Etude d impact de la mise en conformité des échanges électroniques entre dépôts de sang et EFS d Île-de-France. Présentation du 15 décembre 2012

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Etude d impact de la mise en conformité des échanges électroniques entre dépôts de sang et EFS d Île-de-France. Présentation du 15 décembre 2012"

Transcription

1 Etude d impact de la mise en conformité des échanges électroniques entre dépôts de sang et EFS d Île-de-France Présentation du 15 décembre 2012

2 Dans un contexte d échanges électroniques multiples, impliquant des acteurs divers, nécessitant des interfaces entre éditeurs variées, avec un environnement de sécurité sanitaire et réglementaire très contraint, l Agence Régionale de Santé d Ile de France a éprouvé la nécessité de comprendre la situation actuelle des échanges entre établissements de santé et EFS de la région. L'ARSIF, en accord avec des correspondants d'hémovigilance et des DSI de plusieurs établissements, ainsi que des représentants de l'efs d Ile de France (réunis en novembre 2011 et janvier 2012) a identifié le besoin d'une étude des impacts de la mise en conformité des échanges électroniques entre les établissements dépôts de sang et l'efs d'ile de France. 2

3 10 établissements de santé et l EFS Pontoise ont été rencontrés 3

4 Cartographie des processus 4

5 Zoom 1 Zoom 1 Les chartes sont différentes (date de naissance, nom/prénom avec tirets, sans nom/prénom ) Les documents d identité sont différents (carte Vitale : beaucoup d erreurs) Les étiquettes sont différentes (avec/sans IPP, avec/sans nom de naissance, avec/sans code-barre ) Les étiquettes peuvent être tronquées (nom/prénom trop long) Du fait du lien admission=prise en charge financière, les patients n hésitent pas à donner une mauvaise identité au risque d un problème de transfusion Points d attention : - Potentielles erreurs de saisie des traits d identité - Fausse identité 5

6 Zoom 2 Les prescriptions de PSL ont toutes des formats différents Les étiquettes apposées dessus peuvent être tronquées Risques : - Erreur de patient Zoom 2 6

7 Zoom 3 Zoom 3 Les prescriptions de laboratoire ont toutes des formats différents Les étiquettes apposées dessus peuvent être tronquées Les étiquettes de laboratoire sont en général spécifiques (pour les robots d analyse) Les cartes de groupe ont toutes des formats différents Risques : - Erreur de patient 7

8 Zoom 4 Une comparaison entre la commande nominative envoyée à l EFS et le produit réceptionné est effectuée (de visu sur le produit et dans le logiciel du dépôt) Risques : - Erreur de produit Zoom 4 8

9 Zoom 5 Une vérification de la concordance est réalisée entre : la prescription, la carte de groupe, les RAI, les données de la fiche de délivrance et l identité du patient redemandée en direct. Risques : - Erreur de produit et/ou de patient 9

10 Zoom 6 Les fiches de délivrance ont toutes des formats différents Les données sont saisies dans le logiciel du dépôt Les données sont ressaisies à l EFS Risques : - Erreur de produit et/ou de patient 10

11 Synthèse des risques Un certain nombre de documents diffèrent d un établissement à un autre et peuvent être à l origine d erreurs de lecture et de saisie, parmi lesquels : - Les chartes d identito-vigilance (traitement des dates de naissance, noms/prénoms avec tirets sans nom/prénom ), - Les documents d identité qui sont demandés aux admissions (le pire étant la carte Vitale qui induit beaucoup d erreurs d identité), - Les étiquettes (avec/sans IPP, avec/sans nom de naissance, avec/sans code-barre ), - Les prescriptions de PSL, - Les prescriptions de laboratoire, - Les cartes de groupe, - Les fiches de délivrance entre le dépôt et le service clinique 11

12 Synthèse des risques Les étiquettes peuvent être tronquées (noms/prénoms trop longs) et donc le traitement de l identité s en trouve affecté (reprise à la main, envoi de document complémentaire sur l identité en sus des documents de liaison ). Le fait d utiliser le nom d usage dans les établissements préférentiellement et le nom de naissance à l EFS oblige le personnel à une gymnastique sur tous les documents car les deux champs sont inversés quand ils sont renseignés. Certains établissements de santé (AP-HP + 6 des 10 sites visités) ont choisi de répéter le nom de naissance dans le nom d usage quand celui-ci est libre. Or cela est incompatible avec la gestion d identité de l EFS et les recommandations en vigueur. Du fait du lien entre l admission et la prise en charge financière, les patients n hésitent pas à donner une mauvaise identité au risque de courir un problème de transfusion 12

13 Synthèse des risques La bonne gestion des identités est chronophage (en général 1 à 2 ETP dans les établissements de santé sont consacrés à cela) car on ne peut supprimer ou modifier les dossiers aux admissions ou aux urgences sans contrôle (doublons, formations, conseil à la saisie ). Les logiciels aux admissions ne sont pas tous égaux en ce qui concerne l aide à ce travail (certains ne permettent pas les recherches de doublons). L INS n est utilisé par aucun des établissements, ni par l EFS. Il est pourtant fortement attendu par tous. Les étiquettes de laboratoire (pour les robots d analyse) sont en général différentes des étiquettes des admissions et génèrent une manipulation supplémentaire sur les tubes. Quand les échanges entre dépôt de sang et l EFS ne sont pas informatisés (cela représente à ce jour 19 dépôts de délivrance non reliés sur les 44 de l IdF), l entrée en stock est manuelle, chronophage et source potentielle d erreur. 13

14 Les actions Mise en place d une charte d identito-vigilance régionale. Accompagner les établissements avec dépôts de délivrance pour l installation de leur liaison EDI avec l EFS d IDF. Inciter les établissements à généraliser les échanges de laboratoire, en commençant par l échange des résultats conformément aux standards d interopérabilité (format HL7, usage de l INS). Les examens réalisés par le dépôt de sang sont des examens qui doivent remonter dans les serveurs de résultats Promouvoir l usage d un logiciel d identitovigilance. Promouvoir l usage de l INS. Réaliser la prescription connectée pour le sang après accord de l EFS IdF sur les modalités d utilisation de la signature électronique Transmission des éléments diagnostiques depuis le SIH vers les logiciels des dépôts de sang et échanges dans les deux sens pour la délivrance/traçabilité. 14

L impact du programme de relance sur le projet régional 19/05/2009 COPIL AMOA 1

L impact du programme de relance sur le projet régional 19/05/2009 COPIL AMOA 1 L impact du programme de relance sur le projet régional 19/05/2009 COPIL AMOA 1 L Identifiant National Santé (INS) Delphin HENAFF-DARRAUD Point du programme sur l INS Le constat L absence d identifiant

Plus en détail

Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban

Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban Cahier des charges du Logiciel Médico Technique Rédigé en collaboration avec Cahier des charges du Logiciel Médico Technique La procédure d

Plus en détail

www.etablissement-francais-du-sang.fr E.R.A. Echanges des Résultats d Analyses

www.etablissement-francais-du-sang.fr E.R.A. Echanges des Résultats d Analyses www.etablissement-francais-du-sang.fr E.R.A. Echanges des Résultats d Analyses E.R.A. L EFS, les Etablissements de Santé et les laboratoires effectuant des analyses d I.H. pour des patients susceptibles

Plus en détail

PAR ANAT. Améliorer la sécurisation de l identification des patients en secteur sanitaire BLOC OBSTÉTRICAL SCÉNARIO CONSULTATION IDENTITO-VIGILANCE

PAR ANAT. Améliorer la sécurisation de l identification des patients en secteur sanitaire BLOC OBSTÉTRICAL SCÉNARIO CONSULTATION IDENTITO-VIGILANCE IDENTITO-VIGILANCE SCÉNARIO CONSULTATION SUIVI QUALITÉ GESTION DES IDENTITÉS SCÉNARIO ADMISSION PAR EXAMENS TRANSPORT RECOMMANDATIONS Améliorer la sécurisation de l identification des patients en secteur

Plus en détail

I- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE

I- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE I- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE L Établissement Français du Sang, est l unique opérateur civil de la transfusion sanguine en France. Sa mission première

Plus en détail

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics) Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)

Plus en détail

logiciels de gestion des dossiers médicaux

logiciels de gestion des dossiers médicaux logiciels de gestion des dossiers médicaux (clic) la solution complète pour la gestion des archives www.advalorem.fr 10 bonnes raisons de s équiper avec le logiciel Gesmedic Utilisez-vous une solution

Plus en détail

Informatisation des données transfusionnelles

Informatisation des données transfusionnelles Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser

Plus en détail

LE DIRECTEUR GENERAL DE LA SANTE LE DIRECTEUR DE L'HOSPITALISATION ET DE L'ORGANISATION DES SOINS

LE DIRECTEUR GENERAL DE LA SANTE LE DIRECTEUR DE L'HOSPITALISATION ET DE L'ORGANISATION DES SOINS MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Direction générale Paris, de la santé Sous direction de la politique des produits de santé (SD3) Sous direction de la qualité du système

Plus en détail

Programme Hôpital numérique

Programme Hôpital numérique Programme Hôpital numérique Boite à outils pour l atteinte des pré-requis Fiches pratiques Octobre 2012 Direction générale de l offre de soins Sommaire 1. LE PROGRAMME HOPITAL NUMERIQUE... 3 2. LE SOCLE

Plus en détail

ICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE "VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ"

ICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ ICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE "VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ" ICI VOUS ÊTES ICI VOUS ÊTES VOUS ÊTES UNIQUE UNIQUE < L espérance de vie augmente régulièrement. Cela est

Plus en détail

Zone de commentaires. Convention EFS / ES ( document à joindre) II, Les systèmes d'information OUI NON NC Zone de commentaires. Zone de commentaires

Zone de commentaires. Convention EFS / ES ( document à joindre) II, Les systèmes d'information OUI NON NC Zone de commentaires. Zone de commentaires 5. ENSEMBLE DES PIECES CONSTITUANT LE DOSSIER A FOURNIR A L'AGENCE REGIONALE DE L'HOSPITALISATION POUR UNE DEMANDE D AUTORISATION DE FONCTIONNEMENT D UN DEPÔT DE SANG DANS UN ETABLISSEMENT DE SANTE I.

Plus en détail

Chaîne de production des médicaments

Chaîne de production des médicaments Chaîne de production des médicaments GPAO : Aspects légaux et pharmaceutiques 2 Principe de base Une préparation n est entreprise que si la pharmacie possède les moyens appropriés pour la réaliser et la

Plus en détail

La solution IdéoSanté une suite Web 2.0

La solution IdéoSanté une suite Web 2.0 La solution IdéoSanté une suite Web 2.0 SQLI et la santé : Une Histoire Des engagements dans la durée Etapes clés de l industrialisation de la suite Idéo santé Conseil SIS MOA, Urbanisation Réseaux de

Plus en détail

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social

Plus en détail

Les Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté :

Les Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté : Les Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté : Retour d'expérience du GCS EMOSIT-FC GCS EMOSIST-fc 10, avenue Clemenceau 25000 Besançon PLAN DE LA PRESENTATION 1 La Franche-Comté & EMOSIST-FC 2 Organiser

Plus en détail

STACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis

STACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis 3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine

Plus en détail

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut

Plus en détail

Jedeclare.com fournisseur de gains de productivité

Jedeclare.com fournisseur de gains de productivité Jedeclare.com fournisseur de gains de productivité Christine CLIPET responsable marketing de jedeclare.com Bonjour Christine CLIPET, pouvez-vous présenter rapidement JeDeclare.com ainsi que votre fonction?

Plus en détail

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances

Plus en détail

Présentation du cadre technique de mise en œuvre d un Service d Archivage Electronique

Présentation du cadre technique de mise en œuvre d un Service d Archivage Electronique Présentation du cadre technique de mise en œuvre d un Service d Archivage Electronique Isabelle GIBAUD Consultante au Syndicat Interhospitalier de Bretagne Co-chair vendor IHE-FRANCE Sommaire 1 Périmètre

Plus en détail

SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR

SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises

Plus en détail

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,

Plus en détail

La version électronique fait foi

La version électronique fait foi Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE DU PROJET DMP EN ÉTABLISSEMENT DE SANTÉ

GUIDE PRATIQUE DU PROJET DMP EN ÉTABLISSEMENT DE SANTÉ GUIDE PRATIQUE DU PROJET DMP EN ÉTABLISSEMENT DE SANTÉ 2 e édition Mai 2012 www.dmp.gouv.fr GuideDMP_ASIP_Couv.indd 1 27/04/12 11:35 2 - GUIDE PRATIQUE DU PROJET DMP EN ÉTABLISSEMENT DE SANTÉ INTRODUCTION

Plus en détail

Point d actualité DMP et Messageries Sécurisées de Santé

Point d actualité DMP et Messageries Sécurisées de Santé Point d actualité DMP et Messageries Sécurisées de Santé Assemblée Générale GCS Télésanté Basse Normandie 26 mars 2014 Anne Bertaud Pole Territoire Dossier Médical Personnel 2 DMP : quelques chiffres (février

Plus en détail

Comment exploiter la standardisation de l'informatique pour en faciliter la gestion.

Comment exploiter la standardisation de l'informatique pour en faciliter la gestion. Comment exploiter la standardisation de l'informatique pour en faciliter la gestion. Un partage d expérience. Didier Goies Directeur Informatique CNDG 1. POURQUOI? Agenda Décision de normaliser les échanges

Plus en détail

Guide sur la sécurité des échanges informatisés d informations médicales

Guide sur la sécurité des échanges informatisés d informations médicales Union régionale des caisses d assurance maladie Provence Alpes Côte d Azur Agence régionale de l hospitalisation Provence Alpes Côte d Azur Guide sur la sécurité des échanges informatisés d informations

Plus en détail

Plateforme Lorraine de services mutualisés pour l échange et le partage de données médicales 16/02/2009

Plateforme Lorraine de services mutualisés pour l échange et le partage de données médicales 16/02/2009 Plateforme Lorraine de services mutualisés pour l échange et le partage de données médicales 16/02/2009 1 Le GCS Télésanté Lorraine La télésanté en lorraine Groupement de Coopération Sanitaire créé en

Plus en détail

Journées de formation DMP

Journées de formation DMP Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé

Plus en détail

SDRSIS Systèmes d information en santé

SDRSIS Systèmes d information en santé SDRSIS Systèmes d information en santé SCHÉMA DIRECTEUR RÉGIONAL DES SYSTÈMES D INFORMATION EN SANTÉ SDRSIS Systèmes d information en santé Introduction...4 La démarche...5 Le contexte des Systèmes d

Plus en détail

Informatique Médicale & Ingénierie des Connaissances Pour la e-santé

Informatique Médicale & Ingénierie des Connaissances Pour la e-santé Li ics Laboratoire d Informatique Médicaleet d Ingénierie des Connaissances en e-santé Projet de création d une UMR Inserm Université Pierre et Marie Curie, Université Paris Nord Informatique Médicale

Plus en détail

Sommaire : le Service d Aide àla prise en charge / PEC+

Sommaire : le Service d Aide àla prise en charge / PEC+ Sommaire : le Service d Aide àla prise en charge / PEC+ Introduction : le projet transport Le fonctionnement du service PEC+ Les modalités de généralisation du service PEC+ Comment disposer du service

Plus en détail

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE

Plus en détail

MUTUELLE DE NATIXIS. l adhésion du salarié au régime est obligatoire, comme par le passé, celle de ses ayants-droit éventuels est facultative ;

MUTUELLE DE NATIXIS. l adhésion du salarié au régime est obligatoire, comme par le passé, celle de ses ayants-droit éventuels est facultative ; MUTUELLE DE NATIXIS Résumé des garanties du contrat obligatoire de complémentaire santé de la Mutuelle de Natixis «Régime unifié» des salariés mis en place le 1 er juillet 2010 Concerne les salariés de

Plus en détail

Référentiels d Interopérabilité

Référentiels d Interopérabilité INFORMATION HOSPITALIERE STANDARDISEE Formation Maîtrise d Ouvrage Hospitalière Informatisation du circuit du médicament & des dispositifs médicaux Référentiels d Interopérabilité 7 ème édition : 14 janvier

Plus en détail

PLAN. Industrialisateur Open Source LANS DE SECOURS INFORMATIQUES PRINCIPES GENERAUX ETAT DE L ART SELON BV ASSOCIATES

PLAN. Industrialisateur Open Source LANS DE SECOURS INFORMATIQUES PRINCIPES GENERAUX ETAT DE L ART SELON BV ASSOCIATES PLAN LANS DE SECOURS INFORMATIQUES PRINCIPES GENERAUX & ETAT DE L ART SELON BV ASSOCIATES Copyright BV Associates 2013 IMEPSIA TM est une marque déposée par BV Associates Page 1 SOMMAIRE 1 PRINCIPES GENERAUX

Plus en détail

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition 09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation

Plus en détail

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte

Plus en détail

Le DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012

Le DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012 Le DMP en Bretagne Assemblée générale ANIORH Vendredi Ordre du Jour 1- Présentation du DMP 2- Déploiement du DMP en Bretagne 3- Présentation de la démarche en établissement 4- Présentation de la démarche

Plus en détail

Dossier communicant de cancérologie (DCC) et dossier médical personnel (DMP)

Dossier communicant de cancérologie (DCC) et dossier médical personnel (DMP) Dossier communicant de cancérologie (DCC) et dossier médical personnel (DMP) Cadre national Octobre 2010 Mesure 18 : Personnaliser la prise en charge des malades et renforcer le rôle du médecin traitant

Plus en détail

Protocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit.

Protocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. Protocole [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. 1. 2. Descriptif du dispositif Le contexte... p. 4 Les objectifs... p. 5 Les bénéficiaires... p. 5 Le chéquier et les coupons... p.

Plus en détail

La sécurité informatique d'un centre d imagerie médicale Les conseils de la CNIL. Dr Hervé LECLET. Santopta

La sécurité informatique d'un centre d imagerie médicale Les conseils de la CNIL. Dr Hervé LECLET. Santopta La sécurité informatique d'un centre d imagerie médicale Les conseils de la CNIL Dr Hervé LECLET Tous les centres d'imagerie médicale doivent assurer la sécurité informatique de leur système d'information

Plus en détail

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS

Plus en détail

UE 8 Systèmes d information de gestion Le programme

UE 8 Systèmes d information de gestion Le programme UE 8 Systèmes d information de gestion Le programme Légende : Modifications de l arrêté du 8 mars 2010 Suppressions de l arrêté du 8 mars 2010 Partie inchangée par rapport au programme antérieur Indications

Plus en détail

Mise à jour n 17 : Nouveautés

Mise à jour n 17 : Nouveautés ❶ AxiUpDate : TOUS vos logiciels AXILOG mis à jour facilement, sans perte de temps En installant la mise à jour n 17, vous profitez du nouveau service AxiUpDate. Pourquoi installer AxiUpDate? Tous vos

Plus en détail

Soins infirmiers et gestion des risques

Soins infirmiers et gestion des risques Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La

Plus en détail

Auditabilité des SI et Sécurité

Auditabilité des SI et Sécurité Auditabilité des SI et Sécurité Principes et cas pratique Géraldine GICQUEL ggicquel@chi-poissy-st-germain.fr Rémi TILLY remi.tilly@gcsdsisif.fr SOMMAIRE 1 2 3 4 Les leviers d amélioration de la SSI Les

Plus en détail

PLUS ON EN SAIT MIEUX ON SE PORTE. Utiliser le Dossier Médical Personnel en EHPAD

PLUS ON EN SAIT MIEUX ON SE PORTE. Utiliser le Dossier Médical Personnel en EHPAD PLUS ON EN SIT MIEUX ON SE PORTE Utiliser le Dossier Médical Personnel en EHPD Mars 01 Le Dossier Médical Personnel : pour améliorer la prise en charge des résidents Depuis 008, les établissements d hébergement

Plus en détail

Gestion des risques : Principes et méthodes d analyse d accidents thérapeutiques

Gestion des risques : Principes et méthodes d analyse d accidents thérapeutiques Gestion des risques : Principes et méthodes d analyse d accidents thérapeutiques 6ème journée "Actualités et perspectives» Réseau d Hémovigilance Aquitaine Limousin 27/11/08 Dr P.Roussel Institut National

Plus en détail

Projet ARMEN vague 2 Segment Serveurs Livrable long

Projet ARMEN vague 2 Segment Serveurs Livrable long Projet ARMEN vague 2 Segment Serveurs Livrable long Introduction Sommaire 1) Introduction : périmètre de la réflexion et cartographie 2) Les bonnes pratiques d achat et opportunités du segment 3) Les gains

Plus en détail

«Gestion de la pharmacie et organisation du circuit du médicament»

«Gestion de la pharmacie et organisation du circuit du médicament» «Gestion de la pharmacie et organisation du circuit du médicament» Prestations proposées par M. (Réactualisation 2010) Á moduler selon vos besoins 1 Contexte/Enjeux/Objectifs : La sécurisation du circuit

Plus en détail

Dossier de Presse Mars 2010

Dossier de Presse Mars 2010 Dossier de Presse Mars 2010 www.cegedim-logiciels.com Contacts Presse CEGEDIM LOGICIELS MEDICAUX Christine COURTELARRE Marketing et Communication Tél. : 01 49 09 28 67 christine.courtelarre@cegedim.fr

Plus en détail

traçabilité en milieu médical

traçabilité en milieu médical traçabilité en milieu médical SOLUTIONS - EFFICACITÉ - SÉCURITÉ la traçabilité, pourquoi? Améliorer la sécurité du patient et la qualité des soins Améliorer la qualité des soins de santé est un enjeu majeur

Plus en détail

Vyntus SPIRO. Piloté par SentrySuite

Vyntus SPIRO. Piloté par SentrySuite Vyntus SPIRO Piloté par SentrySuite Avec l introduction de Vyntus SPIRO, Jaeger permet une amélioration du dépistage de la fonction respiratoire. Le logiciel SentrySuite a été conçu pour faciliter la tâche,

Plus en détail

Charte des Maîtres de Stage des Universités (MSU), en médecine générale

Charte des Maîtres de Stage des Universités (MSU), en médecine générale 1 Charte des Maîtres de Stage des Universités (MSU), en médecine générale Préambule L objectif du stage de deuxième cycle en médecine générale est d appréhender les grands principes et les spécificités

Plus en détail

SIECLE BASE ELEVES ETABLISSEMENT

SIECLE BASE ELEVES ETABLISSEMENT SIECLE Base Elèves Etablissement (BEE) Version 12.1 Mars 2012 SIECLE BEE 1/21 Table des matières Introduction...3 Les apports de BEE version 12.1...4 L amélioration de l ergonomie.........4 La réorganisation

Plus en détail

LABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax.

LABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax. LABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax. 01.39.43.78.79 www.laboexpress.fr SOMMAIRE I. PRESENTATION

Plus en détail

Auditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon

Auditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon Auditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon 8 avril 2015 DGOS Rodrigue ALEXANDER 1 Le CH Compiègne-Noyon Territoire de santé Oise-Est (Picardie) issu d une fusion au 1/01/2013 1195litsetplaces(MCO,SSR,HAD,USLD,EHPAD)

Plus en détail

ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS

ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification

Plus en détail

Les messages EDI en librairie

Les messages EDI en librairie dernière mise à jour : avril 2013 Les messages EDI en librairie Échanges de Données Informatisés avril 2013 Sommaire Dilicom p. 6 L Alire p. 7 Le FEL p. 8 L EDI p. 3 à 5 Messages EDI p. 9 à 14 Lexique

Plus en détail

Mutualité Française Ile-de-France

Mutualité Française Ile-de-France Mutualité Française Ile-de-France Représentation régionale de la Fédération Nationale de la Mutualité Française Acteur de l économie sociale et solidaire 280 mutuelles adhérentes 5.5 millions de personnes

Plus en détail

WHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5

WHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la

Plus en détail

«Politique des ARS pour les seniors»

«Politique des ARS pour les seniors» «Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service

Plus en détail

Atlas 2014 des SIH. Etat des lieux des systèmes d information hospitaliers

Atlas 2014 des SIH. Etat des lieux des systèmes d information hospitaliers Atlas 2014 des SIH Etat des lieux des systèmes d information hospitaliers Direction générale de l offre de soins Mai 2014 Sommaire 1 INTRODUCTION 4 2 PARTIE 2 : LES OBSERVATOIRES 6 2.1. L observatoire

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

Dossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse :

Dossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse : Dossier de presse Le don de sang sur les lieux fixes de collecte Juin 2013 Contact presse : EFS Île-de-France Pôle Relations institutionnelles et communication d image Audrey Larquier : audrey.larquier@efs.sante.fr

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Table des matières. Première partie : Énergie et Polarité... 23 REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE...

Table des matières. Première partie : Énergie et Polarité... 23 REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE... Table des matières su REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE... 15 À QUI S ADRESSE CE LIVRE... 17 INTRODUCTION... 19 Première partie : Énergie et Polarité... 23 CHAPITRE

Plus en détail

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels

Plus en détail

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales

Plus en détail

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan

Plus en détail

institut national de jeunes sourds de Paris

institut national de jeunes sourds de Paris institut national de jeunes sourds de Paris Mise en place d un dossier unique informatisé de l élève à l institut national de jeunes sourds de Paris CAHIER DES CHARGES Page 1 sur 10 Le présent document

Plus en détail

REGISTRE CIL CHI DU PAYS DES HAUTES FALAISES

REGISTRE CIL CHI DU PAYS DES HAUTES FALAISES Gestion administrative s patients Outil Gestion administrative s patients admissions s patients qui se présentent sur les sites du CHI - Création du dossier administratif patient/saisie s séjours/facturation

Plus en détail

Fédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008. 24/10/2008 ROR-IF Dr F. Dolveck

Fédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008. 24/10/2008 ROR-IF Dr F. Dolveck Fédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008 Dr F. Dolveck 1 Premiers éléments de réflexion Des expériences localisés non concertés (92-91) : Mauvaise connaissance de l offre de

Plus en détail

Médecine en 2014. Médecine en 2014. Exigences techniques

Médecine en 2014. Médecine en 2014. Exigences techniques Pierre Bonnet, Félix Scholtes - Université de Liège - Sciences biomédicales Michel Raze - Centre Hospitalier Universitaire de Liège Stéphane Safin - Université de Paris 8 - laboratoire Paragraphe-C3U Médecine

Plus en détail

«En 2013, je m occupe enfin de mon Système d Information!»

«En 2013, je m occupe enfin de mon Système d Information!» «En 2013, je m occupe enfin de mon Système d Information!» Jeudi 14 mars 2013 Ana Suso : CCI de Bayonne Pays Basque a.suso@bayonne.cci.fr Tel: 05 59 46 59 65 «Un Système d Information maitrisé, levier

Plus en détail

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et

Plus en détail

TABLEAU CROISE DYNAMIQUE

TABLEAU CROISE DYNAMIQUE TABLEAU CROISE DYNAMIQUE Cours Excel 3 ème Partie LEA3 Page 1 Cours Excel 3 ème Partie LEA3 Page 2 FILTRER UN CHAMP Il y a des moments ou vous ne voulez pas avoir une vision globale des données mais plutôt

Plus en détail

Système d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS)

Système d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS) Séminaire SIM 07 FMP de Fès, le 02 juin 2007 Système d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS) Auteurs : Mme Drissia ELACHEJAI Ingénieur en chef Centre Hospitalier Ibn

Plus en détail

LE CODE-BARRES EN MOUVEMENT

LE CODE-BARRES EN MOUVEMENT LE CODE-BARRES EN MOUVEMENT IMPRIMANTES D ÉTIQUETTES -LOGICIELS D ÉTIQUETAGE ET DE TRAÇABILITÉ IMPRESSION POSE - LECTURE CODES BARRES le logiciel de gestion d étiquetage et de traçabilité Le logiciel LEGITRACK

Plus en détail

Bilan d activité du GCS SISCA. 18/12/2008 Ce qui a été fait depuis Décembre 2007.

Bilan d activité du GCS SISCA. 18/12/2008 Ce qui a été fait depuis Décembre 2007. Bilan d activité du GCS SISCA 18/12/2008 Ce qui a été fait depuis Décembre 2007. Mise en place opérationnelle du GCS SISCA - Equipement en mobilier, matériels informatique, téléphonie et réseau informatique.

Plus en détail

2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé

2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Atelier n 11 Monter un parcours de soins sur une approche territoriale ciblée 2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Françoise ELLIEN,

Plus en détail

Présentation Télésanté Aquitaine. Séminaire réseaux. Système d Information. Dossier générique réseaux de santé Le 8 décembre 2006

Présentation Télésanté Aquitaine. Séminaire réseaux. Système d Information. Dossier générique réseaux de santé Le 8 décembre 2006 Présentation Télésanté Aquitaine Séminaire réseaux Système d Information Dossier générique réseaux de santé Le 8 décembre 2006 Programme Dossier Générique Réseaux Le 8 décembre 2006 1/2 Introduction 5mn

Plus en détail

Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages

Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49

Plus en détail

Système de gestion des données RAPIDComm 3.0 : la solution avancée de connectivité et de communication en biologie délocalisée

Système de gestion des données RAPIDComm 3.0 : la solution avancée de connectivité et de communication en biologie délocalisée Système de gestion des données RAPIDComm 3.0 : la solution avancée de connectivité et de communication en biologie délocalisée White paper Allen B, Hoffman G, Arkhipov V Des réponses pour la vie. 2 1 Résumé

Plus en détail

DPC «ACTION EN SECURITE TRANSFUSIONNELLE»

DPC «ACTION EN SECURITE TRANSFUSIONNELLE» Programme de DPC «ACTION EN SECURITE TRANSFUSIONNELLE» Séance cognitive DPC Samedi 20 juin 2015 Journée Régionale d Hémovigilance ARS IDF Généralités Unprogramme de DPC est un ensemble d activités d évaluation

Plus en détail

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.

Plus en détail

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE

FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : AFSH1506148A Intitulé du texte : Arrêté relatif à l admission dans les instituts préparant au diplôme d Etat de masseur-kinésithérapeute Ministère à l

Plus en détail

Proyecto Telemedicina

Proyecto Telemedicina Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement

Plus en détail

Systèmes d information Hospitaliers : La fin des citadelles. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE

Systèmes d information Hospitaliers : La fin des citadelles. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE Systèmes d information Hospitaliers : La fin des citadelles 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE Jean-Marc Tourreilles DSIO Centre Hospitalier Intercommunal Fréjus-Saint-Raphaël Présentation du CHI Fréjus-ST-Raphaël

Plus en détail

ARCHIVAGE / SIGNATURE ELECTRONIQUE

ARCHIVAGE / SIGNATURE ELECTRONIQUE A B A C U S ARCHIVAGE / SIGNATURE ELECTRONIQUE ARCHIVAGE ET SIGNATURE ELECTRONIQUE Archivage numérique Les factures clients et fournisseurs, les confirmations de commande, les bons de commande, la correspondance

Plus en détail

_GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_

_GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_ _GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_ INTRODUCTION L accès à la contraception, sans autorisation parentale, est un droit pour les mineur(e)s. Néanmoins, dans la réalité, les jeunes ayant besoin

Plus en détail

Dossier Médical Personnel une réalité partagée en Alsace!

Dossier Médical Personnel une réalité partagée en Alsace! Dossier Médical Personnel une réalité partagée en Alsace! Mardi 14 Février 2012 L accompagnement des professionnels de santé sur le terrain M. Gaston STEINER directeur d Alsace e-santé(gcs) Le DMP, socle

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

C L R C. Cahier des charges AMC. Harmonisation des attestations AMC. Comité de Liaison des Régimes Complémentaires

C L R C. Cahier des charges AMC. Harmonisation des attestations AMC. Comité de Liaison des Régimes Complémentaires C L R C Comité de Liaison des Régimes Complémentaires Harmonisation des attestations AMC Réf. : P1-Harmonisation des attestations-cdc AMC V1.0.doc Date de dernière mise à jour : 26 mai 2014 Auteur : CLRC

Plus en détail

Transformation IT de l entreprise GESTION ÉLECTRONIQUE DE DONNÉES ET DÉMATÉRIALISATION, LE TEMPS EST VENU DE SAUTER LE PAS

Transformation IT de l entreprise GESTION ÉLECTRONIQUE DE DONNÉES ET DÉMATÉRIALISATION, LE TEMPS EST VENU DE SAUTER LE PAS Transformation IT de l entreprise GESTION ÉLECTRONIQUE DE DONNÉES ET DÉMATÉRIALISATION, LE TEMPS EST VENU DE SAUTER LE PAS C omment fluidifier les échanges entre votre entreprise et ses clients? Comment

Plus en détail