CALCIFICATION DE L EPAULE
|
|
- Martin Bonnet
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CALCIFICATION DE L EPAULE Il s agit de dépôts calciques sur ou dans les tendons de la «coiffe des rotateurs», d où l appellation synonyme de «tendinopathie calcifiante de la coiffe». La «coiffe des rotateurs» est constituée d un ensemble de muscles et de tendons recouvrant la tête de l humérus et permettant divers mouvements de l épaule y compris les rotations C est une cause fréquente de douleur de l'épaule avant 40 ans. Cette pathologie concerne essentiellement, les femmes entre 25 et 45 ans, et touche souvent les deux épaules. Elle occasionne parfois des douleurs très intenses. Elle n'a aucun rapport avec l'usure du tendon, l'alimentation, le travail ou un éventuel traumatisme. ANATOMIE ET PHYSIOPATHOLOGIE Ces tendons, qu'il s'agisse du sus-épineux, du sous-épineux, ou encore du sous-scapulaire, sont porteurs, à proximité de leur attache sur l'humérus, d'une formation calcique située à l'intérieur même du tendon. On ne connait pas la cause précise de ces dépôts de calcium. Le terme de tendinopathie calcifiante mérite discussion, d une part parce qu un très grand nombre (une majorité, en fait) de dépôts sont asymptomatiques, d autre part parce que le tendon n est pas le siège exclusif des dépôts. L évolution spontanée est la disparition occasionnant des douleurs lors de leur passage dans l articulation.
2 L évolution peut se faire selon le cycle d Uhthoff : En phase de formation, les dépôts d hydroxyapatite s installent dans le tendon et s entourent progressivement d une fine métaplasie cartilagineuse. En phase chronique le calcium, organisé dans le tendon, est d expression clinique variable. Après quelques années survient la phase de résorption, au cours de laquelle le dépôt se résorbe lors d un épisode dramatiquement douloureux, ou parfois beaucoup plus fruste. LA CLINIQUE Le tableau clinique typique : est celui d une tendinopathie du sus épineux avec douleurs insomniantes et difficultés à se servir du bras voire totalement en passif ou en actif. Les autres tableaux cliniques : - Le patient asymptomatique, ou dont la calcification n est pas responsable des douleurs, ne doit surtout pas bénéficier d un traitement local de la calcification. Le patient peut oublier sa calcification (tant qu elle ne se rappelle pas à lui). - La résorption aigüe d une calcification (exemple : épaule aigüe hyperalgique) relève du traitement médical par immobilisation courte et AINS, avec une efficacité redoutable. - Le patient symptomatique chronique léger, disant «faire avec» malgré des douleurs itératives et d intensité variable, peut-être simplement surveillé.
3 LA RADIO Elle suffit au diagnostic. Selon l aspect radiologique de la calcification on peut déterminer dans quelle phase évolutive se situe le patient. On différencie 4 types de calcifications selon l aspect sur la radiographie standard. La classification la plus connue est celle de la Société Française d Arthroscopie : Type A : calcification homogène unique à contours nets Type B : calcification homogène multilobée à contours nets la plus fréquente Type C : calcification hétérogène sans contours nets qui peut-être une évolution vers la disparition. Type D : enthésopathie calcifiante à l insertion du tendon sur le trochiter, c est-à-dire ossification du tendon à son point d attache sur l os. L'aspect radiologique est donc évolutif, et une radiographie sera nécessaire à chaque consultation pour évaluer l'état exact de cette calcification. L'échographie peut éventuellement confirmer l'existence de petites calcifications et préciser leur localisation. L'arthroscanner et l'irm sont dans ce cas totalement inutiles.
4 TRAITEMENT Au moment d envisager un traitement, il faut garder à l esprit qu il s agit d une pathologie bénigne, dont l évolution est naturellement favorable. 1 er temps : Dans tous les cas, on a recours au traitement des symptômes Antalgiques, anti-inflammatoires. Si les douleurs persistent plus de 10 à 15 jours : infiltrations de corticoïdes, et physiothérapie par ultra-sons. L infiltration doit être faite sous radio ou échographie pour être certain d injecter les corticoides dans la calcification. L anesthésie locale n est pas très utile car la douleur est surtout ressentie lors du contact de l aiguille avec la calcification, ce qui est d ailleurs un bon signe pour préjuger du bon résultat de l injection. L évolution normale : est assez simple après 1à 3 jours de douleurs parfois importantes l épaule s améliore très rapidement avec disparition quasi-totale des douleurs notamment la nuit et on retrouve une grande mobilité sans douleurs. Dans un 2 ème temps : Si ces traitements ne sont pas suffisants, on peut avoir recours à des traitements visant la disparition de la calcification. - La ponction lavage trituration sous radiologie : le geste est réalisé sous guidage radiographique et sous anesthésie locale. Il consiste à ponctionner la calcification à l aide d une aiguille placée en regard de la calcification grace au repérage radiologique et à laver avec du sérum physiologique. La calcification est fragmentée, ramollie et aspirée. On termine le geste par une infiltration de corticoïdes - Les ondes de choc extra-corporelles ou lithotritie : il s agit d impacts par des ultra-sons de forte puissance, traitement antiinflammatoire puissant, surtout pour les petites calcifications.
5 - Exérèse chirurgicale sous arthroscopie : Elle est indiquée à chaque fois que la calcification est très gênante sur le plan fonctionnel, entraînant des douleurs nocturnes, et lorsque cette calcification présente un aspect radiologique volumineux, régulier, et condensé (très blanc). Apparaît comme le traitement à envisager après échec des méthodes précédentes. Ce traitement permet de retirer la calcification et parfois, selon les cas, d augmenter l espace sous acromial pour améliorer le passage des tendons lors de l élévation du bras en réalisant une acromioplastie Le geste arthroscopique (endoscopie) est réalisé à l'aide de deux petites incisions d'environ un centimètre de long, sous anesthésie générale le plus souvent. Une incision en arrière de l'épaule est pratiquée pour introduire l'endoscope, alors qu'une autre voie d'abord permet de réaliser l'intervention. LES SUITES OPERATOIRES et LA REEDUCATION A la suite de l'intervention, le bras est libre et ne porte ni écharpe, ni attelle. Les douleurs disparaissent progressivement dans les 3 à 6 mois qui suivent l'intervention. Sur les radiographies, on retrouve souvent dans les semaines qui suivent l'intervention des traces de calcification qui disparaissent avec le temps. Une fois la calcification complètement disparue, la guérison est complète et définitive puisque le tendon ne présente aucun caractère d'usure dans cette pathologie. La rééducation est extrêmement simple, et sera menée le plus souvent par le patient lui-même. L'exercice principal
6 consiste, en position allongée, à mobiliser le bras opéré, en s'aidant de l'autre bras comme moteur (mouvement passif), et en utilisant un bâton. La mobilisation du bras ne doit jamais être douloureuse L'objectif est tout simplement de récupérer sa mobilité sans jamais forcer LES COMPLICATIONS Si le plus souvent les suites de cette intervention sont simples, il faut toutefois insister sur le caractère progressif du soulagement de la douleur. Une raideur transitoire post-opératoire ou capsulite rétractile est possible, allongeant les suites de l'intervention, mais elle n'a pas d'incidence sur le résultat final. Cette raideur passagère est due à une libération massive de calcium dans l'articulation entraînant un processus inflammatoire intense. Cette capsulite peut souvent être évitée en pratiquant une infiltration de corticoïdes, immédiatement au décours de l'intervention. L'infection est une complication exceptionnelle sous arthroscopie.
Accidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailLes luxations et instabilités de l'épaule Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Les luxations et instabilités de l'épaule Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 anatomie descriptive et fonctionnelle de la scapulo-humérale
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailLes soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques
Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailAu programme. Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond
Au programme Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond Club La Foulée 5 août 2004 Dre Mireille Belzile La lombo-sciatalgie Inflammation du périoste au site d insertion des muscles du mollet Erreur
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailBIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie
Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailLA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE
LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.
Plus en détailConseils pour le traitement des douleurs persistantes
Page -1- Conseils pour le traitement des douleurs persistantes Ce qu'il faut savoir avant tout, c'est que les douleurs persistantes sont des "douleurs particulières", qui doivent donc être traitées en
Plus en détail097AS2014/02/18. Thérapie à Ultra-son. BTL-4000 Smart/Premium ENCYCLOPÉDIE THÉRAPEUTIQUE DU BTL 100AS2014/02/18FR
097AS2014/02/18 Thérapie à Ultra-son BTL-4000 Smart/Premium ENCYCLOPÉDIE THÉRAPEUTIQUE DU BTL 100AS2014/02/18FR 1 adnexite - changements post-inflammatoires... 4 2 arthrite... 5 3 arthrite - subaqual...
Plus en détailModifications par rapport à la Version 1.56 / Release 22.07.2013:
Modifications par rapport à la Version 1.56 / Release 22.07.2013: Nouvelles décisions: Numéro 14001 : Supplément à la valeur intrinsèque de la position tarifaire 00.1325 1/37 Numéro 03033 Facturation des
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailCritères de suivi en rééducation et. d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Critères de suivi en rééducation et Octobre 2007 Version pré-commission d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation Après chirurgie des ruptures
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailAccidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre
Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique
Plus en détailModules optionnels. Passer à l acte en implantologie
Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD
PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD Douleurs du post-partum : Douleurs cicatricielles (déchirures ou épisio) Dyspareunies orificielles
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailGROUPE CLINIQUE DU MAIL
DOSSIER DE PRESSE GROUPE CLINIQUE DU MAIL Le centre d imagerie médicale conforte son implantation sur le site du Mail avenue Marie-Reynoard à Grenoble & présente son nouveau scanner spiralé, issu de la
Plus en détailApprendre un métier et
Technicien en Installation des Equipements Electriques et Electroniques Ref : 0701309 Mon métier : je réalise des installations électriques, je mets en service et assure la maintenance de ces installations.
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailINDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT
INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT I. PROMOTEUR Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. II. SOURCE Recommandations de pratique clinique de 1997 sur les «Indications de l adénoïdectomie
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailL opération de la cataracte. Des réponses à vos questions
L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition
Plus en détailRèglement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités
Règlement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités SECTION I DISPOSITION GÉNÉRALE 1. En vue de l'exercice des activités visées
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailL entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?
L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.
Plus en détailPROTHÈSE TOTALE DE GENOU
Dr Alain CAZENAVE chirurgien orthopédiste traumatologie sportive 52 rue du Dr calot 62600 BERCK/mer FRANCE tel: 03 21 89 20 44 site web : www.orthopale.org PROTHÈSE TOTALE DE GENOU QUELQUES GÉNÉRALITÉS
Plus en détailLE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES
LE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES Le Diagnostic : Il repose sur l écoute du patient, l examen clinique, le sondage, la radiographie. L inflammation gingivale peut être
Plus en détailBUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale
Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailINFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU
INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU Votre état nécessite la réalisation d'une ostéotomie au niveau du genou. Cette fiche est destinée à vous en expliquer les grands principes, le but et les bénéfices
Plus en détailLes coûts des prises en charge à l hôpital en médecine, chirurgie et obstétrique
Les coûts des prises en charge à l hôpital en médecine, chirurgie et obstétrique 2012 Sommaire Introduction 3 Notes de lecture 4 1. L ENC : objectifs et modalités de l étude 6 1.1. Qu est-ce que l Etude
Plus en détailTroubles musculo squelettiques. Institut de Formation en Ergothérapie de Nancy Cours Ergonomie 2004 TMS François Cail - INRS
Troubles musculo squelettiques Institut de Formation en Ergothérapie de Nancy Cours Ergonomie 2004 TMS François Cail - INRS 2003 Les TMS sont des pathologies multifactorielles à composante professionnelle
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailK I N é S I T H é R A P I E & D B C
KINéSITHéRAPIE & DBC KINéSITHéRAPIE & DBC Informations T (+352) 23 666-810 kine@mondorf.lu Rééducation Individuelle Le service de de Mondorf Domaine Thermal propose une gamme complète de traitements individuels
Plus en détailETUDE QUALITATIVE SUR LES
ETUDE QUALITATIVE SUR LES SÉJOURS CHIRURGICAUX POUR PATHOLOGIES DE L ÉPAULE ET L ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE EN SAVOIE ET HAUTE-SAVOIE AVRIL 2009 Observatoire Régional de la Santé Rhône-Alpes Espace Régional
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailMON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS
MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS Le mal de dos? Nous sommes pratiquement tous concernés! En effet, plus de 80% de la population
Plus en détailI. TECHNIQUES DE RÉÉDUCATION ET DE RÉADAPTATION 1. KINÉSITHÉRAPIE PASSIVE : PAS D ACTION MUSCULAIRE VOLONTAIRE DU PATIENT
CHAPITRE 1 PRINCIPALES TECHNIQUES DE RÉÉDUCATION ET DE RÉADAPTATION. SAVOIR PRESCRIRE LA MASSO-KINÉSITHÉRAPIE (ET L ORTHOPHONIE, NON TRAITÉ) Module 4. Handicap incapacité dépendance Question 53 Objectif
Plus en détailGuide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille
Guide de Mobilisation de cellules souches pour mon Autogreffe Carnet d informations et de suivi Carnets pour d informations le patient et sa et famille de suivi pour le patient et sa famille AVEC LE SOUTIEN
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailLes Troubles Musculo-Squelettiques (T.M.S.)
DOSSIER Les Troubles Musculo-Squelettiques (T.M.S.) De par leur fréquence et leur impact, tant médical que socioprofessionnel, les TMS constituent un problème majeur de santé au travail. Bien que de nombreuses
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile
, le programme de retour à domicile Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer le suivi post hospitalisation Optimiser le retour à domicile et
Plus en détailKCE REPORT 192BS ÉVOLUTION DE L HOSPITALISATION DE JOUR : IMPACT DU FINANCEMENT ET DE LA RÈGLEMENTATION SYNTHÈSE
KCE REPORT 192BS ÉVOLUTION DE L HOSPITALISATION DE JOUR : IMPACT DU FINANCEMENT ET DE LA RÈGLEMENTATION SYNTHÈSE 2012 www.kce.fgov.be KCE REPORT 192 BS HEALTH SERVICES RESEARCH ÉVOLUTION DE L HOSPITALISATION
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailwww.drfadisleilati.com
www.drfadisleilati.com Plan Les produits de comblements Les accidents Inflammatoires/Infectieux Granulomes/Suppurations Hypothèses pathogéniques Traitement Prévention Conclusions Les Produits de Comblement
Plus en détailQu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)?
Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)? Ensemble de symptômes et d atteintes qui touchent principalement : nerfs ligaments tendons vaisseaux sanguins articulations disques intervertébraux muscles
Plus en détailVous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire
Vous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire HÔPITAL LARIBOISIERE Service d'ophtalmologie 2 rue Ambroise Paré 75475 Paris cedex 10 tel : 33 (0)1 49 95 64 88 La rétine est constituée de cellules visuelles
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailRèglement concernant l obtention du «CERTIFICAT SSO DE FORMATION POSTGRADE (CFP SSO) EN IMPLANTOLOGIE ORALE»
Règlement concernant l obtention du «CERTIFICAT SSO DE FORMATION POSTGRADE (CFP SSO) EN IMPLANTOLOGIE ORALE» INDEX: 1. Bases 2. Objectifs de formation postgrade 3. Candidature en vue de l obtention du
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailLombalgies, sciatiques, & Myothérapie. 1. Lombalgies & Lumbagos
Lombalgies, sciatiques, & Myothérapie Dr J. Polak Président de la Société Internationale de Myothérapie Nous exposerons ici l hypothèse d une cause purement musculaire aux lombalgies et aux sciatiques,
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailPREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES
PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES Patrick-Georges Yavordios Clinique Convert 01000 Bourg en Bresse Introduction L es traumatismes dentaires représentent
Plus en détailRAPPORT DE STAGE S ANNEE SCOLAIRE 2010-2011 B 3EME 5 CABINET DE MASSEUR KINESITHERAPEUTE. MONSIEUR Edouard CHEVALIER
S ANNEE SCOLAIRE 2010-2011 B 3EME 5 RAPPORT DE STAGE CABINET DE MASSEUR KINESITHERAPEUTE MONSIEUR Edouard CHEVALIER 42 Ter Rue Gambetta 58600 FOURCHAMBAULT Collège PAUL LANGEVIN 9, rue Dufaud 58600 FOURCHAMBAULT
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES
LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES DE L EPAULE CHEZ DES TECHNICIENNES DE LABORATOIRE L. MERIGOT, F. MARTIN, Avec la participation des Drs G. DALIVOUST, G. GAZAZIAN 26 Janvier 2010 1 SOMMAIRE 1. Introduction
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailLes maladies valvulaires
CENTRE CARDIO-THORACIQUE DE MONACO information du patient Les maladies valvulaires Maladies, diagnostic et traitements 1 Les maladies valvulaires ou valvulopathies Elles désignent l ensemble des maladies
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailDEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
Cette fiche d'information est un document remis aux patients avant une intervention chirurgicale. Les chirurgiens sont aujourd'hui tenus à fournir une information objective et compréhensible sur les risques
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailTendinopathies rotuliennes. Tendinopathies achiléennes
Epicondylites Epitrochléites Enthésopathies des Ischio-jambiers Syndromes de coiffe Cicatrices fibreuses musculaires Tendinopathies achiléennes Aponévrosites plantaires Tendinopathies rotuliennes Périostites
Plus en détail