UTILISATION DE L INTERFERON ALPHA PAR VOIE SUBLINGUALE EN DERMATOLOGIE

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1 THERAPEUTIQUE UTILISATION DE L INTERFERON ALPHA PAR VOIE SUBLINGUALE EN DERMATOLOGIE AKA BOUSSOU*, SILUE-SORHO**, ANY GRAH***. RESUME Dans une étude ouve rte non ra n d o m i s é e, effectuée au Centre de Dermatologie de Treichville et au dispensaire Pont de Tre i ch v i l l e, nous avons traité quelques derm atoses courantes, virales (zona, ve rru e, condy l o m e, molluscum contagiosum, herpès génital, va ricelle) et non virales (pru ri go) avec l interféron alpha par vo i e sublinguale. La posologie quotidienne utilisée a été de 200 Ul chez les enfants de moins de 10 ans et de 400 Ul chez les sujets de plus de 10 ans. Après 4 semaines de traitement, nous avons obtenu 66,66 % de bons résultats dans l ensemble. Les résultats ont été meilleurs chez les malades atteints de pru ri go associé ou non au VIH (100 %), de zona (100 %) et de verrue (66,66 %). Aucun effet indésirable clinique lié au traitement n a été noté. L i n t e r f é ron alpha par voie sublinguale constitue donc un traitement intéressant pour certaines derm at o s e s courantes. M o t s - clés : interféron alpha, derm atoses, effi c a c i t é, bonne tolérance. SUMMARY Sublingual alpha interferon efficacy trial in dermatology O b j e c t ive : To assess the safety and effi c a cy of sublingual alpha interferon in patients with various dermatosis of viral origin. Method : An open label study of Sublingual Alpha Interferon (200 or 400 IU) was conducted in 73 patients with various dermatological conditions : - zoster, - Warts, - Molluscum contagiosum, - Condyloma, - Chicken pox, - Herpes. Regimen Children aged 3-10 : 200 IU once daily Patients over 10 year : 400 IU Tid Duration : 90 days Follow up : day 14, day 30 and day 60. Parameters of efficacy/safety Regression of symptoms Adverse events RESULTS Prurigo : n = 14 > 100 % good results - 8 recoveries, - 6 improvements Condyloma : n = imrovements. 7 failures Genital warts : n = recoveries. 3 improvements > 66,66 % good results. 4 failures Other diseases : small sample size, did not allow statistical analysis. SAFETY: adverse event : 0 C o n clusion : Our results indicate that a low dose regimen with Sublingual Alpha Interfe ron is safe and effective for 3 months in over two-third of patients with various dermatological conditions. Results were even better in young patients and patients with prurigo, genital warts and zoster. Low dose of Sublingual Alpha Interferon is therefore a promising tre atment for the ab ove mentioned dermatological diseases. * Centre de dermatologie du CHU de Treichville. ** Dispensaire du Pont de Treichville. *** Centre de Santé de Blohern

2 483 AKA BOUSSOU, SILUE-SORHO, ANY GRAH I - INTRODUCTION L i n t e r f é ron alpha a des effets immu n o s t i mulants, antiprolifératifs et antiviraux. Un certain nombre de derm atoses s accompagnent d une baisse de l immunité, locale ou générale. L utilisation de l interféron alpha à dose plus ou moins élevée par voie parentérale a prouvé son efficacité en dermatologie dans de nombreuses affections (maladie de Kaposi, mélanome malin, etc...). Mais le coût élevé du traitement limite son utilisation, surtout dans les pays en développement. Depuis quelques années, les Laboratoires Roche ont mis sur le marché un interféron alpha par voie sublinguale. Cet interféron peu dosé (200 UI) s est avéré efficace dans différentes affections en dermatologie (5, 6, 7, 8, 9). Nous nous proposons de mener un essai clinique afi n d apprécier l efficacité et la tolérance de l interféron alpha sublingual et de proposer son utilisation dans le traitement de quelques dermatoses en Côte d Ivoire. Objectifs 1. Apprécier l efficacité de l interféron alpha sublingual dans le traitement de quelques dermatoses courantes, 2. Evaluer l innocuité de ce traitement 3. Juger de son utilisation en Côte d Ivoire. II - PATIENTS ET METHODES Il s agit d une étude pro s p e c t ive ouve rte non ra n d o m i s é e e ffectuée au Centre de derm at o l ogie du CHU de Tre i ch - ville et au dispensaire du Pont de Treichville. L étude a porté sur 73 malades tout venant, reçus en consultation. Les patients inclus dans l étude devaient être âgés de plus de 3 ans et atteints de l une de ces affections : * condylomes vénériens, * herpès génital, * molluscum contagiosum, * prurigo généralisé, * varicelle, * verrue, * zona. Le médicament était administré par voie sublinguale jusqu à sa fonte complète. La dose journalière a été de 200 Ul en une prise chez les enfants de 3 à 10 ans, et de 400 Ul chez les malades âgés de plus de 10 ans. Une fi che d enquête par malade a permis de re l ever les données épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques. Les malades étaient revus à J14 et à J30, éventuellement à J60 ou plus. L efficacité du produit a été évaluée sur la régression des signes fonctionnels ou des signes d examen des différentes affections. Les résultats sont classés en : - bons résultats : guérison et amélioration, - é chec : aucune modifi c ation ou aggravation des signes cliniques. III - RESULTATS III.1 Données épidémiologiques Sur 81 patients inclus dans l étude, nous avons re t e nu 73 malades. Les 8 autres ne sont pas revenus aux contrôles après la première consultation. La plupart des malades mariés ont un âge supérieur à 25 ans (86,66 %). III.2 Données cliniques III.2.1 Ancienneté des lésions L intervalle qui séparait le début des lésions et la consultation s étageait de 1 à 180 semaines, avec une moyenne de 18,84 semaines. III.2.2 Terrain Sur les 73 patients, nous avons eu : - 1 cas de dermatite atopique, soit 1,4 % de l effectif, - 17 cas de séropositivité VIH, soit 23,3 % de l effectif. III.2.3 observées (Tableau I) Tableau I : Répartition des affections chez nos malades Effectif % Condylome acuminé 21 28,8 Herpès 2 2,7 Molluscum contagiosum 7 9,6 Prurigo Varicelle 1 1,4 Verrue 20 27,4 Zona 3 4,1 Total

3 UTILISATION DE L INTERFERON 484 Les affections dues à HPV (condylome acuminé, ve rru e ) constituent la majorité des derm atoses inclues dans notre étude (56,2 %). III.3 Corrélations entre les différentes données Ill.3.1. Répartition des affections selon l âge Tableau II : Répartition des affections selon l âge / Age < Total Le molluscum contagiosum est l apanage des enfants d âge scolaire (66 des cas). Les verrues et le prurigo s observent à tout âge. III.3.2 Répartition des affections selon le terrain / Terrain Tableau III : Répartition des affections selon le terrain Dermatite atopique Aucun VIH Total Le prurigo est le plus souvent associé à l infection à VIH (68,42 %). III.3.3 Relation du terrain selon l âge La dermatite atopique a été notée chez un enfant de 6 ans. L infection à VIH a été observée avec prédilection dans la tranche d âge de 26 à 45 ans (68,75 %). Tableau IV : Répartition du terrain selon l âge Terrain/ Age (ans) Dermatite atopique Infection VIH Aucun Total < Total

4 485 AKA BOUSSOU, SILUE-SORHO, ANY GRAH III.3.4. Ancienneté selon le type d affection / Ancienneté (sem.) Tableau V : Répartition des affections selon l ancienneté Les malades ont consulté tôt après le début de leur affection lorsqu il existe un signe fonctionnel gênant tels prurit ou douleur. C est le cas pour le prurigo et le zona. III.3.5. Corrélation entre l ancienneté et le terrain < > Total Tableau VI : Ancienneté des affections en fonction du terrain Ancienneté / Terrain < > 25 Total Les malades infectés par le VIH consultent relativement plus tôt. III.3.6. Corrélation entre le sexe et les affections / Sexe DA VIH Aucun Total Tableau VII : Répartition des affections selon le sexe Féminin Masculin Total Les condylomes acuminés ont été plus observés chez la femme que chez l homme, alors que le prurigo et l herpès génital ont plus touché le sexe masculin. III.3.7. Relation entre le sexe et le terrain Tableau VIII : Répartition du terrain selon le sexe Sexe / Terrain Dermatite atopique Aucun VIH + Total Féminin Masculin Total Les sujets de sexe masculin sont plus infectés par le VIH que les sujets de sexe féminin (P = 0,02).

5 UTILISATION DE L INTERFERON 486 III.3.8. Corrélation entre les affections et la situation matrimoniale Tableau IX : Relation entre la situation matrimoniale et les affections Célibataire Marié Total La situation matrimoniale n influence pas le type d affection chez nos malades. III.3.9. Situation matrimoniale et terrain Nous avons noté 8 célibataires et 6 mariés séropositifs pour le VIH. III.4 Données thérapeutiques III.4.1. Posologie Chez 63 malades (86, 3 %), l Immunoplex a été administré à la dose de 1 comprimé 6 deux fois par jour, et chez 10 enfants âgés de moins de 10 ans à 1 comprimé par jour. Les malades qui ont bénéficié d un seul comprimé étaient atteints de molluscum contagiosum (4 cas), de pru ri go (1 cas) et de verrue (5 cas.). III.4.2. Durée du traitement La durée de suivi des malades s est étalée de 15 à 90 jours, avec une moyenne de 26,3 jours. Il n y a eu que 7 malades qui ont été suivis au-delà de la période déterminée avant l étude. Ils étaient surtout atteints de prurigo et de condylome acuminé ( tableau IX). Tableau X : Durée de suivi selon le type d affection / Durée (jours) Total III.4.3 Résultats du traitement III D une façon globale Nous avons perdu de vue 28 malades. La guérison, l amélioration et l échec ont été observés dans des pro p o rtions identiques (15 cas par groupe). Ce qui donne 66,66 % de bons résultats. A) Résultats selon les données épidémiologiques Les résultats ont été identiques quel que soit le sexe (P =0,10). La guérison a été plus fréquemment observée chez les sujets âgés de moins de 36 ans (P = 004).

6 487 AKA BOUSSOU, SILUE-SORHO, ANY GRAH B) Résultat selon les données cliniques a) Résultat selon le type d affection Tableau XI : Résultat selon le type d affection Résultat / Affection G A E Total Condylome Herpès Molluscum Prurigo Varicelle Verrue Zona Total Les bons résultats ont été observés chez les patients atteints de pru ri go (100 %), de ve rrues (66,66 %) et de zona (100 %). b) Résultats selon l ancienneté et le terrain L ancienneté de la lésion et l existence d une séropositivité VIH n ont pas modifié l évolution des lésions sous traitement (P = 0,24). c) Résultats selon les données thérapeutiques a) Résultats selon la posologie La posologie administrée chez le malade n a eu aucune influence sur résultat du traitement (P = 0,15). b) Résultats du traitement selon la durée du traitement. Tableau XII : Résultats du traitement selon la durée du traitement Résultat / Durée (jours) G A E Total Total Les bons résultats ont été notés chez les sujets qui ont suivi le traitement pendant plus de 15 jours ; néanmoins, ces résultats ne sont pas statistiquement significatifs (P = 0,21). III Résultats spécifiques A) Prurigo Les 14 malades atteints de pru ri go évalués ont tous reçu 2 comprimés d Immunoplex* par jour. Ils étaient âgés de 20 à 52 ans. Une régression complète des signes a été observée chez 8 malades, et une amélioration a été constatée chez 6 malades. Au total, nous avons obtenu 1 % de bons résultats. Ces résultats sont meilleurs chez les sujets de sexe masculin (7 guérisons), chez les sujets séropositifs (7 guérisons), dans la tra n che de 35 à 45 ans et après 1 mois de tra i t e - ment. Cependant, toutes ces données ne sont pas stat i s t i - quement significatives. B) Condylome D o u ze malades atteints de condylome acuminé ont pu être é valués. Ils ont tous été traités par 2 comprimés d Immu - noplex. Cinq malades ont eu une amélioration par le traitement. Chez 7 patients, il n y eu aucune modifi c ation des lésions. Ces résultats sont indépendants des données épidémiologiques cliniques et thérapeutiques (P = 1). C) Verrue Le traitement des verrues s est fait avec 1 ou 2 comprimés. Les résultats ont été les suivants : 3 améliorations, 5 guérisons et 4 échecs. Il n y a eu aucune influence sur ces résultats (P = 0,46). D) Les autres affections Les effectifs réduits des patients atteints d herpès, de molluscum contagiosum, de varicelle et de zona ne permettent pas d étude statistique. E) Maladies virales et maladies non virales La comparaison entre les affections d ori gine virale et le p ru ri go montre que les résultats sont meilleurs pour le prurigo (P = 0,002). Dans le groupe des affections virales, Ies herpès viro s e s (100 % de bons résultats) ont mieux répondu au traitement les papillomaviroses (54,16 %) et le molluscum contagiosum. Néanmoins, cette différence n est pas statistiquement significative (P = 0,25).

7 UTILISATION DE L INTERFERON 488 III.5 Tolérance Sur le plan clinique, aucun effet indésirable n a été noté. Nous n avons pas envisagé de bilan paraclinique chez ces malades. IV - COMMENTAIRES Un essai clinique a porté sur 73 malades tout venant, reçus en consultation de dermatologie. Il s agit de sujets re l at ivement jeunes (moyenne d âge = 27,6 ans), avec une légère prédominance féminine, (sex - ratio = 1,2) quel que soit le groupe d âge considéré. Tro i s - q u a rts des hommes sont mariés. Avant 26 ans, la plupart de nos malades sont célibataires. Les malades consultent tard ivement en général, après le début de leurs affections (en moyenne après 5 mois). La séro p r é valence VIH est élevée chez nos malades par rapport à la moyenne nationale (23,3 % contre 12 %). Ce taux élevé pourrait s expliquer par le nombre peu important de tests demandés (19 tests). En effet, le test a été proposé aux malades atteints de lésions profuses. Les malades inclus dans l étude étaient dans la plupart des cas, porteurs de lésions dues à des VPH (virus du papillome humain), c est-à-dire des condylomes acuminés ou des verrues. La deuxième place revient au prurigo, les herpès viroses (herpès génital, varicelle et zona) et le molluscum contagiosum représentent respectivement 8, 2 % et 9,6 % de l effectif. Hormis le molluscum contagiosum et la varicelle qui n ont été observés que chez les Enfants, les autres affections ont touché tous les âges. Un peu plus des 3/4 des malades infectés par le VIH sont atteints de pru ri go généralisé qui constitue un marq u e u r reconnu de l infection à VIH/SIDA. La majorité des malades séropositifs pour le VIH (81, 25 %) se situaient dans la tranche d âge sexuellement active (26 à 55 ans) et étaient de sexe masculin. L ancienneté des affections a été d autant plus courte que l a ffection s accompagnait de signes fonctionnels gênants tels que pru rit ou douleur. Ainsi, les malades atteints de p ru ri go, de condylome et de zona se sont présentés à la consultation la plupart du temps dans les 2 premiers mois de la maladie. Après un suivi moyen de 4 semaines, les résultats ont été jugés bons chez 2 malades sur 3. Ces bonnes réponses ont surtout été observées : - chez les sujets jeunes, moins de 36 ans), - en cas de prurigo, de zona et de verrue. Dans l ensembl e, le pru ri go a été plus amélioré que les affections virales. Un délai minimal de 15 jours a été nécessaire pour obtenir ces résultats. L interféron alpha par voie sublinguale a été bien accepté par les malades. Ceux-ci n ont signalé ni un problème de goût, ni d irritation locale, ni tout autre effet indésirable. CONCLUSION Dans cet essai clinique ouvert non randomisé, nous avons traité quelques dermatoses courantes, virales et non virales avec une posologie quotidienne de 200 UI ou 400 Ul d interféron alpha par voie sublinguale. Sur les 73 patients âgés de 3 à 53 ans, nous avons noté :. une légère prédominance féminine (sex - ratio = 1,2) quelle que soit la tranche d âge.. une majorité de célibataires,. les malades se présentaient tardivement à la consultation (5 mois en moyenne après le début de la maladie), - le prurigo a été plus souvent associé à l infection à VIH. Les résultats de l essai ont été sat i s faisants, avec 2/3 de bons résultats. Nos résultats ont été meilleurs chez les sujets jeunes et en cas de prurigo, de verrue et de zona. Aucun effet indésirable clinique n a été observé. Nous pouvons dire que l interféron alpha sublingual à doses faibles constitue une alternative intéressante dans le traitement de certaines dermatoses courantes. Nous proposons que : - chacune des affections évaluées dans ce travail fasse l objet d une étude comparat ive avec les traitements habituels, - un bilan paraclinique soit couplé à l étude clinique afin de mieux cerner les activités et les effets secondaires de l interféron per os.

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