SOMMAIRE. Le projet associatif p.3. Les évènements-clés de l année 2011 p.6. L activité de l année p.9

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2 SOMMAIRE Organisme humanitaire Fondé en 1973 Régi par la loi 1901 Reconnu d intérêt général, Pouvant recevoir les legs, Les donations et les assurances-vie. Partage 40, rue Vivenel - B.P COMPIEGNE cedex Tél info@partage.org Le projet associatif p.3 Les évènements-clés de l année 2011 p.6 L activité de l année p Mot du Président 3.2 Principaux résultats de l année 3.3 Compte rendu des réalisations sur le terrain 3.4 Autres réalisations importantes La gouvernance et les ressources humaines p La gouvernance 4.2 L équipe salariée 4.3 Les bénévoles Le rapport financier p Analyses et explications des chiffres de l exercice Le CER Bilan 2011 Annexes Les partenaires de Partage p.66 Comptes annuels et annexes p.85 Rapport du commissaire aux comptes

3 1 Le projet associatif

4 1. Le projet associatif 1 Le projet associatif Quelques chiffres Près de 40 ans au service des enfants du monde 19 pays Plus de bénéficiaires actuellement Faire grandir dignement les enfants du monde Partage est une association humanitaire non confessionnelle et apolitique. Créée pour venir en aide aux enfants victimes de la guerre du Vietnam, Partage se révolte contre l injustice et la violence faites aux enfants les plus vulnérables, depuis près de 40 ans. Nous voulons croire que chaque enfant, surtout le plus pauvre ou le plus fragile, doit avoir l espoir d un avenir meilleur, dans le respect de ses droits fondamentaux. Mission Notre mission est de faire grandir dignement les enfants du monde. Partage soutient des actions qui permettent de lever les freins au développement global de l enfant, afin qu il puisse être éduqué, être soigné et protégé si besoin et qui accompagnent le développement de sa communauté. Partage a choisi d apporter un appui à des associations locales d aide à l enfance. Leurs connaissances intimes des besoins des enfants, qu elles côtoient chaque jour, garantissent que les actions menées répondent au mieux aux réalités du terrain. La force de Partage repose sur ces 31 associations-partenaires dans 19 pays, véritables experts de l enfance démunie, soutenus par près de parrains et donateurs. Partage favorise une dynamique commune entre tous les membres de son réseau international de solidarité : les parrains, les donateurs, les bénévoles, les partenaires locaux et, bien sûr, les enfants et leurs communautés. Nos valeurs L engagement Nous mettons tout en œuvre pour combattre l injustice et la violence qui frappent les enfants en permettant la mise en place d actions de terrain pertinentes et inscrites dans la durée. Le partage C est la notion fondatrice de notre association et de notre réseau de solidarité où chacun donne et reçoit. C est un réseau d échanges, de fédération d énergies, de compétences et d engagements de chacun. 4

5 1. Le projet associatif Éducation Santé et alimentation Protection contre les abus Développement communautaire L écoute et le respect Chaque action de terrain entreprise est fondée sur l écoute des besoins des enfants et de leurs communautés. Le respect de la culture et de l environnement des enfants est une valeur fondamentale pour nous. La proximité Notre réseau de solidarité est avant tout à visage humain, entre des personnes qui se connaissent, qui sont en lien. De plus, le parrainage repose sur cette connaissance mutuelle et réciproque entre les parrains et les enfants bénéficiaires. Notre force : le réseau Partage Lamako Partage a, dès sa création en 1973, fait le choix de ne pas intervenir directement dans les pays, mais de soutenir des associations locales expertes dans l enfance démunie, les plus à même de répondre au plus près aux besoins spécifiques de ces enfants, dans le strict respect de leurs valeurs et de leur culture. Ces 31 associations partenaires et Partage, réunies au sein du réseau Partage Lamako, échangent sur leurs bonnes pratiques et mettent en place des actions pour continuellement améliorer l aide à l enfance démunie. Ce réseau est un formidable démultiplicateur de savoirs expérimentés au service des enfants. Notre mode de fonctionnement Les ressources de Partage proviennent à 94% de personnes privées (particuliers ou entreprises) via le parrainage d enfants, le parrainage d action et les dons. Cela nous garantit une totale indépendance dans le choix de nos actions et de nos partenaires. Partage peut, sur des projets spécifiques, avoir recours à des subventions publiques et du mécénat. 5

6 Les évènements-clés de l année

7 2. Evènements-clés

8 2. Evènements-clés

9 3 L activité de l année

10 3. L activité de l année 3.1 Le mot du président L année écoulée nous a interrogés sur les valeurs que porte notre société, sur la place qu elle fait à l homme dans un monde de plus en plus globalisé. Le printemps arabe, qui a concerné notre partenaire égyptien et aussi, indirectement, nos partenaires au Liban et en Palestine exprime le refus des populations de se laisser enfermer et leur soif d être partie prenante du monde d aujourd hui. Quant aux rebondissements des crises économiques, ils nous avertissent de nos fragilités et soulèvent la question de la solidarité. Ces mouvements à l échelle globale nous renforcent dans le combat que nous menons tous les jours, avec vous, pour développer notre réseau de solidarité internationale. Face à la perte de repères, il est essentiel de rappeler l importance des droits humains de base, que sont les droits à l éducation et à la santé. En 2011, Partage a mené à bien une réflexion sur la reformulation de ses «fondamentaux», valeurs essentielles qui guident son action. Nous avons voulu à cette occasion réaffirmer nos grands domaines d action et nos priorités. La mission prioritaire de Partage est l amélioration des conditions d éducation des enfants. L éducation inclut pour nous des activités scolaires et extra-scolaires au bénéfice des enfants, ainsi que de leurs familles et plus largement de leurs communautés. L amélioration des conditions de santé et de nutrition des enfants est notre seconde mission prioritaire ; elle est liée à la précédente, car la santé est une condition nécessaire pour une éducation fructueuse, un enjeu essentiel de la lutte contre l exclusion et la pauvreté. Partage soutient également des actions qui s inscrivent dans deux autres axes : la protection contre les abus, domaine dans lesquels certains de nos partenaires sont des références dans leur pays, et le développement communautaire. Alors que la collecte des dons et parrainages reste difficile, le public français souffrant de la crise, nous maintenons notre niveau d activité grâce à des efforts soutenus. Merci à tous, adhérents, parrains, donateurs, bénévoles, salariés du siège, partenaires, sympathisants pour votre aide et votre fidélité au service des enfants. Pascal Ponty Président

11 3. L activité de l année 3.2 Principaux résultats de l année Les Ressources de Partage proviennent à près de 94% de dons privés (particuliers ou entreprises), qui garantissent à l association une totale indépendance dans le choix de ses actions et de ses partenaires. Nature des ressources de l exercice (en %) Source : Compte Emploi des Ressources % 1.13% Total Fonds Privés Subventions 4.94% Autres produits Les Ressources sont composées : Des Produits de la Générosité du Public (93,93%), constitués des Parrainages, Dons et Legs (représentant au total 82,84%), du Report des Ressources affectées issues de la générosité et non encore utilisées des exercices antérieurs (11,06 %), et d autres Fonds Privés (Mécénat pour 0,03%). D autres produits (4,94%) constitués de ressources diverses affectées au fonctionnement, comme les cotisations, abonnements, ventes diverses, produits financiers et exceptionnels, reprise de provisions sur l exercice. Nous avons également bénéficié en 2011, grâce à notre réseau de bénévoles et de partenaires, de contributions volontaires en nature, que nous avons valorisées pour un total de bénéficiaires dans 19 pays dans le monde Les personnes qui nous soutiennent évolution sur 3 ans Sources : Situation des Parrainages et Reçus fiscaux Nombre de donateurs Nombre de parrainages Evolution du budget sur 3 ans (en M ) Source : Compte Emploi des Ressources

12 3. L activité de l année Répartition des Emplois par région du monde Source : Situation des Programmes 22% 18% 5% 5% 17% 33% Moyen-Orient Asie Caraïbes Amérique Latine Afrique Europe Répartition des Utilisations 2011 par Programme Source : Situation des Programmes et Tableau de Suivi des Fonds Dédiés EGYPTE Aheed BENIN Racines BURKINA Dispensaire Trottoir BURKINA Asecd COMORES Maeecha MADAGACAR Bel Avenir MADAGASCAR Asa BRESIL Gacc EQUATEUR Gena EQUATEUR San Juan EQUATEUR Inepe HONDURAS Compartir HAÏTI Prodeva HAÏTI Acded NEPAL Bikalpa NEPAL Enfants des Rues CAMBODGE Bandos Komar VIETNAM Partage Vietnam THAÏLANDE Cpcr THAÏLANDE Hsf INDE Assefa INDE VSSS LIBAN La Felouque LIBAN Anta Akhi LIBAN Mouvement Social LIBAN Sesobel PALESTINE Ibdaa BOSNIE Duga ROUMANIE Renaître Romania FRANCE Coordination FRANCE Génération Médiateurs % 12

13 3. L activité de l année 3.3 Compte rendu des réalisations sur le terrain En 2011, Partage a poursuivi et terminé sa réflexion sur «les fondamentaux», valeurs essentielles de l association, qui sont les piliers philosophiques et politiques de son action. Ce travail s est accompagné également d une réflexion sur les activités de l association et de ses partenaires, et notamment sur les axes de travail essentiels auprès des enfants. Nous avons voulu réaffirmer les grands domaines d action dans lesquels nous travaillons, en reprécisant ce qu ils recouvrent. Aussi, suite à ces travaux, nous avons confirmé que la mission prioritaire de Partage est l amélioration des conditions d éducation des enfants. Nous comprenons l éducation comme l ensemble des activités d éducation formelle, non-formelle et informelle, ayant pour cible les enfants (au sens de la Convention Internationale des Droits de l Enfant, soit de 0 à 18 ans) et leur famille, et plus largement, leur communauté, lorsque les actions qui les touchent ont un effet direct sur les conditions de vie des enfants. L amélioration des conditions de santé et de nutrition des enfants et de leur mère est une mission prioritaire rattachée à la précédente, car santé et éducation nous semblent indissociables. Nous avons également défini ce que devrait être pour nous un programme éducatif de qualité, et avons listé les éléments suivants comme essentiels : - programme éducatif s établissant autour d un dialogue pluri-acteurs : enfants, familles, enseignants, mais aussi pouvoirs publics et autres acteurs de la communauté ; - importance de la collaboration avec les pouvoirs publics pour favoriser des systèmes d éducation pérennes ; - accès à l éducation non-discriminant (sauf si cela favorise l accès à l éducation de groupes discriminés : «discrimination positive») ; - éducation intégrale («qui favorise le développement physique, mental, spirituel, moral (citoyen) et social», selon les statuts de Partage) ; - éducation qui s appuie sur la Convention Internationale des Droits de l Enfant et qui promeut la participation de l enfant (l enfant est acteur de son éducation). Néanmoins, Partage reste attentive à soutenir des actions qui s inscrivent dans ses deux autres axes de travail, à savoir la protection contre les abus, domaine dans lesquels certains de nos partenaires sont des références dans leur pays, et le développement communautaire. 13

14 3. L activité de l année 1) Education Amélioration des conditions matérielles de scolarisation A l heure où la sécurité des bâtiments scolaires est souvent sur le devant de la scène en France (fermeture des portes, sécurité des jeux de cours pour les petits, désamiantage, ), nous savons que beaucoup d enfants à travers le monde pâtissent de locaux très vétustes, qui non seulement ne sont pas appropriés pour l apprentissage, mais laissent également passer la pluie, le bruit et sont parfois dangereux pour la sécurité des enfants, lorsqu ils risquent de s écrouler. Une des toutes premières actions de nos partenaires est donc de réhabiliter ou construire des locaux de qualité. Au cours de l année 2011, l ACDED, association haïtienne intervenant dans des zones rurales isolées du Sud Est du pays, a achevé la construction de 5 salles de classe. Ce sont également manuels scolaires, kits de fournitures scolaires, 88 bancs, 15 chaises, 17 tables et 15 tableaux qui ont été remis par le programme scolaire de l ACDED. Les 19 écoles soutenues par l ACDED ne disposent pas toutes de salles de classe en dur et de mobilier suffisant mais peu à peu, grâce au travail de l association, les conditions de scolarisation des enfants qui s y trouvent s améliorent. A Anta Akhi, au Liban, un effort considérable concernant l aménagement de l espace commun du centre d accueil des jeunes handicapés a été fait cette année. Ainsi, le centre a pu assurer 2 respirateurs et de l oxygène pour les jeunes, les programmes ont pu intégrer des jeux éducatifs grâce à l achat de peinture et autres matériels. La maison où vit l équipe éducative ainsi que les bénéficiaires, a pu bénéficier d armoires de rangement et de bureaux. Les dons ont également beaucoup contribué à l amélioration des conditions : matériels de cuisine, literies, mobiliers, jouets, entretien, matériels de secrétariat et autres équipements.

15 3. L activité de l année Au Bénin, au cours de l année 2011, trois nouvelles écoles maternelles communautaires dans chacun des trois villages de l arrondissement de Lougba, aux Collines, ont ouvert leurs portes, en plus des 10 écoles déjà soutenues par RACINES. Ainsi, ce sont 150 nouveaux enfants qui ont pu faire leur rentrée dans les 6 nouvelles salles de classes de ces 3 écoles. 93 tablettes et 150 mini-chaises ont été réceptionnées aux Collines. 30 étagères et 6 tableaux d affichage ont également été réalisés. 3 ensembles de jeux extérieurs ainsi que 6 kits de jeux d intérieurs ont été installés. Le résultat est inférieur à celui prévu initialement car il est difficile d identifier les nouveaux villages susceptibles de recevoir un module de quatre classes. Malgré tout, grâce à l implication des équipes sur place, on peut constater que 75% des objectifs de l année ont été atteints. Donner un avenir à la petite enfance Notre crédo est la scolarisation des petits, dès l école maternelle ; c est pour nous un acte de foi important, car nous connaissons les bénéfices d une scolarisation dès 3 ans. Chaque mission sur le terrain, auprès de nos partenaires, nous rappelle qu un enfant scolarisé en maternelle bénéficie d un éveil précoce qui permettra d optimiser ses apprentissages futurs. Dans les pays en développement, c est encore plus vrai, car un enfant de maternelle a plus de chance qu un autre de manger un repas équilibré le midi, d être suivi médicalement et d évoluer dans un lieu sécurisé. De plus, les mamans d enfants de maternelle bénéficient aussi souvent de services indirects, utiles à leur propre évolution. Des inondations en Thaïlande endommagent des bâtiments scolaires En 2011, les inondations ont touché 60 des 77 provinces de la Thaïlande au cours des mois de septembre et octobre. La catastrophe a détruit plus de 20% des exploitations rizicoles du pays. Ces pluies, les plus graves depuis 50 ans, ont tué 269 personnes et ont fait plus de 8,2 millions de victimes. Notre partenaire HSF, qui travaille avec des familles défavorisées dans les provinces d Ayutthaya et de Pathum, a été touché. Dans ces provinces, la situation est devenue critique en octobre. En tout, 73 familles bénéficiaires ont été affectées, dont 67 enfants. L eau a atteint 3 mètres de hauteur dans ces zones. Les inondations ont également perturbé les services de notre partenaire CPCR. Les visites aux familles, le suivi des enfants, les rendez-vous avec le médecin ont été reportés, laissant les enfants et les familles sans accès à ces services. De plus, les deux foyers du CPCR, situés dans la province de Nakhon Pathom, se trouvaient dans une zone à risques et les enfants ont été évacués. Pendant les inondations, le CPCR, en coopération avec d autres organisations internationales (l'unicef, le Ministère du développement social et de la sécurité humaine et d'autres réseaux liés aux enfants), a mis en place un système pour prendre soin des enfants dans des abris d'urgence. Des travailleurs sociaux et des psychologues du CPCR ont travaillé dans ces abris.

16 3. L activité de l année Ainsi, lorsque leur enfant est à l école, elles peuvent se consacrer à d autres tâches quotidiennes, notamment chercher un emploi ; elles sont aussi en lien avec l école, ce qui leur permet parfois de suivre des cours sur l hygiène ou même d être alphabétisées. Un enfant en maternelle, c est toute la famille qui y gagne! Le Dispensaire Trottoir dispose d un centre à Bobo Dioulasso, au Burkina Faso, où ont été accueillis en 2011, 120 enfants en maternelle (3 classes), 29 enfants en classe d alphabétisation et 41 enfants en ateliers professionnels (couture et menuiserie), auxquels s ajoutent 533 enfants scolarisés à l extérieur du centre (primaire et secondaire). En 2011 a pris fin un projet de renforcement des compétences des enseignantes de maternelle et d alphabétisation, qui a été vécu comme une vraie occasion de revoir de fond en comble les méthodes d enseignement de l association. Renforcer la qualité pédagogique des actions de ses partenaires est en effet un des axes de travail de Partage. Pour ce faire, des bénévoles de l association GREF (Groupement des Retraités Educateurs sans Frontières) sont intervenus depuis 2007, à l occasion de 5 missions d un mois, réalisées par deux consultantes à chaque fois. En 2011, le rapport réalisé conjointement entre les trois partenaires, le Dispensaire trottoir, le GREF et Partage, concluait notam-ment : «Au niveau de la maternelle, les changements dans les pratiques pédagogiques sont tels que les monitrices ne mettent plus en avant comme au début du projet leurs difficultés avec quelques élèves en grande difficulté. Ceci est bien le signe que l ensemble des éléments apportés par le projet, que ce soit au niveau de la gestion de la classe, de la démarche pédagogique ou du cadre d enseignement, avec notamment la présence d un deuxième adulte, l aide monitrice, dans la classe (soit 1 adulte pour 20 enfants), a contribué au développement de pratiques prenant mieux en compte des élèves en difficultés». La garderie et l école maternelle de GENA, en Equateur, accueille 220 enfants du quartier du Comité del Pueblo à Quito. Ces enfants sont généralement issus de familles nombreuses et très défavorisées. Si l enseignement public primaire se développe de plus en plus en Equateur, c est encore loin d être le cas du préscolaire. Les écoles maternelles et les garderies sont donc privées et généralement très coûteuses, les familles les plus pauvres n y ont pas accès. C est pour répondre à cette problématique que GENA offre aux enfants défavorisés la possibilité d être scolarisés dès le plus jeune âge. 16

17 3. L activité de l année A Quito en Equateur, notre autre partenaire, l INEPE, a développé au sein de son unité éducative un modèle d enseignement fondé sur les principes de l éducation populaire. Ayant identifié plus spécifiquement d importants besoins au niveau de l enseignement préscolaire, l INEPE a développé depuis quelques années son appui à des écoles maternelles de quartiers défavorisés qui lui en ont fait la demande. En plus de sa propre école maternelle, l INEPE assure ainsi la formation des éducateurs de deux autres écoles (Mundo del Juguete et Los Peluchitos) et leur apporte un appui pédagogique tout au long de l année. Grâce au soutien financier de l INEPE, les écoles peuvent offrir aux enfants un repas de bonne qualité et acheter le matériel nécessaire à la réalisation des activités. Au Bénin, Racines a permis à 564 enfants d être préscolarisés dans les écoles maternelles du programme en Deux formations sur le métier d animateur en préscolaire, concernant les nouveaux programmes de maternelle, ont été proposées aux anciens et aux nouveaux animateurs, sur la base de 3 jours par semaine. Six séances de formation mensuelles et deux trimestrielles sur le renforcement pédagogique ont été reçues par les animateurs. Dans chacun des 3 villages où travaille l association, des Comités Villageois de Pilotage ont été mis en place pour gérer les écoles. Chacun a été formé sur le rôle et les responsabilités de ses membres, concernant la facilitation des travaux de construction et l inscription des enfants. Grâce au travail des animateurs de RACINES, dans toutes les écoles maternelles de la zone des Collines, 160 classes ont été visitées et 39 inspections ont été réalisées par l équipe de Racines. 17

18 3. L activité de l année Assurer un soutien scolaire aux enfants pour renforcer le rôle de l école Certains enfants pris en charge par nos partenaires sont scolarisés dans des écoles publiques, où la qualité pédagogique est souvent médiocre. Que le nombre d enseignants soit trop faible, qu ils s absentent pour nonpaiement de leurs salaires ou l éloignement de leur domicile, ou que leur formation initiale soit insuffisante, il est certain que la première difficulté vient de là. Mais on sait aussi que les locaux sont inappropriés ; que certains enfants viennent à l école le ventre vide ; que d autres marchent deux heures avant de rejoindre l école ; et enfin que la plupart ne peuvent pas être aidés à la maison, leurs parents étant eux-mêmes analphabètes ou illettrés. Aussi, beaucoup de nos programmes mettent en place des cours de soutien scolaire, pour aider les enfants dans leurs devoirs, mais aussi pour améliorer la qualité et la diversité des apprentissages. Au Burkina Faso, l ASECD permet à plus de enfants d avoir accès à l éducation. Afin que certains d entre eux ne soient pas tentés d abandonner les bancs de l école face aux difficultés, l ASECD a mis en place un système de détection des enfants en risque d échec scolaire. En 2011, 223 visites ont été effectuées par les membres de l ASECD, dans 79 établissements scolarisant des enfants soutenus. A cette occasion, des échanges avec les enseignants ont permis de révéler chez certains enfants des insuffisances et des baisses de niveau. A l issue de ces visites, les enfants présentant une faible moyenne scolaire ont été orientés vers des cours de soutien scolaire, dispensés deux après-midis par semaine par des enseignants vacataires. Sixième économie mondiale, souvent montré en exemple, le Brésil n en reste pas moins un pays très inégalitaire, notamment en matière d éducation. Pour la première fois, une étude nationale révèle la double disparité qui existe entre le niveau d éducation reçu selon les régions et le type d établissement fréquenté (public/ privé). Il en ressort par exemple qu en fin de 3 ème année de primaire, moins de 3 enfants sur 10 des écoles publiques de la région Nord-est acquièrent les connaissances espérées en lecture, écriture et mathématiques ; alors que près de 9 enfants sur 10 des écoles privées du Sud-est y sont correctement alphabétisés. 18

19 3. L activité de l année Ces statistiques confortent l importance du programme d Education Intégrée du GACC qui s adresse à des enfants sujets à d autres facteurs d inégalités que ne reflètent pas les moyennes globales de l étude : le difficile contexte urbain des favelas de Fortaleza et la précarité des écoles publiques rurales où l association intervient. Primé cette année à un concours «Fondation ITAU-UNICEF», le programme d Education Intégrée gagne une reconnaissance qui encourage le GACC à ce que sa contribution à la réduction de l exclusion scolaire chez les enfants les plus défavorisés trouve un écho favorable dans les débats qui alimentent la mise en place de la prochaine réforme de l éducation. En 2011, au Liban, le Mouvement Social Libanais (MSL) a détecté, parmi ses programmes, 197 enfants présentant des risques d échec scolaire et les a orientés vers des cours de soutien scolaire dans les centres des quartiers de Jnah et de Sin El Fil. Ces enfants sont parfois confrontés à des difficultés de langage entraînant une incompréhension des cours ou bien à des difficultés familiales empêchant leur concentration (absence d un endroit calme et serein pour étudier). Les équipes du MSL ont ainsi mis en place des méthodes adaptées aux difficultés rencontrées par les enfants, comme par exemple des exercices supplémentaires en prononciation, alphabétisation, conjugaison, opérations mathématiques, durant les jours de la semaine, et des séances de soutien scolaire plus approfondies qui ont lieu les samedis. Sur les 148 enfants fréquentant quotidiennement les centres pour étudier, 112 ont réussi leur année scolaire. 19

20 3. L activité de l année En vue de proposer des activités complémentaires au programme actuel de distribution de bourses, Partage Vietnam a réalisé une série d activités pendant l été en Ainsi, ont été proposés des ateliers sur les valeurs de vie, des concours artistiques et des défilés de mode sur le thème de l environnement, des défilés en matériaux recyclés, des séances musicales de chants et danses collectifs, des excursions aux parcs d attraction, des cours sur les droits des enfants, des cours de prévention aux abus et à l exploitation sexuelle des enfants, des concours de cuisine, et des cours sur la nutrition et sur l hygiène pour les parents d enfants du programme. Au total, environ 800 enfants et parents ont participé à ces activités l année passée. Une vraie réussite! Au sein du centre éducatif de Renaître, en Roumanie, grâce au travail de deux animatrices, un accompagnement aux devoirs est effectué chaque jour : roumain, calcul, anglais, cours de citoyenneté, d informatique, etc., afin que les enfants comprennent qu il est essentiel de faire les devoirs quotidiennement. Les animatrices associent beaucoup les parents au travail des enfants, notamment, à l occasion des réponses aux parrains et marraines, ainsi qu aux excursions et activités. Leur situation s améliore alors progressivement et les moments passés en soutien scolaire leur permettent de s évader de leur quotidien difficile. Elles éveillent aussi les enfants en préscolaires aux activités éducatives, tout en leur proposant des animations ludiques, telles que la musique, la connaissance de l environnement, des découpages et fabrications de cartes pour les parrains et marraines, des excursions, des cours sur la citoyenneté. 20

21 3. L activité de l année En Inde, VSSS développe un travail de renforcement communautaire auprès de 80 villages au Kerala. En plus des activités de santé, de construction, d épargne-crédit, VSSS développe des activités d éducation. Le programme d éducation de VSSS centre ses actions à la fois sur les activités complémentaires à l école et sur le soutien scolaire. Ainsi, les «Balavedis» (clubs d enfants) proposent des ateliers de danse, de dessin, de discussion et de prise de conscience sur les problèmes liés à l actualité, ainsi que des activités qui stimulent la participation représentative des enfants au sein des clubs. Ceci est un vrai exercice à la citoyenneté. Le travail de soutien scolaire s effectue dans les «study center» et les «tuition centers», où les enfants approfondissent certaines matières pour améliorer leurs performances scolaires. Dans cette perspective, la complémentarité entre les activités proposées dans les «Balavedis» et celles des «study centers» et «tuition centers» est très salutaire car elle permet aux enfants de développer diverses compétences et capacités, en fonction des différents espaces fréquentés. En 2011, ce sont près de enfants qui ont bénéficié de ce programme. Education des enfants des rues et des enfants en risque social Parmi les enfants les plus démunis, les enfants des rues sont certainement les plus en danger. Chaque année, nous soulignons dans ce rapport les risques majeurs auxquels ils sont soumis, qu il s agisse des dangers physiques (agressions, viols, prostitution, blessures, accidents) mais aussi psychologiques (harcèlement, solitude, dépression). D autres enfants sont également très marginalisés : il s agit des enfants qui vivent dans des contextes de guerre ou dans des camps de «réfugiés», comme en Palestine, et qui ne connaissent que la violence, la dépression de leurs parents, le sentiment d exil Les enfants qui travaillent sont également privés de leur enfance et plusieurs de nos partenaires s attachent à convaincre les parents, ou les patrons, de scolariser les enfants, pour qu ils puissent espérer échapper au triste sort de leurs parents, qui eux-mêmes sont soumis aux travaux les plus difficiles et ont une courte espérance de vie. Tous ces enfants «en risque social», qu ils soient dans la rue ou sur le point d y tomber, sont bénéficiaires de plusieurs programmes que nous soutenons. 21

22 3. L activité de l année A Madagascar, près de 2 millions d enfants travaillent dès leur plus jeune âge et dans des conditions particulièrement dangereuses (exploitation du sel dans des salines, recherches de saphirs ). Parfois contraints par le manque de revenus de leurs parents et parce que l éducation n est pas une chose à laquelle on pense dans leur famille (59% de la population adulte malgache est analphabète), ces enfants ne sont pas à la place qui leur revient de droit : à l école. Alors, Bel Avenir œuvre quotidiennement dans les rues de Tuléar pour que ces enfants en risque social puissent avoir un autre avenir. En 2011, l école des Salines a accueilli 566 enfants répartis sur six classes du CP1 au CM2. Et en octobre, une nouvelle classe de 6 ème a ouvert ses portes à 70 enfants âgés de 13 à 17 ans dont 40 étaient déjà scolarisés l année précédente dans la classe de CM2. Afin de permettre à ces enfants de poursuivre leur éducation et parce que c est leur seul moyen de ne plus être des «enfants du travail», Bel Avenir devrait ouvrir en 2012 une classe de 5 ème. A CWC, au Népal, le travail en réseau pour les 12 jeunes du foyer «Yubalaya» a permis de construire une nouvelle perspective de vie, une insertion dans la société. A travers la coopération avec d'autres ONG, des entreprises privées et des autorités, les jeunes ont bénéficié de formations professionnelles de bon niveau. CWC a eu beaucoup de soutien des 2 écoles publiques où étudient les jeunes. Le Centre UCEP («Underprivileged Children Education Program») en est un exemple : les jeunes du Yubalaya y suivent des formations professionnelles et acquièrent les compétences pour intégrer le marché du travail. De la même manière, CWC a collaboré avec d'autres sociétés privées en 2011, et notamment avec des sociétés automobiles où les jeunes ont été employés dès qu'ils ont eu terminé leur formation. 22

23 3. L activité de l année Les liens enfant-école-famille sont aussi renforcés à travers les visites familiales ( en 2011) et des établissements scolaires (1 494 visites) qu effectuent les éducateurs du GACC. Les parrains sont également associés au processus éducatif de notre partenaire qui distribue collectivement les courriers, photos, illustrations reçus dans le cadre d activités pédagogiques programmées où, selon leur contenu et visuel, des thèmes comme la géographie, la culture, l histoire et la solidarité sont abordés afin d ouvrir les enfants au monde et aux différences. Au Brésil, 897 enfants en situation de risque social ont directement participé au programme d Education Intégrée du GACC et bénéficié, selon leur âge, des activités quotidiennes d appui scolaire, artistiques, récréatives et sportives, des ateliers de lectureécriture, de réflexion sur des notions et valeurs telles que l amitié, l égalité, le respect, la solidarité, l amour, la paix, ainsi que sur des sujets de société qui les concernent (violence familiale, drogues, sexualité, estime de soi, valorisation de la femme, environnement, santé...). Onze sorties culturelles et de loisir ont aussi été organisées à la grande joie des enfants qui, pour la plupart, n avaient jamais eu l occasion de se rendre au théâtre, au zoo, à la piscine ou de connaître les principales attractions touristiques et historiques de leur ville. Multiples, variées et ludiques, les activités sont programmées et organisées depuis des organisations communautaires de base avec la participation active des jeunes et de leurs parents, que le GACC réunit mensuellement autour de thèmes en cohérence avec ceux travaillés auprès des enfants. Dans le camp de réfugiés de Dheisheh situé près de Bethléem, en Palestine, la violence fait partie du quotidien des enfants dès leur plus jeune âge. Rares sont ceux dont un membre de la famille n a pas été emprisonné ou tué lors d affrontements avec des soldats israéliens. Il faut ajouter à cela la violence psychologique que subit la population palestinienne au quotidien et qui transparait malheureusement trop souvent chez les enfants. C est dans ce contexte très difficile que notre partenaire IBDAA a réussi à créer un véritable havre de paix au cœur du camp de Dheisheh. Ainsi la crèche d IBDAA a accueilli en 2011, 25 enfants âgés de 3 mois à 3 ans. Quant à la maternelle, ce sont 84 enfants qui y ont été scolarisés dans un cadre joyeux et convivial. IBDAA dispose pour ces enfants d un véritable projet pédagogique qui leur permet de développer leurs compétences pour les préparer à l entrée en école primaire et laisse bien sûr aussi une part importante aux jeux.

24 3. L activité de l année Travailler avec les enfants des rues est toujours un défi. Les risques inhérents à ces enfants, à la vie dans les rues, l éloignement de leur famille et l abandon qu ils subissent, donnent des conditions de vie très fragiles. Pour créer une nouvelle perspective de vie pour ces enfants, VOC, partenaire au Népal, commence le travail directement dans les rues avec son équipe d éducateurs. Quand l enfant démontre son envie de quitter la rue, VOC œuvre pour préparer la réintégration des enfants dans leurs familles ou dans la société. Quand la réinsertion familiale est difficile, les enfants sont dirigés vers le «Children s Home» où près de 40 enfants ont résidé en Dans ce foyer, la recherche d une solution familiale est toujours poursuivie, les enfants sont inscrits à l école (ils suivent leurs études dans 5 écoles dans les environs du centre) en même temps que leur insertion professionnelle est recherchée. Ainsi, VOC collabore avec plus de 70 organismes de formation. Cette manière de travailler qui intègre et coordonne le travail à la fois entre l enfant, l école, la famille et la société a eu de bons résultats : environ 90% des enfants qui ont été accueillis par les centres de VOC sont aujourd hui réintégrés dans leurs familles ou ont trouvé un travail. Témoignage de Stéphane Hamouis de Bel Avenir sur le travail des enfants des Salines En 2004, l ONG Bel Avenir, partenaire malgache de Partage, a été interpelée par la présence de nombreux enfants travailleurs, parfois très jeunes, sur de nombreux sites de la ville de Tuléar (Sud de Madagascar). En échangeant avec les parents et les enfants, nous nous sommes rendu compte que les enfants accompagnaient leurs parents sur des lieux de travail tels que les salines (lieu d exploitation du sel), les mines de saphirs, ou vendaient des produits au marché ou dans la rue. A Madagascar, scolariser ses enfants a un coût, même dans les établissements publics. Les parents n ont pas toujours les moyens et sont peu motivés face à un enseignement souvent de faible qualité et caractérisé par un fort taux d absentéisme des instituteurs. Notre première démarche a été de les sensibiliser à l importance de l éducation en se basant notamment sur leur activité professionnelle (on démontrait aux parents que leur analphabétisme était un inconvénient dans la négociation de la vente de leurs produits et qu en sachant lire, écrire et compter, ils pouvaient augmenter leurs revenus). Ensuite nous avons mis en place une école (dans une ancienne grange à sel). Afin d attirer les enfants à l école, les animations autour du jeu, de la musique et du sport étaient mises en avant. Le coût de la scolarisation y est très faible (0,07 par mois). Deux ans plus tard, une vraie école a été construite au cœur des Salines (où la majorité des enfants travaillaient) et aujourd hui un enseignement de qualité est proposé à plus de 700 enfants. A chaque rentrée scolaire, des enfants soumis au travail sur d autres sites de la ville de Tuléar s inscrivent dans notre école. Ainsi on peut se rendre compte que les mamans du monde entier souhaitent le meilleur pour leur enfant et le choisissent si elles en ont la possibilité. Notre rôle est de les aider dans ce choix. Aujourd hui, nous sommes fiers de parler au passé : ils étaient des enfants du travail! 24

25 3. L activité de l année Formation professionnelle Malgré les efforts importants consentis par nos partenaires pour éduquer les enfants, et leur donner la meilleure qualité d instruction, de nombreux jeunes ne peuvent pas poursuivre audelà de l école primaire, faute de moyens financiers, faute de volonté des parents, ou par manque de place dans les collèges. Certains enfants sont aussi en échec, et la poursuite d une scolarité classique serait inappropriée pour eux. Aussi, devant le nombre important de jeunes adolescents oisifs et sans perspectives, nos partenaires ont développé des formations professionnelles de qualité, adaptées aux bassins d emploi locaux, et qui débouchent pour la plupart sur un emploi pour le jeune bénéficiaire et sur une insertion sociale réussie. L association égyptienne AHEED est particulièrement attachée à la promotion du rôle des femmes dans la société et pour cette raison, favorise l éducation et la formation professionnelle des jeunes filles. Dans la région de El Mynia, en 2011, elle a par exemple formé des jeunes filles à la couture, celles-ci ayant produit 2917 uniformes scolaires pour les enfants des écoles primaires de la zone. Sur cette période, elle a aussi mis en route et équipé deux nouveaux centres de formations professionnelles, permettant à plus de 100 jeunes filles d achever leur formation en couture, en coiffure ou en travail du cuir, 4 d entre elles étant d ailleurs devenues à leur tour formatrices pour les prochaines élèves. Du côté des jeunes hommes, 36 ont fini leur formation en menuiserie, électricité, soudure, plomberie, et réfrigération en Les élèves formés en menuiserie ont produit les tables-bancs nécessaires à l école d Abu Khorkas, gérée par l association. 14 élèves, les plus performants, ont démarré des formations supplémentaires pour apprendre le marketing, la publicité et le commerce, en vue de se mettre à leur compte. A Madagascar, l ASA permet aux familles sans-abri de se réinsérer en leur proposant une formation pour devenir agriculteurs. Pour les accompagner dans leur démarche d autonomisation, les enfants et parents soutenus doivent suivre différentes formations. Elles sont toutes développées sur le même modèle, à savoir une formation théorique et une formation pratique. Les cours dispensés portent sur différents thèmes tels que l agriculture (culture de riz et pommes de terre, rotation et association des cultures, fabrication de compost, fertilisation des terrains ), l art culinaire, la vannerie, la menuiserie, l élevage, l écologie et l environnement. 25

26 3. L activité de l année L association Compartir, au Honduras, a fêté en 2011 ses 20 ans d existence. Elle intervient principalement dans 3 quartiers défavorisés de Tegucigalpa (la capitale) auprès d enfants et jeunes en situation de risque social. Un programme de formation professionnelle a été développé pour permettre aux jeunes de s insérer sur le marché du travail. Ayant souvent abandonné très tôt l école, grandi dans des familles très défavorisées, ces jeunes sont des proies faciles pour les bandes et gangs qui sévissent dans ces quartiers. Pour éviter qu ils ne se retrouvent pris dans ce cercle de violence, Compartir leur offre la possibilité d apprendre un métier dans ses ateliers de construction métallique et peut également leur fournir un appui pour lancer, à l issue de la formation, leur entreprise (accompagnement, prêt de matériel ). 83 jeunes ont reçu en 2011 une formation professionnelle à Compartir. Au Liban, le Mouvement Social Libanais (MSL) permet à des jeunes en difficulté, sortis du système scolaire ou en phase de le quitter, de bénéficier de formations professionnelles. En 2011, 40 jeunes en difficulté ont pu suivre toute l année au choix deux formations professionnelles : une formation d aide cuisinier et une formation en esthétique. Sur ces 40 jeunes, le MSL en a accompagné 36 sur le lieu de leur stage à la rencontre de leurs employeurs. A la fin de l année 2011, 34 d entre eux ont réussi leur formation et 71% ont trouvé un emploi en fin de parcours. Travailler en réseau d acteurs pour renforcer les savoir-faire En 2011, malgré les difficultés de collaboration avec les pouvoirs publics en raison des inondations, le CPCR a coopéré avec différents ministères en Thaïlande, des organisations privées et des autorités locales, en vue de les sensibiliser aux droits de l enfant. Le travail de lobbying a apporté des résultats dans différents domaines. Le Ministère du Développement social et de la protection, le Bureau des affaires féminines et du développement de la famille, formés par le CPCR, ont intégré les connaissances au service des enfants et des familles. De même, le Bureau de Bangkok du Développement social a prévu, en 2011, de développer le projet «Safe Community» (Communauté sécurisée) du CPCR, avec les fonds publics de protection des enfants. Dans ce cas précis, le CPCR travaille en étroite collaboration avec les communautés pour fournir un appui à la mise en œuvre de toutes les activités de protection des enfants. Du 30 mai au 1 er juin, s est tenu à Quito en Equateur la 3 ème rencontre d Education Populaire organisée par notre partenaire l INEPE et financée pour partie par Partage. Chaque journée de débats, rencontres et ateliers a réuni plus de 300 personnes (universitaires, membres d organisations indigènes, étudiants ) sur le thème «Dilemmes de l éducation dans l ère numérique : défis et perspectives».

27 3. L activité de l année Dans le rapport annuel 2007, nous avions évoqué la création du réseau Partage-Lamako, qui regroupe tous les partenaires de Partage. Ce réseau vise à renforcer les compétences de chacun, en favorisant les échanges et les ateliers de réflexion entre associations. Plusieurs sous-réseaux géographiques se sont créés, dont le RAEE en 2009 : Réseau Afrique Enfance Epanouie. Ce groupe de six associations africaines (ASA, Asecd, Bel Avenir, Dispensaire Trottoir, Maeecha, et Racines) plus Partage s est réuni à plusieurs reprises ces dernières années, dont la dernière fois en décembre 2011 à Tuléar, Madagascar. L objectif était d échanger sur des méthodes de suivi-évaluation et de capitalisation des programmes. Les formations étaient dispensées par les participants eux-mêmes, les plus rôdés sur ces sujets proposant des outils très concrets à leurs collègues. Ce type d atelier est très utile car il répond à de vraies attentes des partenaires et chacun repart avec un plan d action spécifique adapté à ses besoins. Témoignage d Arsène de Racines sur l apport du RAEE* en 2010/2011 «J ai passé deux années de coordination du RAEE très riches d enseignement, assez passionnantes mais pas sans difficultés. J avais deux défis importants à relever : d une part, asseoir le fonctionnement du réseau conformément à la charte que nous avons élaborée ensemble et d autre part marquer ces deux premières années du RAEE par des actions concrètes. Il est vrai qu au bilan, des résultats sont perceptibles : Trois rencontres d échanges d expérience et de formation entre les membres du réseau : la première s est tenue à Ouagadougou (Burkina Faso) sur la problématique de la pérennisation des projets éducatifs, la seconde en France sur la mobilisation de financements locaux, et la troisième à Madagascar sur les questions de suivi-évaluation et de capitalisation. Quelques actions concrètes déjà mises en œuvre par certaines associations membres suite à ces échanges : - un travail de capitalisation et de partage d outils dans différents domaines et qui reste à être amélioré ; - l animation du blog lamako à travers la mise en ligne de supports, questionnements, et points de vue des divers sujets. Pour y parvenir, il a fallu affronter deux principales difficultés. La première est relative à la participation de tous aux prises de décision. Cela n a souvent pas été facile, car le RAEE regroupe des responsables d ONG qui, avec leurs multiples occupations quotidiennes, ont du mal à consacrer un peu de temps à l animation du réseau. La seconde est la difficulté de mobilisation de financements pour la mise en œuvre des actions planifiées étant donné que les associations membres du RAEE n ont pas souvent de fonds propres et doivent toujours s appuyer sur leurs partenaires financiers, l association Partage en l occurrence. C est dire que, si en dépit de ces difficultés, nous sommes parvenus aux résultats évoqués plus haut, c est grâce à la détermination de chacune des associations membres ; mais aussi et surtout grâce au soutien technique et financier constant de Partage à qui je voudrais, ici, exprimer toute ma reconnaissance. C est pourquoi, je garde l espoir qu avec la même détermination, les deux prochaines années du RAEE, placées sous la supervision de l association Bel Avenir de Madagascar, seront couronnées par d importants résultats surtout dans le sens du renforcement du grand réseau-mère Partage -Lamako. *RAEE : Réseau Afrique Enfance Epanouie, sous-réseau africain du réseau général Partage-Lamako

28 3. L activité de l année 2) Santé En termes de santé, Partage soutient essentiellement deux types d initiatives : la prévention et l éducation à la santé d une part ; la prise en charge thérapeutique et éducative des enfants handicapés d autre part. En effet, ces deux axes sont très complémentaires de notre mission d éducation. Tout d abord, la prévention et l éducation à la santé peuvent se dérouler au sein des établissements scolaires, où nos partenaires interviennent directement et forment des enseignants spécialisés sur ces aspects. Ensuite, la prise en charge des enfants handicapés reste hélas une réalité très difficile dans les pays en développement, car ce sont souvent les enfants handicapés ou «à besoins spéciaux» qui pâtissent le plus du manque de moyens de l éducation publique ou des systèmes de santé. Permettre à chaque enfant d aller à l école ou d être éduqué dans le milieu le plus approprié pour lui, d être reconnu pour ce qu il est, valoriser ses compétences et lui donner des joies d enfant, voilà quelques principes qui nous sont chers et que nos partenaires défendent avec beaucoup de professionnalisme. Education à la santé et prévention En Egypte, l AHEED mène de nombreuses activités de santé dans les zones de El Mynia et Assiut, en Haute Egypte. Elles visent surtout à éduquer les familles les plus pauvres, prévenir les maladies dues à l ignorance, protéger prioritairement les femmes enceintes, les jeunes mères et leurs bébés, mais aussi à améliorer le statut nutritionnel des enfants, sachant que cette région très pauvre souffre de malnutrition chronique. L un des programmes de santé est dénommé «Amélioration de la santé maternelle et infantile à travers le renforcement des systèmes de santé». Il vise à collaborer avec 5 centres de santé de la région de El Mynia afin de sensibiliser 750 adultes de la zone aux questions de santé et renforcer la formation de 35 agents de santé. En 2011, les buts recherchés ont été atteints et la santé des femmes enceintes et femmes allaitantes a été particulièrement ciblée, de même que celle des enfants de 0 à 2 ans, grâce à des examens réguliers au centre de santé, un suivi à domicile et le paiement des médicaments pour les familles les plus en difficulté. 28

29 3. L activité de l année Au cours de l année 2011, l ASECD, au Burkina Faso, a contribué à lutter contre les maladies liées à la malnutrition dans les zones dans lesquelles elle intervient : plus de 100 enfants ont été pesés une fois par mois afin de vérifier leur bon développement ; les parents des enfants soutenus par l ASECD ont assisté à des cours de démonstrations culinaires. Ils ont ainsi pu apprendre à cuisiner, à partir d ingrédients basiques, des plats variés, sains et équilibrés pour leurs enfants. Tous les enfants qui fréquentent le centre de l ASECD sont sensibilisés à l hygiène, ils participent au nettoyage du centre et les éducateurs leur apprennent à faire leur toilette et leur lessive afin que chaque enfant puisse relayer son apprentissage dans sa propre famille et éviter les maladies liées au manque d hygiène. Au Cambodge, Bandos Komar accorde une place très importante à l éducation à la santé. Chaque année, des clubs de santé sont formés, constitués d enfants sélectionnés par les instituteurs dans les 12 écoles soutenues par le programme. Chaque enfant reçoit une formation à l hygiène selon la méthode du «child to child» (méthode de l enfant pour l enfant). En 2011, les instituteurs ainsi que les enfants ont abordé, de façon ludique (contes, jeux, puzzle ), des thèmes aussi divers que «l hygiène de l environnement», «la tuberculose», «le tabac», «l hygiène de l eau», «les latrines», «le sida» Une fois l apprentissage réalisé, chaque enfant du club de santé a la responsabilité de dispenser aux autres enfants des écoles ainsi qu à leurs familles, les conseils d hygiène et de santé appris. En 2011, au cours de ces ateliers, brosses à dents et autant de tubes de dentifrice ont été fournis à tous les enfants. 29

30 3. L activité de l année Basé sur le jeu, le programme de Stimulation du Développement Infantile du GACC au Brésil regroupe un ensemble d activités qui cherchent à garantir le développement moteur, cognitif et socio-affectif d enfants de Fortaleza âgés de 6 mois à 6 ans. Programmées selon les besoins particuliers de chacun à partir d un diagnostic neuro-psychomoteur de l enfant et d une étude socio-familiale, les activités d éveil et de stimulation peuvent être réalisées en groupe ou individuellement. Dans tous les cas, les familles sont sensibilisées et orientées pour que l accompagnement se poursuive au foyer et, lorsque nécessaire, le GACC fera son possible pour que l enfant ait accès aux services complémentaires de santé que son état requiert. Sur les 475 enfants suivis cette année, 166 sont parvenus à récupérer la carence ou le retard initialement diagnostiqué. En 2011, deux ateliers d échanges entre CES sur le thème «Hygiène dans les écoles» ont eu lieu. Le premier atelier, où 44 membres de 11 des écoles soutenues par Maeecha (soit la participation de 22 élèves membres du CES, 11 directeurs d école et 11 enseignants) a permis l organisation de journées «écoles propres» où des détergents tels que savon et eau de javel ont été distribués. Le deuxième atelier a permis de dresser un bilan des activités déjà réalisées dans les écoles, et notamment la mise en place par deux CES d un compost pour décharger les ordures afin qu elles ne soient plus déposées à proximité des enfants. Aux Comores, Maeecha a à cœur de développer des activités de santé scolaire. Ces activités permettent d une part d améliorer la santé des enfants : en 2011, enfants ont été déparasités et des maladies de peau (type gales, teignes, lèpres ) ont été dépistées chez 142 enfants. Elles permettent, d autre part, de réaliser des actions de sensibilisation à l hygiène auprès des enfants. Ainsi, des collectifs nommés Conseil d Enfants pour la Santé (CES) ont été créés afin de rendre l enfant responsable et de l inciter à divulguer des messages de santé dans sa famille et dans son village. 30

31 3. L activité de l année Avant même la réapparition du choléra, une grande partie de la population haïtienne vivait dans des conditions sanitaires très difficiles, mais avec l épidémie qui sévit depuis près de 2 ans la situation est encore plus dramatique. L association Prodeva intervient depuis de nombreuses années via son programme de santé scolaire dans une vingtaine d écoles situées sur la commune d Ennery (département de l Artibonite). Elle y mène des actions de sensibilisation auprès des enseignants, des enfants et de leurs parents sur des questions d hygiène, de nutrition. Elle apporte aussi un soutien nutritionnel aux enfants en difficulté et fournit aux écoles des trousses de secours. Avec l épidémie de choléra, les actions de Prodeva, notamment sur les thèmes de l hygiène et de l eau, se révèlent d autant plus indispensables. En effet dans les campagnes haïtiennes où très peu de maisons disposent de latrines et peu de personnes ont accès à de l eau potable, le choléra peut se propager très rapidement si des mesures d hygiène ne sont pas prises par les familles. Grâce au travail de Prodeva, ce sont plus de enfants qui ont pu en 2011 participer à des séances d éducation sanitaire. Chaque mois, une formation santé est tenue pour chaque comité de santé des écoles soutenues par le programme Racines au Bénin, durant laquelle 3 thèmes sont abordés : l hygiène environnementale, l hygiène corporelle et vestimentaire ainsi que l hygiène alimentaire. Une campagne de déparasitage des enfants a eu lieu dans l ensemble des écoles soutenues : au total, ce sont enfants qui ont été suivis par les directeurs d écoles et les parents, dans le cadre de cette campagne. Il faut également accompagner les 27 enfants suivis dans les centres de santé à la périphérie des villages. Amélioration des conditions de vie des enfants handicapés Grâce au travail de DUGA en Bosnie, ainsi qu à l aide de l UNICEF, plusieurs programmes sportifs et éducatifs ont pu voir le jour pour aider les enfants «à besoins spéciaux» à s intégrer à l école : le programme de prévention du stress et de l anxiété, démarré en février, a accueilli 120 enfants de l école primaire de Hrasnica ; des séances d équithérapie ont été mises en place afin de développer certaines facultés qui permettront un apaisement psychologique de ces enfants, ainsi que des cours de langage des signes.

32 3. L activité de l année La recherche prouve qu il existe un lien de cause à effet entre le niveau d études non approfondi et les difficultés de langage. Par conséquent, des thérapies dans des domaines tels que l orthophonie, l aphasie, la dysphasie, ou la dyslexie sont réalisées par les équipes. Ce sont ainsi 109 bénéficiaires qui sont venus aux consultations et séances avec traitements et conseils aux enfants qui ont été réalisées. En 2011, l association La Felouque, au Liban, a accueilli 41 enfants et 47 adolescents ayant une déficience intellectuelle, dont certains avec des troubles associés. Ils sont tous pris en charge par une orthophoniste, une psychomotricienne et une ergothérapeute. L orthophoniste travaille sur l enrichissement du bagage lexical, la bonne articulation, le regroupement et la catégorisation ainsi que l histoire séquentielle et la construction de phrases cohérentes. La prise en charge psychomotricienne tourne autour de la motricité fine et générale. Le travail ergothérapeutique insiste sur l acquisition de l autonomie à tous les niveaux. Les programmes psychopédagogiques sont adaptés à chaque élève selon son rythme et ses capacités. Pour les enfants ayant des troubles associés, le programme est basé sur les activités de groupes comme le conte (écouter une histoire, comprendre le déroulement des scènes), les activités culinaires (pour apprendre le travail de groupe, l entraide, la bonne mise à table, le partage d un repas), le jardinage (remplissage des pots, sensation du sable, écoute des consignes), la rythmique et la relaxation (suivre un rythme particulier ou une cadence particulière, se relaxer et être conscient de chaque partie de son corps), la normalisation du comportement (objectif : saluer, remercier, s excuser, s asseoir, respecter les affaires des autres, nettoyer, ne pas interrompre quelqu un ). Quant au programme individuel, les activités sensorielles et cognitives sont essentielles. Elles ont pour objectif la reconnaissance des objets, leur nomination, l utilisation des cinq sens. Dans le service des adolescents, les objectifs sont un peu plus développés : les éducateurs visent à une autonomie complète dans tous genres de travaux, la normalisation du comportement dans n importe quel milieu et une étude plus poussée des différents thèmes travaillés. Comme ils reçoivent une préparation préprofessionnelle, d autres ateliers entrent en jeu comme le repassage, la couture, la mise en rayon, la bureautique et la peinture sur tissu. Ces nouveaux ateliers tendent à l autonomie à la maison (savoir prendre soin de soi-même à tous les niveaux) et sont une préparation à la rigueur d un travail quelconque dans l avenir. 32

33 3. L activité de l année Au Liban, en 2011, ce sont 450 enfants handicapés qui ont bénéficié d une prise en charge médicale, grâce au Sesobel, dont 307 ont été suivis en kinésithérapie, 140 en ergothérapie, 283 en orthophonie, 214 en psychomotricité, 49 en psychologie et 78 en rééducation respiratoire. 157 personnes ont bénéficié de soins externes au centre. Il faut noter que ces prises en charge sont nécessaires afin d éviter toutes conséquences graves telles que la dépendance aux autres ou l isolement. Par ailleurs, le laboratoire d analyses de la Marche et du Mouvement a compté 62 bénéficiaires, suivis pour des problèmes neurologiques ou orthopédiques. La Fondation San Juan, en Equateur, offre à des enfants atteints d infirmité motrice cérébrale un accompagnement intégral pour leur permettre de s insérer aussi bien socialement qu au niveau éducatif. Trente enfants âgés de 2 à 5 ans sont ainsi scolarisés au sein de la Fondation et 39 autres intégrés dans des écoles primaires ou collèges classiques et suivis par des personnels de San Juan. Tous les enfants handicapés bénéficient d un certain nombre de thérapies (en fonction de leurs besoins) : orthophonie, kinésithérapie, ergothérapie Un élément essentiel du travail de la Fondation San Juan est qu elle ne s attache pas uniquement à la dimension physique des problèmes rencontrés par les enfants. C est tout un accompagnement psychologique des enfants et aussi de leur famille qui est assuré. L objectif est réellement de permettre à ces enfants d envisager leur avenir de la meilleure manière possible, en leur offrant notamment la possibilité de suivre une scolarité normale et en aidant les familles à accompagner au mieux leur enfant au quotidien. 33

34 3. L activité de l année Témoignage de Patrick Gentet, membre du CA de Partage Nous avons demandé à Patrick Gentet, kinésithérapeute et consultant en développement personnel, ce qui ressort comme mots-clés de son expérience de 20 ans de direction de San Juan, en Equateur. «La proximité. J ai parfois entendu dire qu un directeur doit être craint pour asseoir son autorité. Pour moi, il y a confusion lorsque l on associe l éloignement et la froideur à l autorité. J établis de suite un lien chaleureux et la communication devient plus fluide. Pour un accompagnement individualisé des situations que nous rencontrons au sein d un établissement, l expression des besoins doit être possible et un minimum de confiance établi. En étant moi-même, je permets aux enfants, à leur famille et à mes collègues d agir naturellement. Cela ne m empêche pas d être garant du cadre institutionnel et réglementaire. Les solutions se construisent collectivement et je crois en la dynamique de groupe. Partager une activité en classe, participer aux classes vertes, aux prises de repas me permet de m imprégner des situations vécues et de répondre plus justement aux besoins qui s y manifestent. Et lorsque je dois arbitrer un conflit ou prendre une décision, mon lien avec le terrain est un recours précieux. En fait, je remarque que la proximité renforce et anoblit l autorité. Le respect. Lors de ma prise de fonction à Quito ce qui me marque le plus c est l irrespect des droits et de la personne dont sont victimes les usagers. Dans l environnement que je côtoie, la négligence, l incompétence, la paresse, l opportunisme et la cupidité me heurtent. Néanmoins, je n adhère pas à la recherche en tension d efficacité, à l intransigeance qui est le type d attitude observé chez certains expatriés. Je réprouve les comportements stéréotypés, défensifs voire réactifs. Le respect est à mon sens une des valeurs essentielles dans une démarche qui se veut humaniste et qui s adresse à des personnes vulnérables. C est un des fondements de la citoyenneté. La citoyenneté. Mon expérience pendant ces 20 années passées à Quito met en avant ce concept de citoyenneté. Dans ce double rapport de proximité et de respect, la réponse est politique, c est à dire le «vivre ensemble» et ce qui manque parfois à la politique c est l audace et la créativité. 34

35 3. L activité de l année 3) Protection contre les abus Au-delà des deux actions essentielles que sont l éducation et la santé, Partage reste fidèle à son travail de protection des enfants contre toutes formes de violence, qu elles soient physiques, morales, mais aussi économiques ou sociales. Quand la famille existe, elle doit être en capacité d être le premier rempart qui protège l enfant des dangers extérieurs. Pourtant, on le sait bien, y compris en France, les dangers viennent souvent d abord de la famille, soit parce que les parents sont maltraitants, soit parce qu ils sont absents ou tout simplement démunis face à leur rôle éducatif. Loin de vouloir les stigmatiser, nos partenaires cherchent à les aider à faire face, pour que la cellule familiale se développe en harmonie. Plus largement, la société peut être violente à l égard des enfants, parce qu elle ne leur offre pas toujours le temps et les conditions pour grandir, se renforcer et affronter les défis de l âge adulte. Aussi, Partage soutient des initiatives de promotion de la paix et de la non-violence. Prévention de l abandon et renforcement de la cellule familiale HSF, en Thaïlande, développe le programme «Family rehabilitation» avec les familles en difficulté. Les familles sont formées des deux parents, ou bien il s agit de familles monoparentales, ou de parents proches (tels que les grands-parents, tante et oncle) qui ont des enfants de 0 à 18 ans placés sous leur responsabilité, notamment suite au tsunami. Lorsque ces familles approchent HSF, elles ont différentes difficultés pour fournir des soins appropriés à leurs enfants et répondre à leurs besoins. Certaines d'entre elles risquent de les négliger, les maltraiter ou les abandonner. La mission principale du programme «Family Rehabilitation» est de s assurer que les enfants sont en sécurité et que leurs besoins immédiats sont satisfaits. L étape suivante est celle de la restauration et du développement de la capacité parentale afin que la famille puisse devenir autonome. Ce programme a bénéficié à environ 400 familles en

36 3. L activité de l année Renaître, en Roumanie, travaille avec des familles Roms très marginalisées. Le centre de conseil et d aide aux parents et enfants d Orastie se charge de distribuer des vêtements et de la nourriture aux familles. Des accords écrits entre les familles et le centre sont rédigés et signés entre les 2 parties et des visites aux familles sont effectuées par des assistants sociaux. Un suivi familial hebdomadaire est effectué par l équipe. Les données mensuelles des familles sont remises aux autorités locales pour assurer une bonne coordination. Le contact des familles avec les services sociaux de mairie est permanent. Des questions sur la contraception sont soulevées. Des femmes enceintes ont participé au programme, en évoquant les thèmes de l alimentation prénatale et les angoisses de la jeune mère. L infirmière du centre effectue régulièrement des visites à domicile et le conseiller juridique procure des informations sur l aide sociale. Lutte contre la violence, prévention des conflits Grâce à des actions d envergure nationale au Népal, comme la participation dans le Comité National d Education et des Droits de l Enfant, Bikalpa poursuit son action dans deux domaines principaux : la promotion de l éducation et la promotion de la paix. Dans le domaine de la promotion de la paix, les 10 écoles, qui ont créé le «Children Peace Council» (les comités des enfants pour la paix), sont actives dans leur rôle de médiation des conflits auprès des enfants. En même temps, Bikalpa a réalisé en 2011 le 6 ème «Girl Asia Camp» (réunion des jeunes filles d Asie), à Katmandou. Environ 40 enfants de 7 pays y ont participé : Bhoutan, Inde, Myanmar, Népal, Pakistan, Sri Lanka, Thaïlande. Pendant 5 jours, la paix et la non-violence étaient à l ordre du jour. A la fin, Bikalpa a eu l'honneur de bénéficier de la présence du Ministre de l'éducation et de l'energie, Posta Bahadur Bogati, lors de la cérémonie de clôture. Celuici a remis une lettre de remerciement à tous les participants. Enfin, Stella Tamang, Directrice de Bikalpa, a été nommée membre de la nouvelle Commission pour la Restructuration de l État, créée dans le but d aider à l élaboration de la nouvelle constitution qui régira le Népal. 36

37 3. L activité de l année La Coordination pour l'éducation à la non-violence et à la paix est une association française qui a pour objectif de promouvoir l'éducation et la formation pour développer une culture de non-violence et de paix. Elle est le prolongement de la Coordination pour la Décennie, qui a changé de nom fin 2010, suite à la fin de la Décennie (2001/2010) pour une culture de la paix et de la non-violence au profit des enfants du monde. Elle regroupe 81 associations, 11 coordinations locales et reçoit le soutien de plus de 130 personnalités membres de son Comité de parrainage. Afin de promouvoir l'éducation à la non-violence et à la paix, elle organise chaque année le Forum "La non-violence à l'école" qui réunit plus de 200 personnes du monde de l'éducation et de la formation, mène un travail de plaidoyer pour l'introduction officielle de la formation à la non-violence et à la paix à tous les niveaux du système éducatif français, développe le Réseau Ecole et Non-Violence afin de favoriser l'échange de pratiques et d'expériences autour de ces questions. Elle met en outre à la disposition des professionnels et des parents des fiches pédagogiques, un site internet et un forum de discussion ( participe à plusieurs programmes européens permettant l'échange autour des pratiques pédagogiques entre chaque pays partenaire, anime la Quinzaine de la non-violence et de la paix qui couvre les journées internationales de la paix (21 septembre) et de la non-violence (2 octobre) en proposant chaque année une activité spécifique. En 2011, le 26 novembre, le 9 ème Forum de la non-violence à l école avait pour thème «Prévenir et réagir face au harcèlement à l école». Comme chaque année, ce rendez-vous a été l occasion de débats entre professionnels et militants, en présence de personnalités telles qu Edwige Antier, députée, ou Jean-Pierre Bellon, philosophe et auteur de deux ouvrages sur le harcèlement à l école. Pour faire face à la violence au sein des établissements scolaires (voir encadré ci-après), Génération Médiateurs, notre deuxième partenaire en France, a poursuivi son action, avec, en 2011 : - 20 présentations des activités de Génération Médiateurs en établissements scolaires ; - 3 formations d'élèves médiateurs et 3 formations d'élèves délégués ; - 5 modules «instaurer dans sa classe un climat d écoute et de respect» ; - 6 sensibilisations à la gestion de conflit et médiation par les pairs ; - 3 rencontres de réseaux de formateurs de jeunes ; - 26 formations d'adultes à la gestion de conflits et médiation par les pairs. 37

38 3. L activité de l année Focus : Le harcèlement à l école en France, triste réalité L Unicef a présenté mardi 29 mars 2011 à Paris, un rapport sur le harcèlement et le climat scolaire rédigé par l Observatoire international de la violence à l école. L enquête a été réalisée auprès de élèves de classes élémentaires (CE2, CM1, CM2) dans plus de 150 établissements français. Extraits : «Nous estimons à environ 11/12 %, le taux d élèves harcelés, ce harcèlement pouvant monter à 14% pour le seul harcèlement verbal et symbolique. Il convient de se rappeler les conséquences scolaires de ce ou ces harcèlements telles qu elles ont été mises en évidence par la recherche internationale : décrochage scolaire, absentéisme, perte d estime de soi, tendances dépressives et suicidaires sur le long terme. ( ) Tout nous conduit à une préconisation massive : centrer la lutte contre la violence à l école par une action en profondeur sur le harcèlement entre pairs est primordial. ( ) Le harcèlement à l école ne peut significativement diminuer qu avec des actions de très long terme : violence en continu, il nécessite une action qui sache elle aussi prendre son temps. ( ). L UNICEF France plaide pour une politique de prévention précoce de la violence scolaire, basée sur l intérêt de l enfant et visant à développer des aptitudes fondamentales, à construire l estime de soi, à résoudre les conflits, à «vivre ensemble», dans le respect des autres et des règles de la vie collective. La prévention précoce (qui s oppose en tout point à la «répression précoce») de la violence scolaire est essentielle pour : - protéger les enfants victimes de violences et de harcèlement - assurer un climat scolaire paisible, favorable au développement de l enfant, à son épanouissement et à sa réussite scolaire - lutter contre l échec scolaire et le décrochage scolaire qui favorisent, à terme, la violence et la délinquance des enfants et des jeunes ( ) L UNICEF France appelle les pouvoirs publics à s emparer de la question de la violence scolaire et à définir des politiques publiques et des programmes efficaces de prévention.» (voir suite page suivante)

39 3. L activité de l année Focus : Le harcèlement à l école en France, triste réalité En 2011, sur ce sujet délicat, les batailles de chiffre sont allées bon train. Selon les informations données par notre partenaire Génération Médiateurs, qui traite ce sujet au quotidien, les chiffres de la rentrée 2011 / 2012 étaient les suivants : enfants harcelés Sur enfants de 11 à 15 ans fréquentant le collège français, 10% souffrent de harcèlement collégiens de la 6 ème à la 3 ème sont «gravement» harcelés Près de se font racketter Plus de se font voler des objets personnels et des fournitures scolaires 20% des enfants de 6 ème ne se sentent pas en sécurité dans leur établissement 5% des élèves de 6 ème et 14% des 3 ème trouvent qu on n apprend pas bien au collège. Ces chiffres nous rappellent que la violence morale, même invisible, même et surtout - subie dans le silence, est une souffrance qui peut anéantir les enfants, s ils ne trouvent pas un adulte référent qui peut les écouter. C est pourquoi, Partage ne reste pas inactif face à ce fléau et est engagée depuis son origine, en 1973, dans la promotion de la paix et de la non-violence. La France n est pas le seul pays concerné, tous les pays connaissent peu ou prou cette situation. A titre d exemple, en 2011, notre partenaire cambodgien nous a alertés sur la situation de certains collégiens, sur lesquels les professeurs, pour arrondir leurs fins de mois, font pression pour qu ils prennent des cours particuliers, cours sans lesquels leurs notes au collège ne seraient pas «garanties» Souvent tus par peur des représailles, ces chantages amènent les parents, déjà défavorisés, à s endetter pour payer des cours de soutien à leurs enfants. C est pourquoi la promotion des Droits de l enfant et le dialogue entre tous les acteurs de l éducation, sont des outils indispensables pour développer la paix dans les établissements, ici ou ailleurs.

40 3. L activité de l année 4) Développement communautaire Le dernier axe de travail de Partage est le développement communautaire. Renforcer les compétences des citoyens et leur niveau d appropriation des actions est la base du développement communautaire. En outre, dans un contexte généralisé de décentralisation, y compris en France, renforcer les pouvoirs au niveau local permet d apporter des réponses au plus près des besoins. Plusieurs de nos partenaires accompagnent des communautés, rurales ou urbaines, qui sont à l origine de projets apportant des bénéfices importants pour les enfants. A l ASSEFA, en Inde, Partage soutient 26 écoles dans la zone d Uthiramerur et la Zone Côtière (Pondichery). Suivant les principes gandhiens, la gestion des écoles de l ASSEFA, les décisions et le financement des activités sont faits de façon participative avec les membres des communautés (pour la plupart membres des «self help groups» - groupes de crédits de femmes - soutenus par l ASSEFA), et avec les enseignants. Les principes gandhiens sont aussi présents dans la proposition d activités extracurriculaires au sein des écoles. Ainsi, les activités de yoga, de danse et de musique traditionnelles indiennes sont proposées aux enfants qui profitent de ce fait d une éducation holistique. De ce bel exemple de participation et développement communautaire résulte une éducation de qualité aux enfants. Environ enfants en ont bénéficié en En Equateur, l INEPE a inscrit depuis sa création son action éducative dans une approche large de développement communautaire. C est dans ce cadre que l INEPE travaille en collaboration avec la mairie de Quito à la réalisation d un grand parc public sur des terrains jouxtant le quartier de «la Dolorosa de Chilibulo», où se trouve l INEPE. L idée est de réhabiliter ce site (longtemps utilisé comme décharge sauvage) pour y faire un espace de détente et de sensibilisation au patrimoine culturel traditionnel pour les habitants de la capitale équatorienne. L INEPE est notamment en charge de la reforestation de plusieurs zones du parc avec des espèces d arbres indigènes. Ce sont des jeunes du quartier qui, avec l encadrement de l INEPE, font pousser les arbres et les replantent ensuite dans le parc. Partage a débuté sa collaboration avec le MESAD en 2010 et l a confortée en Nous espérons pouvoir concrétiser cette première collaboration avec la Côte d Ivoire par un accord de partenariat et la mise en place des premiers parrainages en Cette association existe depuis 2001, et intervient sur des problématiques éducatives et de développement communautaire. Partage soutient le projet Amboca, qui se déroule dans le quartier de Vridi 3, à Abidjan. L objectif de ce projet est «d appuyer les populations de Vridi 3 à élaborer un plan local de développement de leur quartier, à la suite d un diagnostic communautaire visant à améliorer leurs conditions de vie ainsi que celles de l éducation de leurs enfants». 40

41 3. L activité de l année En 2011, des dizaines de réunions ont été organisées avec les habitants du quartier, soit publiques, soit par groupe de pairs (les «doyens», les femmes, les enfants,..), afin d évoquer des sujets aussi divers que l entretien de la voirie, l insalubrité, la violence domestique et ses effets sur les enfants, l échec scolaire, l absentéisme, la formation des enseignants, la délinquance, etc. Selon les propres mots de notre partenaire, «la prise de conscience manifestée par les populations à l issue des séances organisées permet de lui conférer au moins 70% de réussite. Aussi, peut-on le supposer, les populations sont prêtes au changement pour un développement durable dans le quartier.» Témoignage du Mesad sur la crise politique en Côte d Ivoire début 2011 «Si les élections se sont déroulées dans une ambiance festive de campagne électorale, elles ont débouché sur une crise post-électorale d une ampleur sans précédent dans le pays. Et pour cause, la CEI (Commission Electorale Indépendante) et le Conseil Constitutionnel, les deux organes en charge de l organisation des élections en Côte d Ivoire, ont proclamé vainqueurs les deux candidats qui s affrontaient lors du second tour de ces élections. La crise a débuté le 3 décembre 2010 par des manifestations de rues plus ou moins pacifiques (marches de protestation, barricades de rues, incendies de pneus ) parfois réprimées par les forces de l ordre. Mais, à la mi-décembre, un groupe armé baptisé «commando invisible» est venu s installer à Abobo (commune située au nord-est de la ville d Abidjan). Des combats ont alors éclaté entre ce commando et les FDS (Forces de Défense et de Sécurité), faisant une centaine de morts et des dégâts matériels selon l ONU. Avant le 21 février 2011, seulement quelques communes et banlieues d Abidjan étaient touchées par ces combats : Abobo, Anyama et périphéries, Yopougon et Williamsville. Mais à partir de cette date, les affrontements entre les protagonistes se sont intensifiés et étendus à plusieurs localités du pays dont l ouest de la Côte d Ivoire. Malgré l arrestation du Président Laurent Gbagbo, le 11 avril 2011, les combats entre les belligérants se sont poursuivis jusqu au 18 mai A Abidjan, cependant, les combats ont pris fin le 10 mai 2011, après le repliement des forces soutenant le Président déchu sur l intérieur du pays. Selon l ONU et d autres organisations de Défense des droits de l homme (Human Rights Watch, CICR, Amnesty international ), cette crise a fait au moins morts, des milliers de disparus, de déplacés de guerre, des violations graves des droits de l homme ainsi que des dégâts matériels divers. La commune de Port Bouet dont Vridi 3 est un sous quartier n a pas été épargnée par ces violences. Toutefois, à Vridi 3, site de réalisation du projet Amboca, il n y a pas eu d affrontements entre les populations. Au contraire, celles-ci ont su vivre en bonne intelligence, ce malgré le fait qu elles soient de bords politiques différents. Mieux, le quartier a été un site d accueil de nombreux déplacés de guerre contraints de quitter leurs domiciles ou leurs localités respectives.»

42 3. L activité de l année 3.4 Autres réalisations importantes Au siège L équipe salariée travaille quotidiennement à apporter un soutien de qualité aux partenaires locaux et à suivre les actions entreprises pour les enfants à travers le département suivi des Programmes. Le département Parrains et Donateurs entretient des liens avec les parrainsmarraines et les donateurs et gère avec les partenaires locaux le suivi des enfants parrainés ou à parrainer. Le département Administratif et Financier gère l association avec le maximum de rigueur et de transparence. Enfin le département Collecte, Communication et Réseau Bénévole met en place et suit des actions de développement des ressources, de mobilisation pour susciter de nouveaux engagements, d informations, notamment sur l usage des fonds. Il anime, coordonne et développe le réseau des bénévoles. L'année 2011 a été marquée par des débordements violents de la nature : au printemps, la Thaïlande était sous les eaux ( km2 dévastés) impactant les actions de nos partenaires le CPCR et HSF ; le 30 décembre, une tempête cyclonique très sévère qui a traversé le Tamil Nadu a endommagé gravement les écoles de la zone côtière. Merci à nos parrains et donateurs qui se sont mobilisés pour faire face à ces catastrophes. Outre la révolution des pays arabes qui a touché notre partenaire égyptien l'aheed, le chaos s'est installé en Côte d'ivoire nous empêchant de conclure un nouveau partenariat dans ce pays avec le Mesad. De même, le Mali, où nous souhaitions ouvrir de nouveaux programmes, a été classé pays à hauts risques, nous obligeant à surseoir à l ensemble de nos projets dans ce pays. Heureusement, l'année fut plus joyeuse avec la célébration des 50 ans de notre partenaire indien VSSS et de notre partenaire libanais le MSL, les 20 ans de notre partenaire malgache l'asa et les 20 ans de notre partenaire Compartir au Honduras. L'année prochaine, Partage aura 40 ans... 42

43 3. L activité de l année Nous poursuivons l'animation de notre réseau international de solidarité qui est, pour nous, notre force. Les rencontres du réseau africain portent leurs fruits dans les échanges de pratiques et permettent de traiter de grands thèmes d'action (après la collecte de fonds locale, ce fut cette année le suivi-évaluation et capitalisation des actions de terrain). Nous avons eu le plaisir d'accueillir au siège le coordinateur de l'unité Parrainages de Compartir, notre partenaire au Honduras, afin d'améliorer les relations et la communication parrains/enfants. Nous accompagnons nos partenaires jour après jour dans le renforcement de leurs actions, leurs compétences, leur autonomie. L'éducation fut à l'honneur avec le soutien et le relais des actions de notre partenaire la Coordination pour l'éducation à la non-violence et à la paix autour du harcèlement à l'école, qui est un véritable fléau actuel. Nous avons également participé à un groupe de travail entre professionnels de la solidarité internationale sur l'éducation et le travail pluri-acteurs. Ce fut également l'occasion de rencontrer nos parrains en régions et les prémisses de la création d'un groupe bénévole à Lyon et en Corse. Nous avons fini la Charte du visiteur, dans un souci de protection des enfants et pour faire en sorte que les visites aux enfants sur le terrain se déroulent au mieux. Nous avons intensifié les recherches de nouveaux moyens de développement des ressources de Partage, susciter de nouveaux engagements et contenter nos parrains qui sont au cœur de nos préoccupations. Pour nous épauler, nous avons changé notre agence, suite à un appel d'offres. Nous tenons à remercier chaleureusement tous les médias qui ont accepté gracieusement de nous aider dans cette recherche. Enfin, un des moments forts de l'année fut l'accueil de la chorale gospel des enfants bénéficiaires de notre partenaire malgache Bel Avenir, avec l'organisation par des bénévoles et des salariés d'un concert à Compiègne, qui fut un succès. Toujours à la rencontre de nouveaux publics pour susciter des engagements, nous avons participé pour la première fois au Tour de France Humanitaire, afin de proposer aux jeunes étudiants notamment de nous rejoindre en tant que bénévoles, en leur offrant des modes de soutien correspondants à leurs goûts (pétition visuelle par exemple, groupes action spécifiques,...).

44 3. L activité de l année Troisième édition du jeu de piste Partage : des moments de bonheur partagés avec les enfants Cette année encore, la mobilisation de nombreux bénévoles a permis la réalisation de la 3 ème édition du jeu de piste Partage. Début octobre 2011, ce sont 8 villes (Paris, Strasbourg, Ungersheim, Aubière, Bordeaux, Le- Bar-sur-Loup, St Sever et Compiègne) qui ont accueilli près de enfants et parents, autour d activités ludiques et interactives, pour découvrir les Droits des Enfants dans le monde. A l issue de la journée, les enfants ont reçu leur diplôme d Ambassadeur des enfants du monde et ils ont pu écrire des cartes-messages de soutien et d amitié qui ont été accrochées à «l arbre à Partage». Cette année, ces cartes ont été envoyées aux enfants des Comores, du Liban et du Bénin, qui ont pris beaucoup de plaisir à les découvrir et à y répondre. 44

45 3. L activité de l année Par les bénévoles Partage Alpes-Maritimes a organisé le jeu de piste national de Partage le samedi 1 er octobre à Le-Bar-sur-Loup (près de Grasse). Elle a aussi organisé une soirée spectacle et une vente de pains d épices, au profit de l AHEED (Egypte). Partage Alsace a organisé le jeu de piste national de Partage le samedi 1 er octobre dans 2 villes : à Strasbourg, dans les locaux du Vaisseau (Centre de découverte des sciences et des techniques) et à Ungersheim (Haut- Rhin), dans les locaux de l Ecomusée. Elle a également tenu de nombreux stands dans divers marchés de Pâques et de Noël, organisé un concert en novembre à Colmar et vendu des confitures au profit de VOC (Népal). Partage Angers a organisé une soirée musicale en mars et réalisé d importantes ventes tout au long de l année (brioches, chocolat équitable, miel et pain d épices) au profit de Bandos Komar (Cambodge) et de l ASECD (Burkina Faso). Elle est intervenue dans des lycées pour sensibiliser à la cause des enfants du monde et faire connaître Partage. Partage Aube a organisé une soirée cabaret en janvier et a participé au vide-grenier de Sainte-Savine en septembre. Les bénéfices ont été reversés à Renaître (Roumanie) et au Sesobel (Liban). Partage Auvergne a organisé le jeu de piste national de Partage le samedi 1 er octobre à Aubière, suivi d une soirée concert. Elle a également participé à plusieurs forums d associations et réalisé une importante vente de fromages, en faveur du MSL (Liban) et de VOC et CWC (Népal). Partage Bordeaux Gironde a organisé le jeu de piste national de Partage le samedi 1 er octobre à Bordeaux, qu elle a répliqué en novembre à la médiathèque d Eysines. Elle a participé au «Bal Trad» et au carnaval de Saint- Médard-en-Jalles, organisé un concert de gospel en mars à Bordeaux, participé à la grande brocante «Marché de Bric et de Broc», tenu un stand pendant les 10 jours de la Foire de Bordeaux et réalisé des ventes de confitures au profit de l ACDED (Haïti) et de Bel Avenir (Madagascar). En juin, elle a participé à la promotion du concert à Bordeaux de la Malagasygospel en tournée en France (chorale de Bel Avenir). Partage Calvados a organisé le jeu de piste national de Partage le dimanche 2 octobre à Saint-Sever dans le cadre de la Granit eau bois. Elle a participé au pique-nique géant de Luc-sur-Mer et réalisé une animation auprès de classes de 6 ème et de 5 ème au collège Lechanteur de Caen (création et vente de cartes de vœux par les élèves euxmêmes). Elle a également réalisé diverses ventes (objets, biscuits, caramels, fromages et chocolats) au profit de San Juan (Equateur), de l ACDED (Haïti) et de CWC (Népal). Partage Hérault a organisé pour la 3 ème année consécutive une grande course relais solidaire, à l occasion de la Journée Internationale des Droits de l Enfant (20 novembre), au stade du Campus Lagaillarde à Montpellier. 532 élèves d écoles primaires ont participé et ont été collectés (dons d entreprises et subventions) au profit de San Juan (Equateur). 45

46 3. L activité de l année Partage Marne Ardennes a participé à la Journée Internationale de la Paix (21 septembre) et à différentes fêtes tout au long de l année : Fête du Don du Sang, Fête de Gonzague (rencontres interculturelles), Fête des Cerises. Elle a également vendu des brioches, des tartes et des sapins de Noël au profit de Bikalpa (Népal). Partage Oise a organisé le jeu de piste national de Partage le samedi 8 octobre à la bibliothèque Saint- Corneille de Compiègne, suite à une semaine complète dédiée aux Droits de l Enfant (projection de film, jeux, conférence avec Claire Brisset, exdéfenseure des Droits de l Enfant). Elle a organisé avec Partage le concert de la Malagasygospel à Compiègne (le 12 juin à l église Saint-Germain). Elle a également réalisé diverses ventes (brocante, marché de Noël) et créé des règles Partage. Partage Paris a organisé le jeu de piste national de Partage le samedi 1 er octobre au Parc de la Villette, à Paris. Elle a également participé à la brocante Saint-Bernard dans le 19 ème arrondissement de Paris. Les bénéfices ont été reversés à San Juan (Equateur). Partage Région Nantaise a participé à plusieurs vide greniers et manifestations (Fête de la solidarité, marché du monde, marchés de Noël), réalisé une vente importante de brioches et de gâches et a constitué plusieurs dossiers de demandes de subventions auprès des collectivités territoriales. Les bénéfices de ces actions ont été reversés au Sesobel et au MSL (Liban), à VOC et à CWC (Népal) et à l ACDED (Haïti). Elle a également organisé un grand forum sur le thème des enfants des rues au Népal. Partage Rhône-Alpes Saint-Etienne a organisé une vente aux enchères d œuvres d art qui a permis de récolter au profit de Bel Avenir (Madagascar). Elle a également réalisé des ventes de formages, de guimauves et organisé une tombola. Partage Vendée a participé au Printemps du Livre de Montaigu en avril, organisé un quizz sur le modèle du jeu de piste Partage dans une galerie marchande de la Roche-sur- Yon, participé au vide-grenier de Saint- Gilles-Croix-de-Vie en juillet et vendu des bulbes au profit de Partage. Elle a également présenté Partage au sein d un collège. En 2011, ont été collectés en faveur de l ensemble des autres partenaires de Partage, grâce aux actions de collecte et/ou à l obtention de subventions des collectivités territoriales. Apport du réseau des Associations Affiliées en 2011 (en ) Dons Associations Affiliées Parrainages Divers Les apports du réseau bénévoles sont plus vastes que le rapport financier décrit ci-dessus. Il contribue en effet grandement au développement de la notoriété de Partage ou au recrutement de parrains. Le nombre total d heures de bénévolat pour 2011 a été valorisé à euros soit près de heures. 46

47 4 La gouvernance et les ressources humaines

48 4. La gouvernance et les ressources humaines 4.1 La gouvernance Structure juridique Association loi 1901, reconnue de bienfaisance, Partage est déclarée le 22 mars 1976 à la Sous-préfecture d Antony sous le nom de «Partage avec les enfants du Tiers- Monde». Le siège actuel de l association devenue «Partage» est à Compiègne où elle est enregistrée à la Souspréfecture sous le n W Partage est une association non confessionnelle et apolitique. Historique La création de «Partage avec les enfants du Tiers-Monde» s était inscrite dans le prolongement du «Comité de Soutien aux Enfants du Vietnam» lancé en 1973 pour aider des enfants victimes de la guerre. Partage avec les enfants du Tiers- Monde allait élargir son aide aux enfants démunis d autres pays. Instances de décision Les Statuts de l Association définissent le rôle et la composition de ces instances : Assemblée Générale, Conseil d Administration et Bureau du Conseil d Administration, Président du Conseil d Administration et direction exécutive. La Charte et les Statuts de Partage sont les textes fondateurs qui garantissent le fonctionnement démocratique et transparent de l association : tout changement de ces textes est soumis au vote de l Assemblée Générale. Assemblée Générale Instance souveraine, elle regroupe tous les membres dont la présence est prévue aux statuts. 48 Seuls les membres actifs ou adhérents à jour de leur cotisation au titre du dernier exercice écoulé (environ 5 000), ont accès aux assemblées générales et participent aux votes. Il leur est possible de voter par correspondance ou lors de l Assemblée Générale. Les membres associés de l association (partenaires locaux) et les membres d honneur peuvent assister avec voix consultative. Les salariés de l association peuvent être invités par le Président à assister, avec voix consultative, aux séances de l Assemblée Générale. Ils peuvent aussi voter s ils sont adhérents de l association. L Assemblée Générale ordinaire se réunit une fois par an, dans les six mois de la clôture de l exercice social. L Assemblée Générale s est déroulée le samedi 18 juin 2011 à Paris au centre international de séjour pour valider les comptes de l exercice 2010 et approuver les budgets L Assemblée Générale a voté la décision de procéder aux démarches nécessaires pour déposer une demande de reconnaissance d utilité publique (RUP). Cette demande devra être déposée devant le Conseil d Etat après validation du dossier par le ministère de l intérieur. L AG a procédé à l élection d un nouvel administrateur, Monsieur Alain Gayet. Elle entend les rapports sur la gestion du Conseil d Administration, sur la situation financière et morale de l association. Elle approuve les comptes de l exercice clos, en donnant quitus aux administrateurs, vote le budget de l exercice suivant, délibère sur les questions mises à l ordre du jour et pourvoit, s il y a lieu, au renouvellement des membres du Conseil d Administration.

49 4. La gouvernance et les ressources humaines Pour qu elle soit valable, un quart des membres actifs ou adhérents doit être présent ou s être exprimé par correspondance. Les décisions de l Assemblée Générale ordinaire sont acquises à la majorité simple des votes exprimés. L Assemblée Générale extraordinaire est convoquée pour prendre toutes décisions de nature à mettre en cause son existence ou modifier son objet et ses règles de fonctionnement. Conseil d Administration Elu par l Assemblée Générale et subordonné à elle, le Conseil d Administration comporte 11 membres bénévoles, adhérents de l association avec un fort engagement associatif ou des compétences utiles à l association. Les membres sont élus pour 6 ans et rééligibles dans la limite de 2 mandats consécutifs. Le renouvellement du Conseil a lieu par tiers tous les 2 ans. Le Conseil d Administration définit les principales orientation de l association. Il arrête le budget et les comptes annuels de l association. Au sein du Conseil d Administration sont élus six membres du Bureau remplissant les fonctions de Président, Trésorier, Secrétaire, vice-président, trésorier adjoint et Secrétaire adjoint. Ils sont rééligibles tout au long de leur mandat d administrateur et les élections ont lieu tous les 2 ans. Le Bureau prépare les travaux du Conseil, le Président le représente et agit en son nom. Aucun membre du Conseil d Administration n a perçu de rémunération au titre de son mandat.

50 4. La gouvernance et les ressources humaines Les membres du CA de Partage M. Pascal Ponty Président M. Christian Renoux Vice-Président Mme Danièle Chagnon Secrétaire M. Jean Dupré Secrétaire adjoint M. Hubert Loesch Trésorier M. Edgard Moscherosch Trésorier adjoint M. Alain Gayet Administrateur M. Daniel Leroy Administrateur M. Sébastien Dechamps Administrateur Mme Marie-Thérèse Angrand Administrateur M. Patrick Gentet Administrateur Ingénieur, Consultant en Management Président du Conseil d Administration de Partage Avec Partage depuis Maître de conférences d histoire moderne. Engagé dans la vie associative et la promotion de la non-violence. Président des Coordinations française et internationale pour la décennie de la culture de la non-violence et de la paix. Avec Partage depuis Consultant en Management Démarche Qualité Avec Partage depuis Ingénieur retraité. Depuis 1948, engagé dans la vie associative, notamment chez les Petits frères des Pauvres dont il a été pendant 6 ans Président national. Avec Partage depuis Consultant en environnement. Sensibilisé à la nécessité d un développement plus solidaire, durable et d un respect sincère des cultures. Avec Partage depuis Enseignant en milieu carcéral depuis 28 ans. Connaît le milieu associatif à des degrés divers depuis 35 ans : objection de conscience, non-violence, écologie, droits de l homme. Avec Partage depuis Retraité de l enseignement agricole. Parrain à Partage depuis plus de trente années, et actif à Partage Aube depuis trois ans. Impliqué dans le mouvement mutualiste, le soutien scolaire d enfants en difficulté ou malades, et bénévole au SAMU Social de Troyes. Pédiatre hospitalier honoraire, qui contribue à développer le programme d appui aux enfants Roms en Roumanie, parrain à Partage depuis Responsable des urgences internationales au Secours Catholique. Connaît Partage pour y avoir été employé comme chargé de programmes puis responsable de la Communication de 1998 à Avec Partage depuis A contribué au développement de Partage pendant plus de 25 ans comme directrice opérationnelle, puis directrice jusqu en Retraitée. Kinésithérapeute et consultant en développement personnel, ancien directeur du programme San Juan, partenaire de Partage à Quito en Equateur, pour enfants handicapés. Avec Partage depuis

51 4. La gouvernance et les ressources humaines 4.2 L équipe salariée Direction exécutive L équipe salariée Le Conseil d Administration nomme un directeur / une directrice salarié(e) chargé(e) de faire fonctionner l association en accord avec les décisions votées à l Assemblée Générale. L équipe salariée est composée de 27 personnes qui travaillent chaque jour à faire vivre la mission de Partage au bénéfice des enfants du monde (voir page suivante). Le directeur actuel, Erik Jorgensen, a été recruté pour assurer cette fonction à partir du 1 er janvier Comité de coordination Ce Comité est composé du directeur et des quatre responsables de départements (Suivi des programmes, Parrains et Donateurs, Collecte et Communication et Administration et Finances). Son rôle est de coordonner le travail en interne, d élaborer avec les équipes le plan d action annuel et de proposer avec le directeur la stratégie globale de l association et de la mettre en place. Evolution des salariés ETP sur 3 ans Montant moyen annuel global des 5 rémunérations totales les plus élevées (salaires bruts, honoraires, indemnités, allocations, avantages de toute nature consentis) :

52 4. La gouvernance et les ressources humaines Relation avec les marraines, parrains et les donateurs de Partage C est l équipe qui est le plus régulièrement en relation avec les parrains et donateurs. Se spécialisant sur certains pays et programmes, ces personnes sont le mieux à même de répondre aux questions qui concernent les différents soutiens. Claudine Paraire Responsable du département Isabelle Barbier Assistante parrains et donateurs : France (Génération Médiateurs) et accueil téléphonique Marine Caballol Assistante parrains et donateurs : Bosnie, Liban (Anta Akhi et Sesobel), Vietnam Ouidade Lachhab Assistante parrains et donateurs : Brésil, Chili, Egypte, Equateur, Honduras, Palestine Julia Cole Assistante parrains et donateurs : Inde (Assefa), Thaïlande, Népal Nathalie Lemaître Assistante parrains et donateurs : Inde (VSSS), Liban (MSL, La Felouque), Madagascar (ASA), Roumanie Anne-Elise Porcheron Assistante parrains et donateurs : Bénin, Burkina Faso, Comores, Haïti, Madagascar (Bel Avenir) Suivi des programmes Cette équipe a pour mission essentielle d accompagner nos partenaires dans la réalisation de leur travail auprès des enfants. Grâce à une bonne connaissance du contexte et du travail de développement, elle accompagne les associations partenaires et tient Partage informée du déroulement des programmes. Nathalie de Sousa Santos Responsable du département et responsable du suivi des programmes à Madagascar, France, Bosnie Direction Erik Jorgensen Directeur Laura Vast Assistante de direction Gestion, finance, traitement des dons, informatique Avec le maximum de rigueur et de transparence, ce département assure le traitement des dons et des parrainages, les envois de fonds sur le terrain, le suivi budgétaire, le contrôle de gestion et la maîtrise des frais de fonctionnement de l association. Gilles Desjardins Responsable du département Seamus Browne Responsable informatique Thierry Copin Comptable Catherine Engelen Assistante encaissements Clémence Méresse qui remplace Dominique Grandon Assistante comptable, encaissements Sylvie Canadas qui remplace Périne Houllier Gestionnaire paie, personnel Collecte de fonds, Communication et réseau bénévole Les missions : sensibiliser davantage de parrains et donateurs et tenir chacun informé de l usage qui est fait des parrainages et des dons ; animer et accompagner le dynamisme des antennes locales. Jean-François Le Grand Chargé de missions financières programmes José Boff Responsable du suivi des programmes : Inde, Népal, Thaïlande, Vietnam Béatrice Nkongoli Responsable du suivi des programmes : Bénin, Burkina Faso, Comores, Jocelyne Noll Responsable du suivi des programmes : Cambodge, Egypte, Liban, Roumanie Julie Saturné Responsable du suivi des programmes : Brésil, Haïti, Honduras, Palestine, Equateur 52 Laurence Lebret Responsable du département Jennifer Duquesne Chargée de marketing Caroline Gareau Chargée de communication Anne-Laure Narcy Animatrice du réseau bénévole Sylvie Supiot Assistante communication : gestion du courrier, accueil et standard téléphonique

53 4. La gouvernance et les ressources humaines 4.3 Les bénévoles Le réseau bénévole Près de 100 bénévoles apportent régulièrement leur aide au siège, à Compiègne, essentiellement en traduction et en tâches administratives, ou encore en communication et analyse financière. En outre, pour développer sa notoriété et ses ressources, Partage s appuie sur un réseau régional bénévole. Fin 2011, ce réseau compte 401 adhérents, dont 220 bénévoles actifs, regroupés en 15 Associations Affiliées, indépendantes, régies par la loi 1901 Les actions locales de bénévoles ont pour but exclusif de favoriser, promouvoir et étendre l action de l association nationale de Partage en contribuant au développement de la notoriété de Partage, en sensibilisant à la cause et aux actions de Partage, en apportant des ressources (humaines, techniques, financières ), en recrutant de nouveaux engagements pour Partage. Les Associations Affiliées Alpes Maritimes Albert Rochard partage.alpesmaritimes@orange.fr Tél : Aube Anne-Marie Pavy Annemarie.pavy@orange.fr Tél : Calvados Martial Legras martiallegras@orange.fr Tél : Morbihan Christine Bastard partagemorbihan@aol.com Tél : RA Saint Etienne Brigitte Giret Brigitte.giret@neuf.fr Tél : Alsace Christian Carau accueil@partage-alsace.org Tél : Auvergne Jacqueline Revel partage-auvergne@orange.fr Tél : Hérault Ginette Haffreingue Ginette.haffreingue@orange.fr Tél : Oise Olivier Lienard Partage.oise@hotmail.fr Tél : Région Nantaise Christiane Dronneau Christianne.dronneau@wanadoo.fr Tél : Angers Agnès Cornuau partageangers@wanadoo.fr Tél : Bordeaux Elisabeth Longuépée partage.bordeaux@gmail.com Tél : Marne Ardennes Joseline Schirtzinger partagema@aol.com Tél : Paris Nathalie Lanoizelée nlanoizelee@hotmail.com Tél : Vendée Martine Bouffet Vergniol Bouffet.vergniol@wanadoo.fr Tél :

54 5 Le rapport financier

55 5. Le rapport financier 5.1 Analyses et explications des chiffres de l exercice 2011 Les produits de la générosité du public ont été, en 2011, en baisse de 157 K (soit -2%), ventilés comme suit : une baisse des ressources de parrainage (-74 K, soit une baisse de 1%) ; une diminution des ressources en dons (-319 K ), 2010 ayant connu un élan de générosité exceptionnelle en faveur des victimes du séisme en Haïti ; une hausse du montant des legs (+236 K ). Ces résultats contrastés confirment plusieurs tendances. Cette année encore, et malgré une légère érosion imputable à la crise qui perdure, les ressources de parrainage restent le socle de notre pérennité. Nos efforts doivent donc continuer de porter en priorité sur le renforcement de ce mode de soutien, que ce soit par la diversification des moyens d approcher nos futurs parrains, l enrichissement de nos offres de parrainage, ou le soin apporté à la qualité de la relation créée entre les parrains, nos partenaires, et les enfants bénéficiaires de leurs actions. La baisse tendancielle du poste des dons se confirme. La forte baisse enregistrée cette année s explique en partie par l élan exceptionnel de solidarité (206 K ) que nous avions enregistré en 2010 suite au séisme en Haïti. Enfin, la possibilité de bénéficier de cet acte de générosité exceptionnel qu est un legs représente un motif d espoir pour l avenir de Partage. Les autres chiffres de l année 2011 Le montant des transferts aux programmes s est élevé cette année à K, en baisse de 297 K par rapport à l année Les dépenses de collecte de fonds et de traitement des dons ont été cette année de K, en baisse de 43 K par rapport à l année Les frais de fonctionnement se sont élevés à 570 K, en baisse de 50 K par rapport à l année Le résultat d exploitation et la proposition d affectation L exercice s est soldé par un résultat excédentaire de , après prise en compte des frais de recherche de fonds et de fonctionnement de l association. Ce résultat a été affecté par décision de l Assemblée Générale à la mission sociale, au bénéfice du Programme finançant les actions d urgence pour un montant de et à la réserve de recherche de fonds pour un montant de

56 5. Le rapport financier EMPLOIS Emplois de 2011 = Compte de Résultat (1) Affectation par Emplois des Ressources Collectées auprès du public utilisées sur 2011 (3) 5.2 Le CER 2011 en RESSOURCES Ressources collectées sur 2011 = Compte de Résultat (2) Suivi des Ressources Collectées auprès du public et utilisées sur 2011 (4) REPORT DES RESSOURCES COLLECTEES AUPRES DU PUBLIC NON AFFECTEES ET NON UTILISEES EN DEBUT D'EXERCICE 1 - MISSIONS SOCIALES RESSOURCES COLLECTEES AUPRES DU PUBLIC Réalisées en France Produits de la Générosité du Public Actions réalisées directement Dons et Legs collectés Versements à d'autres organismes agissant en France Dons manuels Non Affectés 0 Sensibilisation Grand Public Dons manuels Affectés : Parrainages Réalisées à l'etranger Dons manuels Affectés : Dons Actions réalisées directement Dons Apports Réseau Antennes Locales Versements à un organisme central ou à d'autres organismes Legs et autres libéralités Non Affectés 0 Développement Réseau International Legs et autres libéralités Affectés FRAIS DE RECHERCHE DE FONDS Autres Produits liés à l'appel à la générosité du public Frais d'appel à la générosité du public : AUTRES FONDS PRIVES Frais d'appel de Dons et Parrainages Mécénat d Entreprises Frais de traitement des Dons et Parrainages Parrainage d Entreprise (Sponsoring) 0 Frais d'appel et de traitement des Legs et autres Libéralités Frais de recherche des autres fonds privés : SUBVENTIONS ET AUTRES CONCOURS PUBLICS Subventions Affectées aux Programmes Subventions d'exploitation Charges liées à la recherche de subventions et autres concours publics : AUTRES PRODUITS FRAIS DE FONCTIONNEMENT & AUTRES CHARGES Abonnements Bulletins Frais d'information et de communication : Cotisations Frais de Fonctionnement : Produits Divers d'exploitation Achats pour Revente et Variations de Stocks Participation Frais de Fonctionnement Services Extérieurs Remboursement Frais Administratifs sur Cofinancement Impôts et taxes Financement Test Nouvelles Actions Autres Charges de Gestion Courante 33 Autres Produits Gestion Courante Autres Charges : Emprunt au Fonds de Soutien Frais Financiers 0 Produits Financiers Charges Exceptionnelles 119 Affectation Résultat de l'année précédente Dotations aux Amortissements Produits Exceptionnels Transferts de Charges I - TOTAL DES EMPLOIS DE L'EXERCICE INSCRITS AU I - TOTAL DES RESSOURCES DE L'EXERCICE INSCRITES COMPTE DE RESULTAT AU COMPTE DE RESULTAT II - DOTATIONS AUX PROVISIONS II - REPRISE DE PROVISIONS III - ENGAGEMENT A REALISER SUR RESSOURCES III - REPORT DES RESSOURCES AFFECTEES NON AFFECTEES ENCORE UTILISEES DES EXERCICES ANTERIEURS Sur Dons Manuels Affectés Report de Dons Manuels Affectés IV - VARIATIONS DES FONDS DEDIES COLLECTEES AUPRES DU PUBLIC IV - EXCEDENT DE RESSOURCES DE L'EXERCICE V - INSUFFISANCE DE RESSOURCES DE L'EXERCICE V - TOTAL GENERAL VI - TOTAL GENERAL V - PART DES ACQUISITIONS D'IMMOBILISATIONS BRUTES DE L'EXERCICE FINANCÉES PAR LES RESSOURCES COLLECTÉES AUPRÈS DU PUBLIC VI - NEUTRALISATION DES DOTATIONS AUX AMORTISSEMENTS DES IMMOBILISATIONS FINANCÉES À COMPTER DE LA PREMIÈRE APPLICATION DU RÈGLEMENT PAR LES RESSOURCES COLLECTÉES AUPRÈS DU PUBLIC VII - TOTAL DES EMPLOIS FINANCÉS PAR LES RESSOURCES COLLECTÉES AUPRÈS DU PUBLIC VI - TOTAL DES EMPLOIS FINANCÉS PAR LES RESSOURCES COLLECTÉES AUPRÈS DU PUBLIC SOLDE DES RESSOURCES COLLECTEES AUPRES DU PUBLIC NON AFFECTEES ET NON UTILISEES EN FIN D'EXERCICE EVALUATION DES CONTRIBUTIONS VOLONTAIRES EN NATURE Missions Sociales Bénévolat Frais de Recherche de Fonds Prestations en nature 0 Frais de Fonctionnement Dons en nature 0 Total : Total :

57 5. Le rapport financier MÉTHODE D ETABLISSEMENT DU C.E.R. Les Associations et Fondations qui font appel à la générosité du public, dans le cadre de campagnes nationales, doivent, afin de rendre compte aux donateurs de l emploi qu elles ont fait des fonds perçus, établir un Compte d Emploi des Ressources. Ce C.E.R, intégré dans l Annexe aux Comptes Annuels, entre dans le champ de la certification des Commissaires aux Comptes. Cette présentation normée répond à deux approches dissociées : - une approche globale par le compte de Résultat ; - une approche liée à la consommation dans l année des seules ressources provenant de la générosité du public, y compris celles collectées au cours des exercices antérieurs. Quelques explications : Les colonnes 1 et 2 du C.E.R constituent un tableau globalisé en adéquation avec les produits et charges du Compte de Résultat. Le total des ressources (colonne 2) correspond au total des produits du compte de résultat et le total des emplois (colonne 1) correspond au total des charges de ce même compte. Les colonnes 3 et 4 du C.E.R (Suivi de la consommation des seules ressources issues de la générosité du public) ont pour objectif d affecter les dons par type d emplois (colonne 3) et d assurer le suivi des ressources collectées et non utilisées des campagnes antérieures (colonne 4). Nous attirons l attention sur le fait qu il peut y avoir discordance en ce qui concerne la comparaison des pourcentages calculés par rapport au total des emplois de la colonne 1 et de la colonne 3. En effet, les emplois de la colonne 3 peuvent prendre en compte des données issues du bilan (Réserves, Fonds Dédiés, Investissement financés par la générosité du public ). Répartition des Charges : Règles d affectation des frais aux différentes rubriques du C.E.R La ventilation des emplois en trois rubriques principales «Missions sociales», «Frais de Recherche de Fonds» et «Frais de Fonctionnement» a été effectuée à partir des comptes de charges, en fonction de leur nature ou de leur destination. De par leur nature, ont été directement affectées les dépenses suivantes : - Les charges de conception et d affranchissement du Reçu Fiscal figurent pour la totalité en Frais de traitement des Dons, dans la rubrique «Frais de Recherche de Fonds» du C.E.R. - Les charges liées à nos publications ont été réparties comme suit : les bulletins des mois de mars, septembre et décembre figurent en Missions Sociales, le bulletin du mois de juin (qui intègre la synthèse du Rapport Annuel de l année précédente) est affecté en Frais d information et de communication qui figurent dans la rubrique «Frais de Fonctionnement». 57

58 5. Le rapport financier - Sont également directement affectées dans la rubrique «Frais de Fonctionnement» du CER, les dépenses suivantes : Frais d Assemblée Générale, de Conseil d Administration, Charges de Personnel non affectées, Honoraires, Frais Bancaires non ventilés dans les sections Traitement des Dons et Suivi de Programmes, Cotisations versées, Impôts divers, Frais Financiers, Charges Exceptionnelles et Dotations aux Amortissements et aux Provisions. Certaines charges regroupées par destination dans des sections analytiques, ont été affectées directement dans les rubriques du C.E.R, suivant les recommandations du Comité de la Charte. - La section analytique «Suivi des Programmes» est affectée à la rubrique «Missions Sociales» du C.E.R. - Les frais des sections «Traitement des dons» et «Suivi des Parrainages» figurent dans la rubrique «Frais de Recherche de Fonds» du C.E.R. - La «Communication» est affectée directement en Frais d information et de communication dans la rubrique «Frais de Fonctionnement» du C.E.R. - L Informatique est affectée pour 2/3 en Frais de Recherche de Fonds et 1/3 en Frais de Fonctionnement. - Les charges d Administration ont été respectivement réparties pour 10%, 20% et 70% dans les rubriques : Missions Sociales, Frais de Recherche de Fonds et Frais de Fonctionnement. - Les «Associations affiliées bénévoles» ont été affectées de par leur objet social, 1/3 en Missions Sociales, 1/3 en Frais de Recherche de Fonds et 1/3 en Frais de Fonctionnement. ORIGINE DES RESSOURCES, MODES DE COLLECTE ET AFFECTATION DES DONS Les Produits de la Générosité du Public (colonne 2) d un total de sont constitués des parrainages pour 90.04%, des dons pour 6.78% et du montant des legs pour 3.18%. Ils proviennent de différents modes de collecte. Produits de la Générosité du Public 2011 Source : Compte emploi des ressources 2011 D autres sections analytiques ont nécessité un retraitement et ont été affectées dans les rubriques du C.E.R selon des clés de répartition validées par notre Expert Comptable et notre Commissaire aux Comptes % 6.78% - La «Direction» et les «Services Généraux et Activités Annexes» sont affectés pour 1/3 en Missions Sociales, 1/3 en Frais de Recherche de Fonds et 1/3 en Frais de Fonctionnement. 3.18% Parrainages Dons Legs 58

59 5. Le rapport financier Les ressources de parrainage d un montant de correspondent à vos engagements de versements réguliers nous permettant de financer des projets visant à faire grandir dignement les enfants du monde. Elles sont affectées au programme dont l enfant parrainé est bénéficiaire. Les Dons pour un total de proviennent : - d appels spécifiques auprès de nos Parrains et Donateurs par l intermédiaire de nos publications trimestrielles et de l envoi de notre Reçu Fiscal (48,68%), - de dons spontanés (49,25%) qui intègrent également les apports ( ) de notre réseau d associations affiliées. - de campagnes de recherche de nouveaux parrains sur notre site Internet «Partage.org» qui dispose du paiement sécurisé (2,07%). Les Dons sont affectés aux programmes en fonction de la volonté des donateurs. Si ceux-ci ne la précisent pas, ils sont affectés par la Direction aux programmes dont les besoins sont les plus urgents, ou pour répondre à des événements qui peuvent survenir dans les pays où nous intervenons. Ces Produits de la Générosité du Public nous ont permis de maintenir nos engagements auprès des programmes dont sont bénéficiaires les enfants. % Ressources collectées auprès du Public par rapport aux Ressources Totales de l exercice : 82,83% (Ressources Collectées auprès du Public de la colonne 2 du C.E.R / VI TOTAL GENERAL de la colonne 2) Les Autres Fonds Privée (2 850 ) correspondent aux ressources de mécénat d entreprises, avec lesquelles nous avons des conventions de partenariat. Les Subventions ( ) proviennent d autres bailleurs (Union Européenne, Ministère des Affaires Etrangères) et sont affectées à nos programmes dans le cadre de Cofinancements obtenus pour nos partenaires. Les Autres produits correspondent aux cotisations, abonnements, ventes diverses et produits financiers, affectés au fonctionnement de l Association Le Report des Ressources Affectées et non encore utilisées correspond aux Fonds Dédiés (Soldes de nos Programmes de l exercice précédent) qui obéissent au mécanisme de consommation (Reprise sur l exercice) des ressources restant à utiliser en fonction de leur origine et de l exercice de collecte. En 2011, ils apparaissent en ressources pour un montant de

60 5. Le rapport financier Chaque année, lors de l élaboration des budgets, un pourcentage de provision sur les Produits de la Générosité du Public est décidé par le Conseil d Administration et réajusté si nécessaire au cours de l exercice. Cette contribution sert à financer le suivi des missions sur le terrain, le suivi des parrainages, le traitement des dons, le fonctionnement et les charges de collecte de fonds de l Association. En fin d exercice, si un excédent de gestion est dégagé, son affectation est soumise au vote de l Assemblée Générale. EMPLOI DES FONDS La grande majorité des ressources collectées est affectée au financement (transferts de fonds) et au suivi de nos programmes, par l intermédiaire de nos partenaires locaux, acteurs sur le terrain et véritables experts de l enfance démunie. Ces associations partenaires mettent en place localement, au bénéfice des enfants, les actions adaptées au contexte et à la culture du pays. Une petite partie (de l ordre de 1,3%) est affectée aux actions de sensibilisation en France et au développement du réseau international. Les Engagements à réaliser sur les Ressources Affectées correspondent à l emploi, en fin d exercice, des fonds affectés à nos programmes et non utilisés. Cet emploi permet d inscrire l engagement de l association dans le poste Fonds Dédiés qui figure au passif de notre bilan. Ils s élèvent à fin 2011 à UTILISATION DES CATÉGORIES DE FONDS Ressources collectées auprès du Public Affectation par type d emplois des seules ressources issues de la générosité du public (colonnes 3 et 4) : 77.77% 4.94% missions sociales 17.29% frais de recherche de fonds frais de fonctionnement Les Ressources collectées auprès du Public (y compris celles collectées au cours des exercices antérieurs), qui figurent dans la colonne 4, ont été utilisées, au cours de l exercice 2011, dans les rubriques suivantes de la colonne 3, selon les pourcentages suivants : (% de la rubrique / Total des 3 rubriques de la colonne 3 du C.E.R) - Missions Sociales à hauteur de , représentant 77,77 % des emplois. - Frais de Recherche de Fonds (Appel à la Générosité du Public, Traitement des Dons et Suivi des Parrainages) pour soit 17,29 %. 60

61 5. Le rapport financier - Frais de Fonctionnement et Autres Charges (Information et Communication, Charges Financières et Exceptionnelles) pour soit 4,94 %. % des Ressources issues de la Générosité du Public employées dans l année (Total VI de la colonne 4 / Ressources collectées auprès du Public de la colonne 4). Total des Emplois financés par les Ressources collectées auprès du Public : K Ressources collectées auprès du Public : K Soit : 100,73 % Solde des Ressources collectées auprès du Public non affectées et non utilisées en fin d exercice (Colonne 4 du CER) : Soit, une augmentation de ce solde par rapport au «Report des Ressources collectées auprès du Public non affectées et non utilisées en début d exercice» de l ordre de 9 K Fonds Dédiés Le report des ressources affectées et non encore utilisées correspond aux fonds dédiés (soldes de nos programmes de l exercice précédent) qui obéissent au mécanisme de consommation (reprise sur l exercice) des ressources restant à utiliser en fonction de leur origine et de l exercice de collecte. En 2011, ils apparaissent en ressources pour un montant de Les engagements à réaliser sur les ressources affectées correspondent à l emploi, en fin d exercice, des fonds affectés à nos programmes et non utilisés. Cet emploi permet d inscrire l engagement de l association dans le poste fonds dédiés qui fgure au passif de notre bilan. Ils s élèvent, à la fin 2011, à Le tableau de suivi des fonds dédiés prévu par le plan comptable figure dans cette annexe aux Comptes Annuels (Voir informations relatives au bilan, 2-3). Résultat 2010 Le résultat de l exercice 2010 d un montant de a été affecté en 2011 aux Missions Sociales, au bénéfice du Programme finançant les actions d urgence. Utilisation ou Mises en Réserves Utilisation des Réserves : - Le fonds de soutien des réserves a été utilisé à hauteur de pour financer une mission exploratoire en Bolivie pour 1 668, une mission exploratoire au Chili pour 1 344, une mission exploratoire au Mali pour 8 835, une mission exploratoire en Haïti pour , un expatrié en Haïti pour notre partenaire ACDED d un montant de 9 295, notre futur partenaire MESAD en Côte d Ivoire, dans le cadre de notre pré-partenariat pour et Lakanaso au Mali pour également dans le cadre d un pré-partenariat. 61

62 5. Le rapport financier - La réserve pour information et recherche de fonds a été utilisée à hauteur de pour financer des tests de recrutement de parrains et de collecte. Mise en Réserves : Au 31/12/2011, le montant du Fonds de Garantie est resté à En effet, ce fonds a été porté en 2009, par le Conseil d Administration de Partage, à 2 mois de ressources nettes de parrainage soit 816 K (Base 2009) : montant qui ne peut évoluer que si les ressources nettes de parrainage rendent la base de calcul inférieure ou supérieure de 20% par rapport à celle correspondant à 2 mois de parrainages. Informations-clés INFORMATIONS CLES Effectif salariés (ETP) 28,36 27,77 Effectif Bénévoles Montant moyen annuel brut global des 5 rémunérations totales les + élevées Rémunération Totale des Membres du C.A. 0 0 Convention : Christian Renoux, Vice-Président de Partage et Président de la Coordination pour l éducation à la nonviolence et à la paix. Autorisée et Poursuivie Autorisée et Poursuivie

63 5. Le rapport financier 5.3 Bilan 2011 en A C T I F ACTIF IMMOBILISE Immobilisations Incorporelles & Corporelles Brut AU Amort./ Provis. Net AU Immeuble rue Vivenel Install., agenc. construction Vivenel Installations, agencements divers Matériel de bureau Matériel informatique Logiciels informatiques Matériel audio-visuel Mobilier de bureau Immobilisation en cours Immobilisations Financières Net Sous-total FONDS ASSOCIATIFS Fonds Propres P A S S I F AU Montants AU Montants Réserve Statutaire Résultat de l'exercice Autres Fonds Associatifs Sous-total Fonds de Garantie Programmes Réserve pour information et Recherche de Fonds Fonds de Soutien PROVISIONS POUR RISQUES ET CHARGES Sous-total Total I Provision pour Risques & Charges Prêt Comparte Dépôts et cautionnements FONDS DEDIES Total II Sous-total Total I ACTIF CIRCULANT Stocks & en-cours Stocks Créances Fournisseurs débiteurs Avance personnel Autres débiteurs Sous-total Disponibilités Placements Banques C.C.P Caisses Régularisations Sous-total Produits à recevoir Charges constatées d'avance Transferts d'avance Sous-total Total II TOTAL GENERAL Fonds Dédiés sur Dons Manuels Total III DETTES Dettes Fournisseurs & Comptes rattachés Fournisseurs Créditeurs & Factures Non Parvenues Sous-total Dettes Fiscales & Sociales Personnel Organismes sociaux Etat Charges à payer Sous-total Créditeurs Divers Sous-total Régularisations Parrainages et Subventions Reçus d'avance Sous-total Total IV TOTAL GENERAL

64 5. Le rapport financier COMMENTAIRES SUR LE BILAN 2011 ACTIF Actif Immobilisé L Actif Immobilisé est composé : - des immobilisations corporelles et incorporelles, pour un total net de , - des immobilisations financières dans lesquelles figure le prêt de , consenti au titre de l essaimage, à notre partenaire espagnol Comparte. Actif Circulant L Actif Circulant d un montant de est constitué : - de créances diverses pour , - du montant des disponibilités de Partage, comprenant les soldes de nos comptes Banques et Caisse pour un total de , - de placements d un montant de , souscrits pour rémunérer les excédents de trésorerie de l association, les fonds associatifs ne nécessitant pas un degré immédiat de disponibilité et le résultat de l exercice non encore affecté. Ils sont constitués de : - d un compte à Terme LCL de , - d un compte CIC sur Livret A Sup Association de , - d un compte CIC Livret Association pour , - D un contrat de capitalisation pour un montant de au 31/12/2011. PASSIF Fonds Associatifs Les Fonds Associatifs de Partage sont composés : - des fonds propres de l association pour , comprenant une réserve statutaire de et le résultat de l exercice d un montant de en instance d affectation. - des autres fonds associatifs composés des réserves suivantes : - Le fonds de garantie des programmes, d un montant de correspondant à 2 mois de ressources nettes de parrainage. Ce fonds alimenté par des ressources antérieures collectées, un fonds de Dotation Legs et une réaffectation de réserves, a été créé pour permettre de couvrir, en cas d absences de ressources, au moins deux mois de fonctionnement de tous nos programmes. - La réserve pour information et recherche de fonds de constituée sur les ressources collectées, pour compenser les risques d échec de nos campagnes de collecte et pourvoir au remplacement des parrains défaillants. - Le fonds de soutien aux programmes de , provenant de résultats antérieurs, de soldes réaffectés et de Legs, est utilisé pour entreprendre des actions avant d avoir encaissé l intégralité des fonds nécessaires à leur réalisation ou répondre à des financements imprévus. Un programme peut emprunter au fonds de soutien en attendant l encaissement effectif de dons. Tout emprunt effectué dans ce cas doit être remboursé dans un délai de trois ans. Informations sur les Provisions pour Risques et Charges Ce poste comprend : - la couverture intégrale du risque lié au prêt accordé à notre partenaire espagnol Comparte, d un montant de , qui figure à l actif de notre Bilan. - Ainsi qu une provision ( ) constituée pour assurer l obligation d engagement de retraite du personnel salarié. 64

65 5. Le rapport financier Fonds Dédiés (Origine, Utilisation) Les Fonds Dédiés ont été prévus par le Règlement du CRC n relatif aux modalités d établissement des comptes annuels des Associations et Fondations. Inscrits au Passif du Bilan, ils enregistrent à la clôture de l exercice, la partie des ressources affectées par des tiers ou à l initiative de l organisation, à des projets définis préalablement (programmes) et qui n a pu être encore utilisée conformément à l engagement pris par l association. Au 31/12/2011, les fonds dédiés s élèvent au passif du bilan, à Le tableau de suivi des fonds dédiés prévu par le plan comptable est disponible dans l annexe aux Comptes Annuels. EVÈNEMENTS IMPORTANTS FIGURANT AU BILAN - Utilisation du fonds de soutien sur l exercice, à hauteur de 80 K pour financer des missions exploratoires (31 K ) permettant d ouvrir de nouveaux programmes, un expatrié en Haïti (9 K ) et des organisations associées au Mali (20 K ) et en Côte d Ivoire (20 K ) dans le cadre de prépartenariat. - Utilisation de la réserve pour information et recherche de fonds pour le financement de tests sur de nouvelles actions de collecte : 7 K. - Hausse des fonds dédiés de 173 K. - Augmentation des disponibilités de l association liée à la baisse du montant des transferts effectués d avance à nos programmes. INFORMATIONS SUR LES ÉLÉMENTS SIGNIFICATIFS NE FIGURANT PAS AU BILAN Engagements Hors Bilan : Caution Solidaire du 23 janvier 2004, de PARTAGE auprès de l Etude Richepanse, pour permettre à notre partenaire, l Association Coordination pour l éducation à la non-violence et à la paix d obtenir un bail de location pour ses locaux situés 148 Rue du Faubourg Saint-Denis et 25 Rue d Alsace à Paris (75010). Conventions approuvées au cours d exercices antérieurs dont l exécution s est poursuivie durant l exercice : Monsieur Christian Renoux, Vice- Président de Partage est également Président de la Coordination pour l Education à la non-violence et à la paix, organisme Partenaire de Partage. 65

66 Les partenaires de Partage

67 Les partenaires de Partage AMERIQUE LATINE BRESIL GACC p. 68 EQUATEUR GENA p. 68 INEPE p. 69 SAN JUAN p. 69 HONDURAS COMPARTIR p. 70 AFRIQUE BENIN RACINES p. 71 BURKINA FASO ASECD p. 71 DISPENSAIRE TROTTOIR p. 72 COMORES MAEECHA p. 72 EGYPTE AHEED p. 73 MADAGASCAR ASA p. 73 BEL AVENIR p. 74 ASIE CAMBODGE BANDOS KOMAR p. 75 INDE ASSEFA p. 75 VSSS p. 76 NEPAL BIKALPA p. 76 CWCN et VOC p. 77 THAILANDE CPCR p. 77 HSF p. 78 VIETNAM PARTAGE VIETNAM p. 78 CARAIBES HAITI ACDED p. 79 PRODEVA p. 79 EUROPE BOSNIE DUGA p. 80 FRANCE COORDINATION FRANCAISE p. 80 POUR L EDUCATION A LA NON-VIOLENCE ET A LA PAIX GENERATION MEDIATEURS p. 81 ROUMANIE RENAITRE ROMANIA p. 81 MOYEN-ORIENT LIBAN ANTA AKHI p. 82 LA FELOUQUE p. 82 MOUVEMENT SOCIAL LIBANAIS p. 83 SESOBEL p. 83 PALESTINE IBDAA p

68 Les partenaires de Partage en Amérique latine Partenaire : GACC Partenaire : GENA Pays : BRESIL Le GACC travaille à la prévention de la délinquance dans les favelas de Fortaleza, ville située au nord-est du Brésil. L association soutient les jeunes et leurs familles en proposant des activités de soutien scolaire et extra-scolaires (sport, théâtre, musique ) aux enfants, l accompagnement psychosocial des familles les plus fragiles et des activités de prévention des retards de développement chez les enfants en bas âge (0 à 6 ans). Localisation : Etat du Ceará (nord-est) Partenaire depuis 1995 Pays : EQUATEUR La fondation Gena a pour objectif de contribuer au développement éducatif, culturel et social des enfants en situation de vulnérabilité et de faibles ressources économiques. Située dans un quartier défavorisé au nord de Quito, Gena accueille ainsi des enfants au sein de son école maternelle et de son école primaire. Elle met également en place des programmes d accompagnement tels que le soutien scolaire ou encore le soutien psychosocial. Localisation : Quito, Comite del Pueblo Partenaire depuis 1993 Nombre de bénéficiaires : Nombre de bénéficiaires :

69 Les partenaires de Partage en Amérique latine Partenaire : INEPE Partenaire : SAN JUAN Pays : EQUATEUR L INEPE a pour mission de construire et de développer des processus de développement local en se basant sur des programmes d éducation populaire, d organisation communautaire, de communication et de recherche participative. Que ce soit au niveau de son unité éducative ou de son centre de formation et de recherche, l INEPE favorise le développement de processus éducatifs en accord avec les particularités des enfants et à partir de la valorisation de leur culture. Localisation : Quito, La Dolorosa de Chilibulo, La Magdalena Alta Partenaire depuis 1999 Nombre de bénéficiaires : Pays : EQUATEUR Le Centre d Education Motrice San Juan accueille des enfants présentant une Insuffisance Motrice Cérébrale (IMC). Le centre soutient et accompagne ces enfants afin de développer leur autonomie et de favoriser leur intégration dans la société à travers la rééducation thérapeutique, la prévention et le traitement orthopédique, l accompagnement émotionnel, la scolarisation au niveau maternel, l intégration des enfants dans les écoles primaires, le soutien et le suivi des familles. San Juan mène également un projet de dépistage précoce des troubles du neuro-développement chez les nourrissons en collaboration avec la plus grande maternité de Quito. Localisation : Quito Partenaire depuis 1995 Nombre de bénéficiaires :

70 Les partenaires de Partage en Amérique latine Partenaire : COMPARTIR Pays : HONDURAS Compartir travaille dans les quartiers défavorisés de la capitale du Honduras, Tegucigalpa. Elle apporte un soutien aux enfants en difficulté et à leurs familles. Elle propose différentes activités aux enfants et jeunes : soutien scolaire, activités artistiques et sportives, bibliothèques L accompagnement social des familles est également un élément essentiel du travail de Compartir. Des séances d information et de sensibilisation sont organisées pour les parents sur différents thèmes (hygiène, alimentation ) ainsi que des visites à domicile réalisées par les équipes de Compartir. C est donc un travail au niveau de la communauté dans son ensemble qu offre Compartir dans ces quartiers pauvres où la violence est omniprésente et les activités proposées par l association sont un bon moyen d éviter aux jeunes de se retrouver entraînés dans des gangs. Localisation : Tegucigalapa Partenaire depuis 1992 Nombre de bénéficiaires :

71 Les partenaires de Partage en Afrique Partenaire : RACINES Partenaire : ASECD Pays : BENIN Racines (Recherches, Actions Communautaires, Initiatives pour un Nouvel Espoir) intervient dans les domaines de la santé et de l éducation. Dans les maternelles communautaires créées par l association, Racines promeut une éducation de qualité en assurant le suivi pédagogique et administratif de l école. Dans les écoles primaires publiques, enfants et enseignants sont sensibilisés et formés à l hygiène et à la santé. Un suivi social des enfants en difficulté est également assuré. En partenariat avec l Etat, l action de Racines porte également sur le renforcement pédagogique des enseignants. Intervenant reconnu au Bénin dans la lutte contre le VIH de par son approche globale prenant en compte la prévention, le dépistage et le soin, Racines dispose éga-lement de deux centres d accueil pour les malades. Localisation : Département du Littoral : Cotonou Département des Collines : communes de Savalou et de Bantè Pays : BURKINA FASO L ASECD (Association de Soutien aux Enfants en Circonstances Difficiles) prend en charge les enfants des quartiers périphériques de la capitale (sans logement légalement autorisé, sans réseau de distribution d eau et d électricité) en leur assurant un suivi scolaire, sanitaire et familial. Les enfants bénéficiaires vont à l école maternelle de l ASECD puis par la suite dans des écoles des environs. L association les suit et les appuie sur le plan scolaire. Avec leurs familles, ils peuvent également accéder à des soins et à un accompagnement sociofamilial. Par ailleurs, l association dispose également d un centre d accueil ouvert la journées aux enfants des rues. Localisation : Ouagadougou Partenaire depuis 2003 Nombre de bénéficiaires : Partenaire depuis 1999 Cependant Partage a soutenu dès 1996 les programmes d Initiative Développement repris ensuite par Racines Nombre de bénéficiaires :

72 Les partenaires de Partage en Afrique Partenaire : DISPENSAIRE TROTTOIR Partenaire : MAEECHA Pays : BURKINA FASO Le Dispensaire Trottoir est une association créée en 1993 par une infirmière qui soignait les enfants de la rue sur le trottoir. Même si le nom originel est resté, son action a évolué avec les années. Son objectif est aujourd hui d améliorer les conditions de vie des enfants les plus pauvres en répondant à leurs besoins de base (nutrition, soins, éducation, protection) et à leurs besoins de structuration (scolarisation, réinsertion sociale et professionnelle, écoute, valorisation). L association dispose d un centre pour mener ses activités (maternelle, alphabétisation, atelier professionnel, dispensaire ) et travaille également avec les écoles primaires et les collèges du secteur pour la scolarisation des enfants. Localisation : Bobo Dioulasso Partenaire depuis 2001 Nombre de bénéficiaires : Pays : UNION DES COMORES MAEECHA (Mouvement Associatif pour l Education et l Egalité des Chances) travaille à promouvoir une éducation de qualité. Elle a ouvert des écoles maternelles communautaires qu elle appuie étroitement sur le plan pédagogique et intervient également sur ce plan dans les écoles primaires avec l introduction des méthodes pédagogiques actives. En matière de santé, des actions de formation en santé scolaire sont aussi développées en étroite collaboration avec les instances locales en charge du suivi des écoles. Enfin, Maeecha travaille particulièrement avec l ensemble des acteurs de l éducation (parents, enseignants, autorités locales ) pour améliorer la gestion de l éducation dans le pays. Localisation : Ile d Anjouan région du Nyumakélé Partenaire depuis 2008 Mais Partage a commencé à soutenir les actions d Initiative Développement aux Comores en Par la suite, Maeecha a repris les programmes d ID. Création de Maeecha en 2005 Nombre de bénéficiaires :

73 Les partenaires de Partage en Afrique Partenaire : AHEED Partenaire : ASA Pays : EGYPTE L AHEED (Association de la Haute Egypte pour l Education et le Developpement) contribue au développement des populations défavorisées des zones rurales de Haute Egypte. L AHEED travaille dans le domaine du développement communautaire (santé, promotion féminine, formation professionnelle) et dans le secteur de l éducation. A ce jour, 35 écoles maternelles et primaires sont gérées par l association, offrant une prise en charge complète à des milliers d enfants, chrétiens et musulmans sans distinction. Localisation : Haute Egypte Région de El Minya et d Assiout Partenaire depuis 2004 Nombre de bénéficiaires : Pays : MADAGASCAR L ASA (Association des Sans-Abris) vise à réinsérer les populations sans-abris ou en grande précarité de la capitale en les formant à l agriculture et en les intégrant en zone rurale, où elle les appuie sur le plan social, économique, administratif, sanitaire. L association y a construit des écoles où elle accueille les enfants de l écoles primaire au lycée. Elle gère aussi deux hôpitaux de brousse. Localisation : Capitale : Antananarivo Zone d installation : Bongolava dans le Moyen Ouest Partenaire depuis 2001 Nombre de bénéficiaires :

74 Les partenaires de Partage en Afrique Partenaire : BEL AVENIR Pays : MADAGASCAR Bel Avenir mène un large programme d éducation de base dans le sud-ouest de Madagascar, à Tuléar et dans les villages environnants. Son programme comporte des actions scolaires (gestion de deux écoles primaires), des actions sociales (six centres sociaux, appui aux jeunes filles en difficulté, lutte contre la prostitution), des actions socioculturelles pour les enfants (cinéma, gospel, batucada, activités sportives diverses, classes vertes), des activités sanitaires et de protection de l environnement. Partage appuie l association pour le fonctionnement d une école primaire. Localisation : Tuélar, au Sud-ouest de Madagascar Partenaire depuis 2010 Nombre de bénéficiaires :

75 Les partenaires de Partage en Asie Partenaire : BANDOS KOMAR Partenaire : ASSEFA Pays : CAMBODGE Bandos Komar («épanouissement de l enfant») intervient auprès des enfants et des membres de leur communauté, issus de populations très défavorisées de zones rurales du Cambodge, sur le plan de l éducation des enfants en primaire et préscolaire, de la santé et du développement communautaire. Son aide se matérialise sous plusieurs formes : mise à disposition de matériel pédagogique et de bibliothèques, réhabilitation des écoles, diffusion de méthodes pédagogiques innovantes, distribution de collations et d uniformes, mise en place de séances d éducation à la santé, renforcement des comités d écoles. Dans la communauté, les parents sont sollicités pour constituer des groupes d entraide, pour réfléchir à leurs difficultés communes et ainsi trouver des solutions pour améliorer leurs conditions de vie. Pays : INDE L ASSEFA (Association for Sarva Seva Farms) apporte une éducation solide aux enfants des régions rurales, en favorisant un environnement familial, économique et social sain et heureux. Pour cela, elle améliore la situation socioéconomique et le statut des communautés rurales défavorisées en Inde en favorisant leurs capacités d autogestion, en encourageant l appropriation des programmes par les bénéficiaires et en permettant à ces communautés de devenir autosuffisantes et de financer ainsi leur propre développement. Localisation : Etat du Tamil Nadu : Uthiramerur, Cuodalore Partenaire depuis 1985 Nombre de bénéficiaires : Localisation : Provinces de Kandal, de Kampong Speu, de Pursat et de Siemp Reap Partenaire depuis 1999 (mais Partage était auparavant opérateur direct de ce programme depuis 1991) Nombre de bénéficiaires :

76 Les partenaires de Partage en Asie Partenaire : VSSS Pays : INDE VSSS identifie 6 domaines d activités : Programme d Education. Programmes de développement communautaire. Programmes de soutien familial. Santé. Construction de maisons et assainissement. Programmes de gestion des ressources naturelles. Le soutien de Partage se situe essentiellement sur les programmes d éducation, de développement communautaire, de soutien familial et de santé. Localisation : Etat du Kerala : 81 villages répartis sur 8 zones Partenaire : BIKALPA GYAN TATHA BIKAS KENDRA Pays : NEPAL Bikalpa Gyan Tatha Bikas Kendra favorise la scolarisation des enfants et des jeunes filles les plus démunis, notamment grâce à une école mobile. Elle permet, par le biais de l éducation non formelle, l insertion des enfants dans des écoles formelles. Bikalpa a également pour mission de promouvoir la paix et la nonviolence au Népal et en Asie par l intermédiaire des jeunes filles. Ainsi, une émission télévisée de sensibilisation à la paix est mise en place par et pour les enfants du Népal. Localisation : Katmandou Partenaire depuis 1999 Partenaire depuis 1979 Nombre de bénéficiaires : Nombre de bénéficiaires :

77 Les partenaires de Partage en Asie Partenaires : CWCN et VOC Partenaire : CPCR Pays : NEPAL CWCN (Child Watabaran Center Nepal) accompagne les enfants en situation de rue de Katmandou tout au long du cycle de la rue, c est-à-dire depuis l arrivée de l enfant dans la rue jusqu à sa réintégration et sa réhabilitation sociale et/ou familiale. CWCN intervient dans le domaine de la santé à travers la mise en place d une clinique mobile et d un centre médical d urgence. Il offre aux enfants en situation de rue, garçons et filles, un hébergement en foyer ainsi que la possibilité de reprendre des études et de suivre une formation professionnelle. VOC (Voice of Children) contribue à l amélioration des conditions de vie des garçons en situation de rue et travaille à leur accompagnement afin de les réinsérer dans leur famille et de manière plus large dans la société. L association mène également des actions de sensibilisation et de prévention des abus sexuels chez les enfants. Localisation : Katmandou et vallée de Katmandou Pays : THAILANDE Le CPCR (Center for the Protection of Children s Rights) lutte depuis 1981 contre les abus et la maltraitance dont sont victimes les enfants : par un travail de prise en charge adaptée des enfants victimes d abus, de violence ou de négligence ; par un travail de prévention dans les écoles, dans les familles, les communautés et les hôpitaux ; par un travail de lobbying visant à faire adapter la législation et les pratiques en matière de protection de l enfance et à impliquer tous les professionnels concernés par la détection et la prise en charge des cas d enfants victimes. Localisation : A travers tout le pays Partenaire depuis 1998 Nombre de bénéficiaires : Partenaires depuis 2005 Nombre de bénéficiaires :

78 Les partenaires de Partage en Asie Partenaire : HOLT SAHATHAÏ FOUNDATION Pays : THAILANDE Soucieuse depuis plus de 30 ans de préserver l unité de la famille et de lutter contre l abandon d enfants, la Fondation Holt Sahathaï (HSF) met en place des activités de soutien psychosocial afin d aider les enfants et les familles à surmonter les difficultés. HSF apporte donc un soutien matériel et/ou financier à chaque enfant et famille par le biais d un travail social rigoureux incluant conseils réguliers, accompagnement, visites à domicile ainsi qu à l école. Il s agit de fournir aux familles des enfants : suivi, supervision et accompagnement qui, associés au travail en groupe de soutien, permettront à terme aux bénéficiaires de devenir autonomes, d être capables de prendre soin de leurs enfants, de protéger leur famille et en un mot, d avoir une meilleure qualité de vie. Localisation : Province de Nakhon Si Thammarat Partenaire depuis 2001 (mais jusqu à 2004 via les Enfants d Ailleurs) Partenaire : PARTAGE VIETNAM Pays : VIETNAM Partage intervient au Vietnam dans l appui à la scolarisation par la distribution de bourses à des enfants démunis, du primaire au lycée. Ces bourses permettent aux élèves de poursuivre leur scolarité en payant les frais de scolarité et en achetant les fournitures nécessaires. Le programme a également mis en place des activités ludiques et éducatives à destination des enfants. Ainsi, ils développent l estime d eux et leur capacité à vivre ensemble en harmonie. Localisation : Districts de Ho Chi Minh Ville et provinces de Thua Thien Hue et Lam Dong Intervention depuis 1992 Nombre de bénéficiaires : Nombre de bénéficiaires :

79 Les partenaires de Partage aux Caraïbes Partenaire : ACDED Partenaire : PRODEVA Pays : HAÏTI L ACDED (Action pour un Développement Durable) s est donné pour mission de contribuer au développement durable des populations rurales du département du sud-est d Haïti. Pour cela, elle apporte un soutien financier (achat de livres, fournitures scolaires ) et technique (formation des enseignants, constitution de clubs d enfants ) aux écoles primaires, essentiellement communautaires, des communes de Marigot et Cayes-Jacmel. Par le biais de son programme de santé scolaire, l ACDED réalise des actions de prévention et d éducation à la santé dans les écoles et offre un suivi médical aux enfants. L ACDED met également l accent sur le développement de l éducation à la citoyenneté et la sensibilisation aux questions environnementales dans les communautés où elle travaille. Localisation : Département du sud-est Partenaire depuis 2004 (mais programme soutenu depuis 1988 par le biais de l appui à Inter Aide) Pays : HAÏTI Prodeva (Association pour la PROmotion d un DEVeloppement Autonome) a pour objectif de permettre aux enfants de la commune d Ennery d accéder à une éducation de qualité. Pour cela, elle accueille, dans ses 7 écoles, les enfants à partir de 3 ans. Prodeva possède un collège où, ceux qui le souhaitent peuvent continuer leur scolarité. Un programme de santé scolaire permet d offrir aux enfants des écoles de Prodeva un suivi médical et une éducation à l hygiène. Enfin, une école professionnelle offre à de nombreux jeunes la possibilité de se former à la mécanique ou à la construction métallique dans cette zone très touchée par le chômage où les personnes qualifiées sont encore trop peu nombreuses. Localisation : Ennery, département de l Artibonite Partenaire depuis 1997 (mais programme soutenu depuis 1991 par le biais de l appui à Initiative Développement) Nombre de bénéficiaires : Nombre de bénéficiaires :

80 Les partenaires de Partage en Europe Partenaire : DUGA Pays : BOSNIE-HERZEGOVINE L objectif général de Duga est d œuvrer en faveur d un accès égal à une éducation de qualité et plus particulièrement de développer et de faciliter l intégration des enfants avec des besoins spéciaux dans le système éducatif traditionnel. Pour cela, Duga développe trois grands types d actions : le support psychosocial aux enfants avec des besoins spéciaux grâce à des séances thérapeutiques réalisées par les professionnels de Duga (pédagogue spécialisé, orthophoniste); des actions de formation des enseignants pour les aider à réaliser l intégration des enfants à besoins spéciaux dans leur classe; un plaidoyer auprès des autorités bosniennes qui a permis l adoption d une réforme favorisant l intégration des enfants à besoins spéciaux à l école. Localisation : Principalement canton de Sarajevo, interventions ponctuelles dans d autres régions. Partenaire depuis 2005 Partenaire : COORDINATION POUR L EDUCATION A LA NON- VIOLENCE ET A LA PAIX (anciennement Coordination française pour la décennie de la paix) Pays : FRANCE La résolution des Nations-unies du 19 novembre 1998 a lancé officiellement la Décennie internationale pour la Promotion d une culture de la non-violence et de la paix au profit des enfants du monde, à la suite d un appel de Partage aux Prix Nobel de la Paix. La Coordination Française a été créée pour mettre en place des actions au cours de la Décennie. Elle regroupe une cinquantaine d associations dédiées à la non-violence. Elle mène entre autres une campagne pour introduire officiellement la formation à la nonviolence et à la paix à tous les niveaux du système éducatif français, dès l école maternelle. Parallèlement, elle organise tous les deux ans à Paris le Salon international des Initiatives de Paix pour sensibiliser le grand public à ces thèmes à travers des stands, des expositions, des conférences-débats. Nombre de bénéficiaires : 800 Localisation : France Partenaire depuis

81 Les partenaires de Partage en Europe Partenaire : GENERATION MEDIATEURS Pays : FRANCE Génération Médiateurs mène un travail de prévention de la violence en formant des jeunes et des enseignants à la médiation par les pairs et à la résolution non violente des conflits. L association intervient en milieu scolaire, mais aussi, de plus en plus au sein de structures parascolaires qui accueillent des jeunes : centres de loisirs, maisons des jeunes La démarche de Génération Médiateurs est une approche originale de l éducation civique à travers l apprentissage de la parole, de la rencontre et de la gestion des conflits. Grâce à ces formations, les établissements remarquent une amélioration sensible des rapports entre jeunes. Localisation : France. Intervention ponctuelle à l étranger Partenaire depuis 2001 Partenaire : RENAÎTRE ROMANIA Pays : ROUMANIE Depuis plus de 10 ans, l association Renaître Romania travaille dans les villes d Orăştie, Pricaz et Geoagiu, à améliorer les conditions de vie des enfants et des familles défavorisées, plus particulièrement de Roms qui représentent la part de la population la plus vulnérable. Pour cela, l association a mis en place plusieurs projets sur le plan éducatif, social, médical mais aussi psychologique et juridique. Localisation : Orăştie, Pricaz, Geoagiu Partenaire depuis 2005 Nombre de bénéficiaires : 900 Nombre de bénéficiaires :

82 Les partenaires de Partage au Moyen-Orient Partenaire : ANTA AKHI Partenaire : LA FELOUQUE Pays : LIBAN Anta Akhi accompagne dans leur quotidien des enfants, adolescents et jeunes adultes atteints de handicaps très lourds. L association offre à ces personnes un milieu de vie de type familial, destiné à prendre le relais de la famille après le décès ou le vieillissement des parents et assurer un accompagnement au niveau de la vie quotidienne, ainsi qu au niveau pédagogique, familial et médico-social. Localisation : Nord de Beyrouth - Ballouné Partenaire depuis 1994 Nombre de bénéficiaires : 300 Pays : LIBAN La Felouque accueille des enfants et des adolescents ayant une déficience intellectuelle, avec ou sans troubles de la personnalité et du comportement associés. Cette prise en charge psychopédagogique a pour but de permettre une meilleure intégration, socialisation et autonomie au sein de la société. La Felouque intervient auprès de ces jeunes au niveau thérapeutique, éducatif et préprofessionnel. Localisation : Beyrouth - Fanar Partenaire depuis 2008 (mais programme soutenu depuis 1994 par le biais de l association Al Zawrak) Nombre de bénéficiaires :

83 Les partenaires de Partage au Moyen-Orient Partenaire : MSL Partenaire : SESOBEL Pays : LIBAN Le MSL (Mouvement Social Libanais) est une association laïque, engagée depuis 1961 dans le développement de la citoyenneté sur l ensemble du territoire libanais. Ses objectifs sont de bâtir une société plus juste et plus humaine, de faciliter l accès des plus pauvres à l autonomie et à la citoyenneté et d impliquer les jeunes du Liban dans le développement et l amélioration de leur société. Pour cela, l association a mis en place plusieurs centres de développement dans la périphérie de Beyrouth apportant des services concrets à plusieurs milliers d enfants : école maternelle, soutien scolaire, centres de formation professionnelle, sensibilisation à la citoyenneté, ateliers de théâtre et espaces de débats et d expression. Localisation : Beyrouth (quartiers de Jnah et Sin El Fiel) Partenaire depuis 1993 Pays : LIBAN Le Sesobel (Service Social pour le Bien-Être de l Enfant au Liban) a été fondé en 1976 dans le but de permettre une meilleure prise en charge des enfants atteints de handicaps, d apporter un soutien à leur famille mais aussi de faire évoluer les mentalités sur le handicap. Le Sesobel s appuie sur une stratégie d approche globale des besoins de l enfant handicapé, construite autour d un «projet de vie». L association travaille principalement autour de quatre axes d actions : les Services médicaux et de réhabilitation les Programmes Pédagogiques le Centre d Aide par le travail et le Service familial. Localisation : Nord de Beyrouth - Aintoura Partenaire depuis 1979 Nombre de bénéficiaires : Nombre de bénéficiaires :

84 Les partenaires de Partage au Moyen-Orient Partenaire : IBDAA Pays : PALESTINE IBDAA est un centre culturel créé par et pour les habitants du camp de réfugiés de Dheisheh, près de Bethléem. Son objectif est de permettre aux enfants d accéder à la culture pour développer leurs compétences, leur créativité et leur confiance en eux. IBDAA possède une crèche et une école maternelle. Une bibliothèque et un centre informatique sont à disposition des jeunes du camp qui peuvent aussi participer à des activités sportives ou culturelles (troupe de théâtre, de danse ). Ibdaa travaille également avec les femmes du camp à travers le Comité des femmes qui leur propose plusieurs services et a mis en place un atelier de broderie traditionnelle qui leur permet en plus d avoir une source de revenus. Localisation : Camp de Dheisheh, Cisjordanie Partenaire depuis 2004 Nombre de bénéficiaires :

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