Avant-projet PPD 136/07 REV.1(F) ETUDES SOCIO-ECONOMIQUES ET INSTITUTIONNELLES

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1 REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberté Patrie MINISTERE DE L ENVIRONNEMENT ET DES RESSOURCES FORESTIERES DIRECTION DES EAUX ET FORETS (DEF) Organisation Internationale des Bois Tropicaux Avant-projet PPD 136/07 REV.1(F) «LA CONSERVATION, L AMENAGEMENT ET LA GESTION DURABLE DE LA BIODIVERSITE DES MONTAGNES DANS LA REGION SUB- SEPTENTRIONALE DU TOGO» ETUDES SOCIO-ECONOMIQUES ET INSTITUTIONNELLES Rapport Définitif Appuis financiers de : OIBT Juin

2 Remerciements Au terme de ce travail, la mission remercie sincèrement les Institutions Nationales, publiques et privées, et tous ceux qui ont contribué au bon déroulement de l étude. Ces remerciements vont particulièrement : Au Ministère de l environnement Au directeur des Eaux et Forêts Aux directeurs Régionaux et Chefs d antennes préfectorales de l Environnement Aux préfets Aux chefs traditionnels Et aux populations des villages et cantons visités. 2

3 Remarque liminaire Cette étude a été conduite dans le cadre du financement de l OIBT. La situation mise en évidence par cette étude va justifier la mise en place d un projet de conservation et de restauration des ressources naturelles de la zone montagneuse sub-septentrionale du Togo. Compte tenu du court délai imparti à la mission, celle-ci s est attachée à effectuer une revue du cadre de la problématique, à suggérer des axes d intervention qu il importera de rendre directement opérationnel et concernant les actions qui pourraient être prises en charge par le financement en vue de la réhabilitation de l écosystème de la zone de l étude et de ses aires protégées. Les avis et opinions formulés dans ce document relèvent de l unique responsabilité des consultants, et ne reflètent pas nécessairement les points de vue du Gouvernement de la République du Togo ou du bailleur. 3

4 Sommaire Remerciements... 2 Remarque liminaire... 3 Liste des sigles et acronymes... 6 Liste des cartes... 7 Liste des tableaux... 7 Liste des photos... 8 Résumé... 9 Introduction I - Cadre physique et social de la zone et leurs incidences sur la réussite du projet Données physiques Localisation et superficie Conditions agro-pastorales Sols Pédologie et ressources en sols Données démographiques Répartition de la population par sexe, tranche d âge et catégorie socioprofessionnelle Incidence des facteurs démographiques sur la gestion durable des ressources naturelles de la zone Organisation Sociale Incidence de l Organisation Sociale sur la Réussite du Projet : Potentiel de mobilisation des organisations à la base Analyse du système foncier organisation foncière Problèmes fonciers Disponibilité des terres et pression démographique Délimitation du terroir Mode d appropriation et d exploitation de la terre II - Description et analyse des principales activités économiques et techniques de production dans la zone Typologie des activités économiques des chefs de ménage Structure des exploitations et système de culture Taille des exploitations Structure des exploitations Types d aménagement existant Degré de morcellement des exploitations et éloignement des champs Différents types de combinaison culturale et densité moyenne des principales cultures Durée moyenne d exploitation des champs Moyens de production et taille du ménage Semences améliorées Amendement chimique et organique des sols Pesticides Equipement de production Taille de la famille et force de travail Techniques de production Production végétale sèche Production maraîchère Elevage

5 2.4.4 Activités d extraction ou de prélèvement Rapport de production Rapport liant le chef d exploitation aux membres de l unité de production Prestation de travail Pratique endogène des mesures de conservation et de régénération des ressources naturelles et forestières Accès au financement extérieur et résultat d exploitation Accès au financement extérieur Recette et dépense d exploitation III - Analyse des besoins et des revenus des populations Besoins Sources de revenus des populations Structure des dépenses des ménages IV- Cadre Institutionnel d Intervention et parties prenantes potentielles Structures déconcentrées des ministères techniques Structures sous tutelle du MERF Structures sous tutelle du MAEP Direction Régionale des Affaires Sociales Organisations non gouvernementales (ONG) Assistance et Appui pour le Combat contre la Misère (ACM) Centre d Etude et d Action pour la promotion des Initiatives Communautaires (CEAPIC) Groupe d Action pour le Développement durable (GA2D) Santé Rurale en Afrique (SAR-Afrique) Centre de Formation Agro-Ecologique (CFAE-SOS) Collectivités territoriales Collectivités propriétaires terriens Groupes socioprofessionnels dépendant des ressources naturelles concernées Responsabilisation des parties prenantes V- Mesures incitatives et d accompagnement pour la gestion durable des ressources naturelles de la zone VI. Idées d aménagement de la zone et de gestion de ses ressources naturelles Conclusion BIBLIOGRAPHIE ANNEXES

6 Liste des sigles et acronymes ACM : Assistance et appui pour le Combat contre la misère AD : Assemblée de Dieu AGAIB : Agences d Appui aux Initiatives de Base AJA: Action pour la Jeunesse d Afrique AVGAP : Association Villageoise de Gestion des Aires Protégées AVD/CVD : Association villageoise de Développement/Comité Villageois de Développement CEAPIC : Centre d Etude et d Actions pour la Promotion des Initiatives Communautaires CFAE : Centre de Formation agro-ecologique CMS : Centre Médico Social CRA-SS : Centre de Recherche Agronomique de la Savane Sèche CREPA : Centre Régional pour l Eau Potable et l Assainissement à faible coût CVD: Comité Villageois de Développement DEF : Direction des Eaux et Forêts DFC : Direction des Forêts et Chasse DRAEP : Direction Régionale de l Agriculture, de l Elevage et de la Pêche DRERF : Direction Régionale de l Environnement et des Ressources Forestières EIE : Etude d Impact Environnemental ADESCO : Appui au Développement et à la Santé Communautaire G2AD : Groupe d Action pour le Développement Durable ICAT: Institut de Conseil et d Appui Technique IDH : Investir Dans l Humain IST : Infections Sexuellement Transmissibles ITRA : Institut des Travaux de Recherche Agricole MAPTO : Mouvement Alliance Paysanne Togolaise MAEP : Ministère de l Agriculture, de l Elevage et de la Pêche MERF : Ministère de l Environnement et des Ressources Forestières MST : Maladies Sexuellement Transmissibles NSCT : Nouvelle Société Cotonnière du Togo ODEF : Office de Développement et de l Exploitation Forestière 6

7 OCDI : Organisation de la Charité pour un Développement Intégré OIBT : Organisation Internationale des Bois Tropicaux OMD : Objectifs du Millénaire pour le Développement ONG : Organisation Non Gouvernementale PAM : Programme Alimentaire Mondiale PGES: Plan de Gestion Environnementale et Sociale PNUD: Programme des Nations Unies pour le Développement RESOKA : Réseau des ONG de la Kara RN : Ressources Naturelles SAR-AFRIQUE : Santé Rurale en Afrique TdE : Togolaise des Eaux UAVGAP : Union des Associations Villageoises de Gestion Participative des Aires Protégées Liste des cartes Carte n 1 : Localisation de la zone du projet Carte n 2 : Relief de la zone du projet Carte n 3 : Hydrographie de la zone du projet Carte n 4 : Végétation de la zone du projet Carte n 5 : Les sols de la zone du projet Carte n 6 : Répartition spatiale des ethnies de la zone du projet Liste des tableaux Tab n 1 : Superficie des diverses localités de la zone du projet Tab n 2 : quelques cours d eau de la zone par préfecture et par canton Tab n 3 : Répartition des groupes ethniques et de leurs croyances dans la zone Tab n 4 : Répartition de la population par canton et par sexe Tab n 5 : Répartition de la population par canton, village et catégories socio-prfessionnelle Tab n 6 : Répartition par localité des organisations villageoises Tab n 7 : Les structures d appui conseil, d encadrement et d animation rurale intervenant dans chaque localité Tab n 8 : Types d infrastructures réalisées par des travaux d intérêt collectif Tab n 9 : Répartition des chefs de ménage selon leur participation ou non aux travaux d intérêt collectif Tab n 10 : Répartition des chefs de ménage selon la nature de leur participation aux travaux d intérêt collectif Tab n 11 : Répartition des chefs de ménage selon qu ils sont confrontés à un conflit foncier ou non 7

8 Tab n 12 : Répartition des chefs de ménage selon les modes d accès à la terre Tab n 13 : Répartition des chefs de ménage selon leur origine. Tab n 14 : Les activités économiques par village suivant les types et techniques de production Tab n 15 : Situation du cheptel Tab n 16 : Structure des exploitations Tab n 17 : Répartition par localité des structures d appui intervenant dans la zone Tab n 18 : Répartition par localité de l expression des besoins par les populations Tab n 19 : Répartition des infrastructures socio collectives dans la zone Tab n 20 : Coordonnées des chefs de canton et chefs de village Tableau synoptique des résultats issus des réunions de concertation avec les populations de la zone d étude. (annexe) Liste des photos Photo n 1 : un Hara en pleine activité champêtre, mai 2010, page 28 Photo n 2 : Un Ngbè dans le canton de Pouda, mai 2010, page 29 Photo n 3 : Porcherie du groupement LIDAWOE du canton de Yadè, page 45 Photos n 4 : Activités d extraction ou de prélèvement, page 45 Photo n 5 : Une réunion de concertation villageoise Photo n 6 : un site de bassin versant de Lassa Fig. n 1 : Illustration de la conservation de la biodiversité. 8

9 Résumé La Direction des Eaux et Forêts (DEF) se donne pour tâche la restauration et la préservation des ressources naturelles de la zone sub-septentrionale du Togo. Elle veut baser cette action sur la gestion durable pour protéger et promouvoir cet important patrimoine naturel dont les populations se servent. Pour ce faire, elle a confié une mission d étude socioéconomique au cabinet d étude Alliance Sarl avec pour objectifs de proposer des orientations futures pour la conservation, la restauration et la gestion durable des ressources naturelles de la zone après l analyse des données physiques et démographiques, de l organisation sociale, des besoins et revenus des populations concernées, des principales activités économiques de la zone, des préoccupations, des comportements, des intérêts, de la vision et des capacités de toutes les parties prenantes vis à vis des forêts, de l environnement, des problèmes fonciers, de la nature et des formes de la participation des parties prenantes aux activités du projet. L analyse des données ci-dessus énumérées ont donné les résultats suivants : La zone du projet se situe entre 9 et 10 latitude Nord et entre les méridiens 0 50 et 1 30 de longitude Est. Elle est limitée à l Est et au Nord par la République du Benin, au Nord Ouest par la Préfecture de la Kéran, au Sud Ouest par la Préfecture de Dankpène et au Sud par les Préfectures de Tchaoudjo et de Tchamba. L analyse des données physiques et pédologiques, des facteurs climatiques, des ressources en eaux et du couvert végétal indique que la morphologie de la zone est très accidentée et irrégulière caractérisée par l alternance de plaines, de vallées, de plateaux et de massif montagneux de 600 mètres environ. Ce relief est généralement dénudé de végétation avec une forte dégradation des écosystèmes souvent fragiles qui méritent des aménagements appropriés. L évaluation de la démographie présente des contraintes liées à la forte demande en espaces vitaux, à la nécessité de définition des zones de potentialités naturelles aménageables qui respectent le cadre de vie et les besoins des populations et à l introduction dans le milieu des emplois non agricoles. La conception et la mise en œuvre du projet doivent prendre en compte ces éléments auxquels s ajoutent les paramètres techniques de zonage et de marquage de limites des zones. Ceci, dans le cadre du développement d un plan d aménagement global de la zone du projet. L organisation sociale des populations concernées et du foncier indique que les communautés de la zone sont bien structurées avec des interlocuteurs responsables et représentatifs à chaque pôle de décision. Ceci est un gage de participation des populations au projet. Ces populations ont pris l habitude des travaux communautaires et de la mobilisation au cours des évènements socioculturels ou politiques. L étude des activités économiques et des techniques de production dans la zone du projet révèle que ce soit dans l agriculture, l artisanat et le commerce, les populations disposent des pratiques endogènes de conservation et de régénération des ressources naturelles et forestières qu il faudra renforcer et promouvoir à grande échelle. Mais, les essences forestières les plus exploitées à des fins économiques sont menacées de disparition. L appréciation des conditions de vie des populations de la zone du projet renvoie à l observation selon laquelle, d une part, la principales source de revenus monétaires des ménages est la vente des produits agricoles ou des produits issus de leur transformation. Les sources secondaires des revenus sont l artisanat, le commerces des produits manufacturiers et de l élevage. Les besoins exprimés par les populations sont, d abord, des appuis en matière du reboisement et de l agroforesterie ; en suite viennent la facilité d accès aux intrants agricoles, en eau potable, des retenus d eaux pour le maraichage et les cultures de contre saisons et de l appui-conseil en agriculture intensive. Le chapitre «cadre institutionnel et parties prenantes potentielles» donne une brève aperçue des structures déconcentrées des ministères techniques, des organisations non gouvernementales et des 9

10 collectivités territoriales intervenant dans la zone du projet et susceptibles d y prendre part. Cependant, les collectivités propriétaires terriens et leurs mandataires n ont pas pu être identifiés. La raison tient au fait que le temps imparti à la mission est insuffisant et qu il faudra d abord retenir les unités de ressources naturelles à gérer (aménager, réhabiliter, conserver) avant cette opération spécifique. Pour arriver à la détermination des parties «prenantes engagées et responsables», la mission a proposé un schéma opérationnel de leur responsabilisation. Le chapitre V a fait observer que la mise en œuvre du projet nécessite l applications des mesures incitatives qui permettront de relever le niveau économique et social de la population concernée et de les préparer à une implication sérieuse dans le processus de conception, de préparation et d exécution de projet. Elles sont complétées par huit mesures d accompagnement qui atténueront les effets négatifs du projet et favoriseront un bon niveau d appropriation des bénéficiaires. Les idées d aménagement et de gestion des ressources naturelles de la zone prennent appui sur les éléments d analyse ci-dessus et s articulent autour des trois axes stratégiques suivants : 1- La régénération des formations végétales et des forêts pour la protection du réseau hydrographique et les influences climatologiques bénéfiques ; 2- Une active intervention dans le domaine agricole par le biais des actions de conservation et de fertilité des sols ; 3- Une structuration participative du milieu par la mise en place de zonages spécifiques à des fins d activités appropriées respectant l écosystème et la capacité d accueil des sols. 10

11 Introduction L état de la documentation actuelle montre que le Togo compte plusieurs forêts classées couvrant environ 14,2% du territoire national. Sur cet ensemble national, 21 forêts étaient recensées dans la zone montagneuse sub-septentrionale du Togo. La presque totalité de ces formations végétales sont classées en période coloniale entre 1940 et La zone d étude se situe entre les parallèles 9 et 10 de latitude Nord et entre les méridiens 0 50 et 1 30 de longitude Est et correspond à une partie de la région de la Kara et de la région Centrale. Les préfectures concernées sont celles de Tchaoudjo, d Assoli, de Doufelgou, de Binah et de Kozah. Cette zone renferme la chaîne de DEFALE, les Monts KABYE, la falaise de DAOUDE et la falaise d ALEDJO. En cette période la densité résidentielle moyenne nationale était de 12 hbts/km 2 contre 116,7 hbts/km 2 en En dehors de la pression démographique, les forêts classées ont été gérées sans une moindre prise en compte des préoccupations des populations riveraines. Ce qui fait qu au cours des crises sociopolitiques des années 90, les populations se sont mises à formuler des revendications foncières, à envahir et à procéder à la destruction de la faune et de la flore de ces domaines forestiers. Cela a induit une complète occupation des formations végétales avec une dégradation de la végétation et des plantations exploitées. La plupart sont occupées par des habitations, des cultures et des plantations. Il ne reste actuellement que quelques reliques de forêts comme celle de kéméni, d Aléhéri, d Alédjo, de Djamdè. Cette situation s est accompagnée dans la zone par une forte utilisation des autres ressources (fauniques, foncières, hydrauliques) suivi des diverses formes de pollution occasionnées à cet effet. C est ce contexte qui caractérise la gestions des ressources naturelles de la zone. Une action restauratrice et de préservation basée sur la gestion durable s impose donc pour sauver cet important patrimoine naturel dont se servent fondamentalement les populations. La Direction des Eaux et Forêts (DEF), après une lecture du passé récent des actions de l administration forestière, recherche la meilleure stratégie possible d aménagement et d exploitation des ressources naturelles de la zone d étude. La quête de solutions appropriées a conduit la DEF, avec l appui financier de l OIBT, à confier au cabinet d études «ALLIANCE SARL» une mission d investigations socioéconomiques et institutionnelles. L objet de la mission est de : 1. faire l état des lieux socioéconomique et institutionnel relatif aux écosystèmes de montagnes de la région sub-septentrionale du Togo, 2. mesurer l impact de son environnement socio-économique en vue d identifier les blocages possibles à la mobilisation des communautés dans un processus de la gestion participative rationnelle et durable des formations végétales, 3. les analyser et d en proposer des orientations futures en vue de la conservation, de la restauration et de la gestion durable des ressources naturelles de la zone. Ceci se fait par le biais d une approche technique et méthodologique. L approche technique se décline en fonction des résultats attendus de la présente mission et repose sur les thématiques ci-après : 1. l analyse des données physiques et démographiques, de l organisation sociale des populations concernées ; 2. les incidences des données analysées sur l aménagement de la zone d étude et sa gestion participative rationnelle et durable ; 11

12 3. la description et l analyse des principales activités économiques des zones concernées et leur impact sur la biodiversité de la zone et la stratégie de gestion participative ; 4. l analyse des besoins et des revenus des populations ; 5. l évaluation des préoccupations, des comportements, des intérêts, de la vision et des capacités de toutes les parties prenantes vis à vis des forêts, de l environnement et leur impact sur la stratégie de gestion participative et le futur projet d aménagement et de gestion de la biodiversité des montagnes ; 6. le recensement et l analyse des problèmes fonciers et leur impact sur le futur projet ; 7. l évaluation de la nature et des formes de la participation des parties prenantes aux activités du projet et leur incidence sur la mise en œuvre dudit projet ; 8. l établissement des cartes de la zone d étude avec des thématiques relatives aux centres de peuplement, aux infrastructures socio collectives, aux mouvements migratoires, aux types de dépendance en relation avec la gestion de la biodiversité ; 9. la proposition de mesures incitatives et d accompagnement devant être prise en compte dans la conception et l exécution du projet de «la conservation, la restauration et la gestion durable de la biodiversité des montagnes dans la région sub-septentrionale du Togo». Ceci devait viser également le développement économique et social des localités concernées dans une perspective de réduction de la pauvreté et d atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) ; 10. la proposition d un plan d utilisation des ressources naturelles et de gestion de la biodiversité et de l écosystème des montagnes de la zone. Pour arriver à la matérialisation de ces dix (10) points, certains outils techniques ayant trait à l analyse opératoire, à l évaluation, au diagnostic, à l identification, à la prospection, etc. sont à mettre en œuvre. Ils sont appliqués à : l analyse des données collectées ; l évaluation des situations vécues par les populations et leur impact sur la biodiversité ; l identification des parties prenantes, de leurs préoccupations, comportements, intérêts, vision et capacités ; la prospection des actions futures de restauration, de conservation et de gestion participative de la biodiversité et des écosystèmes des montagnes. Tous ces éléments techniques s inscrivent dans l approche méthodologique dont les différentes phases se présentent comme suit : Phase I : Signature des documents contractuels. Prise de contact et discussion avec les responsables des services techniques centraux et déconcentrés en charge de la gestion des forêts et des ressources naturelles au Togo et plus particulièrement de la région visée ; Phase II : Collecte des informations disponibles en collaboration des commanditaires de l étude. Il s agit avec l appui du ministère de recueillir d une part, la documentation existante (politique forestière, les documents de stratégie de gestion des forêts classées, les statistiques de production forestière de la région concernée, etc), d autre part, de procéder à une enquête par concertation avec les populations riveraines de certaines forêts et enfin de faire des observations in situ avec des prises de vues et d images matérialisant des phénomènes examinés. Les investigations s orienteront aussi vers les acteurs économiques et sociaux (chefs traditionnels, préfets, agents forestiers et responsables des groupes d intérêts) qui animent la vie du secteur et de l agriculture dans la région ; Phase III : Dépouillement, structuration et analyse des données recueillies puis diagnostic des contraintes et des leviers de développement environnemental ; PhaseIV : Cartographie des données quantitatives, qualitatives, socioéconomiques et environnementales de la zone ; Phase V : Elaboration des rapports (provisoire et définitif). 12

13 Le début de la mission est marqué par la signature des documents contractuels entre le Cabinet ALLIANCE Sarl et les commanditaires. Le consultant et l administration contractante se sont concertés pour baliser le terrain et préparer le bon déroulement de la mission au plan technique et administratif. Les perspectives et enjeux de la mission sont analysés ensemble avec les services techniques de l administration contractante en vue de : o l organisation matérielle et logistique de la mission sur le terrain ; o la détermination d une vision concertée de l avenir des écosystèmes de montagnes et des centres de peuplement ; o avoir une compréhension commune des concepts, notions, définitions et des éléments clés des TdR ; o ajuster le chronogramme d intervention et des échantillons pour des enquêtes ciblées. Le résultat de ces contacts a permis d établir une confiance mutuelle avant d aborder des questions stratégiques. A la phase de mobilisation des informations disponibles, la DEF a appuyé le consultant dans la collecte des documents et autres données. Des informations sont recueillies auprès de l administration forestière au niveau centrale et déconcentré dans la zone et les préfectures concernées et auprès des structures de développement. Il s agit notamment des rapports d études sur le secteur forestier, des analyses et Monographies régionales, des rapports d activités des Ong et des institutions financières. Les documents collectés traitent entre autres : o des domaines de la conservation des ressources naturelles, de la pollution, de l érosion et de la désertification ; o des données physiques, démographiques, de l organisation sociale des populations riveraines ou à l intérieur des périmètres des formations végétales, des forêts et des aires protégées ; o des principales activités économiques des zones concernées ; o de la stratégie nationale de réduction de la pauvreté et des Objectifs du Millénaires pour le Développement (OMD) ; o des statistiques de production et d exploitation forestière ; o etc. Les données qui sont difficiles à cerner par la documentation existante sont recherchées sur le terrain à partir d une série de réunions de concertation avec les différentes parties prenantes, une administration de questionnaires et de fiches techniques au niveau régional et local pour mieux cerner les questions liées à : o des préoccupations, des comportements, des intérêts, des responsabilités, des droits et obligations, de la vision, des capacités et des initiatives de toutes les parties prenantes vis à vis des forêts, de l environnement et leur impact sur la stratégie de gestion participative et la politique forestière ; o les techniques et outils utilisés dans l exploitation des ressources naturelles de la zone o des problèmes fonciers et leur impact sur la mise en œuvre du projet futur ; o de la nature et des formes de la participation des parties prenantes et leur incidence sur la mise en œuvre du projet. Cette étape de la mission consiste à faire, à la fois : 1. des focus group avec les populations de tous les villages cités plus haut. Ils se sont déroulés en groupe réunissant en moyenne 60 participants composés des autorités locales (chefs 13

14 traditionnels, préfets), des agents forestiers, des groupes socioprofessionnels, des femmes, des jeunes, des associations villageoises de développement (AVD)/CVD, les AVGAP/UAVGAP, et responsables des groupes d intérêts, etc. Les focus group sont exécutés sur la base des grilles de questions simplifiées et des fiches thématiques avec des illustrations adaptées facilitant la compréhension des concepts véhiculés. 2. Une enquête socioéconomique conduite auprès de 1080 chefs de ménages représentant un échantillon de 48,29 % des chefs de ménages des villages de Lassa et d Aléhéridè dont 446 ménages à Aléhéridè et 634 ménages à Lassa. Ces deux localités ont été retenues en fonction de la combinaison des critères ethniques, démographiques, géographiques et d intérêts d aménagement (bassin versant de Lassa Badjo, Stabex 2003) ou de réhabilitation (forêts classées d Aléhéridè et d Alédjo, Stabex 2003). Le choix des ménages s est fait de façon aléatoire. Cette enquête a été réalisée avec des enquêteurs chevronnés sous la supervision des consultants. Les questionnaires sont préparés et testés au cours d une phase préalable à l enquête proprement dite. Elle a permis d avoir des informations d ordre statistique sur la situation socioéconomique, agronomique et forestière actuelle de la zone ainsi que les besoins. 3. Une enquête de mesures des exploitations à l aide des instruments appropriés tels que les boussoles, les décamètres, et les calculatrices programmables, a permis de connaître avec précision la taille et la structure des exploitations ainsi que le taux d empierrement. Les différentes combinaisons culturales ont été posées systématiquement au sein des différentes unités de production mesurées. Cette enquête a été couplé à celle socioéconomique. 4. Une enquête auprès des institutions intervenant ou susceptibles d intervenir dans la zone. A l issu de ces exercices, les informations recueillies sont complétées par des observations in situ sur des sites retenus de concert avec les parties prenantes. Cette phase se fondent essentiellement sur l Observation (ex situ et in situ), des données recueillies au cours de la phase précédente. Toutes les informations sont structurées et classées dans des tableaux croisés en fonction des thématiques liés à l objet des TdR. Ce classement a facilité la lecture des phénomènes en présence et a permis une analyse à la fois qualitative et quantitative de la situation socioéconomique et institutionnelle des écosystèmes des montagnes de la région. Cette analyse a permis de décrire de façon détaillée et cohérente le paysage, les constituants des zones forestières, la production et l exploitation forestières, leurs incidences des activités socioéconomiques sur les ressources naturelles, etc. Elle a aidé aussi à connaître, à décrire et à estimer les niveaux de conservation, de dégradation, d érosion et de pollution, les taux des terres marginales, des terres en cultures pérennes ou d exportation et forestières (teck, Eucalyptus, etc.), des terres servant d établissements humains (localités) et celui du restant des terres dans la région. Cette analyse a débouché sur le diagnostic des contraintes et des leviers de développement forestier de la région. Après l analyse et l exploitation des données, les différentes cartes sont établies à partir des résultats de l analyse des données recueillies et des indications techniques nécessaires à la matérialisation des différentes thématiques des termes de référence et de notre offre. Enfin, tous les éléments recueillis ont permis d élaborer les rapports provisoire et définitif de la mission. Les résultats de la mission sont présentés dans ce rapport structuré comme suit : I. Cadre physique et social de la zone et leurs incidences sur la réussite du projet ; II. Description et analyse des principales activités économiques et techniques de production dans la zone du projet ; III. Analyse des besoins et des revenus des populations ; IV. Cadre institutionnel d intervention ; 14

15 V. Proposition de mesures incitatives et d accompagnement pour le développement économique et social de la zone et l amélioration des revenus des populations ; VI. Proposition des idées d aménagement de la zone et d exploitation de ses ressources naturelles. 15

16 I - Cadre physique et social de la zone et leurs incidences sur la réussite du projet 1.1 Données physiques Localisation et superficie La zone du projet (carte n 1) est localisée entre le 9 et le 10 latitude Nord et entre les méridiens 0 50 et 1 30 de longitude Est comme l indique la carte qui suit. Les différentes dimensions déterminent environ une superficie relative de 8343 Km². Pour mieux cerner l étude, un échantillon des localités est proposé couvrant les cantons de Agoulou, Kéméni, Aléhérie, Alédjo, Soudou, Koumondè, Lama, Soumdina, Lassa, Tcharè, Bohou, Yadè, Tchitchao, Pya, Kouméa, Kouméa, Landa, Pissaré, Farindè, Sola, Boufalé, Sirka, Pouda, Massédina de la région de la Kara et de la Centrale. Les 23 cantons constituent une aire d environ 1951 km². Elle est irriguée au Nord par les systèmes hydrographiques secondaires des rivières Kara et Kéran et au Sud par ceux du fleuve Mono et de la rivière Mô. Tab n 1 : Superficie des diverses localités de a zone du projet Cantons Agoulou Kéméni Aléhéridè Alédjo Soudou Koumondè Lama Soumdina Lassa Tcharè Bohou Yadè Superficie Km² , Cantons Tchitchao Pya Kouméa Landa Péssarè Farindè Sola Boufalé Sirka Pouda Massédina Superficie Km² Source : DSID, La zone est parsemée du sud au nord par la falaise de Daouda et celle d Alédjo, les monts Kabyè et la chaîne de Défalé dont les altitudes se situent entre 300 mètres et 600 mètres de haut. Cela indique que la morphologie de la zone est très irrégulière constituée par une alternance des plaines, de vallées et de plateaux dominés par de vieux massifs montagneux très accidentés et le plus souvent dénudés de végétation. (Carte n 2). 16

17 Source : ALLIANCE Sarl. ; Carte n 1 : Localisation de la zone 17

18 Source : ALLIANCE Sarl. ; 2010 Carte n 2 : Le relief de la zone du projet 18

19 1.1.2 Conditions agro-pastorales Il s agit de cerner les facteurs climatiques, hydrographiques et végétatifs qui déterminent la production agropastorale de la zone. Le climat : dans son ensemble, la zone est caractérisée par un climat subtropical semi humide de type soudano guinéenne à deux (2) saisons dont une saison de pluies (avril à octobre) et une saison sèche (novembre à mars) avec une pluviométrie variant entre 700 et 1200 mm. a) Pluviométrie : Le nombre moyen de jours de pluies des vingt dernières années est de 60 jours environ de pluies annuelles avec des écarts annuels atteignant 34. Les observations faites sur la même période démontrent qu une précipitation de 1400 mm concentrée sur les 2/3 de la période de juillet /septembre a une forte érosivité (capacité d occasionner des érosions) correspondant à un indice très élevé de fournier égal à 55. Dans ce contexte, en moyenne, on évalue à 4 tonnes la quantité de terre emportée en un an par ha de terrain. b) Température : les relevés de thermométrie observée sur les vingt dernières années indiquent que la température moyenne se situe à 27 C et que les variations annuelles sont insignifiantes. Par contre, celles mensuelles et journalières sont importantes. Le minima journalier est de 20 C et le maxima est de 33 C ; les variations diurnes peuvent dépasser 15 C. Les mois de novembre, décembre et de janvier enregistre les températures les plus bas coïncidant avec la période d harmattan favorable au maraîchage. Par contre les mois les plus chauds sont ceux de mars et d avril. c) Insolation et Evaporation : de novembre à janvier et parfois jusqu en février, la plupart des journées sont sans nuages. Même, en saison de pluies, plus du quart de la journée reste ensoleillée. Cette situation indique que le degré hygrométrique annuel est de 63,8% en moyenne. La variation interannuelle est en dents de scie avec une écart maximum de 7%. Il a été observé que le taux d humidité est le plus faible en janvier (35%) et le plus élevé (84%) au mois d août. De même, l évaporation moyenne annuelle est de 2032 mm. Elle est très élevée au mois de janvier et février (avec une moyenne mensuelle de 250 mm), période au cours de laquelle les plus faibles précipitation et humidité relative sont observées. L évaporation est très basse en août avec une moyenne de 90 à 100 mm. Les ressources en eau: Elles regroupent les eaux de surface et celles souterraines. a) Les eaux de surfaces : les systèmes hydrographiques de surface qui baignent la zone sont ceux des rivières Kara et Kéran au Nord et au sud ceux de Mô et Mono. La carte de l hydrographie de la zone ci-dessous indique les principaux éléments des systèmes de chaque rivière. Ces quatre systèmes ont développé des affluents et des talwegs qui généralement tarissent en saison sèche durant environ 2 mois. En saison pluvieuse, surtout en année de fortes précipitations, ces ruisseaux débordent et inondent les sols qui s engorgent d eaux rendant ainsi difficile le travail champêtre. Entre autres affluents de ces systèmes hydrographiques de la zone du projet, les principaux cours d eau suivants peuvent être cités par préfectures et cantons dans le tableau suivant : 19

20 Tab. n 2: Quelques cours d eau de la zone par préfecture et par canton Préfectures Cantons Cours d eau Tchaoudjo : Aléhèridè Mô, Bolè (interdition de pêche par la TdE) Kéméni Ditcho, Kpaza, Klouba, Bolè, Egbeze, Labodikpeî, Kidediri, Tokoli, Kpankpande et le barrage d Aléhéridè. Assoli : La majorité des cours d eau de cette préfecture prennent leurs sources dans les monts Alédjo Alédjo Didaworè, Filiou, Lombo, Léla, Kpéléboua, Lawiya, Kafayo, Kayalé Koumondè Alimalaou, Boudjounou, Kpawa, Bizana, Médeou, Sara Doufelgou Pouda Blola, Bolo, Binah Binah Kozah Source : ALLIANCE Sarl. ; Ptelaka (village de Baré), Poulaka Boufalé (village de Baré), Kpandjarkn (village de Baré), Pann (traverse villages de Kiako, Baré, Katcheka, Tchemandè, Lama-Tessi II) Solla Binah, N pouikoi, N gnênêkoi, N tchanikoi Kouméa Kpelou, Kozah, Kadaho, Sossô, Kdemaou, Kpatarè, Aoudoyô. Des marres dont (Tchéli, Nêrê, Myou, Egnang, Ligbada) Landa Kpindi, Kara, Sêyê Lassa Limou, Mazabo, Abou-lao, keketcha, lindane Pya Kpelou, Peka, Atakpadè, Koudjouka-boo, Pittadjao Parmi eux, Kara, Mô, Bolé, Kpaza, Klouba, Didaworè, Lombo, Kayalé Bawulé, Kagnalo, Passa, Adjima, Mabo, Kpéwa, Katiola, Félina, Kawa, Kpélou, Kozah, Kpindi, Nangbowa, Dago, Binah, Ptélaka, Poulaka, Kéran ont généralement un débit moyen annuel de 1 à 5 m 3 /seconde. Les autres cours d eau restant sont pratiquement secs à la fin des saisons de pluies. Sur les cours d eau à débit moyen, il peut être envisagé l aménagement de petites retenues pour l irrigation. Cela pourrait régulariser les ressources en eau de surface sur toute l année. b) Les nappes souterraines : l état actuel des connaissances des ressources souterraines au Togo ne permet pas d apprécier la quantité et la qualité des eaux souterraines. L utilisation actuelle de la nappe est assez faible en volume et ne comporte que quelques centaines de puits ou forages pour l alimentation en eau potable surtout en milieu rural. Les puits traditionnels sont progressivement abandonnés au profit des forages. 20

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