MODÈLES COGNITIFS DE LA SCHIZOPHRÉNIE DR DAVIGNON CCA PSYCHIATRIE CHL POITIERS
|
|
- Marie Brisson
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MODÈLES COGNITIFS DE LA SCHIZOPHRÉNIE DR DAVIGNON CCA PSYCHIATRIE CHL POITIERS
2 De nombreuses perturbations cognitives existent chez le schizophrène. L approche de la schizophrénie en tant que pathologie de la conscience a été abordée par plusieurs auteurs.
3 PLAN Le modèle de Henry Ey = troubles de la conscience qui se superposent Le modèle neuropsychologique de Christopher Frith = pathologie de la métareprésentation ToM Le modèle de Nancy Andreasen = dysémétrie cognitive Le modèle de Jean-Marie Danion = pathologie de la conscience autonoétique
4 LE MODÈLE DE HENRY EY
5 La conscience se définit comme l issue de l expérience individuelle d un sujet confronté à lui-même. Pour Henry Ey, il s agit par la conscience de vivre sa propre expérience «en la transposant dans son savoir», mais aussi de pouvoir «disposer d un modèle personnel de son monde». Appartient à la phénoménologie qui conçoit l expérience consciente à travers la superposition du vécu et du jugement. Henry Ey conçoit l être conscient en fonction de sa vie affective, l expérience du réel, les superstructures du champ opérationnel de la conscience, la personnalité et enfin la conscience morale. Dans le modèle de Henry Ey, l être conscient est construit par le biais de deux systèmes complémentaires: la conscience du vécu et la conscience de Soi.
6 Un trouble de la conscience de Soi Thèse organo-dynamique, autour de deux axes: C h a m p d e l a c o n s c i e n c e, s y n c h r o n i q u e (microdeveloppementale). Conscience de Soi, diachronique (macrodéveloppementale). En gros, les troubles de la conscience vont pouvoir se manifester au niveau de la conscience de Soi, mais sans destructuration de la conscience. Alors que les anomalies du champ de la conscience vont se répercuter sur la conscience de Soi. Le Moi aliéné, chez le schizophrène, est vécu par ce dernier à travers une expérience délirante et surtout un parcours existentiel délirant qui puise dans l autisme, les sources du délire.
7 LE MODÈLE NEUROPSYCHOLOGIQUE DE FRITH
8 Pour Frith, la clinique de la schizophrénie doit être envisagée autour de trois regroupements syndromiques: Les troubles du langage et de la communication Les hallucinations et délires Les troubles du comportement associant l inadaptation ou l incohérence comportementale, les stéréotypies et persévérations et la symptomatologie négative conçue comme un appauvrissement de la pensée, du discours, de l action mais aussi des interactions sociales et l émoussement émotionnel.
9 Selon Frith, la clinique serait des manifestations secondaires de mécanismes cognitifs déficitaires, eux-mêmes témoins du mauvais fonctionnement du cerveau. Les mécanismes cognitifs impliqués dans les manifestations pathologiques seraient liés à une altération de la métareprésentation. Méta-représentation = faculté de fabriquer et d utiliser non seulement des représentations des états de fait, mais aussi des représentations de représentations. à capacité à se représenter soi-même
10 TROIS ALTÉRATIONS COGNITIVES Frith envisage les troubles du langage et de la communication selon trois dimensions cognitives L axe des troubles de l action volontaire Celui des altérations du self-monitoring Les anomalies de la conscience des autres, ou déficit du monitoring de l intention d autrui.
11 Les troubles de l action volontaire Se manifeste par l apparition de stéréotypies verbales Une utilisation décalée et inappropriée du langage (discordance verbale, néologisme, affects discordants) Appauvrissement de l action, du discours et des échanges au plan de l expression faciale ou des intonations vocales. => implication du cortex cingulaire antérieur, de l aire motrice supplémentaire et du cortex dorsolatéropréfron
12 Des altérations du selfmonitoring Les schizophrènes présentent un discours désorganisé et décalé par rapport au but à atteindre. Le découplage de l intention qui précède l action et la réalisation de cette dernière explique que le patient schizophrène ne serait plus capable d identifié qu il a été à l origine de l action qui se réalise, la percevant ainsi comme étrangère à sa volonté. Pour les symptômes délirants, Frith explique qu il peut s agir: Soit d un défaut perceptif traité dans un système logique normal Soit d un traitement d une information bien perçue mais dans un système logique anormal. à le défaut de monitoring de l intention de l action pourrait être responsable du fait que le patient schizophrène est incapable d identifier qu il est à l origine des pensées, finalement perçues comme intrusives ou imposées. Il perd de vue qu il avait l intention de réaliser quelque chose et attribue donc les pensées à autrui = génère délire d influence.
13 Des anomalies de la conscience des autres On rejoint l altération du monitoring de l intention. Le schizophrène est incapable d abstraction dans l élucidation du sens d une phrase (ex des proverbes et métaphores), par le biais de: Déficit d inférences appliquées aux informations en provenance de l autre Ignorance du patient à propos de ce que l interlocuteur connaît de son discours. Les lésions cérébrales à l origine de ce déficit seraient situées au niveau d une boucle neuronale cortico-sous-corticale à efférences préfrontales.
14 Hypothèse qui découle de la théorie de l esprit ToM = expression d une aptitude à comprendre ce que l autre pense et être en particulier capable d appréhender ses représentations et ses intentions lorsqu elles sont différentes des notres. Avoir une théorie de l esprit se définit de façon schématique par la capacité de se représenter les états mentaux d autrui. Elle permet ainsi d interpréter, de prédire et d anticiper les comportements d autrui et s avère indispensable à la régulation des interactions sociales. La ToM s opère comme une forme de métareprésentation.
15
16 La métareprésentation ToM = capacité de métacognition = avoir conscience et se représenter l état mental d une autre personne = construire une métareprésentation. La représentation renvoit à une perception directe de l environnement La métareprésentation est une représentation d une représentation.
17 ToM = avoir des pensées concernant les pensées d autrui et de raisonner sur ce que l autre croit, feint ou ressent. Elle suppose un circuit relationnel, impliquant une reconnaissance cognitive et/ou émotionnelle de soi-même et d autrui actualisée dans l échange. De nature cognitive ou affective, de premier ou deuxième ordre, elle implique des processus de décodage ou de raisonnement sur des états mentaux.
18 Deux types de représentations et donc deux types de ToM: Type froide = relative aux pensées = ToM cognitive Capacité à se représenter les états épistémiques des autres individus = renvoit aux connaissances qu ils ont sur le monde Permet de comprendre, d inférer, ou de raisonner sur leurs pensées, leurs croyances ou encore leurs intentions, et ce indépendamment de toute connotation émotionnelle. Type chaude = relative aux émotions = ToM affective Capacité à se représenter les états affectifs des autres, à comprendre et déduire leurs émotions et sentiments. Permet d interpréter la valence et la signification émotionnelle des actions et des intentions des autres dans un contexte social. ToM affective plus altérée que la ToM cognitive dans la schizophrénie.
19 Et donc différents niveaux peuvent être observés en fonction de l articulation qui existe entre réalité physique (représentation) et réalité mentale de cette réalité (métareprésentation), ou entre réalité mentale propre à un individu et celle d autrui. La ToM mobilise une série de représentations qui s emboîtent les unes dans les autres à l image de poupées russes.
20 Illustration des niveaux cognitifs de la ToM
21 1 er ordre : représentation que l on a de l état mental d une personne en adoptant sa perspective. Prendre conscience qu autrui possède des représentations mentales qui peuvent ou non correspondre à la réalité. 2 ème ordre : représentation mentale qu une personne a sur les représentations d une autre personne (métareprésentation). Mobilise toujours dans un premier temps le 1 er ordre. S y ajoute des mécanismes de Décodage = perception et identification d informations sociales et d indices présents dans l environnement. Raisonnement = comprendre, expliquer, ou prédire les actions, et requiert nécessairement l accès aux connaissances ou faits concernant, soit le protagoniste, soit les circonstances contextuelles. Exemple = pleurer de tristesse ou joie interpréter en fonction de l évènement/.
22 ToM s évalue par: Tâches d attribution d états mentaux épistémiques (et donc liés à la connaissance). Sur la base de pensées, croyances ou connaissance qu un ou plusieurs personnages ont sur le monde. Tâches d attribution d états mentaux affectifs. Évaluer les expressions du visage, regard, émotions d autrui perçues, de base ou complexe. Tâches d attribution d intention. Intention ou comportement à venir sur une séquence d images proposée. Tâches mixtes. Associations de diverses tâches.
23
24 Déficit de ToM chez le schizophrène Un déficit en théorie de l esprit chez le patient schizophrène peut se mettre en évidence par: Un syndrome de désorganisation le discours schizophrénique est pauvre ou obscur, les pronoms sont employés sans référents, les règles de pertinence permettant de rester ajusté à un interlocuteur sont violées, et l'échange conversationnel présente des incohérences spécifiques Les idées de référence et de persécution Ainsi, s'expliqueraient les idées délirantes de référence (où le patient croit que les paroles et les attitudes d'autrui véhiculent une intention le concernant) et les idées délirantes de persécution (où il prête à autrui l'intention de nuire) et certaines hallucinations auditives ou des voix parlent au patient à la troisième personne. Ni le délire seul, ni la maladie dans son entier. le déficit en théorie de l'esprit se montre dans toutes les études comme une variable-état : un trouble intermittent, fonctionnel, présent chez les sujets en phase processuelle de la maladie, mais absent dans les sous-groupes en rémission
25 UN DÉFICIT DE LA MÉTA REPRÉSENTATION Déficit de la métareprésentation = trouble cognitif de haut niveau = trouble de la conscience de soi dans la schizophrénie à déficit de mentalisation à difficulté voire incapacité à faire la différence de ses propres pensées par rapport à celle des autres mais aussi dans l analyse des comportements d autrui pour en prévoir les futurs développements. Deux types de mécanismes de représentation: Primaires = en lien avec état physique et matériel de notre environnement Secondaires = en lien avec les états mentaux comme les intentions ou désirs.
26 Pour schématiser, la représentation d une représentation est à l œuvre lorsqu un sujet déclare «il réalise qu elle est partie» «qu elle est partie» = est une représentation «qu il réalise qu elle est partie» = énoncé de pensée comportement une métareprésentation.
27 Sur le plan clinique: Les symptômes négatifs seraient secondaires à la perte de la conscience de ses propres buts. Les symptômes productifs seraient liés à une perte de la conscience des intentions du patient Cette perte de conscience des intentions et croyances d autrui provoquerait le déficit de communication, le délire de référence et le délire de persécution. Exemple des idées de référence: Un patient schizophrène serait capable de juger que les autres ont des pensées différentes des siennes mais généreraient des inférences fausses = idée que l autre tente de communiquer alors qu il n en a pas l intention.
28 Autre exemple: «Vos parents m ont dit que vous vous négligez» Si le patient n est conscient que d une partie de la métarepresentation, par exemple du seul contenu de la phrase, l inférence générée est erronée. Alors production hallucinatoire auditive du type : «Vous êtes négligez» = contenu persécutif. Et si le contenu est lui même déformé, cela peut aller jusqu à : «Vos parents m ont dit que vous êtes mauvais».
29 Les lésions cérébrales qui sont supposées être à l origine de ces difficultés métareprésentatives seraient situées: Au niveau du sillon temporal supérieur implication dans la perception de la direction du regard et des émotions sur l expression faciale Du cortex orbitofrontal implication dans les interactions sociales De l amygdale implication dans les sentiments et émotions, la prise de risque et la récompense.
30
31 CONCLUSION FRITH Modèle neurocognitif qui permet de lier les diverses manifestations de la maladie aux perturbations cognitives et des perturbations neurobiologiques Postulat de l existence de deux composantes altérées chez le patient schizophrène : Le self-monitoring, qui permet, à l aide des méta représentations, de rester conscient de ses propres buts et intentions. Le monitoring, proche de la théorie de l esprit, qui permet la gestion des connaissances et intentions d autrui.
32 LE MODÈLE DE NANCY ANDREASEN, LA SCHIZOPHRÉNIE DYSMÉTRIE COGNITIVE
33 Andreasen suggère que c est à l interface des anomalies lésionnelles et des troubles cognitifs que se situe le trouble de la conscience qui caractérise la schizophrénie. Son modèle s oriente vers la recherche d un processus cognitif qui serait l intersection cognitive commune de formes cliniquement différentes de la schizophrénie.
34
35 Hypothèse d un mauvais fonctionnement du circuit nerveux cortico-cérébello-thalamo-cortical Le modèle d Andreasen stipule que la capacité de réaliser des séquences d actes parfois complexes suppose que le sujet ajuste régulièrement et très rapidement les pensées et l activité motrice de manière coordonnée : cette synchronie serait la conscience pour Andreasen. Cette synchronie serait sous-tendue par le fonctionnement d une boucle régulatrice reliant le cortex cérébral au cervelet via le thalamus. Ce circuit nerveux est appelé le circuit cortico-cérébello-thalamocorticale, serait le siège de cette dysmétrie cognitive, commune à toutes les formes de la schizophrénie. Cette anomalie du fonctionnement de cette boucle provoquerait un déficit des principales fonctions cognitives
36
37 CRITIQUES Le modèle d Andreasen repose sur la question de savoir si la dysmétrie cognitive et la conscience ne font qu un. Pour lui, conscience = fonction et pas état subjectif
38 LE MODÈLE DE JEAN-MARIE DANION : LA SCHIZOPHRÉNIE, PATHOLOGIE DE LA CONSCIENCE AUTONOÉTIQUE
39 Chez le schizophrène, il existe : Un déficit de la mémoire de travail (mémoire active qui s occupe à la fois du traitement et du maintien des informations à court terme) Une dissociation touchant les performances de la mémoire à long terme (constituée à la fois de faits anciens consolidés et de faits récents fragiles, dont le renforcement ne peut s effectuer que par la répétition) avec une mémoire implicite préservée (conditionnement émotionnel et mémoire procédurale). une mémoire explicite (mémorisation de toutes les formes verbales restituer par le langage) déficitaire, touchant en particulier la mémoire épisodique (souvenirs des évènements vécus). Cette mémoire épisodique serait altérée en raison d une atteinte de la remémoration consciente (conscience autonoétique) alors que le sentiment de familiarité est conservé (conscience noétique) Type de mémoire que nous avons à l esprit lorsque nous parlons de la «mémoire» dans la conversation courante Se rappeler, c est être conscient d une expérience antérieure
40
41 Pour Danion, les patients schizophrènes ne sont pas capables de rassembler les différents aspects d un même événement pour constituer une représentation unique Ce défaut de remémoration consciente est secondaire à une altération de la construction de souvenirs épisodiques Les souvenirs des patients se construisent à partir d une reconstitution pièce par pièce de l expérience au cours de laquelle le patient a été en contact à l information à mémoriser. Exemple : dans la liste guidon, pédale, roue, selle on pense à vélo. Mais le patient schizophrène, du fait d un déficit de remémoration consciente va générer une fausse reconnaissance et ne sera pas en mesure de se rappeler un souvenir symbolisant un vélo.
42
43 Le modèle de Danion peut donc être décliné dans plusieurs directions à partir du trouble de la conscience autonoétique qui lui confère son originalité: En remontant vers les fonctions cognitives qui résument l ensemble des altérations Puis l atteinte des circuits neuronaux (lathoménalogique) Puis dans l espace physiopathologique, avec l hypothèse neurodéveloppementale, anomalies de migration des neurones au moment de l embryogénèse, puis tout au long de la vie Et enfin le niveau étiologique avec des facteurs exogènes, nutritionnels, souffrances néonatales, vécu psychologique, mais aussi les facteurs endogènes. Dans l autre sens, vers l espace clinique, le trouble de la conscience autonoétique va induire les symptômes négatifs et positifs. C est la description des phénomènes et donc la phénoménologie.
44 L ÉTAT DE CONSCIENCE PATHOLOGIQUE La remémoration conscience, conscience autonoétique, pathologique chez les patients schizophrènes, permet d expliquer les difficultés rencontrées par ces patients dans la prise de décision, et l adaptation comportementale à un contexte. Les patients ne sont plus en mesure de rattacher à leur identité les différents souvenirs qui sont, chez les sujets sains, à l origine de notre construction de notre «carte d identité mémorielle». Ce déficit serait à l origine aussi des troubles attentionnels, perceptifs, mnésiques, des fonctions exécutives, ou encore du langage. Il en résulterait aussi une altération de la mémoire de travail. La localisation de ce déficit de la conscience autonoétique impliquerait des lésions au niveau du lobe préfrontal.
45
46 ET SUR LE PLAN THÉRAPEUTIQUE? à VERS LA RÉHABILITATION COGNITIVE POUR LE PATIENT SCHIZOPHRÈNE
47 Ce que nous utilisons Thérapeutiques médicamenteuses Psychothérapie psychodynamique Thérapie psycho-éducative Travail avec la famille Et la REMÉDIATION COGNITIVE dans tout ça?? La stimulation magnétique transcrânienne...
48 La remédiation cognitive agit contre l altération des processus attentionnels, mnésiques et exécutifs, ainsi que contre les troubles de la cognition sociale. Approche par stimulation Approche par compensation Permet la prise en charge des déficits qui ne sont pas accessible aux psychotropes et psychothérapies. Apporte des bénéfices en terme de compétences sociales et de réinsertion des patients. Ce qui fait la richesse de cette prise en charge est de considérer la cognition au-delà des troubles de la mémoire, de l attention et des fonctions exécutives habituellement prises en compte. Mais plutôt de considérer la cognition comme l ensemble des processus qui sous-tendent la pensée et qui permet le développement d outils de remédiation conçus pour agir sur les symptômes schizophréniques.
49
50 Développement de la remédiation cognitive exponentiel du fait de sa simplicité et sa facilité d application. Des programmes pour la schizophrénie déjà validés (IPT, CRT) et d autres en cours de validation. Mais à ne considérer que comme un traitement d appoint, à intégrer dans un projet de soin. Chaque outil de remédiation cognitive prend pour cible un ou plusieurs troubles cognitifs bien définis. Des indications et programmes posés au cas par cas.
51
52
Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation
DIALOGUE ESPRIT / CERVEAU : CIRCULARITE CRP -OU Santé ANTAGONISME? Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation Charles Pull Directeur du «Laboratoire
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailLES TROUBLES DE LA CONSCIENCE DE SOI DANS LA SCHIZOPHRENIE
Thèse présentée pour obtenir le grade de Docteur de l'université Louis Pasteur Strasbourg I Discipline : Sciences Médicales Par M. Erick GOKALSING LES TROUBLES DE LA CONSCIENCE DE SOI DANS LA SCHIZOPHRENIE
Plus en détailLe logiciel EduAnatomist.
Le logiciel EduAnatomist. Les travaux de l équipe ACCES (Actualisation Continue des Connaissances des Enseignants en Sciences) de l INRP restent, hélas, largement méconnus des enseignants de SVT. Pourtant,
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailTransformez votre relation au monde!
Transformez votre relation au monde! Formations certifiantes PNL QUEST interactive 2013-2014 Qu est-ce que la PNL? La PNL (Programmation Neuro-linguistique) est une discipline développée dans les années
Plus en détailIMMED Monitoring vidéo porté
IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailmentale Monsieur Falize la création et l utilisation d imagerie interactive, les associations noms-visages, la méthode des lieux.
Pr Anne-Marie Ergis le vieillissement entraîne le déclin d un certain nombre de fonctions cognitives, comme la vitesse de traitement, les ressources attentionnelles, la mémoire de travail, la mémoire épisodique
Plus en détailNormes de référence. Comparaison. Commande cognitive Sentiments épistémiques Incarnés dépendants de l activité
Séminaire Sciences Cognitives et Education 20 Novembre 2012 Collège de France L importance de la Métacognition: Joëlle Proust Institut Jean-Nicod, Paris jproust@ehess.fr http://joelleproust.org.fr Plan
Plus en détailEfficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement
Efficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement Stéphane Bouchard*, Ph.D. Département de Psychoéducation et de Psychologie Université du Québec
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailL E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s
L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s Stéphane Safin Psychologue - Ergonome Lucid Group -
Plus en détailPlan de la présentation Introduction présentation La réalité virtuelle pour le jeu pathologique
Le monde virtuel au service de la prévention de la rechute du jeu pathologique Stéphane Bouchard, Ph.D., Lucie Laniel, Lynda Poirier Isabelle e Cyr, Josée Dostie, Geneviève e emorency oe cyet Cathy Tétreault
Plus en détailJE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!
rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,
Plus en détailTrouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée
Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailUniversité d été de l AFORPEL 30 juillet 4 août 2012. La Gestalt et les «état limite» (Borderline)
La Gestalt et les «état limite» (Borderline) Les patients qui souffrent du trouble borderline (plus de 2% de la population active, 10% des consultations externes des médecins psychiatres et 15 à 20% des
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailRéponse et temps de réponse aux items en psychométrie. R. Trouillet M.C.F. H.D.R. Lab. Epsylon EA4556
Réponse et temps de réponse aux items en psychométrie R. Trouillet M.C.F. H.D.R. Lab. Epsylon EA4556 Thérapies psychodynamiques Levy & Ablond (2009). Handbook of Evidence-Based Psychodynamic Psychotherapy..
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailLE JEU EXCESSIF. Dr Christine Davidson M.Philippe Maso. Décembre 2011
LE JEU EXCESSIF Dr Christine Davidson M.Philippe Maso Décembre 2011 Qu est-ce qu un Joueur Occasionnel? Joue pour le plaisir Accepte de perdre l argent misé. Ne retourne pas pour se refaire. Joue selon
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailI/ Qu est-ce que l aphasie? French
I/ Qu est-ce que l aphasie? French Vous avez, vraisemblablement, récemment eu à faire à l aphasie et ce, pour la première fois. L aphasie appelle d emblée quelques questions comme : qu est-ce que l aphasie,
Plus en détailNotes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence
Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.
Plus en détailL aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009
L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial
Plus en détailPermis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes
Permis de conduire et maladie d Alzheimer Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Introduction Conduite automobile : Tâche complexe à forte exigence cognitive Liberté
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailLes mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007
Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée
Plus en détailFORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT
FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT Que vous soyez parent, enseignant, formateur, pédagogue, coach, manager Que votre activité professionnelle ou simplement la quête de vous-même vous
Plus en détailDIU Soins Palliatifs et d Accompagnement.
DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. Centre - Pays de Loire CHRU Tours COMMUNICATION «Conflits internes et Cohérence personnelle» SOMMAIRE Introduction page 3 Communication Page 4 Les paramètres d
Plus en détailECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE
ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs
Plus en détailLa fibromyalgie Mieux l'évaluer pour mieux la traiter
La fibromyalgie Mieux l'évaluer pour mieux la traiter Dr Patrick GINIES, Anesthésiste, Centre d'évaluation et de traitement de la douleur CHU MONTPELLIER Patient partenaire et soignant partenaire Le rôle
Plus en détailDescription des résidants dans les IHP et les MSP
I RAPPORT NATIONAL RPM 1999 Description des résidants dans les IHP et les MSP Données d admission D après le tableau 1 A (p.1), au 30 juin 1999, les initiatives d habitation protégée comptaient 2853 résidants
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailCatherine Cudicio. La PNL. Communiquer autrement. Groupe Eyrolles, 2003, ISBN 2-7081-3522-8
Catherine Cudicio La PNL Communiquer autrement Groupe Eyrolles, 2003, ISBN 2-7081-3522-8 À lire avant de commencer! Une définition précise de la PNL Le sigle PNL est l abréviation de Programmation Neuro-Linguistique
Plus en détailQuelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents?
Quelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents? Questions courantes sur la cognition sociale et les capacités des personnes atteintes du SVCF Par le Dr
Plus en détailMieux connaître les publics en situation de handicap
Mieux connaître les publics en situation de handicap Plus de 40 % des Français déclarent souffrir d une déficience 80 Comment définit-on le handicap? au moins une fois au cours de leur vie et 10 % indiquent
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailIl est sept heures du matin. Votre réveil sonne, La volonté d agir est-elle libre? Clés comportementales
NEUROBIOLOGIE Clés comportementales La volonté d agir est-elle libre? Gilles LAFARGUE et Angela SIRIGU Il est sept heures du matin. Votre réveil sonne, vous devez vous lever. Qu est-ce qui détermine l
Plus en détailPartenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t
Partenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t Une approche interdisciplinaire et intégrative neuropsychologie psychologie neuroanatomie linguistique philosophie SCIENCES COGNITIVES logique/probas neurosciences
Plus en détailTraumatisme crânien ou traumatisme cranio-cérébral Trouble de santé neurologique Aide-mémoire
Définition La notion de traumatisme crânien ou traumatisme crânio-cérébral (TCC) couvre les traumatismes du neurocrâne (partie haute du crâne contenant le cerveau) et du cerveau. La Société de l'assurance
Plus en détailPROGRAMME DE FORMATION CONTINUE DES ORTHOPHONISTES. SDOFOLi ANNEE 2015
SDOFOLi Savoirs Des Orthophonistes Formation Ligériens PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE DES ORTHOPHONISTES SDOFOLi ANNEE 2015 SDOFOLi - 9 rue de la Calade - 42660 ST-GENEST-MALIFAUX RENSEIGNEMENTS PRATIQUES
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailTDAH et adaptations scolaires - niveau primaire et secondaire-
Le trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est un problème neurologique qui peut entraîner des difficultés à moduler les idées (inattention), les gestes (bougeotte physique),
Plus en détailNOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2
NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie de Parkinson
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie de Parkinson Vivre avec une maladie de Parkinson Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailFORCE DE VENTE : une approche commerciale efficace
Les formations standardisées voulant mettre le commercial dans un «moule» et formater une personne en appliquant des techniques à la lettre sont bien différentes de ce que nous vous proposons chez Semaphorus.
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détail«L impact de l interculturel sur la négociation» construire des intérêts matériels ou des enjeux quantifiables
Le Centre de Langues et de Traduction de l Université Libanaise vous invite à prendre part au colloque international : «L impact de l interculturel sur la négociation» qui se tiendra dans les locaux du
Plus en détailSpécial Praxies. Le nouveau TVneurones est enfin arrivé! Les métiers. NOUVEAUX JEUX de stimulation cognitive, orientés praxies.
Enfants Adolescents AdultesPersonnesÂgéesPlasticité NeuronalePathologiesMaintienCognitif MémoireAttentionLangage FonctionsExécutivesVisuoSpatial Les métiers Spécial Praxies Le nouveau est enfin arrivé!
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailOnde P50 dans la schizophrénie
37-285-A-14 Onde P50 dans la schizophrénie E. Houy, F. Thibaut Certains troubles cognitifs présentés par les patients schizophrènes sont interprétables en termes de dysfonctionnement du traitement de l
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détail!! "! # $ % &'%( % )&'* & +, ( % %- (%. / +% + 0%
!! "! # $ % &'%( % )&'* & +, ( % %- (%. / +% + 0% Note aux lecteurs «Il s agit d un travail personnel et il ne peut faire l objet d une publication en tout ou partie sans l accord de son auteur.» REMERCIEMENTS
Plus en détailLe Modèle Conceptuel de Virginia Henderson. P. Bordieu (2007)
Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson P. Bordieu (2007) Postulats qui l étayent (= fondements) Valeurs qui le justifient Éléments qui le composent: - But poursuivi - Cible - Rôle de l infirmière -
Plus en détailManuel de recherche en sciences sociales
Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales
Plus en détailStress des soignants et Douleur de l'enfant
5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailIntroduction. Le recrutement est un processus incontournable dans la vie de toute entreprise.
Introduction Le recrutement est un processus incontournable dans la vie de toute entreprise. Recruter présente un enjeu stratégique et sociétal pour l entreprise en termes de 2 : 1. Productivité : le choix
Plus en détailProgramme d entrainement aux processus temporels chez des enfants présentant un trouble du déficit de l attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H)
UNIVERSITÉ PAUL SABATIER FACULTÉ DE MÉDECINE TOULOUSE RANGUEIL INSTITUT DE FORMATION EN PSYCHOMOTRICITÉ Programme d entrainement aux processus temporels chez des enfants présentant un trouble du déficit
Plus en détailECOLE DE BOUMERDES (EBM) LANGUAGES & COMMUNICATION
ECOLE DE BOUMERDES (EBM) LANGUAGES & COMMUNICATION IAP-CU ECOLE DE BOUMERDES PROGRAMME FORMATION CONTINUE 2012 LANGUAGES & COMMUNICATION INDEX THEMES DUREE PERIODE _COM01 _COM02 _COM03 GÉRER ET PRE'VENIR
Plus en détailLa supervision en soins infirmiers
La supervision en soins infirmiers (article en deux parties : version jumelée) La pratique de la supervision en soins infirmiers étant peu courante en France et les écrits la concernant de même, bien que
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détailSommaire. Sommaire. L Entreprise Page 3. Qu est-ce que la PNL? Page 4. Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7
Sommaire L Entreprise Page 3 Qu est-ce que la PNL? Page 4 Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7 Préparation mentale pour sportif Page 8 Arrêter de fumer Page 11 Mincir par l hypnose Page 12 Traitement
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détail«La capacité à être seul», WINNICOTT
«La capacité à être seul», WINNICOTT La capacité d être seul est un signe des plus importants de la maturité du développement affectif. On repère chez le sujet ce qu il éprouve dans des situations de solitude,
Plus en détailPSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE
UNIVERSITE MONTPELLIER 1 DIPLOME UNIVERSITAIRE PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE Option A: Psychosomatique, thérapies de relaxation. Option B: Psychosomatique et psychothérapies
Plus en détailLa schizophrénie est une maladie évolutive; elle comporte 5 phases, qui se succèdent souvent dans l ordre 2 :
Qui peut être atteint de schizophrénie? La schizophrénie est une maladie mentale qui touche environ 1 % de la population canadienne. Elle frappe autant les hommes que les femmes, et se déclare généralement
Plus en détailFormation certifiante au métier de coach scolaire
Formation certifiante au métier de coach scolaire 1 Préambule CoachingMaestro est un portail de formations dédié à toute personne intéressée dans l accompagnement des jeunes. Préambule Ses missions sont
Plus en détailDifférents facteurs impliqués dans l addiction
Différents facteurs impliqués dans l addiction Facteurs génétiques Neurobiologiques Circuits, métabolisme, neuroadaptation Développement Puberté Maturation cérébrale Sexe Comportement Tempérament Personnalité
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailLa chronique de Katherine Lussier, psychoéducatrice M.Sc. Psychoéducation.
1 La chronique de Katherine Lussier, psychoéducatrice M.Sc. Psychoéducation. Édition d avril 2009 Thème : Le trouble déficitaire de l attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) Références : www.comportement.net
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailA - Nomenclature des préjudices de la victime directe
ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant
Plus en détailCHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD
CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE
Plus en détailMédecine psychosomatique et psychosociale (ASMPP)
SIWF ISFM Médecine psychosomatique et psychosociale (ASMPP) Programme de formation complémentaire du 1er janvier 2000 (dernière révision: 13 janvier 2004) SIWF Schweizerisches Institut für ärztliche Weiter-
Plus en détailProchaines Dates séminaires 2015. Nom : Prénom :.. Date naissance :.. Adresse Complète :
Bulletin d inscription Séminaire A renvoyer à Manuel SPERLING 33, rue des Tulipiers 93110 ROSNY ou à scanner à bougerlavie@gmail.com Séminaire 2015 choisi : Participation au séminaire : Module 3 et 4 =
Plus en détailLes 6 sous-stades. La période sensori-motrice. Le stade réflexe. Coordination main/bouche. Du réflexe au schème: exemple du réflexe de succion
Les 6 sous-stades La période sensori-motrice La construction de l intelligence à partir des sens, de l action et des déplacements I. Stade réflexe du premier mois II. Stade des réactions circulaires primaires
Plus en détailN Contenu Dates. N Contenu Date 1 Dates 2
L association : Association Vivre Sa Vie 78 L association Vivre Sa Vie 78 a pour but le développement personnel et professionnel, le mieux-être, une meilleure connaissance de soi et l amélioration de la
Plus en détailPERCEPTION ET PERCEPTION SOCIALE
GOBERT 1 PERCEPTION ET PERCEPTION SOCIALE 1. Perception et perception sociale Perception = processus par lequel l individu organise et interprète ses impressions sensorielles de façon à donner un sens
Plus en détailDIPLOMES UNIVERSITAIRES DE PSYCHIATRIE Faculté Médecine Poitiers Année 2002 Professeur J. L. SENON Psychiatrie
DIPLOMES UNIVERSITAIRES DE PSYCHIATRIE Faculté Médecine Poitiers Année 2002 Professeur J. L. SENON Psychiatrie Accompagnement des Personnes Atteintes de Maladies Génétiques et de leur Famille D.U. - 1
Plus en détailSophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral
Le traumatisme cranio-cérébral léger chez les personnes âgées : impact sur les processus mnésiques et exécutifs - Mise en relation avec les habitudes de vie Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique
Plus en détailFiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)
1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans
Plus en détailTroubles du comportement de l enfant et de l adolescent
1 ère partie : Modules transdisciplinaires - Module 3 : Maturation et vulnérabilité - Objectif 39 : Troubles du comportement de l enfant et de l adolescent Rédaction : JP Visier, M Maury et P Bizouard
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailAttirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices
Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction
Plus en détailLES AIDES DU FONDS POUR L INSERTION DES PERSONNES HANDICAPEES DANS LA FONCTION PUBLIQUE (FIPHFP)
LES AIDES DU FONDS POUR L INSERTION DES PERSONNES HANDICAPEES DANS LA FONCTION PUBLIQUE (FIPHFP) Colloque sur la prévention des risques professionnels Mardi 9 décembre 2014 LE CADRE REGLEMENTAIRE LE STATUT
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détail