Des asthmes allergiques particuliers Les allergènes alimentaires en cause. Alain Didier Pôle des Voies Respiratoires CHU de Toulouse CFA 2016
|
|
- Mireille Barrette
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Des asthmes allergiques particuliers Les allergènes alimentaires en cause Alain Didier Pôle des Voies Respiratoires CHU de Toulouse CFA 2016
2 Déclara:on de liens d intérêts! J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affilia:on ou des intérêts financiers ou intérêts de tout ordre avec les sociétés commerciales suivantes en lien avec la santé.! AstraZeneca, GSK, Chiesi, Stallergènes, ALK, Novar:s, Pierre Fabre, Menarini, Boehringer Ingelheim, Mundipharma! Et pas de lien avec l industrie du tabac ni avec Total! Je sou:ens la créa:on d un DES d allergologie!
3 Asthme et allergie alimentaire Rôle de l allergie alimentaire dans l asthme? Sévérité de l Allergie alimentaire chez l asthma:que
4 Allergie alimentaire chez l asthma:que Qu en pensent les pa:ents? Les asthma:ques évoquent souvent le rôle des aliments dans le déclenchement des crises ou des exacerba:ons Eriksson NE Allergy adultes asthma:ques: 276 (24,4%) aggrava:on de l asthme après consomma:on ou manipula:on d aliments Woods RK et coll. Aust N Zeal J Med pa:ents: 63% pensent que les aliments provoquent des crises
5 Sensibilisa:ons alimentaires dans l asthme Fréquence des sensibilisa9ons aux pneumallergènes et aux aliments en fonc9on de l âge (n= 361) 71,4 84, , ,4 14,2 12, ans 4-6 ans 7-10 ans >10 ans Pneumallergènes Aliments Rance F et coll. RFA 1997
6 Prévalence de l AA en fonc:on de l âge 8203 sujets (cohorte na:onale USA) adultes et enfants ( ) Liu AH et coll. JACI 2010
7 Sensibilisa9ons alimentaires dans l asthme AA improbable AA possible AA probable 8203 sujets (cohorte na:onale USA) adultes et enfants ( ) Liu AH et coll. JACI 2010
8 Sensibilisa9ons alimentaires dans l asthme Wang J et coll. JACI asthma:ques (4-9 ans) Détermina:on IgE spécifiques pour 6 aliments Sensibilisa:on à au moins 1 aliment: 45% Sensibilisa:ons alimentaires associées à Augmenta:on de la fréquence des hospitalisa:ons (p<0,01) U:lisa:on de doses plus importantes de stéroides (p<0,001)
9 Prévalence de l AA dans l asthme Novembre E et coll. JACI enfants asthma:ques Groupe 1 (n=92) : Asthme isolé Groupe 2 (n=48) : Asthme + symptômes d AA, ur:caire, derma:te atopique, signes diges:fs Tests cutanés aliments +: Groupe 1, 17,4 % Groupe 2, 58,3% TPODA: Symptômes respiratoires 13/140 (9,2%) quasi exclusivement dans groupe 2
10 362 asthma:ques (âge 11,7 + 3,8) Symptômes d asthme et consomma:on d aliments (ques:onnaire) : 49,7% Sensibilisa:ons alimentaires (IgE s): 19,3% Allergie alimentaire (TPODA): 6,6% Symptômes respiratoires: 3% (n=11) Exacerba:on d asthme : 2,5% (n=9)
11 Contrôle de l asthme et sévérité de l AA Grogulska A et coll AAIR 2015
12 Fréquence plus élevée de derma:te atopique, ur:caire, symptômes diges:fs en cas d AA Associée à l asthme (p<0,002)
13 Modifica:on de l HRB au cours du TPO Modifica:on de l HRB sans symptômes cliniques respiratoires Krogulska A et coll. Pediatr Pulmonol 2016
14 Impact de l AA chez l asthma9que adulte Berns SH et coll. J Asthma 2007
15 Impact de l AA chez l asthma9que adulte Pas d augmenta:on des risques en cas d AA à l œuf ou au lait Berns SH et coll. J Asthma 2007
16 Impact de l AA chez l asthma9que adulte Passage aux urgences 8203 sujets (cohorte na:onale USA) adultes et enfants ( ) Liu AH et coll. JACI 2010
17 AA facteur de risque d Asthme aigu grave Comparaison 45 pa:ents «near fatal asthma» et 197 Asthmes aigus admis aux urgences sans critère de gravité Allergie alimentaire: OR = 3,62 (1,62-8,18) Allergie médicamenteuse: OR = 1,89 (0,84-4,25) Antécédent d anaphylaxie: OR = 5,32 (2,67-10,6) Pollinose: NS Eczéma: NS Mitchell I et coll. Chest 2002;121:
18 AA facteur de risque d Asthme aigu grave Roberts G et coll. JACI 2003 Etude cas témoin 19 asthmes aigu graves (intuba:on et ven:la:on) (1-16ans) Appariement avec 38 sujets contrôles (exacerba:on avec séjour aux urgences) Allergie Alimentaire: OR 5,89 (95% IC 1,06-32,61) Vogel NM et coll. J Asthma enfants asthma:ques admis en SI Comparaison avec 108 enfants asthma:ques hospitalisés en HT AA 3,3 fois plus fréquente si séjour en SI Allergènes en cause: œuf, arachide, poisson, fruits de mer, fruits à coque
19 AA et aggrava:on de l asthme Circonstances par:culières Inhala:on d allergènes alimentaires vola:les Manipula:on de poisson frais Vapeurs de cuisson (poisson, len:lles) Manipula:on ou épluchage légumes, fruits (carove, céleri, kiwi ) Dutau G DicWonnaire de l allergie Phase 5 eds 2014 Par procura:on: Arachide (déposée sur cartes à jouer, console de jeu ) Lepp U et coll. Allergy 2002 Petrus M et coll RFA 2006
20 Asthme et sévérité de l allergie alimentaire Allergènes alimentaires et décès Bock SA et coll. JACI 2001;107: (32 décès) Pumphrey RSH et coll. Clin Exp Allergy 2000;30: (41 décès) Aliments incriminés dans les décès >90% des cas arachide et noix des fruits secs (1 cas de décès par allergie croisée méconnue arachide- pistache) Autres aliments: fruits de mer, lait, poisson, pois chiche, banane et nectarine Asthme = facteur de risque de gravité +++
21 Asthme et sévérité de l allergie alimentaire Bock SA et coll. JACI décès par AA entre 2001 et 2007 Age 5-50 ans (81%<35 ans) Aliments en cause: Arachide (53%), fruits à coque (12,5%), lait de vache (12,5%), creveve (6,25%). Présence d un asthme 72%
22 Conclusion Allergie alimentaire associée à l asthme : 5 à 15% des cas (enfant>adulte) Fréquence plus élevée de symptômes extra respiratoires si associa:on Asthme et AA AA et/ou sensibilisa:ons alimentaires associées à un risque d asthme non contrôlé AA facteur de risque d asthme aigu grave Asthme facteur de risque de sévérité de l AA
23 Remerciements Pr Guy Dutau Dr Mar:ne Drouet Dr Anne Broue- Chabbert Dr Audrey Mar:n- Blondel Dr Claire Mailhol
Épidémiologie des accidents hémorragiques dus aux anticoagulants oraux
Épidémiologie des accidents hémorragiques dus aux anticoagulants oraux Docteur Marie-Josèphe JEAN-PASTOR Centre Régional Pharmacovigilance Marseille-Provence-Corse Hôpital Sainte Marguerite AP-HM Tél :
Plus en détailMieux connaitre votre enfant
Mieux connaitre votre enfant Ce questionnaire me permettra de mieux connaitre votre enfant et ainsi de favoriser son intégration au service de garde. Il m aidera également à m assurer de répondre adéquatement
Plus en détailRéintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV
Réintroductions alimentaires chez l enfant M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires en 2004 Age: 12 mois 10 ans Nombre total: 30 Tests réussis:
Plus en détailLe don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?...
Le don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?... François MOUREY Corinne ANTOINE et le COPIL Maastricht 3 Agence de la biomédecine Les jeudis de l urgence: Marseille 9 janvier
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailAc#vité Physique et Diabète
Ac#vité Physique et Diabète DIAPASON 36 MSA Châteauroux 2012 Dr Thierry KELLER 27 & 28 septembre 2012 Quels Constats? L inac#vité TUE!! "30% Mortalité totale 9% Risque Cardio-Vasculaire (coronaropathie)
Plus en détailObjectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS
Objectifs et Modalités Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs du projet Identifier les facteurs pronostiques de handicap et/ou de mauvaise réinsertion des victimes d accidents de la circulation Sous-
Plus en détailDes désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria. Michel Miguéres AART, janvier 2011
Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria Michel Miguéres AART, janvier 2011 Allergènes répandus Pouvoir pathogène élevé Éviction difficile voire impossible ITS peut être considérée Quels
Plus en détailLes grandes études de télémédecine en France
Les grandes études de télémédecine en France Optimisation de la Surveillance ambulatoire des Insuffisants CArdiaques par Télécardiologie De Midi-Pyrénées au Sud de la France M Galinier, A Pathak Pôle Cardio-Vasculaire
Plus en détailOui, les noix sont grasses, mais elles sont aussi bourrées de vitamines, de minéraux, de fibres et de protéines! Quant à son gras, principalement monoinsaturé, il est bon pour le coeur. Et, combiné à l'action
Plus en détailAccueils de Loisirs & Périscolaires S INSCRIRE
Accueils de Loisirs & Périscolaires S INSCRIRE Documents d inscrip$on Ufcv Délégaon régionale de Franche-Comté 6 B Boulevard Diderot 25000 Besançon L espace famille en 5 points 1 2 3 4 5 Un portail public
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailExemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE
Exemple de Projet d Accueil Individualisé Circulaire projet d accueil n 2003-135 du 08/09/2003 (Bulletin Officiel n 34 du 18/9/2003) Circulaire restauration scolaire n 2001-118 du 25/06/2001(BO Spécial
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détail[EN FINIR AVEC LE REFLUX GASTRIQUE]
2 P age Sommaire Qu Est-Ce Que Le Reflux Gastrique?... 2 Les Aliments Responsables Du Reflux Gastrique... 5 Comment Prévenir Le Reflux Gastrique... 7 Des Remèdes Simples Pour Traiter Le Reflux Gastrique...
Plus en détailUn outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner!
Un outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner! Le grand livre des petits chefs : un outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner! Le grand livre
Plus en détailImpact de la publicité sur les professionnels
Suivi pharmaceutique, Approche critique de l information, publicité et conflits d intérêts, 2 ème année MUP Impact de la publicité sur les professionnels Prof. Pascal BONNABRY Pharmacien-chef Pharmacie
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailProgramme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients
Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients Dr Isabelle Hagon- Traub Mme Léonie Chinet Direc:on Programme cantonal Diabète Maladies chroniques: préoccupations partagées
Plus en détailInformation destinée aux patients et aux proches. Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile
Information destinée aux patients et aux proches Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile Qu est-ce que la diverticulite? Cette brochure vous informe
Plus en détailLe bouleau. Lisez attentivement cette fiche si vous êtes allergique au pollen de bouleau
Le bouleau Lisez attentivement cette fiche si vous êtes allergique au pollen de bouleau EN BREF Le bouleau fait partie de la famille des bétulacées. Très répandu en France, il domine dans le nord du pays.
Plus en détailCollabora'on IRISA/INRA sur le transfert de nitrates et l améliora'on de la qualité des eaux des bassins versants:
Collabora'on IRISA/INRA sur le transfert de nitrates et l améliora'on de la qualité des eaux des bassins versants: Tassadit BOUADI 22 Juin 2010, Saint Jacut 1 Plan Introduc
Plus en détailLe contrôle fiscal anno 2013
Le contrôle fiscal anno 2013 Carlos SIX! Administrateur général de la Fiscalité SPF Finances Ges$on des risques Contrôle fiscal CRM & Tolérance zéro ONDEMENT OBJECTIFS STRATEGIQUES Etude externe 2010 constata$ons
Plus en détailFORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER
FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER Date d'effet : Échéance Annuelle : Périodicité : Annuelle Semestrielle Durée : 1. LE PROPOSANT (sera le preneur
Plus en détailLes Français, l épargne et l assurance vie Une enquête Ipsos pour la Fédéra;on Française des Sociétés d Assurances. Janvier 2013
Les Français, l épargne et l assurance vie Une enquête Ipsos pour la Fédéra;on Française des Sociétés d Assurances Janvier 2013 Fiche technique Sondage effectué pour : La Fédéra;on Française des Sociétés
Plus en détailLes procédures médico-légales d hospitalisation
Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience
Plus en détailMots-clés : denrée, préemballé, étiquetage, ingrédient, information, consommateur, allergène, boulanger, pain
Circulaire n 6252 2 Février 2015 Gestion de l entreprise Fabrication Réglementation hygiénique et sanitaire 7 0 5 Dossier suivi par : Flavie SOUPLY Rédactrice : Flavie SOUPLY Ligne directe : 01.43.59.45.08
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailCONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin
CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité
Plus en détail5 rue Marteville 35000 RENNES 5. Allergology Unit Hospital Bld Dr Lacroix - 11100 NARBONNE
Prévalence de la sensibilisation à l arachide dans une population de 4137 sujets consultant en allergologie Enquête du Réseau Allergo-Vigilance en 2002 Morisset M 1, Moneret-Vautrin DA 1, Kanny G 1, Rance
Plus en détailLes mises au point de l'ifn
Les mises au point de l'ifn Octobre 2008 N 2 Pascale Dumond, Gisèle Kanny Médecine interne, Immunologie clinique et allergologie Centre hospitalier universitaire de Nancy Hôpital Central 54035 Nancy cedex
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailTMS les données belges relatives à la lombalgie
TMS les données belges relatives à la lombalgie Pr Philippe Mairiaux Université de Liège «Comment prévenir les TMS?», Bruxelles, 22 octobre 2007 Epidémiologie de la lombalgie en population générale (Inserm
Plus en détailCoordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme
Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances
Plus en détailFirst do no harm Hippocrates (470 360 BC)
PHARMACOVIGILANCE DR A.TEBAA - Pr R. SOULAYMANI BENCHEIKH CENTRE ANTI POISON ET DE PHARMACOVIGILANCE M.COOPER-SHANTHI-PAL QUALITY ASSURANCE ET SECURITY MEDECINE Dakar 5-9 Mars 2006 First do no harm Hippocrates
Plus en détailPour ou contre le gluten? Qu est-ce que le gluten?
Pour ou contre le gluten? C est un peu la grande mode du moment : «ouaih moi, une semaine avant la course, je supprime tous les aliments contenant du gluten parce que c est mauvais» hum hum. Savez-vous
Plus en détailLE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS
LE POINT TOX Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion N - Juillet 213 Dans ce bulletin d information, nous vous présentons l évolution temporelle du nombre d intoxications à la Réunion recensées
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailSéminaire du Pôle Santé
1 Séminaire du Pôle Santé Les télésoins à domicile au Québec représentent-ils une solution économiquement viable? Guy Paré, Ph.D., MSRC Titulaire de la Chaire de recherche du Canada en technologies de
Plus en détailConcepon et réalisaon
Concepon et réalisaon Vendée Etudes & Réalisaons de Soluons Informaques 10 rue des Sables 85540 Mouers les Mauxfaits h%p://sarl-versi.fr contact@sarl-versi.fr Mainate 2 une logiciel d aide à la communicaon
Plus en détailApproche centrée e sur le patient
Approche centrée e sur le patient Objectifs Prendre conscience des différences de type d approche Connaître le concept de l approche centrée sur le patient Savoir utiliser un outil d approche centrée sur
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailEVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE Evaluation
Plus en détailProtéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin?
Protéines Pour des Canadiens actifs De quelle quantité avez-vous besoin? 1 Protéines 101 Les protéines sont les principaux éléments fonctionnels et structuraux de toutes les cellules du corps. Chaque protéine
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailrecommandations pour les médecins de famille
BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central
Plus en détailSmoke Without Fire. De la réduction des risques à l amélioration des chances Anne-Cécile RAHIS, Jérôme GILLIARD
Smoke Without Fire De la réduction des risques à l amélioration des chances Anne-Cécile RAHIS, Jérôme GILLIARD 10/07/2013 CIGARETTE ELECTRONIQUE L OUTIL CARACTÉRISTIQUES DIFFÉRENTS MODÈLES LES ENJEUX ET
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailSoins infirmiers et gestion des risques
Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailParcours de soins, solu/ons de partage Évolu/ons des poli/ques na/onales & Mises en œuvre régionales Séminaire IFERISS 17 Avril 2014
Parcours de soins, solu/ons de partage Évolu/ons des poli/ques na/onales & Mises en œuvre régionales Séminaire IFERISS 17 Avril 2014 Sommaire 1) Présenta/on du GCS Télésanté Midi- Pyrénées 2) Dossier Médical
Plus en détailLe secteur de la Mutualité. Présenta*on des organismes Structure et caractéris*ques des emplois Zoom sur les mé*ers
Le secteur de la Mutualité Présenta*on des organismes Structure et caractéris*ques des emplois Zoom sur les mé*ers 1 La protec*on sociale Ensemble des moyens mis en œuvre par un pays pour protéger ses
Plus en détailRÈGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE
S O M M A I R E Préambule Règlement Objectifs Ecole / cantine Quelques chiffres Le prestataire 1 2 Préambule RÈGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE A N N É E 2 0 1 2 / 2 0 1 3 La municipalité de CHAMPAGNIER
Plus en détailACCESSIBILITÉ INNOVATION DÉVELOPPEMENT
ACCESSIBILITÉ INNOVATION DÉVELOPPEMENT L art de cultiver des savoirs, des expériences, des compétences et des talents www.chuq.qc.ca/fr/info_plus/formations_en_ligne DES ACTIVITÉS DE FORMATION EN LIGNE
Plus en détailBIEN PRENDRE SON TRAITEMENT. Guide d information pour les familles d enfants vivant avec le VIH
BIEN PRENDRE SON TRAITEMENT Guide d information pour les familles d enfants vivant avec le VIH Cette brochure a été conçue en 2008 dans le cadre du programme GRANDIR, programme de renforcement des capacités
Plus en détailMARS 2012. rapport d analyse. étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte
rapport d analyse MARS 2012 rapport d analyse étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte introduction w La malnutrition se définit par des apports inférieurs ou
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailContraintes liées aux aspects économiques, impact de la T2A : le point de vue de l industriel
Contraintes liées aux aspects économiques, impact de la T2A : le point de vue de l industriel Jean-Michel Hotton Directeur des relations institutionnelles Laboratoire Pfizer 10 ème Journées Nationales
Plus en détailCabinet de Conseil STRATÉGIE MANAGEMENT ORGANISATION JURIDIQUE FORMATION AVEC BW CONSULTANTS CHOISISSEZ DE GARANTIR VOTRE DEVELOPPEMENT
Cabinet de Conseil STRATÉGIE MANAGEMENT ORGANISATION JURIDIQUE FORMATION 1 Pourquoi nous choisir? Le chef d entreprise, surtout s il est propriétaire, déteste l aventure. Notre Objec>f est de vous accompagner
Plus en détailCOMPÉTENCES ET PROFILS AVANCÉ DES SOINS INFIRMIERS pour améliorer les résultats d'accès et de santé
COMPÉTENCES ET PROFILS AVANCÉ DES SOINS INFIRMIERS pour améliorer les résultats d'accès et de santé Granada, 4-6 de septiembre Susana Rodríguez Gómez Plan Integral de Cuidados. Servicio Andaluz de Salud
Plus en détailnewsletter Edito Avril Patrick Alexandre Président du Directoire
newsletter Avril Edito Patrick Alexandre Président du Directoire SUPERGENERIQUES Développement et élargissement du portefeuille de supergénériques QUATRE MEDICAMENTS Méthotrexate, Adrénaline, Sumatriptan,
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailMieux vivre avec votre asthme
Mieux vivre avec votre asthme L éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien Bien gérer sa maladie permet de reconnaître et maîtriser les symptômes afin de limiter la gêne respiratoire.
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailConsommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca
Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle Information sur le sodium alimentaire www.reductionsodium.ca Contact Jocelyne Bellerive, MA Coordonnatrice/Éducatrice Programme réduction
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailAllergologie en pratique
2-0093 Allergologie en pratique M. Raffard, H. Partouche L incidence des maladies allergiques est en constante augmentation. Pour expliquer ce phénomène, on discute des modifications du style de vie dans
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailCentre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37
Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret
Plus en détailéviter UNE RÉCIDIVE APRÈS UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
éviter UNE RÉCIDIVE APRÈS UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR SES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur ses connaissances 3 Vrai Faux Rappel 4 Un AVC peut-il
Plus en détail60 produits solidaires pour les familles
60 produits solidaires pour les familles Une mobilisation de tous les acteurs Éleveurs Maraîchers Produits frais Produits secs GMS Conseil Général agriculteurs Droguerie Enseignes Transformateurs Manufacturiers
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailLA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone
LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques
Plus en détailINSTITUT REGIONAL DE FORMATIONS SPECIALISEES EN SANTE HOUPHOUET BOIGNY INSTITUT DE FORMATION D INFIRMIERS PUERICULTEURS 416 chemin de la Madrague Ville 13314 MARSEILLE Cedex 15 Tél : 04 91 96 67 18 Réanimation
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailAvoir (une maladie) ou être (malade)
Avoir (une maladie) ou être (malade) MG Albano, Ph Barrier, JF d Ivernois Note : cette présentation est tirée de notre article publié dans la revue ETP/TPEEduc Ther Patient/Ther Patient Educ 2011; 3(2):
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailFICHE SYNTHÉTIQUE LES DIGITAL INFLUENCERS ET LE COURRIER PUBLICITAIRE. 1ère par(e : percep(on & usages du courrier
FICHE SYNTHÉTIQUE LES DIGITAL INFLUENCERS ET LE COURRIER PUBLICITAIRE 1ère par(e : percep(on & usages du courrier 1 CATÉGORIE : ETUDE CIBLE FAMILLE : PERCEPTION & USAGES DU COURRIER ETUDE DIGITAL INFLUENCERS
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détaild évaluation de la toux chez l enfant
Validation d un questionnaire d évaluation de la toux chez l enfant Mémoire présenté par Caroline TROCCY Pour l obtention du diplôme de master(e) en kinésithérapie Promoteur: Monsieur G. Reychler Année
Plus en détailBULLETIN TRAITEMENT Un guide complet à la santé et au bien être des7né aux personnes a9eintes du VIH/sida. Décembre 2011
BULLETIN TRAITEMENT Un guide complet à la santé et au bien être des7né aux personnes a9eintes du VIH/sida. Décembre 2011 CE QU IL FAUT SAVOIR SUR LE VIH ET LA MALADIE CARDIOVASCULAIRE Fonda7on des personnes
Plus en détailTrajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro. Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR
Trajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR Trajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailAuriol : le service public de la Restauration scolaire
Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des
Plus en détailINDICATIONS DU DOSAGE DES IGE SPÉCIFIQUES DANS LE DIAGNOSTIC ET LE SUIVI DES MALADIES ALLERGIQUES. Mai 2005
INDICATIONS DU DOSAGE DES IGE SPÉCIFIQUES DANS LE DIAGNOSTIC ET LE SUIVI DES MALADIES ALLERGIQUES Mai 2005 La Haute Autorité de santé diffuse un document réalisé par l Agence nationale d accréditation
Plus en détailAnalyse des effets d'un programme de télésoins à domicile déployé au Service régional de soins à domicile pour malades pulmonaires chroniques
Analyse des effets d'un programme de télésoins à domicile déployé au Service régional de soins à domicile pour malades pulmonaires chroniques Guy Paré, Ph.D. Titulaire Chaire de recherche du Canada en
Plus en détail