Système naisseur-engraisseur de jeunes bovins avec achat sur 185 ha en plaine

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1 Système naisseur-engraisseur de jeunes bovins avec achat sur 185 ha en plaine UN SYSTÈME COMBINANT CULTURES ET VIANDE Caractéristiques du système Ce système associe grandes cultures et troupeau allaitant, avec production de jeunes bovins (issus pour les 2/3 des veaux nés sur l exploitation) et de femelles finies. Le système est performant techniquement sur les deux ateliers. Il se caractérise par une production d animaux lourds (poids de carcasse > 430 kg pour les vaches de réforme et les jeunes bovins). Les femelles sont en partie valorisées en Label. Le bon potentiel fourrager et l aptitude des sols à la culture des céréales et oléo-protéagineux permettent une intensification du système. Localisation de ce type de système : Bresse, Dombes, voire Val de Saône, Nord Isère, Nord Drôme et plaine du Forez. Zone de description Localisation de ce type de système ou de ses variantes Le cas-type en quelques chiffres SURFACE SAU 185 ha MAIN D ŒUVRE CHEPTEL 81 ha SFP 104 ha cultures 2 associés 2 U.M.O. 70 vêlages / an 70 PMTVA 142 UGB techniques 52,5 t de viande vive Forces et faiblesses du système L exploitation est conduite par 2 associés. Le système nécessite une large gamme de compétences, tant en productions animales que végétales mais permet, par la diversité des ateliers et des productions, de tamponner les aléas des marchés La charge de travail est répartie sur l année mais présente un pic important à l automne : récolte des maïs, semis des céréales et vêlages se succèdent dans un court laps de temps, voire se superposent. Le système fourrager est sécurisé par le maïs, avec la possibilité d ensiler des surfaces initialement destinées au grain les années où la production d herbe est insuffisante. La surface en céréales permet l autosuffisance en paille avec des bâtiments en aire paillée intégrale. Ce type d exploitation est fortement dépendant des aides du 1 er pilier de la PAC. Le capital mobilisé est important. La transmission peut être facilitée par une structure sociétaire déjà en place. Code : BVRA-01 Cas types bovins viande Rhône-Alpes PACA

2 LE TROUPEAU ALLAITANT NOMBRE DE VÊLAGES : 70 UGB TECHNIQUES : 142 Fonctionnement du troupeau Ventes annuelles 70 vêlages 77 femelles mises à la reproduction 1 taureau 18 génisses pour le renouvellement 73 veaux 6 morts 67 veaux sevrés 34 mâles 33 génisses 1 à 2 ans 24 génisses > 2 ans 18 vaches de réforme finies 435 kg carcasse Achat de 16 broutards 350 kg vif 50 jeunes bovins 435 kg carcasse 9 broutardes repoussées 300 kg vif 6 génisses finies mois 395 kg carcasse Pertes adultes 1186 kg vifs / an (2 %) Quelques critères UGB / Vêlage : 2,03 Reproduction Taux de renouvellement 26 % Taux de gestation 91 % Taux de mortalité avant sevrage 8,2 % Taux de productivité numérique 87 % Nombre de vaches suitées 67 Mois moyen de vélage octobre Production de viande Production brute de viande vive : kg soit : 370 kg / UGB 750 kg / Vêlage Ventes (nettes d achat) Part en kg vif Taux de finition Vaches 25 % 100 % Génisses 12 % 40 % Mâles 63 % 100 % Conduite du troupeau sur l année Rentrée à l étable Mise à l herbe 93 UGB Sevrage Événements troupeau Vêlages Mise à la reproduction Sept. Oct. Nov. Déc. Jan. Fév. Mars Avril Mai Juin Juill. Août Périodes de vente Vaches réf. Vaches réf. Vaches réf. Broutardes Génisses Jeunes bovins Commentaires Le niveau génétique du troupeau est très bon ce qui permet d obtenir des animaux lourds avec des niveaux de croissance élevés. Les vêlages d automne impliquent une mise à la reproduction en bâtiment. Cela permet le recours à l IA - ce qui facilite la sélection -, ainsi qu une commercialisation précoce des animaux. L alimentation de l ensemble du troupeau est soutenue. Les vaches, en pleine lactation au cours de l hiver, reçoivent une ration à base de foin ou d enrubannage, ainsi qu une complémentation en céréales et tourteau de colza. Les objectifs de croissance élevés pour les jeunes bovins (435 kg de carcasse à 18 mois) impliquent également une conduite alimentaire appuyée. Cela permet de valoriser une partie des céréales produites. L achat de broutards pour compléter l atelier taurillons permet de jouer sur les périodes de commercialisation.

3 LE SYSTÈME FOURRAGER ET L ALIMENTATION S.F.P. : 81 ha CHARGEMENT TECHNIQUE : 1,75 UGB / ha Mode d utilisation de l herbe Fumure/ha N P2O5 K20 Fumier (t) Foin ha de foin Foin précoce ou enrubannage ha enrubannage 8 ha foin Pâture Pâture ha 43 ha 70 ha Printemps Été Automne Alimentation sur stocks Fourrages (t MS) Concentrés (t) Nombre Durée Foin ou enrubannage Ens. maïs Autoconsommés Achetés Vaches ,7 8,3 Génisses 2 ans ,4 1,9 Génisses 1 an ,8 2,1 Broutards (complémentation) ,5 Vaches de réforme ,6 3,3 Génisses en finition ,5 1,1 Jeunes bovins ,5 26,7 Total troupeau Quelques critères UGB moyens annuels : 142 Chargement technique annuel : 1,75 UGB / ha 57 a / UGB moyen UGB au pâturage : 93 Chargement au pâturage : 1,33 UGB / ha 75 a / UGB au pâturage Pâture : 1 er avril au 15 novembre Pâture / Vêlage / UGB pâture Printemps 40 a 30 a Eté 61 a 46 a Automne 100 a 75 a Stocks / Vêlage / UGB moyen Fourrages récoltés (MS) 4,8 t 2,4 t Concentrés 1,13 t 0,56 t Paille utilisée 1,4 t 0,7 t Commentaires Les surfaces en herbe sont conduites de façon intensive (prairies temporaires). Elles doivent donc être gérées le plus finement possible : pâturage tournant, 2 ème coupe de foin lorsque la pousse de l'herbe le permet... Les fauches précoces sont enrubannées ou ensilées. Le bon potentiel maïs permet d avoir une sécurité au niveau fourrager. Les surfaces en cultures de vente permettent l autosuffisance en paille et en céréales auto-consommées (seul le tourteau de colza est acheté). Globalement, le maïs et l importante quantité de paille disponible constituent un tampon appréciable lors des années défavorables à la pousse de l'herbe. La fertilisation des prairies peut également comporter une part de matière organique.

4 LES SURFACES ET L ASSOLEMENT SAU : 185 ha CULTURES : 104 ha Utilisation des surfaces Assolement Rendements / ha Fumure / ha * N P2O5 K20 Fumier (t) / lisier (m 3 ) - Blé : 45 ha 80 qx Maïs grain : 47,5 ha 100 qx Colza industriel : 5,5 ha 30 qx Jachère : 6 ha - Maïs ensilage : 11 ha 14 t MS Prairies : Enrubannage : 4 t MS - Temporaires : 70 ha Foin 1 ére coupe : 5 t MS - Permanentes : 0 ha Foin 2 éme coupe : 2,5 t MS Cultures de vente 56 % Fertilisation organique : t de fumier m 3 de lisier importés épandus par an. Prairies 38 % * À moduler en fonction de la nature des sols, du précédent et de la fertilisation organique Maïs ensilage 6 % Critères environnementaux Bilan apparent 64 kg N / ha SAU (hors fixation par 30 kg P205 / ha SAU les légumineuses) 46 kg K20 / ha SAU Eléments structurels : Surface Potentielle d Epandage 129,5 ha (70 % de la SAU) Pression d azote organique / ha SPE 103 kg / ha Sol nu en hiver / SAU 32 % Gestion de l espace Surface en herbe / SAU 38 % Surface en prairies permanentes / surface totale en herbe 0 % Surface de la culture principale / surface totale en cultures annuelles 41 % Commentaires L atelier grandes cultures est performant avec de bons rendements. Dans la zone de description de ce cas-type, le potentiel du maïs en culture sèche est excellent, d où la part de cette culture dans l assolement. Les fertilisations sont raisonnées, avec une bonne valorisation des déjections animales. La pression d azote organique par hectare est très faible, la SAU étant importante. L'importation de matière organique (lisier, fumier) peut s'avérer très judicieuse. En effet le système peut valoriser cette matière organique sans nuisance environnementale tout en permettant de réduire fortement la charge d'engrais. La paille peut également être utilisée dans la ration des animaux.

5 BÂTIMENTS / EQUIPEMENTS Les animaux d élevage sont en général logés sur aire paillée intégrale. Le bâtiment destiné aux jeunes bovins comporte une aire paillée, avec un couloir raclé. Il dispose d une fumière. Si l utilisation d aires paillées permet d être facilement aux normes, elle génère par contre une consommation de paille conséquente. L importance de l atelier céréales et la nécessité d obtenir de grosses quantités de fourrages de qualité impliquent un niveau de mécanisation important et l utilisation de matériel performant. Ceci nécessite un renouvellement régulier du matériel lorsqu il est en propriété, ou de faire appel aux CUMA et aux entreprises. TRAVAIL Le système à deux associés permet de répartir le travail et les compétences pour une conduite pointue des deux ateliers. Ceci est particulièrement important lors des pointes de travail, à l automne principalement. Des phases capitales du fonctionnement de l exploitation se déroulent en effet simultanément durant cette période : vêlages, récolte des maïs et semis des céréales. Aucun de ces travaux ne peut être négligé sans hypothéquer les résultats. Certaines pratiques permettant de limiter la charge de travail se développent, par exemple la distribution de l alimentation une seule fois par jour. AIDES COMPENSATOIRES 1 er pilier Avant 2006 Après 2006 (Nombre) % Couplé % Découplé Animaux : PMTVA < > PSBM PAB gros bovins Compléments Vaches Compléments Génisses Complément extensif Niveau > 1,8 2 ème pilier I.C.H.N. : 0 ha M.A.E. : aucune Avant 2006 Après 2006 (Nombre) % Couplé % Découplé Surfaces : SCOP : 103, dont irriguée 0 Jachère obligatoire 11,5 Nombre de DPU jachère : 11,2 Valeur unitaire : 351 Nombre de DPU normaux : 170,7 Valeur unitaire : 238 La part des aides PAC issues du 1 er pilier dans l EBE est importante. A l avenir, la mise en place et le maintien de telles exploitations passera donc par un niveau de DPU élevé. COMMERCIALISATION Ces exploitations sont généralement adhérentes à une Organisation de Producteurs avec laquelle elles travaillent en confiance, tant pour la vente d animaux finis que pour l approvisionnement en broutards éligibles à la PSBM. L accent est mis sur la commercialisation d animaux lourds et de qualité. Les femelles finies sont pour la plupart commercialisées sous Signe Officiel de Qualité (Label). La période de mise en marché des jeunes bovins s étale sur 6 à 7 mois. Ceux nés sur l exploitation sortent les premiers, dès la fin de l hiver. Le relais est ensuite pris par les taurillons issus des broutards achetés.

6 Commentaires généraux La mise en place d un tel système se fait sur plusieurs années. En effet, les investissements importants et l acquisition de la maîtrise technique nécessitent du temps. La formule sociétaire facilite les transmissions. Sur le plan technique, le maïs peut être utilisé sous différentes formes : ensilage plante entière, grain sec, grain humide ou épis. Quelques femelles peuvent être vendues en vente directe mais le temps de travail lié à ce mode de commercialisation n est pas toujours compatible avec la conduite des autres ateliers. La PAC a imposé un choix stratégique à ces exploitations : - soit évoluer vers un système plus extensif pour bénéficier du complément extensification et de la PHAE, - soit maximiser les primes céréales, les PSBM et les primes à l abattage en conservant un système intensif. Le bon potentiel agronomique des sols, conjugué à la disponibilité en terres labourables en quasi-totalité et une charge foncière à l hectare élevée, ont conduit au choix de l intensification du système avec exploitation du maximum de surface en céréales. L orientation plus extensive n aurait probablement pas permis, à dimension égale, de dégager un revenu pour 2 associés. Les PMTVA restant couplées et le potentiel culture étant important, le système devrait peu évoluer. A l avenir, les prix du marché des céréales, des broutards et des taurillons détermineront la taille de l atelier jeunes bovins. Ce système ne peut supporter des changements brutaux de contexte. En effet, les marges d amélioration technique se réduisent. Les investissements importants et la nécessité de créer du revenu pour deux personnes ne permettent pas, à surface constante, une extensification du système et donc de percevoir les aides du 2 ème pilier (de type PHAE). Notes

7 RÉSULTATS TECHNICO-ÉCONOMIQUES 2004 Système naisseur-engraisseur de jeunes bovins avec achat sur 185 ha en plaine UN SYSTÈME COMBINANT CULTURES ET VIANDE Caractéristiques du système Ce système associe grandes cultures et troupeau allaitant, avec production de jeunes bovins (issus pour les 2/3 des veaux nés sur l exploitation) et de femelles finies. Le système est performant techniquement sur les deux ateliers. Il se caractérise par une production d animaux lourds (poids de carcasse > 430 kg pour les vaches de réforme et les jeunes bovins). Les femelles sont en partie valorisées en Label. Le bon potentiel fourrager et l aptitude des sols à la culture des céréales et oléo-protéagineux permettent une intensification du système. Localisation de ce type de système : Bresse, Dombes, voire Val de Saône, Nord Isère, Nord Drôme et plaine du Forez. Zone de description Localisation de ce type de système ou de ses variantes Le cas-type en quelques chiffres SURFACE SAU 185 ha MAIN D ŒUVRE CHEPTEL 81 ha SFP 104 ha cultures 2 associés 2 U.M.O. 70 vêlages / an 70 PMTVA 142 UGB techniques 52,5 t de viande vive produite Conjoncture de l année Sur un plan général, l année 2004 se caractérise par des conditions climatiques plus favorables après la sécheresse marquée de 2003 et ses conséquences techniques et financières. Les rendements fourragers sont bons. Les rendements des cultures ont été excellents. Dans les exploitations, cela a partiellement compensé la faiblesse des prix unitaires. Cependant, le caractère exceptionnel des récoltes n a pas été intégré dans le calcul des résultats économiques au niveau du cas-type. Au niveau des marchés et sur le plan national, les cours des femelles de boucherie ont été relativement soutenus (décapitalisation du cheptel femelle depuis 4 ans, bonne tenue de la consommation et préférence de la distribution pour l origine France). Cela a également permis la bonne tenue des cours des jeunes bovins (consommation française en hausse), même si le différentiel de prix avec les femelles s est accru. Par contre, en ce qui concerne les mâles maigres, en fin d année, la moindre demande de la filière italienne (liée à la mise en place de la réforme de la PAC) a orienté les prix à la baisse. Code : BVRA-01 Cas types bovins viande Rhône-Alpes PACA

8 RÉSULTATS TECHNICO-ÉCONOMIQUES CONJONCTURE 2004 PRODUIT BRUT TOTAL CHARGES TOTALES Animaux % Nb x kg x Prix Broutardes 9x300kgx2, Vaches finies 18x435kgx3, Génisses finies 6x395kgx3, Achat broutards 16x350kgx2, Jeunes bovins 50x435kgx2, Pertes (2 %) 1186kg Cultures % ha Céréales Maïs 47, Oléagineux 5, Charges opérationnelles % Bovins viande Aliments Frais vétérinaires Autres frais d élevage Surfaces fourragères Engrais et amendements Semences / phyto. / divers Cultures Engrais et amendements Semences / phyto. / divers Aides % Nb Animales Primes PMTVA Primes PSBM non castrés 47, Primes à l abattage Complément extensif 0 Cultures Primes SCOP Structurelles Primes ICHN 0 Primes MAE 0 Modulation 0 Charges de structure % (hors amortissements et frais financiers) dont MSA Fermage EXCÉDENT BRUT D EXPLOITATION : % du P.B. pour : Annuités Prélèvements privés / Rémunération associés Autofinancement Quelques critères technico-économiques E.B.E. hors MSA : E.B.E. hors MSA / UMO Aides 1 er pilier avant modulation / E.B.E. (hors PMTVA) 76 % Aides 2 ème pilier / E.B.E. 0 % Aides PMTVA / E.B.E. 24 % Valeur unitaire D.P.U. normaux 238 Prix moyen / kg vif vendu : 1,71 Prix du concentré / kg de viande vive : 0,22 Produit bovin (hors aides) / vêlage : Produit bovin (hors aides) / kg vif vendu : 1,65 Charges opérationnelles troupeau / vêlage : 365 Produit bovin (hors aides) / kg vif vendu : 0,49 Commentaires La part des aides PAC, importante dans le résultat de l exploitation, concerne exclusivement le 1 er pilier. Le système mobilise un capital important. La transmission, plus facile dans un cadre sociétaire, doit être bien préparée. Une anticipation d une dizaine d année est souhaitable.

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