Sources : ISEE : Observatoire Economique - Service des Douanes.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Sources : ISEE : Observatoire Economique - Service des Douanes."

Transcription

1 I.5.1. L'alcoolisme Sources : ISEE : Observatoire Economique - Service des Douanes. I La consommation Les données présentées dans les chapitres suivants tiennent compte des dernières mises à jour disponibles au 31/7/7. Pour l année 26, nous ne disposons pas des chiffres de la production locale ainsi que de l exportation. En matière d'alcoolisme, le premier indicateur utilisé est celui de la consommation annuelle moyenne en litres d'alcool pur (LAP) par habitant (ou par habitant de plus de 14 ans). Le calcul de la quantité d'alcool pur consommé par habitant et par an est intéressant car il permet : - d obtenir une estimation du niveau moyen de consommation, - d'en connaître l'évolution au fil des ans, - d'effectuer des comparaisons avec d'autres pays qui estiment de la même manière cet indicateur LAP Import LAP Export nd Production locale nd CONSOMMATION TOTALE* consommation par habitant 6,9 6,6 6,9 6,2 6,6 6,5 par habitant de + 14 ans 9,8 9,3 9,8 8,8 9,1 8,8 * importations + production locale - exportations Répartition annuelle de la consommation en litres d'alcool pur. 11 litres d'alcool pur par habitant par habit. de +14 ans Consommation annuelle moyenne en litres d'alcool pur par habitant, et par habitant de plus de 14 ans. Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie - Année 26 L'alcoolisme I p 1

2 En 23 on notait une baisse importante de la consommation d alcool par habitant de + de 14 ans. En 25 cette consommation était équivalente. On a observé en 25, une augmentation minime de la consommation totale par rapport à 24. milliers de litres Consom. totale Courbe de tendance Evolution de la consommation annuelle totale d'alcool pur bière import bière export bière locale Total bière vin import vin export vin local Total vin alc. forts import dont whisky prod. locales alc. forts export Total alcools forts Total prod.+import Total exportations Consommation Répartition de la consommation de bière, vin et alcools forts, en litres d'alcool pur. * La proportion de bière consommée en 25 représente 38,4% de la consommation totale. On note une légère augmentation de cette consommation (2,9%) par rapport à 24. * Diminution de 3,4% de la consommation de vin par rapport à 24. En 25 elle représente 4,9% de la consommation totale. * Le pourcentage d alcool fort, dans la consommation totale, représente 2,7%. Augmentation de la consommation de 2,3% par rapport à 24. alcool fort vin bière % Répartition de la consommation (en %). p 2 I.5.1. L'alcoolisme - Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie - Année 26

3 % 5 bière vin alcool fort 4 La consommation du vin et de l alcool fort a tendance à se stabiliser Evolution de la répartition des types de consommation (en %). Depuis 1995, la consommation totale d alcool est passée de LAP en 1995 à LAP en 25 soit une augmentation de 15%. Cette augmentation, répartie de la façon suivante, est plus nette pour le vin. 2% d augmentation de consommation pour le vin 23,9% pour les alcools forts. 6,3% d augmentation pour la bière alc.fort bière vin total Evolution de la répartition des types de consommation (en milliers de litres). milliers de litres bière vin alcools forts Consommation annuelle de bière, vin et alcools forts, en litres d'alcool pur. Jusqu'à la fin des années 198, la plus grande part de l'alcool consommé en Nouvelle-Calédonie l'était sous forme de vin. En 199, la bière consommée dépasse le vin. Depuis 23, on observe une inversion de cette tendance avec en 25, une consommation de vin toujours supérieure à la bière. A noter en 1996 une production locale de vin. Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie - Année 26 L'alcoolisme I p 3

4 bière import. bière locale bière total Evolution des types de bières consommées. La consommation est stable depuis 21 pour la quantité de bière importée. Après une hausse en 21 et 22, la consommation de bière fabriquée localement chute et reste stable depuis 23. Comparaison En métropole, en l espace de 4 ans, la consommation moyenne d alcool par adulte de 15 ans et plus a diminué de plus d un tiers pour atteindre 13,1 litres en 24. Malgré cette baisse, la métropole reste l un des pays du monde où la consommation d alcool est la plus élevée (OFDT juin 26). Le vin constitue 61% de la consommation totale d alcool mais la consommation d alcools forts progresse chez les jeunes. La Nouvelle-Calédonie est ainsi située : Pays 22 Irlande 14,3 France (24) 13,1 Danemark 11,2 Suisse 1,8 Allemagne 1,4 Espagne (21) 1,1 Finlande 9,2 Nouvelle-Zélande 9,2 Nouvelle-Calédonie (24) 9,1 Royaume-Uni 7,7 Australie (21) 7,5 Etats-Unis (21) 6,6 Japon 6,6 Pologne 6,3 Turquie 1,4 Consommation d alcool dans le monde en litres d alcool pur par habitant (world drinks trends 24). La consommation en Nouvelle-Calédonie en L.A.P. par habitant pourrait paraître faible en comparaison de la consommation de bien d'autres pays, mais la structure par âge de la population n'est pas la même (importance de la tranche des moins de 14 ans) ainsi que les modes de consommation. Aussi, il convient d'apporter toute réserve à ces comparaisons. p 4 I.5.1. L'alcoolisme - Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie - Année 26

5 I Les conséquences de l'alcoolisme L usage de l alcool conduit une partie des consommateurs à avoir recours au système de soins médicosocial. Les conséquences de la consommation d alcool et en particulier de la consommation excessive se déclinent dans des domaines variés. Ainsi, l alcool est : - directement à l origine de certaines pathologies comme la cirrhose du foie, le syndrome d alcoolisme fœtal. - également impliqué plus ou moins directement dans la survenue d autres pathologies : cancers des voies aérodigestives, maladies de l appareil circulatoire (coresponsabilité avec le tabac pour les deux groupes de pathologies), cancer du foie, névrite optique, polynévrite, troubles psychiques. - impliqué dans la survenue d autres dommages comme les accidents (route, domestiques, travail), les suicides, les rixes et dans de nombreux problèmes sociaux, entre autres : délinquance, mauvais traitements à enfant et conjoint, coups et blessures... La mesure des effets de l'alcoolisme demeure complexe et parcellaire. En effet, si les conséquences de l'alcoolisme apparaissent dans de nombreux domaines, l'attribution du phénomène à l'alcool n'est pas toujours prouvée ; lorsqu'elle l'est, l'alcool peut intervenir aussi en relation avec d'autres facteurs. En raison de la multiplicité des effets dus à une consommation excessive d alcool, l évaluation des conséquences sanitaires peut s apprécier sur : - les demandes de traitement à la fois dans les dispositifs spécialisés : centre de soins en addictologie (mis en place en 26) en Nouvelle-Calédonie, mais aussi en médecine de ville (enquêtes spécifiques) ; - la morbidité, pour les pathologies directement liées à l alcool, ou en partie attribuables à l alcool, au travers d enquêtes ou bien d autres sources de données (PSMI, caisses d assurance maladie, accidentologie...) : - la mortalité, pour les pathologies directement ou en partie attribuables à l alcool au travers de l analyse des certificats médicaux de décès. Prévention et soins en addictologie Une unité fonctionnelle à part entière et filière spécifique de prise en charge en alcoologie, le C.A.T.A. avait été créé fin 1993 par une convention entre le C.H.S. et l A.P.A.A. (Association pour la Prévention des Abus d Alcool). Même si les problèmes d alcoolisme constituaient encore 98 à 99 % de son activité, l unité prenait également en charge les toxicomanies essentiellement représentées sur le territoire par le cannabisme (et accessoirement le tabagisme et les dépendances aux psychotropes). Cette unité a été remplacée par une nouvelle structure (Programme de prévention et de soins en addictologie) sous la direction de l Agence Sanitaire et Sociale de Nouvelle-Calédonie. Elle a pour objectif principal de faire baisser les conséquences sanitaires et sociales des consommations de tabac, d alcool et de cannabis. Elle est constituée d un secteur chargé de la mise en place d un programme de prévention, d un centre de soins en addictologie et d une l équipe de liaison entre secteur hospitalier et centre de soins. Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie - Année 26 L'alcoolisme I p 5

6 I La mortalité En Nouvelle-Calédonie, l évaluation de la mortalité due à l alcoolisme à partir des certificats médicaux de décès fait apparaître 37 décès imputables à l alcool en 26 (soit 4 de moins que l année précédente) pour un total de 497 cas cumulés de 1991 à 26 : Décès dont la cause initiale est une des pathologies entièrement dues ou très liées à l'alcool Cumul Année 26 tumeurs malignes des lèvres, cavité buccale et pharynx tumeurs malignes de l'œsophage tumeurs malignes du larynx 39 psychose alcoolique 3 syndrome de dépendance alcoolique 21 abus d'alcool, de drogue, chez une personne non dépendante 33 2 maladies chroniques et cirrhose du foie Sous-total Cumul des décès de 1991 à 26 dont la cause initiale est une pathologie entièrement due ou très liée à l'alcool. Ainsi, ces décès représentent 2,9% de l'ensemble des décès survenus en 16 ans et un taux moyen brut égal à 15,6 décès pour 1 habitants. Pour l année 26, ces décès représentent 3,3% du nombre total de décès et le taux brut est de 15,6 décès pour 1 habitants. En France Métropolitaine, 23 décès sont attribués chaque année à l alcool, soit 1% de l ensemble des décès dont : - 1 sur 2 touchent des personnes de moins de 65 ans, - 8 sur 1 touchent des hommes. Sur ces décès directement liés à l imprégnation éthylique chronique, la moitié par cancers des VADS et 4% par cirrhoses (FNORS BEH 12 septembre 26). L alcool est une cause majeure de mortalité prématurée : il est à l origine de 22% des décès des hommes entre 45 et 54 ans et de 48,2% des décès des femmes entre 45 et 64 ans ; il est la 1 ère cause de décès chez les jeunes (Inserm Alcool - Effets sur la santé 25 juillet 25). Le taux brut de mortalité est ainsi égal à 38,15 pour 1 habitants (Inserm CépiDc INSEE première n juin 22). Ci-dessous, sont représentés les taux bruts de mortalité liés à l imprégnation éthylique chronique (pour 1 habitants) par sexe et tranche d âge en Nouvelle-Calédonie, pour la période Quelle que soit la tranche d âge, les taux sont toujours largement plus élevés chez les hommes (multipliés par 6 pour les plus de 75 ans) Hommes Femmes , ,3 3, ,1 1,4 3 1,1 1, ans ans ans ans ans ans 75+ ans Taux brut de mortalité de 1991 à 25. p 6 I.5.1. L'alcoolisme - Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie - Année 26

7 La comparaison des taux spécifiques par tranche d âge de la période montre que chez les hommes, en 26 les taux sont plus élevés chez les plus de 75 ans. Chez les femmes, le taux de 26 est aussi plus élevé chez les plus de 75 ans par rapport au taux moyen de la période Hommes France (97) Femmes France (97) Hommes Femmes 264, , ,5 61,3 38,6 5,1 11,3 19,3 11, ans ans ans ans ans ans 75+ ans Taux brut de mortalité en 26 Outre les 497 décès enregistrés de , figurant dans le tableau qui précède, pour lesquels la cause initiale est entièrement due ou très liée à l alcool, on peut y inclure les décès, pour lesquels l alcoolisme, aigu ou chronique, a été indiqué en renseignement complémentaire, ce qui porte ainsi à 991 le nombre de décès imputables à l alcool (dont 27 en 26). Ainsi, depuis 1991, 5,8% de décès sont imputables à l alcool en Nouvelle-Calédonie, soit un taux moyen brut de mortalité égal à 31,5 pour 1 habitants. Les causes initiales associées à ces 494 décès supplémentaires sont principalement représentées par le groupe des traumatismes et accidents (4,3%, N=199) dont un peu plus de la moitié sont associés aux accidents de la circulation (N=19), puis les maladies de l appareil circulatoire (16,6%, N=82), les maladies digestives (9,9%, N=49), les maladies de l appareil respiratoire (1,3%, N=51). Ainsi, même si l on n atteint pas encore les taux métropolitains, l augmentation régulière de la consommation d alcool va inéluctablement entraîner à moyen terme une augmentation de ces indicateurs. Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie - Année 26 L'alcoolisme I p 7

8 I La morbidité (rappel) Le programme de prévention du risque alcool : (Source : rapport «enquête de prévalence» du Dr Christian Michel - 23). L enquête de prévalence menée entre le 14 et 24 janvier 23 auprès d un échantillon de 254 patients de plus de 15 ans, hospitalisés au CHT et au CHS, a donné les résultats suivants : - dans un échantillon composé de 4,6% de femmes et 58,4% d hommes interrogés, 48,6% de ces personnes disaient consommer de l alcool au moment de l enquête, parmi le reste des non-consommateurs, 78,5% en avaient déjà consommé. - on ne notait pas de différence significative entre hommes et femmes. - la notion de consommation d alcool était plus fréquente dans les communautés européenne et mélanésienne (51,9% pour chacune) que dans la communauté polynésienne. - parmi les 121 personnes qui déclaraient boire de l alcool (73 hommes, 48 femmes), une personne sur deux qui consommait de l alcool avait une consommation nocive. Conclusion : Malgré le biais de recrutement dû au choix de la population d étude, qui ne peut pas être représentative de la population générale, ce travail a permis d obtenir des informations sur la fréquence des consommations dites nocives. On peut considérer que près de 9 personnes sur 1 consommaient ou avaient déjà consommé de l alcool, la fréquence des consommateurs actuels semblant moindre par rapport aux autres études antérieures. Toutefois, dans cet échantillon de patients hospitalisés, une personne sur deux qui consomme de l alcool avait une consommation nocive. p 8 I.5.1. L'alcoolisme - Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie - Année 26

TABLEAU DE BORD SUR LES ADDICTIONS

TABLEAU DE BORD SUR LES ADDICTIONS TABLEAU DE BORD SUR LES ADDICTIONS A LA REUNION réalisé par l Observatoire Régional de la Santé de La Réunion 5 ème édition : octobre 27 En 21, le Comité de Lutte contre la Drogue et de Prévention des

Plus en détail

Tableau de bord sur les addictions en Bretagne

Tableau de bord sur les addictions en Bretagne DU Addictologie 6 novembre 2014 Tableau de bord sur les addictions en Bretagne Les principaux chiffres clés Tableau de bord sur les addictions en Bretagne http://www.cirdd-bretagne.fr/ http://orsbretagne.typepad.fr/ors_bretagne/

Plus en détail

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures

Plus en détail

Tableau de bord Tableau de bord. Les addictions. à La Réunion

Tableau de bord Tableau de bord. Les addictions. à La Réunion Tableau de bord Tableau de bord Les addictions à La Réunion Décembre 2011 Tableau de bord sur les addictions à La Réunion Décembre 2011 Page 2 sur 52 SOMMAIRE INTRODUCTION...... 5 OFFRE ET PRODUCTION....

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE 27 AVRIL 2006 5 MILLIONS DE FRANÇAIS ONT UN PROBLEME AVEC L ALCOOL. ET SI LES AUTRES C ETAIT VOUS?

DOSSIER DE PRESSE 27 AVRIL 2006 5 MILLIONS DE FRANÇAIS ONT UN PROBLEME AVEC L ALCOOL. ET SI LES AUTRES C ETAIT VOUS? DOSSIER DE PRESSE 27 AVRIL 2006 5 MILLIONS DE FRANÇAIS ONT UN PROBLEME AVEC L ALCOOL.. ET SII LES AUTRES C ETAI IT VOUS? SOMMAIRE Les hommes boivent plus souvent et en plus grande quantité que les femmes..

Plus en détail

PARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale

PARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur

Plus en détail

URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS

URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS 1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION

Plus en détail

INDEMNISATION DES SÉQUELLES EN DROIT DE LA SÉCURITÉ SOCIALE

INDEMNISATION DES SÉQUELLES EN DROIT DE LA SÉCURITÉ SOCIALE 5. INDEMNISATION DES SÉQUELLES EN DROIT DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Dr Jacqueline Cardona L INCAPACITÉ PERMANENTE (IP) EN ACCIDENT DU TRAVAIL Principe juridique Article L 434-2 du code de la sécurité sociale

Plus en détail

DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)

DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux

Plus en détail

DEMANDE D IMMATRICULATION D UN TRAVAILLEUR notice explicative

DEMANDE D IMMATRICULATION D UN TRAVAILLEUR notice explicative o N 50560#02 L'ASSURANCE MALADIE notice explicative Qui doit établir cette déclaration? En application des articles L 312-1, R 312-4, R 312-5, R 312-6 du Code de la Sécurité Sociale, L est tenu de dé clarer

Plus en détail

Professions indépendantes. Vos prestations maladie

Professions indépendantes. Vos prestations maladie Professions indépendantes Vos prestations maladie Édition 2012 Vos prestations maladie Sommaire Quels sont les bénéficiaires de l assurance maladie? 3 Comment bénéficier des prestations? 4 Quels sont les

Plus en détail

Âge effectif de sortie du marché du travail

Âge effectif de sortie du marché du travail Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci

Plus en détail

La recherche d assurance maladie à l étranger Procédure à l usage des CPAS

La recherche d assurance maladie à l étranger Procédure à l usage des CPAS La recherche d assurance maladie à l étranger Procédure à l usage des CPAS CAAMI Service Relations internationales (iri.enquete@caami.be) www.caami.be Introduction La Caisse Auxiliaire d Assurance Maladie-Invalidité

Plus en détail

Enquête de Santé par Interview Belgique 2001

Enquête de Santé par Interview Belgique 2001 Enquête de Santé par Interview Belgique 21 Livre 3 Style de Vie IPH/EPI REPORTS nr 22-22 Rue de Louvain, 44 1 Bruxelles Section d'epidémiologie Rue Juliette Wytsman, 14 15 Bruxelles Tél : 2/642.57.94 e-mail

Plus en détail

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Octobre 2012 RESULTATS DE L ANALYSE DES COUPLES PAYS/SECTEURS PORTEURS EN FAVEUR DU COMMERCE EXTERIEUR DE LA FRANCE SOMMAIRE Résumé 2

Plus en détail

L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices. Édition 2013

L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices. Édition 2013 1 L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices Édition 2013 L assurance maternité Sommaire Les prestations maternité 3 Cas particuliers 8 Le congé paternité 11

Plus en détail

L épidémiologie du suicide au Québec : que savons-nous de la situation récente?

L épidémiologie du suicide au Québec : que savons-nous de la situation récente? L épidémiologie du suicide au Québec : que savons-nous de la situation récente? Danielle St-Laurent Clermont Bouchard Unité Connaissance-surveillance MISE EN CONTEXTE L objectif de cette étude est de présenter

Plus en détail

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,

Plus en détail

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20

Plus en détail

Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux

Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux 1 Les facteurs de compétitivit titivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle

Plus en détail

Journée Santé ESRI France 28/01/2010 La valeur ajoutée des SIG Retours d expériences (PMSI et géomarketing)

Journée Santé ESRI France 28/01/2010 La valeur ajoutée des SIG Retours d expériences (PMSI et géomarketing) Jean-François Mary, Études géographiques Journée Santé - ESRI France - 28/01/10 La valeur ajoutée des SIG dans la santé : Retours d expériences de consultant et de formations (PMSI, Géomarketing) La valeur

Plus en détail

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au

Plus en détail

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques 2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données

Plus en détail

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.

Plus en détail

ASSURANCE ASSISTANCE

ASSURANCE ASSISTANCE Loisirs ACCUEIL a pris la précaution de souscrire auprès de Gan Assurances et de Gan Assistance un contrat d assurance et vous bénéficiez donc automatiquement des garanties suivantes : AVANT VOTRE SEJOUR

Plus en détail

HOSPITALISATION HOSPITALISATION DENTAIRE

HOSPITALISATION HOSPITALISATION DENTAIRE HOSPITALISATION HOSPITALISATION DENTAIRE FORFAITS HOSPITALIERS La CPAM peut participer aux forfaits hospitaliers de moins d un an facture originale procuration si facture non acquittée FRAIS D ACCOMPAGNEMENT

Plus en détail

Résultats techniques de la mortalité au Canada

Résultats techniques de la mortalité au Canada Résultats techniques de la mortalité au Canada Présentation à l assemblée annuelle de l ICA à Vancouver 29 juin 2010 1 Présentation Espérance de vie Amélioration de la longévité Comparaisons internationales

Plus en détail

Le cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS»

Le cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS» F N O R S Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS de Bretagne, Franche-Comté, Languedoc-Roussillon, Limousin, Pays de la Loire, Rhône-Alpes Le cancer dans les régions de Mortalité

Plus en détail

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005. Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs

Plus en détail

LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2013

LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2013 LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ Données clés 2013 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes statistiques FFSA-GEMA et concernent les sociétés d

Plus en détail

Quel est le temps de travail des enseignants?

Quel est le temps de travail des enseignants? Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans

Plus en détail

Ligue Algérienne pour la Défense des droits de l Homme الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق السنسان. Le calvaire sans fin des malades du cancer

Ligue Algérienne pour la Défense des droits de l Homme الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق السنسان. Le calvaire sans fin des malades du cancer Ligue Algérienne pour la Défense des droits de l Homme الرابطة الجزائرية للدفاع عن حقوق السنسان http://droitdelhomme.over-blog.com laddhchlef@yahoo.fr laddhchlef@gmail.com http://facebook.com/laddhchlef

Plus en détail

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42

Plus en détail

Tableau de bord Tableau de bord. Le diabète. à La Réunion

Tableau de bord Tableau de bord. Le diabète. à La Réunion Tableau de bord Tableau de bord Le diabète à La Réunion Décembre 2012 2 Sommaire Introduction 4 Définitions 6 Répertoire des sigles 7 Contexte 8 Prévalence du diabète traité à La Réunion 10 Admissions

Plus en détail

AMÉLIORER LE RAPPORT COÛT-EFFICACITÉ DES SYSTÈMES DE SANTÉ

AMÉLIORER LE RAPPORT COÛT-EFFICACITÉ DES SYSTÈMES DE SANTÉ Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE 2010, Améliorer le rapport coût-efficacité des systèmes de santé, OCDE Département des Affaires Économiques, Note de politique économique,

Plus en détail

EGALITÉ ENTRE LES FEMMES

EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ÉGALITÉ CHERCHEUSE FEMME ENSEIGNEMENT HOMME ÉTUDIANTE RECHERCHE EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES Chiffres clés de la parité dans l enseignement supérieur et la recherche ÉGALITÉ entre les FEMMES

Plus en détail

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve

Plus en détail

La situation en matière de pension privées et de fonds de pension dans les pays de l OCDE

La situation en matière de pension privées et de fonds de pension dans les pays de l OCDE La situation en matière de pension privées et de fonds de pension dans les pays de l OCDE Colloque Protection sociale d entreprise Paris, 26 mars 2010 http://www.irdes.fr/espacerecherche/colloques/protectionsocialeentreprise

Plus en détail

15ème anniversaire de l unité d addictologie Jean Schiffer e p ier d Portes Ouvertes Jeudi 24 mai 2012

15ème anniversaire de l unité d addictologie Jean Schiffer e p ier d Portes Ouvertes Jeudi 24 mai 2012 15 ème anniversaire de l unité d addictologie Jean Schiffer Dossier de presse Portes Ouvertes Jeudii 24 maii 2012 Le dossier Les addictions o Définition o Les grandes tendances en termes de conduites addictives

Plus en détail

REGLEMENTS ET CONDITIONS GENERALES (RCG) POUR LES MAKTOOB, MEDICAL, HAJJ & UMRAH ET SILVER CARD

REGLEMENTS ET CONDITIONS GENERALES (RCG) POUR LES MAKTOOB, MEDICAL, HAJJ & UMRAH ET SILVER CARD REGLEMENTS ET CONDITIONS GENERALES (RCG) POUR LES MAKTOOB, MEDICAL, HAJJ & UMRAH ET SILVER CARD Introduction Après l'achat et le paiement d'une des cartes "MUSLIM FLIGHT ASSIST", le titulaire de la carte

Plus en détail

Niveau de scolarité et emploi : le Canada dans un contexte international

Niveau de scolarité et emploi : le Canada dans un contexte international N o 81-599-X au catalogue Issue n o 008 ISSN : 1709-8661 ISBN : 978-1-100-98615-9 Feuillet d information Indicateurs de l éducation au Niveau de scolarité et emploi : le dans un contexte international

Plus en détail

Estimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans

Estimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Estimations des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet et François Beck Note 2015-02 du 21 avril 2015 L enquête ESCAPAD Cette note présente les premières exploitations

Plus en détail

ÉTAT DES LIEUX DES DROGUES ET DÉPENDANCES EN AUVERGNE

ÉTAT DES LIEUX DES DROGUES ET DÉPENDANCES EN AUVERGNE Réalisé par l'observatoire Régional de la Santé d'auvergne M VENZAC, H-G ILLES, S MAQUINGHEN, Pr Y GLANDDIER ÉTAT DES LIEUX DES DROGUES ET DÉPENDANCES EN AUVERGNE Novembre 2011 Observatoire régional de

Plus en détail

REPONSE AUX QUESTIONS PORTANT SUR LA MISE EN CONCURRENCE DES CONTRATS ACS. Document du 20 janvier 2015. I. Candidature

REPONSE AUX QUESTIONS PORTANT SUR LA MISE EN CONCURRENCE DES CONTRATS ACS. Document du 20 janvier 2015. I. Candidature REPONSE AUX QUESTIONS PORTANT SUR LA MISE EN CONCURRENCE DES CONTRATS ACS Document du 20 janvier 2015 I. Candidature Un organisme complémentaire qui ne dispose pas de l agrément dit «branche 2» peut-il

Plus en détail

La solution santé et prévoyance modulable de Generali.

La solution santé et prévoyance modulable de Generali. La solution santé et prévoyance modulable de Generali. 2 Pour faire face aux aléas de la vie La Prévoyance Entreprise 6-20 de Generali est un contrat de prévoyance/santé qui vous permet d apporter à vos

Plus en détail

N O S L I M I T E S?!

N O S L I M I T E S?! NOS LIMITES?! Cette brochure contient des informations essentielles sur l alcool et peut vous permettre de calculer votre. L alcool L alcool est une drogue licite et réglementée dont la substance psychoactive

Plus en détail

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS

Plus en détail

Les Jeudis de l'europe

Les Jeudis de l'europe LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER

Plus en détail

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de

Plus en détail

LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2012

LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2012 LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ Données clés 2012 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes de la Direction des études et des statistiques FFSA-GEMA.

Plus en détail

GUIDE DES FRONTALIERS

GUIDE DES FRONTALIERS Avec le soutien de l Union européenne SOMMAIRE Fiche 1 Fiche 2 Fiche 3 Fiche 4 Fiche 5 Fiche 6.1 Fiche 6.2 Fiche 6.3 Fiche 7 Fiche 8 Fiche 9 Fiche 10 Fiche 11 Fiche 12 Fiche 13 Fiche 14 Fiche 15 Généralités

Plus en détail

VI. TENDANCES DE L INVESTISSEMENT DIRECT ÉTRANGER DANS LES PAYS DE L OCDE

VI. TENDANCES DE L INVESTISSEMENT DIRECT ÉTRANGER DANS LES PAYS DE L OCDE VI. TENDANCES DE L INVESTISSEMENT DIRECT ÉTRANGER DANS LES PAYS DE L OCDE Introduction L investissement direct étranger a des effets bénéfiques sur l économie L investissement direct étranger (encadré

Plus en détail

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24

Plus en détail

Contexte. Liste des membres du GSP Marc-André Belzil Don Blue Claude Ferguson Barry Senensky

Contexte. Liste des membres du GSP Marc-André Belzil Don Blue Claude Ferguson Barry Senensky 213108 Table des matières Contexte... 3 Sommaire... 4 Introduction... 13 Modèles de financement des soins de santé... 14 Coûts des soins de santé... 17 Utilisation des fonds affectés aux soins de santé...

Plus en détail

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales»

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les chaînes d activité mondiales (CAM) Les chaînes d activité recouvrent la gamme complète des fonctions et des tâches

Plus en détail

FORMALITES DOUANIERES

FORMALITES DOUANIERES FORMALITES DOUANIERES En France métropolitaine, pour les envois intra-métropole et vers les pays de l Union Européenne, toute vente de marchandise est soumise à la TVA. En revanche, les marchandises exportées

Plus en détail

Vous voulez soigner votre confort en cas d hospitalisation. Nous sommes là!

Vous voulez soigner votre confort en cas d hospitalisation. Nous sommes là! Vous voulez soigner votre confort en cas d hospitalisation. Nous sommes là! EN PLUS DE VOS REMBOURSEMENTS SANTÉ, VOUS ÊTES INDEMNISÉ DE VOS FRAIS D DÈS LE. VOTRE SANTÉ A DE L AVENIR LES GARANTIES Attention,

Plus en détail

L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier.

L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. Sommaire Synthèse 1 Arrivées hôtelières par pays 2 Nuitées

Plus en détail

MIEUX TRAVAILLER AVEC L ÂGE

MIEUX TRAVAILLER AVEC L ÂGE Lancement de la publication Paris, 30 janvier 2014 VIEILLISSEMENT ET POLITIQUES DE L EMPLOI MIEUX TRAVAILLER AVEC L ÂGE RAPPORT DE L OCDE SUR LA FRANCE Stefano Scarpetta, Directeur Anne Sonnet, Responsable

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

LES ASSURANCES DE PERSONNES. Données clés 2011

LES ASSURANCES DE PERSONNES. Données clés 2011 LES ASSURANCES DE PERSONNES Données clés 211 2 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes statistiques de la direction des études et des statistiques FFSA-GEMA

Plus en détail

VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000

VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 CENTRE DE DÉPISTAGE ANONYME ET GRATUIT DE MONTPELLIER VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 Juin 2002 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Hôpital Saint-Eloi

Plus en détail

INPCA. Institution Nationale de Prévoyance du Commerce et de l Artisanat 2 / 0 / 1 / 4

INPCA. Institution Nationale de Prévoyance du Commerce et de l Artisanat 2 / 0 / 1 / 4 INPCA Institution Nationale de Prévoyance du Commerce et de l Artisanat 2 / 0 / 1 / 4 Complémentaire retraite, prévoyance et santé des professionnels de la coiffure L INPCA VOTRE PARTENAIRE PRÉVOYANCE

Plus en détail

faits marquants et chiffres clés >> 2010

faits marquants et chiffres clés >> 2010 faits marquants et chiffres clés >> 2010 >> 1 Les comptes de l Assurance Maladie - Risques Professionnels Les recettes et les dépenses en 2010 L évolution des comptes Les cotisations des entreprises La

Plus en détail

MUTUELLE DE NATIXIS. l adhésion du salarié au régime est obligatoire, comme par le passé, celle de ses ayants-droit éventuels est facultative ;

MUTUELLE DE NATIXIS. l adhésion du salarié au régime est obligatoire, comme par le passé, celle de ses ayants-droit éventuels est facultative ; MUTUELLE DE NATIXIS Résumé des garanties du contrat obligatoire de complémentaire santé de la Mutuelle de Natixis «Régime unifié» des salariés mis en place le 1 er juillet 2010 Concerne les salariés de

Plus en détail

Partie III : Les déterminants de la santé

Partie III : Les déterminants de la santé Partie III : Les déterminants de la santé La santé de la population bruxelloise dépend de nombreux facteurs qui interviennent à des niveaux différents. Au niveau individuel, outre les facteurs génétiques,

Plus en détail

galités s sociales de cancer chez les travailleurs

galités s sociales de cancer chez les travailleurs Inégalit galités s sociales de cancer chez les travailleurs Annie Thébaud baud-mony INSERM/GISCOP93, Université Paris13 Rencontres francophones internationales sur les inégalit galités s sociales et de

Plus en détail

Comité Coproduits. Situation des marchés (V e quartier) 30 juin 2015. Montreuil

Comité Coproduits. Situation des marchés (V e quartier) 30 juin 2015. Montreuil Comité Coproduits Situation des marchés (V e quartier) juin 21 Montreuil LE MARCHE DES PRODUITS TRIPIERS Production de produits tripiers tonnes Evolution sur mois 21/21 Abats de bovins : + 2,2 % Abats

Plus en détail

Transports sanitaires

Transports sanitaires Observatoire régional de la santé des Pays de la Loire Juillet 2015 www.santepaysdelaloire.com La santé observée dans les Pays de la Loire Transports sanitaires L'essentiel En 2014, 5,6 millions de patients

Plus en détail

Etude statistique des données fournies par la CCIJP

Etude statistique des données fournies par la CCIJP Etude statistique des données fournies par la CCIJP Sommaire Introduction : Stagnation du nombre de cartes accordées en 2012... 4 1. Dans quels secteurs d activité les journalistes encartés travaillent-ils?

Plus en détail

IMAGES ET REALITES DE LA SANTE MENTALE EN POITOU-CHARENTES

IMAGES ET REALITES DE LA SANTE MENTALE EN POITOU-CHARENTES Association Régionale Poitou-Charentes pour l Information Médicale et l Epidémiologie en Psychiatrie (ARPCIMEP) Observatoire Régional de la Santé de Poitou-Charentes (ORSPEC) IMAGES ET REALITES DE LA SANTE

Plus en détail

La retraite des Praticiens Hospitaliers = retraite du régime général de la Sécurité Sociale + retraite complémentaire IRCANTEC

La retraite des Praticiens Hospitaliers = retraite du régime général de la Sécurité Sociale + retraite complémentaire IRCANTEC La retraite des Praticiens Hospitaliers = retraite du régime général de la Sécurité Sociale + retraite complémentaire IRCANTEC Denis Desanges A - Introduction I - La retraite du régime général Différentes

Plus en détail

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

Module 1. Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé

Module 1. Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé Module 1 Formation à la structure Mutuelle et aux outils d'accès aux soins de santé Partie 3 - Assurance Maladie Invalidité les indemnités. Plan A- INCAPACITÉ PRIMAIRE(1)(2) B- INVALIDITÉ (1)(2) (3)Principes

Plus en détail

Action sociale de la Mutuelle Audiens. de la presse, du spectacle et de la communication. Notice d information. À vos côtés tout au long de la vie

Action sociale de la Mutuelle Audiens. de la presse, du spectacle et de la communication. Notice d information. À vos côtés tout au long de la vie Action sociale de la Mutuelle Audiens de la presse, du spectacle et de la communication Notice d information À vos côtés tout au long de la vie Les aides complémentaires aux dépenses de santé Nature de

Plus en détail

Directeur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef : Christophe Soullez, chef du département de l ONDRP

Directeur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef : Christophe Soullez, chef du département de l ONDRP repères Premier ministre 20 institut national des hautes études de la sécurité et de la justice Janvier 2013 n Directeur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef

Plus en détail

Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône

Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,

Plus en détail

2Exemplaire à conserver par le destinataire

2Exemplaire à conserver par le destinataire 2 2 Numéro de référence 2Exemplaire à conserver par le destinataire 3 2 Numéro de référence 3Exemplaire à renvoyer au fournisseur 1 2 Numéro de référence 1Exemplaire à conserver par le fournisseur B CERTIFICAT

Plus en détail

Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire

Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire JL Marchand E Imbernon M Goldberg (Département Santé Travail) Présentation / rappels Département Santé Travail de

Plus en détail

FRAIS DE santé. Présentation des garanties et des tarifs. Professions de la Photographie. JANVier 2014

FRAIS DE santé. Présentation des garanties et des tarifs. Professions de la Photographie. JANVier 2014 FRAIS DE santé JANVier 2014 TRAVAILLEURS NON SALARIÉS Présentation des garanties et des tarifs Professions de la Photographie Régime frais de santé - Travailleurs non salariés Les partenaires sociaux de

Plus en détail

VOTRE COMPLEMENTAIRE SANTE

VOTRE COMPLEMENTAIRE SANTE Version octobre 2012 VOTRE COMPLEMENTAIRE SANTE ASSISTANTES MATERNELLES & SALARIES DE PARTICULIERS EMPLOYEURS Une équipe de conseillers est à votre service du lundi au vendredi de 9h00 à 12h30 et de 13h30

Plus en détail

Dossier Pratique Complémentaire santé septembre 2014

Dossier Pratique Complémentaire santé septembre 2014 Dossier Pratique Complémentaire santé septembre 2014 Mieux comprendre la complémentaire santé chez Renault 2 1. Les ayants droit 2 2. Pièce à fournir pour l adhésion 2 3. Les cotisations 3 4. Les garanties

Plus en détail

L Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47.0

L Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47.0 L Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47. Résumé La question de la position des consommateurs vis-à-vis du commerce international a été abordée en particulier par deux

Plus en détail

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d

Plus en détail

FRAIS DE santé. Présentation des garanties et des tarifs. Professions de la Photographie

FRAIS DE santé. Présentation des garanties et des tarifs. Professions de la Photographie FRAIS DE santé JA N V i e r 2 0 1 3 TRAVAILLEURS NON SALARIÉS Présentation des garanties et des tarifs Professions de la Photographie Régime frais de santé - Travailleurs non salariés Les partenaires sociaux

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

Qui sont les enseignants?

Qui sont les enseignants? Extrait de : Regards sur l'éducation 2008 : Panorama Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/9789264040649-fr Qui sont les enseignants? Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE (2009),

Plus en détail

CALENDRIER DES PROCÉDURES

CALENDRIER DES PROCÉDURES NOTE AUX CANDIDATS PROCÉDURES POUR SE PORTER CANDIDAT ET CONSTITUER LE DOSSIER DE RÉSIDENT ANNÉE SCOLAIRE 2011-2012 CALENDRIER DES PROCÉDURES OPÉRATIONS CALENDRIER Mise en ligne du dossier de candidature

Plus en détail

2.4. Les médicaments de la «liste en sus»

2.4. Les médicaments de la «liste en sus» 2.4. Les médicaments de la «liste en sus» Dans le cadre de la tarification à l activité (T2A), le financement des médicaments administrés au cours d un séjour hospitalier est assuré selon plusieurs modalités.

Plus en détail

L évolution de l illettrisme en France

L évolution de l illettrisme en France une comparaison dans le temps établie avec les mêmes outils de mesure L évolution de l illettrisme en France Agence Nationale de Lutte Contre l Illettrisme Pour l accès de tous à la lecture, à l écriture

Plus en détail

PREPAR Sérénité Garantie Santé, c est quoi?

PREPAR Sérénité Garantie Santé, c est quoi? PREPAR Sérénité Garantie Santé Une complémentaire santé sur mesure pour vous et votre famille PREPAR Sérénité Garantie Santé, c est quoi? C est une complémentaire santé conçue pour les travailleurs nonsalariés

Plus en détail

La chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE

La chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE La chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE OCDE OCDE : Organisation de Coopération et de Développement Economique 30 pays membres : Allemagne, Australie, Autriche, Belgique, Canada,, Communauté Européenne,

Plus en détail

www.assuranceintel.ca

www.assuranceintel.ca UNE VEILLE CONCURRENTIELLE EN QUELQUES CLICS! AssuranceINTEL : un outil essentiel dans un marché en constante évolution CARACTÉRISTIQUES DES PRODUITS DISPONIBLES DANS LES TABLEAUX COMPARATIFS Abonnements

Plus en détail

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition

Plus en détail