4 Fonctions primitives récursives et autres
|
|
- Huguette Fontaine
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 4 Fonctions primitives récursives et autres L ensemble des fonctions totales de domaine N p à valeurs dans N est noté F p. Une fonction partielle de N p dans N est donnée par un sous-ensemble A de N p et une fonction f : A N. L ensemble A est le domaine de la fonction f, noté Dom(f), et l ensemble des fonctions partielles de N p dns N est noté F p. On pose F = p F p et F p = p F p. 4.1 Fonctions primitives récursives Je renvoie aux notes de Hils ou de Loeser, ou bien au livre de Cori-Lascar 4 pour les définitions et propriétés de base. Les fonction récursives primitives sont définies par récurrences à partir de fonctions de base (les fonctions constantes, les projections, et la fonction successeur S : N N, x x + 1), grâce à deux opérations : la composition de fonctions ; et la définition par récurrence : si h F p+2 et g F p sont primitives récursives, alors aussi la fonction f F p+1 définie par g( x) si y = 0, f( x, y) = h(f( x, y 1, f( x, y 1)) sinon. Grâce à ces opérations, on peut définir la plupart des fonctions usuelles, notamment l exponentielle. Un sous-ensemble A de N p est primitif récursif si sa fonction caractéristique, 1 A, est primitive récursive. Notons en particulier le Schéma µ borné : Si A N p+1 est primitif récursif, alors on définit la fonction définie par f( x, y) = f( x, y) = (µz y)(( x, y) A) le plus petit élément z y tel que ( x, y) soit dans A s il existe, 0 s il n existe pas de tel z. Alors la fonction (µz y)(( x, y) A) est primitive récursive. Il faut noter que cette fonction est définissable à partir de f en utilisant les deux opérations ci-dessus (et les fonctions de base, celles déjà construites, ainsi que la définition par cas) : f( x, 0) = 0 f( x, y + 1) = f( x, y) si y z=0 1 A(z) = 1 f( x, y + 1) = y + 1 si y z=0 1 A(z) = 0 ( x, y + 1) A f( x, y + 1) = 0 si y+1 z=0 1 A(z) = 0. 4 Notes de Hils : hils/enseignement/archives/ens12-13.html, Notes de Loeser, Un premier cours de logique : loeser/notes.php, ou bien R. Cori, D. Lascar, Logique Mathématique, Vol. 2, Dunod ed., chapitre 5. 36
2 4.1. Deux fonctions qui nous serviront à coder La fonction α : N 2 N, (x, y) (x + y)(x + y + 1)/2 + x, définit une bijection entre N 2 et N. Elle est primitive récursive, et les deux fonctions β 1 et β 2 définies par α 1 = (β 1, β 2 ) le sont aussi, en utilisant le schéma µ-borné, car on a α(m, n) m, n. Cette fonction peut alors nous servir à définir des bijections (primitives récursives) entre N p et N, pour tout p > 2. L ensemble P des nombres premiers est primitif récursif. Il suit que la fonction π qui à n = 0 associe 2 et à n > 0 associe le n + 1-ième nombre premier est aussi primitive récursive : on a π(n + 1) = (µz (n + 2)! + 1)(π(n) < z z P ). Bien que ce ne soit pas la forme exacte du schéma µ-borné, elle s en déduit facilement, en utilisant le fait que la fonction n (n + 2)! + 1 est primitive récursive, et que le n+1-ième nombre premier est (n+2)!+1. Plus généralement, faites l exercice ci-dessous. Nous pouvons alors définir une fonction, qui à une suite finie (a 0,..., a n ) de N associe un élément de N de la façon suivante : a 0,..., a n = 2 a0 π(n) an+1 1. On définit = 0. On vérifie que cela définit bien une bijection entre l ensemble des suites finies d entiers 0 et N. De plus, les opérations inverses suivantes sont primitives récursives : a 0,..., a n n ; ( a 0,..., a n, i) a i si 0 i n, 0 sinon; ( a 0,..., a n, i) a 0,... a i si i n, a 0,..., a n sinon. Exercice 4.2. Soient f F p+1, g F p et h F p des fonctions primitives récursives, et soit A un ensemble primitif récursif. (1) Montrez que la fonction z=h( x) z=g( x) f( x, y) est primitive récursive. Ici j impose que la somme est nulle si g( x) > h( x). (2) Montrez que la fonction qui à n associe le n-ième élément de A, est primitive récursive, si vous savez que cette fonction est dominée par une fonction primitive récursive. 4.2 La fonction d Ackermann Définition et propriétés de base de la fonction ξ d Ackermann. Définition des classes C n et de la domination. Preuve (sans détails) que ξ n est pas primitive récursive. On pourra faire les calculs en exercice. 4.3 Fonctions récursives partielles Définition 4.3. On considère maintenant l ensemble F des fonctions partielles. L ensemble des fonctions partielles récursives est le plus petit sous-ensemble de F qui contient les fonctions 37
3 de base (projections, constantes, et fonction successeur), et qui est clos par les trois opérations suivantes : Composition : si g F n et f 1,..., f n F p sont récursives, alors aussi f( x) = g(f 1 ( x),..., f n ( x)); son domaine sera Dom(f i ) x (f 1 ( x),..., f n ( x)) Dom(g)}. Récurrence : si h F p+2, g F p sont récursives, alors aussi la fonction f F p+1 définie par : f( x, 0) = g( x) si x Dom(g), non définie sinon ; f( x, y+1) n est pas définie s il existe z y tel que f( z) n est pas définie, ou bien si ( x, y, f( x, y)) / Dom(h) ; et enfin si pour tout z y, ( x, z) Dom(f), et si ( x, y, f( x, y)) Dom(h), alors f( x, y + 1) = h( x, y, f( x, y). Schéma µ : Soit f F p+1 une fonction récursive. Alors la fonction g( x) = (µy)(f( x, y) = 0) est récursive. Elle est définie par : g( x) = le plus petit z s il existe, tel que f( x, z) = 0 et pour tout t < z, ( x, t) Dom(f). S il n existe pas de tel z alors la fonction (µy)(f( x, y) = 0) n est pas définie. Définition 4.4. (1) On appelle fonction récursive totale une fonction récursive qui est dans F. (2) Un sous-ensemble A de N p est récursif si sa fonction caractéristique 1 A est récursive totale. (3) Soit f F p+1 une fonction récursive, et supposons que pour tout x il existe y tel que f( x, y) = 0. La fonction (µy)(f( x, y) = 0) est alors totale, et nous dirons qu elle est obtenue à partir de f en appliquant le schéma µ total. Remarques 4.5. (1) Une fonction récursive partielle est donc construite par récurrence à partir des fonctions de base, en utilisant les trois opérations ci-dessus, et en obéissant à certaines règles. (2) Les fonctions primitives récursives sont récursives (heureusement) et totales. (3) On remarque que les deux premières opérations appliquées à des fonctions totales, produisent des fonctions totales. C est seulement la troisième opération qui introduit des fonctions partielles : La fonction (µy)(x 2y = 0) n est définie que si x est pair. Attention : j ai utilisé la vraie fonction, et pas. En fait il faudrait écrire (µy)((x 2y) 2 + (2y x) 2 = 0). (Une somme de carrés est nulle dans N si et seulement si tous ses termes sont nuls). (4) Le schéma µ-borné est une conséquence du schéma µ. En effet, on a ( x, y) A si et seulement si 1 1 A ( x, y) = 0, et si on ajoute en plus la condition z y, on aura (µz y)(( x, y) A) = (µz)(1 1 A ( x, z)1 (z, y) = 0), où 1 z y est la fonction caractéristique de la relation ( N 2 ). Proposition 4.6. Soient f, g,... des fonctions récursives. Alors Soit A N un ensemble récursif infini. Alors la fonction N A qui énumère A, est récursive totale. (Mais en général elle n est pas primitive récursive comme par exemple l image de f(x) = ξ(x, 2x).) 38
4 4.7. Je note Alg p l ensemble des constructions de fonctions récursives de domaine N p faites en utilisant les opérations et règles énoncées ci-dessus, et Alg la réunions des Alg p. Un tel algorithme peut donc être représenté par une suite de symboles, ou si vous préférez, écrit de la même façon que vous écrivez des formules. On prend donc un alphabet Σ qui contient des symboles pour toutes les fonctions de base donc par exemple un symbole pour chaque fonction constante définie sur Np des symboles pour les trois opérations - disons Comp, Rec, Mu, ainsi que des symboles auxiliaires (parenthèses, virgules,... ), qui nous permettront de récupérer notre algorithme à partir de son écriture. On construit une première bijection effective entre Σ et N, qui nous sert ensuite à construire une injection F de Alg dans N en utilisant les fonctions de codage introduites précédemment. On exige quelques propriétés de F : (1) L image de F, F (Alg), est primitive récursive ; pour chaque p 0, F (Alg p ) est primitif récursif. (2) La fonction qui à un élement F (I), I Alg, associe l arité de la fonction définie par I, est primitive récursive. (3) Si la chaîne de symboles s apparaît comme sous-suite de la chaîne de symboles t, alors F (s) F (t). On supposera que les arguments de fonctions sont parmi x 1,... et que la variable sur laquelle µ porte est la dernière de l énumération des variables de la fonction considérée. Exemple 4.8. Par exemple, la fonction Mu(Rec(h, Comp(g, f 1, f 2 ))), où f 1, f 2, g, h sont des fonctions déjà codées, et f 1, f 2 sont p-aires, g est binaire, h est p + 2-aire, sera codée par Mu ( Rec ( h, Comp ( g, f 1, f 2 ) ) ). Ici, dénote le code donné par la bijection entre Σ et N si le symbole est dans l alphabet, et f 1, f 2, g et h représentent les codes déjà attribués à f 1, f 2, g, h. L opération µ portera sur la dernière variable de la fonction p + 1-aire f(x 1,..., x p, x p+1 ) définie par f(x 1,..., x p, 0) = g(f 1 (x 1,..., x p ), f 2 (x 1,..., x p )), et f(x 1,..., x p, x p+1 ) = h(x 1,..., x p, x p+1 1, f(x 1,..., x p, x p+1 1)) si x p+1 > 0, c est à dire sur x p+1. Remarque 4.9. Tout ça est tres ennuyeux à écrire de façon précise. Mais vous voyez bien que cela peut être fait Maintenant nous allons faire une hypothèse, très forte, et qu il faudra prouver à un certain moment. Nous supposons qu il existe une fonction récursive T : N N N satisfaisant les conditions suivantes, pour toute paire (n, m) N N : 1 S il existe p tel que n est le code d un élément de Alg p permettant de définir la fonction récursive f, et si m est le code d une suite de longueur p, m = a 1,..., a p, alors si f(a 1,..., a p ) est définie, alors T (n, m) = f(a 1,..., a p ) ; si f(a 1,..., a p ) n est pas définie, alors T (n, m) n est pas définie. 2 Si pour tout p, (n n est pas le code d un élément de Alg p ou m n est pas le code d une suite de p éléments) alors T (n, m) = 0. (Idéalement, on aimerait pouvoir définir T (n, m) = 1). 39
5 Définition Une telle fonction est appellée récursive universelle. Proposition Soit T une fonction récursive universelle. (1) T n est pas totale. (2) L ensemble n N T (n, ) est totale} n est pas récursif. (3) Dom(T ) n est pas récursif. Démonstration. (1) En effet, si n est le code d une fonction qui n est pas totale, il existera un m tel que T (n, m) ne soit pas défini. (2) Si cet ensemble était récursif, alors aussi son intersection A avec F (Alg). Si i : A N est l unique bijection croissante de A avec N, alors i 1 est récursive. La fonction T (i 1, id) est alors totale. On considère la fonction f(x) = T (i 1 (x), x) + 1. Elle est totale, récursive, donc (un de ses algorithmes) a un code f dans A ; si n est l image par i de ce code, on aura alors f(n) = T ( f, n) par définition de f et de T, f(n) = T (i 1 (n), n) + 1 par définition de f, d où nous tirons T (i 1 (n), n) + 1 = T ( f, n) + 1 = T ( f, n)), une contradiction. (3) Sinon, la fonction T (n, x) si (n, x) Dom(T ), U(n, x) = 0 sinon. est totale, récursive, universelle pour les fonctions récursives totales. La même astuce que dans le (2) nous donne la contradiction désirée. Définition Un ensemble E N p est récursivement énumérable (abbrégé par RE) s il est vide, ou bien si c est le domaine d une fonction récursive. Remarques (1) La collection des sous-ensembles récursifs de N p est close par intersection, par union, et par complémentaire. Par contre, celle des sous-ensembles récursivement énumérables de N p est seulement close par intersection et union. Cela vient du fait qu il existe des ensembles récursivement énumérables qui ne sont pas récursifs. (Voir 4.15 ci-dessous). Théorème Soit A N p un ensemble récursivement énumérable. Alors A est récursif si et seulement si son complémentaire est récursivement énumérable. 40
Chapitre 2. Eléments pour comprendre un énoncé
Chapitre 2 Eléments pour comprendre un énoncé Ce chapitre est consacré à la compréhension d un énoncé. Pour démontrer un énoncé donné, il faut se reporter au chapitre suivant. Les tables de vérité données
Plus en détailProgrammation linéaire
1 Programmation linéaire 1. Le problème, un exemple. 2. Le cas b = 0 3. Théorème de dualité 4. L algorithme du simplexe 5. Problèmes équivalents 6. Complexité de l Algorithme 2 Position du problème Soit
Plus en détailUniversité Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010. Applications
Université Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010 Applications 1 Introduction Une fonction f (plus précisément, une fonction réelle d une variable réelle) est une règle qui associe à tout réel x au
Plus en détailSur certaines séries entières particulières
ACTA ARITHMETICA XCII. 2) Sur certaines séries entières particulières par Hubert Delange Orsay). Introduction. Dans un exposé à la Conférence Internationale de Théorie des Nombres organisée à Zakopane
Plus en détailLa NP-complétude. Johanne Cohen. PRISM/CNRS, Versailles, France.
La NP-complétude Johanne Cohen PRISM/CNRS, Versailles, France. Références 1. Algorithm Design, Jon Kleinberg, Eva Tardos, Addison-Wesley, 2006. 2. Computers and Intractability : A Guide to the Theory of
Plus en détailUEO11 COURS/TD 1. nombres entiers et réels codés en mémoire centrale. Caractères alphabétiques et caractères spéciaux.
UEO11 COURS/TD 1 Contenu du semestre Cours et TDs sont intégrés L objectif de ce cours équivalent a 6h de cours, 10h de TD et 8h de TP est le suivant : - initiation à l algorithmique - notions de bases
Plus en détailInformatique Générale
Informatique Générale Guillaume Hutzler Laboratoire IBISC (Informatique Biologie Intégrative et Systèmes Complexes) guillaume.hutzler@ibisc.univ-evry.fr Cours Dokeos 625 http://www.ens.univ-evry.fr/modx/dokeos.html
Plus en détailGlossaire des nombres
Glossaire des nombres Numérisation et sens du nombre (4-6) Imprimeur de la Reine pour l'ontario, 008 Nombre : Objet mathématique qui représente une valeur numérique. Le chiffre est le symbole utilisé pour
Plus en détailObjets Combinatoires élementaires
Objets Combinatoires élementaires 0-0 Permutations Arrangements Permutations pour un multi-ensemble mots sous-ensemble à k éléments (Problème du choix) Compositions LE2I 04 1 Permutations Supposons que
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailCalculabilité Cours 3 : Problèmes non-calculables. http://www.irisa.fr/lande/pichardie/l3/log/
Calculabilité Cours 3 : Problèmes non-calculables http://www.irisa.fr/lande/pichardie/l3/log/ Problèmes et classes de décidabilité Problèmes et classes de décidabilité Nous nous intéressons aux problèmes
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailLES TYPES DE DONNÉES DU LANGAGE PASCAL
LES TYPES DE DONNÉES DU LANGAGE PASCAL 75 LES TYPES DE DONNÉES DU LANGAGE PASCAL CHAPITRE 4 OBJECTIFS PRÉSENTER LES NOTIONS D ÉTIQUETTE, DE CONS- TANTE ET DE IABLE DANS LE CONTEXTE DU LAN- GAGE PASCAL.
Plus en détailInitiation à la Programmation en Logique avec SISCtus Prolog
Initiation à la Programmation en Logique avec SISCtus Prolog Identificateurs Ils sont représentés par une suite de caractères alphanumériques commençant par une lettre minuscule (les lettres accentuées
Plus en détailChapitre 1 : Évolution COURS
Chapitre 1 : Évolution COURS OBJECTIFS DU CHAPITRE Savoir déterminer le taux d évolution, le coefficient multiplicateur et l indice en base d une évolution. Connaître les liens entre ces notions et savoir
Plus en détailCHAPITRE IV. L axiome du choix
CHAPITRE IV L axiome du choix Résumé. L axiome du choix AC affirme qu il est légitime de construire des objets mathématiques en répétant un nombre infini de fois l opération de choisir un élément dans
Plus en détailSuites numériques 3. 1 Convergence et limite d une suite
Suites numériques 3 1 Convergence et limite d une suite Nous savons que les termes de certaines suites s approchent de plus en plus d une certaine valeur quand n augmente : par exemple, les nombres u n
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailContexte. Pour cela, elles doivent être très compliquées, c est-à-dire elles doivent être très différentes des fonctions simples,
Non-linéarité Contexte Pour permettre aux algorithmes de cryptographie d être sûrs, les fonctions booléennes qu ils utilisent ne doivent pas être inversées facilement. Pour cela, elles doivent être très
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailCompter à Babylone. L écriture des nombres
Compter à Babylone d après l article de Christine Proust «Le calcul sexagésimal en Mésopotamie : enseignement dans les écoles de scribes» disponible sur http://www.dma.ens.fr/culturemath/ Les mathématiciens
Plus en détailLogiciel de Base. I. Représentation des nombres
Logiciel de Base (A1-06/07) Léon Mugwaneza ESIL/Dépt. Informatique (bureau A118) mugwaneza@univmed.fr I. Représentation des nombres Codage et représentation de l'information Information externe formats
Plus en détailReprésentation des Nombres
Chapitre 5 Représentation des Nombres 5. Representation des entiers 5.. Principe des représentations en base b Base L entier écrit 344 correspond a 3 mille + 4 cent + dix + 4. Plus généralement a n a n...
Plus en détailProbabilités et Statistiques. Feuille 2 : variables aléatoires discrètes
IUT HSE Probabilités et Statistiques Feuille : variables aléatoires discrètes 1 Exercices Dénombrements Exercice 1. On souhaite ranger sur une étagère 4 livres de mathématiques (distincts), 6 livres de
Plus en détailDe même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que
Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer
Plus en détailLa fonction exponentielle
DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 novembre 204 à :07 La fonction exponentielle Table des matières La fonction exponentielle 2. Définition et théorèmes.......................... 2.2 Approche graphique de la fonction
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailObjectifs du cours d aujourd hui. Informatique II : Cours d introduction à l informatique et à la programmation objet. Complexité d un problème (2)
Objectifs du cours d aujourd hui Informatique II : Cours d introduction à l informatique et à la programmation objet Complexité des problèmes Introduire la notion de complexité d un problème Présenter
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailTP 1. Prise en main du langage Python
TP. Prise en main du langage Python Cette année nous travaillerons avec le langage Python version 3. ; nous utiliserons l environnement de développement IDLE. Étape 0. Dans votre espace personnel, créer
Plus en détailCompression Compression par dictionnaires
Compression Compression par dictionnaires E. Jeandel Emmanuel.Jeandel at lif.univ-mrs.fr E. Jeandel, Lif CompressionCompression par dictionnaires 1/25 Compression par dictionnaire Principe : Avoir une
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 août 2015 Enoncés 1 Proailités sur un univers fini Evènements et langage ensemliste A quelle condition sur (a,, c, d) ]0, 1[ 4 existe-t-il une proailité P sur
Plus en détailArithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot
Chapitre 5 Arithmétique binaire L es codes sont manipulés au quotidien sans qu on s en rende compte, et leur compréhension est quasi instinctive. Le seul fait de lire fait appel au codage alphabétique,
Plus en détailDéfinition 0,752 = 0,7 + 0,05 + 0,002 SYSTÈMES DE NUMÉRATION POSITIONNELS = 7 10 1 + 5 10 2 + 2 10 3
8 Systèmes de numération INTRODUCTION SYSTÈMES DE NUMÉRATION POSITIONNELS Dans un système positionnel, le nombre de symboles est fixe On représente par un symbole chaque chiffre inférieur à la base, incluant
Plus en détailLogique : ENSIIE 1A - contrôle final
1 Logique : ENSIIE 1A - contrôle final - CORRIGÉ Mardi 11 mai 2010 - Sans documents - Sans calculatrice ni ordinateur Durée : 1h30 Les exercices sont indépendants. Exercice 1 (Logique du premier ordre
Plus en détailDéveloppement décimal d un réel
4 Développement décimal d un réel On rappelle que le corps R des nombres réels est archimédien, ce qui permet d y définir la fonction partie entière. En utilisant cette partie entière on verra dans ce
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailDéveloppements limités. Notion de développement limité
MT12 - ch2 Page 1/8 Développements limités Dans tout ce chapitre, I désigne un intervalle de R non vide et non réduit à un point. I Notion de développement limité Dans tout ce paragraphe, a désigne un
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailManuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2
éducalgo Manuel d utilisation 26 juin 2011 Table des matières 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 2 Comment écrire un algorithme? 3 2.1 Avec quoi écrit-on? Avec les boutons d écriture........
Plus en détailGroupe symétrique. Chapitre II. 1 Définitions et généralités
Chapitre II Groupe symétrique 1 Définitions et généralités Définition. Soient n et X l ensemble 1,..., n. On appelle permutation de X toute application bijective f : X X. On note S n l ensemble des permutations
Plus en détailPrécision d un résultat et calculs d incertitudes
Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................
Plus en détail1.1 Codage de source et test d hypothèse
Théorie de l information et codage 200/20 Cours 8février20 Enseignant: Marc Lelarge Scribe: Marc Lelarge Pour information Page webdu cours http://www.di.ens.fr/~lelarge/info.html Notations Pour des variables
Plus en détailBaccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat S ntilles-guyane 11 septembre 14 Corrigé EXERCICE 1 6 points Commun à tous les candidats Une entreprise de jouets en peluche souhaite commercialiser un nouveau produit et à cette fin, effectue
Plus en détailContinuité d une fonction de plusieurs variables
Chapitre 2 Continuité d une fonction de plusieurs variables Maintenant qu on a défini la notion de limite pour des suites dans R n, la notion de continuité s étend sans problème à des fonctions de plusieurs
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailCarl-Louis-Ferdinand von Lindemann (1852-1939)
Par Boris Gourévitch "L'univers de Pi" http://go.to/pi314 sai1042@ensai.fr Alors ça, c'est fort... Tranches de vie Autour de Carl-Louis-Ferdinand von Lindemann (1852-1939) est transcendant!!! Carl Louis
Plus en détailThéorème du point fixe - Théorème de l inversion locale
Chapitre 7 Théorème du point fixe - Théorème de l inversion locale Dans ce chapitre et le suivant, on montre deux applications importantes de la notion de différentiabilité : le théorème de l inversion
Plus en détailFeuille TD n 1 Exercices d algorithmique éléments de correction
Master Sciences, Technologies, Santé Mention Mathématiques, spécialité Enseignement des mathématiques Algorithmique et graphes, thèmes du second degré Feuille TD n 1 Exercices d algorithmique éléments
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailRaisonnement par récurrence Suites numériques
Chapitre 1 Raisonnement par récurrence Suites numériques Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Raisonnement par récurrence. Limite finie ou infinie d une suite.
Plus en détailCapacité d un canal Second Théorème de Shannon. Théorie de l information 1/34
Capacité d un canal Second Théorème de Shannon Théorie de l information 1/34 Plan du cours 1. Canaux discrets sans mémoire, exemples ; 2. Capacité ; 3. Canaux symétriques ; 4. Codage de canal ; 5. Second
Plus en détailExercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument
Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour
Plus en détailChap 4: Analyse syntaxique. Prof. M.D. RAHMANI Compilation SMI- S5 2013/14 1
Chap 4: Analyse syntaxique 1 III- L'analyse syntaxique: 1- Le rôle d'un analyseur syntaxique 2- Grammaires non contextuelles 3- Ecriture d'une grammaire 4- Les méthodes d'analyse 5- L'analyse LL(1) 6-
Plus en détailI. Ensemble de définition d'une fonction
Chapitre 2 Généralités sur les fonctions Fonctions de références et fonctions associées Ce que dit le programme : Étude de fonctions Fonctions de référence x x et x x Connaître les variations de ces deux
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détailDOCM 2013 http://docm.math.ca/ Solutions officielles. 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10.
A1 Trouvez l entier positif n qui satisfait l équation suivante: Solution 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10. En additionnant les termes du côté gauche de l équation en les mettant sur le même dénominateur
Plus en détailUtilisation des tableaux sémantiques dans les logiques de description
Utilisation des tableaux sémantiques dans les logiques de description IFT6281 Web Sémantique Jacques Bergeron Département d informatique et de recherche opérationnelle Université de Montréal bergerja@iro.umontreal.ca
Plus en détailFactorisation Factoriser en utilisant un facteur commun Fiche méthode
Factorisation Factoriser en utilisant un facteur commun Fiche méthode Rappel : Distributivité simple Soient les nombres, et. On a : Factoriser, c est transformer une somme ou une différence de termes en
Plus en détailQuelques tests de primalité
Quelques tests de primalité J.-M. Couveignes (merci à T. Ezome et R. Lercier) Institut de Mathématiques de Bordeaux & INRIA Bordeaux Sud-Ouest Jean-Marc.Couveignes@u-bordeaux.fr École de printemps C2 Mars
Plus en détailIN 102 - Cours 1. 1 Informatique, calculateurs. 2 Un premier programme en C
IN 102 - Cours 1 Qu on le veuille ou non, les systèmes informatisés sont désormais omniprésents. Même si ne vous destinez pas à l informatique, vous avez de très grandes chances d y être confrontés en
Plus en détailDérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema.
Chapitre 5 Dérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema. On s intéresse dans ce chapitre aux dérivées d ordre ou plus d une fonction de plusieurs variables. Comme pour une fonction d une
Plus en détailCorrection du baccalauréat S Liban juin 2007
Correction du baccalauréat S Liban juin 07 Exercice. a. Signe de lnx lnx) : on fait un tableau de signes : x 0 e + ln x 0 + + lnx + + 0 lnx lnx) 0 + 0 b. On afx) gx) lnx lnx) lnx lnx). On déduit du tableau
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailCours arithmétique et groupes. Licence première année, premier semestre
Cours arithmétique et groupes. Licence première année, premier semestre Raphaël Danchin, Rejeb Hadiji, Stéphane Jaffard, Eva Löcherbach, Jacques Printems, Stéphane Seuret Année 2006-2007 2 Table des matières
Plus en détailAlgorithme. Table des matières
1 Algorithme Table des matières 1 Codage 2 1.1 Système binaire.............................. 2 1.2 La numérotation de position en base décimale............ 2 1.3 La numérotation de position en base binaire..............
Plus en détailInitiation à l algorithmique
Informatique S1 Initiation à l algorithmique procédures et fonctions 2. Appel d une fonction Jacques TISSEAU Ecole Nationale d Ingénieurs de Brest Technopôle Brest-Iroise CS 73862-29238 Brest cedex 3 -
Plus en détailMachines virtuelles Cours 1 : Introduction
Machines virtuelles Cours 1 : Introduction Pierre Letouzey 1 pierre.letouzey@inria.fr PPS - Université Denis Diderot Paris 7 janvier 2012 1. Merci à Y. Régis-Gianas pour les transparents Qu est-ce qu une
Plus en détailFondements de l informatique Logique, modèles, et calculs
Fondements de l informatique Logique, modèles, et calculs Cours INF423 de l Ecole Polytechnique Olivier Bournez Version du 20 septembre 2013 2 Table des matières 1 Introduction 9 1.1 Concepts mathématiques........................
Plus en détailSimulation de variables aléatoires
Chapter 1 Simulation de variables aléatoires Références: [F] Fishman, A first course in Monte Carlo, chap 3. [B] Bouleau, Probabilités de l ingénieur, chap 4. [R] Rubinstein, Simulation and Monte Carlo
Plus en détailLe produit semi-direct
Le produit semi-direct Préparation à l agrégation de mathématiques Université de Nice - Sophia Antipolis Antoine Ducros Octobre 2007 Ce texte est consacré, comme son titre l indique, au produit semi-direct.
Plus en détailAC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =
LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste
Plus en détailCalculateur quantique: factorisation des entiers
Calculateur quantique: factorisation des entiers Plan Introduction Difficulté de la factorisation des entiers Cryptographie et la factorisation Exemple RSA L'informatique quantique L'algorithme quantique
Plus en détailALGORITHMIQUE II NOTION DE COMPLEXITE. SMI AlgoII
ALGORITHMIQUE II NOTION DE COMPLEXITE 1 2 Comment choisir entre différents algorithmes pour résoudre un même problème? Plusieurs critères de choix : Exactitude Simplicité Efficacité (but de ce chapitre)
Plus en détailModèles de Calcul. Yassine Lakhnech. 2007/08 Université Joseph Fourier Lab.: VERIMAG. Yassine.Lakhnech@imag.fr. Modèles de Calcul Start p.
Modèles de Calcul Yassine Lakhnech Yassine.Lakhnech@imag.fr 2007/08 Université Joseph Fourier Lab.: VERIMAG Modèles de Calcul Start p.1/81 Équipe pédagogique Cours : Saddek Bensalem et Yassine Lakhnech
Plus en détailProposition. Si G est un groupe simple d ordre 60 alors G est isomorphe à A 5.
DÉVELOPPEMENT 32 A 5 EST LE SEUL GROUPE SIMPLE D ORDRE 60 Proposition. Si G est un groupe simple d ordre 60 alors G est isomorphe à A 5. Démonstration. On considère un groupe G d ordre 60 = 2 2 3 5 et
Plus en détail4 Distributions particulières de probabilités
4 Distributions particulières de probabilités 4.1 Distributions discrètes usuelles Les variables aléatoires discrètes sont réparties en catégories selon le type de leur loi. 4.1.1 Variable de Bernoulli
Plus en détailEXERCICES DE REVISIONS MATHEMATIQUES CM2
EXERCICES DE REVISIONS MATHEMATIQUES CM2 NOMBRES ET CALCUL Exercices FRACTIONS Nommer les fractions simples et décimales en utilisant le vocabulaire : 3 R1 demi, tiers, quart, dixième, centième. Utiliser
Plus en détailLeçon 01 Exercices d'entraînement
Leçon 01 Exercices d'entraînement Exercice 1 Etudier la convergence des suites ci-dessous définies par leur terme général: 1)u n = 2n3-5n + 1 n 2 + 3 2)u n = 2n2-7n - 5 -n 5-1 4)u n = lnn2 n+1 5)u n =
Plus en détailProbabilités III Introduction à l évaluation d options
Probabilités III Introduction à l évaluation d options Jacques Printems Promotion 2012 2013 1 Modèle à temps discret 2 Introduction aux modèles en temps continu Limite du modèle binomial lorsque N + Un
Plus en détailCours de mathématiques
DEUG MIAS premier niveau Cours de mathématiques année 2003/2004 Guillaume Legendre (version révisée du 3 avril 2015) Table des matières 1 Éléments de logique 1 1.1 Assertions...............................................
Plus en détailavec des nombres entiers
Calculer avec des nombres entiers Effectuez les calculs suivants.. + 9 + 9. Calculez. 9 9 Calculez le quotient et le rest. : : : : 0 :. : : 9 : : 9 0 : 0. 9 9 0 9. Calculez. 9 0 9. : : 0 : 9 : :. : : 0
Plus en détailINITIATION AU LANGAGE C SUR PIC DE MICROSHIP
COURS PROGRAMMATION INITIATION AU LANGAGE C SUR MICROCONTROLEUR PIC page 1 / 7 INITIATION AU LANGAGE C SUR PIC DE MICROSHIP I. Historique du langage C 1972 : naissance du C dans les laboratoires BELL par
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailDualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies
Chapitre 6 Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Nous allons maintenant revenir sur les espaces L p du Chapitre 4, à la lumière de certains résultats du Chapitre 5. Sauf mention
Plus en détailÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D
ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Les Fonctions de Hachage Temps de préparation :.. 2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury :.10 minutes Entretien avec le jury :..10 minutes GUIDE
Plus en détailTOUT CE QU IL FAUT SAVOIR POUR LE BREVET
TOUT E QU IL FUT SVOIR POUR LE REVET NUMERIQUE / FONTIONS eci n est qu un rappel de tout ce qu il faut savoir en maths pour le brevet. I- Opérations sur les nombres et les fractions : Les priorités par
Plus en détailQuelques algorithmes simples dont l analyse n est pas si simple
Quelques algorithmes simples dont l analyse n est pas si simple Michel Habib habib@liafa.jussieu.fr http://www.liafa.jussieu.fr/~habib Algorithmique Avancée M1 Bioinformatique, Octobre 2008 Plan Histoire
Plus en détailCodage d information. Codage d information : -Définition-
Introduction Plan Systèmes de numération et Représentation des nombres Systèmes de numération Système de numération décimale Représentation dans une base b Représentation binaire, Octale et Hexadécimale
Plus en détailExercices types Algorithmique et simulation numérique Oral Mathématiques et algorithmique Banque PT
Exercices types Algorithmique et simulation numérique Oral Mathématiques et algorithmique Banque PT Ces exercices portent sur les items 2, 3 et 5 du programme d informatique des classes préparatoires,
Plus en détailIntroduction à l étude des Corps Finis
Introduction à l étude des Corps Finis Robert Rolland (Résumé) 1 Introduction La structure de corps fini intervient dans divers domaines des mathématiques, en particulier dans la théorie de Galois sur
Plus en détailExercices sur les interfaces
Exercices sur les interfaces Fabrice Rossi 18 octobre 1999 1 Le type Object 1.1 Manipulations élémentaires Exercice 1.1 : Indiquer l affichage produit par le programme suivant : public class UpCast1 {
Plus en détailMIS 102 Initiation à l Informatique
MIS 102 Initiation à l Informatique Responsables et cours : Cyril Gavoille Catherine Pannier Matthias Robine Marc Zeitoun Planning : 6 séances de cours 5 séances de TD (2h40) 4 séances de TP (2h40) + environ
Plus en détailMaple: premiers calculs et premières applications
TP Maple: premiers calculs et premières applications Maple: un logiciel de calcul formel Le logiciel Maple est un système de calcul formel. Alors que la plupart des logiciels de mathématiques utilisent
Plus en détailCours 1 : Introduction Ordinateurs - Langages de haut niveau - Application
Université de Provence Licence Math-Info Première Année V. Phan Luong Algorithmique et Programmation en Python Cours 1 : Introduction Ordinateurs - Langages de haut niveau - Application 1 Ordinateur Un
Plus en détailTP1 Méthodes de Monte Carlo et techniques de réduction de variance, application au pricing d options
Université de Lorraine Modélisation Stochastique Master 2 IMOI 2014-2015 TP1 Méthodes de Monte Carlo et techniques de réduction de variance, application au pricing d options 1 Les options Le but de ce
Plus en détail