Position de thèse. Le monnayage d argent d Elis : Images monétaires et organisation de la production du 6 ème siècle au 2 ème siècle avant J.-C.
|
|
- Aurélie Larocque
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Position de thèse Le monnayage d argent d Elis : Images monétaires et organisation de la production du 6 ème siècle au 2 ème siècle avant J.-C. Dès les premières décennies du 6 ème siècle, Elis est une des cités importantes du Péloponnèse, située sur un territoire fertile au nord-ouest de la péninsule et à proximité du grand sanctuaire d Olympie 1. Les textes antiques nous disent également que c est très certainement de l administration du sanctuaire, qu elle a exercée dès le début du 6 ème siècle et pendant la plus grande partie de l antiquité, que la cité tire l essentiel de sa prospérité. Le témoignage des trésors archaïques 2 nous suggère que ce n est qu à partir du 2 ème quart du 5 ème siècle que l atelier éléen frappe un monnayage d argent conséquent, en fait le seul avec celui de Sicyone monnayage d argent abondant du Péloponnèse. Les émissions des 5 ème et 4 ème siècles sont composées principalement de statères de poids éginétique, accompagnés d un nombre relativement restreint de fractions 3. Plus tard, probablement à partir du milieu du 3 ème siècle, les productions de statères seront progressivement remplacées par des émissions de drachmes, encore accompagnées de trioboles. Il semble que cette évolution coïncide dans le temps avec l adoption d un étalon connu sous le nom de «étalon éginétique réduit», déjà largement répandu dans la région 4. Les coins, en général les coins de revers, portent la marque de la cité en langue dorienne lettres initiales ou nom complet selon l époque 5 et leur gravure est assez souvent d une qualité exceptionnelle. Les émissions municipales cessent à partir de 191 au moment où la cité entre dans la ligue achéenne pour faire place à des frappes de monnaies portant à la fois la marque du koinon et celle de la cité. A partir de la 2 ème moitié du 4 ème siècle 6, l atelier éléen frappe également des bronzes. Ces monnaies (bronzes éléens et monnaies du koinon ) n entrent pas dans le cadre de cette étude. Notre objectif premier est en effet de compléter et préciser, à la lumière des nouvelles trouvailles et des travaux publiés après la parution de l ouvrage de C.T. Seltman 7, notre connaissance de ce monnayage en argent si particulier. 1 Selon Strabon, livre VIII et Pausanias, livre V, pour l essentiel. 2 Aucune monnaie éléenne ne figure dans les inventaires des trésors archaïques. 3 Pour cette période 5 ème siècle et 4 ème siècle nous disposons d un échantillon comportant environ 20 % de fractions, pourcentage calculé sur les nombres d exemplaires et non sur les nombres de combinaisons de coins différentes. Nos fractions sont des drachmes et des trioboles. Cependant, plusieurs collections témoignent de la frappe de dénominations plus petites oboles et fractions d oboles. 4 Plusieurs dates ont été avancées pour ces changements. Nous y reviendrons également. Celle qui est proposée ici reflète les indications données par les trésors. 5 La très grande majorité des monnaies porte les initiales FA. L emploi du digamma archaïque caractérise une zone géographique dont sont exclues les régions de dialectes ioniens et attique. Ce digamma perdure sur les coins bien audelà de l époque archaïque et même bien au-delà de l époque à laquelle il sera abandonné dans les inscriptions. Le A ne sera remplacé par le H de la koiné qu à l époque impériale. 6 Là encore, les propositions de dates pour l introduction des bronzes dans le monnayage éléen ont été nombreuses et variées. Il semble aujourd hui raisonnable d aborder la question à la lumière de la récente publication par Aliki Moustaka de monnaies provenant de fouilles faites à Olympie. Il semble qu aucun bronze éléen n ait été mis au jour dans des niveaux antérieurs aux années CT. Seltman, Temple coins of Olympia, Cambrige Cet ouvrage de référence a été également été publié en 3 parties dans la revue Nomisma entre 1912 et
2 La première caractéristique de ce monnayage réside dans la variété des images monétaires choisies par l atelier. Celle-ci se manifeste dans l utilisation, au moins pour les séries les plus anciennes 8, de types de droit montrant de très nombreuses «variantes» sur un petit nombre de thèmes liés aux cultes des divinités principales du sanctuaire 9. Zeus, par exemple, y est évoqué au travers de la représentation d un aigle emportant une proie. L examen de l ensemble de ces coins montre que les différentes positions de l aigle, pour variées qu elles soient, sont gravées selon un assez petit nombre de «motifs» et qu il existe des proies récurrentes comme le serpent, le lièvre et la tortue. D où l idée que le choix de ces variantes sur le thème de l aigle et de sa proie n a peut-être pas été abandonné à la fantaisie des graveurs et qu il pourrait être l expression d une volonté des responsables de l atelier. En effet, sachant qu elle est aisément repérable aussi bien par l utilisateur antique que par l œil de l historien moderne, chaque variante peut parfaitement jouer le rôle d identifiant de l émission ou d une partie de l émission. L un des objectifs de cette étude est donc d identifier des «règles» de gravure qui auraient pu être imposées pour chaque production Cette pratique, si elle était avérée, ne serait pas une spécificité éléenne. Nous savons en effet, que dès l époque archaïque, d autres ateliers ont cherché à différencier leurs productions et ont utilisé pour cela différentes techniques. Les ateliers d Athènes avec la frappe des «Wappemünzen» et celui d Acanthe avec les émissions aux types du lion et du taureau, en sont deux exemples parmi d autres. Les dessins de ces types de revers sont également très variés nous disposons d une dizaine de représentations différentes du foudre et la Niké nous apparaît assise ou debout, courant vers la droite ou la gauche, tenant une couronne, une palme ou un taenia, etc mais il ne nous apparaît pas que ces gravures obéissent à une règle préétablie. Dans un deuxième temps, les pratiques de l atelier changent et les types se figent : Pour l essentiel, ce sont des têtes de Zeus ou Héra au droit, avec un foudre ou aigle au revers. Nous trouvons même, à l époque hellénistique pour une production de drachmes assez importante, un curieux retour aux types de l époque classique : au droit, l aigle emporte une proie et le revers porte un foudre, mais sans variante ni au droit ni au revers. Cependant, la pratique des types «fixes» qui semble bien installée à partir du moment où apparaissent les têtes de Zeus ou de Héra sur les coins de droit, laisse place tout de même à une exception remarquable : Nous disposons, en effet, d un nombre conséquent de monnaies portant au droit un type fixe une tête de Héra et au revers un aigle toujours posé et sans proie, mais dans des positions variées. Là encore, les attitudes ne semblent pas choisies au hasard. Les ailes fermées ou ouvertes, les têtes tournées vers la gauche ou vers la droite,.pourraient bien être le support d une information et en particulier d une marque destinée à différencier les productions. Nous aurons donc à analyser ces nouvelles variantes, pour tenter d y trouver une logique. Et la présence, sur certains de ces coins à variantes, de symboles qui peuvent également passer pour des marques d émission, ne simplifie guère les données du problème La complexité, autre caractère de ce monnayage, tient également au fait que chaque coin de droit peut être associé à plusieurs coins de revers, éventuellement de types différents et inversement : il 8 C est la chronologie des trésors qui permet de penser que les types «à variantes» ont précédé les types fixes 9 Zeus et Héra sont deux divinités particulièrement honorées à Olympie. Le temple dédié à Héra est certainement le plus ancien et nous savons qu un grand temple dédié à Zeus y a été construit pendant le 2 ème quart du 5 ème siècle. 2
3 n est pas rare de trouver un coin de revers associé à plusieurs coins de droit de types différents 10, eux-mêmes utilisés avec plusieurs autres coins de revers. Notons cependant que cette complexité est particulièrement évidente dans les productions utilisant les coins de droit «à variantes» aux types de l aigle et de sa proie. Par la suite, les croisements de coins demeurent, mais les pratiques de l atelier semblent se simplifier avec l adoption progressive des types fixes. Le «croisement intensif» des différents coins de droit et de revers n est certes pas une spécificité éléenne. La singularité des frappes éléennes tient au fait qu un même coin de revers peut être associé à des coins de droit de types et de styles différents. Et la complexité des associations de coins dont nous disposons suggère l existence de raisons autres que des raisons techniques. Il faut peut-être admettre que certaines combinaisons de coins portent deux informations distinctes. L examen des monnaies qui semblent constituer les dernières productions municipales en argent nous ramène à des schémas plus simples : les types sont fixes, les coins de droit portent un profil du Dieu (ou encore un aigle pour les drachmes), les coins de revers portent un aigle ou un foudre et, progressivement, un jeu de marques d émission fait son apparition sur les coins de revers. Ces marques peuvent être encore des symboles, mais les lettres ou monogrammes y deviennent de plus en plus nombreux. Cette pratique nouvelle apparaît également sur les bronzes municipaux et les monnaies de la ligue achéenne, signe de son enracinement durable. Cependant, la présence sur une majorité de coins d un nombre variable de marques, et du mélange symbole(s)/ lettres sur un même coin nous renvoie à la question du nombre, de la nature et de la hiérarchie éventuelle des informations véhiculées par ces marques. Une autre question, plus générale, vient à l esprit en observant l exceptionnelle importance de ce monnayage, en volume et en grosses dénominations. A titre d exemple, pour les seules séries portant au droit les types de l aigle et de sa proie, c'est-à-dire pour les seules séries «à variantes» nous disposons de 68 coins de droit utilisés pour frapper des statères 11. Et il est vraisemblable que la frappe de ces séries a été abandonnée dès le dernier quart du 5 ème siècle. Les textes antiques nous laissent imaginer Elis comme une cité importante et prospère. L histoire de la cité, des origines à son entrée forcée dans la ligue achéenne en 191, est une histoire passablement mouvementée, ponctuée par de nombreux conflits armés. Mais cela suffit-il à expliquer l abondance de ces statères? Il est bien sûr tentant de tenter d expliquer cette production par les besoins de l administration du sanctuaire. Il est même tentant, malgré la présence quasi systématique de l ethnique des Eléens sur les monnaies, de franchir le pas qui consiste à considérer que ce monnayage est celui du sanctuaire d Olympie et non celui de la cité d Elis. Cela a été fait par beaucoup d historiens. Mais, si tel est le cas, la comparaison avec le monnayage frappé par l autre grand sanctuaire panhellénique de la région s impose. Et force est de constater que le monnayage frappé par les amphictyons de Delphes est beaucoup moins abondant. Ces interrogations sur la nature du monnayage éléen et son utilisation nous conduisent à examiner une autre particularité, d autant plus curieuse qu elle apparaît limitée dans le temps et qu elle a pu avoir des significations différentes selon les époques. Parmi les séries aux types de l aigle et de sa proie, nous possédons un très grand nombre de monnaies 12 portant des contremarques. La particularité réside non seulement dans le grand nombre de monnaies contremarquées, mais aussi dans le nombre élevé de contremarques présentes sur certains exemplaires. Le phénomène est particulièrement visible sur les premières productions, puis 10 Nous disposons de très nombreux exemples de coins de revers utilisés avec 2 ou 3 coins de droits différents. Cas tout de même exceptionnel, nous disposons d un coin de revers utilisé avec 7 coins de droit différents. 11 De plus, nous verrons que notre connaissance des coins de droit des séries les plus ancienne est assez limitée. 3
4 le nombre de monnaies contremarquées et le nombre de contremarques par monnaie diminuent sensiblement jusqu à devenir négligeable à partir de l adoption de la tête de Héra pour la gravure des coins de droit. L analyse des contremarques et de leur caractère officiel ou privé donne des indications d une part sur l utilisation et la circulation 13 des monnaies et sur la politique monétaire de la cité à certaines époques d autre part. Les nouvelles publications de trésors et de collections ont permis d enrichir sensiblement le corpus constitué par Seltman. Celui-ci était pour l essentiel dédié aux statères. Nous disposons désormais d un échantillon de plus de 1850 monnaies d argent, dont environ 2/3 de statères. De nouveaux coins et de nouvelles combinaisons de coins (près de 30% des combinaisons de coins utilisées pour les statères étaient inconnues de Seltman) nous permettent de confirmer dans certains cas mais aussi de corriger la séquence de coins proposée dans son ouvrage. La présence d un nombre conséquent de monnaies hellénistiques, particulièrement de drachmes frappées selon un étalon de poids légèrement différent de l étalon initial, nous donne un éclairage très nouveau sur les dernières séries de monnaies à la tête de Zeus statères et fractions, de même que pour les drachmes hellénistiques au type de l aigle. L étude des trésors nous a donné quelques points de repère indispensables pour l ordonnancement des groupes de monnaies et la détermination de dates au plus tôt ou au plus tard. L examen des textes et inscriptions traitant de l histoire du sanctuaire et de la vie politique passablement mouvementée de la cité s est également révélée riche d enseignements. Au-delà des évènements qui ont parfois trouvé un écho dans les choix et/ou le niveau d activité de l atelier, cette étude nous a donné quelques informations relativement précises concernant les ressources financières de la cité et l usage qui a pu en être fait. Elle nous a également indiqué l existence d une organisation politique antérieure au synécisme daté par Diodore de 472/ L étude des coins, en particulier l analyse des variantes sur le thème de l aigle et celle des marques présentes sur les coins de revers, nous a permis de progresser dans la compréhension de la chronologie et de l organisation de la production éléenne. C est à la lumière de cette analyse, associée à l inventaire des liaisons de coins disponibles, que nous avons pu préciser un dénombrement des différentes émissions. Il nous est apparu, en particulier, que le nombre de variantes disponibles pour les monnaies aux types de l aigle et de sa proie est difficilement compatible avec un début des frappes au moment du synécisme. Et ce d autant plus que l examen des séries les plus anciennes nous indique la qualité très médiocre de l échantillon qui nous est parvenu : notre connaissance des coins de droit utilisés pour ces séries reste partielle. Nous devons donc admettre que les premiers aigles éléens datent sinon de la fin du 6 ème siècle, du moins des premières décennies du 5 ème siècle, et que ces frappes ont du être suffisamment peu abondantes ou ponctuelles pour ne laisser aucune trace dans les trésors archaïques. La présence de marques sur les coins de revers devient significative à partir du milieu du 4 ème siècle. L atelier a progressivement mis en place un nouveau système de différenciation des émissions. Cette nouvelle pratique nous apparaît relativement complexe, car le nombre et la nature des marques sur les différentes productions peuvent être différents. L examen de l ensemble des séries à tête de Zeus qui ont été produites par la cité avant son entrée dans la ligue achéenne montre que l usage de cette nouvelle technique a été néanmoins durable. 13 S agissant de circulation, la localisation des trésors publiés et contenant des monnaies éléennes est significative. A une exception près, tous ont été trouvés en Grèce et une grande majorité d entre eux nous vient du Péloponnèse. 14 Diodore XI, 54 4
5 C est la comparaison du contenu de plusieurs trésors hellénistiques qui nous a permis - d une part de placer au milieu du 3 ème siècle l adoption d un nouvel étalon dit «étalon éginétique réduit» pour l ensemble des dénominations. Contrairement à la proposition de Seltman qui la liait à l entrée dans la ligue achéenne, en 191, cette réduction significative des poids (entre 10% et 20% selon les dénominations) nous a semblé être une adaptation au contexte monétaire de l époque et de la région. - d autre part de reconstituer une nouvelle séquence des types de droit et de revers utilisés pour les fractions et une nouvelle chronologie des coins. Nous n avons pas trouvé d indication qui vienne conforter la thèse de Seltman concernant l existence de 2 ateliers distincts et fonctionnant en parallèle entre 420 et la fin de du 4 ème siècle. L absence de coin commun entre les séries de monnaies à la tête de Héra et les séries de monnaies à la tête de Zeus est certes confirmée dans le nouvel échantillon. Mais les ressemblances frappantes entre certains coins réputés appartenir à l un ou à l autre des 2 ateliers, de même que le choix de thèmes indiscutablement liés à Zeus pour les types de revers associés au profil de la Déesse, nous paraissent être des éléments d unité entre les 2 productions. Nous n avons pas non plus trouvé dans les trésors d éléments qui vienne conforter cette thèse des 2 ateliers. Nous y avons, en revanche, trouvé des indications compatibles avec une évolution lente dans le choix de types faisant succéder les têtes de Héra aux premiers types fixes à partir de 420. L atelier a pu rester fidèle à ce choix pendant environ un siècle, à l exception des rares productions liées aux évènements dramatiques de l occupation du sanctuaire par les Arcadiens. A la fin du 4 ème siècle ou au début du 3 ème siècle, l atelier a choisi le profil de Zeus, choix tout aussi durable, puisqu il sera maintenu sur toutes les monnaies municipales. De même nous n avons guère trouvé de justification particulière au titre de l ouvrage de Seltman «Temple coins of Olympia» et à l idée qui le soutient. Les arguments avancés par le savant anglais à l appui de cette thèse peuvent être largement discutés. L existence de structures politiques fonctionnant à Elis avant le synécisme autorise la frappe de monnaies avant 471. Les légendes évoquant le sanctuaire et le choix des types liés aux jeux, aux statues et aux cultes principaux du sanctuaire ne doivent pas surprendre venant d une cité qui pendant plusieurs siècles en a tiré sa gloire et ses revenus. L immense notoriété du sanctuaire dans le monde grec et sa fréquentation par des milliers de visiteurs tous les 4 ans ont certes créé un grand besoin de numéraire, mais elles ont aussi permis aux Eléens d en tirer profit, et de financer aussi bien des travaux de grande ampleur pour le sanctuaire que leur dépenses militaires. Enfin, la présence quasiment systématique de l ethnique des Eléens sur les coins nous paraît être simplement et très classiquement une façon d identifier et d authentifier les différentes monnaies en exprimant leur valeur politique. 5
Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES
Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres
Plus en détail1. La fonction de règlement ne peut être assurée au niveau international que dans des conditions bien différentes. D une part, les agents concernés
Introduction La notion de système évoque l idée d organisation. Un système monétaire national est l organisation des relations monétaires dans un pays : comment les agents économiques peuvent-ils utiliser
Plus en détailL ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS
ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN
Plus en détailMéthode du commentaire de document en Histoire
Méthode du commentaire de document en Histoire I. Qu est-ce qu un commentaire de document? En quelques mots, le commentaire de texte est un exercice de critique historique, fondé sur la démarche analytique.
Plus en détailHISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS
HISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS DOCUMENT : 1979. 29489 (1). «L'Actualité. L'union fait la force. Jeu stratégique». Sans éditeur. Vers 1915. PLACE
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailClément ALBRIEUX (69)
Pratique 20 : Une nouvelle identité entrepreneuriale 287 Le témoin : Clément ALBRIEUX (69) 30 collaborateurs Comment est définie et gérée l innovation dans votre cabinet? Les collaborateurs du cabinet
Plus en détailNom de l application
Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Direction Générale des Etudes Technologiques Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Gafsa Département Technologies de l Informatique
Plus en détailCOMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS?
Né dans un milieu où on lisait peu, ne goûtant guère cette activité et n ayant de toute manière pas le temps de m y consacrer, je me suis fréquemment retrouvé, suite à ces concours de circonstances dont
Plus en détail8 Certifications Minergie
8 Chapitre 8 Être Minergie, est-ce aussi être «autrement»? Pour de nombreux acteurs du marché immobilier, un label de durabilité devrait s accompagner d une appréciation de la valeur de leur immeuble,
Plus en détailVotre guide 2015 Régime enregistré d épargne-retraite (REER)
Votre guide 2015 Régime enregistré d épargne-retraite (REER) en termes simples Présenté par ept notions simples pour mieux comprendre le REER : 1 2 3 4 5 6 7 Qu est-ce qu un REER? Combien pouvez-vous verser
Plus en détailPublication de comptes financiers du secteur privé non-financier
Luxembourg, le 21 avril 211 Publication de comptes financiers du secteur privé non-financier Dans la mesure où le Service Central de la Statistique et des Etudes Economiques (STATEC) n'est pas encore à
Plus en détailVilles et pays d art et d histoire. Raconte-moi. le Centre. autour de la place du Théâtre. Livret-découverte
Villes et pays d art et d histoire Raconte-moi le Centre autour de la place du Théâtre Livret-découverte onjour! Nous te proposons de découvrir la Place du Théâtre de Lille! Bonne visite! Polichinelle
Plus en détailCe rêve est devenu réalité.
Vous venez de trouver une règle mise en ligne par un collectionneur qui, depuis 1998, partage sa collection de jeux de société et sa passion sur Internet. Imaginez que vous puissiez accéder, jour et nuit,
Plus en détailLES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL :
LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL : UN PARTENARIAT POUR BÂTIR DES COLLECTIVITÉS PLUS FORTES, PLUS PROSPÈRES ET PLUS DYNAMIQUES Mémoire prébudgétaire présenté par Imagine
Plus en détail«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère»
«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère» * Précision apportée par l auteur, publiée le 26 novembre. Voir en fin d'article Gabriel Zucman vient de publier un livre, «La Richesse cachée
Plus en détailDistinction des questions et des consignes
ET ŒIL DES CONSIGNES (OUTILS D EXPLORATION ET D INTÉGRATION DE LA LECTURE) 1 Questions et consignes Distinction des questions et des consignes Théorie Comment différencier les questions et les consignes
Plus en détailSommaire. Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos»)
Sommaire Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos») Novembre 2013 Table des matières 1. CONTEXTE ET OBJECTIFS... 3 2. MÉTHODES DE RECHERCHE...
Plus en détailLES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION
LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement
Plus en détailFONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX
FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX 1. L effet d une variation du revenu. Les lois d Engel a. Conditions du raisonnement : prix et goûts inchangés, variation du revenu (statique comparative) b. Partie
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Le tableau de bord, outil de pilotage de l association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône-Alpes) Difficile d imaginer la conduite d un bateau sans boussole
Plus en détailUn régime d assurance? Si oui, lequel?
Un régime d assurance? Si oui, lequel? AFESH-UQAM 20 novembre 2013 Résumé Ce texte présente quelques pistes de réflexion concernant le régime d assurance collective de l AFESH-UQAM. Il s agit d un document
Plus en détailFICHE METIER. «Opérateur de prises de vue» Opérateur de prises de vue vidéo. Cadreur. Pointeur vidéo APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER
Opérateur de prises de vue Version 1 «Opérateur de prises de vue» APPELLATION(S) DU METIER Opérateur de prises de vue vidéo Cadreur Pointeur vidéo DEFINITION DU METIER L'opérateur de prises de vue assure
Plus en détailLes performances des banques en ligne chinoises en 2010 par Arthur Hamon - Asia Pacific Area Manager & Alain Petit - Responsable Benchmarks & Etudes
Les performances des banques en ligne chinoises en 2010 par Arthur Hamon - Asia Pacific Area Manager & Alain Petit - Responsable Benchmarks & Etudes L empire du milieu est le pays qui compte le plus grand
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailSimulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation
Plus en détailQUESTIONS D IMPÔT SUCCESSORAL AMÉRICAIN POUR LES CANADIENS
février 2015 TABLE DES MATIÈRES Comment s applique l impôt successoral Historique de l impôt successoral Taux et exemptions de l impôt successoral Idées de planification Résumé QUESTIONS D IMPÔT SUCCESSORAL
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailNorme comptable internationale 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères
Norme comptable internationale 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères Objectif 1 Une entité peut exercer des activités à l international de deux manières. Elle peut conclure des transactions
Plus en détailLES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ
3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit
Plus en détailBulletin d information en économie de la santé n 32 - octobre 2000. questions 37% 24% Cadre et profession intellect. Profession intermédiaire
Bulletin d information en économie de la santé n 32 - octobre 2000 questions d économie de la santé analyses Repères La couverture complémentaire maladie finance 12 % des dépenses de santé et joue un rôle
Plus en détailLA COMPOSITION DES PLANS D ÉPARGNE EN ACTIONS (PEA) À FIN DÉCEMBRE 1997
LA COMPOSITION DES PLANS D ÉPARGNE EN ACTIONS (PEA) À FIN DÉCEMBRE Selon les données communiquées par les établissements participant à l enquête-titres de la Banque de France, l encours des capitaux placés
Plus en détailLES PROBABILITÉS DE GAINS
LES PROBABILITÉS DE GAINS JOUER À DES JEUX DE HASARD La seule chose que tous les jeux de hasard ont en commun, c est que le fait de gagner ou de perdre se fait de façon aléatoire. Même si le rêve de gagner
Plus en détailConseil économique et social
NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/CES/GE.20/2008/3 12 février 2008 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE CONFÉRENCE DES STATISTICIENS EUROPÉENS Réunion
Plus en détailPEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?
PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.
Plus en détailI- Quel est le but du contrôle «quinquennal» (contrôle obligatoire tous les cinq ans)?
ARC/ HTTP://WWW.UNARC.ASSO.FR/ DOSSIER DU MOIS DE DECEMBRE 2008 Le contrôle quinquennal obligatoire des ascenseurs Le contrôle quinquennal des ascenseurs a été institué par l article 79 de la loi du 2
Plus en détailQu est-ce qu un programme de dons?
1 Qu est-ce qu un programme de dons? Le terme «programme de dons» réfère à votre approche politique, stratégique, active visant à construire une relation durable avec vos abonnés et les donateurs. Tout
Plus en détailMETHODOLOGIE LE CAHIER EST UN OUTIL DE TRAVAIL, MIEUX IL SERA TENU, PLUS TU AURAS DE PLAISIR A L OUVRIR POUR RETRAVAILLER LE COURS
METHODOLOGIE I. Comment travailler et organiser son travail en histoire-géographie LE CAHIER EST UN OUTIL DE TRAVAIL, MIEUX IL SERA TENU, PLUS TU AURAS DE PLAISIR A L OUVRIR POUR RETRAVAILLER LE COURS
Plus en détailCIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2005-10
Tunis, le 14 juillet 2005 CIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2005-10 Objet : Tenue et administration des comptes de certificats de dépôt et des comptes de billets de trésorerie. Le Gouverneur de
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE
COMMENTAIRE Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE Faits saillants Les ventes de véhicules au Canada ont atteint un sommet
Plus en détail22 Nous Reconnaissons la force du pardon
22 Nous Reconnaissons la force du pardon 23 Par le rite pénitentiel, les chrétiens se tournent vers Dieu pour lui demander son pardon. Dieu nous reçoit tels que nous sommes et nous pardonne pour que nous
Plus en détailGÉRER La force de l image. Business Intelligence
GÉRER Business Intelligence vos données ont du 32 l ie n 61 l septembre-octobre 2012 Par Guillaume Poulain : potentiel cartographique Apporter une couche de cartographie à une solution de Business Intelligence
Plus en détailCORRIGE LES NOMBRES DECIMAUX RELATIFS. «Réfléchir avant d agir!»
Corrigé Cours de Mr JULES v3.3 Classe de Quatrième Contrat 1 Page 1 sur 13 CORRIGE LES NOMBRES DECIMAUX RELATIFS. «Réfléchir avant d agir!» «Correction en rouge et italique.» I. Les nombres décimaux relatifs.
Plus en détailRACHETER OU REMBOURSER UN CREDIT
RACHETER OU REMBOURSER UN CREDIT Faites le bon choix et appréciez le bonheur d une vie sans dette C est plus simple qu il n y parait Avertissement : Toute reproduction, intégrale ou partielle, ou toute
Plus en détailFICHE METIER. «Assistant son» Assistant son APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER
Opérateur du son Version 1 «Assistant son» APPELLATION(S) DU METIER Assistant son DEFINITION DU METIER L assistant son aide l ingénieur du son ou le chef opérateur du son, responsable des enregistrements
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détailLes indices à surplus constant
Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté
Plus en détailLes usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction
Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailManuel des directives - Indemnisation des dommages corporels 1. CHAMP D'APPLICATION
1. CHAMP D'APPLICATION Cette directive traite du paiement d intérêts par la Société de l assurance automobile du Québec (la Société). 2. CADRE LÉGAL ET RÉGLEMENTAIRE Cette directive découle de la Loi sur
Plus en détailMalgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire
Résultats de l enquête Ifop/Wincor sur les relations des Français à leur agence bancaire Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire -
Plus en détailPetit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007
Petit lexique de calcul à l usage des élèves de sixième et de cinquième par M. PARCABE, professeur au collège Alain FOURNIER de BORDEAUX, mars 2007 page 1 / 10 abscisse addition additionner ajouter appliquer
Plus en détailLes jeunes et l'argent Vague 2
Les jeunes et l'argent Vague 2 Etude publiée pour Axa Banque Mars 2015 Sommaire 1 4 L argent, un univers d évocation ambivalent pour les jeunes 7 Des jeunes qui affichent un certain optimisme pour l avenir
Plus en détailI. FAIR-PLAY, D OÙ VIENS-TU? QUI ES-TU?
I. FAIR-PLAY, D OÙ VIENS-TU? QUI ES-TU? Le fair-play est une notion bien souvent employée à tort et à travers. Associée surtout au vocabulaire sportif, elle s applique aujourd hui à de multiples situations,
Plus en détailUn climat des affaires incertain
AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.
Plus en détailSection : SCIENCES ECONOMIQUES ET SOCIALES
CAPES CONCOURS EXTERNE ET CAFEP Section : SCIENCES ECONOMIQUES ET SOCIALES EPREUVES D ADMISSIBILITE EPREUVES D ADMISSION Ministère de l Education nationale > www.education.gouv.fr - Sujet de dissertation
Plus en détailLes internautes et les comparateurs de prix
FM N 19410 Contact L Atelier : Sandra Edouard Baraud Tél : 01 43 16 90 22 sandra.edouardbaraud@atelier.net, Contact Ifop : Frédéric Micheau Tél : 01 45 84 14 44 frederic.micheau@ifop.com pour Les internautes
Plus en détailAC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =
LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste
Plus en détailInformation, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec
Information, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec Résumé des résultats et conclusions de la recherche Marie-Ève Maillé, Ph. D. Centre de
Plus en détailÉtude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles
Étude auprès de la génération X Le paiement virtuel et la gestion des finances Rapport Présenté à Madame Martine Robergeau Agente de Développement et des Communications 11 octobre 2011 Réf. : 1855_201109/EL/cp
Plus en détailL EMPIRE ROMAIN. étude de cas : Lucius Aponius Cherea habitant de Narbo Martius au II siècle. Fabienne Rouffia - collège V.
L EMPIRE ROMAIN étude de cas : Lucius Aponius Cherea habitant de Narbo Martius au II siècle Détail du piédestal de la statue d Aponius Cherea (II siècle) musée archéologique de Narbonne Source : Service
Plus en détailPOPULATION ÂGÉE D UN AN ET PLUS AYANT DÉMÉNAGÉ UN AN AUPARAVANT
Mobilité POPULATION ÂGÉE D UN AN ET PLUS AYANT DÉMÉNAGÉ UN AN AUPARAVANT Définitions La mobilité résidentielle est déterminée en fonction du lien entre le domicile habituel de la personne le jour du recensement
Plus en détailDes Paniers diversifiés et gérés professionnellement. Les Paniers
Des Paniers diversifiés et gérés professionnellement Les Paniers 3 Optez pour la flexibilité, la clarté et la tranquillité d esprit 4 Qu est-ce qu un Panier? 6 La diversification, ou comment réduire le
Plus en détailEvaluation de l organisation interne
Module 1 Module Evaluation de l organisation interne Table des matières SECTION 1 Mission et valeurs 34 SECTION 2 Gestion 1 40 SECTION 3 Gestion 2 46 T E A R F U N D 2 0 0 3 33 Module 1 Section 1 Mission
Plus en détailEfficace et ciblée : La surveillance des signaux de télévision numérique (2)
Efficace et ciblée : La surveillance des signaux de télévision numérique (2) La première partie de cet article publié dans le numéro 192 décrit la méthode utilisée pour déterminer les points de surveillance
Plus en détailUn état descriptif de 1776 nous permet de mesurer la qualité de la conservation du bâtiment conçu par Mathurin Cherpitel.
L Hôtel du Châtelet L Hôtel du Châtelet Dès le 18 ème siècle, l Hôtel du Châtelet est considéré comme une des plus belles demeures de Paris par les voyageurs qui en font la description à la fin du siècle.
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailCOMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL
COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL Séance du mercredi 10 Décembre 2014 Après avoir approuvé le compte rendu de la réunion du 12 novembre 2014, le conseil municipal a examiné les dossiers et pris
Plus en détailMÉTHODOLOGIE POUR LE CALCUL DE L AMORTISSEMENT ET DE LA VALEUR DU STOCK NET DOMICILIAIRE DIVISION DE L INVESTISSEMENT ET DU STOCK DE CAPITAL
MÉTHODOLOGIE POUR LE CALCUL DE L AMORTISSEMENT ET DE LA VALEUR DU STOCK NET DOMICILIAIRE DIVISION DE L INVESTISSEMENT ET DU STOCK DE CAPITAL STATISTIQUE CANADA 15 FÉVRIER 2002 1 MÉTHODOLOGIE POUR LE CALCUL
Plus en détailConcept totale. parfaitement compatibles permettant de jeter un «nouveau regard sur le marketing & les ventes».
Concept totale Le logiciel CRM peut être acheté partout. Tout comme les adresses de vos publipostages. Il existe également de nombreux logiciels pour le marketing par courrier électronique. Mais vous ne
Plus en détailCHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques
CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques VIII. 1 Ce chapitre porte sur les courants et les différences de potentiel dans les circuits. VIII.1 : Les résistances en série et en parallèle On
Plus en détail1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales
Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies
Plus en détailLes principales méthodes d évaluation
Attention : Cette fiche n a pas pour objet de fixer administrativement la valeur des biens. Elle ne doit pas être assimilée à une instruction administrative. Elle propose les principales méthodes d évaluation
Plus en détailL indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne
L indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne Sophie Morlaix To cite this version: Sophie Morlaix. L indice de SEN, outil de mesure de l équité
Plus en détailSommaire. - 1 - La méthodologie... 1-2 - Les principaux enseignements de l étude... 4
FM N 111256 Contact Ifop : Frédéric Micheau Département Opinion et Stratégies d'entreprise frederic.micheau@ifop.com 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 pour Les attentes
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailLe Pavé Mosaïque. Temple?» C est la question que je me posais la première fois que je vis le Pavé Mosaïque à
Le Pavé Mosaïque «Mais à quel jeu jouent donc les francs maçons sur cet échiquier dessiné à même le sol du Temple?» C est la question que je me posais la première fois que je vis le Pavé Mosaïque à la
Plus en détailLe parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse
Le parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse Cet article présente les premiers résultats d un projet de recherche qui étudie le parcours professionnel de personnes confrontées au chômage
Plus en détailBest Styles ou comment capturer au mieux les primes de risque sur les marchés d actions
Stratégie Best Styles ou comment capturer au mieux les primes de risque sur les marchés d actions La recherche des primes de risque constitue une stratégie relativement courante sur les marchés obligataires
Plus en détailCOMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007
COMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007 relatif au traitement comptable des opérations en devises des entreprises régies par le code des assurances, des mutuelles
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailLe WACC est-il le coût du capital?
Echanges d'expériences Comptabilité et communication financière Dans une évaluation fondée sur la méthode DCF, l objectif premier du WACC est d intégrer l impact positif de la dette sur la valeur des actifs.
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailSéquence rédigée de manière provisoire : Document de travail FAIRE ROULER - "Petites Voitures" CYCLE II
Séquence rédigée de manière provisoire : Document de travail FAIRE ROULER - "Petites Voitures" CYCLE II Point du programme Choisir un outil en fonction de son usage et mener à bien une construction simple.
Plus en détailÉtude sur la compétitivité des administrations cantonales
Étude sur la compétitivité des administrations cantonales réalisée pour les Chambres de commerce latines Avril 2015 2 1. Descriptif de la recherche Contexte et méthodologie 3 La 7 ème vague de l étude
Plus en détailJeux mathématiques en maternelle. Activités clés. Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF)
Activités clés NIVEAU : PS/MS Jeu des maisons et des jardins (Yvette Denny PEMF) Compétences Construire les premiers nombres dans leur aspect cardinal Construire des collections équipotentes Situation
Plus en détailéclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage
éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires
Plus en détail+ FICHE METIER. «Chef Maquilleur(euse)» Chef maquilleur Maquilleur APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER
Chef Maquilleur(euse) + «Chef Maquilleur(euse)» APPELLATION(S) DU METIER Chef maquilleur Maquilleur DEFINITION DU METIER Le chef maquilleur est en charge du maquillage visage et corps, ainsi que de la
Plus en détailDes caisses diversifiées et gérées professionnellement. Les Caisses privées
Des caisses diversifiées et gérées professionnellement Les Caisses privées 3 La simplicité rendue accessible 4 Qu est-ce qu une Caisse privée? 6 La diversification, ou comment réduire votre risque 8 Une
Plus en détail«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23.
«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23. Pour faire suite au récit des disciples sur le chemin d Emmaüs et pour
Plus en détailEnvironnement Architecture de controle. Décisions
Chapitre 1 Introduction 1.1 Robot Mobile Il existe diverses définitions du terme robot, mais elles tournent en général autour de celle-ci : Un robot est une machine équipée de capacités de perception,
Plus en détailRetentissement de la réforme de l'ircantec 2008 sur la retraite des Praticiens Hospitaliers.
Retentissement de la réforme de l'ircantec 2008 sur la retraite des Praticiens Hospitaliers. Dr Raphaël BRIOT ; Dr Jean GARRIC Syndicat National des Praticiens Hospitaliers d'anesthésie-réanimation RÉSUMÉ
Plus en détailQui fait quoi sur internet?
Ans Note d éducation permanente de l ASBL Fondation Travail-Université (FTU) N 2015 8, avril 2015 www.ftu.be/ep Qui fait quoi sur internet? Analyse des inégalités sociales dans l utilisation d internet
Plus en détailIMPOSITION DES DIVIDENDES DISTRIBUES EN 2012
IMPOSITION DES DIVIDENDES DISTRIBUES EN 2012 Les lois de finances de la fin 2012 ont modifié sur de nombreux points le mode d'imposition des dividendes des SARL et des EURL à l'i.s S'agissant des dividendes
Plus en détailAnalyse dialectométrique des parlers berbères de Kabylie
Saïd GUERRAB Analyse dialectométrique des parlers berbères de Kabylie Résumé de la thèse (pour affichage) Il est difficile de parler du berbère sans parler de la variation. Il y a d abord une variation
Plus en détailPropension moyenne et marginale
Propension moyenne et marginale Les ménages utilisent leur revenu soit pour consommer (tout de suite), soit pour épargner (et consommer plus tard). On appelle propension moyenne à consommer (PMC) la part
Plus en détailQUEL JOUEUR DE POKER ETES-VOUS?
QUEL JOUEUR DE POKER ETES-VOUS? Le but de cette enquête est de dessiner un tableau du paysage français du poker. Le poker est un phénomène de société en plein boom mais pour lequel aucune étude sérieuse
Plus en détail