Psychiatrie de catastrophe en France : les CUMP
|
|
- Fernande Mireille Marin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Psychiatrie de catastrophe en France : les CUMP Anne-Marie STREBELLE Psychiatre référent CUMP 21 Coordonnateur CUMP Bourgogne 1
2 TERRORISME ET URGENCE MÉDICO-PSYCHOLOGIQUE UN AIRBUS D'AIR FRANCE (226 PASSAGERS, 12 PN) EST PRIS EN OTAGE PENDANT 54 HEURES (3 MORTS). 25 JUILLET 1995, PARIS : EXPLOSION DANS LE RER À SAINT-MICHEL-NOTRE-DAME (8 MORTS, 200 BLESSÉS). 17 AOUT 1995, PARIS : EXPLOSION PLACE CHARLES DE GAULLE (20 BLESSÉS). 3 SEPTEMBRE 1995, PARIS : EXPLOSION BOULEVARD RICHARD-LENOIR (4 BLESSÉS). 7 SEPTEMBRE 1995, VILLEURBANNE : EXPLOSION DEVANT UNE ECOLE JUIVE (32 BLESSÉS). 6 OCTOBRE 1995, PARIS : EXPLOSION Á LA STATION DE METRO MAISON-BLANCHE, LE JOUR DES OBSÈQUES DE KHALED KELKAL (16 BLESSÉS). 17 OCTOBRE 1995, PARIS : EXPLOSION DANS LE RER ENTRE MUSEE-D'ORSAY ET SAINT- MICHEL- NOTRE-DAME (30 BLESSÉS). 3 DÉCEMBRE 1996, PARIS : EXPLOSION DANS LE RER À PORT-ROYAL (4 MORTS, 170 BLESSÉS). 2
3 Psychiatrie de catastrophe en France : les CUMP A la suite de l attentat du RER Saint-Michel, le 25 juillet 1995, le Secrétaire d État chargé de l Action Humanitaire d Urgence, le Docteur Xavier EMMANUELLI, met en place, sur instruction du Président de la République, une 1 ère cellule d urgence médico-psychologique (CUMP) chargée d apporter des soins psychiatriques immédiats aux victimes d attentat ou d événement exceptionnel pouvant se produire sur Paris ou la région parisienne. Cette première cellule, présidée par le Médecin- Général Louis CROCQ, est aussi un groupe de travail qui élabore en août 1996 des propositions pour organiser au plan national les soins psychiatriques destinés aux victimes d événements collectifs. 3
4 PREMIERS TEXTES RÉGLEMENTANT L'U.M.P. Arrêté du 28 mai 1997 portant création d'un comité national de l'urgence médicopsychologique en cas de catastrophe. Circulaire DH/DGS n du 28 mai 1997 relative à la création d'un réseau national de prise en charge de l'urgence médico-psychologique en cas de catastrophe. 4
5 Psychiatrie de catastrophe en France : les CUMP Les circulaires du 28 mai 1997 et du 20 mai 2003 officialisent un réseau national de l urgence médicopsychologique, composé de volontaires formés pour intervenir lors de catastrophes ou d accidents collectifs auprès des victimes psychiques. Outre les soins médicopsychologiques immédiats aux victimes et aux sauveteurs, les équipes ont aussi comme mission de dispenser ultérieurement des soins post-immédiats à ces victimes, aux impliqués et à leurs proches. 5
6 LA CIRCULAIRE DU 28 MAI 1997 UN DISPOSITIF GRADUÉ DE PRISE EN CHARGE DE L'URGENCE MÉDICO-PSYCHOLOGIQUE AU PROFIT DES VICTIMES DE CATASTROPHES OU D'ACCIDENTS IMPLIQUANT UN GRAND NOMBRE DE VICTIMES ET/OU SUSCEPTIBLES D'ENTRAINER D'IMPORTANTES RÉPERCUSSIONS PSYCHOLOGIQUES EN RAISON DES CIRCONSTANCES QUI LES ENTOURENT... 6
7 LA CIRCULAIRE DU 28 MAI 1997 BUT : INTERVENTION RAPIDE D'ÉQUIPES SPÉCIALISÉES DANS LES SITUATIONS D'URGENCE MÉDICO-PSYCHOLOGIQUE POUR PREVENIR, RÉDUIRE ET TRAITER LES BLESSURES PSYCHIQUES. ÉQUIPES INTEGRÉES AUX ÉQUIPES D'AIDE MÉDICALE URGENTE (SAMU). PRISE EN CHARGE IMMÉDIATE ET POST- IMMÉDIATE DES VICTIMES. PRÉPARER LES RELAIS THÉRAPEUTIQUES ULTÉRIEURS. 7
8 Psychiatrie de catastrophe en France : les CUMP Le réseau est organisé en CUMP départementales, coordonnées par des cellules permanentes régionales A l échelon départemental, le préfet désigne un psychiatre référent. Celui-ci intervient avec des volontaires, psychiatres, psychologues et infirmiers, inscrits sur une liste départementale et susceptibles d'être mobilisés à tout moment en cas de déclenchement d'une intervention d urgence médicopsychologique. A l'échelon régional, il existe des cellules permanentes, composées d'un mi-temps de psychiatre, d'un mi-temps de psychologue ou d'infirmier et d'un mi-temps de secrétariat. 8
9 Psychiatrie de catastrophe en France : les CUMP La circulaire du 28 mai 1997 définit les conditions du déclenchement d'une intervention d'urgence médico-psychologique : En cas de catastrophe ou d'événement majeur ou lorsque le préfet juge que la situation est suffisamment grave pour justifier l'intervention d'équipes de volontaires de l'urgence médico-psychologique, il charge le médecin responsable du SAMU départemental de les mobiliser, en liaison avec le psychiatre coordonnateur de la cellule régionale ou le psychiatre référent départemental. 9
10 LA CIRCULAIRE DU 28 MAI 1997 LE SCHÉMA-TYPE D'INTERVENTION CONVENTION ENTRE LES ÉTABLISSEMENTS CONCERNÉS ET L'ÉTABLISSEMENT SIEGE DU SAMU -> FIXE LES CONDITIONS D'INFORMATION, D'ALERTE ET D'ENGAGEMENT DES VOLONTAIRES DE L'U.M.P. FIGURE DANS LE PLAN ROUGE DÉPARTEMENTAL. DÉCLENCHEMENT PAR LA RÉGULATION DU SAMU. 10
11 LA CIRCULAIRE DU 28 MAI 1997 LE SCHÉMA-TYPE D'INTERVENTION EN CAS DE CATASTROPHE OU LORSQUE LE PRÉFET JUGE QUE LA SITUATION JUSTIFIE UNE INTERVENTION D'U.M.P. ANTENNE DE SECOURS MÉDICO- PSYCHOLOGIQUE INTEGREE AUX ELEMENTS D'INTERVENTION DU SAMU, PLACÉE SOUS L'AUTORITE DU D.S.M. POSTE D'URGENCE MÉDICO-PSYCHOLOGIQUE A PROXIMITÉ DU P.M.A. 11
12 LA CIRCULAIRE DU 28 MAI 1997 MISSIONS DES CELLULES PERMANENTES ORGANISATION DE FORMATIONS SPÉCIFIQUES. SOUTIEN SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE DES PSYCHIATRES RÉFÉRENTS. CENTRALISATION DES LISTES DE VOLONTAIRES. SOUTIEN OPÉRATIONNEL DU RÉSEAU INTER- RÉGIONAL DE PSYCHIATRES RÉFÉRENTS. ENVOI DE RENFORT INTERRÉGIONAL. 12
13 Circulaire du 20 mai 2003 relative au renforcement du réseau national de l U.M.P. L'objectif est de disposer, à terme, dans chaque région, d'au moins une équipe stable et formée, en mesure : - d'aider, à leur demande, les psychiatres référents départementaux de leur région à calibrer et organiser les interventions des CUMP départementales, ces dernières s'appuyant sur les volontaires inscrits sur les listes départementales ; - de venir en aide auprès d'une CUMP départementale et de mobiliser les moyens nécessaires au plan régional voire national, lorsque le niveau de la catastrophe dépasse les capacités d'intervention de cette CUMP ; - de former, en lien avec les psychiatres référents départementaux, les volontaires de l'urgence médico-psychologique et de sensibiliser l'ensemble des acteurs de santé de leur région susceptibles d'être concernés ; - de centraliser au niveau de la région les listes départementales de volontaires. 13
14 Psychiatrie de catastrophe en France : les CUMP Intervention immédiate : intégration dans la chaîne des secours médicaux prévue dans les plans de secours. Sur le terrain (poste d urgence médicopsychologique) Dans les hôpitaux Auprès des sauveteurs 14
15 INTERVENTION IMMÉDIATE L'équipe d intervention (antenne de secours médico-psychologique) : est composée de psychiatres, psychologues et infirmiers spécialisés est dirigée par un psychiatre, responsable médical de l intervention d urgence médico- psychologique, désigné par le psychiatre référent départemental est intégrée aux éléments d intervention du SAMU, placée sous l autorité du Directeur des Secours Médicaux (DSM) 15
16 INTERVENTION IMMÉDIATE Les personnels de l antenne de secours médicopsychologique ont pour missions de trier les blessés psychiques, de leur prodiguer des soins médico-psychologiques, et de les faire évacuer, si nécessaire, vers des hôpitaux. Le psychiatre responsable d intervention veille à ce que tous les patients soient répertoriés et dotés d une fiche médicale de l avant sur laquelle sont consignés les renseignements relatifs à leur état civil, les constatations cliniques et les traitements entrepris. 16
17 INTERVENTION IMMÉDIATE L'équipe d intervention : assure des entretiens individuels ou collectifs évalue les symptômes de choc psychique favorise une verbalisation post-événement diffuse une note d'information aux victimes les infirmiers et psychologues font appel au psychiatre en cas de symptômes graves. Celui-ci effectue un diagnostic médical, assume la prescription des traitements psychotropes, et initie, le cas échéant, des hospitalisations sans consentement 17
Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES
Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES Dispositions générales ORSEC Dr M.NAHON SAMU75 02/2013 Crises sanitaires, Accidents catastrophiques à effets limités (ACEL), Catastrophes Majeures 2 Crises sanitaires,
Plus en détailSéquence 1 : La place du MSP et de l ISP
Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP 1- Sécurité civile et police administrative L activité opérationnelle des sapeurs pompiers s exercent dans le cadre de la police administrative. La police administrative
Plus en détailPlan ORSEC. du département du Finistère
PRÉFET DU FINISTÈRE Préfecture du Finistère Cabinet du préfet Service interministériel de défense et de protection civiles Plan ORSEC «secours à nombreuses victimes» du département du Finistère Plan ORSEC
Plus en détailRéalisé par le groupe «Agir ensemble pour la santé mentale au travail» Charente-Maritime
Réalisé par le groupe «Agir ensemble pour la santé mentale au travail» Charente-Maritime Accompagner Un évènement traumatique en milieu de travail Préambule Au sein d une entreprise et plus généralement
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détailORGANISATION DES SOINS. Réseau Psychiatrie et Précarité à Paris. www.psycom.org
ORGANISATION DES SOINS Réseau Psychiatrie et Précarité à Paris www.psycom.org Réseau Psychiatrie et Précarité à Paris SOMMAIRE Missions p. 03 Organisation p. 05 Où s adresser? p. 07 Pour en savoir plus
Plus en détailPLAN ROUGE VILLE DE MARSEILLE. B.M.P.M. - Service Santé SMUR 0
PLAN ROUGE VILLE DE MARSEILLE B.M.P.M. - Service Santé SMUR 0 Généralités Le Plan Rouge : art 3 loi 87-565 du 22/07/1987 relative à «l organisation de la sécurité civile» Sous l autorité du Préfet des
Plus en détailOrganisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011
Organisation de la gestion de crise à Mayotte Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 SOMMAIRE INTRODUCTION AVANT LA CRISE PENDANT LA CRISE APRES LA CRISE 2 Service interministériel de défense
Plus en détailAssises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS
EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS INTRODUCTION (Présentation de l'association François-Xavier Bagnoud) L'Association L'association qui porte le nom de François-Xavier Bagnoud est une
Plus en détailBILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010
Formation préventive et accompagnement psychologique des agents 51 11 46 / 01 53 33 11 46 victimologie@sncf.fr BILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010 Permanence Téléphonique Prise
Plus en détailAccompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux
Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux Cette enquête est réalisée en partenariat avec le Groupe Polyhandicap France (GPF) et
Plus en détailConseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation
Conseil Français de Réanimation Cardio-pulmonaire (CFRC) Recommandations pour l organisation de programmes de défibrillation automatisée externe par le public Conférence d Experts Coordonnateur : Pr P
Plus en détailL hébergement d urgence en Loire-Atlantique
18/02/2015 Dossier de presse L hébergement d urgence en Loire-Atlantique M. Henri-Michel COMET, préfet de la région Pays de la Loire, préfet de Loire-Atlantique a rencontré le mercredi 18 février 2015
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailLa régulation des transports sanitaires par les SAMU
La régulation des transports sanitaires par les SAMU DHOS SDO Bureau O1 1 L organisation des transports sanitaires urgents : une mission permanente Principe : Les transports sanitaires sont une mission
Plus en détailP.A.R.M. (Permanencier Auxiliaire de Régulation Médicale) Quelle est cette profession de santé Méconnue et non reconnue?
P.A.R.M. (Permanencier Auxiliaire de Régulation Médicale) Quelle est cette profession de santé Méconnue et non reconnue? Référentiel métier de PARM Vr 4 - Mai 2007 Page 1 sur 9 Ce document a été rédigé
Plus en détailOrganisation - Organisatie. Avantages - Voordelen. Mutualité socialiste du Centre, Charleroi et Soignies 317
Organisation Organisatie Mutualité socialiste du Centre, Charleroi et Soignies 317 Avenue des Alliés 2 6000 CHARLEROI Tél. : (071) 50 77 77 Fax : (071) 50 77 99 Acupuncture Avantages Voordelen Activité
Plus en détailPLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE
2011 PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE SOMMAIRE SOMMAIRE 2 DECLENCHEMENT DU PCS 3.1 ROLE ET OBJECTIFS DU PLAN 3.2 MODALITES DE DECLENCHEMENT DES DIFFERENTES ALERTES
Plus en détailANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires
ANNUAIRE SANTE Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires IREPS : Instance Régionale d Education et de Promotion de la Santé Poitou-Charentes (4 antennes
Plus en détailINTERET ET LIMITES DU TIIH DANS LES TRANSPORTS INTER HOSPITALIERS. Marc FOURNIER SAMU13- APHM
INTERET ET LIMITES DU TIIH DANS LES TRANSPORTS INTER HOSPITALIERS Marc FOURNIER SAMU13- APHM LES MOYENS DE TRANSPORT INTER HOSPITALIER Ambulance simple : 2 ADE, véhicule catégorie C type A ambulance conçue
Plus en détailretour d expérience accident ferroviaire de Brétigny-sur-Orge (91), le 12 juillet 2013 RETOUR D EXPÉRIENCE DE L ACCIDENT...2
SOMMAIRE RETOUR D EXPÉRIENCE DE L ACCIDENT...................................................2 CHRONOLOGIE DES FAITS...........................................3 ORGANISATION DE LA CHAÎNE DE COMMANDEMENT.............................................4
Plus en détailAtelier Santé Ville Paris 18 ACCES AUX SOINS
LES CONSULTATIONS GRATUITES LES CENTRES MEDICO-SOCIAUX. Il faut s assurer auprès de l assistante sociale qui suit l usager ou s adresser au COMEDE pour connaître sa situation. Si la personne ne peut se
Plus en détailLe niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.
ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.
Plus en détailModalités de prise en charge d un appel de demande de soins non programmés dans le cadre. Centre de régulation médicale. Mars 2011
Modalités de prise en charge d un appel de demande de soins non programmés dans le cadre de la régulation médicale Mars 2011 Définitions Processus médical de prise en charge Centre de régulation médicale
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailDISPOSITIONS GENERALES ORSEC LIVRE 2 MODES D ACTION GENERAUX DU DISPOSITIF ORSEC PLAN ORSEC NOMBREUSES VICTIMES
ORGANISATION DE LA REPONSE DE SECURITE CIVILE TOME I DISPOSITIONS GENERALES LIVRE 2 Plan ORSEC nombreuses victimes Préfecture des Landes Cabinet du Préfet - SIDPC - DISPOSITIONS GENERALES ORSEC LIVRE 2
Plus en détailPlanification d urgence et gestion de crise en Belgique
Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Planification d urgence La sécurité s'exprime par plusieurs aspects : maintien de la tranquillité et de l'ordre public, sauvegarde de la sécurité
Plus en détail3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées
3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées Ce groupe de base comprend les infirmiers autorisés, les infirmiers praticiens, les infirmiers psychiatriques autorisés et les finissants d'un programme
Plus en détailww.sanitairesocial sanitairesocial-lo lorrain Ambulancier
www. ww.sanitairesocial sanitairesocial-lo lorrain rraine.fr Ambulancier Définition L ambulancier est un auxiliaire sanitaire pleinement intégré dans la chaîne des soins. En urgence ou sur rendez-vous
Plus en détailGUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES
REPUBLIQUE FRANÇAISE PREMIER MINISTRE Secrétariat Général de la Défense Nationale N 730/ SCSSI Issy-les-Moulineaux, le 13 janvier 1997 GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS
Plus en détailCENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE
CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE 12 rue aux raisins - 62600 BERCK SUR MER 03.21.89.44.01 - Fax : 03.21.89.44.82 Le mot d
Plus en détailLE SAMU SOCIAL DE BRUXELLES
LE SAMU SOCIAL DE BRUXELLES Le SAMU SOCIAL DE BRUXELLES Un dispositif de lutte contre l exclusion : 24h/24, 365j/an : 1) Une permanence téléphonique le N vert : 080099/340 2) Des équipes mobiles d aide
Plus en détailPRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE
PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE SYNTHESE Le 15 septembre 2003, Madame Anne D HAUTEVILLE, professeur
Plus en détailCIRCULAIRE AD 94-11 DU 20 OCTOBRE
RULAR AD 94-11 DU 20 OTOBR 1994 Tri et conservation des documents produits après 1968 par les établissements publics de santé : archives de l administration générale de l établissement (Série L de l instruction
Plus en détailCentre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37
Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret
Plus en détailINAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence
Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des
Plus en détailCode emploi statutaire de la fonction publique hospitalière (NEH) Emplois non-médicaux
emploi statutaire de la fonction publique hospitalière (NEH) Emplois non-médicaux Rubriques S40.G10.08.002.004 / S40.G10.10.002.004 / S40.G10.25.002.004 Table incluant les codes fournis par la Direction
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL
ASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL Directeur: Chef de Service Éducatif Assistante de Direction Accueil - Secrétariat
Plus en détailCirculaire n 93 -------
Année 2004 Destinataire : écoles et établissements publics et privés. Circulaire n 93 ------- Sommaire : - centre de ressources départemental, équipes ressources de proximité, violences sexuelles, événements
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Contacts presse
DOSSIER DE PRESSE Contacts presse : Bureau de la communication interministérielle - 02.48.67.34.36 pref-communication@cher.gouv.fr Préfecture du Cher - Place Marcel Plaisant CS 60022-18020 BOURGES Cedex
Plus en détailLes mentions et abréviations employées se lisent donc de la façon suivante :
CIRCULAIRE AD 94-2 DU 18 JANVIER 1994 Tri et conservation des archives des établissements publics de santé : documents produits après 1968 par les services administratifs chargés de la gestion des hospitalisations
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détailPlanification d urgence et gestion de crise en Belgique
Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Noodplanning en crisisbeheer_fr.indd 1 21/01/2013 10:29:57 Noodplanning en crisisbeheer_fr.indd 2 21/01/2013 10:29:57 Planification d urgence La sécurité
Plus en détailLes accueils de jour du Nord
PRÉFET DU NORD Les accueils de jour du Nord Avril 2014 Direction départementale de la cohésion sociale Mission urgence sociale hébergement insertion Le dispositif d Accueil, d Hébergement et d Insertion»
Plus en détaildmt Organisation des urgences dans l entreprise Sauvetage-secourisme du travail (89 TC 85)
dmt dossiers médico-techniques Organisation des urgences dans l entreprise Sauvetage-secourisme du travail (89 TC 85) Le défibrillateur semi-automatique : place dans la chaîne des secours et intérêt dans
Plus en détailFrais de transport. 1. Les situations de prise en charge
Frais de transport L Assurance Maladie peut prendre en charge les frais de transport pour les patients dont la situation ou l état de santé le justifie et sous certaines conditions. 1. Les situations de
Plus en détailET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012
DIRECTION DES AFFAIRES INSTITUTIONNELLES ET DE LA STRATEGIE Note de Synthèse CAMPAGNE TARIFAIRE 2012 : ENVELOPPE MIGAC Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 Diffusion: Vos contacts
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailENQUETE ACCES AUX SOINS
ENQUETE ACCES AUX SOINS Attention!! Cette liste des questions posées dans l enquête est présentée à titre d information : la saisie doit se faire en ligne sur le site de l UNCCAS (www.unccas.org) PAGE
Plus en détailLes procédures médico-légales d hospitalisation
Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience
Plus en détailQuel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?
Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se
Plus en détailACCORD NATIONAL DE BON USAGE DES SOINS SUR LES PRESCRIPTIONS DE TRANSPORTS
ACCORD NATIONAL DE BON USAGE DES SOINS SUR LES PRESCRIPTIONS DE TRANSPORTS Entre, d une part, Au titre des généralistes : La Confédération des Syndicats Médicaux Français, Le Syndicat des Médecins Libéraux.
Plus en détailDOMAINES D INTERVENTION EN DEMANDE
DOMAINES D INTERVENTION EN DEMANDE Critères valables pour toute affectation en tant que Volontaire des Nations Unies, pas uniquement pour les affectations en réponse à la crise du virus Ebola. Les exigences
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détailLe dispositif d annonce. Information destinée aux patients atteints de cancer. édition actualisée Octobre 2009
Le dispositif d annonce Information destinée aux patients atteints de cancer G R A N D P U B L I C 2 édition actualisée Octobre 2009 Sommaire Introduction 1 Le dispositif d annonce 2 Le temps médical L
Plus en détailRèglement sur les soins préhospitaliers et les transports de patients. Le Conseil d Etat de la République et Canton de Neuchâtel,
CONSEIL D'ETAT Règlement sur les soins préhospitaliers et les transports de patients Le Conseil d Etat de la République et Canton de Neuchâtel, vu la loi de santé du 6 février 1995, notamment ses articles
Plus en détailUn projet régional et une démarche collégiale
Interconnexion des SAMU de la Région PACA Un projet régional et une démarche collégiale 1 Déclaration d intérêt Je déclare n avoir aucune relation financière avec l industrie 2 PLAN DE LA PRESENTATION
Plus en détailMISSING. Le moteur de recherche mondial des disparus de catastrophes naturelles. En partenariat avec :
MISSING Le moteur de recherche mondial des disparus de catastrophes naturelles En partenariat avec : DES DISPARUS LAISSES A L ABANDON Chaque catastrophe humanitaire majeure entraîne la disparition de nombreux
Plus en détail* Les personnalités scientifiques : - Mabrouk El Mannai, - El Mouldi Lahmer, - Farouk El Omrani.
* Les personnalités scientifiques : - Mabrouk El Mannai, - El Mouldi Lahmer, - Farouk El Omrani. MINISTERE DE L'AGRICULTURE Par décret n 2013-4505 du 6 novembre 2013. Messieurs Ahmed Dhaoui et Khaled Gannouni,
Plus en détailLe ministre de l'intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales
DIRECTION DE LA DEFENSE ET DE LA SECURITE CIVILES SOUS DIRECTION DE LA DEFENSE CIVILE Paris, le 23 avril 2003 ET DE LA PREVENTION DES RISQUES Bureau de la Réglementation Incendie et des Risques pour le
Plus en détailANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE
ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailPrésentation du MASTER EN SCIENCES DE LA SANTE PUBLIQUE
UCL Université catholique de Louvain Master en sciences de la santé publique Présentation du MASTER EN SCIENCES DE LA SANTE PUBLIQUE [Master 120 crédits] (ESP 2 M) Année 2010/2011 Clos Chapelle-aux-Champs
Plus en détailRÉPUBLIQUE FRANÇAISE. MINISTÈRE DE l'emploi ET DE LA SOLIDARITE. Paris, le
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE l'emploi ET DE LA SOLIDARITE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Sous-direction des professions paramédicales Et des personnels hospitaliers
Plus en détailLe Domicile Collectif FTVS ( Foyer de Transition à la Vie Sociale)
Le Domicile Collectif FTVS ( Foyer de Transition à la Vie Sociale) Son histoire 1972 Situé à Villefranche-sur-Saône, le FTVS était un service de transition professionnelle vers le milieu ordinaire. 1993
Plus en détailLa réforme du remboursement des frais de l aide médicale aux centres publics d action sociale phase 1 projet du MediPrima
Frontdesk E-mail: question@mi-is.be Tél.: 02/508.85.86 Fax : 02/508.86.10 A Mesdames les Présidentes et à Messieurs les Présidents des centres publics d action sociale date : 27 septembre 2013 La réforme
Plus en détailOffre(s) d emploi / stages / service civique : Dernière mise à jour le 3 juillet 2015 (4 annonces)
Offre(s) d emploi / stages / service civique : Dernière mise à jour le 3 juillet 2015 (4 annonces) 03/07/2015 1/16 CONTRATS A DUREE INDETERMINEE 03/07/2015 2/16 LE FOYER NOTRE-DAME DES SANS-ABRI recrute,
Plus en détailMutualité Chétienne de Liège 130. Place du XX Août 38 4000 LIEGE Tél. : (04) 221 73 11 Fax : (04) 221 74 09
Organisation Avantages Détails Accompagnants à l'hôpital Intervention de 6,20 euros par jour pour les frais de la personne qui loge dans la chambre du patient, 15 euros par jour si c'est un enfant de moins
Plus en détailVotre séjour à Paris en toute sécurité
Votre séjour à Paris en toute sécurité Cité internationale universitaire de Paris 17, boulevard Jourdan 75014 Paris FONDATION NATIONALE RECONNUE D UTILITÉ PUBLIQUE PAR DÉCRET DU 6 JUIN 1925 www.ciup.fr
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailNOTE D INFORMATION sur la formation sociale préparatoire au Diplôme d Etat d AIDE MEDICO-PSYCHOLOGIQUE
Ce.F Centre de Formation au Travail Sanitaire et Social Place du Marché Couvert - BP 414-24104 BERGERAC CEDEX Tél : 05 53 22 23 00 Fax : 05 53 23 93 05 Email : cef@johnbost.fr Site : www.johnbost.org/cef
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailDIU de Cardiologie Interventionnelle Année universitaire 2014-2015. Note d information 1 septembre 2014 Enseignement 2 année
DIU de Cardiologie Interventionnelle Année universitaire 2014-2015 Note d information 1 septembre 2014 Enseignement 2 année Modalités d'inscription Pré-inscription en deuxième année La pré-inscription
Plus en détailProyecto Telemedicina
Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional
Plus en détailProjet de communication
PROJET D'ETABLISSEMENT 2012 / 2016 - TOME 6 - Projet de communication 1 Sommaire INTRODUCTION... 4 RECAPITULATIF DES FICHES ACTIONS... 5 Communication Interne... 6 FICHE N COM INT 01 A... 7 Communication
Plus en détailLES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé
SP 7.4 LES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé Martine Mayrand Leclerc, inf., MGSS/MHA, Ph.D. Robert
Plus en détailTOUT CE QU IL FAUT SAVOIR SUR LES FRAIS DE TRANSPORT. Textes extraits d ameli.fr (dossier mis à jour le 20 juin 2013)
TOUT CE QU IL FAUT SAVOIR SUR LES FRAIS DE TRANSPORT Textes extraits d ameli.fr (dossier mis à jour le 20 juin 2013) Vous avez besoin d un transport pour rentrer chez vous après une opération, ou pour
Plus en détailUNE POLITIQUE DE SANTÉ POUR UN TERRITOIRE RURBAIN
UNE POLITIQUE DE SANTÉ POUR UN TERRITOIRE RURBAIN 1 Situation géographique Le Pays de l'ourcq 2 Origine de la demande : Un territoire sous-médicalisé (Canton de Lizy-surOurcq, fortement déficitaire en
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailFMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36
FMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36 PROJET RÉGIONAL «ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE ET MALADIES CHRONIQUES» DÉBUT EN 2007 DANS LE LOIRET, LE
Plus en détailHopital: Optimisation, Simulation et évitement des Tensions. ANR-TECSAN 2011 7 partenaires ( 1 CH, 1 PME ) 900 k - 36 mois
HOST ANR-11-TECS-010 Hopital: Optimisation, Simulation et évitement des Tensions HOpital Sous Tensions ANR-TECSAN 2011 7 partenaires ( 1 CH, 1 PME ) 900 k - 36 mois Contexte 1 L hôpital est en crise: Augmentation
Plus en détailLA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone
LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques
Plus en détailPROJET RÉGIONAL 2015-2017. Prévention des risques professionnels et santé au travail
PROJET RÉGIONAL 2015-2017 Prévention des risques professionnels et santé au travail 1 CONTEXTE : PREVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS En application de l accord, signé le 22 octobre 2013, relatif à la
Plus en détailLes différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire
Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire E.H.P.A.D E.H.P.A.D (Etablissement d hébergement pour personnes agées dépendantes) Un
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailLivret du patient Livret du patient
Livret du patient Livret du patient ÉTABLISSEMENT PUBLIC DE SANTÉ BARTHÉLEMY DURAND Avenue du 8 mai 1945 - BP 69-91150 Etampes Cedex Tél. 01 69 92 52 52 - www.eps-etampes.fr Version 03/04/2014 ÉTABLISSEMENT
Plus en détailVotre séjour à l hôpital
Votre séjour à l hôpital LE MOT DU DIRECTEUR Madame, Mademoiselle, Monsieur, Nous vous souhaitons la bienvenue au CH Saint Jean de Dieu. Ce livret d accueil a été conçu pour répondre au mieux à vos questions
Plus en détailSchéma Régional d Intelligence Economique (SRIE) de la région CENTRE 2012-2015
Orléans, le 5 octobre 2012 Schéma Régional d Intelligence Economique (SRIE) de la région CENTRE 2012-2015 Introduction L intelligence économique, c est le dispositif par lequel tout acteur économique assure
Plus en détailL EXPÉRIENCE CLIENT QUI SONT VOS CLIENTS?
ASSOCIATION DES GESTIONNAIRES DE PARCS IMMOBILIERS CRÉER UNE EXPÉRIENCE DE SERVICE EXCEPTIONNELLE CONFÉRENCE PRÉSENTÉE PAR LOUIS FABIEN, PROFESSEUR HEC MONTREAL LE 29 SEPTEMBRE 2010 PLAN DE LA PRÉSENTATION
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailCHARTE DE L'ACCOMPAGNEMENT SOCIAL LIE AU LOGEMENT
PLAN DEPARTEMENTAL D'ACTIONS POUR LE LOGEMENT DES PERSONNES DEFAVORISEES DEPARTEMENT DE LA LOIRE CHARTE DE L'ACCOMPAGNEMENT SOCIAL LIE AU LOGEMENT Les mesures d'accompagnement Social Lié au Logement (A.S.L.L.)
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailUn métier en évolution pour répondre aux nouvelles. Face à ces évolutions, un nouveau métier
Les métiers de la pharmacovigilance Des métiers en évolution dans une industrie de haute technologie et d'innovation Une mission d'évaluation et de gestion des risques liés à l'utilisation des médicaments
Plus en détailCommission Statut et Juridique AH-HP. COMMENTAIRES et OBSERVATIONS sur le PROJET du CODE de DEONTOLOGIE du CONSEIL NATIONAL de l ORDRE des INFIRMIERS
Commission Statut et Juridique AH-HP COMMENTAIRES et OBSERVATIONS sur le PROJET du CODE de DEONTOLOGIE du CONSEIL NATIONAL de l ORDRE des INFIRMIERS Février 2010 1 Origine du code de déontologie Faisant
Plus en détail