Ouverture économique et inégalités internes en Chine
|
|
- Marie-Dominique Sergerie
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Ouverture économique et inégalités internes en Chine Charles Edouard Brunier Matthieu Rousseau Cours séminaire d économie internationale
2 Depuis une trentaine d années, on peut observer en Chine un certains nombre de phénomènes qui ont complètement bouleversé le visage économique de ce pays. Tout d abord, depuis 1978, la Chine connait une croissance moyenne de 9% ; d autre part, en 2000, ce même pays représentait 6% du commerce mondiale, ce qui témoigne d une ouverture grandissante ; enfin, on observe une explosion des inégalités internes en Chine. Nous allons donc nous interroger sur les corrélations qui existent entre ces trois phénomènes. Il convient d abord de préciser qu il existe trois formes d inégalités, même si nous ne traiterons ici qu un seul aspect. Il y les inégalités internes, qui sont celles existantes au sein d un pays, les inégalités internationales, qui correspondent aux inégalités entre pays (telle population de tel pays est en moyenne plus riche que telle autre population de tel autre pays) et enfin les inégalités mondiales, qui prennent en compte à la fois celles internes et celles internationales. Ces trois phénomènes donc, ne sont ils que des phénomènes parallèles ou au contraire influent ils les uns sur les autres? Et si l ouverture a bien un effet bénéfique sur la croissance économique (c est ce que prédisent les théories traditionnelles telles que la théorie des échanges comparatif de Ricardo et le théorème HOS), qui profite de celle ci? Toute la population bénéficie t elle de cette manne ou au contraire, seule une partie en bénéficie t elle? Enfin, quel est le rôle de l Etat central Chinois dans ce processus? Après avoir montré quelles sont les limites des théories traditionnelles pour expliquer les évolutions Chinoises, nous montrerons en quoi on peut assister à une augmentation des inégalités en Chine. Enfin, nous verrons quel a été le rôle de l Etat central chinois dans l augmentation de ces inégalités. I. Théories économiques et inégalités : Afin de comprendre comment l ouverture de l économie influe sur les inégalités internes chinoises, il s agit tout d abord de comprendre quelles sont les théories économiques, c'est à dire les logiques et les phénomènes économiques, qui sous tendent la réalité, et qui permettent donc de mieux l appréhender. Nous montrerons les limites des théories dites traditionnelles, avant d examiner des outils explicatifs puis descriptifs des inégalités. 1. Un consensus idéologique : On peut tout d abord considérer que depuis la fin de la guerre froide, le libéralisme jouit d un consensus absolu en sa faveur. C'est à dire que les théories qui en vantent les bienfaits font figure de théories indiscutables, mettant en relief des phénomènes irréfutables. Ainsi, les théories montrant les effets bénéfiques de l ouverture pour les économies ont «pignon sur rue»! La théorie de Ricardo, qui montre qu un pays ne jouissant d aucun avantage absolu a tout de même intérêt à s ouvrir à la concurrence internationale et à se spécialiser, entre dans ce cadre là. Mais il faut aussi mentionner le théorème HOS, où les pays se spécialisent dans la production de biens ou le facteur le plus important du processus de production est aussi celui qui est le plus abondant. Les pays ont intérêt à s ouvrir car les biens qui nécessitent des facteurs de production qui n abondent pas dans le pays sont alors moins chers à acheter qu à produire. C est cette différence de coût d ailleurs qui explique le commerce international. Ce théorème conduit à une égalisation des coûts de production au niveau mondial. Cependant, la légitimité de ces théories ne pourrait bien que reposer sur un consensus idéologique, c'est à dire une vision de la réalité plus que cette réalité elle même. ces théories ont en fait des limites importantes. En ce qui concerne la théorie de Ricardo, on ne peut nier une simplification
3 abusive de la question et des hypothèses qui relèvent de la fiction. Il en est de même pour le théorème HOS, dont une des hypothèses est la concurrence pure et parfaite, sans parler du paradoxe de Leontief. Les outils économétriques quant à eux ne vont pas, aussi clairement du moins, dans le sens d un lien irréfutable. C'est à dire que si, empiriquement, l ouverture aurait un effet bénéfique sur la croissance, il ne faut pas oublier d une part, les limites des théories «traditionnelles» et, d autre part, son effet sur les inégalités. 2. Ouverture et inégalités : Nous nous appuierons ici essentiellement sur une thèse développée par Pierre Noël Giraud. Il s agit de présenter un outil explicatif de l augmentation des inégalités internes depuis 1970 environ. Depuis cette époque, l économie mondiale est entrée dans un capitalisme «nomade», c'est à dire que les activités «nomades» (sujettes à la concurrence internationale), tant commerciales (exportations et importations) et financières (investissements direct à l étranger), dépassent le niveau des activités «sédentaires». Il n y a plus de correspondance entre l intérêt des firmes nationales et celui des états. Ce dernier, d ailleurs, voit sa marge de manoeuvre, sa capacité à influer sur la conduite des firmes, diminuer fortement. Il faut bien comprendre aussi la différence entre les emplois dits «compétitifs» (ceux qui sont en compétition avec les emplois d autres territoires pour le bien qu il fabrique) et ceux dits «protégés (ils ne sont pas exposé à une concurrence mondiale, mais seulement nationale). Appliquée à la chine, cette théorie montre que les emplois compétitifs chinois sont plus compétitifs que ceux des pays développés, c'est à dire qu ils coûtent moins cher et qu il y a une augmentation des parts de marché. Il s en suit fatalement une augmentation de demande de main d œuvre supérieure à l offre. A cela s ajoute un marché du travail en situation de plein emploi (on peut même dire qu il est en tension). Tout cela, et les revendications salariales, conduisent à une augmentation du salaire de ces employés. Il y alors augmentation du pouvoir d achat et de leur situation en général. Au contraire, les emplois protégés, du fait de leur nature même, ne sont pas ou peu concerné par la mondialisation : ils ne profitent pas de cette manne que représente l ouverture. Nous sommes en face donc d inégalités internes croissantes que seule la libéralisation des échanges permet d expliquer. 3. Un outil explicatif, le coefficient de Gini : C est le statisticien Italien Corrado Gini qui crée cet indicateur des inégalités. Le coefficient de Gini peut être effectivement compris comme une mesure du degré d inégalité de la distribution dans une société donnée. Cet indice varie entre 0 et 1, 0 correspondant à une égalite parfite ( tout le monde a le meme revenu) et 1 correspondant à un inegalite parfaite (une personne a tout le revenu et les autres n ont rien).
4 Le coefficient de Gini peut être représenté par un diagramme de la courbe de Lorenz. Si l'aire de la zone entre la diagonale d'égalité parfaite (en pointillés) et la courbe de Lorentz (en gras) est A, et l'aire de la zone à l'extérieur de la courbe de Lorenz est B, alors le coefficient de Gini est A/ (A+B). En pratique, on ne dispose pas du revenu de chaque habitant, mais de «tranches» de la population. Pour n tranches, le coefficient s'obtient par la formule de Brown : où X est la part cumulée de la population, et Y la part cumulée du revenu. Graphiquement, c'est la superficie de la zone entre la droite d'égalité parfaite et la courbe de la situation réelle. Plus l'aire est grande, plus le pourcentage est élevé et donc plus les inégalités sont importantes. En Chine, en 2005, le coefficient de Gini est de 0,45 (en augmentation constante) alors que les pays les plus inégalitaires connaissent un coefficient de 0,6. II l exemple de la Chine les impacts de l ouverture commerciale sur les inégalités : 1. l histoire de l ouverture de la Chine : Au début des années 80, la Chine s engage dans la politique dite de «la porte ouverte», en créant des Zones Economiques Spéciales (ZES) réglées par des avantages proches de celles de zones franches, ayant pour but d attirer les IDE (investissements directs à l étranger) de la part des expatriés chinois et d expérimenter les modes de gestion occidentaux. En 1984, 14 autres villes sont ouvertes elles aussi au commerce mondial, puis ce sont les deltas sur la côte chinoise et enfin, tout le littoral.
5 2. une polarisation de la croissance sur les zones côtières qui entraîne une hausse des inégalités régionales : On observe en effet une concentration géographique des industries à cause des effets d agglomération et du rapprochement des marchés d exploitation (en l occurrence des ports puisque la quasi totalité des exportations chinoises transite par la voie maritime). Certaines études ont montré qu entre 1989 et 1999, la croissance moyenne de 200 villes côtières ouvertes comptait entre 3 et 5,5 points de croissance de plus que le reste de la Chine. Toutefois, il convient de souligner la nature de ces inégalités : les inégalités villes/campagnes sont restées élevées mais stables tandis que les inégalités littoral/intérieur se sont fortement accentuées. Ainsi, entre 1993 et 2002, la part des provinces côtières dans les exportations totales est passée de 79 à 91,5 %. En outre, l ouverture des zones littorales a permis une montée en gamme des structures productives, grâce aux transferts de technologies en provenance des pays développés. On passe ainsi d activités dites banales (basées sur les faibles coûts la main d œuvre telles que le textile) à des activités plus technologiques, voire même des activités de R&D (Recherche et Développement) dans des grands pôles high tech notamment dans certains deltas du littoral. Les firmes multinationales s appuient sur un réseau très dense de petites industries locales et profitent d économies d échelles. Elles entraînent ainsi un accroissement de la spécialisation régionale. L urbanisation joue aussi un rôle primordial dans l industrialisation d un pays. Ainsi, les économistes Catin et Van Huffel montrent avec la «règle des 5000$» qu à partir de ce revenu par tête, la concentration urbaine d un pays tend à se ralentir. Voici les 3 étapes de développement : l étape 1 est préindustrielle, le revenu par habitant et la concentration urbaine sont faibles. l étape 2 voit l industrie se développer ainsi qu u ne polarisation des activités banalisées. l étape 3 (qui survient lorsque le PIB/tête correspond à 5000$) donne lieu à une concentration d industries technologiques et à la diffusion des industries banalisées, ce qui entraîne une baisse des inégalités régionales. Il semblerait que la Chine se trouve entre l étape 2 et l étape 3.
6 Tableau 1 : PIB réel par tête et taux de croissance annuel moyen des provinces chinoises (2003). III le rôle central de l Etat chinois dans l accroissement de ces inégalités régionales : 1. le choix d une très faible ouverture interne : Pour des raisons politiques et doctrinales, le Parti Communiste Chinois (PCC) a en effet voulu contrôler strictement l ouverture économique en la rendant tout à fait progressive et mesurée. C est en fait tout d abord la décentralisation du pouvoir aux régions qui est paradoxalement à l origine des accroissements des inégalités. En effet, par volonté de sauvegarder des industries défaillantes, un fort protectionnisme a été mis en œuvre. On observe ainsi une baisse des échanges interprovinciaux entre 1987 et 1997.
7 L Etat central a lui aussi eu un rôle très négatif dans cette fermeture interne. Pour le marché du travail tout d abord, puisque le système des «certificats de résidence» avait pour but de réguler les mouvements de travailleurs et a aboutit à une restriction de la mobilité de la main d œuvre. Il n y a donc pas eu de mobilité interrégionale, et donc pas de réallocation des ressources entre la zone côtière et les zones interne et centrale. Ensuite, le système de la propriété est à l origine de fortes disparités, notamment par rapport aux IDE. Ceux ci se concentrent sur la Chine littorale (près de 80%). Or on constate que l Etat contrôle 60% de la production industrielle en Chine de l Ouest et du Centre contre seulement 20% sur la côte. Enfin, tandis qu à l Est de la Chine, l exode rural permet une réduction des inégalités au sein des régions côtières, le contrôle drastique de l urbanisation dans le reste de la Chine conduit à l absence de création de grands marchés solvables et empêche les économies d agglomération. Tous ces choix étatiques conduisent donc à une discrimination en faveur des régions côtières. 2. Des conséquences désastreuses progressivement prises en compte : L indice de Gini est passé en Chine de 0,26 en 1983 à 0,41 en 2003 et cette progression des inégalités est principalement due à l explosion des inégalités régionales. L influence de l Etat est cruciale, et celui ci a réorienté son action. L ouverture de l ensemble du territoire, en lien à l adhésion à l OMC, en est le plus parlant exemple. L Etat déploie, à partir du plan toute une batterie de mesures pour réduire les inégalités régionales : appel aux IDE dans les régions centrales et de l Ouest, programmes de développement industriels L objectif est de favoriser l effet d entraînement des régions de l Est. Une trop grande disparité entre régions fait en effet planer un risque pour la stabilité politique du pays. Au terme de ce travail de réflexion, on peut tirer plusieurs leçons du cas Chinois : bien que les théories traditionnelles ne permettent pas d expliquer l évolution des ces inégalités, elles montrent bien ce rôle positif qui existe entre l ouverture et la croissance. Des théories qui tentent d expliquer l évolution de ces inégalités voient le jour progressivement. La Chine connait effectivement une explosion de ces inégalités internes, que l Etat a largement contribué à renforcer pendant de longues années, et ce pour des raisons à la fois idéologiques et de corruption. Puisque la mondialisation est créatrice de profondes inégalités, c est pourtant bien à l Etat d assurer, d une manière ou d une autre, que le nombre des laissés pour compte soit le plus faible possible.
Les investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détailANALYSE GÉNÉRALE - PROPOSITION DE CORRIGÉ. Exercice 1
ANALYSE GÉNÉRALE - PROPOSITION DE CORRIGÉ OLIVIER COLLIER Exercice 1 Le calcul de la banque. 1 Au bout de deux ans, la banque aurait pu, en prêtant la somme S 1 au taux d intérêt r pendant un an, obtenir
Plus en détailEXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE
EXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE OLIVIER COLLIER Exercice 1 (2012) Une entreprise veut faire un prêt de S euros auprès d une banque au taux annuel composé r. Le remboursement sera effectué en n années par
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailJOURNÉE À THÈME MBA CONDITIONS D IMPLANTATION ET DE COMMERCIALISATION EN CHINE
JOURNÉE À THÈME MBA CONDITIONS D IMPLANTATION ET DE COMMERCIALISATION EN CHINE Jean-Christophe ZWICK 7 mars 1994 Université de Lausanne - MBA HEC IMPLANTATION - CHINE Situation économique et politique
Plus en détailLE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS
LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS PEKIN TOKYO SHANGHAI NEW DELHI AHMEDABAD BANGALORE SHENZHEN
Plus en détailLa mondialisation est-elle encore porteuse de croissance?
Conférence de macroéconomie de M. F. Bittner, 25 mars 2009 Florian Cahagne La mondialisation est-elle encore porteuse de croissance? La mondialisation, que l on peut définir comme l émergence de marchés
Plus en détailDe quoi dépendent les taux de change? Si déficit dans les échanges extérieurs M>X demande de devises étrangères contre la monnaie nationale > offre
De quoi dépendent les taux de change? Si déficit dans les échanges extérieurs M>X demande de devises étrangères contre la monnaie nationale > offre de devises étrangères contre monnaie nationale dépréciation
Plus en détailPropension moyenne et marginale
Propension moyenne et marginale Les ménages utilisent leur revenu soit pour consommer (tout de suite), soit pour épargner (et consommer plus tard). On appelle propension moyenne à consommer (PMC) la part
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailI) L ouverture des économies à l international
L autarcie s oppose au système du libreéchange. I) L ouverture des économies à l international A) La mesure des échanges de biens et services. La balance des transactions courantes. Cette balance retrace
Plus en détailProgramme «Société et Avenir»
Programme «Société et Avenir» Rapport final volet «Synthèse de recherche» 1 CONTRAT DE RECHERCHE : TA/00/23 ACRONYME DU PROJET : REFBARIN TITRE : «RÉFORME DU MARCHÉ DES BIENS ET SERVICES, NÉGOCIATION SALARIALE
Plus en détailImpact économique de l industrie canadienne du camping et analyse des tendances SOMMAIRE EXÉCUTIF. www.ccrvc.ca
Impact économique de l industrie canadienne du camping et analyse des tendances SOMMAIRE EXÉCUTIF Le camping est une belle occasion de passer du temps en famille, de créer de beaux souvenirs qui dureront
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailFiche 8 : Libre-échange et protectionnisme
Fiche 8 : Libre-échange et protectionnisme Plan de la fiche 1. Notions de base 2. Problèmes économiques et sociaux 3. Théories et auteurs 4. Repères historiques La croissance économique dans le monde est-elle
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailCoup d œil sur les inégalités de revenus au
Coup d œil sur les inégalités de revenus au Québec L expression «nous les 99 %», qui avait servi de cri de ralliement des mouvements Occupy, résume les préoccupations que soulève la tendance mondiale à
Plus en détailÉtude : Les PME à l heure du travail collaboratif et du nomadisme
Étude : Les PME à l heure du travail collaboratif et du nomadisme Synthèse des principaux enseignements Octobre 2012 sfrbusinessteam.fr FICHE TECHNIQUE DE L ETUDE Echantillon : 300 entreprises de 20 à
Plus en détailSoumission à la consultation pré-budgétaire du Nouveau-Brunswick janvier 2011
1 Soumission à la consultation pré-budgétaire du Nouveau-Brunswick janvier 2011 La Fédération des travailleurs et travailleuses du Nouveau-Brunswick apprécie cette occasion de présenter les priorités budgétaires
Plus en détailEpargne : définitions, formes et finalités.
Epargne : définitions, formes et finalités. 1) Définitions de l épargne. Le dictionnaire Larousse définit l épargne comme une «fraction du revenu individuel ou national qui n est pas affectée à la consommation»,
Plus en détailPOINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE
POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE MESURER LA PRODUCTIVITÉ Productivité du travail : valeur ajoutée / stock d heures travaillées. Elle est simple à calculer et facilement compréhensible.
Plus en détailQu est-ce que le commerce équitable?
FAIR TRADE RULES! Position du mouvement international du commerce équitable en vue de la VI e Conférence Ministérielle de l OMC à Hong Kong Octobre 2005 «Nous, les membres du mouvement international du
Plus en détailCALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING
CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING SÉLECTION DES RISQUES PRÉVISION DES DÉFAUTS SUIVI ET CONTRÔLE Pierre-Louis GONZALEZ Différents types de
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailCHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR. A - Propriétés et détermination du choix optimal
III CHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR A - Propriétés et détermination du choix optimal La demande du consommateur sur la droite de budget Résolution graphique Règle (d or) pour déterminer la demande quand
Plus en détailQuelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage?
Etudes Quelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage? Table des matières Introduction...7 Objectif, méthodologie
Plus en détailChapitre 14 : Commerce international et globalisation
Chapitre 14 : Commerce international et globalisation Jusqu'à présent nous avons décrit les flux de marchandises entre territoires, et la régulation assurée par le SMI. Nous n'avons pas analysé les causes
Plus en détailFiche entreprise : E12
Fiche entreprise : E12 FONCTION ET CARACTÉRISTIQUES / PERSONNE INTERVIEWÉE La personne interviewée a une formation en génie mécanique et agit à titre de directrice de la production, ce qui inclut la responsabilité
Plus en détailLIBRE-ÉCHANGE, MONDIALISATION ET DÉLOCALISATION
LIBRE-ÉCHANGE, MONDIALISATION ET DÉLOCALISATION Cette fiche présente les fondements du libre échange modèle dominant depuis plusieurs siècles. Elle s intéresse ensuite au phénomène de délocalisation pour
Plus en détailThème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale
Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailRégime de l utilisation de terres en Chine
Régime de l utilisation de terres en Chine La première Constitution chinoise en 1954 a stipulé qu en Chine le sol en milieu urbain appartient à l État, en milieu rural il appartient aux collectivités locales.
Plus en détailAMbition éolien 2012. L énergie éolienne. renouvelable, compétitive et créatrice d emplois
AMbition éolien 2012 L énergie éolienne renouvelable, compétitive et créatrice d emplois Sortons de la crise avec l énergie de l avenir La filière éolienne entend être demain un des fleurons de l industrie
Plus en détailL'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance. Application à la liaison Grenoble Sisteron
L'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance Application à la liaison Grenoble Sisteron **** 1 Sommaire Introduction : les facteurs de développement
Plus en détailCHARTE EGALITE HOMME FEMME
CHARTE EGALITE HOMME FEMME Information : Afin de limiter les effets liés à l éloignement prolongé de la vie de l Entreprise et faciliter le retour dans son activité professionnelle, Whirlpool s engage
Plus en détailLa gestion de l offre dans le secteur laitier, un mode de régulation toujours pertinent SOMMAIRE. Daniel-Mercier GOUIN
Groupe de recherche en économie et politique agricoles, Département d économie agroalimentaire et des sciences de la consommation, Université Laval SOMMAIRE PRÉAMBULE Daniel-Mercier Gouin est directeur
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailLe point de vue de l UNSA
Le point de vue de l UNSA La GPEC, une opportunité pour le dialogue social dans l entreprise La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est devenue objet de négociation dans l entreprise
Plus en détailL emploi des seniors
L emploi des seniors dans la branche des laboratoires de biologie médicale Observatoire des métiers des Professions Libérales 52 56 rue Kléber 92309 LEVALLOIS PERRET Cedex Tél. 01 46 39 38 64 Fax 01 46
Plus en détailDIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à :
Le Manitoba en bref Le Manitoba : Province du Canada depuis 1870. Manitoba signifie «lieu où vit l Esprit» dans les langues des peuples autochtones de la province. Chef politique : Premier ministre (Greg
Plus en détailComprendre et profiter facilement du Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (C.I.C.E.)
Comprendre et profiter facilement du Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (C.I.C.E.) Qu est-ce que le C.I.C.E.? Le pour la compétitivité et l emploi (C.I.C.E) est un avantage fiscal qui a pour
Plus en détailObjet : Présentation des résultats des recherches sélectionnées dans le cadre de l appel à projets de recherche «Mobilité Professionnelle».
Ministère de l Economie, de l Industrie et de l Emploi Ministère du Travail, des Relations Sociales, de la Famille, de la Solidarité et de la Ville Direction de l animation de la recherche, des études
Plus en détailLa place des seniors dans le bénévolat
La place des seniors dans le bénévolat On sait que les seniors jouent un rôle très important dans le bénévolat, notamment en qualité d élus aux seins des associations, bénéficiant de l expérience qu ils
Plus en détailRelocaliser la production industrielle, est-ce possible? Le retour du Made In France
Relocaliser la production industrielle, est-ce possible? Le retour du Made In France Cycle Innovation & Connaissance 54 petit déjeuner Pr. Jacques COLIN 22 janvier 8h30-10h Grasse Animatrice : Valérie
Plus en détailLe RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions
27 novembre 213 N 5 Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions La Chine semble vouloir développer le poids du RMB comme monnaie internationale, aussi bien financière que
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailPRIX DE CESSION DES 100 DERNIERES TRANSACTIONS DE CABINETS DENTAIRES
PRIX DE CESSION DES 100 DERNIERES TRANSACTIONS DE CABINETS DENTAIRES étudiées par Interfimo Edition de janvier 2015 disponible sur www.interfimo.fr Toute représentation ou reproduction, intégrale ou partielle,
Plus en détailPRISE MAIN DE GOOGLE MAP ET GOOGLE EARTH DANS LE CADRE DE LA PREPARATION ET L EXPLOITATION D UNE JOURNEE DE TERRAIN
Stage CeFEG-TICE EL 2009 PRISE MAIN DE GOOGLE MAP ET GOOGLE EARTH DANS LE CADRE DE LA PREPARATION ET L EXPLOITATION D UNE JOURNEE DE TERRAIN PRESENTATION Objectif technique : Produire un fichier exportable
Plus en détailÉtude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux
Étude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux masseurs kinésithérapeutes libéraux 1 sommaire p 3
Plus en détailAntécédents de crédit Banque Bon d études canadien Calendrier des dépenses Carte de crédit Carte de débit CELI Chèque du Gouvernement du Canada
Antécédents de crédit Les renseignements rassemblés qui montrent le temps que cela vous prend à payer l argent que vous avez emprunté. Banque Une institution financière qui dépose de l argent, prête de
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailQu est-ce que le C.I.C.E.?
Qu est-ce que le C.I.C.E.? L article 66 de la loi de finances rectificative pour 2012 n 2012-1510 du 29 décembre 2012, met en place le pour la compétitivité et l emploi (C.I.C.E.). Le C.I.C.E. a pour objectif
Plus en détailLe commerce extérieur de la Suisse en 2013
Le commerce extérieur de la Suisse en 2013 Résumé L excédent commercial suisse affiche un nouveau record en 2013, à 26,6 Mds CHF (environ 4,5% du PIB). Recevant près de 55% des exportations suisses, l
Plus en détailAVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS :
AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : ÉLÉVATION DES PLAFONDS À PARTIR DU 1 ER JANVIER 2002
Plus en détail1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales
Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies
Plus en détailCode du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détailSommaire. - 1 - La méthodologie... 1. - 2 - Les résultats de l'étude... 4
FM N 111528 Contact Ifop : Frédéric Micheau Département Opinion et Stratégies d'entreprise frederic.micheau@ifop.com 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 pour Les Français
Plus en détailLE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU
LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU RÉSUMÉ Une étude de Tristat Resources commandée par l Institut Broadbent démontre que la majorité des
Plus en détailLa nuit des RH LIVRET TEMPS PARTAGÉ. Avril 2015 - Direction marketing & communication Groupe IGS. En partenariat avec
La nuit des RH LIVRET TEMPS PARTAGÉ En partenariat avec Avril 2015 - Direction marketing & communication Groupe IGS 4 MÉMENTO Dans le cadre d un projet d étude collectif, notre promotion a effectué un
Plus en détailL éducation au Québec : L état de la situation
Préscolaire Primaire Secondaire Collégial Universitaire 43101 45 509 93969 68 331 110 297 151 845 241019 251 612 240 980 251 237 L éducation au Québec : L état de la situation L éducation est un des sujets
Plus en détailChapitre 1 : Évolution COURS
Chapitre 1 : Évolution COURS OBJECTIFS DU CHAPITRE Savoir déterminer le taux d évolution, le coefficient multiplicateur et l indice en base d une évolution. Connaître les liens entre ces notions et savoir
Plus en détailRetentissement de la réforme de l'ircantec 2008 sur la retraite des Praticiens Hospitaliers.
Retentissement de la réforme de l'ircantec 2008 sur la retraite des Praticiens Hospitaliers. Dr Raphaël BRIOT ; Dr Jean GARRIC Syndicat National des Praticiens Hospitaliers d'anesthésie-réanimation RÉSUMÉ
Plus en détailCECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique. Les Français, leur épargne et leur retraite
CECOP Centre d études et de connaissances sur l opinion publique Les Français, leur épargne et leur retraite FD/EP N 113015 Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Esteban Pratviel Département Opinion et Stratégies
Plus en détailAUTOMOBILE ET SPORTIVE D.A.S. COVEA RISKS, COVEA FLEET M.M.A IARD SA, M.M.A. VIE SA
ACCCORD SUR L EGALITE PROFESSIONNELLE DE L U.E.S. : La MUTUELLE DU MANS ASSURANCES I.A.R.D. M.M.A. I.A.R.D. La MUTUELLE DU MANS ASSURANCES VIE M.M.A. VIE La DEFENSE AUTOMOBILE ET SPORTIVE D.A.S. COVEA
Plus en détailCommun à tous les candidats
EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle
Plus en détailObservatoire des politiques publiques :
Observatoire des politiques publiques : Les Français et l économie sociale et solidaire Sondage Ifop pour Acteurs Publics Contact Ifop : Damien Philippot Directeur des Etudes Politiques Département Opinion
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailLe financement de l apprentissage informel
Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur
Plus en détailECONOMIE GENERALE LES ECHANGES EXTERIEURS
IUFM AUVERGNE ECONOMIE - GESTION Cours de Mr DIEMER ECONOMIE GENERALE 3 ème PARTIE : LES MOTEURS DE LA CROISSANCE MOTS CLES CHAPITRE 11 LES ECHANGES EXTERIEURS - Balance commerciale, des capitaux, des
Plus en détailIntervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***
Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention
Plus en détailSUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION
DOSSIER RETRAITES: MAI 2003 SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION 1. LE SYSTEME DE RETRAITES PAR REPARTITION 1.1. INTRODUCTION Les régimes de retraites des travailleurs
Plus en détailLes paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison?
Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? 2013 : scénarios pour l économie française Scénario central 80% de probabilité
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailUne étude de différentes analyses réalisées par le BIT
Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses
Plus en détailLe parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse
Le parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse Cet article présente les premiers résultats d un projet de recherche qui étudie le parcours professionnel de personnes confrontées au chômage
Plus en détailDébat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»
Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français
Plus en détailL IMPACT DES DÉLOCALISATIONS SUR L'EMPLOI : PROBLÈMES DE MESURE ET IMPLICATIONS POLITIQUES
L IMPACT DES DÉLOCALISATIONS SUR L'EMPLOI : PROBLÈMES DE MESURE ET IMPLICATIONS POLITIQUES Version préliminaire : prière de ne pas citer sans l autorisation préalable de l auteur Thomas Hatzichronoglou
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailCREER ET DEVELOPPER SON ACTIVITE EN PORTAGE SALARIAL L ENTREPRISE AUTREMENT!
CREER ET DEVELOPPER SON ACTIVITE EN PORTAGE SALARIAL L ENTREPRISE AUTREMENT! SOMMAIRE Définition du portage salarial Une activité bordée par la loi Qui est concerné par le portage salarial Les atouts pour
Plus en détailÊtre agriculteur aujourd'hui
Être agriculteur aujourd'hui Jacques ABADIE sociologue INP-ENSAT Action conduite avec le concours financier de : l'adar VIVEA l'union Européenne FEOGA Etre agriculteur aujourd hui Comprendre ce qu est
Plus en détailEtude réalisée en partenariat avec le réseau de CMA et la CRMA de Bretagne, le syndicat Mixte MEGALIS et la Région Bretagne
Etude réalisée en partenariat avec le réseau de CMA et la CRMA de Bretagne, le syndicat Mixte MEGALIS et la Région Bretagne Cet article présente les principaux résultats de l enquête OPSIS de Marsouin
Plus en détailComprendre et profiter facilement du Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (C.I.C.E.)
Comprendre et profiter facilement du Crédit d Impôt pour la Compétitivité et l Emploi (C.I.C.E.) Qu est-ce que le C.I.C.E.? Le pour la compétitivité et l emploi (C.I.C.E) est un avantage fiscal qui a pour
Plus en détailIntroduction : pour une refonte générale de notre système de retraite
Introduction : pour une refonte générale de notre système de retraite Conséquence de l empilement des régimes et de modes de calculs complexes, nul ne sait exactement quels seront ses droits à la retraite.
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailL ÉCHO de GUSTAVE La Page d Economie du Lycée Gustave Eiffel de Budapest
L ÉCHO de GUSTAVE La Page d Economie du Lycée Gustave Eiffel de Budapest Atelier de la classe de premiere en Sciences Economiques & Sociales Revue de presse économique, politique et sociale française Janvier
Plus en détailLES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL :
LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL : UN PARTENARIAT POUR BÂTIR DES COLLECTIVITÉS PLUS FORTES, PLUS PROSPÈRES ET PLUS DYNAMIQUES Mémoire prébudgétaire présenté par Imagine
Plus en détailUNE MUTUELLE POUR TOUS
Direction de la communication Tél. : 05 59 46 60 40 Courriel : communication@bayonne.fr Le 15 décembre 2014 COMMUNIQUÉ DE PRESSE UNE MUTUELLE POUR TOUS LA PROPOSITION DE LA VILLE DE BAYONNE POUR UN EGAL
Plus en détailLa rémunération de l apprenti :
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailBaromètre sur le financement et
pour Baromètre sur le financement et - Vague 17 - Contacts : Flore- Aline Colmet Daâge / Guillaume Chevalier 2013 Note méthodologique Etude réalisée pour : KPMG et CGPME Echantillon : Echantillon de 402
Plus en détailL arbitrage entre consommation et épargne Activités pour l élève
L arbitrage entre consommation et épargne Activités pour l élève Introduction Document DU 1 REVENU : Du revenu PRIMAIRE primaire au AU revenu REVENU disponible DISPONIBLE SERVICES PUBLICS Education Santé
Plus en détailEn collaboration avec GROUPE ACTICONSEIL. Epargne salariale, assurances, retraite collective Quelles opportunités pour votre activité?
HSBC Intervention du 18 janvier 2011 En collaboration avec GROUPE ACTICONSEIL Epargne salariale, assurances, retraite collective Quelles opportunités pour votre activité? Les enjeux sociaux et patrimoniaux
Plus en détailCARTOGRAPHIE DE L EMPLOI SUR LINKEDIN EN FRANCE
ANALYSE LINKEDIN / ODOXA CARTOGRAPHIE DE L EMPLOI SUR LINKEDIN EN FRANCE Principaux enseignements L analyse proposée par Odoxa avec LinkedIn sur l emploi à partir de données chiffrées portant sur l ensemble
Plus en détailCHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES
CHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES PLAN ET RÉFÉRENCES Plan du chapitre I. Circuit et équilibre macro-économique II. La consommation et l épargne III. L investissement Références Généreux (2) Mankiw
Plus en détailSOCIETE MAROCAINE D ASSURANCE A L EXPORTATION
SOCIETE MAROCAINE D ASSURANCE A L EXPORTATION LA SMAEX, INSTRUMENT DE SÉCURISATION DES EXPORTATIONS Nezha LAHRICHI Présidente Directrice Générale 02 Novembre 2009 1 A propos de la SMAEX: Exporter c est
Plus en détailCOPROPRIETE LES CHARGES DE COPROPRIETE C.S.A.B COLLECTION CE QUE TOUT PROPRIÉTAIRE OU COPROPRIÉTAIRE DOIT CONNAÎTRE
COPROPRIETE LES CHARGES DE COPROPRIETE COLLECTION CE QUE TOUT PROPRIÉTAIRE OU COPROPRIÉTAIRE DOIT CONNAÎTRE C.S.A.B L a crise économique a conduit les professionnels et les copropriétaires à se pencher
Plus en détail