Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
|
|
- Jean-Charles Gervais
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique et d'evaluation des Thérapeutiques Grenoble 10/09/2014
2 Phase I : Principe Spécificité de la cancérologie : Pas de recherche sur volontaires sains Objectif principal : Déterminer la dose maximale tolérée (DMT) S assurer que les résultats de toxicité observés lors du développement pré-clinique, sont reproductibles chez l'homme. Etudier la toxicité à court terme. Déterminer la dose qui sera recommandée pour poursuivre en phase II Critère principal : Survenue de Toxicité dose limitante (DLT) fin 1 er cycle traitement Grade CTC-AE DLT No DLT
3 Phase I : Relation dose - efficacité Hypothèse testée avec des thérapies cytotoxiques: Plus la dose est élevée, plus elle est efficace. mais plus elle est toxique Design : Escalade de doses
4 Phase I : 3+3 design Principe : La dose initiale est choisie à partir de la NOAEL Procéder à une escalade de dose par palier % augmentation Dose Paliers D1 10 D2 100% 20 D3 67% 33 D4 50% 50 D5 40% 70 D % 90 Règle d escalade : Inclure 3 patients Si 0 DLT / 3 : Palier D+1 Si 2 DLT / 3 : STOP Si 1 DLT / 3 : + 3 patients même dose Si 0 ou 1DLT / 6 : Palier D+1 Si 2DLT / 6 : STOP P(observer 1 DLT / 3 patients) = 0.90 si taux tox. = 54% dans la population P(observer 1 DLT / 6 patients) = 0.90 si taux tox. = 32% dans la population
5 Phase I : 3+3 Design Dose recommandée pour la phase II: dose du palier juste audessous de la dose maximale tolérée Nombre de patients : Empirique Avantage : méthode sûre pour la sécurité des patients Inconvénients : Nécessite l inclusion patients à des paliers de dose non efficaces (pas éthique) Essai prenant beaucoup de temps Possibilité de ne jamais atteindre la DMT Manque de précision de la DMT
6 Phase I : 3+3 Schéma modifié Dose escalation methods in phase I cancer clinical trials. Le Tourneau C, Lee JJ, Siu LL. J Natl Cancer Inst May 20;101(10) Accelerated titration design : Méthode en 2 étapes : Etape 1 : 1 seul patient par palier Hauteur des paliers doublées Escalade intrapatient autorisée A l apparition d une toxicité modérée : Etape 2 : Classique
7 Phase I : escalade accélérée Avantages / Inconvénients : Moins de patients sous-traités Descente d un palier autorisée, le traitement peut être poursuivi Quantité d information (Toxicité cumulative, ) Raccourcissement de la durée de l étude Avantages / Inconvénients : Plus agressif (nécessité de mieux définir la TDL) Possibilité de ne jamais atteindre la DMT
8 Phase I : escalade accélérée : exemple Plummer et al, Clinical Cancer Res, 8, , Sept 2002 MTD d un nouveau taxane, trois cures espacées de 4 semaines Dessin de l essai, avec escalade de dose intrapatient: Etape 1: Paliers : 7, 7x2=14, 14x2=28, mg/m²/wk 1 patient par palier, l inclusion du suivant ayant lieu après que le précédent ait été évalué en toxicité Dès apparition de 1 TDL chez 1 patient, ou de toxicités secondaires grade 2 chez 2 patients, passage à l étape 2 Etape 2: Paliers : 40% dose précédente (soit 40, 50, 60 mg/m²) 3 patients/palier Stop comme méthode classique
9 Phase I : escalade accélérée : exemple 53 inclus, 153 cycles administrés, peu de patients traités au 3 premières doses
10 Phase I : escalade accélérée : exemple
11 Phase I : Continual reassessment method (CRM) Principe : Méthode d escalade de dose guidée par un modèle O Quigley et al Allouer chaque patient à la dose estimée comme la dose maximale tolérée Dose recommandée pour la phase II: dose la plus proche (celle juste en dessous) d une cible de toxicité acceptable (ex: 20%)
12 Phase I : CRM : principe Utiliser toutes les données disponibles pour tracer une courbe Dose Toxicité Estimer la probabilité de voir une DLT à chaque dose Traiter le patient suivant à la dose la plus proche de la cible de toxicité On recommence jusqu à obtenir une dose à administrer stable Kramar - Computer methods and programs in Biomedecine
13 Phase I : CRM : Exemple (Merci Xavier Paoletti!)
14 Phase I : CRM : Exemple
15 Phase I : CRM : Exemple
16 Phase I : CRM : Exemple
17 Phase I : CRM : Exemple
18 Phase I : CRM : Exemple
19 Phase I : CRM : Exemple
20 Phase I : CRM : Exemple
21 Phase I : CRM : Exemple
22 Phase I : CRM : Exemple
23 Phase I : CRM : Exemple
24 Phase I : CRM : Exemple
25 Phase I : CRM : Exemple
26 Phase I : CRM : Exemple
27 Phase I : CRM : Rêgle d arrêt Plusieurs règles possible : 6 (où 9) patients traités à la même dose Précision (intervalle de confiance ) Probabilité élevée de prédire la même dose chez les X prochains patients Probabilité de succès de la dose estimée comme la DME Intervalle de crédibilité supérieur Intervalle de crédibilité inférieur probabilité patients
28 Phase I : CRM (règle d arrêt)
29 Phase I : CRM Avantages : Utilise toute l information dont on dispose (pré-clinique, autres études) Chaque patient bénéficie des informations obtenues avec les précédents patients Moins de patients non traités Obtention de la DMT avec son intervalle de confiance Inconvénient : Nécessite statisticien et moyens de calcul élaborés Ce qu il faut toujours fixer : Définition des DLT Taux de toxicité cible (20%, 25%, 30%, 33%,...) Choix du modèle : Bayesien (CRM), Likelihood (CRML) Fonction puissance souvent utilisée : P(DLT at dose d k )= (X k ) a Lee and Cheung 2009; Morita 2009; Paoletti 2010
30 Phase I : CRM méthodes dérivées EWOC: Escalade With Overdose Control (Babb et al. 1998) Tite-CRM : Time to event CRM (Cheung YK & Chappell R 2000)
31 Phase II : Objectif Obtenir des données initiales sur l efficacité de nouveaux traitements pour un type tumoral donné le traitement peut-il justifier d une activité clinique suffisante pour passer en phase III? Phase II : plans expérimentaux performants pour éliminer rapidement les traitements inefficaces, en utilisant au mieux les ressources disponibles + affiner le profil de tolérance du produit
32 Phase II : Types d études 1 étape Standard (1 seul bras) Contrôles historiques Multi-étapes Essais de phase II Tt expérimental Non comparatif Randomisé Bras de référence Sélection Comparatif Bras de référence Autre bras expérimental Screening Randomized discontinuation
33 Phase II : Plan en 1 étape Un seul bras Critère de jugement binaire (réponse oui/non) Comparaison d un taux de succès observé à un taux de succès attendu fixé a priori (contrôle «historique»)
34 Phase II : Formulation r 0 : taux de réponse en dessous duquel le traitement sera considéré d efficacité insuffisante en pratique : proche de la probabilité de succès du traitement standard r 1 : taux de réponse au dessus duquel le traitement sera considéré d efficacité suffisante (phase III ) en pratique : supérieur à la probabilité de succès du traitement standard (typiquement >20%) On exprime une hypothèse nulle (faible taux de réponse) H 0 : r r 0 -et une hypothèse alternative (taux de réponse élevé) - H 1 : r r 1
35 Phase II : Exemple Zone d inefficacité Zone d efficacité 0% π r 0 r 1 π 100% 10% 30% En pratique: Inclusion de 39 patients Si 7 réponses observées: rejet de la drogue Si 8 réponses observées: OK pour poursuivre Fleming TR - Biometrics 1982 / A Hern RP Stats Med 2001
36 Phase II : Parallèle avec d autres plans Nquery : One group χ 2 test that proportion equals user specified value (normal approximation) α= 5% unilatéral ; β = 5% ; Null hypothesis proportion, n = 39 p 0 = 0.1 ; Alternative proportion, p A= 0.3 Zone d inefficacité Zone d efficacité r 0% r 0 r 1 100% r 10% 30% 7 succès / % 18% 8 succès / %
37 Phase II : Plan en 1 étape Avantages : Facile à mettre en œuvre Résultats facilement interprétable Inconvénient : risque d exposer un nombre important de patients sans possibilité d arrêt précoce pour inefficacité Contrôle historique Définition de la population d analyse Développement de plans multi-étapes
38 Phase II : Types d études 1 étape Standard (1 seul bras) Contrôles historiques Multi-étapes Essais de phase II Tt expérimental Non comparatif Randomisé Bras de référence Sélection Comparatif Bras de référence Autre bras expérimental Screening Randomized discontinuation
39 Phase II : Plans multi-étapes Même principe que le plan en 1 étape Un seul bras Critère de jugement binaire (réponse oui/non) Comparaison d un taux de succès observé à un taux de succès attendu fixé a priori (contrôle «historique») Inclusion des patients par étapes successives, le nombre d analyses intermédiaires étant fixé au départ Simon R Controlled Clin Trials 1989 ; Ensign LG et al Stat Med 1994
40 Phase II : Exemple plan de Simon En pratique: Etape 1 : Inclusion de 25 patients Si 2/25 réponses observées: Rejet de la drogue Si 3/25 réponses observées: OK pour passage à étape 2 Etape 2 : Inclusion de 16 patients supplémentaires Si 7/41 réponses observées: Rejet de la drogue Si 8/41 réponses observées: OK pour poursuivre Fleming TR - Biometrics 1982 / A Hern RP Stats Med 2001
41 Phase II : Plan en 2 étapes Avantages : Facile à mettre en œuvre Résultats facilement interprétable Eviter d exposer trop de patients à un traitement très peu efficace Inconvénient : Contrôle historique Respect du nombre de patients inclus à chaque étape (délai obtention du critère par rapport au rythme d inclusion) faut-il stopper le recrutement lors de l analyse intermédiaire? Définition de la population d analyse
42 Phase II : 2 retours sur expérience Etude Invibo : Critère principal : taux d intubation avec un fibroscope de Bonfils Hypothèses : p0=80% ; p1 = 95% Minimum de 30 succès attendus sur 32 patients Peu de patients et borne limite : 30/32 : 94% [87% - 100%[ Etude Landscape : Critère principal : Taux réponse objective Hypothèses : p0=5% ; p1 = 20% ; Simon 2 étapes Minimum de: étape1: 2 succès / 17 patients; étape 2: 5 succès / 41 Résultats : 29/43 : 67% [52% - 81%[???
43 Phase II : Intérêt de la Randomisation Problèmes d interprétation : difficulté d obtenir un contrôle «historique» fiable : modifications des pratiques avec le temps (détection + précoce, techniques radiologiques, suivi et évaluation ) variabilité inter-institutionnelle patients non comparables = facteurs pronostics différents Un faible taux de réponse peut être lié à une réelle inefficacité du traitement expérimental, ou à la sélection de patients avec une faible probabilité de réponse
44 Phase II : Types d études 1 étape Standard (1 seul bras) Contrôles historiques Multi-étapes Essais de phase II Tt expérimental Non comparatif Randomisé Bras de référence Sélection Comparatif Bras de référence Autre bras expérimental Screening Randomized discontinuation
45 Phase II randomisée: Essai non comparatif Principe : La randomisation permet d éliminer les biais de sélection Permet de rendre les groupes comparables L essai ne devient pas pour autant comparatif En pratique : L effectif est calculé pour le bras expérimental comme une phase II non randomisée classique (cf. fleming, Simon ) Une procédure de randomisation (ratio 1:1 ou 2:1) pour allouer des patients au bras de référence
46 Phase II randomisée: Essai non comparatif Interprétation: Pas de comparaison statistique formelle (test) entre les 2 bras (puissance limitée) Si résultats du bras expérimental satisfaisants : bras de référence? la conclusion sur l efficacité du traitement expérimental sera renforcée si les résultats du bras de référence sont compatibles avec les valeurs classiquement attendues mais si les résultats du bras de référence sont très différents des valeurs attendues, conclusion difficile = nécessité de répéter l essai
47 Phase II randomisée: 2 retours sur expérience Etude TORAVA (Négrier Lancet Oncol. 2011) : Essai de phase II randomisé, multicentrique, en ouvert, en 1 ère ligne de traitement du cancer du rein métastatique Critère de jugement principal : taux de non progression à 48 semaines 3 bras parallèles, randomisation 2 : 1 : 1 1 bras expérimental (n = 76) : combinaison Avastin + Torisel Efficacité si au moins 34 NP (Fleming 1 étape - P 0 = 35%, P 1 = 50%) 2 bras de référence (n = 38) : - Sutent ; Avastin + Roféron Etude Tamrad (Bachelot J. Clin. Oncol. 2013) : Critère principal : taux de non progression à 6 mois Hypothèses : p0=50% ; p1 = 70% ; Simon 2 étapes Minimum de : étape1: 15 succès / 27 patients; étape 2: 33 succès / 53 pour le bras expérimental Résultats bras expérimental: 31 / 54 : 57.4% [43% - 71%[ Résultats bras contrôle: 22 / 57 : 38.6% [26% - 52%[
48 Conclusion Phase I: Phase essentielle. La DMT est normalement la dose préconisée pour tous les développements suivants. Plus de 30% des AMM sont approuvées avec des doses plus faibles que celles initialement définies en phase I. Inclure très peu de patient n est pas forcément le meilleur objectif Attention à la définition des DLT Phase II : Privilégier la puissance Si possible, préférer la phase II randomisée Possibilité de faire une phase II comparative avec alpha = 10 à 15%
Introduction : Essais de phase I
Schéma de recherche de dose dans les essais de phase I : comparaison par simulations dans un cadre temporel A Doussau 1,2, MC Le Deley 3, B Asselain 1, G Vassal 3, X Paoletti 1 1 - Institut Curie, 2 -
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailAnalyse stochastique de la CRM à ordre partiel dans le cadre des essais cliniques de phase I
Analyse stochastique de la CRM à ordre partiel dans le cadre des essais cliniques de phase I Roxane Duroux 1 Cadre de l étude Cette étude s inscrit dans le cadre de recherche de doses pour des essais cliniques
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailclinique d un médicament
DU Recherche Clinique Calcul du nombre de sujets nécessaires (accent sur les phases III) S. THEZENAS I.C.M. (Ex CRLC Val d Aurelle) Unité de Biostatistiques Phases du développement clinique d un médicament
Plus en détailChapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Introduction
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailÉquivalence et Non-infériorité
Équivalence et Non-infériorité Éléments d Introduction Lionel RIOU FRANÇA INSERM U669 Mars 2009 Essais cliniques de supériorité Exemple d Introduction Données tirées de Brinkhaus B et al. Arch Intern Med.
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailLES ETUDES CLINIQUES EN 20 QUESTIONS
LES ETUDES CLINIQUES EN 20 QUESTIONS La mise au point d un nouveau médicament est longue. Sur environ 10 000 médicaments potentiels subissant tous les tests nécessaires, un seul sera disponible au final
Plus en détailDocument d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité
Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette
Plus en détailPARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR
PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailChapitre 6 Test de comparaison de pourcentages χ². José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 6 Test de comparaison de pourcentages χ² José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Nature des variables
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailAudit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir
Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Chef de projet Hémato-Onco CHRU Tours Vice Présidente CPP Région Ouest1 Le contexte juridique Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailHospital Anxiety and Depression Scale (HADS)
dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailTests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE
Chapitre 5 UE4 : Biostatistiques Tests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailLa survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation
La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg
Plus en détailObjectifs pédagogiques Lecture critique d article
Objectifs pédagogiques Lecture critique d article groupe V Evaluer les applications cliniques Evaluer les applications cliniques 21 ) Discuter la ou les décisions médicales auxquelles peuvent conduire
Plus en détailResponsabilité du promoteur et obligations des soustraitants. cliniques : conformité aux Bonnes Pratiques Cliniques et point de vue de l inspection
Responsabilité du promoteur et obligations des soustraitants dans les essais cliniques : conformité aux Bonnes Pratiques Cliniques et point de vue de l inspection Anne RAISON Chef de l Unité Inspection
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailL analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves
L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation
Plus en détailProgramme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib
Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.
Plus en détailUne avancée majeure dans le domaine de l implantologie. Roxolid SLActive Moins invasif pour de nouveaux standards
Une avancée majeure dans le domaine de l implantologie. Roxolid SLActive Moins invasif pour de nouveaux standards 1 Excellentes performances scientifiquement démontrées. Roxolid est un matériau unique
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailEstelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1
Estelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1 Définition du Monitoring Garantie que la conduite de l essai clinique, les enregistrements et les rapports sont réalisés conformément : Au protocole Aux Procédures
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailA. Protocole de recherche (ainsi que l abrégé en langue française)
Commission d'éthique cantonale (VD) de la recherche sur l'être humain Av. de Chailly, 23, 1012 Lausanne Courriel : secretariat.cer@vd.ch 5.12.2013/mz Recommandations pour la soumission d un dossier Tous
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailPROGRAMME (Susceptible de modifications)
Page 1 sur 8 PROGRAMME (Susceptible de modifications) Partie 1 : Méthodes des revues systématiques Mercredi 29 mai 2013 Introduction, présentation du cours et des participants Rappel des principes et des
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailRECHERCHE CLINIQUE : L INNOVATION POUR TOUS LES PATIENTS
RECHERCHE CLINIQUE : L INNOVATION POUR TOUS LES PATIENTS DOSSIER DE PRESSE Septembre 2012 DOSSIER DE PRESSE RECHERCHE CLINIQUE : L INNOVATION POUR TOUS LES PATIENTS PAGE 1 RECHERCHE CLINIQUE : L INNOVATION
Plus en détailEvaluation de la variabilité d'un système de mesure
Evaluation de la variabilité d'un système de mesure Exemple 1: Diamètres des injecteurs de carburant Problème Un fabricant d'injecteurs de carburant installe un nouveau système de mesure numérique. Les
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailQu avez-vous appris pendant cet exposé?
Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Karl VINCENT, DC IFEC 2010 Diplôme Universitaire de Méthodes en Recherche Clinique Institut de Santé Publique d Epidémiologie et de développement ISPED Bordeaux
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailM.Benmimoun MD,MBA Medical Operations Director
M.Benmimoun MD,MBA Medical Operations Director Vos Responsabilités en Matière de Pharmacovigilance Notification Spontanée d'événements Indésirables Formation 2 Notification Spontanée d Événement Indésirable
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailValeur ajoutée relative basée sur les comparaisons indirectes Giens 2008, TR 5
Valeur ajoutée relative basée sur les comparaisons indirectes Giens 2008, TR 5 Claire Le Jeunne Bertrand Xerri Cécile Rey-Coquais Jean-Michel Joubert Jean Delonca Martine Pigeon Michel Lièvre Patricia
Plus en détailÉTAT DES LIEUX. Niveau de preuve et gradation des recommandations de bonne pratique
ÉTAT DES LIEUX Niveau de preuve et gradation des recommandations de bonne pratique Avril 2013 Les recommandations et leur synthèse sont téléchargeables sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailRencontres AcaDM des 25-26 juin 2014 Dijon. Impact du Risk Based Monitoring sur le Data Management. Nicolas Gane ARCAGY-GINECO 25/06/2014
Rencontres AcaDM des 25-26 juin 2014 Dijon Impact du Risk Based Monitoring Nicolas Gane ARCAGY-GINECO 25/06/2014 De quoi parle-t-on? Monitoring (GCP 5.18.1) : Protection des droits du patient Fiabilité
Plus en détailEstimation et tests statistiques, TD 5. Solutions
ISTIL, Tronc commun de première année Introduction aux méthodes probabilistes et statistiques, 2008 2009 Estimation et tests statistiques, TD 5. Solutions Exercice 1 Dans un centre avicole, des études
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailCOMPRENDRE LA RECHERCHE CLINIQUE
COMPRENDRE LA RECHERCHE CLINIQUE Unité de Recherche Clinique Avec le soutien de Roche 2 3 Sommaire Avant-propos 3 Accueil 4 Généralités 6 1. Qu est-ce qu une étude clinique? 2. Pourquoi participer à une
Plus en détailSupplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique
Supplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique 1- Introduction 2- Les différentes études 3- Les bases de données 4- Comment chercher un article 5- Lecture critique d article Rédaction : Antoine
Plus en détailL ANALYSE COUT-EFFICACITE
L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailLe Comité Scientifique a traité les questions suivantes : «Association reconnue d utilité publique» - 1 -
- 1 - Prise de position de l'association Française pour l'etude du Foie (AFEF) sur les trithérapies (Peg-IFN + ribavirine + inhibiteur de protéase) dans la prise en charge des malades atteints d'hépatite
Plus en détailProcédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles. 2.1.003 Version
Numéro de PNF: Remplace: Objet: Procédure normalisée de fonctionnement du RCBT Demande d informations additionnelles 2.1.003 Version Demande d informations additionnelles Date d entrée en vigueur Catégorie
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailQUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?
QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailSuivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants
Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailExiOuest 2009. Résultats de l enquête ExiOuest 2009 sur l'ingénierie des exigences. Enquête en ligne de Juillet à Octobre 2009 sur www.exibri.
ExiOuest 2009 Résultats de l enquête ExiOuest 2009 sur l'ingénierie des exigences Enquête en ligne de Juillet à Octobre 2009 sur 1 ExiOuest 2009 ExiOuest 2009 a reçu plus de 80 réponses. Nous avons éliminé
Plus en détailAlemtuzumab (Lemtrada * ) réduit significativement les rechutes dans la sclérose en plaques comparé à l interféron Bêta-1a dans une étude de Phase III
COMMUNIQUE DE PRESSE Alemtuzumab (Lemtrada * ) réduit significativement les rechutes dans la sclérose en plaques comparé à l interféron Bêta-1a dans une étude de Phase III - Présentation de nouvelles données
Plus en détailNACO et Angioplas>e. Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière
NACO et Angioplas>e Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière Disclosures Research Grants from «Fédéra>on Française de Cardiologie» Consul>ng fees from Astra Zeneca,
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailTraitement de consolidation dans les cancers de l ovaire
Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d
Plus en détailUnité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012
Visite de pré-sélection Visite de Mise en place Murielle COURREGES-VIAUD, ARC Laurence GUERY, ARC responsable Assurance Qualité Véronique JOUIS, Coordinatrice des ARCs Responsable Logistique Unité de Recherche
Plus en détailLES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES
COMMUNIQUE DE PRESSE N 213 12 Juin 2012 LES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES A l issue d une réunion d une semaine regroupant des spécialistes internationaux, le Centre international de
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détail