Politique de promotion et de soutien à l allaitement maternel

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Politique de promotion et de soutien à l allaitement maternel"

Transcription

1 POLITIQUE POL-DSPEJF-01 ÉMETTEUR : APPROUVÉ PAR : Politique de promotion et de soutien à l allaitement maternel Direction des services et des programmes aux enfants, aux jeunes et à leur famille Conseil d administration DATE D ENTRÉE EN VIGUEUR : 2007/07/18 DATE DE RÉVISION PRÉVUE : 2015 DATE DE RÉVISION : 2011/01/26 CODE DE CLASSIFICATION : ADM-314 ORIGINAL SIGNÉ PAR : Diane Gingras, présidente du conseil d administration Table des matières 1. Préambule 2. Énoncé 3. Cadre juridique 4. Principes généraux 5. Objectifs 6. Paramètres d application 6.1 Communication de la politique d allaitement maternel 6.2 Éducation et formation des professionnels de la santé 6.3 Information sur les bienfaits et la pratique de l allaitement maternel 6.4 La pratique, le maintien et la poursuite de l allaitement maternel 7. Champs d application 8. Responsabilités 8.1 Conseil d administration 8.2 Le directeur général 8.3 La Direction des services et des programmes spécifiques aux enfants, aux jeunes et à leur famille Responsabilités transversales globales Responsabilités internes au secteur Comité en périnatalité Répondante en allaitement maternel 8.4 La Direction des services généraux et des programmes spécifiques aux personnes adultes 8.5 La direction des services professionnels et du partenariat médical 8.6 La responsable des services sages-femmes 8.7 La Direction des ressources humaines et informationnelles 8.8 La Direction des ressources matérielles et financières 8.9 Les membres de l organisation PAGE 1 DE 16

2 1. PRÉAMBULE La protection, la promotion et le soutien à l allaitement maternel sont des priorités reconnues tant au niveau national (Santé Canada) qu au niveau international (OMS 1 et UNICEF 2 ). Le MSSS, dans son programme national de santé publique, identifie la mise en place du réseau «Amis des bébés» comme une activité à implanter dans les services de maternité des centres hospitaliers et dans les centres de santé et de services sociaux. L Agence de la santé et des services sociaux de l'estrie en fait une priorité dans son Plan d action régional Dans ce contexte, le CSSS-IUGS, dans son Plan d action local en santé publique , s engage à mettre en place le Programme «Initiative Amis des bébés». 2. ÉNONCÉ L allaitement maternel est largement reconnu comme étant le meilleur mode d alimentation des nourrissons, et ce, tant pour la santé de l enfant que pour celle de la mère. La mise en place du programme «Initiative Amis des bébés» implique que l établissement doit s assurer de rencontrer des normes de pratiques professionnelles et administratives favorisant la protection, la promotion et le soutien à l allaitement maternel. C est ainsi que le CSSS-IUGS doit s assurer de mettre en place les «10 conditions pour le succès de l allaitement». L OMS et l UNICEF ont adopté une déclaration conjointe intitulée «Les 10 conditions pour le succès de l allaitement» qui «veut comprendre le rôle déterminant que les services de santé peuvent jouer pour encourager l allaitement au sein et indique ce qu il faut faire pour apporter aux mères les informations et le soutien nécessaires.» 3 Voici les 10 conditions pour le succès de l allaitement de l OMS et de l UNICEF : 4 1. Adopter une politique d allaitement maternel formulée par écrit et systématiquement portée à la connaissance de tout le personnel soignant; 2. Donner à tout le personnel soignant les compétences nécessaires pour mettre en oeuvre cette politique; 3. Informer toutes les femmes enceintes des avantages de l allaitement au sein et de sa pratique; 4. Aider les mères à commencer d allaiter leur enfant la demi-heure suivant la naissance; 5 5. Indiquer aux mères comment pratiquer l allaitement au sein et comment entretenir la lactation même si elles se trouvent séparées de leur nourrisson; 6. Ne donner aux nouveau-nés aucun aliment, ni aucune boisson autre que le lait maternel, sauf indication médicale; 7. Laisser l enfant avec sa mère 24 heures par jour; 8. Encourager l allaitement à la demande de l enfant; Organisation mondiale de la santé. Fond des nations unies pour l enfance. ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ et UNICEF (1989). Protection, encouragement et soutien de l allaitement maternel. Le rôle spécial des services liés à la maternité, Genève, Organisation mondiale de la santé et UNICEF. MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX (2001). L allaitement maternel au Québec : lignes directrices, Québec, MSSS, Direction des communications, p La condition 4 a été révisée depuis et est maintenant interprétée comme suit : Placer le nouveau-né en contact peau à peau pendant au moins une heure, immédiatement après sa naissance et encourager sa mère à reconnaître les signes montrant que son bébé est prêt à téter (UNICEF/OMS, 2006). PAGE 2 DE 16

3 9. Ne donner aux enfants nourris au sein aucune tétine artificielle ou sucette; 10. Encourager la constitution d associations de soutien à l allaitement maternel et leur adresser les mères dès leur sortie de l hôpital ou de la clinique. Le CSSS-IUGS doit aussi s assurer de respecter le «Code international de commercialisation des substituts du lait maternel». Adopté en 1981 à l assemblée mondiale de la santé par 118 pays, dont le Canada, le code a pour but de contribuer à procurer aux nourrissons une nutrition sécuritaire, saine et adéquate en protégeant et en encourageant l allaitement au sein. Il assure une utilisation correcte des substituts du lait maternel quand ceux-ci sont nécessaires, sur la base d une information adéquate et au moyen d une mise en marché appropriée (OMS, 1981). 6 Voici le résumé du Code international de commercialisation des substituts du lait maternel et des résolutions subséquentes de l assemblée mondiale de la santé : 7 Interdire la promotion des laits artificiels, tétines ou biberons auprès du grand public; Interdire la distribution d échantillons gratuits aux femmes enceintes ou aux parents; Interdire la promotion de ces produits dans le système de soins de santé (pas d échantillons, ni approvisionnement gratuit); Interdire le recours à du personnel payé par les fabricants pour donner des conseils aux parents; Interdire la promotion d aliments commerciaux pour bébés comme les solides en pots, les céréales, les jus, l eau embouteillée afin de ne pas nuire à l allaitement maternel; Exiger que chaque emballage ou étiquette mentionne clairement la supériorité de l allaitement au sein et comporte une mise en garde contre les risques et le coût de l alimentation artificielle; S assurer que les fabricants et les distributeurs fournissent aux professionnels de la santé une information scientifique et se limitant aux faits; S assurer que tous les produits sont de bonne qualité, que la date limite de consommation y est indiquée et que les emballages ne comportent pas des termes comme «humanisé» ou «maternisé»; Afin d éviter les conflits d intérêts, faire en sorte que les professionnels de la santé qui travaillent auprès des nourrissons et des jeunes enfants ne reçoivent pas de soutien financier des compagnies de produits alimentaires pour bébé (ex. : vacances, invitations à des congrès, etc.). 3. CADRE JURIDIQUE La présente politique s appuie sur les orientations formulées par le Comité d accréditation du comité québécois en allaitement de la direction générale des services sociaux du MSSS diffusées en novembre 2004 pour soutenir la mise en place du programme «Initiative Amis des bébés». 4. PRINCIPES GÉNÉRAUX Tous les membres de l établissement, en fonction du rôle qui leur est attribué, doivent contribuer à la protection, la promotion et le soutien à l allaitement maternel. 6 7 ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ, Code international de commercialisation des substituts du lait maternel, Genève, Organisation mondiale de la santé, MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX, L allaitement maternel au Québec : Lignes directrices, Québec, ministère de la Santé et des Services sociaux, Direction des communications, 2001, p. 27. PAGE 3 DE 16

4 Les pratiques professionnelles doivent encourager les décisions fondées sur des données probantes, en veillant à fournir aux parents des renseignements précis et scientifiquement démontrés qui les aideront à faire des choix éclairés. Les mères (incluant les employées) qui allaitent leur bébé sont accueillies chaleureusement dans l établissement. Ainsi, il est publiquement énoncé dans les salles d attente par le résumé de la politique, qu elles peuvent allaiter n importe où et n importe quand et qu on mettra à leur disposition un lieu intime, propre et confortable pour allaiter, si elles le désirent. Compte tenu des multiples enjeux personnels reliés à l allaitement maternel, il est reconnu à chaque famille le droit de faire ses propres choix par rapport au fait d allaiter ou non et par rapport à la durée de l allaitement. Ainsi, quel que soit son choix, chaque famille sera accueillie par le personnel de l établissement et pourra bénéficier de conseils visant à favoriser le développement optimal de son bébé. 5. OBJECTIFS Promouvoir la santé maternelle et infantile en protégeant, encourageant et soutenant l allaitement maternel; Garantir une qualité de services à la clientèle; Assurer la mise en place de toutes les conditions requises pour que l établissement obtienne la certification à l «Initiative Amis des bébés»; Préciser les responsabilités des directions et professionnels concernés. 6. PARAMÈTRES D APPLICATION 6.1 Communication de la politique d allaitement maternel La présente politique est communiquée à l ensemble du personnel, des médecins, des sages-femmes, des résidents, des stagiaires et des bénévoles. Ces personnes reçoivent de l information sur la politique dès leur entrée en fonction. Le résumé de la politique est affiché dans les entrées de chacune de nos installations. La politique détaillée est disponible sur demande. 6.2 Éducation et formation des professionnels sionnels de la santé Les personnes qui interviennent auprès des femmes enceintes, des mères et des enfants reçoivent une formation spécifique et approfondie leur permettant d acquérir les compétences nécessaires à la mise en oeuvre et au respect de cette politique. L enseignement doit être approprié à la description des tâches et au rôle de chacun. La formation de base d un nouveau membre du personnel débute dans les 6 mois suivant son embauche. La formation continue est assurée pour toutes les personnes concernées. 6.3 Information sur les bienfaits et la pratique de l allaitement maternel Durant le suivi de grossesse, lors des rencontres prénatales individuelles et collectives, les femmes enceintes, leur conjoint et leur famille reçoivent de l'information sur les bénéfices de l allaitement pour la santé de la mère et celle de son bébé. L information transmise assure le PAGE 4 DE 16

5 soutien à la prise de décision éclairée face à l allaitement. La documentation remise et les rencontres de groupe sont conformes aux normes de pratique du programme «Initiative Amis des bébés». 6.4 La pratique, le maintien et la poursuite de l allaitement L enseignement ou le soutien offert lors d une consultation à Info-Santé, lors des suivis postnataux, des visites médicales, des visites sages-femmes, des rencontres collectives, des cliniques de vaccination, permet aux mères et à leur famille d acquérir les connaissances et habiletés requises conformément au programme «Initiative Amis des bébés». De plus, l établissement collabore avec les groupes d entraide en allaitement du territoire. 7. CHAMPS D APPLICATION La présente politique concerne spécifiquement les directions et services suivants : Direction des services et des programmes spécifiques aux enfants, aux jeunes et à leur famille (DSPEJF) Direction des services généraux et des programmes spécifiques aux personnes adultes (DSGPSA) Direction des ressources humaines et informationnelles (DRHI) Direction des ressources matérielles et financières (DRMF) Direction des services professionnels et partenariat médical (DSPPM) Service sages-femmes Elle concerne en premier lieu tous les membres du personnel, les médecins, sages-femmes, résidents, étudiants, stagiaires et bénévoles de l établissement qui sont en lien avec des femmes enceintes, des mères, des enfants et leur famille. Elle concerne également tous les autres membres du personnel. Évidemment, le niveau d implication de l un ou l autre groupe diffère selon leurs rôles et fonctions. 8. RESPONSABILITÉS 8.1 Conseil d administration Le conseil d administration adopte la présente politique. 8.2 Le directeur général Le directeur général est responsable de la mise en place du programme «Initiative Amis des bébés». À cet égard, il : Nomme une direction responsable de coordonner le plan d action visant l implantation, le suivi et l évaluation du programme. 8.3 La Direction des services et des programmes aux enfants, aux jeunes et à leur famille RESPONSABILITÉS TRANSVERSALES GLOBALES Mobilise les directions concernées vers l atteinte des objectifs du programme «Initiative Amis des bébés»; PAGE 5 DE 16

6 Coordonne le plan d action en vue de l implantation du programme «Initiative Amis des bébés»; Assure le suivi et l évaluation continue du programme; Coordonne les actions en vue de l obtention et du maintien de la certification de l établissement; Met en place et assure le suivi de moyens de contrôle pour assurer le respect du Code international de commercialisation des substituts du lait maternel; Assure le suivi de la mise en place de la présente politique RESPONSABI ESPONSABILITÉS INTERNES À LA DIRECTION Assure le développement et la mise à jour des compétences de tous les membres de son personnel, concernés par le plan de formation continue, soit le personnel œuvrant au sein des programmes et services suivants : liaison postnatale, le programme intégré d interventions préventives en périnatalité et petite enfance; Encadre les pratiques professionnelles de telle sorte que les interventions en regard de l allaitement maternel soient effectivement menées au sein de ces services et qu elles soient conformes aux orientations du programme «Initiative Amis des bébés»; Assure la participation de professionnels au comité en périnatalité; Assure la diffusion de la présente politique de telle sorte qu elle puisse être consultée sur demande par les femmes et leur famille. Assure l application des procédures suivantes au sein de ses services : Procédure de supplémentation des bébés allaités; Procédure pour l achat des substituts du lait maternel en dépannage pour la clientèle; Procédure de prêt du tire-lait manuel; Procédure du prêt du tire-lait électrique; Procédure gratuité d une téterelle; Procédure gratuité des compresses hydrogel d allaitement; Procédure visant à favoriser la poursuite de l allaitement maternel au moment du retour au travail de la sage-femme ou de l employée qui allaite LE COMITÉ EN PÉRINATALITÉ SOUS LA COORDINATION DE LA CHEF D ADMINISTRATION DE PROGRAMMES RESPONSABLE DES SERVICES EN PÉRINATALITÉ DE LA DSPEJF, CE COMITÉ A POUR MANDAT (TEL QU ADOPTÉ PAR LE COMITÉ DE DIRECTION DU CLSC DE SHERBROOKE LE 6 MAI 2003) : «Favoriser la mise en place d un lieu de concertation et d échange d informations entre les professionnels de l établissement autour des meilleures pratiques en services périnataux ; Identifier les volets de services devant faire l objet d harmonisation dans le but de clarifier l offre de service auprès de la population; PAGE 6 DE 16

7 Déterminer les approches et valeurs devant être véhiculées dans l établissement en regard de l allaitement, l implication des pères, l approche de la clientèle immigrante, l alimentation de la femme enceinte, etc.; Explorer, déterminer et mettre en place les arrimages souhaités entre les équipes dispensatrices de services périnataux; Implanter le programme «Initiative Amis des bébés» tel qu énoncé dans le «Programme national de santé publique».» LA RÉPONDANTE EN ALLAITEMENT MATERNEL SOUS LA RESPONSABILITÉ DE LA CHEF D ADMINISTRATION DE PROGRAMMES RESPONSABLE DES SERVICES EN PÉRINATALITÉ DE LA DSPEJF, LA RÉPONDANTE EN ALLAITEMENT SUR LE PLAN ORGANISATIONNEL : Coordonne la mise en oeuvre, conçoit une stratégie d implantation et assure le suivi relatif aux diverses étapes de l implantation du programme «Initiative Amis des bébés» dans l établissement; S assure que les employés, les médecins et les sages-femmes, les bénévoles, les stagiaires et le nouveau personnel, dès leur embauche, connaissent la politique d allaitement maternel; S assure que la politique, version abrégée, soit affichée dans toutes les salles d attente dans les deux langues officielles; S assure que la version intégrale de la politique puisse facilement être consultée sur demande; Met en place, de concert avec le comité en périnatalité, des activités, des stratégies visant la promotion de l allaitement maternel (ex : activités durant la semaine mondiale de l allaitement); S assure du respect du Code international de commercialisation des substituts du lait maternel en collaboration avec les gestionnaires concernés; Fait des liens avec la répondante régionale en allaitement de l Agence de la santé et des services sociaux de l Estrie (ASSSE), les gestionnaires et le personnel concerné à l intérieur de l établissement et avec les partenaires du réseau; S assure que la liste des ressources en allaitement sur le territoire soit à jour et accessible; s assure qu une documentation précisant les liens entre le CSSS et les autres ressources de la communauté soit disponible; Réalise des activités de promotion de l allaitement auprès des partenaires (du réseau de la santé et des services sociaux, et intersectoriels), des médecins et dans la communauté. SUR LE PLAN DE LA FORMATION ET DU MAINTIEN DES COMPÉTENCES : Identifie les besoins de formation pour les personnes concernées en ce qui a trait au programme «Initiative Amis des bébés» et à l allaitement maternel et voit à ce que ces besoins soient répondus en collaboration avec les gestionnaires concernés et la DRHI; Supervise l ensemble de la démarche de formation en lien avec le programme «Initiative Amis des bébés» et assure les liaisons requises tant à l interne qu à l externe; PAGE 7 DE 16

8 Sensibilise au respect du Code international de commercialisation des substituts du lait maternel; Soutient le développement des compétences des personnes en lien avec les femmes enceintes, les mères, les enfants et leur famille, par la mise à jour continue des connaissances et des habiletés; Facilite la concertation des établissements et des organismes en matière d allaitement maternel, en vue d assurer l harmonisation des pratiques et la continuité des services. SUR LE PLAN CLINIQUE : Assure le développement et la mise à jour des outils, protocoles et procédés de soins requis pour soutenir une pratique professionnelle conforme au programme; Agit comme personne-ressource en ce qui concerne l allaitement maternel pour les professionnels de l établissement; Offre du soutien clinique auprès de la clientèle présentant des situations particulières (allaitement maternel difficile); Élabore et assure la mise à jour d un plan d enseignement ou d information destiné aux parents et conforme aux orientations du programme; Évalue l intégration des connaissances du programme «Initiative Amis des bébés» dans la pratique auprès de toutes les personnes concernées et le cas échéant, recommande aux gestionnaires les suivis requis. 8.4 La Direction des services généraux et des programmes spécifiques aux personnes adultes Assure le développement et la mise à jour des compétences de tous les membres de son personnel, concernés par le plan de formation continue, soit le personnel œuvrant au sein des services suivants : Info-Santé, services de santé courants et soins à domicile court terme, services sages-femmes, (assistantes natales, personnel de soutien); Encadre les pratiques professionnelles de telle sorte que les interventions en regard de l allaitement maternel soient effectivement menées et qu elles soient conformes aux orientations du programme «Initiative Amis des bébés»; Assure la diffusion de la présente politique de telle sorte qu elle puisse être consultée sur demande par les femmes et leur famille. Assure l application des procédures suivantes au sein de ses services : Procédure de soutien à l allaitement maternel en postnatal pour des situations particulières de problèmes de santé chez une mère allaitante; Procédure pour l achat des substituts du lait maternel en dépannage pour la clientèle; Procédure visant à favoriser la poursuite de l allaitement maternel au moment du retour au travail de la sage-femme ou de l employée qui allaite. PAGE 8 DE 16

9 8.5 La direction des services professionnels onnels et du partenariat médical Soutien le développement et la mise à jour des compétences de tous les médecins et infirmières des GMF du territoire œuvrant dans le domaine de la périnatalité et de la pédiatrie, et du personnel de soutien sous sa responsabilité; Encadre les pratiques professionnelles des médecins, des infirmières et les pratiques du personnel de soutien de telle sorte que les interventions en regard de l allaitement maternel soient effectivement menées et qu elles soient conformes aux orientations du programme «Initiative Amis des bébés»; Assure la diffusion de la présente politique de telle sorte qu elle puisse être consultée sur demande par les femmes et leur famille; Assure la participation d un médecin de chaque GMF au comité en périnatalité. Assure l application des procédures suivantes au sein de ses services : Procédure de supplémentation des bébés allaités; Procédure pour l achat des substituts du lait maternel en dépannage pour la clientèle; Procédure visant à favoriser la poursuite de l allaitement maternel au moment du retour au travail de la sage-femme ou de l employée qui allaite. 8.6 La responsable des services sages-femmes Assure le développement et la mise à jour des compétences des sages-femmes; Encadre les pratiques professionnelles de telle sorte que les interventions en regard de l allaitement maternel soient effectivement menées par les sages-femmes et qu elles soient conformes aux orientations du programme «Initiative Amis des bébés»; Assure la diffusion de la présente politique de telle sorte qu elle puisse être consultée sur demande par les femmes et leur famille; Assure la participation d une sage-femme au comité en périnatalité. Assure l application des procédures suivantes au sein de ses services : Procédure sur les raisons médicales acceptables pour séparer la mère de son bébé; Procédure de supplémentation des bébés allaités; Procédure pour l achat des substituts du lait maternel en dépannage pour la clientèle; Procédure visant à favoriser la poursuite de l allaitement maternel au moment du retour au travail de la sage-femme ou de l employée qui allaite. PAGE 9 DE 16

10 8.7 La Direction des ressources humaines et informationnelles Soutient la mise en place d un plan de formation spécifique et récurrent à chaque catégorie d intervenants correspondant aux exigences du programme «Initiative Amis des bébés» telles que définies dans la documentation de référence (annexe II) en collaboration avec la répondante en allaitement. Remet à chaque nouvel employé au moment de l embauche, le guide d information «Initiative des amis des bébés» du CSSS-IUGS Assure l application de la procédure suivante au sein de ses services : Procédure visant à favoriser la poursuite de l allaitement maternel au moment du retour au travail de la sage-femme et de l employée qui allaite. 8.8 La Direction des ressources matérielles et financières Assure, dans les plans d aménagement des locaux, la prise en compte de l accès à un lieu intime, propre et confortable pour les femmes qui désirent allaiter, incluant les employées. Assure l application des procédures suivantes au sein de ses services : Procédure de vérification des revues dans les salles d attente du CSSS-IUGS; Procédure visant à favoriser la poursuite de l allaitement maternel au moment du retour au travail de la sage-femme et de l employée qui allaite. 8.9 Les membres du personnel Tous les membres de l établissement collaborent dans leurs champs de responsabilités au respect de la politique d allaitement; Tous les membres du personnel, médecins, sages-femmes, résidents, étudiants, stagiaires et bénévoles de l établissement qui sont concernés par l accueil ou les services professionnels auprès des femmes enceintes, des mères, des enfants et leur famille doivent connaître la présente politique, adopter une pratique professionnelle conforme au programme «Initiative Amis des bébés», assurer la mise à jour de leurs connaissances conformément au plan de formation de l établissement et respecter le Code international de commercialisation des substituts du lait maternel. ANNEXES : I. DÉFINITION DES TERMES II. COMPÉTENCES MINIMALES ATTENDUES SELON LA CATÉGORIE D INTERVENANTES III. PROCÉDURE DE SOUTIEN À L ALLAITEMENT MATERNEL EN POSTNATAL POUR DES SITUATIONS PARTICULIÈRES DE PROBLÈMES DE SANTÉ CHEZ UNE MÈRE ALLAITANE MOTS CLÉS : ALIMENTATION, ALLAITEMENT, ALLAITER, BÉBÉS, IAB, INITIATIVE DES AMIS DES BÉBÉS, LAIT MATERNEL, PÉRINATALITÉ, SOUTIEN. DIFFUSÉ À : GESTIONNAIRES, PRÉSIDENT DU CONSEIL MULTIDISCIPLINAIRE, PRÉSIDENTE DU CONSEIL DES INFIRMIÈRES ET INFIRMIERS, PRÉSIDENTE DU CONSEIL DES INFIRMIÈRES ET INFIRMIERS AUXILIAIRES, PRÉSIDENTE DU CONSEIL DES SAGES-FEMMES, PRÉSIDENTE DU CONSEIL DES MÉDECINS, DENTISTES ET PHARMACIENS : U:\Documents\L GOULET\ALLAITEMENT\PROTOCOLES- PROCÉDURES-MÉTHODE DE SOINS\POL-DSPEJF-01 - Politique de promotion et de soutien à l'allaitement maternel (révision 2010).doc PAGE 10 DE 16

11 9. RÉFÉRENCES AGENCE DE LA SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE L'ESTRIE ET EN COLLABORATION AVEC LES FORMATIONS CO-NAÎTRE, L allaitement maternel programme de formation de la région de l Estrie, Sherbrooke, 2010, Modules 1 à 7. CLSC DE SHERBROOKE, Plan d action local de santé publique du territoire de Sherbrooke , Cahier 1 - Périnatalité et petite enfance, 23 p. MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX, L allaitement maternel au Québec : lignes directrices, Québec, ministère de la Santé et des Services sociaux, Direction des communications, 2001, 75 p. MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX, Programme national de santé publique , Québec, ministère de la Santé et des Services sociaux, 2003, 133 p. RÉGIE RÉGIONALE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE L ESTRIE, Plan d action régional de santé publique de l Estrie, , Cahier 1 (1.1.1), 106 p. PAGE 11 DE 16

12 Allaitement à la demande 1 ANNEXE I DÉFINITION DES TERMES T Façon d allaiter selon laquelle l enfant est mis au sein fréquemment et chaque fois qu il démontre des signes de faim, par opposition à un allaitement «avec horaire». En Estrie, nous parlons plutôt des signes d éveil du bébé au lieu des signes de faim. Allaitement maternel exclusif 1 Mode d alimentation où le nourrisson allaité ne reçoit aucun autre aliment ni boisson (y compris de l eau), à l exception de médicaments et de gouttes de vitamines ou de sels minéraux lorsqu ils sont nécessaires. Le lait maternel exprimé de la mère est également accepté. Aliments complémentaires 1 Mode d alimentation où des aliments sont ajoutés à l alimentation de l enfant, en complément au lait maternel (ou à la préparation commerciale) et non pour le remplacer. Contact peau à peau 2 Contact du bébé nu (ou vêtu au plus d une couche) porté ou couché contre la peau de sa mère, de son père ou d une autre personne. Données probantes 3 Les données probantes sont les renseignements qui se rapprochent le plus des faits d'un sujet. La forme qu'elles prennent dépend du contexte. Les résultats de recherches de haute qualité, qui reposent sur une méthodologie appropriée, sont les données probantes les plus précises. Comme les recherches sont souvent incomplètes et parfois contradictoires ou non disponibles, d'autres catégories de renseignements sont nécessaires pour les compléter ou les remplacer. Les données probantes constituant la base sur laquelle se fonde une décision sont composées de multiples formes de données, combinées de manière à établir un équilibre entre rigueur et convenance, le premier de ces deux aspects étant toutefois préféré au deuxième. Périnatalité La période de périnatalité, selon la politique de périnatalité, commence lors de la prise de décision d avoir un enfant ou, lors de sa conception et s étend jusqu à la période d un an. Poursuite de l allaitement maternel 4 Fait de continuer à allaiter jusqu à l âge de 2 ans et au-delà, avec l introduction d aliments complémentaires sains et appropriés au menu de l enfant dès l âge de 6 mois environ BEAUDRY, Micheline, Sylvie CHIASSON et Julie LAUZIÈRE. Biologie de l allaitement, le sein, le lait, le geste, Québec, Presse de l Université du Québec, 2006, p. XLI. COMITÉ CANADIEN POUR L ALLAITEMENT, L Initiative des Amis des bébés dans les services de la santé communautaire : Guide canadien de mise en œuvre, Toronto, 2003, p FCRSS Fondation canadienne de la recherche sur les services de santé. COMITÉ CANADIEN POUR L ALLAITEMENT, L Initiative des Amis des bébés dans les services de la santé communautaire : Guide canadien de mise en œuvre, Toronto, 2003, p PAGE 12 DE 16

13 Promotion de l allaitement maternel 4 Le fait pour le personnel des services de santé communautaire, les bénévoles, le système de santé dans son ensemble et la collectivité d être bien informés des bienfaits de l allaitement maternel et de créer des occasions de le mettre en valeur. Protection de l allaitement maternel 4 Le fait pour toutes les femmes d être capables de prendre des décisions éclairées sur l alimentation de leur bébé, à l abri des pratiques de commercialisation de l industrie des substituts du lait maternel et le fait que leur droit d allaiter partout et en tout temps soit protégé (Santé Canada, 2002). Soutien à l allaitement maternel 4 Signifie que les femmes reçoivent de l information et de l aide de tous les secteurs de la collectivité pour surmonter les obstacles à l allaitement maternel qu elles vivent ou qu elles perçoivent (Santé Canada, 2002). Substitut du lait maternel 4 Désigne tout aliment commercialisé ou présenté d une quelconque manière comme produit de remplacement partiel ou total du lait maternel, qu il convienne ou non à cet usage, notamment les préparations commerciales pour nourrisson, le lait entier, le lait de vache condensé, les jus, les tisanes, l eau sucrée et les aliments solides (OMS et UNICEF, 2001). PAGE 13 DE 16

14 ANNEXE II COMPÉTENCES MINIMALES ATTENDUES SELON LA CATÉGORIE D INTERVENANTES 5 1. Tout membre du personnel, tout médecin/sage-femme, bénévole ou stagiaire (selon le type et la durée du stage), doit pouvoir : Connaître l existence d une politique d allaitement dans le centre; Nommer un endroit dans le centre où cette politique est affichée; Décrire en quoi cette politique le concerne; Nommer une ressource dans le centre vers qui diriger les personnes qui désirent des informations sur l allaitement ou sur la politique d allaitement du centre. 2. Tout membre du personnel, tout médecin/sage-femme travaillant auprès de gestantes, de parturientes, de nouvelles mères, de nouveau-nés ou de nourrissons, mais ne donnant pas de soins directs en allaitement, doit pouvoir, en plus des compétences acquises en 1 : Décrire comment il peut conseiller des parents ou des intervenants dans la décision d allaiter, le démarrage et la poursuite de l allaitement selon les recommandations; Expliquer ce qu est l Initiative Amis des bébés (IAB) et comment elle cible la protection, l encouragement et le soutien de l allaitement maternel; Expliquer les dix conditions pour le succès de l allaitement et les sept étapes en milieu communautaire; Respecter le Code international de commercialisation des substituts du lait maternel et les aspects éthiques qui s y rattachent; Connaître les facteurs influençant la production lactée; Décrire les pratiques favorisant/nuisant à l allaitement, surtout dans ses responsabilités propres comme intervenante; Nommer les personnes-ressources compétentes en gestion de l allaitement dans le centre et savoir comment leur diriger des mamans qui allaitent; Reconnaître/intervenir adéquatement lors de difficultés d allaitement telles la mastite, les infections à Candida, etc. ou lors de maladies de la mère qui allaite ou de son bébé allaité (exclusivement pour le médecin qui traite des mères et des bébés allaités de façon occasionnelle, par exemple, urgence, unité de médecine ou de chirurgie ). 3. Tout membre du personnel, toute sage-femme prodiguant des soins directs aux mamans qui allaitent et/ou à leur nouveau-né, doit pouvoir, en plus des compétences acquises en 1 et en 2 : Démontrer les éléments essentiels à l établissement et au maintien d une relation d aide respectueuse avec les mamans qui allaitent; Décrire le mécanisme de succion au sein et au biberon et en connaître les différences; Démontrer la prise du sein et la position adéquate de la mère et du bébé lors de la tétée; Démontrer son habileté à évaluer adéquatement la prise du sein chez le bébé allaité; 5 COMITÉ QUÉBÉCOIS EN ALLAITEMENT (CQA) ET MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DU QUÉBEC, L Initiative des Amis des bébés (IAB) : outil d information pour les établissements mission CLSC, Québec, novembre 2004, p PAGE 14 DE 16

15 Reconnaître/intervenir adéquatement lors de difficultés d allaitement tels la chirurgie mammaire, l engorgement, la mastite, les gerçures/crevasses, les difficultés dans la prise du sein, le frein court de la langue, le muguet, etc.; Respecter ou tenter de faire respecter les indications médicales acceptables selon l IAB de donner un supplément; Expliquer correctement l expression manuelle du lait; Expliquer où trouver l information juste et à jour quant au passage de médicaments/drogues/alcool dans le lait maternel; Nommer les ressources existantes pour les mères qui allaitent aux niveaux local et régional et comment on peut y diriger les mères. 4. Tout médecin prodiguant des soins directs aux mamans qui allaitent et/ou à leur nouveauné, doit pouvoir, en plus des compétences acquises en 1 et en 2 : Démontrer les éléments essentiels à l établissement et au maintien d une relation d aide respectueuse avec les mamans qui allaitent; Décrire/démontrer le mécanisme de succion, la prise du sein et la position adéquate de la mère et du bébé lors de la tétée; Reconnaître/intervenir adéquatement lors de difficultés d allaitement tels la chirurgie mammaire, l engorgement, la mastite, les gerçures/crevasses, les difficultés dans la prise du sein, le frein court de la langue, le muguet, etc.; Respecter les indications médicales acceptables selon l IAB de donner un supplément; Expliquer correctement l expression manuelle du lait; Expliquer où trouver l information juste et à jour quant au passage de médicaments/drogues/alcool dans le lait maternel; Nommer les personnes-ressources compétentes en gestion de l allaitement dans le centre et savoir comment leur diriger des mamans qui allaitent. LISTE DES INDICATEURS I ET MOYENS UTILISÉS POUR L ÉVALUATIONL INDICATEUR DOCUMENTATION OBSERVATION ENTREVUE INTERVENANTE ENTREVUE MAMAN Orientation Formation Planification des orientations/formations x x x Mécanisme d évaluation des compétences x Matériel de formation x x Connaissances et compétences des intervenantes x x PAGE 15 DE 16

16 ANNEXE III PROCÉDURE DE SOUTIEN À L ALLAITEMENT MATERNEL EN POSTNATAL POUR DES SITUATIONS PARTICULIÈRES DE PROBLÈMES DE SANTÉ CHEZ UNE MÈRE ALLAITANTE MOTIFS QUI JUSTIFIENT CETTE PROCÉDURE : Le CSSS-IUGS a adopté en juillet 2007 une politique d allaitement qui a pour but la protection, la promotion et le soutien à l allaitement maternel; L adaptation en postnatal est une période très intense à bien des niveaux : la récupération postnatale pour la mère; l adaptation néonatale pour le nouveau-né; l adaptation à l accueil du nouveau-né pour répondre à ces nombreux besoins et l apprentissage d un nouveau rôle Celui de père ou de mère; Les premières semaines, nous privilégions l allaitement à l éveil. Quelques mots sur l allaitement à l éveil : ce sont les rythmes des éveils du bébé qui déterminent les rythmes des prises alimentaires. C est pourquoi dès que le bébé démontre des signes d éveil (grognements, bruits de succion, étirement, mouvements des mains vers la bouche), il a des compétences pour bien prendre le sein et téter activement. Le nombre de tétées se situe en moyenne entre 8 et 12 sur une période de 24 heures. Il est à noter que les premières semaines les éveils du bébé sont irréguliers, imprévisibles et avec des périodes d éveil groupées (tétées groupées) surtout en soirée; Plus le bébé tète efficacement et plus la sécrétion lactée est abondante. Le début du démarrage de l allaitement est déterminant pour la poursuite de l allaitement afin de répondre aux besoins du bébé (l offre et la demande); Dans notre société, nous redécouvrons la pratique de l allaitement et malheureusement, encore très souvent, de nombreuses mères éprouvent dans les premières semaines des difficultés d allaitement (douleur et blessures aux mamelons, difficulté à mettre le bébé au sein, besoin d exprimer le lait, peur de manque de lait, etc.). CRITÈRES D ÉLIGIBILITÉ AUX SERVICES DE SOINS INFIRMIERS COURT TERME À DOMICILE DURANT LA OU LES DEUX PREMIÈRES SEMAINES OU SELON LE JUGEMENT DE L INFIRMIÈRE SUITE AU CONGÉ DE LA MATERNITÉ DU CHUS Mère qui allaite et qui a besoin de soins plus complexes donnés par les infirmières irmières des services courants, par p exemple : Soins d une plaie; Traitement d anticoagulothérapie, suivis conjoints avec les infirmières de la DSPEJF; Prélèvement sanguin, suivis conjoints avec les infirmières de la DSPEJF; Problème de santé physique chez le bébé (ex. : colostomie); Tout autre problème de santé qui nécessite des soins spécialisés. Le matériel est fourni seulement à la clientèle suivie par ces infirmières. Il est à noter que les infirmières de la DSPEJF continuent d offrir les services pour le suivi mèrebébé qui est spécifique à leurs tâches telles que le suivi de santé de la mère et du bébé en période postnatale, le soutien à l allaitement, le suivi de poids et d ictère chez le bébé, etc. Sylvie Hinse, CAP à la DSGPSA Lyne Juneau, CAP à la DSPEJF Février 2009 : U:\Documents\L GOULET\ALLAITEMENT\PROTOCOLES- PROCÉDURES-MÉTHODE DE SOINS\POL-DSPEJF-01 - Politique de promotion et de soutien à l'allaitement maternel (révision 2010).doc PAGE 16 DE 16

Document de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants

Document de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants Document de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants CONTEXTE 1. La bonne alimentation des nourrissons et des jeunes

Plus en détail

Politique de déplacement des bénéficiaires 2011-09-22. La présente politique inclut entre autres les deux documents suivants :

Politique de déplacement des bénéficiaires 2011-09-22. La présente politique inclut entre autres les deux documents suivants : POLITIQUE TITRE : NUMÉRO : AD 001-001 REMPLACE DOCUMENT(S) SUIVANT(S), S IL Y A LIEU : Politique de déplacement des bénéficiaires PERSONNEL VISÉ : gestionnaires personnel de soutien soins aux patients

Plus en détail

Site pilote de l IMBCI en Amérique du Nord

Site pilote de l IMBCI en Amérique du Nord CSSS La Pommeraie, Hôpital Brome Missisquoi Perkins certifié de l Initiative Ami des bébés 1999 Hôpital recertifié 2004 CLSC certifié 2005 CSSS certifié mai 2010 Site pilote de l IMBCI en Amérique du Nord

Plus en détail

Votre bébé a besoin de soins spéciaux

Votre bébé a besoin de soins spéciaux Votre bébé a besoin de soins spéciaux Ce guide se veut un document de référence afin de favoriser une meilleure compréhension de tous les aspects entourant la venue d un enfant prématuré ou malade. Il

Plus en détail

INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN LE 6 MAI 2015 PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? INFIRMIÈRES DE L UQAC

INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN LE 6 MAI 2015 PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? INFIRMIÈRES DE L UQAC INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES INFIRMIÈRES DE L UQAC LE 6 MAI 2015 PLAN DE LA PRÉSENTATION Quel type de formation une IPSPL doit-elle suivre?

Plus en détail

ORDONNANCE COLLECTIVE

ORDONNANCE COLLECTIVE ACTIVITÉ(S) RÉSERVÉE(S) Évaluer la condition physique et mentale d une personne symptomatique Administrer et ajuster des médicaments lorsqu ils font l objet d une ordonnance Contribuer au suivi de la grossesse,

Plus en détail

FAVORISER L ALLAITEMENT MATERNEL Processus - Évaluation

FAVORISER L ALLAITEMENT MATERNEL Processus - Évaluation FAVORISER L ALLAITEMENT MATERNEL Processus - Évaluation Juin 2006 SOMMAIRE I. PROMOTION DE L ALLAITEMENT MATERNEL...3 II. PROCESSUS DE SOUTIEN DE L ALLAITEMENT...4 II.1. Description...4 II.2. Phase 1 d

Plus en détail

Journée Allaitement. Formation et Clinique d allaitement. en pharmacie. en pharmacie

Journée Allaitement. Formation et Clinique d allaitement. en pharmacie. en pharmacie Journée Allaitement en pharmacie Formation et Clinique d allaitement en pharmacie Formation aux pharmaciens en allaitement accréditée par l Ordre des pharmaciens du Québec 1,5 UFC Durée : 1 h 30 Clinique

Plus en détail

Ateliers Conférences. Interventions. Sandrine LE FLEM. Formatrice et consultante petite enfance 06.95.18.75.38.

Ateliers Conférences. Interventions. Sandrine LE FLEM. Formatrice et consultante petite enfance 06.95.18.75.38. Sandrine LE FLEM Formatrice et consultante petite enfance Ateliers Conférences 06.95.18.75.38. sandrineleflem@hotmail.fr www.sandrineleflem.fr Interventions 2015 Page 1 sur 5 La formatrice intervenante

Plus en détail

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée

Plus en détail

Planification stratégique 2012-2015

Planification stratégique 2012-2015 DE CHAUDIÈRE-APPALACHES Planification stratégique 2012-2015 Reprendre du pouvoir sur sa vie. 23681_CRDCA_Planification 2012.indd 1 Description de la démarche La démarche de planification stratégique du

Plus en détail

Service Municipal d Accueil Postscolaire

Service Municipal d Accueil Postscolaire Service Municipal d Accueil Postscolaire Règlement intérieur 2013-2014 Direction de la Vie Scolaire et de la Petite Enfance 15 mail d Allagnat 63000 Clermont-Ferrand mail : dvspe-secretariat@ville-clermont-ferrand.fr

Plus en détail

CONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin

CONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité

Plus en détail

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles

Plus en détail

Niveau d'avancement et d'atteinte des cibles d'impact des projets, par objectif stratégique Planification stratégique 2012-2017

Niveau d'avancement et d'atteinte des cibles d'impact des projets, par objectif stratégique Planification stratégique 2012-2017 et d'atteinte des cibles d'impact des 1. Formaliser l'offre de services pour l'ensemble des programmes-services et des programmes de soutien. Définir et promouvoir l'offre de services en Dépendances (2013-12-

Plus en détail

PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE

PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux

Plus en détail

Ministère de la Santé et des Services sociaux

Ministère de la Santé et des Services sociaux Ministère de la Santé et des Services sociaux Projet de loi modifiant l organisation et la gouvernance du réseau de la santé et des services sociaux notamment par l abolition des agences régionales Contexte

Plus en détail

ACCESSIBILITÉ INNOVATION DÉVELOPPEMENT

ACCESSIBILITÉ INNOVATION DÉVELOPPEMENT ACCESSIBILITÉ INNOVATION DÉVELOPPEMENT L art de cultiver des savoirs, des expériences, des compétences et des talents www.chuq.qc.ca/fr/info_plus/formations_en_ligne DES ACTIVITÉS DE FORMATION EN LIGNE

Plus en détail

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...

Plus en détail

PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES. Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones

PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES. Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones Édition de février 2011 Réalisé par le Comité patronal de négociation

Plus en détail

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre

Plus en détail

Le genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes.

Le genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes. Programme d intéressement pour l implantation du rôle de l infirmière praticienne spécialisée Modalités d application 15-919-04W RÉDACTION Direction des soins infirmiers Direction générale des services

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de

Plus en détail

RAPPORT D'ENQUÊTE SPÉCIALE DU PROTECTEUR DU CITOYEN: Gestion de la crise de listériose associée aux fromages québécois SOMMAIRE

RAPPORT D'ENQUÊTE SPÉCIALE DU PROTECTEUR DU CITOYEN: Gestion de la crise de listériose associée aux fromages québécois SOMMAIRE RAPPORT D'ENQUÊTE SPÉCIALE DU PROTECTEUR DU CITOYEN: Gestion de la crise de listériose associée aux fromages québécois LE CONTEXTE SOMMAIRE Le 19 août 2008, le ministère de la Santé et des Services sociaux

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

PROGRAMME DE FORMATION DE NORTHBRIDGE. À propos de Northbridge

PROGRAMME DE FORMATION DE NORTHBRIDGE. À propos de Northbridge PROGRAMME DE FORMATION DE NORTHBRIDGE À propos de Northbridge Northbridge est l une des plus importantes compagnies d assurance générale commerciale au pays avec des primes souscrites d une valeur de 1,3

Plus en détail

Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004

Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et

Plus en détail

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085 Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013

Plus en détail

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de

Plus en détail

Programme d entraide à l allaitement maternel : une stratégie efficace pour rejoindre et soutenir les populations ayant de faibles taux d allaitement

Programme d entraide à l allaitement maternel : une stratégie efficace pour rejoindre et soutenir les populations ayant de faibles taux d allaitement Allaitement maternel en Ontario Programme d entraide à l allaitement maternel : une stratégie efficace pour rejoindre et soutenir les populations ayant de faibles taux d allaitement Par le passé, les femmes

Plus en détail

Gestion éthique des banques de recherche

Gestion éthique des banques de recherche Gestion éthique des banques de recherche Jean-Marie Therrien, Ph.D. Président du Comité d éthique de la recherche, CHU Sainte-Justine 30 octobre 2012 Plan Justification éthique et scientifique Principes

Plus en détail

Techniques de l informatique 420.AC. DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques

Techniques de l informatique 420.AC. DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques Plan de cours Techniques de l informatique 420.AC DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques 420-691-MA Stage en entreprise Site du stage en entreprise : http://stages.cmaisonneuve.qc.ca/evaluation/1748/

Plus en détail

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

Un poste à votre mesure!

Un poste à votre mesure! Titre du poste : INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE (IPSPL) Direction : Direction des soins infirmiers Statut : Temps complet - 35 heures/semaine Quart : Jour LIBELLÉ DU TITRE D EMPLOI Personne

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

Modalités d interprétation des dispositions particulières applicables aux veilleurs, surveillants et encadrants de nuit «Statut des veilleurs»

Modalités d interprétation des dispositions particulières applicables aux veilleurs, surveillants et encadrants de nuit «Statut des veilleurs» Modalités d interprétation des dispositions particulières applicables aux veilleurs, surveillants et encadrants de nuit «Statut des veilleurs» Les présentes modalités ont pour objectif d interpréter les

Plus en détail

Doit-on craindre une dévalorisation de la formation technique en soins infirmiers pour l avenir?

Doit-on craindre une dévalorisation de la formation technique en soins infirmiers pour l avenir? CG 08-02-29 / 011 (FEC) Doit-on craindre une dévalorisation de la formation technique en soins infirmiers pour l avenir? Document de réflexion présenté au Conseil général de la Fédération des enseignantes

Plus en détail

POLITIQUE INSTITUTIONNELLE SUR LES CONFLITS D INTÉRÊTS DANS LA RECHERCHE

POLITIQUE INSTITUTIONNELLE SUR LES CONFLITS D INTÉRÊTS DANS LA RECHERCHE Direction générale POLITIQUE N O 14 POLITIQUE INSTITUTIONNELLE SUR LES CONFLITS D INTÉRÊTS DANS LA RECHERCHE Adoptée le 9 juin 2015 cegepdrummond.ca Adoptée au conseil d administration : 9 juin 2015 (CA-2015-06-09-11)

Plus en détail

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules

Plus en détail

Année propédeutique santé Présentation générale du programme

Année propédeutique santé Présentation générale du programme Année propédeutique Sante 2014-2015 DCA/sbe révision Août 2014 Année propédeutique santé s Présentation générale du programme Introduction et finalités de l année propédeutique santés L objectif de cette

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres

Plus en détail

Projet de loi n o 30 (2003, chapitre 25)

Projet de loi n o 30 (2003, chapitre 25) PREMIÈRE SESSION TRENTE-SEPTIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 30 (2003, chapitre 25) Loi concernant les unités de négociation dans le secteur des affaires sociales et modifiant la Loi sur le régime de

Plus en détail

B.A.-BA de la garde d enfants

B.A.-BA de la garde d enfants B.A.-BA de la garde d enfants pour la Suisse romande Vue d ensemble des variantes de garde les plus fréquentes pour les petits enfants - Crèche - Accueil familial de jour - Nounou - Babysitter, Au Pair

Plus en détail

22 2011 (CC-20111-110)

22 2011 (CC-20111-110) Politiquee linguistique Adoptée : En vigueur : Amendement : 22 mars 2011 (CC-2011-110) 22 mars 2011 Table des matières 1. PRÉAMBULE... 1 2. CHAMP D APPLICATION... 1 3. CADRE LÉGAL ET RÉGLEMENTAIRE...

Plus en détail

Programme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI

Programme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI Programme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI La formation continue du Centre d Ouverture Psychologique Et Sociale (Copes) s adresse à tous les acteurs du champ médical, psychologique,

Plus en détail

Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011

Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Initiatives montrant des bonnes pratiques ainsi que des pratiques efficaces dans l adoption d une approche fondée sur les droits

Plus en détail

AQAssurance de la qualité

AQAssurance de la qualité AQAssurance de la qualité Guide d Évaluation de l exercice Assurance de la qualité : Guide de l Évaluation de l exercice Pub. No. 54046 Copyright Ordre des infirmières et infirmiers de l Ontario, 2014.

Plus en détail

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,

Plus en détail

EVALUATION DE LA MISE EN PLACE DE LA PERMANENCE TELEPHONIQUE PROFESSIONNELLE ALLAIT ECOUTE Soutien à l allaitement maternel

EVALUATION DE LA MISE EN PLACE DE LA PERMANENCE TELEPHONIQUE PROFESSIONNELLE ALLAIT ECOUTE Soutien à l allaitement maternel UNIVERSITE LILLE 2 Ecole de sages-femmes du CHRU de Lille EVALUATION DE LA MISE EN PLACE DE LA PERMANENCE TELEPHONIQUE PROFESSIONNELLE ALLAIT ECOUTE Soutien à l allaitement maternel Mémoire rédigé et soutenu

Plus en détail

A.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex. Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21.

A.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex. Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21. A.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21.com Le mot de bienvenue du Président Vous avez choisi d

Plus en détail

Nouvelles échelles salariales Incluant le PIB

Nouvelles échelles salariales Incluant le PIB Nouvelles échelles salariales Incluant le PIB Convention collective Mars 2011 Mars 2015 Note : Ce document regroupe les échelles salariales applicables aux différents titres d emploi représentés à la FIQ.

Plus en détail

G U I D E S O C I AU X

G U I D E S O C I AU X G U I D E D ACCÈS SANTÉ ET SERVICES S O C I AU X 2012 Le Centre de santé et de services sociaux (CSSS) du Sud de Lanaudière a pour mission d améliorer l état de santé et le bien-être de la population des

Plus en détail

Luce Landry, DESS sc. infirmières, UQAR. Résumé

Luce Landry, DESS sc. infirmières, UQAR. Résumé Le groupe de codéveloppement professionnel : une stratégie d amélioration de l aptitude à gérer des situations complexes pour les infirmières qui pratiquent en prévention et contrôle des infections au

Plus en détail

Projet d Accueil. Entre Parent(s) et Assistant Maternel

Projet d Accueil. Entre Parent(s) et Assistant Maternel Outil proposé par les Relais Parents Assistants Maternels des Côtes d Armor dans le cadre de leur mission d accompagnement. Ce document n a pas de valeur légale ou réglementaire. Juin 2012 Projet d Accueil

Plus en détail

STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE

STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE FACULTÉ DE MÉDECINE FACULTÉ DE CHIRURGIE DENTAIRE Université de Strasbourg STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE JUILLET ou AOUT ou SEPTEMBRE 2012

Plus en détail

RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS AVEC SES CITOYENS

RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS AVEC SES CITOYENS PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE COMTÉ DE RIVIERE-DU-LOUP RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS

Plus en détail

Pour la création d une maison d assistants maternels

Pour la création d une maison d assistants maternels CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Mars 2011 CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Le Code de l Action Sociale et des Familles

Plus en détail

Projet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de réseaux locaux de services de santé et de services sociaux

Projet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de réseaux locaux de services de santé et de services sociaux PREMIÈRE SESSION TRENTE-SEPTIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de et de services sociaux Présenté le 11 novembre 2003 Principe adopté le 10 décembre

Plus en détail

Violence au travail Un organisme national

Violence au travail Un organisme national Violence au travail Un organisme national Violence au travail : prévention, protocoles et sanctions Politique La Société s engage à offrir un milieu de travail sécuritaire. Elle reconnaît que la violence

Plus en détail

À l écoute des personnes touchées par la SP. Sondage à l intention des personnes en attente d un diagnostic probable de SP

À l écoute des personnes touchées par la SP. Sondage à l intention des personnes en attente d un diagnostic probable de SP À l écoute des personnes touchées par la SP Sondage à l intention des personnes en attente d un diagnostic probable de SP Notre mission : «Être un chef de file dans la recherche sur le remède de la sclérose

Plus en détail

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE

Plus en détail

CONDITIONS POUR LE PRÊT D ÉQUIPEMENT AU SERVICE DES AIDES TECHNIQUES

CONDITIONS POUR LE PRÊT D ÉQUIPEMENT AU SERVICE DES AIDES TECHNIQUES CONDITIONS POUR LE PRÊT D ÉQUIPEMENT AU SERVICE DES AIDES TECHNIQUES Publication initiale mise en vigueur : 9 septembre 2014 Destinataires : Clientèle, intervenants du Service des aides techniques, intervenants

Plus en détail

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département

Plus en détail

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.

Plus en détail

les télésoins à domicile

les télésoins à domicile Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans

Plus en détail

Modèle de curriculum vitae thématique. Pierre Dupont 3700 rue Berri Montréal (Québec)

Modèle de curriculum vitae thématique. Pierre Dupont 3700 rue Berri Montréal (Québec) Modèle de curriculum vitae thématique Pierre Dupont 3700 rue Berri Montréal (Québec) Résidence : 514) 873-0000 Bureau : (514) 873-1111 Télécopieur : (514) 873-9304 Courriel : pdupont@pdup.com Cadre infirmier

Plus en détail

Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015

Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 Réforme des rythmes scolaires Projet Educatif de territoire d Evecquemont Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 A Du PEDT au comité de suivi et d évaluation de la réforme

Plus en détail

Centre Hospitalier Restigouche 63, promenade Gallant Campbellton (Nouveau-Brunswick)

Centre Hospitalier Restigouche 63, promenade Gallant Campbellton (Nouveau-Brunswick) Centre Hospitalier Restigouche 63, promenade Gallant Campbellton (Nouveau-Brunswick) Nathalie Langlois, infirmière clinicienne spécialisée en psychiatrie Pauline Perron, ergothérapeute Michelle DesRoches,

Plus en détail

Ma future formation. 1. Quelle est la formation en cursus complet? 2. Qui accède à la formation partielle?

Ma future formation. 1. Quelle est la formation en cursus complet? 2. Qui accède à la formation partielle? Ma future formation 1. Quelle est la formation en cursus complet? 2. Qui accède à la formation partielle? 3. Qu est-ce que la Validation des acquis de l expérience (VAE)? 4. Comment se passent les stages?

Plus en détail

Questionnaire général (court)

Questionnaire général (court) 1 sur 6 29/12/2014 10:00 Questionnaire général (court) Il peut bien entendu être diffusé à des professionnels de votre connaissance pouvant être s par le projet. Les informations renseignées ont vocation

Plus en détail

POLITIQUE RELATIVE AUX FRAIS DE DÉPLACEMENT,

POLITIQUE RELATIVE AUX FRAIS DE DÉPLACEMENT, POLITIQUE RELATIVE AUX FRAIS DE DÉPLACEMENT, D HÉBERGEMENT ET DE SUBSISTANCE 1.0 BUT, CHAMP D APPLICATION ET PRINCIPES 1.1 La présente politique a pour but d informer les membres des normes à respecter

Plus en détail

L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue

L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue Marie-Christine Lemieux, M.Sc. Inf., IPSPL 2 e Symposium

Plus en détail

La Régie des rentes du Québec

La Régie des rentes du Québec La Régie des rentes du Québec La Régie des rentes du Québec est chargée d appliquer la Loi sur le régime de rentes du Québec et la Loi sur les régimes complémentaires de retraite. De plus, elle administre

Plus en détail

Fiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles

Fiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec (CRDI de Québec) 7843, rue des Santolines Québec (Québec) G1G 0G3 Téléphone : 418 683-2511 Télécopieur : 418 683-9735 www.crdiq.qc.ca Fiche

Plus en détail

ZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013

ZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 ZOOM ETUDES Les études paramédicales Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 L enseignement supérieur français - santé Études de médecine, pharmacie et odontologie : Universités en partenariat

Plus en détail

Comité Santé en français de Fredericton. Évaluation de l offre active des services de santé de première ligne. Rapport de sondage-final

Comité Santé en français de Fredericton. Évaluation de l offre active des services de santé de première ligne. Rapport de sondage-final Comité Santé en français de Fredericton Évaluation de l offre active des services de santé de première ligne Rapport de sondage-final Mai 2006 Table des matières 1.0 Sommaire. 1 2.0 Introduction..2 3.0

Plus en détail

Étude sur les efforts requis pour gérer les offices d habitation de moins de 100 logements Société d habitation du Québec

Étude sur les efforts requis pour gérer les offices d habitation de moins de 100 logements Société d habitation du Québec CONDENSÉ DÉCISIONNEL Étude sur les efforts requis pour gérer les offices d habitation de moins de 100 logements Société d habitation du Québec Le 11 avril 2014 d habitation de moins de 100 logements Condensé

Plus en détail

La présente règle coloscopie (avec. l endoscope. coloscopie en. nécessaire et DIRECTIVES. b. Assurer le. e doit :

La présente règle coloscopie (avec. l endoscope. coloscopie en. nécessaire et DIRECTIVES. b. Assurer le. e doit : Règle de soins médicaux Technique de la coloscopie en duo INDICATION (situation visée) La présente règle de soins médicaux vise à préciser les conditions d encadrement de la coloscopie (avec endoscope)

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne

CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une

Plus en détail

Livret d accueil pour les futurs parents, les parents et les assistant(e)s maternel(le)s

Livret d accueil pour les futurs parents, les parents et les assistant(e)s maternel(le)s Livret d accueil pour les futurs parents, les parents et les assistant(e)s maternel(le)s Un livret, pour qui? Ce livret est destiné aux parents et futurs parents qui souhaitent trouver un mode de garde

Plus en détail

FICHE METIER. «Assistant son» Assistant son APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER

FICHE METIER. «Assistant son» Assistant son APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER Opérateur du son Version 1 «Assistant son» APPELLATION(S) DU METIER Assistant son DEFINITION DU METIER L assistant son aide l ingénieur du son ou le chef opérateur du son, responsable des enregistrements

Plus en détail

2011-01-18. Quels sont, pour le soignant, les enjeux soulevés lorsqu il donne un soin à un allophone? Enjeu de communication

2011-01-18. Quels sont, pour le soignant, les enjeux soulevés lorsqu il donne un soin à un allophone? Enjeu de communication Distance linguistique et soins de qualité dans une perspective d équité: Concilier une diversité d enjeux Bilkis Vissandjee *, Université de Montréal Alex Battaglini, CSSS Bordeaux-CartiervilleSaint-Laurent

Plus en détail

Contrat de travail et d accueil à durée indéterminée entre particuliers employeurs (parents) et assistants maternels agréés

Contrat de travail et d accueil à durée indéterminée entre particuliers employeurs (parents) et assistants maternels agréés Contrat de travail et d accueil à durée indéterminée entre particuliers employeurs (parents) et assistants maternels agréés Préambule L accueil d un enfant chez un assistant maternel doit être minutieusement

Plus en détail

MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES

MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES Par Marie-Christine Parent, stagiaire en diététique AU MENU Retour sur le sondage Vision de la saine alimentation Qu est-ce que l étiquetage nutritionnel?

Plus en détail

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles

Plus en détail

SECTEUR DE LA RÉMUNÉRATION ET DES AVANTAGES SOCIAUX

SECTEUR DE LA RÉMUNÉRATION ET DES AVANTAGES SOCIAUX Volume 16, numéro 5 Le 22 janvier 2014 SECTEUR DE LA RÉMUNÉRATION ET DES AVANTAGES SOCIAUX MODIFICATIONS AUX PRIMES D ASSURANCE TABLEAU DES PRIMES PAR 14 JOURS POUR L ANNÉE 2014 PRIMES APPLICABLES À LA

Plus en détail

Ordre des ergothérapeutes de l Ontario. Votre guide d auto-évaluation

Ordre des ergothérapeutes de l Ontario. Votre guide d auto-évaluation Ordre des ergothérapeutes de l Ontario Votre guide d auto-évaluation Comme les autres volets du Programme d'assurance de la qualité, l'outil d'auto-évaluation se fonde sur les principes de l'apprentissage

Plus en détail

Une sage-femme vous accompagne...

Une sage-femme vous accompagne... Département Mère/ Enfant Chef du département: Dr Thomas D. Centre hospitalier Etterbeek-Ixelles Rue Jean Paquot, 63 1050 Ixelles 02/641 41 11 Une sage-femme vous accompagne... Un film sur la maternité

Plus en détail

Évaluation d un projet pilote visant à promouvoir l utilisation correcte des sièges d auto pour enfants dans deux régions du Québec

Évaluation d un projet pilote visant à promouvoir l utilisation correcte des sièges d auto pour enfants dans deux régions du Québec Évaluation d un projet pilote visant à promouvoir l utilisation correcte des sièges d auto pour enfants dans deux régions du Québec INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Rapport d évaluation Évaluation

Plus en détail

INSPECTION PROFESSIONNELLE

INSPECTION PROFESSIONNELLE INSPECTION PROFESSIONNELLE INSTRUMENT DE VÉRIFICATION DE LA NORME DE DOCUMENTATION LE PLAN THÉRAPEUTIQUE INFIRMIER PRODUCTION Service des publications Sylvie Couture Chef de service Karine Méthot Adjointe

Plus en détail

DROITS A L ASSURANCE MATERNITE

DROITS A L ASSURANCE MATERNITE I. Ouverture des droits DROITS A L ASSURANCE MATERNITE Les conditions d ouverture des droits tant aux prestations en nature qu aux prestations en espèce de l assurance maternité s apprécient soit au début

Plus en détail

Dép. 75 «Service d Accueil de Jour»

Dép. 75 «Service d Accueil de Jour» Dép. 75 «Service d Accueil de Jour» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Le Service d accueil de jour -SAJE- est implanté sur le 19 e arrondissement de Paris et accueille

Plus en détail

1.1.2. La durée du stage officinal est légalement de 6 mois.

1.1.2. La durée du stage officinal est légalement de 6 mois. 1. REGLEMENT DU STAGE OFFICINAL 1.1. Du stage et des stagiaires 1.1.1. Le stage est accompli dans une officine ouverte au public ou dans une officine hospitalière, dirigée par un pharmacien comptant au

Plus en détail

L INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS

L INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS L INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS Synthèse des résultats de l étude Hélène Provencher, PhD, Université Laval, Québec

Plus en détail

Le contrôle de la qualité des services

Le contrôle de la qualité des services Le contrôle de la qualité est essentiel à l amélioration continue des services aux usagers. En fonction des obligations du ministère de la Santé et des Services sociaux, le Protecteur du citoyen a analysé,

Plus en détail

«WHEN ALL IS SAID AND DONE, MUCH MORE HAS BEEN SAID THAN DONE»

«WHEN ALL IS SAID AND DONE, MUCH MORE HAS BEEN SAID THAN DONE» IMPLANTATION D UN MODÈLE DE PRATIQUE PROFESSIONNELLE : UN PROJET INTÉGRÉ D ORGANISATION DU TRAVAIL 27 e colloque Jean-Yves Rivard Climat de travail : gage de qualité et de performance Esther Leclerc, inf.,

Plus en détail

UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré

UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2 Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré ESPE Lille Nord de France Année 2014-2015 Cette note de cadrage a pour but d aider les collègues

Plus en détail