fil conducteur (contact avec le plot central) 5. Fil conducteur (contact avec le culot) 6. Fils de support du filament 7. Monture ou support en verre 8. Culot (contact électrique) 9. Culot (à vis ou baïonnette) 10. Isolant 11. Plot central (contact électrique) 11 11
4 L éclairage intérieur À l intérieur de l ampoule, on trouve soit un gaz caractéristique du type d ampoule : gaz rare souvent du krypton ou de l argon, soit le vide. Inéluctablement le filament surchauffé se vaporise et perd de la matière par sublimation, ensuite cette vapeur de métal se condense sur l enveloppe plus froide. L ampoule devient de plus en plus opaque et le filament devient plus fragile. Le filament finit par se rompre au bout de plusieurs centaines d heures : heures pour une lampe incandescente classique, c est ce qui indique sa durée de vie. Principe de la décharge La lumière d une lampe à décharge est produite par le passage d une décharge électrique dans une ampoule renfermant une ou plusieurs vapeurs métalliques (sodium, par exemple), un ou plusieurs gaz rares et parfois des composés chimiques de nature variée. Il s ensuit une production de photons, donc de lumière. L allumage se produit après quelques minutes à froid, voire quelques secondes aujourd hui grâce à l électronique. Une lampe à décharge est une lampe électrique constituée d un tube ou d une ampoule en verre rempli de gaz ou de vapeur métallique, sous haute ou basse pression. Les tubes fluorescents (appelés à tort «néon»), les lampes fluocompactes, sont des lampes à décharge. La couleur de la lumière émise par photoluminescence, par ces lampes dépend du gaz utilisé : le néon donne une couleur rouge ; le mercure s approche du bleu tout en produisant une quantité d ultraviolet importante ; le sodium rayonne dans le jaune. Souvent on le mélange avec du néon pour rendre la lumière orangée ; le xénon (employé pour l éclairage des phares automobiles) est le gaz qui permet de s approcher le plus possible du blanc pur. 12
5 Outre ces deux principes de production de lumière, on fait de plus en plus appel à l électroluminescence qui a donné lieu notamment aux leds (Lighting Emitting Diodes, «diodes électroluminescentes» en français). Principaux modèles de lampes Classique Standard Lampes à incandescence Fantaisie Linolite Krypton Réflecteur Calotte argentée Halogène Tension normale 230 V Très basse tension Tube fluorescent Lampes fluorescentes Lampe fluocompacte 13
FICHE TECHNIQUE ENERGIE «ECLAIRAGE»
FICHE TECHNIQUE ENERGIE «ECLAIRAGE» Sources : syndicat de l éclairage et CNIDEP A. ETAT DE L ART 1. Caractéristiques générales L éclairage a pour vocation : - D assurer de bonnes conditions de travail,
Plus en détailGuide de l éclairage 1to1 energy Efficacité énergétique, confort et esthétique
Guide de l éclairage to energy Efficacité énergétique, confort et esthétique Sommaire Pour y voir plus clair 3 L essentiel en bref 4 Comparatif anciennes/nouvelles ampoules 6 Ampoules basse consommation
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailLAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL
LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL Economisons notre énergie et sauvons la planète Présentation générale 2013 PRESENTATION I. Principes de fonctionnement d une ampoule basse
Plus en détailComparaison des performances d'éclairages
Comparaison des performances d'éclairages Présentation Support pour alimenter des ampoules de différentes classes d'efficacité énergétique: une ampoule LED, une ampoule fluorescente, une ampoule à incandescence
Plus en détailRecycler mes lampes? Une idée lumineuse. En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent!
Recycler mes lampes? Une idée lumineuse En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent! Prévu par deux règlements européens relatifs à l éco-conception des lampes, le retrait progressif
Plus en détailL énergie durable Pas que du vent!
L énergie durable Pas que du vent! Première partie Des chiffres, pas des adjectifs 9 Lumière S éclairer à la maison et au travail Les ampoules électriques les plus puissantes de la maison consomment 250
Plus en détailBien choisir son éclairage
L habitat AGIR! Bien choisir son éclairage Meilleur pour l environnement, moins coûteux pour vous et efficace partout Édition : février 2015 sommaire glossaire introduction De la lumière sans gaspillage....
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailOpération Eclairage Performant Phase I Inventaire de l'existant. Commune : Sainte Anne
Bâtiment : Cyberbase 001 Bureaux Mazda Tube T8 Ferromagnétique Tubes fluorescents G13 36 W 1 Interrupteur 34 lux 129 lux 7 m² 002 Bureaux Mazda Tube T8 Ferromagnétique Tubes fluorescents G13 36 W 1 Interrupteur
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailHIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON TARIF ET DOCUMENTATION TECHNIQUE
HIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON TARIF ET DOCUMENTATION TECHNIQUE HIGH INTENSITY DISCHARGER KIT XENON KIT XENON - EQUIPO XENON - SATZ XENON LES AVANTAGES En comparant
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailGesti0n de l éeclairage. Sommaire. Équipe de travail
Équipe de travail Matthieu Le Guen Jean-Paul Pruvost Pascal Pujades Sous la direction de : Marc Mahieu Merci à Jean-Michel Raynaud Année scolaire 2008-2009 Sommaire Page 1 : Présentation Page 2 : Consommation
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailL'éclairage des tunnels par LED
NOTE D'INFORMATIONn 19 L'éclairage des tunnels par LED Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement Centre d'études des Tunnels www.cetu.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailLA GAMME BRIO. KAUFEL Systèmes de sécurité KAUFEL, NOTRE EXPERTISE A VOTRE SERVICE
KAUFEL, NOTRE EXPERTISE A VOTRE SERVICE KAUFEL Systèmes de sécurité LA GAMME BRIO UNE GAMME UNIQUE POUR TOUTES VOS APPLICATIONS Des hommes, des produits et des références pour vous accompagner dans vos
Plus en détailÉclairage efficace : quoi choisir parmi les équipements sur le marché?
Éclairage efficace : quoi choisir parmi les équipements sur le marché? Patrick Martineau, ing. Colloque des gestionnaires techniques du logement social et communautaire 12 mars 2014 CONTENU DE LA PRÉSENTATION
Plus en détailMémento à l usage du personnel des laboratoires
Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailGuide pratique de l éclairage domestique pour un éclairage efficace et confortable
Guide pratique de l éclairage domestique pour un éclairage efficace et confortable Table des matières Pour y voir plus clair Applications classiques 3 Comparatif anciennes/nouvelles lampes 4 Lampes économiques
Plus en détailLe remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur
Le remplacement d un tube fluo T8 par un tube LED dans les écoles : la synthèse pour le directeur Un tube fluo de 1.500 mm et de 58 W consomme 68 W avec son ballast. Dans certains cas, il pourrait être
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailCATALOGUE 2010 SPOTS AMPOULES TUBES COMPACTLED
CATAOGUE 2010 SPOTS AMPOUES TUBES COMPTED Page 3 TUBES DF- MUTIED HAUTE PERFORMANCE Page 4 - Fiche technique Tube DF-MultiED HP Blanc chaud 3000 Page 5 - Fiche technique Tube DF-MultiED HP Blanc chaud
Plus en détailLampes MASTER LED & Novallures Septembre 2011
Lampes MASTER LED & Novallures Septembre 2011 GU5.3 GU10 GU4 E27 B22 Aujourd hui, MASTER LEDlamps c est: La gamme la plus large du marché. Le plus large choix de culots et de formes disponibles sur le
Plus en détailUn éclairage de sécurité sûr grâce aux LED
K9 Un éclairage de sécurité sûr grâce aux LED La LED : une source lumineuse idéale pour l éclairage de sécurité. Compact La conception extrêmement compacte a été rendue possible grâce à l utilisation de
Plus en détailQuestionnaire sur l évaluation des ampoules à basse consommation d énergie et de longue durée de vie
Questionnaire sur l évaluation des ampoules à basse consommation d énergie et de longue durée de vie Edition: juillet 2013 SuperDrecksKësct B.P. 43 L-7701 olmar-berg Tel. : 00352 488 216 1 Fax : 00352
Plus en détailNormes CE Equipements de Protection Individuelle
E. P. I D O C U M E N T D I N F O R M A T I O N Normes CE Equipements de Protection Individuelle Normes CE EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE Définitions : E.P.I : Tout dispositif ou moyen destiné
Plus en détailOBJETS DE MARQUE OBJETS D IMAGE. Sélection white book LE HIGH TECH A MARQUER
OBJETS DE MARQUE OBJETS D IMAGE Sélection white book LE HIGH TECH A MARQUER A propos de WHITE BOOK White Book est une marque du groupe First Mover spécialisée dans la recherche, la sélection et la mise
Plus en détailMASTER PREVENTION DES RISQUES ET NUISANCES TECHNOLOGIQUES L ECLAIRAGE DES. Travail dirigé par : Thierry ATHUYT. Professeur associé
MASTER PREVENTION DES RISQUES ET NUISANCES TECHNOLOGIQUES P.R.N.T. L ECLAIRAGE DES LOCAUX DE TRAVAIL Travail dirigé par : Thierry ATHUYT Professeur associé Faculté de pharmacie Marseille Unité d enseignement
Plus en détailCERTIFICAT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE
Rue Knapen 11 100 SCHAERBEEK Superficie brute: 242 m² 1 Performance énergétique du bâtiment Très économe
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailLa lumière. Sommaire de la séquence 10. t Séance 4. Des lumières blanches. Des lumières colorées. Les vitesses de la lumière
Sommaire de la séquence 10 La lumière t Séance 1 Des lumières blanches t Séance 2 Des lumières colorées t Séance 3 Les vitesses de la lumière t Séance 4 Je fais le point sur la séquence 10 Ce cours est
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailQu est-ce que l efficacité énergétique?
Qu est-ce que l efficacité énergétique? Vous avez sûrement beaucoup entendu cette expression dernièrement. En général, elle désigne le fait d utiliser moins d énergie qu avant pour fournir des services
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailLES PROJECTEURS : FLUORESCENTS
Les tubes fluorescents ayant faits d'énormes progrès en terme de qualité de lumière et de puissance, de nombreux fabricants ont lancés sur le marché des projecteurs puissants et légers utilisant ces sources.
Plus en détailLampes à DEL EcoShine II Plus
Lampes à DEL EcoShine II Plus LAMPES POUR TABLETTE, RAIL et PAVILLON POUR COMPTOIRS MULTI-NIVEAUX, LIBRE-SERVICE ET DE PRODUITS SPÉCIALISÉS Une efficacité d éclairage maximale dans la vente d aliments
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailLE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation:
1 www.cetime.ind.tn LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: met à votre disposition des compétences et des moyens techniques pour vous assister dans vos démarches d innovation et d
Plus en détailObjectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un
CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule
Plus en détailLa Photographie - Page 1 / 13
La Photographie - Page 1 / 13 Table des matières 1. Généralités sur la lumière... 3 2. La photographie... 5 2.a. Le support... 5 2.a.i. L argentique... 5 2.a.ii. Le numérique... 6 3. L outil appelé appareil
Plus en détailcontact@station-energy.com
STATION ENERGY est un fournisseur spécialisé de solutions d électrification pour les pays africains. Nos produits innovants sont développés pour répondre aux besoins d énergie : du besoin basique de la
Plus en détailLes LEDs et les plantes
Les LEDs et les plantes Ing. Samuël Colasse 1, Ir. Julien Louvieaux 2,Dr. Thierry Marique 3 et Dr. Cécile Nanbru 4 L emploi des diodes luminescentes (ou LED pour «light emitting diode») devient de plus
Plus en détailINSTALLATIONS ÉLECTRIQUES CIVILES
index ALIMENTATION MONOPHASEE ALIMENTATION MONOPHASEE ALIMENTATIONS DL 2101ALA DL 2101ALF MODULES INTERRUPTEURS ET COMMUTATEURS DL 2101T02RM INTERRUPTEUR INTERMEDIAIRE DL 2101T04 COMMUTATEUR INTERMEDIAIRE
Plus en détailla comparaison des ampoules
description la comparaison des ampoules 6 e année, Sciences et technologie Source : Adapté de TDSB, Heat in the Environment Au cours de cette activité d apprentissage, les élèves exploreront leur utilisation
Plus en détailLa photo numérique. sous-marine. Guide expert. Isabelle et Amar Guillen. Groupe Eyrolles, 2005 ISBN : 2-212-67267-5
La photo numérique sous-marine Guide expert Isabelle et Amar Guillen Groupe Eyrolles, 2005 ISBN : 2-212-67267-5 3 Balance des blancs, phares, filtres sous-marins Dans le chapitre précédent, nous avons
Plus en détailACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21
ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21 HYGIENE ET SÉCURITÉ JUIN 2001 Francis MINIER Inspecteur d Hygiène et de Sécurité Correspondant académique à la sécurité Tel : 02 38 79 46 64 Secrétariat
Plus en détailINFUSIONS MC Marquises contrastantes en polycarbonate Mode d assemblage et d installation
INFUSIONS MC Marquises contrastantes en polycarbonate Mode d assemblage et d installation 1. DÉFINITION Les marquises contrastantes Infusions offrent un choix de 16 finis de métal ou de plastique transparent
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailGobius 1 ¾ alarme pour des fosses septiques
Version de document 1.0, janvier 2011 Gobius 1 ¾ alarme pour des fosses septiques Guide d installation Commencez ici 1. Assurez-vous que toutes les pièces sont dans l emballage. (1 capteur, 1 tableau,
Plus en détailEco. Plus chères à l'achat, les ampoules faible consommation se révèlent très économiques au bout de quelques mois...
Eco consommation La mairie ou la société de remontée mécanique veillent à limiter et à réduire leur consommation d énergie pour l éclairage des locaux et de la station. Grâce à des gestes simples et les
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailAuteur : Muriel DUPRET. Juin 2006
Notes techniques et réflexions Confort d été : comment réduire les apports internes dans les bâtiments de bureaux Auteur : Muriel DUPRET Juin 2006 Ingénierie énergétique 26160 FELINES S/RIMANDOULE TEL
Plus en détailChapitre 6 ÉNERGIE PUISSANCE - RENDEMENT. W = F * d. Sommaire
Chapitre 6 ÉNERGIE PUISSANCE - RENDEMENT Sommaire 1. Définitions symboles - unités 2. Chute de tension dans les conducteurs 3. Effets calorifiques du courant 1. DÉFINITIONS SYMBOLES - UNITÉS 1.1 Force
Plus en détailBC LABEL Location de bornes photos numériques
BC LABEL Location de bornes photos numériques Mise a jour le 11-09-2014 page 1 / 63 Clé USB Pivotante Couleur Délais de livraison : 10 2, 32Go, 64 Go Tampographie, Gravure Laser Rouge, Vert, Jaune, Bleu
Plus en détailDéfi 1 Qu est-ce que l électricité statique?
Défi 1 Qu estce que l électricité statique? Frotte un ballon de baudruche contre la laine ou tes cheveux et approchele des morceaux de papier. Décris ce que tu constates : Fiche professeur Après avoir
Plus en détail1 222 rue de l Université 75343 PARIS 07 téléphone 01 56 61 71 01
Questionnaire sur les conditions générales d accueil et de conservation d œuvres dans le cadre d un prêt Institution : Adresse : Téléphone /Fax : Email : Date : Questionnaire rempli par (nom et qualité)
Plus en détailL'ÉCLAIRAGE : DOSSIER TECHNIQUE
L'ÉCLAIRAGE : DOSSIER TECHNIQUE Dernière révision du document : juillet 2012 L'éclairage d'un site de production ne fait pas toujours l'objet d'une attention particulière. Or, une installation d'éclairage
Plus en détailThe table below is part of Commission Regulation (EC) No 245/2009 Ecodesign requirements, applicable from 13 April 2010.
Philips Lighting, GBU Fluorescent Lamps, Global Product Marketing Mathildelaan 1, 5611 BD Eindhoven The Netherlands Date: March 2010 The table below is part of Commission Regulation (EC) No 245/2009 Ecodesign
Plus en détailSur la piste de Volta
DOSSIER PÉDAGOGIQUE Sur la piste de Volta animation scientifique en école fondamentale Table des Matières Fiches élèves Fiches professeur Feuille de route Synthèse de l animation Fiches d exploitation
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailEdition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section C Division 27
Edition 2015 Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section C Division 27 27 FABRICATION D ÉQUIPEMENTS ÉLECTRIQUES Cette division comprend la fabrication de produits
Plus en détailÉCLAIRAGE INDUSTRIEL. EXCELLENTES PERFORMANCES POUR UNE FAIBLE CONSOMMATION D'ÉNERGIE.
ÉCLAIRAGE INDUSTRIEL. EXCELLENTES PERFORMANCES POUR UNE FAIBLE CONSOMMATION D'ÉNERGIE. 03 Introduction 04 05 Améliorer la motivation et la sécurité Présentation 06 07 Éclairage de façade Floodlight 3000
Plus en détail1. Utilisation conforme à l usage prévu. 2. Propriétés. 3. Montage. Capteur de CO 2 AMUN 716 9 101
310 164 01 Capteur de CO 2 AMUN 716 9 101 1. Utilisation conforme à l usage prévu Le capteur sert à la détection de dioxyde de carbone (CO 2 ) et de la température dans l espace d habitation. La teneur
Plus en détailALIMENTATION PORTABLE 9000 AVEC DEMARRAGE DE SECOURS POUR VOITURE
ALIMENTATION PORTABLE 9000 AVEC DEMARRAGE DE SECOURS POUR VOITURE Guide d'utilisation 31889 Veuillez lire attentivement ce manuel avant l'utilisation de ce produit. Dans le cas contraire, cela pourrait
Plus en détailEclairage artificiel
Eclairage artificiel Directions de lumière Effets de la source Mise en Scène Mise en Valeur Eléments de Projet Directions de lumière La composition lumineuse d une scène suppose la maîtrise des directions
Plus en détailPLAN D EFFICACITÉ ÉLECTRIQUE 2014/15-2016/17
PLAN D EFFICACITÉ ÉLECTRIQUE 2014/15-2016/17 APERÇU DU PLAN Préparé pour le ministère de l Énergie et des Mines du Nouveau-Brunswick avec l'aide de Dunsky expertise en énergie Juillet 2014 Cette page est
Plus en détail* Crédit photo: Aeternam Design. CATALOGUE DES PRODUITS www.innovadel.com
* Crédit photo: Aeternam Design CATALOGUE DES PRODUITS Osram Sylvania www.sylvania.com Standard www.standardpro.com Eurofase www.eurofase.com Eureka www.eurekalighting.com Lumiconcept www.lumiconcept.com
Plus en détailGROUPE ENSEIGNE PRO GROUPE ENSEIGNE PRO
GROUPE ENSEIGNE PRO Catalogue 2009 Chemin de Castillones ZI des Iscles 13550 NOVES TEL : 09.64.18.86.48 FAX : 04.90.23.51.57 MAIL : groupe.enseigne.pro@orange.fr Toute l équipe de Groupe Enseigne Pro est
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailLes puissances 4. 4.1. La notion de puissance. 4.1.1. La puissance c est l énergie pendant une seconde CHAPITRE
4. LES PUISSANCES LA NOTION DE PUISSANCE 88 CHAPITRE 4 Rien ne se perd, rien ne se crée. Mais alors que consomme un appareil électrique si ce n est les électrons? La puissance pardi. Objectifs de ce chapitre
Plus en détailModule 3 : L électricité
Sciences 9 e année Nom : Classe : Module 3 : L électricité Partie 1 : Électricité statique et courant électrique (chapitre 7 et début du chapitre 8) 1. L électrostatique a. Les charges et les décharges
Plus en détailLA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 L électricité.
LA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 v L électricité. L électricité cycle 3 - doc Ecole des Mines de Nantes 1 LA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 v L'électricité. PROGRESSION GENERALE Séance n 1
Plus en détailLe LED permet-il réellement de réaliser des économies d'énergie? Le confort est-il assuré? Points d'attentions et cas vécus
Séminaire à Namur - le 24 octobre 2014 Le LED permet-il réellement de réaliser des économies d'énergie? Le confort est-il assuré? Points d'attentions et cas vécus Ingrid Van Steenbergen Consultante en
Plus en détailRÉFLECTEUR INDUSTRIEL FLUORESCENT POUR DES APPLICATIONS DE GRANDE HAUTEUR
RÉFLECTEUR INDUSTRIEL FLUORESCENT POUR DES APPLICATIONS DE GRANDE HAUTEUR RÉFLECTEUR INDUSTRIEL POUR DES APPLICATIONS DE GRANDE HAUTEUR Les réflecteurs industriels intégrant des tubes fluorescents T5 sont
Plus en détailLe guide du. luminaire. éditions
Le guide du luminaire éditions Le guide du luminaire Mieux comprendre pour bien choisir! éditions Plus de 370 guides pratiques Sites web Livres PDF Maison / Travaux Argent / Droit Conso / Services Carrière
Plus en détailRENOVER LES FEUX TRICOLORES
Matinale de l Energie RENOVER LES FEUX TRICOLORES Pourquoi le faire, Comment, A quel prix Matinales 2014 Page 1 sommaire 1. UN CADRE JURIDIQUE CONTRAINT 2. LE FONCTIONNEMENT DES FEUX 3. LA MAINTENANCE
Plus en détailSécurité et confort Busch-Guard
Sécurité et confort Busch-Guard Confort et sécurité à tout moment. Sur le qui-vive le jour comme la nuit. Busch-Guard. Busch-Guard. Ces détecteurs de mouvement optiques, innovants et de haute qualité de
Plus en détailLa gestion de l énergie
Kara Sea Barents Sea September 2007 La gestion de l énergie sur la base tara arctic À bord de Tara, nous utilisons différentes formes d énergie pour pouvoir communiquer, cuisiner, s éclairer, réaliser
Plus en détailLa vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août
La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent
Plus en détailréf. 6517 En plastique argent.
47 6,70 12 CHIFFRES 16.8 x 16.7 x 1.5 cm 2 6,04 5,54 90 6517 Affichage 12 chiffres. Ecran inclinable. Fonctionne à l énergie solaire ou à pile bouton (fournie). Astucieux : Avec 2 marquages (audessusetau
Plus en détailLES ÉNERGIES RENOUVELABLES
LES ÉNERGIES RENOUVELABLES U N ITÉ D OUVERTURE 2012 2 0 1 3 Présentation : Sylvain Delenclos IUT Génie Thermique et Energie PLAN DU COURS I. Généralités sur l énergie II. Les transformations de l énergie
Plus en détailNouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours. www.physagreg.fr
Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours www.physagreg.fr 22 avril 2012 Table des matières 1 Couleur, vision et image 3 1.1 Oeil réel et oeil réduit...................... 3 1.2 Lentille
Plus en détailCHROMOPHARE Génération F : éclairage innovant à réflecteur avec LED. Un concept et un design d'éclairage qui réunissent fonctionnalité et esthétique
CHROMOPHARE Génération F : éclairage innovant à réflecteur avec LED Un concept et un design d'éclairage qui réunissent fonctionnalité et esthétique Tuttlingen, novembre 2011 - La nouvelle CHROMOPHARE Génération
Plus en détailÉlectricité et électronique
Électricité et électronique CHAPITRE 1 Fondements des systèmes électriques 1 Fondements d électricité 1 Mouvement d électrons 2 Terminologie de l électricité 3 Terminologie de circuits 4 Sources d alimentation
Plus en détailGUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE
GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE Politique Environnementale du Groupe UNILOGI 70.000 personnes logées au sein de notre patrimoine dans 210 communes sur 7 départements et 3 régions, xxx entreprises fournisseurs
Plus en détailHaute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique.
Haute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique. Laboratoire Electronique Méthodologie. Jamart Jean-François. - 1 - La fabrication d un circuit imprimé. SOMMAIRE Introduction
Plus en détailLighting. Tubes LED. Avec les tubes LED Philips, prenez une LED d avance
Lighting Tubes LED Avec les tubes LED Philips, prenez une LED d avance 2 gammes de tubes LED pour répondre à tous vos besoins Les tubes LED Philips, MASTER LEDtube et CorePro LEDtube, une solution simple,
Plus en détailFORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE
FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS ISO/IEC 17025 Chapitre 5 : EXIGENCES TECHNIQUES QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE Nicole GRABY PA/PH/OMCL (07)
Plus en détailParcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ De Homer à oppenheimer
Complétez le schéma de gestion des déchets nucléaires en vous aidant du panneau, les surfaces des cercles sont proportionnelles à leur importance Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ
Plus en détail