Etat des travaux. Rapport du Conseil fédéral sur les enfants et jeunes atteints d un trouble envahissant du développement en Suisse:
|
|
- Suzanne Ariane Briand
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Sozialversicherungen BSV Rapport du Conseil fédéral sur les enfants et jeunes atteints d un trouble envahissant du développement en Suisse: Etat des travaux
2 Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Sozialversicherungen BSV Plan 1. Rappel historique 2. Résultats du rapport de recherche 3. Etat des travaux 4. Conséquences pour les institutions 5. Conclusion
3 Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Sozialversicherungen BSV 1. Rappel historique 2. Résultats du rapport de recherche 3. Etat des travaux 4. Conséquences pour les institutions 5. Conclusion
4 Le début 2012 Postulat Hêche Autisme et troubles envahissant du développement. Vue d'ensemble, bilan et perspectives 4
5 Objectif Examiner la situation des personnes autistes et souffrant d'autres troubles sévères du développement et de leur environnement. Vue d'ensemble au niveau cantonal et fédéral sur détection traitements suivi de la prise en charge Mesures suffisantes (quantitativement et qualitativement) + utilisation optimale des ressources Approches pour améliorer la collaboration et la coordination intercantonale Stratégie commune + domaines d'action prioritaires 5
6 Projet de recherche 2012 Postulat Rapport de recherche 6
7 Domaines analysés Intervention dans la petite enfance Diagnostic Coordination Ecole Intégration professionnelle Décharge et conseil Formation et perfectionnement Financement Logement 7
8 Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Sozialversicherungen BSV 1. Rappel historique 2. Résultats du rapport de recherche 3. Etat des travaux 4. Conséquences pour les institutions 5. Conclusion
9 Resumé général Gros progrès dans les derniers ans Mais: encore des lacunes (quantitatives) dans des offres adéquates (qualitatives) Encore loin d une situation idéale Grosses différences régionales Recommandations 9
10 Intégration professionnelle Constats 1 CH-D Autisme infantile Pour la transition école-occupation, des offres spécifiques, combinant logement et emploi, ont vu le jour ces dernières années quantité insuffisante pour couvrir les besoins Les emplois protégés (ateliers), sont très diversement adaptés aux besoins spécifiques des personnes avec TSA. parfois, ces institutions refusent d engager des autistes (besoin d encadrement élevé) Dans nombreuses institutions il y a un manque de connaissances spécialisées en autisme et peu d empressement pour adapter les conditions de travail à ce groupe cible 10
11 Intégration professionnelle Constats 2 CH- D - Asperger Transition école-formation: une procédure d orientation poussée est souvent nécessaire nouveaux modèles avec accompagnement intensif et individuel avec approche axée sur l autisme Un certain nombre d entreprises de formation et d insertion s ouvrent de plus en plus à ces personnes et élargissent leurs compétences en la matière. Choix de formations proposées restreint 11
12 Intégration professionnelle Constats 3 CH-F Autisme infantile Manque de structures préparant à la transition entre le système scolaire et les institutions pour adultes Dans les institutions les approches et méthodes axées sur l autisme sont rares. pas recours à des offres de soutien reconnues (par ex. aide visuelle pour la structuration, aide à la communication). La formation des collaborateurs des institutions de formation est parfois lacunaire. 12
13 Intégation professionnelle Constats 4 CH-F Asperger Offres de formation professionnelle initiale ne tiennent pas assez compte des particularités de ces jeunes risque important de voir les jeunes interrompre leur formation ou être exclus des centres de formation. Absence de structures cohérentes pour soutenir les jeunes avec TSA dans la phase d insertion professionnelle Sensibilisation insuffisante et manque de compétence des professionnelles par rapport à la thématique de l autisme 13
14 Logement - Constats Autisme infantile Peu d institutions pour adultes spécialisées en autisme offre insuffisante du point de vue quantitatif Institutions pour handicapés accessibles au personnes avec TSA leur adaptation aux besoins spécifiques varie fortement elles ne disposent souvent pas de connaissances spécifiques à l autisme suffisantes. Manque de collaboration entre parents et professionnels dans le processus de transition Manque d adaptation aux besoins spécifiques situations de prise en charge insatisfaisantes 14
15 Logement Constats 2 Asperger Manque général de stratégies et d offres d hébergement qui puissent être activées de façon souple en fonction du besoin d encadrement. 15
16 Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Sozialversicherungen BSV 1. Rappel historique 2. Résultats du rapport de recherche 3. Etat des travaux 4. Conséquences pour les institutions 5. Conclusion
17 Rapport du Conseil fédéral Postulat Forschungsber icht Juin 2015 Bericht des BR Aout fin 2016 Analyse des recomma ndations 17
18 Marche à suivre Créer un groupe de travail, sous la direction de l OFAS, comprenant des représentants des cantons, de la Confédération et des autres acteurs concernés (associations de parents, sociétés savantes). Le groupe de travail est chargé de passer en revue les recommandations exprimées dans le rapport de recherche afin de développer une vision commune, de définir les axes d'intervention et de planifier la mise en œuvre. Rendre compte au Conseil fédéral du résultat des travaux du groupe de travail d ici fin Actuellement: travaux en cours 18
19 Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Sozialversicherungen BSV Plan 1. Rappel historique 2. Résultats du rapport de recherche 3. Etat des travaux 4. Conséquences pour les institutions 5. Conclusion
20 Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Sozialversicherungen BSV Recommandation 6 Pour la préparation, l orientation et la formation profession-nelles, des offres de soutien spécifiques à l autisme doivent être développées, afin de couvrir les besoins.
21 Facteurs de succès 1 Coopération étroite entre enseignants, AI et institutions dans les classes terminales pour préparer les jeunes à l exercice d une activité professionnelle Mesures d évaluation des compétences et des souhaits professionnels qui tiennent compte des spécificités de l autisme et sont particulièrement flexibles (durée et conception). 21
22 Facteurs de succès 2 Vaste choix d offres de formation professionnelle et de mesures d occupation Suffisamment d offres de formation professionnelle et d occupation combinées avec logement Les professionnels de l insertion professionnelle disposent d une bonne base de connaissances concernant l autisme + formations continues et offres de conseil 22
23 Intégration professionnelle: quoi faire Développer des mesures d orientation et de formation spécifiques (durée, flexibilité) Développer des offres de logement en rélation avec la formation Offres de Job-Coaching Elargir le choix des formations/ professions proposées 23
24 Recommandation 7 Une plus grande priorité devrait être accordée aux offres de soutien aux familles et de développement de l autonomie, tant au niveau de leur développement conceptuel que de leur mise en oeuvre concrète. Recommandation complémentaire Pour favoriser la réussite de la transition à une vie autonome, des modèles appropriés d hébergement et d encadrement répondant aux besoins spécifiques des jeunes adultes atteints du syndrome d Asperger ou d autisme de haut niveau doivent être développés et mis en place. 24
25 Facteurs de succès Préparer et accompagner le processus de détachement et le déménagement avec les parents et les adolescents. Prise en charge variable en intensité et selon les priorités de l accompagnement et de l encadrement. Encourager les compétences individuelles des personnes concernées et répondre à leurs besoins de soutien. Modèles d encadrement qui soutiennent des formes de logement autonomes. Connaissances en matière d autisme des professionnels 25
26 Logement Quoi faire? Eteindre les offres d hébergement dans des institutions spécifiques pour l autisme tout en permettant une prise en charge d intensité variable et avec des accents différents. Elaboration de modèles d hébergement ou d assistance qui permettent aux adolescents de mener une vie la plus autonome possible, même en dehors de la famille Qualification plus poussée des professionnels en ce qui concerne l autisme pour optimiser les offres existantes. 26
27 Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Sozialversicherungen BSV Plan 1. Rappel historique 2. Résultats du rapport de recherche 3. Etat des travaux 4. Conséquences pour les institutions 5. Conclusion
28 L autisme n existe pas! 28
29 Il y a différents types d autisme et surtout des personnes différentes qui souffrent d autisme Pas tous les autistes doivent/veulent faire une formation en informatique Il faut un concept d encadrement / un projet de formation individualisé qui se base sur les compétences et les besoins de la personne Professionnels formés et /ou supervision/intervision 29
30 Merci de votre attention 30
Engagement en faveur des personnes en situation de dépendance
CURAVIVA SUISSE Engagement en faveur des personnes en situation de dépendance Promotion de la qualité de vie individuelle Les 2500 institutions membres de l association nationale faîtière CURAVIVA Suisse
Plus en détailMANAGEMENT SPÉCIALISTE DE LA CONDUITE D'UN GROUPE ET CERTIFICATS EN LEADERSHIP & MANAGEMENT
Secteur Tertiaire MANAGEMENT SPÉCIALISTE DE LA CONDUITE D'UN GROUPE ET CERTIFICATS EN LEADERSHIP & MANAGEMENT Brevet fédéral Préparation aux examens 1 Situation de la formation Domaines Bilans de compétences
Plus en détailComment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS
Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Intégration était le maître mot de la loi de 75, scolarisation est ce lui
Plus en détailPROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON
PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux
Plus en détail8ème Congrès suisse de pédagogie spécialisée 2013
8ème Congrès suisse de pédagogie spécialisée 2013 Pour un meilleur échange entre chercheuses et chercheurs en Suisse : Réseau Recherche en pédagogie spécialisée et banque de données de la recherche du
Plus en détailProtection individuelle
Protection individuelle Franchise annuelle Ce plan n'est plus offert 200 $ 900 $ depuis le 1er mars 2015 1 006 $ / / 18-24 87,88 $ 71,71 $ - 39,35 $ 37,08 $ 63,91 $ 25-29 91,38 $ 74,47 $ - 41,04 $ 38,86
Plus en détail3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce
3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce «Le 3 ème plan autisme vise à répondre à la faiblesse criante de la prise en charge de l autisme en France tout en laissant le choix aux familles
Plus en détailUnité de formation professionnelle du Ceras
Unité de formation professionnelle du Ceras 15 novembre 2013 : Journée romande de la commission latine d intégration professionnelle (CLIP) Cette présentation, susceptible d être d distribuée e aux personnes
Plus en détailL'EXEMPLE BELGE. Comme le note Valérie Létard, dans son rapport sur l'évaluation du plan autisme 2008-2010 remis au Gouvernement en décembre dernier1:
L'EXEMPLE BELGE La scolarisation des enfants autistes en Belgique Grande Cause Nationale 2012, l'autisme touche près de 440 000 personnes en France. Chaque année, ce sont 5 000 à 8 000 enfants qui naissent
Plus en détailEVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT INTERMEDIAIRE
OFFICE FEDERAL DES MIGRATIONS (ODM) MESURES D ENCOURAGEMENT DE L INTEGRATION PRISES PAR LA CONFEDERATION : PROGRAMME DES POINTS FORTS 2008-2011 EVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT
Plus en détailCommunication par l image chez les enfants autistes Les technologies tactiles dans le monde du handicap http ://bit.ly/discoverindiarose
Communication par l image chez les enfants autistes Les technologies tactiles dans le monde du handicap http ://bit.ly/discoverindiarose Anthony Froissant, José Martins Tuteur : Frédéric Moal Université
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITES 2008
RAPPORT D ACTIVITES 2008 Chers amis, chers partenaires, Constituée en association le 4 décembre 2007, TED-autisme Genève a connu une année 2008 riche en événements. Mon premier souci, lorsque j ai pris
Plus en détailObjet et champ d application
Ordonnance du DEFR concernant les conditions minimales de reconnaissance des filières de formation et des études postdiplômes des écoles supérieures (OCM ES 1 ) du 11 mars 2005 (Etat le 1 er janvier 2015)
Plus en détailAutisme, création artistique et tablette tactile
Autisme, création artistique et tablette tactile Document de travail Version mars 2015 Déroulement 1. Intention de l atelier 2. Définitions et autres 3. Recherches 4. Projets expérimentés 5. Applications
Plus en détailje connais mon banquier je connais mon banquier Des solutions performantes pour votre sécurité financière Epargner
Constituez je connais mon banquier je connais votre mon banquier épargne Des solutions performantes pour votre sécurité financière Epargner Vous disposez d un capital à placer? Vous avez régulièrement
Plus en détail2'223 4'257 (2'734 Équivalent temps plein ETP) 1'935 4'514 (3'210 ETP) 37'126. 1 540 Compris dans l'enseignement obligatoire Enseignement spécialisé
af DE VAUD Département de la formation et de la jeunesse DFJ Projet : «Ecole et informatique» 1 Introduction Près de deux décennies après l introduction des premiers ordinateurs dans l École obligatoire,
Plus en détailDangers potentiels d Internet et des jeux en ligne
Le Conseil fédéral Dangers potentiels d Internet et des jeux en ligne Rapport du Conseil fédéral en réponse aux postulats Forster-Vannini (09.3521) du 9.6.2009 et Schmid-Federer (09.3579) du 10.6.2009
Plus en détailSans formation à l aide sociale que faire?
Sans formation à l aide sociale que faire? CSIAS, mai 2010 Françoise Jaques cheffe du Service de prévoyance et d aide sociales du canton de Vaud Constats 2009 canton de Vaud 33 000 personnes ont recouru
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS
ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS Synthèse des questionnaires destinés aux établissements
Plus en détailProgramme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises
1 Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises Luca Fumagalli Adjoint au chef du Service des établissements spécialisés et délégué du canton au groupe d accompagnement
Plus en détailINSOS Suisse Statuts 26 juin 2014
INSOS Suisse Statuts 26 juin 204 I. Nom, forme juridique, siège et but Article. Nom, forme juridique INSOS SUISSE est une association d utilité publique au sens des articles 60 ss. CC. Elle est politiquement
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailPlan de mise en œuvre du concept national maladies rares
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Assurance maladie et accidents Etat 4 mai 2015 Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares
Plus en détailAssurance-maladie complémentaire (LCA)
CC (Conditions complémentaires) Visana Assurances SA Valable dès 2014 Assurance-maladie complémentaire (LCA) Traitements ambulatoires Sommaire Page 3 3 4 6 Assurance complémentaire des frais de guérison
Plus en détailLes offres de services spécialisés
Les offres de services spécialisés Le contexte et les enjeux, incluant les offres de services spécialisés aux familles et aux proches, aux partenaires ainsi que notre engagement dans la collectivité. PAVILLON
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détailService de Formation à la Vie Autonome
Service de Formation à la Vie Autonome Une formation qui s adresse à des jeunes adultes ayant une déficience intellectuelle, qui souhaitent apprendre à vivre de manière plus autonome au quotidien Pro infirmis
Plus en détailCertif icat Exécutif en Management etaction Publique Certificate of Advanced Studies (CAS) in Public Administration
Certif icat Exécutif en Management etaction Publique Certificate of Advanced Studies (CAS) in Public Administration Formation destinée aux cadres des secteurs public et parapublic - L ESSENTIEL EN BREF
Plus en détailMode de calcul basé sur les dépenses déterminantes (coûts réels plafonnés) Sommaire
Mode de calcul basé sur les dépenses déterminantes (coûts réels plafonnés) Guide à l intention des institutions (prestataires) reconnues par les cantons suisses, pour leurs demandes d obtention des subventions
Plus en détailModalités d interprétation des dispositions particulières applicables aux veilleurs, surveillants et encadrants de nuit «Statut des veilleurs»
Modalités d interprétation des dispositions particulières applicables aux veilleurs, surveillants et encadrants de nuit «Statut des veilleurs» Les présentes modalités ont pour objectif d interpréter les
Plus en détailConférence de presse du 24 février. Présentation du Programme cantonal de prévention du tabagisme 2014-2017 (PCT II) Fonds de prévention du tabagisme
Conférence de presse du 24 février Présentation du Programme cantonal de prévention du tabagisme 2014-2017 (PCT II) Fonds de prévention du tabagisme Plan de la présentation Thèmes présentés Les besoins
Plus en détailNOVARTIS. L assurance-maladie Suisse Offre réservée au personnel de NOVARTIS. POUR LA MEILLEURE DES MéDECINES. AUJOURD HUI ET DEMAIN.
NOVARTIS L assurance-maladie Suisse Offre réservée au personnel de NOVARTIS POUR LA MEILLEURE DES MéDECINES. AUJOURD HUI ET DEMAIN. Assurance de base L assurance-maladie obligatoire en Suisse. Dans le
Plus en détailAssociation Suisse romande de parents d enfants avec déficit d attention/hyperactivité. Statuts
Association Suisse romande de parents d enfants avec déficit d attention/hyperactivité I Nom, Siège, Buts et Tâches Statuts Article 1 Article 2 Article 3 Nom L Association se nomme ASPEDAH (Association
Plus en détailCours organisés par le CPLN-EPC formations supérieures
Brevet fédéral de spécialiste de la conduite d un groupe Certificats en Leadership & Management Cours organisés par le CPLN-EPC formations supérieures Version 2011-2012 1. PRÉSENTATION DE LA FORMATION
Plus en détailDisparités entre les cantons dans tous les domaines examinés
Office fédéral de la statistique Bundesamt für Statistik Ufficio federale di statistica Uffizi federal da statistica Swiss Federal Statistical Office EMBARGO: 02.05.2005, 11:00 COMMUNIQUÉ DE PRESSE MEDIENMITTEILUNG
Plus en détailHygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012
Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Pourquoi un groupe régional Hygiène Bucco dentaire en EHPAD ARLIN Pays de
Plus en détailTableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents
Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Le tableau suivant est destiné à donner un aperçu des principales actions à entreprendre pour répondre aux besoins
Plus en détailPrésentation générale de la formation
Présentation générale de la formation et des modules du Certificate of Advanced Studies (CAS) Formation créée et gérée par les Hautes écoles HEP VD, IDHEAP, IFFP, UNI-GE 1. CONTEXTE La profession de directeur
Plus en détailPlan stratégique. Pour la promotion de l intégration des personnes en situation de handicap CONSEIL D ETAT DU CANTON DE FRIBOURG
CONSEIL D ETAT DU CANTON DE FRIBOURG Plan stratégique Pour la promotion de l intégration des personnes en situation de handicap Conformément à l article 197 chiffre 4 de la Constitution fédérale et à l
Plus en détailUne école adaptée à tous ses élèves
PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS
Plus en détailQuestionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes
Questionnaire Université du Luxembourg, Version novembre 2013 Ulla Peters, Julia A. Jäger, Danielle Lellinger sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes
Plus en détailIMPACT DE LA FISCALITÉ ET DES FRAIS DE GARDE DES ENFANTS SUR LE REVENU DISPONIBLE DES PARENTS EXERÇANT UNE ACTIVITÉ LUCRATIVE
Zurich, le 8 janvier 2014 Dr. Regina Schwegler, Andrea Schultheiss IMPACT DE LA FISCALITÉ ET DES FRAIS DE GARDE DES ENFANTS SUR LE REVENU DISPONIBLE DES PARENTS EXERÇANT UNE ACTIVITÉ LUCRATIVE Sur mandat
Plus en détailLFS 400 en pratique. Trinks: Logisticien dans le domaine des boissons fixe. de nouveaux standards pour ce secteur d activité
LFS 400 en pratique Trinks: Logisticien dans le domaine des boissons fixe de nouveaux standards pour ce secteur d activité Logiciel et système de gestion d entrepôt E + P fixe de nouveaux standards d entreposage
Plus en détailÉVALUATION DE LA TAXE SUR LA DÉPENDANCE AU JEU RÉSUMÉ
CONFÉRENCE SPÉCIALISÉE DES MEMBRES DE GOUVERNEMENTS CONCERNÉS PAR LA LOI SUR LES LOTERIES ET LE MARCHÉ DES LOTERIES (CDCM) ÉVALUATION DE LA TAXE SUR LA DÉPENDANCE AU JEU RÉSUMÉ Zurich, 8 mai 2013 Thomas
Plus en détailRapport : Sur mandat de Promotion Santé Suisse Avenue de la Gare 52, 1003 Lausanne
Croix-Rouge suisse Département santé et intégration Service santé Werkstr. 18 3086 Wabern Rapport : Examen et ajustement des politiques cantonales dans le cadre du programme «Poids corporel sain» sous
Plus en détailenfants avec autisme ou autres troubles envahissants du développement
Scolarisation des enfants avec autisme ou autres troubles envahissants du développement 1 L opinion des parents 2010 Observatoire Centre régional d études et de ressources pour Scolarisation des enfants
Plus en détailCadre de travail sur les relations avec les gouvernements et la défense des droits. Société canadienne de la sclérose en plaques
Cadre de travail sur les relations avec les gouvernements Société canadienne de la sclérose en plaques Juin 2009 Table des matières Contexte... 3 1.0 Mission de la Société canadienne de la sclérose en
Plus en détailLIVRES. n 58 Mars 2015. AMARAL Roberta. Petite chronique d'une famille atypique. Suresnes : Les éditions du Net, 2013. 110 p.
n 58 Mars 2015 Rejoignez-nous sur Facebook : www.facebook.com/centreressourcesautisme LIVRES AMARAL Roberta. Petite chronique d'une famille atypique. Suresnes : Les éditions du Net, 2013. 110 p. BINTZ
Plus en détailBerne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale
1 Berne, mai 2007 Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 2 Pourquoi la CSIAS en tant qu association privée peut-elle établir des normes en matière d aide sociale? La CSIAS est l association professionnelle
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailLoterie Romande. financier
2011 Rapport financier Société de la Loterie de la Suisse Romande 13, rue Marterey Case postale 6744 1002 Lausanne CH Tél. + 41 21 348 13 13 Fax + 41 21 348 13 14 info@loro.ch www.loro.ch Sommaire Bilan
Plus en détailGUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME
GUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME CONSIGNES DE LECTURE Ce tableau comporte de gauche à droite 4 colonnes: Colonne activités: Colonne tâches: il s'agit des activités professionnelles de référence que
Plus en détailNOMENCLATURE ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE (ESS)
NOMENCLATURE ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE (ESS) Nomenclature ESS Nomenclature d'activité Nomenclature Catégorie Juridique 100 Coopérative 110 Coopérative secteur agricole 111 Sociétés de coop. agricole 112
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR Pour les enfants et leurs parents
REGLEMENT INTERIEUR Pour les enfants et leurs parents de la RESTAURATION SCOLAIRE MATERNELLE/ELEMENTAIRE Direction de l Education, de l Enfance et de la Réussite Educative Approuvé au Conseil Municipal
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détail«Identités numériques et gestion des identités (IDm)»
«Identités numériques et gestion (IDm)» Enquête du CTIE, été 2012 auprès des cantons au sujet de : Résultats de l enquête auprès des cantons au sujet numériques 1. Observations générales concernant l enquête
Plus en détailStatuts. Av. de Rumine 2 1005 Lausanne Tel. 021 341 90 78 Mobil 078 891 95 96 www.horairecontinu.ch
Statuts Av. de Rumine 2 1005 Lausanne Tel. 021 341 90 78 Mobil 078 891 95 96 www.horairecontinu.ch Statuts de l Association suisse des écoles à horaire continu I. Généralités Art. 1 Désignation, siège
Plus en détailDiplômes professionnels pour adultes
Diplômes professionnels pour adultes Quatre manières d obtenir le certificat fédéral de capacité ou l attestation fédérale de formation professionnelle Direction de l instruction publique du canton de
Plus en détailBILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS DU VALAIS ROMAND (CPI)
Département de l'éducation, de la culture et du sport Service de l enseignement Inspectorat de la scolarité obligatoire BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS
Plus en détailL école doit être redéfinie comme un lieu de vie et d apprentissage
Document de base de l'initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation L école doit être redéfinie comme un lieu de vie et d apprentissage Impressum Éditeur Initiative des villes
Plus en détailL apparition de la notion d inclusion dans le débat concernant la scolarisation. Intégration ou inclusion? Études et formations
Intégration ou inclusion? Éléments pour contribuer au débat Éric Plaisance Professeur des universités Brigitte Belmont Ingénieur d études Aliette Vérillon Ingénieur de recherche Cornelia Schneider Attachée
Plus en détailVotre Réseau est-il prêt?
Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie
Plus en détailPolitique Institutionnelle. Politique de protection de l enfance. Direction Générale Fédérale 2007 PI 01
Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance Direction Générale Fédérale 2007 PI 01 Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance 2 1. PRINCIPES : PRÉVENTION DES ABUS
Plus en détailPRESENTATION DE LA MDPH
PRESENTATION DE LA MDPH 1) LA LOI HANDICAP DU 11/02/2005 La loi handicap de 2005 (la précédente remonte à 1975) a révolutionné tant les institutions dans leur fonctionnement, que l accueil des élèves dans
Plus en détail4. L assurance maladie
L ASSURANCE MALADIE 73 4. L assurance maladie Comme l assurance maladie est obligatoire, toute personne domiciliée en Suisse doit être convenablement couverte. C est actuellement le cas, avec un très large
Plus en détailDonnées de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) ISBN 0-7711-3999-9
Données de catalogage avant publication (Éducation, Citoyenneté et Jeunesse Manitoba) 371.9 Un travail collectif : Renseignements aux parents d élèves ayant des besoins spéciaux ISBN 0-7711-3999-9 1. Éducation
Plus en détailFICHE DE DESCRIPTION DE POSTE SOUS DIRECTION DES PERSONNELS CONTRACTUELS BUREAU DES VOLONTAIRES INTERNATIONAUX RH3D DESCRIPTION DU POSTE
FICHE DE DESCRIPTION DE POSTE SOUS DIRECTION DES PERSONNELS CONTRACTUELS BUREAU DES VOLONTAIRES INTERNATIONAUX RH3D ( à retourner dactylographiée 4 mois avant la date de recrutement souhaitée) PAYS : CHINE
Plus en détailDexia, le partenaire du développement
Dexia, le partenaire du développement ensemble, à essentiel Dexia joue un rôle majeur dans le financement des équipements collectifs et des infrastructures, Dexia des secteurs de la santé et logement social,
Plus en détailTarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB)
Tarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB) valable à partir du 1 er janvier 2014 1 Introduction... 2 2 Traitements ambulatoires... 3 2.1 Interventions chirurgicales... 3 2.2 Diagnostics
Plus en détailCARTES BCV. Réglez vos dépenses en toute simplicité
CARTES BCV Réglez vos dépenses en toute simplicité A chaque situation, sa carte bancaire Pour faciliter vos opérations en toute circonstance de manière simple et sûre. Vos besoins au quotidien et pour
Plus en détailASSOCIATION SUISSE POUR LES DROITS DE LA FEMME. Statuts 2010. I. Généralités
ASSOCIATION SUISSE POUR LES DROITS DE LA FEMME Statuts 2010 Nom et raison sociale Art. 1 Caractère Art. 2 I. Généralités L Association suisse pour les droits de la femme (ci-après appelée Association)
Plus en détailCharte de la Société suisse de la sclérose en plaques
Charte de la Société suisse de la sclérose en plaques Préambule La présente charte tend à rassembler l essentiel des principes, valeurs et visions qui sont chères à la Société suisse de la sclérose en
Plus en détailProjet clinique express
d; CENTRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE MONTMAGNY- L ISLET 4 juillet Vol 1, Numéro 1 Dans ce numéro : Un nouvel outil d information Le projet clinique 2 Les membres du comité 2 Perte d autonomie liée
Plus en détailPrévoir sur mesure et profiter outre mesure
ÉPARGNE 3 PORTFOLIO 3 Prévoir sur mesure et profiter outre mesure Avec des solutions de prévoyance 3 e pilier. Des réponses concrètes à vos interrogations Un 3 e pilier à votre mesure Pour un présent serein
Plus en détailANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL
ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL EXPERIENCES PROFESSIONNELLES Détail des expériences Responsable qualité association secteur SMS : - Conception, mise en œuvre, animation et
Plus en détailCONTENU DU CAHIER DE GESTION
COMMISSION SCOLAIRE DE KAMOURASKA RIVIÈRE-DU-LOUP CONTENU DU CAHIER DE GESTION SECTION I CONSEIL DES COMMISSAIRES Règlement fixant le jour, l heure et le lieu des séances ordinaires du conseil des commissaires
Plus en détailService de la promotion économique et du commerce (SPECo) aides financières. création, implantation et développement d entreprises
Service de la promotion économique et du commerce (SPECo) aides financières création, implantation et développement d entreprises x TABLE DES MATIERES 2 1. PRÉAMBULE 1.1. PRINCIPES GÉNÉRAUX 3 2. SOUTIEN
Plus en détailDroits de l enfant au parlement Aperçu de la session d automne 2014
Droits de l enfant au parlement Aperçu de la session d automne 2014 Durant cette session le Conseil national traitera plusieurs infractions concernant les droits de l enfant. Le postulat Bilan de la mise
Plus en détailNOTICE SUR LA PROTECTION DES DONNÉES À l'intention DES LOGOPÉDISTES
NOTICE SUR LA PROTECTION DES DONNÉES À l'intention DES LOGOPÉDISTES 1. Les bases juridiques applicables et autres informations La protection des données en logopédie est régie par la loi fédérale sur la
Plus en détailIDEAL Connaissances. Au service de la performance publique
IDEAL Connaissances Au service de la performance publique Présentation des premières conclusions de l enquête sur la gestion technique des aires d accueil Présentation du Réseau Gens du Voyage La gestion
Plus en détailAssociation patronale des banques en Suisse (AGV Banken)
Association patronale des banques en Suisse (AGV Banken) Objectifs, services et mise en oeuvre Octobre 2009 Objectifs, services et mise en oeuvre 1 Table des matières Situation initiale Enjeux Objectifs
Plus en détailEvaluation du Réseau Santé Psychique Suisse
Universität Zürich Institut für Politikwissenschaft Forschungsbereich Policy-Analyse & Evaluation Evaluation du Réseau Santé Psychique Suisse Sur mandat de l Office fédéral de la santé publique Thomas
Plus en détailDossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015
Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)
Plus en détailConseillère/ - lers en relations publiques avec diplôme fédéral DF
Spécialiste en relations publiques avec brevet fédéral BF Conseillère/ - lers en relations publiques avec diplôme fédéral DF Spécialiste en relations publiques avec brevet fédéral BF Le ou la spécialiste
Plus en détailOrdonnance relative à la constitution de réserves de crise bénéficiant d allégements fiscaux
Ordonnance relative à la constitution de réserves de crise bénéficiant d allégements fiscaux (OCRC) 823.331 du 9 août 1988 (Etat le 1 er janvier 2009) Le Conseil fédéral suisse, vu l art. 22 de la loi
Plus en détailComment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents
Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé
Plus en détailANALYSE DONNÉES 2012 DES CENTRES SOCIAUX. senacs SYSTÈME D ÉCHANGES NATIONAL. les centres sociaux. Allier
Allier ÉDITO 1 CE QU EST UN CENTRE SOCIAL 2 CARTE DE L ALLIER 3 PROJET 4 DYNAMIQUES LOCALES 10 VITALITÉ DÉMOCRATIQUE ET GOUVERNANCE 11 RESSOURCES HUMAINES 12 FINANCES 14 FICHE DÉPARTEMENTALE 15 Édito C
Plus en détailI. Généralités. l Assurance-hospitalisation Franchise à option 18 Choix restreint de l hôpital 19 Extension du choix de l hôpital 20
Digne de confiance Édition 2010 Assurance-hospitalisation Conditions complémentaires d assurance (CCA) Article I. Généralités Objet de l assurance 1 Possibilités d assurance 2 Conclusion de l assurance
Plus en détailOrdonnance relative à la constitution de réserves de crise bénéficiant d allégements fiscaux
Ordonnance relative à la constitution de réserves de crise bénéficiant d allégements fiscaux (OCRC) 823.331 du 9 août 1988 (Etat le 20 juillet 2004) Le Conseil fédéral suisse, vu l art. 22 de la loi fédérale
Plus en détailPosition. Passages piétons en zone 30 2010/11. Klosbachstrasse 48 8032 Zurich Téléphone 043 488 40 30 Fax 043 488 40 39 info@mobilitepietonne.
Klosbachstrasse 48 8032 Zurich Téléphone 043 488 40 30 Fax 043 488 40 39 info@mobilitepietonne.ch Position www.fussverkehr.ch www.mobilitepietonne.ch www.mobilitapedonale.ch 2010/11 Passages piétons en
Plus en détailNettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage
80101 Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment Gebäudereiniger/Gebäudereinigerin Pulitore di edifici/pulitrice di edifici A. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage B. Programme
Plus en détailConditions supplémentaires d assurance (CSA) Assurance complémentaire d hospitalisation HOSPITAL CLASSICA
Le Groupe Helsana comprend Helsana Assurances SA, Helsana Assurances complémentaires SA, Helsana Accidents SA, Avanex Assurances SA, Progrès Assurances SA, Sansan Assurances SA et Maxi.ch Assurances SA.
Plus en détailBrochure BX MRO. Solutions pour SAP Business One
Brochure BX MRO Solutions pour SAP Business One La Maintenance, Réparation & Révision pour SAP Business One L association de SAP Business One et de Variatec BX MRO (Maintenance, Repair & Overhaul) transforme
Plus en détailLe s t r o u b l e s d u
Le s t r o u b l e s d u spectre de l,autisme l,évaluation clinique Lignes directrices du Collège des médecins du Québec et de l Ordre des psychologues du Québec janvier 2012 L illustration de la couverture
Plus en détailComment relier votre comptabilité au trafic des paiements Nos solutions logicielles
Solutions logicielles Comment relier votre comptabilité au trafic des paiements Nos solutions logicielles Grâce à sa coopération avec différents partenaires logiciels, peut vous r des solutions qui vous
Plus en détailS tatuts de la CIFC Communauté d intérêts Formation commerciale initiale Suisse
S tatuts de la CIFC Communauté d intérêts Formation commerciale initiale Suisse Nom, membres fondateurs et siège 1. La CIFC Communauté d intérêts Formation commerciale initiale Suisse (IGKG Interessengemeinschaft
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détail