J. Petot 27/03/08. + Questions Beauvois & Joulé. + Questions sur le texte de J. Petot. Etude de cas clinique

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1 + Questions Beauvois & Joulé Pourquoi peut on parler de «soumission librement consentie»? Expliquez. Choisissez une expérience de l article pour laquelle vous identifierez les variables indépendantes et dépendantes. A partir de ce que vous avez appris dans le texte, comment feriez-vous, sachant que votre copie est mauvaise, pour que je vous rajoute 2 points? + J. Petot Etude de cas clinique + Questions sur le texte de J. Petot Quel est le domaine abordé par le texte? Quelle(s) méthodes est/sont mises en œuvre? Quels sont les moyens et les outils dont disposent les psychologues pour poser un diagnostic? 1

2 + Les activités du psychologue Activités principales s articulent essentiellement autour : De l évaluation Du traitement Les interventions du psychologue se ont lieu au niveau : Du patient : Diagnostic, à la décision thérapeutique, et au suivi des patients. De la famille : Déterminer le rôle éventuel de l entourage dans le du trouble du patient. Prise en charge de la souffrance des familles. + L évaluation et le diagnostic : le bilan psychologique L activité du psychologue passe nécessairement par une phase d évaluation et de bilan. Objectif : identifier la ou les cause(s) de la souffrance du patient. La phase d évaluation permet : De découvrir l histoire, le passé du patient (l anamnèse) De déceler d éventuelles pathologies ou déficits qu ils se situent au niveau même de la personnalité* ou au niveau des potentialités** intellectuelles. Phase essentielle : Premier contact entre le psychologue et le patient Sert de base à la relation psychologue/patient en dépend. * = ensemble de caractéristiques affectives, émotionnelles, dynamiques relativement stables et générales qui détermine la façon dont réagit une personne dans une situation particulière. ** = ce qu on est capable de faire mais qu on ne fait pas forcément. + Outils pour l évaluation 2

3 + L entretien clinique d évaluation Familial Cas de patients enfants ou adolescents, le premier entretien est en général familial : il réunit enfant, parent(s) et psychologue. Note : la famille ou les proches peuvent être vus dans le cadre d entretiens même pour des adultes. Les informations recueillies lors du premier entretien fournissent un cadre général (histoire, symptômes, etc.), qui va servir de point de comparaison pour les informations recueillies lors de l entretien individuel. Individuel Le psychologue essaye ici de trouver les causes de la souffrance du patient. Cet entretien permet également de recouper les informations éventuellement recueillies lors d un entretien familial. + Les tests + Qu est-ce qu un test? Un test est un instrument de mesure standardisé dont les conditions de passation et les épreuves sont toujours identiques. Les réponses fournies sont notées et quantifiées de façon identique, quelle que soit la personne qui fait passer le test. Les résultats obtenus par la personne évaluée sont ensuite comparés à ceux d une population de référence avec qui elle partage des caractéristiques communes (ex : âge, sexe, niveau d études ). Pour que les informations apportées par un test soient valables, le test doit répondre à des critères stricts en terme de construction et de validation. Il doit être standardisé, valide, fidèle et sensible. 3

4 + Standardisation La standardisation consiste à faire en sorte que le test soit passé dans les mêmes conditions pour tout le monde. Buts: Eliminer les biais relatifs à la subjectivité de la personne qui fait passer le test. Ne pas ou peu laisser de place à l interprétation lors de l évaluation des réponses. Faire en sorte que les mesures soient comparables et permettre la mise en évidence des différences interindividuelles. Ex: les consignes données à la personne qui passe le test doivent être rigoureusement identiques d une personne à l autre. + Validité Lorsque l on teste la validité d un test, de s assurer que le test mesure bien ce qu il est censé mesurer. Ex.: si un test de mathématique contient des questions dans lesquelles on recourt à des termes compliqués, une mauvaise note à ce test ne va pas uniquement refléter la connaissance des math mais plutôt celle du français. Il faut s assurer de 2 types de validité : convergente divergente. Convergente : existence d une bonne corrélation* entre les résultats au test et ceux à un autre test censé mesurer le même concept ou un concept proche (ex. 2 QI). Divergente : non existence de lien entre le test et d autres tests visant à mesurer des choses très différentes (ex. test verbal vs logique). + Fidélité On dit qu un test est fidèle lorsqu il permet de donner une mesure relativement stable dans le temps de ce qu il est censé évaluer. La fidélité d un test se mesure en répétant la passation du test à différents intervalles de temps. On calcule ensuite un coefficient de corrélation entre les résultats obtenus aux différents temps. 4

5 + Sensibilité But premier d un test = faire ressortir les différences inter individuelles. Un test se doit d être discriminant, sensible. Pour augmenter la sensibilité d un test, on peut : modifier la difficulté des items qui composent le test donner un temps limité de passation des items Augmenter le nombre d items ou de dimensions + Etalonnage Etalonnage = échelle permettant de situer le résultat obtenu par un individu par rapport aux résultats qui ont été observés antérieurement dans une population de référence (comprenant un nombre important d individus comparables à celui qui a été étudié). L étalonnage du test, correspond à la mise en place des «normes» pour une population donnée. Grâce à l étalonnage, les résultats obtenus à un test par un individu peuvent être comparés à ceux d une population de référence (qui partage des caractéristiques communes avec le sujet) qui a passé le test préalablement à sa mise sur le marché. + En résumé Un test est un outil de mesure standardisé qui permet d évaluer une dimension particulière du comportement, des aptitudes ou de la personnalité d une personne. Un test doit répondre à des critères stricts de standardisation, de validité, de fidélité et de sensibilité. 5

6 + Les types de tests 2 grands types de tests : les tests d efficience les tests de personnalité. + Tests d efficience Les tests d efficience permettent d évaluer les principaux domaines de développement : le langage la connaissance des concepts de base (vocabulaire et compréhension) le raisonnement (la logique) l organisation spatio-temporelle la mémoire le comportement affectif (autonomie, assurance, confiance en soi ). L une des batteries de tests les plus utilisées reste la WISC (Wechsler Intelligence Scale for Children) ou sa version pour adulte, la WAIS (Wechsler Adult Intelligence Scale). WISC & WAIS permettent le calcul d un «QI». + La notion de QI Initialement : âge mental QI = x 100 âge réél où l âge mental = score obtenu par un enfant à un test correspondant au score moyen obtenu par les enfants du même âge. De nos jours : Le terme QI ne renvoie plus à l âge mental mais à la comparaison de la performance du sujet à la performance moyenne d un échantillon représentatif de la population. 6

7 + La WISC-R La WISC-R (Echelle d Intelligence de Wechsler pour enfants ; 6-16 ans) comprend deux échelles : une échelle «verbale» Une échelle «performance» Le WISC-R permet le calcul d un score de QI verbal, d un QI de performance, et d un score de QI global. Pour la WISC Le QI moyen = 100 avec un ET = 15 Ce score permet de situer l efficience intellectuelle de l enfant par rapport à sa population de référence. + La WISC-R Le test est composé de dix subtests obligatoires et de deux optionnels (labyrinthes et mémoire immédiate des chiffres). L échelle verbale contient les subtests : information, similitudes, arithmétique, vocabulaire et compréhension. L échelle de performance contient les subtests : complétement d images, arrangement d images, cubes de Kohs, assemblages d objets et code. + Subtest Arithmétique Consigne : Lis ce problème tout haut. Quand tu l auras lu, cherche la réponse et donne la moi quand tu l auras trouvée. Six personnes peuvent laver 40 voitures en 4 jours. Combien de personnes faut-il pour laver 40 voitures en une demijournée? Paul a fait un voyage à moto. Il a roulé 3 heures, s est arrêté une heure pour manger et a encore roulé 2 heures. Il a fait 225 km en tout. Lorsqu il était sur sa moto, à quelle vitesse moyenne a-t-il roulé? (75 secondes maxi pour répondre) 7

8 + Subtest Cubes On met à disposition de l enfant des cubes dont 2 faces sont totalement rouges, 2 faces totalement blanches et 2 faces miblanches mi-rouges. On place devant l enfant un modèle qu on lui demande de reproduire le plus rapidement possible. + Arrangement d images Consigne : Mets ces images en ordre pour qu elles racontent une histoire qui a du sens. Travaille aussi vite que tu peux. + Complètement d images Consigne : Regarde bien cette image, il manque quelque chose d important. Qu est-ce que c est? 8

9 + Complètement d images Consigne : Regarde bien cette image, il manque quelque chose d important. Qu est-ce que c est? + Subtest informations Consigne : Je vais te poser des questions. J aimerais que tu y répondes. Qui a écrit les Misérables? Qui était Darwin? Qu est-ce qu un Baromètre? De quoi est composée l eau? Qu est-ce qui fait que le fer rouille? + Codes Consigne : Regarde ces cases. Chacune d elle est divisée en deux. Dans la partie supérieure, il y a un chiffre et dans la partie inférieure il y a un signe. A chaque chiffre correspond un signe différent. Tu dois placer dans chacune des cases vides le signe qui devrait y être d après le modèle. 9

10 + Que dire des résultats de Bruno? Bruno obtient un QI égal à 100, donc à la moyenne (pour le WISC, moyenne = 100 ; Ecart type = 15) Les résultats de l enfant sont globalement homogènes tant sur l échelle verbale que sur l échelle de performances. Ils se situent dans la zone de normalité qui se situe entre 8 et 12 sur les deux échelles. + Les tests de Personnalité: inventaires et projectifs Il existe 2 grands types de tests de personnalité : les inventaires de personnalité les tests projectifs de personnalité + Les inventaires de personnalité Sous forme de questionnaires. Les questions doivent permettre d évaluer les différentes facettes ou dimensions de la personnalité et peuvent porter sur : des comportements des opinions des attitudes des sentiments Les réponses aux questions sont généralement proposées (QCM). 10

11 + Avantages des inventaires Commodité d utilisation : passation individuelle ou collective recueil et traitement des données rapides. Bonne standardisation au niveau de la passation de la cotation et de l interprétation. Validation En général validés sur des échantillons très importants. + Un exemple : Le Big 5 Les inventaires de personnalité les plus utilisés dans le monde actuellement reposent sur la théorie du «Big Five» de Goldberg (1981). Conçoit la personnalité comme composée de 5 facteurs principaux bipolaires plus ou moins indépendants. Ces 5 facteurs sont : l Ouverture la Conscience l Extraversion l Agréabilité (ou amabilité) et le Névrosisme(ou stabilité émotionnelle). + Les dimensions L ouverture aux expériences (O) Regroupe tout ce qui est relatif à la recherche active et le goût pour les expériences nouvelles. L ouverture se manifeste par des intérêts ouverts, une capacité à rechercher et vivre sans anxiété des expériences nouvelles. La conscience (C) Elle est composée d éléments dynamiques (l anticipation, le besoin de réussir, l implication) et d éléments de contrôle ou d inhibition (planification, méticulosité). L extraversion (E) Renvoie à la quantité et à l intensité des relations avec l environnement social. Elle concerne la tendance à rechercher le contact avec l environnement avec énergie, enthousiasme et confiance à vivre ces expériences de manière positive. 11

12 + Les dimensions (suite) L agréabilité (A) Dimension qui concerne la nature des relations avec autrui. Renvoie à la qualité des relations impersonnelles allant de la compassion à l antagonisme. Le névrosisme (N) Renvoie à la prédisposition des individus à construire, à percevoir et à ressentir la réalité comme problématique et pénible (soucis, inquiétudes, dévalorisation de soi, ) et à ressentir des émotions négatives (peur, honte, etc.). + Les dimensions du Big 5 (fin) Dimension Pole Négatif Pole Positif Extraversion Agréabilité Conscience Stabilité Emotionnelle Ouverture - Tranquille - Réservé - Calme - Suspicieux - Froid - Inamical - Insouciant - Désordonné - Irresponsable - Tendu - Anxieux - Nerveux - Banal - Intérêts étroits - Simple - Bavard - Assuré - Actif - Sympathique - Gentil - Apprécié - Organisé - Minutieux - Efficace - Stable - Calme - Contrôlé - Intérêts larges - Imaginatif - Original + Les tests projectifs Principe : produire un discours à partir d un matériel donné (des images plus ou moins concrètes). Objectif : avoir accès aux aspects affectifs et à la structure de personnalité de l enfant. Problème : leur interprétation laisse une place à la subjectivité. 12

13 27/03/08 + CAT (Children Aperception Test) TAT (Thematic Aperception Test) & Le CAT est la version pour enfants du TAT. La personne évaluée (enfant ou adulte selon le cas) doit raconter une histoire à partir d une image qui lui est proposée. Basé sur la théorie psychanalytique Hypothèse = le récit du patient est un moyen d accès au mode d organisation de la personnalité et aux aménagements défensifs. = activité contradictoire de fantasmatisation et de contrôle. Récit Exploration des aspects non cognitifs, à l affectif, aux caractéristiques interpersonnelles et à l inconscient tout en donnant une bonne idée des compétences linguistiques du patient. + L interprétation porte à la fois sur le contenu manifeste (ce qui est objectivement présenté sur la planche) et sur le contenu latent (la problématique sous jacente au contenu manifeste). Exemples de planches + 13

14 + Le Rorschach Test projectif de personnalité reposant sur la théorie psychanalytique. Contrairement au TAT et au CAT, le matériel du Rorschach (taches d encre) est non structuré (abstrait). La tâche des individus consistent à dire à quoi les tâches d encre leur fait-elles penser. + Le Diagnostic + La pose du diagnostic A l issue du bilan psychologique (entretiens + tests), le psychologue doit être en mesure de poser un diagnostic sur : la cause de la souffrance du patient son type de personnalité et la présence ou non de pathologies. Classifications : Regroupent les pathologies et de troubles mentaux en fonction de leurs symptômes. DSM IV (US ; manuel diagnostic et statistique des troubles mentaux) ; Classification française de l INSERM (Institut National de la Santé et de la recherche Médicale) ; Classification de l OMS «ICD10». Toutes ce classifications fonctionnent selon un principe descriptif : «tel dysfonctionnement ou telle pathologie est caractérisé par tels symptômes». 14

15 + Névroses et Psychoses + Névroses Névrose = maladie mentales dont le sujet est conscient et qui, malgré les troubles permanents de la personnalité qu elle peut entraîner n en affecte pas profondément les fonctions essentielles. Bien que la personne névrosée soit «mal dans sa peau», elle peut quand même être à l aise, adaptée en société. + Les troubles névrotiques Très fréquents Se répartissent en 4 grandes catégories : Les troubles anxieux, paniques et phobiques (attaque de panique, agoraphobie, phobies simples et phobies sociales). Les troubles obsessionnels compulsifs (TOC). Les troubles hystériques (conversions somatiques) Les troubles dépressifs (sentiment d infériorité, affects négatifs, tristesse, souffrance morale ) 15

16 + Troubles névrotiques Ces troubles se retrouvent de manière isolée ou combinée au sein des différents types de névroses : Névrose obsessionnelle Névrose hystérique Névrose d angoisse Névrose phobique + Psychoses Psychose = maladie mentale qui atteint l ensemble de la personnalité et bouleverse le rapport à la réalité. Contrairement aux personnes souffrant de névroses, la personne n est pas consciente de ses troubles psychiques. 2 types de troubles psychotiques : Délire = croyance fausse de la réalité, qui se caractérise par le fait d être convaincu de ce que l on dit. Hallucinations Perceptions sans objets à percevoir que l individu vit comme de réelles perceptions Modalités : visuelle, auditive, kinesthésique. + 2 types de Psychoses Les psychoses aiguës «attaques», qui apparaissent de façon brutale et épisodique Les psychoses chroniques affection durable de la personnalité 16

17 + Psychoses aiguës Confusion mentale trouble de la vigilance ; l attention, la mémoire, l imagination se trouvent altérées) Bouffée délirante aiguë épisode délirant d apparition brutale et intense envahissant tout le psychisme). Accès maniaque état d excitation important caractérisé par une hyperactivité physique et mentale. Accès mélancolique dépression extrême + Psychoses chroniques Schizophrénie Renfermement sur soi ; la personne finit par vivre dans un monde qui lui est propre, hors de la réalité Paranoïa la méfiance, hypersensibilité aux événements, aux remarques des autres Psychose hallucinatoire chronique un type particulier de délire chronique Ex: être convaincu que ses pensées et ses actes sont contrôlées par une force extérieure. + Prise en charge du patient 17

18 + La prise en charge A partir du diagnostic, le clinicien va pouvoir orienter son patient vers un type particulier d action thérapeutique. Modalités de prise en charge très diverses : Renvoi vers un psychiatre pour un traitement médicamenteux Thérapies Séances avec un psychomotricien Orthophonie 18

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