SCLÉROSE EN PLAQUES. EMMANUEL COGNAT CHEF DE CLINIQUE SERVICE DE NEUROLOGIE HÔPITAL LARIBOISIÈRE 2 décembre 2015

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "SCLÉROSE EN PLAQUES. EMMANUEL COGNAT CHEF DE CLINIQUE SERVICE DE NEUROLOGIE HÔPITAL LARIBOISIÈRE 2 décembre 2015"

Transcription

1 SCLÉROSE EN PLAQUES EMMANUEL COGNAT CHEF DE CLINIQUE SERVICE DE NEUROLOGIE HÔPITAL LARIBOISIÈRE 2 décembre 2015

2 Une jeune femme de 25 ans consulte pour des paresthésies des deux membres inférieurs qui évoluent depuis 48 heures. A l examen clinique, il existe un déficit épicritique et de la sensibilité profonde des deux membres inférieurs qui remonte jusqu aux mamelons. Les réflexes tendineux sont vifs aux deux membres inférieurs, avec un signe de Babinski bilatéral.

3 1 Quelle(s) est/sont votre/vos hypothèse(s) diagnostique(s)? Syndrome de Guillain-Barré Myélite cervicale Compression médullaire thoracique Syndrome de la queue de cheval Méningoradiculite

4 1 Quelle(s) est/sont votre/vos hypothèse(s) diagnostique(s)? Syndrome de Guillain-Barré Myélite cervicale Compression médullaire thoracique Syndrome de la queue de cheval Méningoradiculite

5 2 A l interrogatoire, la patiente décrit une sensation de décharge électrique le long de la colonne vertébrale lorsqu elle penche la tête en avant. Comment se nomme ce signe clinique? Signe de Brown-Sequard Signe de Lhermitte Signe de la sonnette Signe de Brudzinski Signe de Kernig

6 2 A l interrogatoire, la patiente décrit une sensation de décharge électrique le long de la colonne vertébrale lorsqu elle penche la tête en avant. Comment se nomme ce signe clinique? Signe de Brown-Sequard Signe de Lhermitte Signe de la sonnette Signe de Brudzinski Signe de Kernig

7 3 Vous privilégiez l hypothèse d une compression médullaire non traumatique de siège cervical. Parmi éléments suivants, le(s)quel(s) conforterai(en)t votre hypothèse s il(s) étai(en)t présent(s)? Port guindé de la tête Douleur cervicale Douleur de type sciatique bilatérale Névralgie cervicobrachiale droite Claudication intermittente non douloureuse

8 3 Vous privilégiez l hypothèse d une compression médullaire non traumatique de siège cervical. Parmi éléments suivants, le(s)quel(s) conforterai(en)t votre hypothèse s il(s) étai(en)t présent(s)? Port guindé de la tête Douleur cervicale Douleur de type sciatique bilatérale Névralgie cervicobrachiale droite Claudication intermittente non douloureuse

9 CORDON POSTÉRIEUR

10 4 Quel(s) examen(s) va(vont) vous permettre de départager vos principales hypothèses et de faire le diagnostic positif? IRM cérébrale IRM rachidienne et médullaire Radiographies du rachis face + profil Ponction lombaire Electroneuromyogramme

11 4 Quel(s) examen(s) va(vont) vous permettre de départager vos principales hypothèses et de faire le diagnostic positif? IRM cérébrale IRM rachidienne et médullaire Radiographies du rachis face + profil Ponction lombaire Electroneuromyogramme

12 5 Voici deux planches de l IRM rachidienne et médullaire de la patiente. Parmi les affirmations suivantes, la(es)quelle(s) vous semble(nt) appropriée(s) pour décrire ces images? Hypersignal cervical postérieur en T2 Rehaussement de la lésion après injection de gadolinium Hernie discale compressive de siège C1-C2 Lésion d allure inflammatoire pouvant s intégrer dans une sclérose en plaque débutante Aspect de myélite transverse

13 5 Voici deux planches de l IRM rachidienne et médullaire de la patiente. Parmi les affirmations suivantes, la(es)quelle(s) vous semble(nt) appropriée(s) pour décrire ces images? Hypersignal cervical postérieur en T2 Rehaussement de la lésion après injection de gadolinium Hernie discale compressive de siège C1-C2 Lésion d allure inflammatoire pouvant s intégrer dans une sclérose en plaque débutante Aspect de myélite transverse

14 6 Vous craignez que cette myélite s intègre dans une sclérose en plaques. Le bilan étiologique biologique (bilan d autoimmunité, ponction lombaire ) est négatif. Vous faites réaliser une IRM cérébrale dont voici une coupe représentative. Pouvez-vous retenir ce diagnostic? Pourquoi? Oui car il existe une dissémination temporo-spatiale radiologique Non il manque le critère de dissémination spatiale Non il manque le critère de dissémination temporelle Oui, il suffit d un événement clinique caractéristique pour porter le diagnostic Oui, car il n existe pas d hypothèse diagnostique alternative sur ce terrain

15 6 Vous craignez que cette myélite s intègre dans une sclérose en plaques. Le bilan étiologique biologique (bilan d autoimmunité, ponction lombaire ) est négatif. Vous faites réaliser une IRM cérébrale dont voici une coupe représentative. Pouvez-vous retenir ce diagnostic? Pourquoi? Oui car il existe une dissémination temporo-spatiale radiologique Non il manque le critère de dissémination spatiale Non il manque le critère de dissémination temporelle Oui, il suffit d un événement clinique caractéristique pour porter le diagnostic Oui, car il n existe pas d hypothèse diagnostique alternative sur ce terrain

16 Vous prenez en charge la patiente comme un premier événement démyélinisant, ce qui permet une récupération complète en quelques semaines. Huit mois plus tard, elle vous consulte de nouveau pour une baisse d acuité visuelle de l œil droit évoluant depuis la veille. L œil est blanc, non douloureux mais il existe une douleur retro orbitaire à la mobilisation du globe oculaire ainsi qu une impression de voir «en noir et blanc» avec cet œil. Vous évoquez le diagnostic de névrite optique rétrobulbaire. Quelle(s) anomalie(s) observée(s) au fond d œil est/sont compatible(s) avec ce diagnostic? Hémorragies et flammèches Atrophie papillaire Macula rouge cerise Œdème papillaire Aucune anomalie

17 Vous prenez en charge la patiente comme un premier événement démyélinisant, ce qui permet une récupération complète en quelques semaines. Huit mois plus tard, elle vous consulte de nouveau pour une baisse d acuité visuelle de l œil droit évoluant depuis la veille. L œil est blanc, non douloureux mais il existe une douleur retro orbitaire à la mobilisation du globe oculaire ainsi qu une impression de voir «en noir et blanc» avec cet œil. Vous évoquez le diagnostic de névrite optique rétrobulbaire. Quelle(s) anomalie(s) observée(s) au fond d œil est/sont compatible(s) avec ce diagnostic? Hémorragies et flammèches Atrophie papillaire Macula rouge cerise Œdème papillaire Aucune anomalie

18 OEDEME PAPILLAIRE

19 TOPOGRAPHIES LÉSIONNELLES SEP

20 7 Devant ce deuxième épisode, est-il désormais possible de retenir le diagnostic de sclérose en plaques? Non, le diagnostic ne peut être posé sans la présence d hyper signaux periventriculaires. Non, il manque le critère de dissémination spatiale Non, il manque le critère de dissémination temporelle Oui, mais il faut s assurer d éliminer un diagnostic différentiel par l IRM cérébrale Oui, à condition qu il existe une synthèse intrathécale d immunoglobulines sur la ponction lombaire

21 7 Devant ce deuxième épisode, est-il désormais possible de retenir le diagnostic de sclérose en plaques? Non, le diagnostic ne peut être posé sans la présence d hyper signaux periventriculaires. Non, il manque le critère de dissémination spatiale Non, il manque le critère de dissémination temporelle Oui, mais il faut s assurer d éliminer un diagnostic différentiel par l IRM cérébrale Oui, à condition qu il existe une synthèse intrathécale d immunoglobulines sur la ponction lombaire

22 PHYSIOPATHOLOGIE 1

23 PHYSIOPATHOLOGIE 2

24 PHYSIOPATHOLOGIE 3

25 DIAGNOSTIC SEP Premier épisode démyélinisant = syndrome cliniquement isolé Deuxième épisode démyélinisant = deuxième poussée Dissémination temporelle Imagerie Clinique Dissémination spatiale Imagerie Clinique Eliminer un diagnostic différentiel Imagerie Imagerie SEP radiologiquement définie SEP cliniquement définie

26 8 Une nouvelle IRM cérébrale est réalisée. Parmi les propositions suivantes la(es)quelle(s) vous semble(nt) appropriée(s) pour décrire cette image? Leucoaroiose Hypersignaux de la substance blanche Hypersignaux periventriculaire Hypersignaux juxtacorticaux Prise de contraste

27 8 Une nouvelle IRM cérébrale est réalisée. Parmi les propositions suivantes la(es)quelle(s) vous semble(nt) appropriée(s) pour décrire cette image? Leucoaroiose Hypersignaux de la substance blanche Hypersignaux periventriculaire Hypersignaux juxtacorticaux Prise de contraste

28 IRM CÉRÉBRALE SEP SEP radiologiquement définie : CIS + Dissémination spatiale Au moins 1 lésion T2/T2 FLAIR dans 2 des 4 territoires suivants : Périventriculaire Juxtacortical Infratentoriel Moelle épinière Dissémination temporelle Nouvelle lésion T2 /T1 Gadolinium sur une IRM de contrôle ou Présence simultanée d'une lésion asymptomatique réhaussée par le gadolinium et d'une lésion non réhaussée

29 9 Le diagnostic de sclérose en plaque cliniquement défini est retenu. Quelle forme de SEP la patiente présente-t-elle? Récurrente rémittente Secondairement progressive Primitivement progressive Benigne Secondaire

30 9 Le diagnostic de sclérose en plaque cliniquement défini est retenu. Quelle forme de SEP la patiente présente-t-elle? Récurrente rémittente Secondairement progressive Primitivement progressive Benigne Secondaire

31 HISTOIRE NATURELLE 1 Handicap clinique Phase Récurrente Rémittente Inflammation Temps

32 10 Vous concluez à une deuxième poussée de SEP et décidez d un traitement par corticothérapie. Selon quelle(s) modalité(s)? Voie orale Voie intraveineuse Fortes doses Traitement prolongé Traitement bref

33 10 Vous concluez à une deuxième poussée de SEP et décidez d un traitement par corticothérapie. Selon quelle(s) modalité(s)? Voie orale Voie intraveineuse Fortes doses Traitement prolongé Traitement bref

34 11 Quel (s) bénéfice (s) attendez-vous de cette corticothérapie? Accélérer la récupération Améliorer le pronostic fonctionnel Diminuer le risque de nouvelles poussées à court terme Diminuer le risque de nouvelles poussées à long terme Retarder l apparition du handicap

35 11 Quel (s) bénéfice (s) attendez-vous de cette corticothérapie? Accélérer la récupération Améliorer le pronostic fonctionnel Diminuer le risque de nouvelles poussées à court terme Diminuer le risque de nouvelles poussées à long terme Retarder l apparition du handicap

36

37 12 Vous décidez d introduire un traitement de fond chez cette patiente. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) choisissezvous en première intention dans chez cette patiente? Corticoïdes Immunosuppresseurs Immunomodulateurs Immunoglobulines polyvalentes Hormonothérapie

38 12 Vous décidez d introduire un traitement de fond chez cette patiente. Quelle(s) classe(s) thérapeutique(s) choisissezvous en première intention dans chez cette patiente? Corticoïdes Immunosuppresseurs Immunomodulateurs Immunoglobulines polyvalentes Hormonothérapie

39 13 Malgré le traitement de fond introduit, la patiente présente une nouvelle poussée médullaire 6 mois plus tard, dont elle conserve une paraparésie spastique séquellaire puis une quatrième poussée trois mois plus tard. Quelle(s) option(s) thérapeutique(s) alternative(s) envisagez-vous? Mise en route d un traitement immunosuppresseur Corticothérapie mensuelle d entretien Cure d immunoglobulines polyvalentes Kinésithérapie Prise en charge des facteurs de risque vasculaire

40 13 Malgré le traitement de fond introduit, la patiente présente une nouvelle poussée médullaire 6 mois plus tard, dont elle conserve une paraparésie spastique séquellaire puis une quatrième poussée trois mois plus tard. Quelle(s) option(s) thérapeutique(s) alternative(s) envisagez-vous? Mise en route d un traitement immunosuppresseur Corticothérapie mensuelle d entretien Cure d immunoglobulines polyvalentes Kinésithérapie Prise en charge des facteurs de risque vasculaire

41 Douleurs Douleurs TRAITEMENT DE FOND aitements écifiques Aucun Traitements spécifiques Immunomodulateur Immunomodulateur Immunosuppresseur Aucun Inteferon-beta COPAXONE Inteferon-beta TYSABRI COPAXONE Mitoxantrone TYSABRI Mitoxantrone 2 poussées en 2 ans 2 poussées en 2 ans Sévérité de la maladie Sévérité de la maladie Antidépresseurs Antiépileptiques Antidépresseurs Antiépileptiques Baclofène Toxine botulique Spasticité Baclofène Toxine botulique Traitements symptomatiques Spasticité Fatigue Amantadine Traitements symptomatiques Fatigue ALD Information / Education Amantadine Mesures systématiques ALD Kiné Information / Education Mesures systématiques Kiné

42 14 Six mois plus tard, la patiente se présente à votre consultation. Elle se plaint de nouveau d une baisse de l acuité visuelle de l œil droit (qui avait complètement récupéré après traitement), qui fluctue depuis 48h. Elle vous dit également être fatiguée, avoir mal à la tête et avoir présenté de la fièvre à 38,5 C la veille au soir. Quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous? Migraine avec aura visuelle Pseudopoussée (phénomène d Uhthoff) Nouvelle poussée de SEP Crise d épilepsie partielle Hypoglycémie

43 14 Six mois plus tard, la patiente se présente à votre consultation. Elle se plaint de nouveau d une baisse de l acuité visuelle de l œil droit (qui avait complètement récupéré après traitement), qui fluctue depuis 48h. Elle vous dit également être fatiguée, avoir mal à la tête et avoir présenté de la fièvre à 38,5 C la veille au soir. Quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous? Migraine avec aura visuelle Pseudopoussée (phénomène d Uhthoff) Nouvelle poussée de SEP Crise d épilepsie partielle Hypoglycémie

44 15 La maladie de la patiente évolue désormais depuis 7 ans. Elle vous dit que sa marche se dégrade petit à petit. Son périmètre de marche qui était évalué à 200m sans aide technique 1 an plus tôt est en effet désormais évalué à 100 m avec une canne. Elle présente une paraparésie spastique qui est nette comparativement à la précédente consultation. Quelle(s) complication(s) évolutive(s) évoquez-vous? Nouvelle poussée SEP secondairement progressive Aggravation sur épine irritative Sclérose combinée de la moelle Meningoradiculite

45 15 La maladie de la patiente évolue désormais depuis 7 ans. Elle vous dit que sa marche se dégrade petit à petit. Son périmètre de marche qui était évalué à 200m sans aide technique 1 an plus tôt est en effet désormais évalué à 100 m avec une canne. Elle présente une paraparésie spastique qui est nette comparativement à la précédente consultation. Quelle(s) complication(s) évolutive(s) évoquez-vous? Nouvelle poussée SEP secondairement progressive Aggravation sur épine irritative Sclérose combinée de la moelle Meningoradiculite

46 HISTOIRE NATURELLE 2 Handicap clinique Phase Récurrente Rémittente Phase Progressive Inflammation Dégénérescence Temps

47 16 La patiente est en particulier gênée par la spasticité au membre inférieur droit responsable d un fauchage. Elle présente également des troubles sphinctériens à type d impériosités mictionnelles. Quelle(s) option(s) thérapeutique(s) pouvez-vous proposer dans ce contexte? Majoration du traitement immunosuppresseur Introduction d un alpha-bloquant Introduction d un anticholinergique Injection de toxine botulinique dans le triceps sural Administration d un cure de corticoïdes IV

48 16 La patiente est en particulier gênée par la spasticité au membre inférieur droit responsable d un fauchage. Elle présente également des troubles sphinctériens à type d impériosités mictionnelles. Quelle(s) option(s) thérapeutique(s) pouvez-vous proposer dans ce contexte? Majoration du traitement immunosuppresseur Introduction d un alpha-bloquant Introduction d un anticholinergique Injection de toxine botulinique dans le triceps sural Administration d un cure de corticoïdes IV

49 Douleurs Douleurs Douleurs itements écifiques THÉRAPEUTIQUE SEP Aucun Immunomodulateur Immunomodulateur Immunomodulateur Immunosuppresseur Inteferon-beta TYSABRI Aucun Inteferon-beta Inteferon-beta TYSABRI TYSABRI COPAXONE Mitoxantrone Aucun COPAXONE COPAXONE Mitoxantrone Mitoxantrone Traitements spécifiques Traitements spécifiques 2 poussées en 2 ans 2 poussées en 2 ans 2 poussées en 2 ans Antidépresseurs Antidépresseurs Antidépresseurs Antiépileptiques Antiépileptiques Antiépileptiques Sévérité de la maladie Sévérité de la maladie Sévérité de la maladie Information / Information / Information / Baclofène Education Baclofène Baclofène Education Education Toxine botulique Amantadine oxine botulique Toxine botulique Amantadine Amantadine Mesures Spasticité Fatigue Mesures ALD Mesures Spasticité Spasticité Fatigue Fatigue ALD systématiques Kiné systématiques ALD Kiné systématiques Traitements Traitements symptomatiques Traitements symptomatiques symptomatiques Troubles sphinctériens Troubles cognitifs Anticholinergiques icholinergiquesanticholinergiques Alpha-bloquants ha-bloquants Alpha-bloquants Auto-sondages to-sondages Auto-sondages Troubles sphinctériens Troubles cognitifs Troubles sphinctériens Troubles cognitifs Orthophonie Orthophonie Orthophonie PEC psychologique PEC psychologique PEC psychologique Associations Associations Réseaux de Associations soin Réseaux de soin Soutien Réseaux de soin Soutien Soutien Kiné

50 QUIZZ : SEP OU PAS SEP? Paresthésies d une hémiface évoluant depuis 1 mois

51 QUIZZ : SEP OU PAS SEP? Hémiparésie droite ataxique évoluant depuis 5 jours.

52 QUIZZ : SEP OU PAS SEP? Baisse d acuité visuelle dans l hémichamp droit évoluant depuis le matin au réveil

53 MERCI POUR VOTRE ATTENTION QUESTIONS?

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

Sport et traumatisme crânien

Sport et traumatisme crânien Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence

Plus en détail

Sclérose en plaques ITEM 125 OBJECTIFS LIENS TRANSVERSAUX. Sujets tombés au concours de l'internat et aux ECN : 2004, 2006

Sclérose en plaques ITEM 125 OBJECTIFS LIENS TRANSVERSAUX. Sujets tombés au concours de l'internat et aux ECN : 2004, 2006 ITEM 125 Sclérose en plaques OBJECTIFS Diagnostiquer une sclérose en plaques. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Le diagnostic de la sclérose en plaques

Le diagnostic de la sclérose en plaques Le diagnostic de la sclérose en plaques par le D r J. Marc Girard, neurologue, FRCP(c) 3 e édition VOUS VENEZ TOUT JUSTE DE RECEVOIR un diagnostic de sclérose en plaques de la part d un neurologue? Vous

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie

Plus en détail

Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2

Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux

Plus en détail

Céphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS

Céphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine

Plus en détail

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004 11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

Les nouveaux traitements de fond de la SEP

Les nouveaux traitements de fond de la SEP Sclérose en plaques : les nouveaux traitements Guillaume MATHEY, Hôpital de Metz-Mercy Les nouveaux traitements de fond de la SEP Le but des traitements de fond Forme par poussées 2 ième ligne TYSABRI

Plus en détail

LES CEPHALEES I- INTRODUCTION

LES CEPHALEES I- INTRODUCTION Cours Magistraux Pr. S. AIDI LES CEPHALEES I- INTRODUCTION La céphalée désigne classiquement une douleur ressentie au niveau du crâne. Les céphalées sont extrêmement fréquentes et relèvent de causes multiples.

Plus en détail

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR). Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».

Plus en détail

Vignette clinique 1. Femme, 26 ans; caissière. RC : Dorsalgie depuis 18 mois. ATCD : Tabagisme 20 paquets/année; pas de maladies chroniques HMA :

Vignette clinique 1. Femme, 26 ans; caissière. RC : Dorsalgie depuis 18 mois. ATCD : Tabagisme 20 paquets/année; pas de maladies chroniques HMA : Vignette clinique 1 Femme, 26 ans; caissière RC : Dorsalgie depuis 18 mois. ATCD : Tabagisme 20 paquets/année; pas de maladies chroniques HMA : Depuis 6 mois, douleurs dorsales à caractère inflammatoire

Plus en détail

7- Les Antiépileptiques

7- Les Antiépileptiques 7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques

Plus en détail

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on

Plus en détail

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait

Plus en détail

Déficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro

Déficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,

Plus en détail

INCONTINENCE URINAIRE

INCONTINENCE URINAIRE INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire

Plus en détail

LE DIAGNOSTIC. Diagnostic clinique

LE DIAGNOSTIC. Diagnostic clinique LE DIAGNOSTIC Diagnostic clinique Jusqu'il y a peu de temps, le diagnostic de SEP fut posé uniquement sur les signes cliniques et dans la plupart des cas il ne pouvait être donné avec certitude avant plusieurs

Plus en détail

Le problème de la première ou nouvelle. céphalée. Il faudra avant tout :

Le problème de la première ou nouvelle. céphalée. Il faudra avant tout : Les céphalées Le problème de la première ou nouvelle Il faudra avant tout : céphalée Rechercher des signes d alarme Rechercher avant tout le caractère secondaire de la céphalée Signes d alarme Début après

Plus en détail

Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers

Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante

Plus en détail

La prise en charge de votre épilepsie

La prise en charge de votre épilepsie G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide

Plus en détail

Les céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie

Les céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Les céphalées aux urgences G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Céphalées et urgences Pathologie très fréquente dans la population générale ; 5 ième motif de consultation aux urgences (Minen

Plus en détail

LE TRAITEMENT DES POUSSEES

LE TRAITEMENT DES POUSSEES 5 novembre 2011 LE TRAITEMENT DES POUSSEES Les corticoïdes à fortes doses permettent d accélérer la récupération de la poussée. Ils sont prescrits en perfusion à la dose de 1g par jour pendant 3 jours.

Plus en détail

Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat

Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat rappeler l examen clinique du rachis Reconnaître les signes d alertes(red flags) Distinguer la lombalgie commune d une lombalgie

Plus en détail

MIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.

MIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique. MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques

Plus en détail

La communication du RESEAU

La communication du RESEAU La communication du RESEAU Annick ZAENKER _ alsacep LORSEP _METZ 5,11,2011 La communication C est l'action d'établir une relation avec autrui dont l objectif sera d'informer, de transmettre et de diffuser

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

mal de tête d installation subite 12/10 Éliminer une céphalée secondaire

mal de tête d installation subite 12/10 Éliminer une céphalée secondaire LES CÉPHALÉES 4 e Forum Département de médecine familiale et de médecine d urgence St-Georges de Beauce le 29 mai 2009 Les céphalées: objectifs Appliquer un algorithme diagnostique des céphalées Reconnaître

Plus en détail

Déficit moteur et/ou sensitif des membres

Déficit moteur et/ou sensitif des membres 1 Item 301 Déficit moteur et/ou sensitif des membres I. UN TROUBLE DE LA MOTILITÉ PEUT AVOIR DE NOMBREUSES CAUSES NON NEUROLOGIQUES II. L ORIENTATION DIAGNOSTIQUE, FACE À UN DÉFICIT MOTEUR OU SENSITIF

Plus en détail

L agénésie isolée du corps calleux

L agénésie isolée du corps calleux L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus

Plus en détail

Trucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression

Trucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population

Plus en détail

Exemple 1: Entorse cheville. ÉVALUATION INITIALE: entorse cheville

Exemple 1: Entorse cheville. ÉVALUATION INITIALE: entorse cheville DPPS 4.0 RAPPORT EXEMPLES Les rapports que vous trouvez ci-joints ont étés élaborés en utilisant certains protocoles d exemple que vous trouvez dans le dossier C:\Delos\User\Trials\Dossier Général. On

Plus en détail

Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II

Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II Symptômes 3 mois après la collision Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les

Plus en détail

Communiqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008

Communiqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008 Communiqué de presse 18 septembre 2008 Merck Serono annonce le lancement de l'essai clinique ORACLE MS destiné à évaluer la cladribine en comprimés chez des patients à risque de développer une sclérose

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

Migraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?

Migraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans? Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et

Plus en détail

K I N é S I T H é R A P I E & D B C

K I N é S I T H é R A P I E & D B C KINéSITHéRAPIE & DBC KINéSITHéRAPIE & DBC Informations T (+352) 23 666-810 kine@mondorf.lu Rééducation Individuelle Le service de de Mondorf Domaine Thermal propose une gamme complète de traitements individuels

Plus en détail

LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER

LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre

Plus en détail

Anatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13

Anatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13 Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Le cavernome cérébral

Le cavernome cérébral La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le cavernome cérébral.

Plus en détail

Item 279 : Radiculalgie et syndrome canalaire

Item 279 : Radiculalgie et syndrome canalaire Item 279 : Radiculalgie et syndrome canalaire Date de création du document 2008-2009 Table des matières 1 Atteintes radiculaires des membres inférieurs... 1 1. 1 Lomboradiculalgies communes...1 1. 1. 1

Plus en détail

I Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :

I Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie : ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante

Plus en détail

Prise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale

Prise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale Prise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale Ould Ouali.A, Amari.A, Lyazidi.O, Benbetka.L, Lakrouf.F, Rachedi.M MPR-HMUS-Staoueli 3eme congrès de la

Plus en détail

Classification internationale des céphalées, 2 édition (d après l Internationial Headache Society,

Classification internationale des céphalées, 2 édition (d après l Internationial Headache Society, Dr A.Donnet (1), (2) La céphalée est motif de consultation important. Sa prévalence est estimée à 90% dans les pays occidentaux (1) La plupart sont des céphalées primaires mais 1 à 4% sont des céphalées

Plus en détail

Juillet 2012. Est-ce la SEP?

Juillet 2012. Est-ce la SEP? Juillet 2012 Est-ce la SEP? Comité de rédaction Fédération internationale de la sclérose en plaques (MSIF) La mission de la MSIF est de diriger le mouvement international de la SEP afin d améliorer la

Plus en détail

Un nouveau point en neurologie, épilepsies et sclérose en plaques. SCOR inform - Avril 2014

Un nouveau point en neurologie, épilepsies et sclérose en plaques. SCOR inform - Avril 2014 Un nouveau point en neurologie, épilepsies et sclérose en plaques SCOR inform - Avril 2014 Un nouveau point en neurologie, épilepsies et sclérose en plaques Auteur Dominique Lannes Médecin-Conseil SCOR

Plus en détail

Respiration abdominale d effort encore appelée respiration abdominale inversée

Respiration abdominale d effort encore appelée respiration abdominale inversée Respiration abdominale d effort encore appelée respiration abdominale inversée Intérêt dans la prévention et le traitement des LOMBALGIES, SCIATIQUES et RACHIALGIES et dans les MANUTENTIONS DE CHARGES

Plus en détail

SUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault

SUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault ATELIER THEMATIQUE : APPLICATIONS POUR TABLETTES ET SMARTPHONES SUAREZ VALENCIA Juan Sebastian @toolsdoc MARCHAND Guillaume @drguiloo dmdpost.com Résumé Hélène Caillault INTRODUCTION La santé mobile, c

Plus en détail

N oubliez pas de sauvegarder après avoir intégré ce fichier dans votre espace extranet!

N oubliez pas de sauvegarder après avoir intégré ce fichier dans votre espace extranet! FORMULAIRE PDF REMPLISSABLE POUR REPONSE PEDAGOGIQUE AAP 2015 DU Page 1 sur 14 Avant toute chose, rappelez ici : 1 - Le titre principal (anciennement titre long) de votre projet [90 caractères] Lombalgies

Plus en détail

Rééducation dans la sclérose en plaques. Guide pratique à l usage des kinésithérapeutes

Rééducation dans la sclérose en plaques. Guide pratique à l usage des kinésithérapeutes Rééducation dans la sclérose en plaques Guide pratique à l usage des kinésithérapeutes SOMMAIRE Introduction P.3 La sclérose en plaques : P.4 Modes évolutifs et principaux signes cliniques Principes de

Plus en détail

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale

Plus en détail

Radiculalgie et syndrome canalaire

Radiculalgie et syndrome canalaire 38 Item 279 Radiculalgie et syndrome canalaire Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Savoir diagnostiquer une radiculalgie et un syndrome canalaire. Identifier les situations d urgence et planifier

Plus en détail

Études. Coût de la chirurgie d une hernie discale

Études. Coût de la chirurgie d une hernie discale Études Coût de la chirurgie d une hernie discale 1 Table des matières 03 Objectif 04 Introduction 05 Données et méthodologie 06 Caractéristiques des hospitalisations 09 Profil de la population hospitalisée

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

Bulletin. Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone?

Bulletin. Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone? Bulletin Numéro 34 I Novembre 2013 Vaincre la Sclérose en Plaques par la recherche Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone? Depuis 1992, les interférons (IFNs) et le Copaxone

Plus en détail

Migraine : une maladie qui se soigne

Migraine : une maladie qui se soigne Migraine : une maladie qui se soigne SOMMAIRE La prise en charge de la migraine : manque d information ou de formation?. p. 2 À chaque migraineux son traitement. p. 3 Vivre avec la migraine.. p. 5 À propos

Plus en détail

Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen

Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche

Plus en détail

CHAPITRE 8 LES CEPHALEES SEMIOLOGIE ET STRATEGIE D EVALUATION. Gilles Géraud et Nelly Fabre

CHAPITRE 8 LES CEPHALEES SEMIOLOGIE ET STRATEGIE D EVALUATION. Gilles Géraud et Nelly Fabre CHAPITRE 8 LES CEPHALEES SEMIOLOGIE ET STRATEGIE D EVALUATION Gilles Géraud et Nelly Fabre Plan du Chapitre 1. Conduite du diagnostic clinique devant une céphalée 1.1. L interrogatoire 1.2. L examen clinique

Plus en détail

MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS

MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS Le mal de dos? Nous sommes pratiquement tous concernés! En effet, plus de 80% de la population

Plus en détail

N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20

N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20 RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à

Plus en détail

EDITORIAL p. 3. DE LA CLINIQUE DES CÉPHALÉES À L IMAGERIE CIBLÉE p. 4. CÉPHALÉES : QUAND AVONS-NOUS BESOIN D IMAGERIE MÉDICALE? p.

EDITORIAL p. 3. DE LA CLINIQUE DES CÉPHALÉES À L IMAGERIE CIBLÉE p. 4. CÉPHALÉES : QUAND AVONS-NOUS BESOIN D IMAGERIE MÉDICALE? p. TRIMESTRIEL Mai > juil. Numéro 3 EDITORIAL p. 3 DE LA CLINIQUE DES CÉPHALÉES À L IMAGERIE CIBLÉE p. 4 CÉPHALÉES : QUAND AVONS-NOUS BESOIN D IMAGERIE MÉDICALE? p. 11 IMAGERIE CÉRÉBRALE ET RADIOPROTECTION

Plus en détail

Table des matières. Remerciements...v. Préface... vii. Avant-propos... xi. Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv

Table des matières. Remerciements...v. Préface... vii. Avant-propos... xi. Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv Remerciements...v Préface... vii Avant-propos... xi Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv Nomenclature française traditionnelle et terminologie anatomique officielle...xvii Table des matières...

Plus en détail

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait

Plus en détail

COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE

COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE DESCRIPTION DU MÉTIER Le masseur-kinésithérapeute ou «kiné» dans le langage courant, effectue sur prescription médicale des actes de gymnastique médicale, de massage, de

Plus en détail

Définition. Spasticité. physiopathologie. Le réflexe d étirement. Spastikos : étirer

Définition. Spasticité. physiopathologie. Le réflexe d étirement. Spastikos : étirer Définition Spasticité Physiopathologie et aspects cliniques Docteur Jacques Luauté Service de Rééducation Neurologique Professeur Dominique Boisson Hôpital Henry Gabrielle Spastikos : étirer «la spasticité

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Cure de Hernie discale lombaire

Cure de Hernie discale lombaire Cure de Hernie discale lombaire QU EST CE QUE LA HERNIE DISCALE ET LA SCIATIQUE Les vertèbres lombaires (L1 à L5) et le sacrum (S1) sont séparées par les disques intervertébraux qui jouent un rôle d'amortisseur.

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale

Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale

Plus en détail

Les céphalées J.Sommer N.Vokatch

Les céphalées J.Sommer N.Vokatch Les céphalc phalées J.Sommer N.Vokatch Objectifs: Connaître les critères res diagnostiques des céphalées primaires Connaître les critères res de gravité Savoir évaluer l impact l socio-professionnel et

Plus en détail

REEDUCATION DU POST-PARTUM

REEDUCATION DU POST-PARTUM Communauté Périnatale de l Agglomération Versaillaise Association Loi 1901 n 0784014641 29 rue de Versailles - 78150 Le Chesnay Tel : 01.39.43.12.04 Fax : 01.39.43.13.58 E-Mail : cpav@medical78.com Web:

Plus en détail

Item 215 : Rachialgies

Item 215 : Rachialgies Item 215 : Rachialgies COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...5 SPECIFIQUE :...5 I Cervicalgies... 6 I.1 Quand faut-il

Plus en détail

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé

PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique

Plus en détail

ANNEXE N 1 AU REGLEMENT MUTUALISTE DE LA MUTUELLE FAMILIALE DES CHEMINOTS DE FRANCE N 784 394 413

ANNEXE N 1 AU REGLEMENT MUTUALISTE DE LA MUTUELLE FAMILIALE DES CHEMINOTS DE FRANCE N 784 394 413 ANNEXE N 1 AU REGLEMENT MUTUALISTE page 1 Sécurité Sociale I - HONORAIRES MEDICAUX Consultations et visites de généralistes et spécialistes Actes de chirurgie en cabinet Actes techniques médicaux (endoscopie,

Plus en détail

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan

Plus en détail

Vertiges et étourdissements :

Vertiges et étourdissements : : comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n

Plus en détail

TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ

TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER

Plus en détail

Sclérose en plaques: la maladie aux 1000 visages. Brochure d information des entreprises pharmaceutiques suisses pratiquant la recherche

Sclérose en plaques: la maladie aux 1000 visages. Brochure d information des entreprises pharmaceutiques suisses pratiquant la recherche Sclérose en plaques: la maladie aux 1000 visages Brochure d information des entreprises pharmaceutiques suisses pratiquant la recherche La sclérose en plaques entraîne des symptômes extrêmement variés...4

Plus en détail

SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE

SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule

Plus en détail

IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES

IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité

Plus en détail

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé

Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du

Plus en détail

La prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?

La prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? La prise en charge de votre affection de longue durée Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? Sommaire Edito Votre prise en charge à 100 % Comment cela

Plus en détail

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3 Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,

Plus en détail

CONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE

CONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE CONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE Les crises convulsives sont les symptômes les plus fréquents en pratique neurologique pédiatrique. Ce terme a la même signification que «crise épileptique»

Plus en détail

Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR. Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011

Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR. Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011 Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011 Introduction Le rôle du médecin MPR : poser les indications Réflexion pluridisciplinaire Définir les objectifs

Plus en détail