Annexe 3 Méthodologie d inventaire pour les sources surfaciques et ponctuelles

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Annexe 3 Méthodologie d inventaire pour les sources surfaciques et ponctuelles"

Transcription

1 Annexe 3 Méthodologie d inventaire pour les sources surfaciques et ponctuelles 72

2 Les grandes sources ponctuelles Les données sources Les données sources utilisées pour la construction du cadastre d émission sont les données annuelles 1998 issues de la déclaration de la taxe parafiscale (établissements dont P > 20 MW ou établissements dont les émissions annuelles de SO 2 ou NOx (équ. NO 2 ) ou COV ou HCl ou Particules > 150 tonnes). Elles concernent six polluants : NOx (équivalent NO 2 ), CO, CO 2, COVNM, NH 3 et SO 2. Les modèles de qualité de l air nécessitant des données d émissions en méthane, nous avons utilisé la spéciation européenne issue du projet GENEMIS (GENeration and Evaluation of EMISsion data) pour introduire dans notre inventaire les quantités émises. En ce qui concerne les paramètres thermodynamiques (hauteur de cheminée, diamètre, température, vitesse d éjection des gaz en sortie de cheminée), nous avons conservé ceux utilisés dans la première version de SIMPAR que nous avons, pour partie, récupérés auprès des industriels d Ile-de-France (1994). Mais, afin d homogénéiser données sources et données thermodynamiques, un nouveau questionnaire est en cours d envoi aux industriels membres d AIRASIF (Association des industriels participant à la création et à la gestion du Réseau d Alerte et de Surveillance de la pollution atmosphérique en Ile-de-France). Cette fiche s enquiert de la valeur des paramètres thermodynamiques, des quantités émises par polluant et des modulations temporelles pour chaque émissaire. Modulation spatiale La modulation spatiale des sources ponctuelles revient à projeter dans le maillage les émissions de chacune des sources répertoriées. Il s agit notamment de placer l émission de chaque source dans la bonne maille verticale. Modulation temporelle Il s agit de désagréger les émissions annuelles (en tonnes/an) en émissions horaires. Cette opération s effectue en appliquant des profils de modulation mensuelle, journalière et horaire à chacune des activités de la nomenclature SNAP. Pour l inventaire AIRPARIF 1998, étant donné qu il a été décidé de construire une base de données complète pour une journée moyenne par mois (pas de distinction entre un jour ouvrable, un samedi et un dimanche), le profil de modulation journalière n a pas été appliqué. Cependant, quand il s agit de reconstruire une base de données émissions pour un épisode de pollution atmosphérique particulier, on applique non seulement les profils de modulation journalière mais on utilise aussi, pour certaines grandes sources ponctuelles, les données horaires qui nous sont fournies par les industriels. Les profils de modulation temporelle que nous utilisons sont ceux définis dans la première version de SIMPAR, modulo quelques ré-actualisations ; ils ont été construits à partir d informations provenant de sources européennes (GENEMIS), de lectures bibliographiques et d éléments fournis par certains industriels (25 grandes sources ponctuelles situées en Ile-de-France utilisent leurs propres profils de modulation temporelle). Lorsqu aucune information n était disponible, nous avons construit les profils en nous basant sur le «bon sens». Compte tenu de la difficulté de l exercice et du peu de données existantes et vérifiées, nous nous sommes limités au niveau 2 de la nomenclature SNAP. 73

3 Cas particulier : les aéroports Les émissions des aéroports comptent différentes sources émettrices : - des émetteurs «avions», - des émetteurs fixes (centrales thermiques, ), - des émetteurs routiers classiques (desserte + activité zone aéroportuaire), - des émetteurs autres (refueling, ). Les émissions fixes, les émissions issues de l activité aéroportuaire et les émissions autres sont traitées comme des sources diffuses tandis que les émissions issues du trafic routier sont traitées comme des sources linéiques. Pour les trois grands aéroports en Ile-de-France (Roissy Charles-de-Gaulle Orly Le Bourget), l idée de base consiste à considérer les émissions des avions comme un ensemble de sources ponctuelles émettant en différents endroits et à différentes altitudes. Pour les autres aérodromes en Ile-de- France, les émissions des avions sont traitées comme des sources diffuses. Les émissions des avions ont été évaluées par ADP (Aéroports De Paris) selon le cycle standard LTO (Landing and Take-Off) de l Organisation de l Aviation Civile Internationale (OACI). Ce cycle, schématisé ci-dessous, comporte 4 phases : - une phase d'approche : entre 912 m (hauteur de la couche de mélange prise en compte dans les calculs selon le cycle de l OACI) et 0 m, - une phase de roulage : mouvements des avions au sol depuis l'atterrissage jusqu'à la préparation du décollage, - une phase de décollage : accélération sur piste et décollage proprement dit (entre 0 et 152 m), - une phase de montée : de 152 m à 912 m d altitude, juste après le décollage. Schéma du cycle LTO. Il s agit d un cycle théorique qui ne représente pas réellement les opérations d un avion au voisinage d un aéroport, à l intérieur de la couche limite. Selon les données fournies par ADP, l aéroport de Roissy Charles-de-Gaulle compte mouvements en 1998 soit cycles LTO, l aéroport de Orly compte mouvements soit cycles LTO et enfin, Le Bourget compte mouvements soit cycles LTO. On considère que les émissions qui se produisent lors de la phase de ralenti ont lieu au sol sur l'emprise totale de l'aéroport, que celles qui se produisent au décollage ont lieu au sol sur les pistes et en altitude entre 0 et 152 m dans l axe de la piste, alors que les deux autres ont lieu en altitude, de part et d'autre des pistes. 74

4 L'altitude maximale étant de 912 m environ, la source ponctuelle la plus élevée que nous prendrons en compte se situera donc à 900 m (Z max ) ; par ailleurs, il a été décidé de prendre 25 m comme distance verticale entre deux sources ponctuelles (dz). ADP a fourni à AIRPARIF un schéma fortement simplifié précisant pour l'aéroport de CDG les emprises spatiales à considérer pour la décomposition des émissions liées à ces phases ainsi que les directions privilégiées pour les approches et les montées. Les conditions étant assez semblables sur les différents aéroports de la région IDF (météorologie et couloirs aériens utilisés), nous avons fait l'hypothèse d'appliquer les pourcentages d'approche et de montée selon la direction fournie par ADP pour CDG aux autres aéroports (Orly, Le Bourget). La figure suivante représente les émissions de NOx relatives aux aéroports, sous la forme d une vue 3D des émissions de NOx. Il s agit d une isosurface à 1 µg/s. Elle montre très clairement les émissions selon les trajectoires de décollage ou d atterrissage des avions. Isosurfaces des émissions de NOx (1 µg/s) dans les 900 premiers mètres de l atmosphère 75

5 Les sources surfaciques Les données sources Cet inventaire d émissions a été construit en utilisant les données surfaciques du CITEPA relatives à l année Il s agit de quantités d émissions sur des entités géographiques (Arrondissements et unités urbaines) concernant 6 polluants : NOx (équivalent NO 2 ), CO, CO 2, COVNM, NH 3, SO 2. Les émissions diffuses ont certainement beaucoup évolué en 4 ans. Aussi, une réactualisation des émissions diffuses sera prochainement réalisée dans le cadre d un appel d offre lancé par la DRIRE Ile-de- France. Dès que ces nouvelles données seront disponibles, une réactualisation de l inventaire s imposera. Modulation spatiale Les sources surfaciques sont fournies sur des entités géographiques supérieures à la maille. Si on considère des flux d émission homogènes sur toute l entité, on peut être conduit à des sous-estimations locales importantes. Par conséquent, nous avons couplé les données CITEPA avec une occupation du sol fournie par l IFEN (Corine Land Cover) de façon à avoir une meilleure distribution locale des émissions. Ainsi, nous avons distribué : - les émissions diffuses du chauffage urbain selon la classe «bâti», - les émissions de l agriculture, catégorie «cultures» selon la classe «culture», - les émissions de l agriculture, catégorie «prairies» selon la classe «herbe», - les émissions des forêts de conifères selon la classe «conifère», - les émissions des forêts de feuillus selon la classe «feuillus». Les figures de la page suivante permettent de visualiser la répartition spatiale des différentes classes utilisées au sein du grand domaine de modélisation (300 x 300 km 2 ). La figure ci-dessous quant à elle illustre le résultat obtenu pour les émissions de COVNM dues à la végétation pour le mois de juillet Emissions en tonnes / km² # Emissions journalières de COVNM par la végétation (cultures, forêts, prairies) au mois de Juillet 98. On reconnaît principalement la forêt de Fontainebleau (en Seine-et-Marne) et de Rambouillet (dans les Yvelines). (Source : Inventaire AIRPARIF 98 à partir des données fournies par le CITEPA et l IFEN). 76

6 a - b - c - d - e - Occupation du sol : a- bâti, b- cultures, c- herbe, d- conifères, e- feuillus. 77

7 Modulation temporelle Les profils de modulation temporelle que nous utilisons sont ceux définis dans la première version de SIMPAR, modulo quelques ré-actualisations ; ils ont été construits à partir d informations provenant de sources européennes (GENEMIS), de lectures bibliographiques et d éléments fournis par certains industriels (25 grandes sources ponctuelles situées en Ile-de-France utilisent leurs propres profils de modulation temporelle). Lorsqu aucune information n était disponible, nous avons construit les profils en nous basant sur le «bon sens». Compte tenu de la difficulté de l exercice et du peu de données existantes et vérifiées, nous nous sommes limités au niveau 2 de la nomenclature SNAP. En ce qui concerne la répartition temporelle des SNAPS associées aux composés biogéniques, nous avons utilisé les représentations existantes dans la littérature. Les cultures, les prairies et les forêts des catégories «Agriculture, sylviculture et aquaculture» et «Nature» émettent principalement de l isoprène ou des monoterpènes dont les profils d émissions sont connus et modélisés (Guenther et al., 1991). 78

ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN

ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN 2015 Révision du Plan de Protection de l Atmosphère

Plus en détail

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.

Plus en détail

LES REGLES DE VOL VFR

LES REGLES DE VOL VFR LES REGLES DE VOL VFR 1. DEFINITION : Un pilote effectue un vol selon les règles de vol à vue ou VFR (Visual Flight Rules), lorsqu'il maintient son avion dans une configuration propre au vol (attitude,

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /

Plus en détail

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance

Plus en détail

Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg

Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA

Plus en détail

LES SERVICES ET UTILISATION DU RADAR

LES SERVICES ET UTILISATION DU RADAR LES SERVICES ET UTILISATION DU RADAR A partir du grade : et programme examen du grade et supérieurs 1. FONCTIONNEMENT DES RADAR : Les radars de contrôles aériens sont des instruments de télédétection utilisés

Plus en détail

La collecte et la gestion des données dans le cadre de la prospection d énergie solaire

La collecte et la gestion des données dans le cadre de la prospection d énergie solaire Conférence SIG 2012 - ESRIFRANCE La collecte et la gestion des données dans le cadre de la prospection d énergie solaire Serge MANG-JOUBERT GAIAGO Eric VIDALENC - ADEME 1 Auteurs : Rodrigo MARIONI, Serge

Plus en détail

Reconstruction de bâtiments en 3D à partir de nuages de points LIDAR

Reconstruction de bâtiments en 3D à partir de nuages de points LIDAR Reconstruction de bâtiments en 3D à partir de nuages de points LIDAR Mickaël Bergem 25 juin 2014 Maillages et applications 1 Table des matières Introduction 3 1 La modélisation numérique de milieux urbains

Plus en détail

1 INTERET ET ELEMENTS D INTERPRETATION DE L INDICATEUR

1 INTERET ET ELEMENTS D INTERPRETATION DE L INDICATEUR Fiche méthodologique INDICATEUR : L DEN LIÉ AU TRAFIC AÉRIEN THEME : BRUIT 1 INTERET ET ELEMENTS D INTERPRETATION DE L INDICATEUR Question posée par l indicateur : Quelle est la répartition spatiale des

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

Les cartes de Bruit. Recueil des données du trafic aérien. La a Mise en œuvre de la Directive 2002-49. Service Technique de l Aviation Civile

Les cartes de Bruit. Recueil des données du trafic aérien. La a Mise en œuvre de la Directive 2002-49. Service Technique de l Aviation Civile La a Mise en œuvre de la Directive 2002-49 Les cartes de Bruit Recueil des données du trafic aérien Service Technique de l Aviation Civile François WATRIN Recueil et mise en forme des données du trafic

Plus en détail

AÉRIENNE UNE STRATÉGI. Organisation. n de l aviation. Montréal, 19 1.1. SOMMAIRE et à moyen terme. la surveillance. fusion de. tions du 5.3.

AÉRIENNE UNE STRATÉGI. Organisation. n de l aviation. Montréal, 19 1.1. SOMMAIRE et à moyen terme. la surveillance. fusion de. tions du 5.3. Organisation n de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL AN-Conf/12-WP/146 31/10/12 Français et anglais seulement 1 DOUZIÈME CONFÉRENCE DE NAVIGATION AÉRIENNE Montréal, 19 30 novembre 2012 Point

Plus en détail

La gestion d un aéroport international : la coordination d un réseau d un millier d entreprises

La gestion d un aéroport international : la coordination d un réseau d un millier d entreprises La gestion d un aéroport international : la coordination d un réseau d un millier d entreprises Les plates-formes aéroportuaires fournissent l exemple de réseaux d entreprises concentrées sur un site avec

Plus en détail

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007 Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois

Plus en détail

Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8

Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8 Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8 Christine TURCK 1 * et **, Christiane WEBER**, Dominique THOME*

Plus en détail

Les bases de données Les systèmes d informations

Les bases de données Les systèmes d informations 2 Les bases de données Les systèmes d informations Surface annuelle moyenne brûlée (en ha) 250 000 200 000 150 000 100 000 50 000 0 Part de la surface forestière brûlée (en %) 3,5 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0,5

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL DES AGENTS AFIS

RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL DES AGENTS AFIS RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL DES AGENTS AFIS Les missions de l agent AFIS s articulent autour de trois objets L exécution de fonctions opérationnelles La tenue de documents L exercice de relations avec la

Plus en détail

LIAISON A50 A57 TRAVERSEE

LIAISON A50 A57 TRAVERSEE LIAISON A5 A57 TRAVERSEE SOUTERRAINE DE TOULON SECOND TUBE (SUD) ANALYSE DES DONNEES DE QUALITE DE L AIR NOVEMBRE 27 A JANVIER 28 TOULON OUEST, PUITS MARCHAND, TOULON EST Liaison A5 A57 Traversée souterraine

Plus en détail

«Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie»

«Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie» «Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie» Dr. Alexandru BADEA Directeur Applications Spatiales Agence Spatiale Roumaine Tél : +40(0)744506880 alexandru.badea@rosa.ro

Plus en détail

année 2010 rapport de branche : quelques éléments Nombre d entreprises & chiffre d affaires chiffres d affaires SOMMAIRE

année 2010 rapport de branche : quelques éléments Nombre d entreprises & chiffre d affaires chiffres d affaires SOMMAIRE e r v i c e s r a n s p o r t s q u i p e m e n t n v i r o n n e m e n t Prévention sécurité année 2010 rapport de branche : quelques éléments Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité

Plus en détail

QUEL CONTROLEUR CONTACTER

QUEL CONTROLEUR CONTACTER QUEL CONTROLEUR CONTACTER A partir du grade : et programme examen du grade et supérieurs 1. INTRODUCTION : Cet article est créé au vue de la problématique des pilotes débutant sur IVAO à savoir quel contrôleur

Plus en détail

PERF:C'est une page réservée aux vitesses de décollages (V1; VR;V2) où l'on entre manuellement, les indications sur les vitesses de sorties de volets

PERF:C'est une page réservée aux vitesses de décollages (V1; VR;V2) où l'on entre manuellement, les indications sur les vitesses de sorties de volets Le FMS Airbus Définition: Le FMS est un ordinateur de bord qui permet de gérer un vol, on y rentre les aéroports de départ et d'arrivé, les pistes, les SID'S, les STAR, les VIA ainsi que les airways. Cet

Plus en détail

Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès

Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants

Plus en détail

20 propositions visant à assurer la mise en application du principe de développement durable au transport aérien

20 propositions visant à assurer la mise en application du principe de développement durable au transport aérien 20 propositions visant à assurer la mise en application du principe de développement durable au transport aérien Concevoir un système aéroportuaire francilien équilibré Il s agit de penser le «système

Plus en détail

Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques

Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations

Plus en détail

> Horaire des bus. > Contact CIF. Zone Aéroportuaire Aéroport CDG1 RB è Chelles Rond-point des Sciences. du 25/08/2014 au 23/08/2015.

> Horaire des bus. > Contact CIF. Zone Aéroportuaire Aéroport CDG1 RB è Chelles Rond-point des Sciences. du 25/08/2014 au 23/08/2015. è Chelles - Belle Borne Chelles Rond-Point è Chelles Zone Aéroportuaire Aéroport CDG1 RB 4:00 4:30 5:00 5:30 6:00 6:30 7:00 7:30 8:00 8:30 9:00 4:03 4:33 5:03 5:33 6:03 6:33 7:03 7:33 8:03 8:33 9:03 4:05

Plus en détail

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30

Plus en détail

Quelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France

Quelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le

Plus en détail

CENTRALES HYDRAULIQUES

CENTRALES HYDRAULIQUES CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des

Plus en détail

Trait de côte Histolitt v1.0 Descriptif technique Version du document 1.0 *** Sommaire

Trait de côte Histolitt v1.0 Descriptif technique Version du document 1.0 *** Sommaire Trait de côte Histolitt v1.0 Descriptif technique Version du document 1.0 *** Sommaire 1 Producteurs 2 Dénomination du produit 3 Protection militaire 4 Abréviations 5 Description générale 1. Définition

Plus en détail

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/

Plus en détail

BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011

BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 18/06/2012 QUALITAIR CORSE BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 Bilan PSQA 2010-2015 version 2012 Savelli Page blanche TABLE DES MATIERES Introduction... 1 1 Composition et financement de l association... 2

Plus en détail

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars

Plus en détail

La directive INSPIRE pour le partage des données géographiques

La directive INSPIRE pour le partage des données géographiques DRAAF Bourgogne Avril 2013 La directive INSPIRE pour le partage des données géographiques La directive INSPIRE INfrastructure for SPatial InfoRmation in Europe Directive européenne qui vise à fixer les

Plus en détail

Réduction de la pollution d un moteur diesel

Réduction de la pollution d un moteur diesel AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel

Plus en détail

Rayonnements dans l univers

Rayonnements dans l univers Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter

Plus en détail

Rapport. sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair

Rapport. sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair N ISBN : 978-2-11-098012-0 Rapport sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair Bureau d Enquêtes et d Analyses

Plus en détail

Elaboration et application d un set d indicateurs pour un développement durable des transports en Belgique

Elaboration et application d un set d indicateurs pour un développement durable des transports en Belgique SERVICES DU PREMIER MINISTRE SERVICES FÉDÉRAUX DES AFFAIRES SCIENTIFIQUES, TECHNIQUES ET CULTURELLES Plan d appui scientifique à une politique de développement durable Leviers d une politique de développement

Plus en détail

BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A. Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1

BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A. Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1 BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 2. PRESENTATION DE THALES SA... 3 2.1. Informations relatives à la personne morale... 3 2.2. Personne

Plus en détail

Tableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées

Tableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées Codes l'environnement Décret 95-22 du 9 janvier relatif à la limitation du bruit des aménagements et transports terrestres mai relatif au bruit des 97-110 du 12 relative à la prise en compte du bruit dans

Plus en détail

Premier aéroport d'aviation d'affaires en Europe

Premier aéroport d'aviation d'affaires en Europe Premier aéroport d'aviation d'affaires en Europe @ aeroportsdeparis.fr s-le Bourget Paris-Le Bourget, premier aéroport d aviation d affaires en Europe Le carrefour de l Europe à votre portée > À 7 km de

Plus en détail

014 54es Journées d études et de formation IHF, Tous droits réservés - Toute reproduction même partielle est interdite. Aéroports de Paris :

014 54es Journées d études et de formation IHF, Tous droits réservés - Toute reproduction même partielle est interdite. Aéroports de Paris : Aéroports de Paris : Bernard CATHELAIN Directeur Général Adjoint Aménagement et Développement Juin 2014 Sommaire A. Présentation de l activité B. La diversité des projets C. L organisation de la maîtrise

Plus en détail

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace 3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de

Plus en détail

Pépinière d entreprises & Télécentre de l Aéroport Paris CDG HUBSTART PARIS REGION CENTER Mise à jour juillet 2014 HISTORIQUE Septembre 2000 : Création de la pépinière d entreprises AEROPOLE à l initiative

Plus en détail

Installations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3

Installations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 II. MODE OPERATOIRE... 3 A. MATERIEL UTILISE... 3 1) Sonomètre... 3 2) Calibreur... 3 B. METHODE DE MESURE... 4 C. POSITIONNEMENT DU MATERIEL... 4 III. CAMPAGNE DE MESURE...

Plus en détail

Département de l ARIEGE

Département de l ARIEGE LES RAPPORTS BUREAU VERITAS Bureau Veritas 12 rue Michel Labrousse Bât 15 BP 64797 31047 TOULOUSE CEDEX 1 Dardilly, le 12 juillet 2012 Département de l ARIEGE Elaboration des cartes de bruit stratégiques

Plus en détail

Aéroport Paris - CDG. L emploi en 2010

Aéroport Paris - CDG. L emploi en 2010 Aéroport Paris - CDG L emploi en 2010 1-21/09/2011 L activité à l aéroport Paris-CDG en 2010 58,2 millions de passagers soit 0,4 % par rapport à 2009 2,2 millions tonnes de fret (hors Poste) soit 19,7

Plus en détail

Les drones civils Gatewing X100 et UX5 pour la production d orthophotos, Modèles Numériques de Surface (MNS) et cartes NDVI

Les drones civils Gatewing X100 et UX5 pour la production d orthophotos, Modèles Numériques de Surface (MNS) et cartes NDVI Les drones civils Gatewing X100 et UX5 pour la production d orthophotos, Modèles Numériques de Surface (MNS) et cartes NDVI Benjamin HUGONET (Redbird) Frédéric DUBOIS (D3E Electronique) D3E Electronique

Plus en détail

NOUVEL AÉROPORT INTERNATIONAL BLAISE DIAGNE

NOUVEL AÉROPORT INTERNATIONAL BLAISE DIAGNE NOUVEL AÉROPORT INTERNATIONAL BLAISE DIAGNE Révision : 16/04/07 Impression : 16/04/07 NOUVEL AÉROPORT INTERNATIONAL BLAISE DIAGNE 2 JUSTIFICATION DU PROJET Le Sénégal a connu depuis la dévaluation de 1994

Plus en détail

COT & COGC de Paris Saint-Lazare

COT & COGC de Paris Saint-Lazare Organisme d accueil COT & COGC de Paris Saint-Lazare Interview du 13 Février 2013 avec Richard Goult Mail : richard.goult@sncf.fr Tel : 01 53 42 09 21 Présentation Le Centre Opérationnel Transilien (COT)

Plus en détail

PRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN

PRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN PRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN Commission Animation territoriale CNIG 28/01/2014 Marie-Louise ZAMBON IGN (chef du service des programmes à la direction des programmes civils

Plus en détail

ALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS

ALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS ALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS Utilisation du radar HYDRIX et de la plateforme RAINPOL sur la commune d ANTIBES JUAN-LES-PINS European Local Authorities Rencontres

Plus en détail

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour

Plus en détail

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du

Plus en détail

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que

Plus en détail

Génie logiciel avec UML. Notions sur le langage UML adapté pour les cours du programme Techniques de l informatique

Génie logiciel avec UML. Notions sur le langage UML adapté pour les cours du programme Techniques de l informatique Génie logiciel avec UML Notions sur le langage UML adapté pour les cours du programme Techniques de l informatique Claude Boutet Session hiver 2008 Modélisation de systèmes Table des matières TABLE DES

Plus en détail

TS Physique Satellite à la recherche de sa planète Exercice résolu

TS Physique Satellite à la recherche de sa planète Exercice résolu P a g e 1 Phsique atellite à la recherche de sa planète Exercice résolu Enoncé Le centre spatial de Kourou a lancé le 1 décembre 005, avec une fusée Ariane 5, un satellite de météorologie de seconde génération

Plus en détail

DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)

DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références

Plus en détail

Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007

Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

MANUEL UTILISATEUR DU RECEPTEUR HAICOM HI-303MMF

MANUEL UTILISATEUR DU RECEPTEUR HAICOM HI-303MMF MANUEL UTILISATEUR DU RECEPTEUR HAICOM HI-303MMF 1 SOMMAIRE DU MANUEL UTILISATEUR I. LE POSITIONNEMENT PAR GPS..3 II. INTRODUCTION - GPS HAICOM HI-303MMF... 4 III. COMPOSITION DU PACK GPS...5 IV. INSTALLATION

Plus en détail

Dossier de demande de badge d accès et de vignette Parking Navettes commerciales/déposes commerciales

Dossier de demande de badge d accès et de vignette Parking Navettes commerciales/déposes commerciales Dossier de demande de badge d accès et de vignette Parking Navettes commerciales/déposes commerciales est géré par A partir du 13 avril 2011, l Aéroport de Lille met à la disposition des sociétés exploitant

Plus en détail

Le Scanner 3D Dynamique

Le Scanner 3D Dynamique Le Scanner 3D Dynamique Présentation & Références 2015 Page 1 / 9 1. Présentation Techniques Topo, est une société de Géomètres Experts créée en 1964 comptant aujourd hui près de 120 collaborateurs répartis

Plus en détail

Notes méthodologiques

Notes méthodologiques Notes méthodologiques SUPERFICIE Service Public Fédéral Economie, PME, Classes moyennes et Energie, Direction générale Statistique et Information économique (SPF Economie / DGSIE), Statistiques Utilisation

Plus en détail

10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010

10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010 10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010 Monitoring du bruit des avions : une détection à partir du signal audio Christophe Rosin 1, Bertrand Barbo 1, Boris Défréville 2 1 Aéroports de

Plus en détail

L image geospatiale au service de l aviation civile

L image geospatiale au service de l aviation civile Toulouse, le 31 mars 2009 L image geospatiale au service de l aviation civile The information contained in this document pertains to software products and services that are subject to the controls of the

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

Pour l environnement. Strength. Performance. Passion.

Pour l environnement. Strength. Performance. Passion. Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir

Plus en détail

MES ÉCO-DÉPLACEMENTS LE QUIZZ

MES ÉCO-DÉPLACEMENTS LE QUIZZ MES ÉCO-DÉPLACEMENTS LE QUIZZ Pour réduire efficacement ses consommations liées aux déplacements C'est parti! Ce quizz vous permettra d évaluer les gestes que vous faites déjà en matière d éco-déplacements

Plus en détail

DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS

DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS Les enjeux pour la transition énergétique Didier Lebout, Strategy and Development Director Gazprom Marketing and Trading France Deauville, 28 juin 2013 Dans

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre

Bilan des émissions de gaz à effet de serre Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de

Plus en détail

Clients - fournisseurs - adresses de chargement et de livraison - agences - activités - gestion des jours fériés - profils d accès...

Clients - fournisseurs - adresses de chargement et de livraison - agences - activités - gestion des jours fériés - profils d accès... Item TRANS VERSION EXPERT GESTION DES FICHIERS DE BASE Clients - fournisseurs - adresses de chargement et de livraison - agences - activités - gestion des jours fériés - profils d accès... MOYENS PROPRES

Plus en détail

1- Durant votre vol, vous entrez dans un thermique. Décrivez, par un schéma simple, l incidence sur votre voile.

1- Durant votre vol, vous entrez dans un thermique. Décrivez, par un schéma simple, l incidence sur votre voile. QUESTIONS OUVERTES POUR LE BREVET DE PILOTE CONFIRME, SUR LES THEMES «Mécanique de vol/aérodynamique», «réglementation/espace aérien», «météo/aérologie», «pilotage». Les questions liées au brevet de pilote

Plus en détail

DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique

DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite

Plus en détail

Un nouveau modèle régional à Ouranos : défis et opportunités

Un nouveau modèle régional à Ouranos : défis et opportunités Consor&um sur la climatologie régionale et l adapta&on aux changements clima&ques Un nouveau modèle régional à Ouranos : défis et opportunités Sébas&en Biner Groupe Simula&ons et analyses clima&ques Ouranos

Plus en détail

AIC N 10/A/15GO 19 MARS 2015

AIC N 10/A/15GO 19 MARS 2015 AGENCE POUR LA SÉCURITÉ DE LA NAVIGATION AÉRIENNE EN AFRIQUE ET A MADAGASCAR Phone : +(221) 33.869.23.32 +(221) 33.869.23.46 Fax : +(221) 33.820.06.00 AFTN : GOOOYNYX E-mail : dakarbni@asecna.org Web :

Plus en détail

RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE

RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE DIRECTION GENERALE ADJOINTE CHARGEE DE L AMENAGEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Service études et prospective RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE

Plus en détail

AZUR Concept 3, Rue Antoine BECQUEREL ZA du Triasis 31140 LAUNAGUET Tél. : 05.61.24.65.00 Fax : 05.61.24.42.12 Site internet : www.azurconcept.

AZUR Concept 3, Rue Antoine BECQUEREL ZA du Triasis 31140 LAUNAGUET Tél. : 05.61.24.65.00 Fax : 05.61.24.42.12 Site internet : www.azurconcept. AZUR Concept 3, Rue Antoine BECQUEREL ZA du Triasis 31140 LAUNAGUET Tél. : 05.61.24.65.00 Fax : 05.61.24.42.12 Site internet : www.azurconcept.fr E-mail : contact@azurconcept.fr SIRET B 39422176600022

Plus en détail

EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS

EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur

Plus en détail

Territoire3D. Descriptif de contenu. Institut Géographique National. www.ign.fr. Date du Document : Mars 2011

Territoire3D. Descriptif de contenu. Institut Géographique National. www.ign.fr. Date du Document : Mars 2011 Territoire3D Descriptif de contenu Date du Document : Mars 2011 Institut Géographique National 73 avenue de Paris 94165 Saint-Mandé Cedex www.ign.fr Révision : Spécifications externes A 18/03/2011 Création

Plus en détail

Un territoire. majeur en Île-de-France

Un territoire. majeur en Île-de-France Un territoire majeur en Île-de-France Le 1 er pôle européen pour l aviation d affaires est situé au nord de Paris, sur les territoires des départements de Seine-et-Marne, Seine-Saint-Denis et du Val d

Plus en détail

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Immobilier de bureaux en Plaine de France

Immobilier de bureaux en Plaine de France Immobilier de bureaux en Plaine de France Des dynamiques géographiques distinctes : La Plaine Saint Denis le Pole de Roissy Charles de Gaulle Le Cœur de la Plaine Rappelons que Paris et la petite couronne

Plus en détail

Formation Bâtiment durable-energie Cycle 2013

Formation Bâtiment durable-energie Cycle 2013 Formation Bâtiment durable-energie Cycle 2013 Production d'électricité renouvelable : énergie solaire photovoltaïque et éolienne Ing. Jérémie DE CLERCK Service du Facilitateur Bâtiment Durable Spécialiste

Plus en détail

Surveiller la qualité de l air avec les élèves

Surveiller la qualité de l air avec les élèves Surveiller la qualité de l air avec les élèves L air que nous respirons est à la fois l affaire et la responsabilité de tous. La santé publique, l environnement et les conditions de vie future sur Terre,

Plus en détail

Heli-Lausanne BIENVENUE AU REFRESHER 2014

Heli-Lausanne BIENVENUE AU REFRESHER 2014 Heli-Lausanne BIENVENUE AU REFRESHER 2014 SOMMAIRE 1. Listede présence 2. Informations générales - 2013 3. Air NavPro 4. Prix charter 2014 et conditions spéciales, assurances 5. SMS 6. Safety documentation

Plus en détail

CPCU Chaufferie de Vaugirard 25 rue Georges Pitard 75015 PARIS. À l attention de Madame JOYCE-ERMOLLI RAPPORT DE VÉRIFICATION

CPCU Chaufferie de Vaugirard 25 rue Georges Pitard 75015 PARIS. À l attention de Madame JOYCE-ERMOLLI RAPPORT DE VÉRIFICATION CPCU Chaufferie de Vaugirard 25 rue Georges Pitard 75015 PARIS À l attention de Madame JOYCE-ERMOLLI RAPPORT DE VÉRIFICATION NIVEAUX SONORES ÉMIS DANS L ENVIRONNEMENT EN RÉFÉRENCE À L ARRÊTÉ DU 23 JANVIER

Plus en détail

TD Introduction aux SIG avec ArcGis 9

TD Introduction aux SIG avec ArcGis 9 3 année ingénieur Agroparistech DA 2009/10 TD Introduction aux SIG avec ArcGis 9 TD n 6 : Initiation à l analyse en mode RASTER ave c Spatial Analyst Jean-marc Gilliot 2009-2010 jean-marc.gilliot@agroparistech.fr

Plus en détail

P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009

P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 à é Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement du territoire P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 WWW.developpement-durable.gouv.fr Constitution

Plus en détail

L utilisation du lidar terrestre en foresterie. Richard Fournier Département de géomatique appliquée

L utilisation du lidar terrestre en foresterie. Richard Fournier Département de géomatique appliquée L utilisation du lidar terrestre en foresterie Richard Fournier Département de géomatique appliquée Problématique Inventaire traditionnel : photographie aérienne imagerie satellitaire relevés manuels sur

Plus en détail

MECANISME DE CAPACITE Guide pratique

MECANISME DE CAPACITE Guide pratique MECANISME DE CAPACITE Guide pratique SOMMAIRE 1 Principes... 4 2 Les acteurs du mécanisme... 5 2.1 Les acteurs obligés... 5 2.2 Les exploitants de capacité... 5 2.3 Le Responsable de périmètre de certification...

Plus en détail

Etablissement de cartes de vent sur le pourtour méditerranéen par simulation numérique

Etablissement de cartes de vent sur le pourtour méditerranéen par simulation numérique Etablissement de cartes de vent sur le pourtour méditerranéen par simulation numérique Etude réalisée en 2003 pour le compte de l Office National des Forêts Eric Delboulbé, Docteur en Mécanique des Fluides

Plus en détail

CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE. Janvier 2012

CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE. Janvier 2012 CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE Janvier 2012 AIRPARIF Surveillance de la Qualité de l Air en Ile-de-France Cartographie fine des niveaux

Plus en détail

LES CARTES IAC. A partir du grade : et programme examen du grade et supérieurs

LES CARTES IAC. A partir du grade : et programme examen du grade et supérieurs LES CARTES IAC A partir du grade : et programme examen du grade et supérieurs A partir du grade : et programme examen du grade et supérieurs 1. INTRODUCTION Nous allons présenter les cartes «Instrument

Plus en détail

Plan de communication SIG 2009 30 septembre et 1 er octobre. L intégration de la 3D dans l alerte des populations en cas de risques

Plan de communication SIG 2009 30 septembre et 1 er octobre. L intégration de la 3D dans l alerte des populations en cas de risques Plan de communication SIG 2009 30 septembre et 1 er octobre L intégration de la 3D dans l alerte des populations en cas de risques Session Prévention / Sécurité Philippe JAUNEAU Courriel : contact@cii-industrielle.fr

Plus en détail