DOSSIER DE PRESSE. 6 octobre 2015
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- Quentin Larivière
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1 DOSSIER DE PRESSE 6 octobre 2015 Contact Presse : Huguette YONG-FONG - Tél : Port : Courriel : huguette.yong-fong@ars.sante.fr
2 Ne laissons pas les moustiques s installer! Les moustiques peuvent transmettre des maladies comme la dengue, le chikungunya ou le paludisme. A l approche de l été austral, les pluies associées aux fortes chaleurs sont favorables au développement des moustiques. C est pourquoi l ARS Océan Indien (ARS OI) souhaite sensibiliser la population sur les gestes de prévention contre les moustiques. Les communes et institutionnels se mobilisent aux côtés de l ARS OI pour organiser des actions de sensibilisation. Un nouveau logo, commun à La Réunion et à Mayotte, accompagne les nouveaux supports de communication. Contexte >> Situation épidémiologique Mayotte a connu une épidémie de dengue importante en Depuis cette période, des cas autochtones sporadiques sont identifiés sur l île, ce qui signifie que le virus de la dengue circule à bas bruit. Par ailleurs, Mayotte est confrontée en permanence à la menace des maladies vectorielles : en plus des virus de la dengue et du chikungunya, maintenant bien connus, la propagation internationale du virus ZIKA présente un risque supplémentaire, qui conforte l importance du maintien d un très haut niveau de vigilance sur ces maladies. L approche de conditions climatiques plus favorables au développement des moustiques et la situation épidémiologique internationale laissent donc toujours craindre l installation de nouveaux épisodes de circulation de ces maladies à court ou moyen terme. >> Objectifs Les lieux de pontes des moustiques sont créés et entretenus par l homme autour de son habitation. Aussi, l ARS OI souhaite : Convaincre la population de l importance de supprimer les eaux stagnantes dans leur jardin et les environs. COMMUNIQUÉ DE PRESSE Réduire efficacement les risques de transmission de maladies et les nuisances occasionnées par les moustiques à Mayotte Campagne de sensibilisation contre les moustiques >> Ne laissons pas les moustiques s installer! Parce que les moustiques sont l affaire de tous, l ARS OI invite les mahorais à être acteurs de leur protection contre les nuisances et les maladies transmises par les moustiques. Le message : Ne laissons pas les moustiques s installer! Il suffit de jeter chaque jour les eaux stagnantes autour de chez soi par des gestes simples et efficaces : - supprimer les soucoupes et récipients, - abriter les pneus et jeter les déchets dans la poubelle, - couvrir les réserves d eau Cette campagne est l occasion de découvrir le nouveau logo «Ensemble contre les moustiques», qui sera désormais décliné sur tous les supports de communication à Mayotte et à La Réunion, avec une charte graphique complètement relookée. >> Des actions conjointes menées avec les écoles et les communes L ARS OI mène également des actions : avec les écoles : stand d information pour délivrer les messages de prévention avec les communes de l île (recherche des gîtes larvaires avec le référent communal, visite chez les habitants pour éliminer avec eux les gîtes larvaires présents à leur domicile, tout en les sensibilisant sur les bons gestes à mettre en œuvre). 2
3 Sommaire La lutte anti-vectorielle à Mayotte... P. 4 Situation épidémiologique Les chiffres-clé de la lutte anti-vectorielle Une campagne de sensibilisation contre les moustiques. P. 5 Les objectifs Ne laissons pas les moustiques s installer! Un nouveau logo et de nouveaux supports de communication Les actions sur le terrain.. Sensibilisation des enfants à l école maternelle Combani P. 6 Actions conjointes menées avec les communes Annexe P. 8 En savoir plus : la dengue et le chikungunya / l Aedes albopictus 3
4 La lutte anti-vectorielle à Mayotte Situation épidémiologique Mayotte a connu une épidémie de dengue importante en Depuis cette période, des cas autochtones sont identifiés régulièrement sur l île, ce qui signifie que le virus de la dengue circule à bas bruit.». De nombreuses épidémies de dengue et de chikungunya sont en cours dans différents pays de la zone océan Indien (Sud-Est asiatique notamment). A noter également que des épidémies de chikungunya et de Zika (un virus également transmis par Aedes albopictus et Aedes aegypti) se poursuivent notamment en Amérique du Sud avec le risque de diffusion vers la Guyane et les Antilles. Le risque d importation de ces deux virus sur notre territoire est donc constant. Actuellement, la situation épidémiologique à Mayotte correspond au niveau de veille 1A («Absence de cas ou apparition de cas isolés sans lien avec une épidémie dans la zone d'échange régionale»). Cependant, l arrivée de l été austral et de ses conditions climatiques plus favorables au développement des moustiques laisse craindre une recrudescence des maladies vectorielles. La mobilisation de tous reste donc indispensable pour limiter les sources de prolifération des moustiques grâce au repérage et à l élimination régulière des eaux stagnantes. L approche de conditions climatiques plus favorables au développement des moustiques et la situation épidémiologique internationale font craindre l apparition d une situation épidémique de maladie vectorielle (dengue, chikungunya, zika). De fait, il est essentiel de sensibiliser la population sur la nécessité de mettre en œuvre des gestes connus de tous pour lutter contre les moustiques : repérer et supprimer systématiquement les eaux stagnantes. Les chiffres-clé de la lutte anti-vectorielle Au sein de l ARS OI, 70 personnes assurent au quotidien à Mayotte des missions de LAV sur le terrain. Principaux chiffres-clés de 2015 (jusqu en août 2015): maisons et jardins visités pour l élimination des gîtes larvaires et le passage de message de prévention (52000 personnes) foyers ont reçu des messages de prévention spécifiques contre le paludisme 104 interventions suite à des signalements de nuisances 30 enquêtes épidémiologiques réalisées suite à des signalements de cas de dengue ou de paludisme moustiquaires distribuées dans le cadre de la lutte contre le paludisme ( foyers équipés en 2015) 4
5 Une campagne de sensibilisation contre les moustiques A l approche de l été austral, l ARS Océan Indien lance une campagne pour sensibiliser la population à la lutte contre les moustiques. Les objectifs de la campagne Convaincre les mahorais de l importance de repérer et d éliminer, chaque jour, les eaux stagnantes dans leur jardin, qui sont des lieux de ponte pour les moustiques. Faire comprendre l efficacité des gestes individuels de lutte contre les gîtes larvaires s ils sont portés par le plus grand nombre. Réduire efficacement les risques de transmissions de maladies transmises par les moustiques (dengue, chikungunya ) Ne laissons pas les moustiques s installer! Parce que les moustiques sont l affaire de tous, l ARS Océan Indien invite la population à être acteurs de leur protection contre les maladies transmises par les moustiques : Jeter chaque jour les eaux stagnantes autour de la maison (coupelles sous les pots, déchets ) Nettoyer régulièrement les gouttières, Supprimer les soucoupes et récipients, Abriter les pneus Jeter les déchets dans la poubelle, Couvrir les réserves d eau Pour réduire efficacement les risques de transmissions de virus par les moustiques, l ensemble de la population doit être mobilisée. Un nouveau logo et de nouveaux supports de communication C est l occasion de présenter les nouveaux outils de communication de l ARS OI, comprenant un nouveau logo et une charte graphique complètement relookée. Ce nouveau logo accompagnera désormais les messages de sensibilisation à la lutte contre les moustiques à Mayotte et à La Réunion : «Ensemble contre les moustiques». 5
6 Les actions sur le terrain Sensibilisation des enfants à l école maternelle Combani A l invitation de la Directrice de l école maternelle Combani, les équipes de l ARS Océan Indien ont organisé ce mercredi 7 octobre 2015, des animations autour de la prévention des maladies vectorielles avec les enfants de l école. Différents ateliers sont programmés pour sensibiliser les enfants (15 classes de CP au CM2 sont attendues). Au programme de la journée : Au cours de cette journée, des recherches et des éliminations des gîtes larvaires (lieux de ponte des moustiques) seront effectuées avec les élèves. Par ailleurs, trois ateliers sont à leur disposition : 1 er atelier : Découverte des moustiques et maladies transmises par certaines espèces Existence de plusieurs espèces de moustiques Le cycle de vie des moustiques : œufs, larves, nymphes (stades aquatiques) et adultes Les principaux symptômes des maladies transmises : fièvre, maux de tête, douleurs articulaires 2 e atelier : Les différents lieux de ponte (gîtes larvaires) des principales espèces de moustiques Les gestes de prévention : jeter les eaux stagnantes (tout récipient contenant de l eau, pneus, vases, soucoupes, gouttières mal nettoyées, déchets ) 3 e atelier : Quiz sur les gestes de prévention (changer l eau des vases au moins une fois par semaine, protéger les réserves d eau utile avec un tissu bien tendu ou une moustiquaire, jeter les déchets dans une poubelle placée à l abri de la pluie ) Observations des moustiques sous loupe et microscope. 6
7 Actions conjointes menées avec les communes L objectif principal est de contrôler et réduire les lieux de ponte des moustiques (gîtes larvaires), plus particulièrement, ceux qui sont responsables de la transmission des maladies (la dengue, le chikungunya ou le zika), par des actions conjointes de lutte et de mobilisation sociale. Les quartiers ou les zones ciblés sont ceux dans lesquels une forte densité de gîtes larvaires positifs a été constatée lors de prospections antérieures. Des actions ont déjà été menées dans certaines communes, d autres sont programmées ou en cours de réalisation. >> Le contexte Les gîtes larvaires positifs le plus fréquemment rencontrés sont des réserves d eau (volontaires ou de négligence) et les déchets (divers objets pouvant contenir de l eau). Ils sont étroitement liés au comportement individuel et leur résorption nécessite des actions d éducation sanitaire couplées à la lutte mécanique. Afin d améliorer l efficacité et la portée des actions, une collaboration étroite avec les communes est nécessaire. Les actions de l ARS Océan Indien consistent à : Former des référents communaux à l éducation sanitaire et à la lutte mécanique Planifier les actions dans les zones ciblées Renforcer les échanges d information entre l ARS OI et les communes participantes Mobiliser les référents communaux en cas d épidémie Mobiliser les agents de la police municipale en cas d intervention de nuit >> Les actions menées Les équipes qui interviennent sur le terrain sont composées d agents du service de lutte anti-vectorielle (LAV) de l ARS OI et d agents communaux préalablement formés. Elles interviennent dans les quartiers ciblés et mènent des actions d éducation de la population, de recherche et de suppression des lieux de ponte (lutte mécanique). Au besoin, les agents de la LAV procèdent à un traitement insecticide contre les larves de moustiques. Des indices entomologiques permettront ensuite d évaluer l efficacité des actions menées. Les actions conjointes avec les communes de l île sont prévues au cours de l année et porteront sur trois volets : recherche et géolocalisation des gîtes larvaires à risques, dans le cadre de la lutte contre le moustique aèdes, en compagnie du référent communal visite chez les habitants : éliminer avec eux les gîtes larvaires à leur domicile, tout en les sensibilisant sur les bons gestes à mettre en œuvre stand d information dans les centre-ville des communes sur une journée, afin de délivrer les messages de prévention. A la suite de ce travail, un rapport sera rendu aux communes concernées, qui comprendra les recommandations et les actions à réaliser pour réduire les gîtes larvaires. Des actions ont déjà eu lieu à Chiconi et à Tsingoni, d autres sont programmées à Dzaoudzi-Labattoir et à Tsingoni. Par ailleurs, plusieurs communes ont déjà été contactées : Kani-Kéli, Mamoudzou, Pamandzi, Bandraboua, Mtzamboro. 7
8 Annexe EN SAVOIR PLUS Les moustiques transmettent des maladies : dengue, chikungunya Rappel sur la dengue Rappel sur le chikungunya La dengue est une arbovirose transmise par l intermédiaire de moustiques du genre Aedes. Dans sa forme classique, la dengue se caractérise par une fièvre d apparition brutale accompagnée d un ou plusieurs des symptômes suivants : - frissons, - maux de tête, - douleurs articulaires et/ou musculaires, - nausées, - vomissements. Dans 2 à 4% des cas, il peut y avoir évolution vers une forme grave. Il existe une proportion élevée (jusqu à 80%) de formes asymptomatiques, donc sans aucune manifestation perçue. Il n'existe pas à ce jour de traitement spécifique pour la dengue. Le chikungunya est une infection due à un autre virus également transmis par les moustiques du genre Aedes et dont le nom signifie en Swahili «marcher courbé», décrivant l attitude des personnes atteintes par le virus. Elle peut passer inaperçue (asymptomatique) ou se manifester en moyenne 4 à 7 jours après la piqûre infectante, par l apparition soudaine d une fièvre élevée associée à des douleurs articulaires qui peuvent persister plusieurs semaines (poignets, chevilles, mains en particulier). La maladie, d évolution spontanée le plus souvent favorable, peut dans certains cas entraîner une fatigue prolongée et des douleurs articulaires récidivantes parfois invalidantes. Aedes albopictus et Aedes aegypti : des vecteurs présents dans notre environnement domestique Les moustiques Aedes albopictus et Aedes aegypti, vecteurs du chikungunya et de la dengue, pondent et se multiplient principalement autour des habitations, dans tous les points d eau stagnante. Près de 80 % des gîtes de ponte sont de petits contenants créés par l homme et présents un peu partout dans les cours et jardins : vases, pots, soucoupes, déchets divers Le rayon d action du moustique est relativement faible, moins de 100 m. Lors de ses missions de sensibilisation à domicile, le service de lutte anti-vectorielle de l ARS-OI constate la présence de gîtes dans plusieurs maisons visitées. Il s agit essentiellement de lieux de pontes potentiels liés à des négligences humaines. Cette situation laisse craindre une très forte augmentation de la densité de moustiques dès le retour des premières pluies estivales. Les gestes d élimination des gîtes larvaires sont pourtant à présent bien connus par la population, mais un effort reste à accomplir sur leur mise en pratique. 8
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