Mise au point d'un outil de simulation de situations accidentelles en réseaux souterrains B C R D Rapport final synthétique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Mise au point d'un outil de simulation de situations accidentelles en réseaux souterrains B C R D Rapport final synthétique"

Transcription

1 Mise au point d'un outil de simulation de situations accidentelles en réseaux souterrains B C R D Rapport final synthétique Autorisation de programme 1997 Subvention n notifiée le 27 juin 1997 (décision modificative du 21 août 2000) Direction des Risques Accidentels Juin 2001

2 Mise au point d'un outil de simulation de situations accidentelles en réseaux souterrains B C R D Rapport final synthétique Autorisation de programme 1997 Subvention n notifiée le 27 juin 1997 (décision modificative du 21 août 2000) JUIN 2001 PERSONNES AYANT PARTICIPE A L'ETUDE E. RUFFIN S. DAERON; L. FOURNIER, E. DANIN Rédaction Vérification Approbation NOM E. RUFFIN Y. MOUILLEAU B. FAUCHER Qualité Ingénieur à la Direction des Risques Accidentels Unité PHEN Ingénieur à la Direction des Risques Accidentels Directeur de la Direction des Risques Accidentels Visa Signé Signé Signé 1 / 62

3 TABLE DES MATIERES 1. RÉSUMÉ INTRODUCTION RAPPEL DES OBJECTIFS ET CHOIX INHÉRENTS AU PROJET Rappels et évolution des objectifs Choix concernant les développements numériques Choix concernant les développements expérimentaux Choix concernant les validations numériques et expérimentales PRÉSENTATION SYNTHÉTIQUE DES TRAVAUX NUMÉRIQUES : NEW- VENDIS Structure numérique de NEW-VENDIS Fonctionnalité des divers modules de New-Vendis Le pré-processeur Le processeur Le post-processeur Le Couplage 1D/3D Architecture fonctionnelle Implantation dans NewVendis Réflexions sur le couplage avec Phoenics Eléments informatiques PRÉSENTATION SYNTHÉTIQUE DES DÉVELOPPEMENTS EXPÉRIMENTAUX Le laboratoire maquette Le dispositif expérimental de validation du couplage 1D/3D La maquette d essai Simulation des sources accidentelles (incendie, fuite de gaz) Principes des essais réalisés PRÉSENTATION SYNTHÉTIQUE DES VALIDATIONS NUMÉRIQUE ET EXPÉRIMENTALE Validations numériques Cas d un réseau avec un ventilateur Validation du transfert thermique par convection et rayonnement Validation de l instationnarité Validations expérimentales Capteurs de pression Capteurs de vitesse d écoulement Capteurs de concentration Chaîne d'acquisition de données / 62

4 7. CONCLUSION ET PERSPECTIVES BIBLIOGRAPHIE RESUME L INERIS est depuis des années un acteur important de la sécurité dans les installations industrielles. Fort de cette expérience, l institut a développé ce projet de recherche en axant son effort notamment sur la possibilité d utiliser l évolution de l informatique actuelle afin d'ouvrir une nouvelle voie pour la simulation précise d événements accidentels (hors explosion) en milieux confinés. Les enjeux sont clairement la sécurité dans les espaces souterrains [1] et notamment les tunnels, structures qui deviennent de plus en plus complexes. Ce projet, qui recoupe certains des besoins associés à l élaboration ou à l expertise des Etudes Spécifiques de Dangers pour les tunnels routiers (nouveau contexte réglementaire français) vise les objectifs principaux suivants : - améliorer l évaluation des effets accidentels dans des ouvrages souterrains complexes, - élaborer un couplage informatique d un modèle unidimensionnel de ventilation en réseau avec un modèle tridimensionnel de calcul de dispersion (modèle CFD) de fumées d incendie et rejets toxique. - réaliser des cas tests expérimentaux afin d obtenir des données de validation du travail de développement numérique, - valider les développements réalisés. Dans ces objectifs, le couplage informatique de codes de calculs de différentes natures se situe clairement comme la clé d une évaluation améliorée des effets accidentels en milieux confinés. Ces effets sont la modification du comportement d un ouvrage (ayant une ventilation plus ou moins complexe) du fait de la présence de la source accidentelle ainsi que l impact de la variation du comportement de l ouvrage sur la source accidentelle elle-même. Dans ce projet, il a donc été mis en place un développement axé sur le couplage numérique de deux types de calculs : le calcul des réseaux de ventilation visant à estimer de comportement global d un ouvrage, le calcul de la dynamique des fluides représenté par les équations de Navier-Stokes (code CFD) visant à bien prendre en compte le comportement local d'une source accidentelle. Pour mettre en place ce couplage numérique et sa validation il a été créé : d une part, un nouveau code de calcul en réseau de ventilation New-Vendis - dont l architecture est adaptée pour échanger des informations avec un code de calcul externe (CFD ou autre) et permet la prise en compte de nombreux effets accidentels et naturels propres à un réseau de ventilation, d autre part, une installation expérimentale dédiée à l obtention de données de validation et plus généralement à la simulation d effets accidentels à échelle réduite. 3 / 62

5 Enfin, les données expérimentales obtenues sont utiles à la validation des développements numériques mais constituent aussi, à elles seules, des premiers résultats intéressants vis-à-vis de la simulation à échelle réduite d incendies en milieux confinés. 4 / 62

6 2. INTRODUCTION Fort de son expérience dans le domaine de la sécurité, l INERIS s est intéressé à l amélioration de l évaluation des effets accidentels dans les espaces souterrains. Dans le contexte où le projet a vu le jour (1997) il paraissait important d améliorer les moyens de simulation des effets accidentels dans les ouvrages souterrains pour les raisons principales suivantes : il est important d une part, de mieux prévoir les modes de fonctionnement et le dimensionnement des installations de ventilation et de divers éléments de sécurité permettant d éviter les effets des phénomènes accidentels - ce qui conditionne pour partie le coût d un ouvrage -, et d autre part, de définir les actions à mener pour limiter les effets d accidents, les différentes techniques de prévision des effets liés aux incendies et aux rejets gazeux accidentels ne sont applicables que pour des réseaux souterrains et des tunnels simples en considérant des conditions limites simplifiées qui sont souvent peu représentatives de la réalité, les effets des accidents dans des ouvrages complexes (réseau de métro, grands tunnels ferroviaires ou routiers, bâtiments ou stockages souterrains ) sont pratiquement impossibles à prévoir, simultanément, avec un niveau de précision satisfaisant, pour la globalité du comportement de l ouvrage et pour les effets locaux accidentels. Pour bien comprendre le problème prenons l exemple de l incendie. La simulation d un incendie en ouvrage souterrain engendre de nombreux phénomènes physiques (dont certains sont encore mal connus) tels que bien sûr le réchauffement de l écoulement d air présent dans la galerie où il se trouve mais aussi la production de fumées. Ces deux caractéristiques de base vont alors être modulées selon que le courant d air en galerie est fort ou faible, que les fumées se forment en une couche chaude (sont stratifiées) ou non ou encore que les fumées se propagent à contre-courant d air (backlayering) ou non. A ce stade, et si l on ajoute le fait que l incendie, de part sa puissance thermique, peut provoquer une variation de l équilibrage des débits dans un réseau de ventilation (tirage thermique), on comprend alors que la simulation du seul phénomène incendie en ouvrage souterrain ne peut pas être réalisée à partir d un seul type de code de calcul. A minima, il nécessite la prise en compte de phénomènes globaux (variation de débits d air dans le réseau) et la prise en compte de phénomènes locaux (dispersion tridimensionnelle des fumées). 5 / 62

7 Figure 2 1: Exemple schématique de la notion de phénomènes globaux d un réseau de ventilation et de phénomènes locaux liés à un événement accidentel. En première approche, on peut analyser la simulation des effets de rejets gazeux accidentels en réseaux souterrains de la même manière : besoin de simuler des phénomènes physiques globaux et locaux différents faisant donc appel à des outils de simulation différents. Plusieurs types d outils répondent partiellement à la modélisation des effets d un incendie cités précédemment [1], [2]. En théorie, les modèles CFD (Computational Fluid Dynamics, [3], [4]) permettent de décrire l ensemble des phénomènes puisqu ils peuvent intégrer des modèles de combustion et de transferts thermiques fluides et solides. Cependant, ils ne sont utilisables que dans les cas simplifiés (zones d écoulement de quelques dizaines à quelques centaines de mètres) pour des raisons de temps de calcul et de temps de préparation de ces calculs. De plus, ces outils de simulation demandent une utilisation prudente ainsi qu une bonne maîtrise. Pour palier au problème de temps de calcul, des modèles simplifiés, développés initialement essentiellement dans le cadre des incendies de bâtiments peuvent être utilisés [5]. Ces modèles, appelés modèles à zones, offrent une description simplifiée des phénomènes de stratification des fumées et peuvent prendre en compte des zones de panache thermique, de jets, de couches stratifiées Ils sont basés sur une description analytique empirique des différentes zones du domaine de calcul simulé, d où leur nom. On peut principalement leur reprocher de ne pas prendre en compte l ensemble des phénomènes physiques d un écoulement fluide du fait, généralement, de la non prise en compte du bilan de quantité de mouvement ou encore de l instationnarité, et d être réservés à des cas précis pour lesquels ils ont été validés. Dans ces cas, ils peuvent constituer une approche alternative intéressante aux modèles CFD suivant le niveau de précision demandé. Ils nécessitent généralement des temps de calculs très inférieurs à ceux requis par les modèles CFD, ce qui leur permet d aborder la simulation d'écoulements dans des zones confinées de grandes dimensions. 6 / 62

8 Cependant, ni les modèles CFD, ni les modèles à zones ne sont capables de simuler l équilibrage d un réseau aéraulique complexe comprenant éventuellement la description de plusieurs centaines de galeries. Les modèles mono-dimensionnels en réseau (modèles 1D) sont faits pour cela. Initialement, ils ont pu être développés pour des problèmes de ventilation minière (c est le cas à l INERIS, [6]), de réseau de distribution (eau, gaz, etc) ou encore pour la gestion des réseaux hydrographiques. Ils sont basés sur la simplification mono-dimensionnelle des équations générales de Navier-Stokes. Ils permettent de tenir compte de façon simplifiée des effets moteurs ou dissipateurs d énergie pour les écoulements fluides en réseau. Ils permettent en outre l intégration de termes additionnels dans les équations de façon à tenir compte d éléments particuliers pouvant être présents dans des réseaux de ventilation tel que des ventilateurs, des sas ainsi que, de façon simplifiée, d effets accidentels. Ainsi, pour palier au problème de la simulation correcte et simultanée des effets locaux et globaux - évoqués précédemment il devient naturel de penser à l exploitation des atouts de chacun des types de codes de calculs décrits brièvement ci-dessus soit : les modèle CFD, les modèles à zone et les modèles de réseau 1D. La convergence de ces atouts passe par ce que nous appellerons par la suite le couplage. On entend par couplage une liaison, qui techniquement, est une liaison informatique entre deux codes de calcul différents et qui, phénoménologiquement, permet une simulation physique adaptée des différentes zones d un écoulement global. La notion de couplage est un point fondamental de ce projet autour duquel se sont articulés les principaux travaux. Un autre point caractéristique des effets accidentels est que ceux-ci sont intrinsèquement transitoires [7]. En effet, une phase accidentelle de l exploitation d un ouvrage passe par : un contexte pré-existant, l occurrence de l accident et de son déroulement, les actions de protection mises en œuvre après détection de l accident, la maîtrise des phénomènes engendrés par l accident permettant le retour à une situation normale. L ensemble de ces phases représente un scénario accidentel. La bonne définition des actions d exploitation à mener lors d un scénario est un deuxième point fondamental permettant la limitation des effets d un accident dans un ouvrage souterrain. Ainsi, le projet a intégré dès le départ cet objectif qui nécessite de pouvoir prendre en compte des effets physiques très divers susceptibles de modifier la ventilation d un ouvrage souterrain. Très concrètement, suivant l ouvrage considéré, on devra savoir tenir compte d action sur la ventilation mécanique, et d autres éléments mécaniques divers, mais aussi de mouvements d objets pouvant créer des déplacements d air (ascenseurs, train, trafic automobile en plus des effets naturels tels que le tirage thermique ou encore des différences de pression atmosphérique d un endroit à un autre de l ouvrage. Les événements qui se sont déroulés au cours de ce projet (accidents du tunnel du Mont Blanc, du tunnel du Tauern, funiculaire de Kaprun) ont dramatiquement démontré l importance d une bonne maîtrise du déroulement d un scénario accidentel et donc des outils qui peuvent contribuer à la prévision des effets thermiques ou chimiques qui peuvent survenir au cours de tels événements. 7 / 62

9 Ces accidents, ont été un des facteurs déclenchant de l évolution rapide du contexte réglementaire français. On note ainsi, pour les tunnels routiers : la parution de la circulaire interministérielle n du 25 août 2000 relative à la sécurité dans les tunnels (d une longueur supérieure à 300m) qui prévoit de nouvelles procédures d autorisation, d ouverture et de suivi des tunnels routiers français, et notamment la réalisation d une Etude Spécifique des Dangers (ESD), la parution de la circulaire interministérielle n du 30 novembre 2000 relative à la réglementation de la circulation des véhicules transportant des marchandises dangereuses (VTMD) dans les tunnels routiers français, prévoyant notamment la réalisation d une Analyse Comparative des Risques (ACR) que représente le TMD sur tel ou tel itinéraire, Les conséquences directes de l application de ces circulaires sont, hormis la réalisation d ESD et/ou d ACR : l institution du Comité d Evaluation de la Sécurité des Tunnels Routiers (CESTR), pièce centrale du nouveau dispositif réglementaire, qui doit donner un avis sur la maîtrise de la sécurité dans ces tunnels, la prise en compte, dans le dossier de sécurité de l ouvrage, d un avis d expert sur l Étude Spécifique des Dangers. Les implications de ce nouveau dispositif réglementaire dans le domaine des transports sont nombreuses et rendent nécessaire l évolution des moyens de réalisation et d expertise des Etudes Spécifiques de Dangers. Le présent projet se place donc, dans ce contexte, comme une recherche permettant de développer de nouveaux outils capables d aider à la réalisation d ESD, et plus particulièrement à l évaluation des effets des accidents de type incendie et rejets gazeux. Notons, qu un projet de loi relatif à la sécurité des infrastructures et systèmes de transport est en préparation (METL - dossier de presse du 21 mars 2001) et pourrait étendre les demandes actuelles relatives aux tunnels routiers au domaine ferroviaire. Dans un contexte plus général de la sécurité en ouvrages souterrains, et de façon tout aussi importante, ce projet propose des développements pouvant être utiles à l étude des possibilités de stockages réversibles ou irréversibles des déchets radioactifs dans les formations géologiques profondes (loi du 30 décembre 1991) ou encore à la prévention des risques miniers en cours d exploitation ou après la fin de l exploitation (loi du 30 mars 1999). Par ailleurs, il offre également la possibilité d évaluer le comportement de certains réseaux de canalisations présents dans le milieu industriel comme, par exemple, l évaluation de fuites de réseaux gazeux en milieux confinés ou encore l évaluation des performances de réseaux d eau incendie. 8 / 62

10 Partant de ces constatations sur les objectifs fondamentaux du projet (le couplage) et des contextes potentiels de l utilisation d un tel futur outil, le projet a été organisé, pour inclure les travaux suivants : la création d un nouveau code (1D) de calcul en réseau de ventilation New-Vendis 1 ayant une architecture adaptée pour l échange d informations avec un code de calcul externe (CFD tridimensionnel ou autre) et permettant la prise en compte de nombreux effets accidentels et naturels adaptables à différents contextes d utilisation, la réalisation de la mise au point du couplage 1D/3D et donc la définition les échanges d informations à réaliser entre les deux codes de calculs pour aboutir à une simulation globale du réseau accidenté. Ce travail passe préalablement par la définition des techniques informatiques permettant ces échanges d information détaillée ici. la validation physique des résultats fournis par l outil 1D seul et le couplage 1D/3D comprenant plusieurs points importants : les comparaisons numériques et expérimentales des résultats fournis par l outil 1D, c est-à-dire les calculs d équilibrage de réseaux, la création d un nouveau moyen expérimental à échelle réduite, la réalisation d expériences dédiées à la validation du couplage 1D/3D, la réalisation des comparaisons numériques et expérimentales concernant le couplage 1D/3D. Le lecteur trouvera dans le présent rapport la présentation des différents travaux menés pour atteindre ces objectifs déclinés selon les quatre paragraphes principaux : - rappel des objectifs et choix inhérent au projet, - présentation synthétique des travaux numériques, - présentation synthétique des travaux expérimentaux, - présentation synthétique des validations numériques et expérimentales. Enfin, il est utile de souligner que ce projet, qui aborde des concepts nouveaux quant à la simulation des effets accidentels d incendie et de rejets gazeux en milieux confinés, a une vocation de recherche. Ainsi, les développements qui y sont faits et les résultats obtenus ne peuvent être directement appliqués dans un contexte d ingénierie. Il n en demeure pas moins que les développements réalisés dans ce projet l ont été dans l optique de permettre des évolutions à court terme dirigées vers des besoins d applications. 1 appelé aussi outil 1D ou modèle 1D ou outil de simulation par la suite. 9 / 62

11 3. RAPPEL DES OBJECTIFS ET CHOIX INHERENTS AU PROJET 3.1 RAPPELS ET EVOLUTION DES OBJECTIFS Très schématiquement, le projet consiste principalement à : 1. mettre au point un outil de simulation de situations accidentelles en réseaux souterrains nommé : New-Vendis, 2. réaliser et mettre au point le couplage (1D/3D) de deux codes de calcul (New-Vendis et Phoenics), 3. valider autant que possible les développements par voie numérique, théorique ou expérimentale. Comme tout projet, le présent projet a dû faire face à un certain nombre d aléas d ordre interne ou externe. On citera principalement, en plus des difficultés techniques liées à la mise en place d un nouveau laboratoire expérimental d essais à échelle réduite, la participation importante de l INERIS dans la gestion post-accidentelle, et de ces retombées sur le plan réglementaire, de la catastrophe du Mont Blanc (participation à l enquête technique administrative, participation à la réalisation des essais incendie durant l enquête pénale, participation à la rédaction de la circulaire du 25/08/00 instituant la réalisation d Études Spécifiques de Dangers ). Ces différents aléas nous ont contraints à réaliser le programme prévu sur une période effective d environ deux ans au lieu de trois. Cette réduction des périodes de réalisation des travaux a entraîné une révision des objectifs évoqués ci-avant de la façon suivante : concernant le travail sur le couplage : les principes prévus pour réaliser ce couplage ont été étudiés, la programmation et la validation des modes d échanges d information entre les codes de calculs ont été développés et testés, la validation physique du couplage 1D/3D n a pas été abordée ; concernant les essais expérimentaux : les moyens de production de données de validation sont opérationnels et ont été qualifiés, certains des essais nécessaires à la validation d un couplage informatique 1D/3D ont été réalisés, des essais complémentaires seront nécessaires, l exploitation des essais été principalement faite dans l objectif de mettre au point le processus expérimental et de s assurer de l obtention de données exploitables pour la validation du couplage de codes. 10 / 62

12 3.2 CHOIX CONCERNANT LES DEVELOPPEMENTS NUMERIQUES Une partie du travail consiste à savoir calculer précisément la ventilation d un ouvrage à l aide d une modélisation mono-dimensionnelle d un réseau de galerie. Cette modélisation 1D doit également permettre de définir de manière détaillée un scénario accidentel. On rappelle tout d abord que les effets accidentels considérés excluent les explosions. On s intéresse donc principalement aux dangers tels que les incendies ou les rejets massifs de gaz. Pour ces deux effets, on s intéresse donc à représenter le plus finement possible la propagation de fumées d incendie ou de gaz dans le réseau souterrain. On considère dans la modélisation du réseau souterrain l ensemble des effets physiques susceptibles d influencer le comportement de ce réseau. Ces paramètres d influence sont variables dans le temps de façon à obtenir des informations sur la dynamique du réseau et des effets accidentels qui sont transitoires par essence. Un autre objectif que doit atteindre l outil de simulation est qu une partie de cet outil doit être capable de représenter finement la zone accidentée ce qui peut être atteint par l emploi d un code tridimensionnel (3D) qui apporte une meilleure description géométrique et physique du phénomène local considéré et donc de son impact sur l équilibre du réseau de ventilation complet. Pour développer cette simulation il a été choisi dès le départ du projet de s intéresser à la description de la zone accidentelle tridimensionnelle à l aide d un code de calcul de type CFD (Computational Fluid Dynamics), codes de calculs qui permettent la résolution des équations régissant le mouvement des fluides : les équations de Navier-Stokes. Comme il a été précisé en introduction à partir de l exemple de l incendie, ce type de code n est pas le seul à pouvoir apporter un raffinement du comportement de la zone directement affectée par la source accidentelle (les modèles à zones peuvent également être envisagés), mais ce sont des codes largement répandus sur le marché et validés. De plus, certains offrent la possibilité d ajouter une programmation faite par l utilisateur qui est prise en compte dans le fonctionnement de l outil commercial de base. Ces deux aspects sont importants pour l ensemble du projet, et notamment le développement d échanges d information entre la partie monodimensionnelle de l outil de simulation et la partie tridimensionnelle. Il a donc été choisi d utiliser le code de calcul Phoenics pour aborder la simulation des effets tridimensionnels. New-Vendis Phoenics Raffinement local des effets accidentels (Couplage 3D/1D) Figure 3 1 : Calculs tridimensionnels locaux réalisés à partir de Phoenics. 11 / 62

13 Nous vivons une évolution rapide et constante des puissances informatiques. On notera simplement que depuis le démarrage du projet (1997) la fréquence des horloges internes des ordinateurs de bureau a été multipliée au moins par un facteur quatre. Cette évolution rapide des puissances des ordinateurs a influencé les développements numériques dans le sens ou il devenait envisageable de faire intervenir les codes CFD dans l évaluation d effets accidentels en réseaux souterrains tout en calculant avec un autre logiciel le comportement global de la ventilation de ces réseaux. Cette idée se renforcera à l avenir puisque les puissances informatiques seront encore croissantes dans les prochaines années. Aussi, l évolution liée aux réseaux Intranet et Internet facilite les développements numériques où l on fait appel à des besoins de communication. Sur ce point, le projet a un besoin évident : c est la communication des informations entre un code de calcul 1D et un code de calcul externe (3D dans notre cas). Il était alors intéressant de prévoir une plateforme de développement permettant l utilisation de ces connexions Internet. Une autre alternative était de développer l ensemble des deux codes de calcul (1D et 3D) pour mieux maîtriser leurs échanges d information, cette option a rapidement été abandonnée en début de projet. Celle-ci imposait des développements informatiques très lourds alors qu il était a priori possible de réaliser un couplage de code 1D et 3D en utilisant un code 3D du commerce. Ainsi, il a été recherché une plate-forme de développement conviviale permettant la gestion d un gros projet informatique tout en aboutissant à une utilisation rapide et aisée des développements. Pour ces raisons, et l INERIS ayant déjà eu avec cette plate-forme des expériences de développements informatiques importants dans le domaine de l acquisition de données pour la dispersion atmosphérique, c est le logiciel LabView qui a été choisi. Ce logiciel permet le développement de programme ayant une interface utilisateur conviviale (graphique)tout en offrant des fonctionnalités telles que : des bibliothèques mathématiques, la portabilité quasi transparente d un système Windows à un système UNIX, la gestion des réseaux informatiques et des applications client/serveur, la gestion des systèmes d acquisition de données Enfin, l outil de simulation doit être capable de prendre en compte les apports respectifs du calcul de scénarios accidentels en réseau de ventilation (monodimensionnel) et la simulation fine de la zone accidentelle (fumées d incendie et rejets gazeux tridimensionnels). Cette prise en compte dans la simulation globale, de la simulation 1D et de la simulation 3D est ce que nous appelons le Couplage des simulations 1D et 3D. Cette fonction de couplage a été intégrée dans l outil NewVendis lui-même. NewVendis donc intègre à la fois, le calcul de l équilibrage d un réseau de ventilation ainsi que la prise en compte du couplage de codes de calculs de par l orchestration des échanges d informations nécessaires. E ffets g lo b a u x : - réseau de ventilation - écoulem ent hom ogène - échanges d inform ations N e w -V e n d is E ffets lo ca u x : - source accidentelle - écoulem ent inhom ogène Phoenics Figure 3 2 : Représentation schématique des rôles respectifs de NewVendis et de Phoenics. 12 / 62

14 L'ensemble des travaux de développements numériques est présenté plus en détail au CHOIX CONCERNANT LES DEVELOPPEMENTS EXPERIMENTAUX Comme il a été introduit avant, les développements expérimentaux ont un objectif important de validation des phénomènes physiques pouvant être simulés grâce au couplage de codes de calcul différents. Il s agit donc là d un niveau de validation très fin où il s agit de savoir estimer les erreurs provenant de la simulation du réseau de ventilation, celles provenant de la simulation de la zone tridimensionnelle de calcul et celles provenant de la représentativité des effets de couplage, sans oublier les incertitudes inhérentes au processus expérimental luimême. Objectivement, ce niveau de validation nécessite une maîtrise parfaite des données de validation et donc des expériences. Il a donc été choisi de développer à l INERIS une maquette à échelle réduite permettant ce type de validation et une expérience dédiée à la validation du couplage 1D/3D. Ces développements expérimentaux sont décrits au 5. Plus généralement, l INERIS a choisi de développer l activité de simulation à échelle réduite, cette activité étant un bon complément exploratoire des moyens d essais en grand ainsi qu un bon moyen d obtention de données de validation numériques. L expérience dédiée à la validation des développements numériques du présent projet a donc été installée dans un laboratoire spécialement conçu et construit durant ce même projet. L installation complète est également présentée au CHOIX CONCERNANT LES VALIDATIONS NUMERIQUES ET EXPERIMENTALES Le problème étant de développer entièrement un nouveau code de calcul, les validations ont été menées pour les différents développements de base selon deux axes : des validations de modèles physiques à partir de résultats expérimentaux à petite ou à grande échelle, des validations de méthodes de résolutions numériques à partir de résultats analytiques théoriques ou bibliographiques D une façon générale, et de part l architecture mise en place pour l outil de simulation, les validations se rapportant à l objectif 1 (Cf. 3.1) se sont essentiellement portées sur la validation de l implémentation de modèles physiques existants et de leur intégration dans l outil global plutôt que sur le développement de nouveaux modèles physiques. En ce qui concerne les validations se rapportant à l objectif 2 elles ont finalement consisté principalement à la mise en d une nouvelle expérience spécifiquement développée pour cet objectif (Cf. 5). Les validations de cet objectif ont également porté sur les méthodes d échange d informations employées pour réaliser le couplage numérique de New-Vendis et de Phoenics. Le couplage numérique des codes est présenté au Une partie des travaux de validation est présenté au / 62

15 4. PRESENTATION SYNTHETIQUE DES TRAVAUX NUMERIQUES : NEW-VENDIS Originellement l INERIS a développé, à partir de 1976, un programme de calcul de ventilation en réseaux souterrains nommé Vendis [6]. Ce programme est capable, dans sa dernière version, de simuler de façon simple un incendie. Cependant, comme il a été souligné au chapitre précédent, l informatique a beaucoup évolué et les objectifs associés au présent projet ne sont pas compatibles avec un simple réaménagement du code Vendis. Il a donc été décidé de créer New-Vendis en étendant les capacités de l ancien code de calcul et en intégrant au mieux les objectifs du présent projet. On montre donc ci-après les principales caractéristiques de l outil New-Vendis créé durant ce projet. 4.1 STRUCTURE NUMERIQUE DE NEW-VENDIS La structure de New-Vendis est conçue pour pourvoir prendre en compte la simulation d effets globaux (réseaux de ventilation) et d effets locaux (effets accidentels). Dès le départ du projet, l objectif de couplage de code a été intégré dans la structure. Le schéma ci-dessous montre la structure de Vendis (ancien outil) et celle de NewVendis. Vendis New-Vendis Raffinement par ajout de branches Lois de Kirchhoff Théorie des réseau maillés Raffinement local des branches (sous modèle 1D) Raffinement local CFD (3D) Raffinement local Modèles à Zones Equations caractéristiques des mailles Résolution Hardy-Cross Comme on peut le voir, dans les deux outils, le raffinement local de la description des effets d une source accidentelle intéresse une partie centrale des codes de calculs. Dans le cas de Vendis, le raffinement de la solution se fait par ajout de branches contigües dans le réseau maillé. De cette façon, le nombre de branches à prendre en compte dans la résolution du calcul peut devenir important. Aussi, dans le cas de Vendis, la prise en compte d informations venant d un autre code est complexe car le raffinement de la solution ne fait pas appel à d autre modèle que le modèle général de propagation de l écoulement entre les branches du réseau. Il n est donc pas possible de faire appel à un modèle physique particulier dans une branche et à un autre modèle dans une autre. 14 / 62

16 Cette possibilité est intégrée dans New-Vendis. De ce fait la structure de l outil est plus complexe mais elle permet le raffinement local de la solution par des modèles différents. En fait, dans New-Vendis le réseau est principalement construit comme étant les branches strictement nécessaires à la description du réseau et des points nodaux en associant un raffinement local de l évaluation de la solution dans les branches désirées. Ce raffinement local étant obtenu par une discrétisation des branches (modèle de raffinement 1D) ou un modèle externe. Dans les deux cas, et c est là un concept très différent par rapport à Vendis. Le raffinement de la solution en un endroit du réseau revient alors à reporter l information de l effet du raffinement local aux nœuds de la branche concernée. Donc, conceptuellement, on reporte dans la méthode de résolution des réseaux maillés classiques, les informations données par un modèle de raffinement local de la solution. Deux types de modèle de raffinement ont été considérés durant le projet : le raffinement local par modèle 1D, ce qui sera appelé couplage 1D/1D, le raffinement local par modèle 3D (couplage 1D/3D). Structurellement, l intégration du concept de report d information aux nœuds d une branche rend a priori possible l utilisation d autre modèle de raffinement local, tels que par exemple les modèles à zones. 4.2 FONCTIONNALITE DES DIVERS MODULES DE NEW-VENDIS Du point de vue de l utilisateur, la structure générale du code de calcul n est pas différente de la plupart des outils de simulation et est composée : d un pré-processeur, d un processeur, d un post-processeur. Dans un premier temps, il s agit pour l utilisateur de décrire le réseau de ventilation en y déclarant les effets moteurs ou dissipateurs d énergie pour les courants d air et de fumées. Ensuite, il s agit de prévoir un raffinement local du calcul, soit par le couplage 1D/3D, soit en discrétisant la zone proche de la source accidentelle tout en restant dans une description monodimensionnelle de l écoulement (couplage 1D/1D). Cette description du cas de calcul est faite à l aide d un pré-processeur (intégrant un mailleur) qui est décrit au paragraphe Dans un second temps, il s agit de réaliser la simulation d un scénario. L utilisateur procédera alors au calcul du scénario décrit avec le pré-processeur à l aide d un processeur qui permettra la définition des paramètres globaux du calcul tels que par exemple les températures ou pression de référence, le temps de simulation ou encore la définition du stockage des résultats. Le processeur est décrit au paragraphe Enfin, l utilisateur peut faire appel à un ensemble de petits utilitaires permettant différentes analyses des calculs réalisés. L ensemble de ces petits utilitaires est appelé post-processeur par la suite et est décrit au paragraphe / 62

17 4.2.1 Le pré-processeur Généralités Le pré-processeur permet d une part la description de la géométrie du réseau de branches composant de réseau souterrain et d autre part la déclaration des effets moteurs ou dissipateurs pour les courants aérauliques. Commençons par la description de la géométrie. Tout d abord, le réseau aéraulique est considéré comme étant un ensemble de branches connectées entre elles par des nœuds. Chaque branche est alors définie par un point de départ, un point d arrivée et des points internes permettant d affiner la description géométrique de la branche. Les paramètres pris en compte pour chaque branche sont également : son nom, son diamètre hydraulique, le périmètre de sa section droite, des coefficients permettant de calculer les pertes de charges linéiques ainsi que le transfert thermique. Un exemple de boite de dialogue permettant la déclaration d une branche d un réseau est donné ci-dessous. Figure 4 1 : Interface de définition des branches constituant le réseau. D autres méthodes plus rapides de déclaration des branches d un réseau sont intégrées dans le mailleur tel que l utilisation des curseurs et des méthodes de duplication de branches identiques, ajout/supression de branches ou de points de discrétisation dans une branche, etc 16 / 62

18 Le nombre de branche du réseau est uniquement limité par la mémoire disponible sur l ordinateur. Notons d ailleurs que ceci est vrai pour l ensemble des fonctionnalités offertes par l outil de calcul. En effet, le logiciel qui a été choisi pour le développement (LabView) gère l allocation dynamique de la mémoire et n a pas besoin que la taille des tableaux de données soit prédéfinie contrairement à l ancien langage de programmation (Fortran 77). On donne ci-dessous deux exemples de réseaux de ventilation : un tunnel bi-tube ferroviaire et un réseau minier. Figure 4 2 : Cas d un réseau aéraulique de type tunnel bi-tube ferroviaire et d un réseau aéraulique de type ventilation de mine. 17 / 62

19 Donc, à partir du pré-processeur, l utilisateur peut réaliser toutes les opérations nécessaires à la description des galeries d un réseau de ventilation, même complexe. L utilisateur peut également décrire les effets moteurs ou dissipateurs des écoulements parcourant le réseau de branches. Ces effets sont alors renseignés à l aide de deux pointeurs sur les branches concernées. La présence de deux pointeurs permet de décrire des effets orientés ou non orientés ainsi que des effets mobiles ou dynamiques * au cours de la simulation. On entend par effets mobiles, des effets qui agissent sur des branches différentes du réseau durant la simulation, par exemple le déplacement d un solide qui crée un effet de pistonnement dans la branche où il se trouve à un instant donné et crée un effet similaire dans une branche adjacente l instant d après. Les effets, dont le positionnement ne varie pas dans le temps sont aisés à déclarer. Les effets mobiles sont un peu plus complexes à définir car il s agit alors de définir sur le réseau de ventilation les chemins que l effet mobile est susceptible de parcourir. Le pré-processeur donne la possibilité de définir ces chemins. Pour l instant l on s est uniquement intéressé à la description des effets de pistonnement d un mobile se déplaçant dans le réseau de ventilation mais les bases de la description à venir d autres effets mobiles sont établies. Les effets sont donc définis, à l aide du pré-processeur, sur le réseau de galeries préalablement défini par l utilisateur. Afin d élargir au maximum les champs d investigation possibles du présent projet et de ses applications potentielles futures, nous nous sommes intéressés à l identification des réseaux fluides qu il serait possible d étudier et leurs principales caractéristiques en termes d effets moteurs ou dissipateurs des mouvements fluides dans ces réseaux. Parmi les types d ouvrages, on a retenu : les mines, les stockages souterrains, les tunnels routiers, les tunnels ferroviaires, les procédés industriels à pression atmosphérique (sécheurs, fours ), les réseaux de canalisations à faible pression (gaz, liquide). Pour ces ouvrages, on a considéré que les principaux effets naturels, d environnement ou d exploitation à prendre en compte seraient : les frottements en paroi, les transferts thermiques et les mélanges gazeux, les effets d équipements et d action d exploitation (ventilateur, pompe, sas, clapets ), les effets de mouvement de mobiles (e.g. ascenseurs), de trafic (routier ou ferroviaire), les effets atmosphériques induisant des courants d air naturels, tels que les différences de température ou de pression entre des points du réseau et l extérieur. Concernant les effets accidentels, on a considéré la possibilité de simuler : les incendies et les rejets gazeux se développant dans le réseau, les fuites de gaz ou de liquide émanant d un réseau. * Les effets dynamiques sont ceux que l'utilisateur ne peut pas définir complètement, car ils dépendent de l'historique de calcul et donc de la solution trouvée au pas de temps précédent. 18 / 62

20 Ensuite, la structure du code de calcul a été pensée de façon à pouvoir déclarer de façon homogène les différents effets (naturels, d environnement, d exploitation, accidentels) à prendre en compte dans un réseau ainsi que leur modélisation dans le calcul. Dans ce but, les différents effets sont définis sous la forme de fichiers textes qui intègrent la description de la variation temporelle de chaque effet considéré au cours de la simulation (scénario d effet). Dans les équations de la dynamique du réseau aéraulique, ces effets sont alors traduits sous la forme de termes supplémentaires à ceux présent dans l équation de base (équation monodimensionnelle de la quantité de mouvement) à l aide de modèles physiques influençant une ou plusieurs des variables de l écoulement : le débit, la pression, la densité du fluide éventuellement dépendante de : la température, la composition chimique du fluide circulant dans le réseau aéraulique. Chaque effet intègre à l origine le concept de scénario. Un scénario traduit le caractère instationnaire de l effet que l on veut prendre en compte, comme par exemple la mise en route d un ventilateur, l ouverture d une trappe d extraction, phénomènes qui sont importants pour la modélisation d une situation accidentelle qui est par définition transitoire. Certains effets, les effets mobiles, sont en plus variables dans l espace, c est-àdire qu ils ont une position variable dans le réseau de ventilation en fonction du temps. On donne ci-dessous le format type de ces fichiers de scénario d effet : Ligne d'information concernant l'effet type d'effet 0 sous-type d'effet 0 Lignes d'information concernant l'effet " Lignes d'information concernant l'effet temps (s) paramètre n 1 variable dans le temps paramètre n 2 variable dans le temps paramètre n 3 variable dans le temps etc 19 / 62

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Applications résidentielles Christophe Delmotte, ir Laboratoire Qualité de l Air et Ventilation CSTC - Centre Scientifique et

Plus en détail

Phénomènes dangereux et modélisation des effets

Phénomènes dangereux et modélisation des effets Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE

Plus en détail

Figure 3.1- Lancement du Gambit

Figure 3.1- Lancement du Gambit 3.1. Introduction Le logiciel Gambit est un mailleur 2D/3D; pré-processeur qui permet de mailler des domaines de géométrie d un problème de CFD (Computational Fluid Dynamics).Il génère des fichiers*.msh

Plus en détail

LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE

LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE Compréhension des phénomènes et modélisation : LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE Version du 28 décembre 2006 Cette fiche a été établie avec le concours de l INERIS La présente fiche a été rédigée sur la base

Plus en détail

Avis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique

Avis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique Avis DSR/2010-065 26 février 2010 Avis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique Par lettre du 19 février 2009, l Autorité de sûreté

Plus en détail

Conseils en Ingénierie mécanique

Conseils en Ingénierie mécanique Conseils en Ingénierie mécanique contact@solsi-cad.fr +33 (0)3 87 60 34 49 CONCEVOIR OPTIMISER Metz INNOVER VALIDER Historique 1985 1992 1996 2003 2013 2014 Solsi : Calculs des Structures - FEA Création

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

Montrouge, le 9 février 2015. Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre Brossolette 92120 MONTROUGE

Montrouge, le 9 février 2015. Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre Brossolette 92120 MONTROUGE RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIRECTION DES CENTRALES NUCLEAIRES Montrouge, le 9 février 2015 Réf. : CODEP-DCN-2015-002998 Monsieur le Directeur Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre

Plus en détail

Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost

Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage M. Prévost Version V2/ nov 2006 Structure du cours Partie 1 : Introduction Partie 2 : Mise en contact de Gaz et de

Plus en détail

Modélisation et simulation du trafic. Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005

Modélisation et simulation du trafic. Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005 Modélisation et simulation du trafic Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005 Plan de la présentation! Introduction : modèles et simulations définition

Plus en détail

Le turbo met les gaz. Les turbines en équation

Le turbo met les gaz. Les turbines en équation Le turbo met les gaz Les turbines en équation KWOK-KAI SO, BENT PHILLIPSEN, MAGNUS FISCHER La mécanique des fluides numérique CFD (Computational Fluid Dynamics) est aujourd hui un outil abouti de conception

Plus en détail

Fiche de lecture du projet de fin d étude

Fiche de lecture du projet de fin d étude GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &

Plus en détail

Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques :

Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : ANNEXE 7 Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : 1 carte est fournie pour l effet toxique : Carte N 1 «Taux

Plus en détail

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics Formation à la CFD, Ph Parnaudeau 1 Qu est-ce que la CFD? La simulation numérique d un écoulement fluide Considérer à présent comme une alternative «raisonnable»

Plus en détail

LA PUISSANCE DES MOTEURS. Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile?

LA PUISSANCE DES MOTEURS. Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile? LA PUISSANCE DES MOTEURS Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile? Chaque modèle y est décliné en plusieurs versions, les différences portant essentiellement sur la puissance

Plus en détail

Equipement d un forage d eau potable

Equipement d un forage d eau potable Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de

Plus en détail

PHYSIQUE Discipline fondamentale

PHYSIQUE Discipline fondamentale Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et

Plus en détail

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................

Plus en détail

FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles

FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles Jacques PADET Professeur Émérite à l Université de Reims Seconde édition revue et augmentée TABLE DES MATIÈRES PRÉSENTATION Préface de la 1 ère édition Prologue

Plus en détail

CAP CAMION A ASSISTANCE PNEUMATIQUE

CAP CAMION A ASSISTANCE PNEUMATIQUE Séminaire mi parcours Stock-e 2010 CAP CAMION A ASSISTANCE PNEUMATIQUE Iyad Balloul Renault Trucks - iyad.balloul@volvo.com Eric Bideaux INSA Lyon - eric.bideaux@insa-lyon.fr Marc Michard LMFA - Marc.Michard@ec-lyon.fr

Plus en détail

Chapitre 7: Dynamique des fluides

Chapitre 7: Dynamique des fluides Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.

Plus en détail

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université

Plus en détail

Contributions à l expérimentation sur les systèmes distribués de grande taille

Contributions à l expérimentation sur les systèmes distribués de grande taille Contributions à l expérimentation sur les systèmes distribués de grande taille Lucas Nussbaum Soutenance de thèse 4 décembre 2008 Lucas Nussbaum Expérimentation sur les systèmes distribués 1 / 49 Contexte

Plus en détail

Gestion moteur véhicules légers

Gestion moteur véhicules légers Module 8 Gestion moteur véhicules légers Orientation véhicules légers Diagnosticien d'automobiles avec brevet fédéral Orientation véhicules utilitaires Modules 7 à 9 Modules 10 à12 Modules 1 à 6 UPSA,

Plus en détail

ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES

ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES P.E. LOISEL, J. SCHAGUENE, O. BERTRAND, C. GUILBAUD ARTELIA EAU ET ENVIRONNEMENT Symposium du CFBR

Plus en détail

UTILISATION DE GT-Suite EN THERMIQUE MOTEUR Exemple d utilisation

UTILISATION DE GT-Suite EN THERMIQUE MOTEUR Exemple d utilisation UTLSATON DE GT-Suite EN THERMQUE MOTEUR Exemple d utilisation ODLLARD Laurent & LEVASSEUR Aurélien Version 00 UTLSATON EN THERMQUE MOTEUR Rencontre Utilisateurs GT-POWER 2013 1. Utilisation de GT-Suite

Plus en détail

SIMULATION NUMERIQUE DU FLUX D AIR EN BLOC OPÉRATOIRE

SIMULATION NUMERIQUE DU FLUX D AIR EN BLOC OPÉRATOIRE Maîtrise d ambiance et Qualité de l air SIMULATION NUMERIQUE DU FLUX D AIR EN BLOC OPÉRATOIRE PERTURBATION À L ÉTAT STATIQUE OU DYNAMIQUE Alina SANTA CRUZ École d Ingénieurs de Cherbourg LUSAC «Équipe

Plus en détail

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer

Plus en détail

SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique

SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique Titre : SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dan[...] Date : 09/11/2011 Page : 1/9 SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique Résumé On teste les éléments paraxiaux

Plus en détail

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse

Plus en détail

ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008

ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008 ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008 Cette page présente un résumé des derniers développements effectués dans le logiciel ProSimPlus HNO3. Ceux-ci correspondent à de nouvelles

Plus en détail

Analyse des risques financiers

Analyse des risques financiers Analyse des risques financiers Version du 1 er octobre 2014 Cette fiche s'adresse aux services de l État mandatés pour mener une analyse financière et est susceptible de contribuer à la définition du niveau

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS

Plus en détail

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème

Plus en détail

ÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009

ÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement

Plus en détail

CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE

CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE CAHIER DES CHARGES AFG CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR RSDG 5 15 décembre 2002 SOMMAIRE 1. - REGLES GENERALES 2 1.1. - Objet du cahier des charges 2 1.2.

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

Table des matières... i. Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert.

Table des matières... i. Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert. Table des matières Table des matières... i Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des annexes... iv Liste des abréviations

Plus en détail

V112-3,0 MW. Un monde, une éolienne. vestas.com

V112-3,0 MW. Un monde, une éolienne. vestas.com V112-3,0 MW Un monde, une éolienne vestas.com NOUS TENONS LES PROMESSES DE L ÉNERGIE ÉOLIENNE UNE ÉOLIENNE FIABLE ET PERFORMANTE POUR LE MONDE ENTIER Fiabilité et performances La V112-3,0 MW est une

Plus en détail

Programme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle

Programme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle Profil des compétences professionnelles Programme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle Organisation pratique Détail du programme

Plus en détail

1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..

1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble.. 1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé

Plus en détail

MODÉLISATION ET ÉTUDES NUMÉRIQUES DES INCENDIES

MODÉLISATION ET ÉTUDES NUMÉRIQUES DES INCENDIES MODÉLISATION ET ÉTUDES NUMÉRIQUES DES INCENDIES en milieu confiné et ventilé : le logiciel ISIS Fabrice BABIK, Céline LAPUERTA, Jean-Claude LATCHÉ, Sylvain SUARD, Didier VOLA Laboratoire d'étude de l'incendie

Plus en détail

La fonction exponentielle

La fonction exponentielle DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 novembre 204 à :07 La fonction exponentielle Table des matières La fonction exponentielle 2. Définition et théorèmes.......................... 2.2 Approche graphique de la fonction

Plus en détail

!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,!

!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,! 0 $'( 1&) +&&/ ( &+&& &+&))&( -.#- 2& -.#- &) (,' %&,))& &)+&&) &- $ 3.#( %, (&&/ 0 ' Il existe plusieurs types de simulation de flux Statique ou dynamique Stochastique ou déterministe A événements discrets

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

association adilca www.adilca.com LE COUPLE MOTEUR

association adilca www.adilca.com LE COUPLE MOTEUR LE COUPLE MOTEUR Quelles sont les caractéristiques essentielles d un véhicule à moteur? Les services marketing le savent, c est la puissance et la vitesse maximale qui, au premier abord, focalisent l attention

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception

Plus en détail

NUMECA et son bureau d études NUMFLO, spécialisé dans la simulation numérique des effets du vent 06-11-2013

NUMECA et son bureau d études NUMFLO, spécialisé dans la simulation numérique des effets du vent 06-11-2013 Propositio n NUMECA et son bureau d études NUMFLO, spécialisé dans la simulation numérique des effets du vent Guillaume Terlinden Sales Engineer, NUMECA Virginie Barbieux Head of Consulting Group, NUMFLO

Plus en détail

Etude de faisabilité

Etude de faisabilité Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un

Plus en détail

INTRODUCTION AUX METHODES D INGENIERIE DES DONNEES DIRIGEE PAR LES MODELES

INTRODUCTION AUX METHODES D INGENIERIE DES DONNEES DIRIGEE PAR LES MODELES INTRODUCTION AUX METHODES D INGENIERIE DES DONNEES DIRIGEE PAR LES MODELES Les contenus de ce document sont la propriété exclusive de la société REVER. Ils ne sont transmis qu à titre d information et

Plus en détail

NOTIONS DE PERTE DE CHARGE PERTE DE PRESSION

NOTIONS DE PERTE DE CHARGE PERTE DE PRESSION Théorie NOTIONS E PERTE E CHARGE PERTE E PRESSION En raison de la VISCOSITE des fluides réels, de la RUGOSITE des parois intérieures des conduites et des accidents de parcours inhérents à un tracé fluidique,

Plus en détail

Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4. Rapport RE09. Load Balancing et migration

Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4. Rapport RE09. Load Balancing et migration Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4 Rapport Load Balancing et migration Printemps 2001 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 SYNTHESE CONCERNANT LE LOAD BALANCING ET LA MIGRATION... 4 POURQUOI FAIRE DU LOAD BALANCING?...

Plus en détail

Présentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE. Journée technique du Cedre. Brest 14 novembre 2013

Présentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE. Journée technique du Cedre. Brest 14 novembre 2013 Présentation des projets de recherche BLOWOUT et METANE Journée technique du Cedre Brest 14 novembre 2013 1 Déroulement Fiches techniques Contexte Description technique Démonstration Questions 2 Fiches

Plus en détail

Rapport du projet CFD 2010

Rapport du projet CFD 2010 ISAE-ENSICA Rapport du projet CFD 2010 Notice explicative des différents calculs effectués sous Fluent, Xfoil et Javafoil Tanguy Kervern 19/02/2010 Comparaison des performances de différents logiciels

Plus en détail

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation 4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température

Plus en détail

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes). SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,

Plus en détail

Télégestion et logiciels, des auxiliaires pour une gestion patrimoniale performante

Télégestion et logiciels, des auxiliaires pour une gestion patrimoniale performante Programme Rencontre Technique ASCOMADE Télégestion et logiciels, des auxiliaires pour une gestion patrimoniale performante Présentation du logiciel de modélisation EPANET 1 Présentation du Logiciel Rôle

Plus en détail

Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique

Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Fiche d application : Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Date Modification Version 01 décembre 2013 Précisions sur les CET grand volume et sur les CET sur air extrait 2.0

Plus en détail

Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide

Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide J.B. Campen Wageningen UR Glastuinbouw, Wageningen xxx 2007 Rapport xxx 2007 Wageningen, Wageningen UR Glastuinbouw Tous

Plus en détail

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE

FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques

Plus en détail

2.3. Validation expérimentale par des mesures dans la flamme. Tableau 2.7 Modèles préconisés pour la simulation d un brûleur à Oxydation sans Flamme.

2.3. Validation expérimentale par des mesures dans la flamme. Tableau 2.7 Modèles préconisés pour la simulation d un brûleur à Oxydation sans Flamme. 2.3. Validation expérimentale par des mesures dans la flamme Tableau 2.7 Modèles préconisés pour la simulation d un brûleur à Oxydation sans Flamme. Modèle Remarques Turbulence k ε standard Résolution

Plus en détail

Production des Services d Assurance non-vie selon le SCN 2008

Production des Services d Assurance non-vie selon le SCN 2008 REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Patrie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Fatherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------

Plus en détail

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé

Plus en détail

Quels outils pour prévoir?

Quels outils pour prévoir? modeledition SA Quels outils pour prévoir? Les modèles de prévisions sont des outils irremplaçables pour la prise de décision. Pour cela les entreprises ont le choix entre Excel et les outils classiques

Plus en détail

TEPZZ 568448A_T EP 2 568 448 A1 (19) (11) EP 2 568 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006.

TEPZZ 568448A_T EP 2 568 448 A1 (19) (11) EP 2 568 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006. (19) TEPZZ 68448A_T (11) EP 2 68 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 13.03.2013 Bulletin 2013/11 (1) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006.01) (21) Numéro de dépôt:

Plus en détail

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine

Plus en détail

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2 1. CLASSEMENT ET GENERALITES : 1.1. Classement Sont classées dans la 3ème famille les habitations collectives dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à 28 mètres au plus au-dessus du sol

Plus en détail

Ebauche Rapport finale

Ebauche Rapport finale Ebauche Rapport finale Sommaire : 1 - Introduction au C.D.N. 2 - Définition de la problématique 3 - Etat de l'art : Présentatio de 3 Topologies streaming p2p 1) INTRODUCTION au C.D.N. La croissance rapide

Plus en détail

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER

Plus en détail

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des

Plus en détail

Introduction au datamining

Introduction au datamining Introduction au datamining Patrick Naïm janvier 2005 Définition Définition Historique Mot utilisé au départ par les statisticiens Le mot indiquait une utilisation intensive des données conduisant à des

Plus en détail

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques

Plus en détail

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE

Plus en détail

Nom de l application

Nom de l application Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Direction Générale des Etudes Technologiques Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Gafsa Département Technologies de l Informatique

Plus en détail

Prescriptions Techniques

Prescriptions Techniques Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution

Plus en détail

Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs.

Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. H. ZAÏDI a, S. FOHANNO a, R. TAÏAR b, G. POLIDORI a a Laboratoire

Plus en détail

L énergie sous toutes ses formes : définitions

L énergie sous toutes ses formes : définitions L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,

Plus en détail

«SERVICES D INGENIERIE»

«SERVICES D INGENIERIE» PUNCH POWERGLIDE STRASBOURG 45 années d expériences Le pôle R & D de PPS rassemble plus d une centaine d experts, chefs de projet, ingénieurs et techniciens expérimentés en recherche et développement,

Plus en détail

MERLIN GESTION PATRIMONIALE. Groupe GESTION PATRIMONIALE. Définition d un programme de renouvellement

MERLIN GESTION PATRIMONIALE. Groupe GESTION PATRIMONIALE. Définition d un programme de renouvellement Groupe MERLIN Une tradition d innovations au service des hommes GESTION PATRIMONIALE GESTION PATRIMONIALE Définition d un programme de renouvellement Indépendance - Expériences - Expertises - Proximité

Plus en détail

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE

Plus en détail

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.

Plus en détail

Projet Optiperf : les ressources du calcul parallèle à destination des architectes navals

Projet Optiperf : les ressources du calcul parallèle à destination des architectes navals Projet Optiperf : les ressources du calcul parallèle à destination des architectes navals Pierre-Michel Guilcher, Olivier Payen, Aurélien Drouet, Erwan Jacquin Plan de l exposé Contexte général Définition

Plus en détail

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation

Plus en détail

Thermodynamique (Échange thermique)

Thermodynamique (Échange thermique) Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication

Plus en détail

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ 1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à

Plus en détail

GROUPE HOLDIM Leader mondial de l optimisation moteur. DYNORACE 2WD /DF2 Banc 2 roues motrices. Banc de puissance Disponible en 3 versions :

GROUPE HOLDIM Leader mondial de l optimisation moteur. DYNORACE 2WD /DF2 Banc 2 roues motrices. Banc de puissance Disponible en 3 versions : BANCS DE PUISSANCE Banc de puissance Disponible en 3 versions : Inertiel /DF2is Inertiel /DF2i Freiné /DF2fs Avec un frein à courant de Foucault 3 GROUPE HOLDIM Leader mondial de l optimisation moteur

Plus en détail

SIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE

SIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE SIMULATION HYBRIDE EN TEMPOREL D UNE CHAMBRE REVERBERANTE Sébastien LALLECHERE - Pierre BONNET - Fatou DIOUF - Françoise PALADIAN LASMEA / UMR6602, 24 avenue des landais, 63177 Aubière pierre.bonnet@lasmea.univ-bpclermont.fr

Plus en détail

Soumise à l effet du vent, à la différence

Soumise à l effet du vent, à la différence CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux

Plus en détail

SOMMAIRE. La simulation numérique chez PSA. Organisation PSA Les applications CFD CFD Process UGM ENSIGHT - LA CFD CHEZ PSA 27/09/2010 2

SOMMAIRE. La simulation numérique chez PSA. Organisation PSA Les applications CFD CFD Process UGM ENSIGHT - LA CFD CHEZ PSA 27/09/2010 2 LA CFD CHEZ PSA Jean-Marc STAIMESSE PSA Peugeot Citroën La simulation numérique chez PSA Organisation PSA Les applications CFD CFD Process SOMMAIRE UGM ENSIGHT - LA CFD CHEZ PSA 27/09/2010 2 LA SIMULATION

Plus en détail

Page : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol :

Page : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Page : 1 de 6 Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Référence article 058.01.250: VX18 Référence article 058.01.251: VX20 Référence article 058.01.252: VX30 Chaudière spéciale à gazéification

Plus en détail

Exercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique

Exercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

CORAC : Appels à partenariat Propulsion

CORAC : Appels à partenariat Propulsion 1 CORAC : Appels à partenariat Propulsion Appel à partenariat AIRBUS pour le projet P12 EPICE Contexte du projet P12 Périmètre: Système Propulsif en général, moteur, nacelle, mât réacteur (configuration

Plus en détail

DOCUMENT RESSOURCE SONDES PRESENTATION

DOCUMENT RESSOURCE SONDES PRESENTATION Documentation technique DOCUMENT RESSOURCE SONDES PRESENTATION SEP du LPo N-J Cugnot 93 Neuilly/Marne LE CALCULATEUR Il est placé dans le boîtier à calculateurs, sur le passage de roue avant droit. Les

Plus en détail

Eléments constitutifs et synthèse des convertisseurs statiques. Convertisseur statique CVS. K à séquences convenables. Source d'entrée S1

Eléments constitutifs et synthèse des convertisseurs statiques. Convertisseur statique CVS. K à séquences convenables. Source d'entrée S1 1 Introduction Un convertisseur statique est un montage utilisant des interrupteurs à semiconducteurs permettant par une commande convenable de ces derniers de régler un transfert d énergie entre une source

Plus en détail

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3

Plus en détail

Les outils de simulation. Myriam HUMBERT CETE Ouest

Les outils de simulation. Myriam HUMBERT CETE Ouest Les outils de simulation Myriam HUMBERT CETE Ouest Outils de simulation pour la GPE Objectif Ø Recommandations pour la mise en œuvre des calculs dans le cadre d une GPE ü Analyse qualitative des outils

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système

Plus en détail

CIRCUITS DE PUISSANCE PNEUMATIQUES

CIRCUITS DE PUISSANCE PNEUMATIQUES V ACTIONNEURS PNEUMATIQUES : 51 Généralités : Ils peuvent soulever, pousser, tirer, serrer, tourner, bloquer, percuter, abloquer, etc. Leur classification tient compte de la nature du fluide (pneumatique

Plus en détail