LE BILAN SOCIETAL ASSOCIATIF
|
|
- Matthieu Vincent
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LE BILAN SOCIETAL ASSOCIATIF «S évaluer ensemble, pour progresser ensemble» Journées professionnelles de l ANDML Marseille 8 et 9 Juin 2011 «L avenir, tu n as pas à le prévenir. Tu as à le permettre.» Antoine de SAINT-EXUPERY 1
2 Le Bilan Sociétal Associatif Une présentation en 3 temps : 1 Ce qu est le BSA : un outil et une démarche 2 - De l intérêt du BSA pour les Missions Locales! 3 L expérimenter pour l adapter aux spécificités des Missions Locales? 2
3 1- Ce qu est le Bilan Sociétal Associatif Une «construction collective» Le Bilan Sociétal est issu des acteurs de l Economie Sociale et portée par le CJDES (Centre des Jeunes Dirigeants de l Economie Sociale) Un outil et une démarche souple, adaptable aux spécificités des organismes qui y font appel, tout en conservant le cœur et la rigueur de la méthodologie de référence 3
4 1- Ce qu est le Bilan Sociétal Associatif Le Bilan Sociétal a ainsi été adapté et mis en œuvre dans des organisations diverses : Des mutuelles (MSA, MAIF, MACIF ) Des banques coopératives (Groupe Arkéa / Crédit Mutuel de Bretagne) Des associations de tous secteurs et toutes tailles (Maison de Quartier, grandes associations du médico social, FJT, Centre social, Des petites entreprises : SCOP de 10 à 50 salariés Le BSA est soutenu par des collectivités territoriales. Ex. des Conseils régionaux de Bretagne et Provence Côte d Azur (appel à projet permanent pour un appui au financement) 4
5 1- Ce qu est le Bilan Sociétal Associatif Le BSA, un outil participatif d évaluation en vue de l amélioration des pratiques et de la gouvernance «Un moyen d évaluer son activité au regard de ses valeurs et de ses engagements» «Un outil de confrontation des pratiques et des valeurs» «Une démarche d aide au dialogue» (interne et interne / externe) 5
6 1- Ce qu est le Bilan Sociétal Associatif «Une occasion de valoriser ce que l on fait, ce que l on "produit " et de communiquer» sur ses valeurs ajoutées. «Une façon dynamique de (re)définir, d actualiser son projet associatif» en y associant les différentes parties prenantes (acteurs), qu elles soient internes ou externes 6
7 1- Ce qu est le Bilan Sociétal Associatif L originalité / spécificité du BSA : une méthode d évaluation croisée qui se distingue du «tout quantitatif» Le BSA implique les différentes «parties prenantes» (acteurs) de l association en les questionnant sur les mêmes thèmes : Parties prenantes internes : administrateurs, salariés, bénévoles Parties prenantes externes : usagers / clients, fournisseurs, partenaires, financeurs 7
8 1- Ce qu est le Bilan Sociétal Associatif Les thématiques de questionnement et de réflexion recouvrent les 3 piliers du Développement Durable : L économique Le Social L environnemental L armature du BSA est un questionnaire de 160 questions, réparties en 9 domaines. Chaque question se trouvant au croisement d un domaine de l organisation et d un (ou plusieurs) critère d analyse 8
9 Les 3 piliers du développement durable Les 9 Domaines de l'association, étudiés par le Bilan Sociétal 1. Activités, produits et relations clients/utilisateurs I. Activité économique 2. Gestion économique 3. Anticipation - Innovation - Prospective 4. Production Organisation du travail II. Travail et relations sociales 5. Ressources humaines. 6. Acteurs internes - Citoyens de l'entreprise 7. Environnement humain, Social et Institutionnel III. Environnement naturel et communautaire 8. Environnement bio-physique 9. Finalités - Valeurs 9
10 Les 15 critères du Bilan Sociétal sont centrés sur les valeurs et constituent le canevas du diagnostic réalisé. Critères Définition Activité Rapport entre l'occupation observée et les potentialités offertes par les ressources humaines et les équipements. Compétitivité Capacité à faire face à la concurrence en s'adaptant aux évolutions du marché. Viabilité Capacité de l'organisation à assurer sa longévité et sa pérennité. Citoyenneté et participation internes Capacité de l'organisation à promouvoir la démocratie interne et à construire sa gouvernance. Créativité Capacité d'innovation, de développement de nouvelles idées. Convivialité Capacité à entretenir des rapports positifs entre les personnes. Citoyenneté externe Modes de comportement avec les acteurs de l'environnement géographique immédiat visant à œuvrer dans un intérêt commun ou général. Modes de comportement avec les partenaires économiques externes visant à œuvrer dans un intérêt commun. 10
11 Critères Employabilité et développement des compétences Définition Capacité à développer des compétences individuelles et collectives (organisation apprenante, qualifiante ) et à fournir un potentiel d'emploi à chaque salarié. Efficacité et efficience Rapport entre les résultats obtenus et les objectifs prévus. Rapport entre les résultats obtenus et les moyens ou ressources utilisées. Ethique Capacité à respecter des valeurs et des engagements auxquels l'organisation adhère. Principe de précaution et de prévention Capacité à prévenir les risques encourus par les personnes, les biens et l'environnement naturel. Satisfaction Capacité à répondre aux attentes des consommateurs et / ou des salariés dans leur travail. Utilités sociale et collective Capacité à fournir un service ou produit répondant à un besoin peu ou mal satisfait. Solidarité Capacité de l entreprise à l'assistance, à l intégration de publics prioritaires et au soutien à des actions sociales et humanitaires. Esthétique Capacité à fournir une qualité visuelle visant à l'harmonie des formes et des couleurs. 11
12 1- Ce qu est le Bilan Sociétal Associatif Un outil et une démarche souples, adaptables aux spécificités de l organisme L outil «questionnaire» est très ouvert : Mobilisable de façon variable, selon les organisations, et les parties prenantes que celle-ci définit et mobilise Ajustable, dans sa forme (vocabulaire) et également son contenu : possibilité de contextualiser le questionnement (rajout de thématiques et questions spécifiques ) 12
13 1- Ce qu est le Bilan Sociétal Associatif La démarche de mise en œuvre du BSA est co-construite avec l organisme : Définition des différentes parties prenantes, internes et externes Modalités de «passation du questionnaire» : entretiens, tables rondes pour enrichir les réponses au questionnaire par «du qualitatif» Mobilisation des différentes parties prenantes tout au long de la démarche : diagnostic, restitution pour aboutir à un diagnostic partagé, mise en perspective par l élaboration d un plan d actions 13
14 Le déroulement concret d un BSA Phase 1 Phase 2 Définition du périmètre - quelles parties prenantes - quels établissements Adaptation - vocabulaire - problématiques spécifiques à l association Organisation - communication auprès des parties prenantes - organisation des tables rondes Collecte de l information - renseignement du questionnaire par les parties prenantes - renseignement du questionnaire technique par la direction de l association - échanges avec la direction, recueil de la documentation interne Phase 3 Analyse - analyse des données collectées - rédaction du rapport Bilan Sociétal Restitution - restitution de l analyse à la direction - Restitution aux autres parties prenantes T0 T+3mois T+4mois Définition et mise en œuvre d un plan d action par l association, si possible avec ses parties prenantes 14
15 1- Ce qu est le Bilan Sociétal Associatif Le BSA n est donc pas un outil d autoévaluation Il est réalisé par un «analyste sociétal», extérieur à l organisme et agréé par le CJDES. Ainsi les questions «difficiles» ou «qui fâchent» ne sont pas mises sous le tapis un outil de «notation», il ne se réfère pas à un outil normatif. S il se réfère à la norme ISO 26000, et constitue un outil opérationnel pour sa mise en œuvre, c est justement parce que celle-ci est une «norme hors norme» 15
16 2 - De l intérêt du BSA pour les Missions Locales Le BSA représente un outil et une démarche permettant : de mobiliser la communauté professionnelle qu est une Mission Locale et lui permettre de relever la tête et d échapper à la pression du «présentéisme». de retrouver du sens et de la cohérence : de la «professionnalité» 16
17 2 - De l intérêt du BSA pour les Missions Locales de poser les bases du Projet Associatif de Structure (PAS) qui rappelons le est une obligation depuis 2007 mais pas encore une réalité pour toutes les Missions Locales «Le financement des ML s inscrit dans le régime des subventions: il est accordé sur la base d un projet associatif présenté par le Président de la ML. Il doit s assurer d une cohérence entre les objectifs fixés en fonction des besoins du territoire et l allocation des moyens par l Etat». Extrait de la circulaire DGEFP n du 12/10/2007 relative au financement du réseau des ML et PAIO 17
18 2 - De l intérêt du BSA pour les Missions Locales (Re)conquérir la RSE Le BSA s inscrit dans le grand mouvement de la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE), et en amont du Développement Durable Les Missions Locales, dont la généalogie renvoie à l éducation populaire et au changement social, ont toute légitimité pour promouvoir la RSE et ne pas la laisser au seul secteur marchand! 18
19 2 - De l intérêt du BSA pour les Missions Locales Un outil et une démarche pour le PAS Le BSA n est pas une «Nième» méthode d évaluation qui impacterait par exemple celle du référentiel d évaluation des missions de service public (CNML). Sa justification est paradoxalement moins dans le volet «évaluation» que dans ce que celui-ci permet : d une part concevoir un PAS, d autre part renforcer et enrichir le dialogue social et les partenariats 19
20 2 - De l intérêt du BSA pour les Missions Locales Une approche globale La première qualité du BSA est au bout du compte la même que celle épicentrale des missions locales : on est dans une approche globale, «systémique / holistique», qui multiplie parce que la démarche en fait un prérequis - les points de vue. Le BSA n est pas sectoriel mais multidimensionnel. Il s inscrit dans la pensée complexe s opposant à la pensée disjonctive, réductrice 20
21 2 - De l intérêt du BSA pour les Missions Locales et une démarche participative La seconde qualité du BSA réside dans sa dynamique participative : les ressources, donc les solutions, sont dans les acteurs euxmêmes et il faut mettre en place les conditions d un dialogue social élargi avec un appui extérieur (reformulation, proposition de convergences, maïeutique, intermédiation ). Le BSA n est pas une démarche technocratique descendante mais une démarche ascendante, participative. 21
22 3. L expérimenter pour l adapter aux spécificités des Missions Locales? L outil et la démarche de BSA nécessite une adaptation pour être opérationnel et probant pour les Missions Locales Les Missions Locales représentent en effet une forme particulière «d hybridation associative» compte tenu de leur gouvernance particulière : Composante «politique» Composante «institutionnelle» Composante «société civile» (acteurs économiques, acteurs associatifs ) 22
23 3. L expérimenter pour l adapter aux I spécificités des Missions Locales? Il faut donc pouvoir adapter le questionnement, la démarche elle-même pour bien prendre en compte les différentes logiques d acteurs, leurs intérêts particuliers et dépasser «l incommunicabilité» découlant des logiques sectorielles qui sont à l œuvre : Etat : emploi Région : formation professionnelle Département : social Commune, EPCI = «transversalité» 23
«S'évaluer ensemble pour progresser ensemble»
Guide du Bilan Sociétal PME «S'évaluer ensemble pour progresser ensemble» Développement territorial durable Engagement citoyen Transparence. Participation des salariés Respect de l environnement Utilité
Plus en détailProjet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire
Projet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire Étude de préfiguration Restitution aux acteurs 15 octobre 2008 Dossier remis aux participants 1 Version n 3 Sommaire Méthodologie Priorités
Plus en détail1 - Diag26000. Le réseau de partenaires. La formation partenaires. Diag26000. FORMITEL. Stratégie méthode - outils
1-1 2 3 Le réseau de partenaires La formation partenaires co-construit par des experts Issu d'un groupe de travail Centrale Ethique, Diag2600 permet de réaliser un diagnostic RSE basé sur les 7 questions
Plus en détailDéfinir et consolider son projet associatif
FICHE PRATI QUE Définir et consolider son projet associatif L association se place sous le signe de la liberté : celle de se regrouper pour prendre collectivement une initiative. De l idée à la conception,
Plus en détailPréparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014
Préparation des contrats de ville Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Contenu des contrats de ville 3 piliers Cohésion sociale Cadre de vie et renouvellement urbain (y compris hors NPNRU) Développement
Plus en détailArticle225: Guide sectoriel CNCC Audition plateforme RSE, 20 février 2014
Article225: Guide sectoriel CNCC Audition plateforme RSE, 20 février 2014 Jean-Michel Silberstein Délégué Général CNCC Christophe Garot CNCC UNIBAIL-RODAMCO Le CNCC Le CNCC, Conseil National des Centres
Plus en détailTROPHEE RSE DE LA PROFESSION COMPTABLE 2014 CATEGORIE MEILLEURE DEMARCHE RSE
TROPHEE RSE DE LA PROFESSION COMPTABLE 2014 CATEGORIE MEILLEURE DEMARCHE RSE Nom de la société : Adresse : INFORMATIONS GÉNÉRALES N téléphone : Adresse de messagerie : Etablissement(s) secondaire(s) ou
Plus en détailCOOPERATIVES D ACTIVITES ET D EMPLOI : ENTREPRENEUR SALARIE DANS UNE ENTREPRISE PARTAGEE?
COOPERATIVES D ACTIVITES ET D EMPLOI : ENTREPRENEUR SALARIE DANS UNE ENTREPRISE PARTAGEE? Une idée simple Parcours classique Créer sa propre entreprise Porteur de projet souhaitant vivre de son savoir-faire
Plus en détailACTIVITES PROFESSIONNELLES DE FORMATION : BACHELIER EN MARKETING
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION ACTIVITES
Plus en détailCHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013
1 CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 2 Groupama Asset Management s engage par le biais de cette présente Charte à appliquer et promouvoir une politique de Responsabilité Sociale de
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détailREFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE
REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE Le monde de la formation est en plein bouleversement,
Plus en détailDELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL
REUNION DU 20 JUILLET 2012 DELIBERATION N CR-12/05.340 DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL SCHEMA REGIONAL DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET DE L'EMPLOI Stratégie régionale de développement de l'économie sociale
Plus en détailGuide sur les initiatives RSE sectorielles Fiche n 6 Engagements RSE dans le secteur des industries électriques, électroniques et de communication
MEDEF - ORSE octobre 2014 Guide sur les initiatives RSE sectorielles Fiche n 6 dans le secteur des industries électriques, électroniques et de communication Fédération des Industries Electriques, Electroniques
Plus en détailLa Région facilite l accès au crédit bancaire des entreprises de l économie sociale et solidaire
Mercredi 22 juin 2011 La Région facilite l accès au crédit bancaire des entreprises de l économie sociale et solidaire Muriel PIN 04 67 22 93 87 /// 06 07 76 82 05 pin.muriel@cr-languedocroussillon.fr
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC
METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente
Plus en détailFormation aux écrits professionnels
Quelles pratiques pour développer la de base dans les services publiques, les entreprises et faciliter l accès à la validation des acquis de l expérience? Résumé : Formation aux écrits professionnels Groupe
Plus en détailvendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national innover et entreprendre créer son emploi
vendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national de S l économie ociale & olidaire entrée libre innover et entreprendre créer son emploi FondeR son association epargner
Plus en détailIntroduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury
Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury Lucile Manoury Chargée d études, Collège coopératif, Aix-en-Provence Bonjour à tous. Je vais vous faire une présentation un peu théorique
Plus en détailCHARTE BUDGET PARTICIPATIF
CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes
Plus en détailREFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312
REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE
Plus en détailMINISTERE DES FINANCES ET DE LA PRIVATISATION. Principes du système
MINISTERE DES FINANCES ET DE LA PRIVATISATION Principes du système ebudget : Sommaire ebudget Définition & objectifs clés Apports et atouts Pour un cadre amélioré de la gestion budgétaire En chiffre Technologie
Plus en détailTransport, logistique, Supply Chain * sdv.com. *Chaîne logistique
Transport, logistique, Supply Chain * sdv.com *Chaîne logistique AMÉRIQUES 45 agences 8 pays 950 collaborateurs Europe 157 agences 22 pays 5 710 collaborateurs ASIE-PACIFIQUE 136 agences 24 pays 3 950
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailPRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE
PRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE 1. Règlement des études Habilité par arrêté du Ministère français de l Enseignement Supérieur et de la Recherche, le Master «Maîtrise
Plus en détaileduscol Santé et social Enseignement d'exploration
eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile
CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile A.N.F.A. Département Ingénierie et Compétences Mars 2013 SOMMAIRE INFORMATIONS
Plus en détailMBA Spécialisé en Alternance
MBA Spécialisé en Alternance "Stratégie du Développement Durable" Diplôme d'etat de Niveau I enregistré au Registre National des Certifications Professionnelles JO du 14 Avril 2012 2 2013 / 2014 Groupe
Plus en détailEDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL
EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,
Plus en détailPROJETS ARTISTIQUES COMMUNAUTAIRES
PROJETS ARTISTIQUES COMMUNAUTAIRES ART COMMUNAUTAIRE CONTEXTE Les arts communautaires ne sont pas nouveaux. Ils se différencient des autres formes artistiques par leur engagement social. C est une méthode
Plus en détailSOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT
SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction
Plus en détailFESTIK propose un service de réservation et de vente en ligne de billets pour des structures culturelles ou artistiques, quelle que soit leur taille.
FESTIK propose un service de réservation et de vente en ligne de billets pour des structures culturelles ou artistiques, quelle que soit leur taille. Avec un objectif : mettre la culture à la portée de
Plus en détailUn projet d'entreprise sociale et solidaire?
Un projet d'entreprise sociale et solidaire? Programme Qu'est-ce qu'une entreprise sociale et solidaire? Objectif : repérer les éléments fondateurs de ce type de projets Les réponses de l'adress Objectif
Plus en détailNous avons besoin de passeurs
1 Nous avons besoin de passeurs «Lier pratiques culturelles et artistiques, formation tout au long de la vie et citoyenneté» François Vercoutère Du point de vue où je parle, militant d éducation populaire
Plus en détailPRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE 1. Règlement des études
PRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE 1. Règlement des études Habilité par arrêté du Ministère français de l Enseignement Supérieur et de la Recherche, le Master «Maîtrise
Plus en détailMaster Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage. Organisation de la formation
Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage Organisation de la formation Ce document a pour objet de présenter le contenu des cours des deux années du Master Audit Contrôle Finance d entreprise
Plus en détailRéforme de la politique de la ville. Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014
Réforme de la politique de la ville Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014 Restitution de l atelier n 3 : Intitulé : Les communes et agglomérations concernées par
Plus en détailNOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2
NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /
Plus en détailPromouvoir l identité coopérative via la RSE? Quelques premiers résultats sur données européennes et françaises
Promouvoir l identité coopérative via la RSE? Quelques premiers résultats sur données européennes et françaises Nadine Richez-Battesti (Lest et Université de la Méditerranée) nrichezbattesti@wanadoo.fr
Plus en détailCatalogue des services intégrés
Responsabilité sociétale et reporting extra-financier Catalogue des services intégrés FORMATION, CONSEIL & ACCOMPAGNEMENT 2014 Pour en savoir plus Dolores.larroque@materiality-reporting.com Tel. 06 86
Plus en détailRenforcer la mobilisation du droit commun
Dossier ressources Comprendre le droit commun pour le renforcer dans les quartiers Dans son article 1 er, la loi pour la ville et la cohésion urbaine précise : «La politique de la ville mobilise et adapte,
Plus en détailMASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE SPECIALISATION MANAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE
MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE SPECIALISATION MANAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE Diplôme Européen reconnu par la Fédération Européenne des Ecoles ; www.fede.org - BAC+5 Présentation
Plus en détailLe cahier des charges du 2 ème appel à projets d Alter Incub Rhône-Alpes, l incubateur régional d entreprises sociales, précise le contexte dans
Le cahier des charges du 2 ème appel à projets d Alter Incub Rhône-Alpes, l incubateur régional d entreprises sociales, précise le contexte dans lequel s inscrit Alter Incub ainsi que les modalités et
Plus en détailLA DÉMARCHE DE VEILLE S.A. MARCHAND PREMIERE PARTIE : AUDIT SUR LA COMMUNICATION INTERNE
LA DÉMARCHE DE VEILLE S.A. MARCHAND PREMIERE PARTIE : AUDIT SUR LA COMMUNICATION INTERNE La question posée s inscrit dans une démarche d amélioration de la circulation de l information. questionnaire d
Plus en détailDirection de l Entreprise - OUTILS DE PILOTAGE DE L ENTREPRISE (OPE) «Gestion de la P.M.E, gérer un Centre de Profit»
Direction de l Entreprise - OUTILS DE PILOTAGE DE L ENTREPRISE (OPE) «Gestion de la P.M.E, gérer un Centre de Profit» Public visé : - Prendre du recul sur l action quotidienne, d élargir sa Dirigeants,
Plus en détailUne loi de reconnaissance de l'economie Sociale et Solidaire
Une loi de reconnaissance de l'economie Sociale et Solidaire Ensemble, Entreprendre Autrement 1 1. Principes, périmètre et bonnes pratiques : ce que dit la loi Ensemble, Entreprendre Autrement 2 Des principes
Plus en détailL approche Casino en matière de développement durable?
L approche Casino en matière de développement durable? 1 Les principaux enjeux pour Casino Optimiser la conception et la gestion des magasins (énergie, paysage, ) Environnement Maîtriser les impacts du
Plus en détailSecteur géographique des actions Pays du Centre Bretagne
FICHE ACTION 1 : Mise en accessibilité des locaux recevant du public dans les entreprises artisanales et commerciales Descriptif et méthodologie de mise en œuvre 1 ère phase : Sensibilisation collective
Plus en détailCOMMUNICATION SUR LE PROGRES GLOBAL COMPACT
COMMUNICATION SUR LE PROGRES GLOBAL COMPACT NOVEMBRE 2013 2 Le mot de la direction Lorsque nous avons fondé NEXEO, nous avions déjà une expérience significative du métier de la prestation intellectuelle
Plus en détailEtre societaire, pour vivre la banque autrement.
PREAMBULE Se fondant tout particulièrement sur la notion de valeurs, les coopératives ont montré qu elles constituaient un modèle commercial, robuste et viable, susceptible de prospérer même pendant les
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailSondage sur la volonté d améliorer la gouvernance
Sondage sur la volonté d améliorer la gouvernance Ce Sondage sur la volonté d améliorer la gouvernance a été adapté, avec la permission de Quantum Transformation Technologies, de son Governance & Managerial
Plus en détailEtude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011
Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description
Plus en détailRendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.
Rendez-vous de l ESS régionale Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.org %! "! $!!" # % " Les entreprises d économie sociale et solidaire
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention
REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention Les transformations sociales, la territorialisation et la complexité croissante des dispositifs liés aux
Plus en détail3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2.
Appel à proposition Projet Alimen terre Un système d'alimentation local sur le Pays de Vannes 3 ème année Avec près de 60 % de surfaces agricoles, l agriculture demeure prépondérante sur notre territoire.
Plus en détailFinance pour non financiers
Finance pour non financiers Managers non financiers Responsables opérationnels ayant à dialoguer avec les comptables et les financiers Savoir communiquer avec les financiers dans l entreprise : comptabilité,
Plus en détailLE GROUPE MACIF ET LA RSE
LE GROUPE MACIF ET LA RSE SOMMAIRE Présentation du Groupe MACIF, ses engagements RSE Quelle organisation, quelle prise en compte dans les pratiques internes Quelles réponses aux enjeux RSE dans le cœur
Plus en détailLe nouveau programme national de renouvellement urbain. CRDSU septembre 2014
Le nouveau programme national de renouvellement urbain CRDSU septembre 2014 Un nouveau programme de renouvellement urbain! Un projet à l échelle de l agglomération, un projet intégré : le contrat de ville!
Plus en détailCONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER
CONTROLE GENERAL ECONOMIQUE ET FINANCIER MISSION AUDIT 3, boulevard Diderot 75572 PARIS CEDEX 12 CONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER CHARTE DE L'AUDIT Validée par le comité des audits du 4 avril 2012
Plus en détailQuestion avec des mots clés. La réponse de ResEnTer. Entreprises. Simplifier les relations. Monter en maturité/thémathique
La communauté au service de l intêret général Question avec des mots clés La réponse de ResEnTer Favoriser les circuits courts Evaluer impact socio-économiques Mettre en relation les acteurs Entreprises
Plus en détailGestion Participative Territoriale :
!!" #!#$ # % #% Touiza Solidarité Evaluation ex post et externe Gestion Participative Territoriale : François Durand Consultant ITG Paris Foued Chehat Expert associé 1 Le cadre de l évaluation Le projet
Plus en détailConférence ISR 2015. Mercredi 13 mai 2015 - Paris. intervenant
Mercredi 13 mai 2015 - Paris AIRBAKE I ALL-CLAD I ARNO I ASIAVINA I CALOR I CLOCK I IMUSA I KRUPS I LAGOSTINA I MAHARAJA. WHITELINE I MIRRO I MOULINEX I PANEX I intervenant ROCHEDO I ROWENTA I SAMURAI
Plus en détailTerritoire. Territoire. Parc d activités économiques. Quartier populaire
rural Centre-ville Quartier populaire Parc d activités économiques Problématique Problématique enclavé Banlieue pavillonnaire Problematique Problematique Insertion Petite enfance Problématique Problématique
Plus en détailGroupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences
Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Réunion 3 11 décembre 2013 Ivry-sur-Seine Fiche synthèse Réunion 3 Emploi, formation, compétences Groupe animé par Patrick Loire, directeur des relations
Plus en détailDéveloppement rural 2007-2013. Document d orientation
Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES
Plus en détailQuestionnaire Entreprises et droits humains
Membres du Avec & Asset Management Questionnaire Entreprises et droits humains 1 2 Présentation des organisations Le CCFD-Terre Solidaire est la première association française de développement. Elle a
Plus en détailAssurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013
Assurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013 Depuis 2009, les sociétés d assurance de la FFSA et du GEMA ont engagé une démarche volontaire de réflexion et d actions en matière
Plus en détailAppel à projets. Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne
Appel à projets Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne Date limite : mercredi 25 février 2015 à 12h 1. Contexte La loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine
Plus en détailVade-mecum pour la présentation d un projet de club
Vade-mecum pour la présentation d un projet de club Ce document a pour objectif de donner quelques repères pour la présentation du projet de club : description, valorisation et priorisation des objectifs.
Plus en détailLes partenariats associations & entreprises
Les partenariats associations & entreprises Initier ou renforcer une politique de partenariats avec les entreprises Novembre 2011 Référentiel réalisé en partenariat avec et Edito Avec leurs 1,9 millions
Plus en détailDiagnostic sur les besoins des acteurs en matière de formation à la gestion de la qualité des projets humanitaires: Présentation des résultats
Diagnostic sur les besoins des acteurs en matière de formation à la gestion de la qualité des projets humanitaires: Présentation des résultats P. Brunet, D. Kauffmann et C. Nussbaum 20 Novembre 2008 Méthodologie
Plus en détailLOI DU 31 JUILLET 2014 RELATIVE A L ESS 25 JUIN 2015
LOI DU 31 JUILLET 2014 RELATIVE A L ESS 25 JUIN 2015 POINTS CLES DATES - 2000 Guy Hascoët - 1 er secrétaire d Etat à l ESS propose une loi - 2010 premier rapport par Francis Vercamer - 2011 Benoit Hamont
Plus en détailAlphonse Carlier, Intelligence Économique et Knowledge Management, AFNOR Éditions, 2012.
1 Du même auteur chez le même éditeur Alphonse Carlier, Intelligence Économique et Knowledge Management, AFNOR Éditions, 2012. AFNOR 2013 Couverture : création AFNOR Éditions Crédit photo 2011 Fotolia
Plus en détailAGEFOS PME Nord Picardie Appel à propositions MutEco Numérique Picardie 2015 1
APPEL A PROPOSITIONS MUTECO NUMERIQUE 2015 PICARDIE Le présent cahier des charges s adresse aux organismes de formation souhaitant se positionner sur le projet mutations économiques porté par AGEFOS PME
Plus en détailMASTER 1 MANAGEMENT DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES ET DES TERRITOIRES
MASTER 1 MANAGEMENT DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES ET DES TERRITOIRES Libellé de l UE (Unité d enseignement) et de l EC (Elément constitutif) SEMESTRE 1 S1 : UE OBLIGATOIRES Management public et stratégie
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détail«Quel Syndicalisme pour Demain?»
«Quel Syndicalisme pour Demain?» Février 2010 OpinionWay Mathieu Doiret - 15 place de la République 75003 Paris 01 78 94 90 00 Méthodologie page 2 Méthodologie Étude réalisée auprès d un échantillon représentatif
Plus en détailADEME : Colloque Produits Verts. Intégrer les préoccupations RSE (responsabilité environnementale et sociale d entreprise) dans le processus achat
ADEME : Colloque Produits Verts Intégrer les préoccupations RSE (responsabilité environnementale et sociale d entreprise) dans le processus achat Juin 2008 Une solution dédiée à vos achats responsables
Plus en détailLa gouvernance dans les grandes associations et fondations
La gouvernance dans les grandes associations et fondations Institut Français des Administrateurs Evaluer son Conseil d administration 7 rue Balzac 75008 PARIS Tel. : 01 55 65 81 32 - email : contact@ifa-asso.com
Plus en détailConseil National du Numérique E-inclusion. Contribution d Arsenic juin 2013
Conseil National du Numérique E-inclusion. Contribution d Arsenic juin 2013 A. Quels seraient les destinataires et quels seraient les objectifs absolument prioritaires. Arsenic est un réseau d acteurs
Plus en détailZOOM SUR. le métier du SFE. N 5 Janvier 2012. Un nouveau regard sur la stratégie opérationnelle de l industrie pharmaceutique
Un nouveau regard sur la stratégie opérationnelle de l industrie pharmaceutique N 5 Janvier 2012 Prochain numéro Mai 2012 ZOOM SUR le métier du SFE Magazine réalisé par l équipe de consultants du cabinet
Plus en détailBILAN DE CARRIERE. La convergence de 2 mondes : Les Ressources Humaines Le développement personnel & l engagement relationnel www.elansol.
- 1 - Conseil RH et Formation BILAN DE CARRIERE La convergence de 2 mondes : Les Ressources Humaines Le développement personnel & l engagement relationnel www.elansol.fr L heure est au changement et, pour
Plus en détailLa Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH
La Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH www.lmde.com La Mutuelle des Étudiants - LMDE : mutuelle soumise aux dispositions du livre II du code de la Mutualité. SIREN 431 791 672. Siège
Plus en détailÉDITORIAL. Chiffres Clés. 29% des emplois. 11% des établissements employeurs de la région
ÉDITORIAL Les mutations environnementales, économiques et sociales n ont de cesse et depuis quelques années nous ressentons que cette vitesse d évolution tend à devenir exponentielle Que sera demain? Cette
Plus en détailPlan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015
Plan Local de Développement de l Économie Sociale et Solidaire 2011-2015 MAI 2011 1 Sommaire 1. Eléments de contexte... 3 1.1 L économie sociale et solidaire à Lille, Lomme et Hellemmes en quelques chiffres..4
Plus en détailBILANS REGIONAUX DE L EMPLOI
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de
Plus en détailISO26000. La nouvelle norme internationale de Responsabilité Sociétale. -Juin 2012 - En partenariat avec
ISO26000 En partenariat avec La nouvelle norme internationale de Responsabilité Sociétale -Juin 2012 - ISO 26000 : le fruit d un long travail international d application concrète des principes du Développement
Plus en détailECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE
ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs
Plus en détailDocument d accompagnement pour le référentiel national du C2i niveau 2 Métiers de l environnement et de l aménagement durables
Document d accompagnement pour le référentiel national du C2i niveau 2 Métiers de l environnement et de l aménagement durables A - Compétences générales et transversales liées à l exercice des métiers
Plus en détailLA LUTTE CONTRE LES DISCRIMINATIONS DANS LES CONTRATS DE VILLE DU LANGUEDOC-ROUSSILLON
PREFET DE LA REGION LANGUEDOC ROUSSILLON Direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale Pôle Cohésion sociale Territoriale Montpellier, le 19 juin 2015 Dossier suivi par Rodolphe
Plus en détailDéveloppement durable et PME. Introduction à la démarche
Développement durable et PME Introduction à la démarche 1. INTRODUCTION Les TPE, PME et PMI le savent aujourd hui : elles doivent s employer à limiter leur impact sur l environnement, mais également intégrer
Plus en détailUn profil singulier. écoute, performance et innovation, Des réponses adaptées. Un peu d histoire pour éclairer le présent
Profondément humain Un peu d histoire pour éclairer le présent Créée depuis 1999 en région Rhône-Alpes par des mutuelles interprofessionnelles partageant les mêmes valeurs mutualistes de solidarité, de
Plus en détailINNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :
INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération
Plus en détailPLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE
PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE Un certain regard sur les résultats 2011 Ce guide est cofinancé par l Union Européenne Ce guide est cofinancé par l Union Européenne PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE
Plus en détailPANORAMA. Economie sociale et solidaire dans l'entente. Décembre 2013. Chiffres-clés des entreprises et des emplois de l ESS
Economie sociale et solidaire dans l'entente PANORAMA Décembre 2013 Chiffres-clés des entreprises et des emplois de l ESS L économie sociale et solidaire (ESS) rassemble les entreprises qui cherchent à
Plus en détailCANDIDATURE PROGRAMME LOCAL DE FORMATION INTERFILIERES 2011-2013
CANDIDATURE PROGRAMME LOCAL DE FORMATION INTERFILIERES 2011-2013 1) Présentation du territoire du PLFI Les territoires Entre-deux-Mers et Graves et Sauternes se situent au cœur du vignoble Bordelais et
Plus en détailARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre
Plus en détail