Avoir cure de l humanisation
|
|
- Bernadette Blanchard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Avoir cure de l humanisation J.-R Freymann 1, L. Goldsztaub 2 De la déshumanisation à la subjectivation : les fonctions du psychologue Qu est-ce que le progrès? Le monde a perdu la clinique au profit d évaluations, de randomisations et de protocoles. Quelque chose, là, s est perdu. Le grand paradoxe du monde c est que le progrès scientifique est formidable, que la médecine a fait des progrès considérables et que la parole s est rabougrie. Plus de parole, plus d échange, plus de relation individuelle, plus de colloque inquiet. Soyez efficaces et ne coûtez pas cher! Où va-t-on dans un monde pareil? C est pour les générations à venir que nous pouvons être inquiets. Qu est-ce qui se passe quand ça manque de parole? Et pourtant, me direz-vous, on n arrête pas de parler. Il y a de la communication partout, il y a des SMS, il y a 1 Jean-Richard Freymann : Psychiatre, Psychanalyste à Strasbourg, Enseignant à l'uds, Président de la FEDEPSY 2 Liliane Goldsztaub : Psychologue, Psychanalyste à Strasbourg, Maître de conférence en psychopathologie clinique à l Université de Strasbourg 1
2 des mails tout le temps, les gens sont suspendus à leurs appareils téléphoniques comme des automates. Ce qui est un autre paradoxe : la psychanalyse n était pas du tout faite pour la formation ; la psychanalyse c était fait pour rechercher l inconscient. Parce qu il se trouve que l inconscient a une logique très particulière. Un peu inquiétante par moments ; et l inquiétude est devenue tellement grande qu on évite donc de plus en plus l existence de l inconscient. Au profit de quoi? De la volonté de notre moi, de nos souhaits, de nos amours? Pas du tout. On veut que nous restions à notre place et que nous n en bougions pas. Le problème c est que la psychanalyse est quelque chose qui concerne l individu particulier. Et comment peut-on faire pour que les psychanalyses puissent servir à plus d un seul? Il y a des solutions. Sur quoi nous ne devrions d ailleurs pas céder. À savoir, en particulier, de mettre en place des groupes de «supervision» à l intérieur même de tout établissement pour que les professionnels puissent parler de leurs difficultés, de ce qu ils ont ressenti. C est quelque chose de tout à fait fondamental, mais il y a un problème : c est que pour faire de la psychanalyse, même dans un groupe, dans une supervision, il faut qu il y ait un psychanalyste. Même si on vous allonge sur un divan, même si le soi-disant psychanalyste se tait, ça ne veut pas dire qu il fait de la psychanalyse et il ne suffit pas de payer grâce à l argent, contrairement à ce que l on pensait du temps de Lacan. On peut même envisager d ailleurs, et Freud l a fait, des voies thérapeutiques gratuites pour des gens qui sortent de milieux en difficulté. La difficulté que nous rencontrons tous en ce moment se situe dans le discours commun, dans le discours ambiant : c est arriver à faire des trous dans ce discours commun. Nous sommes des hypnotisés dans le discours commun. Vous le savez bien, politiquement, sociologiquement, dans les débats à la télé : nous sommes des grands hypnotisés. 2
3 Alors il faut aider les gens à se réveiller de temps en temps. C est qu obligatoirement il y a un effet de suggestion hypnotique. Il faut différencier la question du langage, la question de la parole, la question du discours et ce qui crée des discours, c est-à-dire nous sommes pris à longueur de journée dans le langage. C est ce qui nous différencie d ailleurs des animaux, même des grands singes! Le seul problème c est qu ils ne parlent pas. C est-à-dire que l on essaie de plus en plus de nous animaliser. Ce qu il se passe, c est qu il y a quelque chose de spécifique chez l humain qui est justement la question de la prise dans le langage. Et cette prise dans le langage c est quelque chose de très persécutif. On va le dire à l envers. Les «pauvres enfants» sont des victimes complètes de la parole de l autre. Ils sont pris dans un bain langagier, et ce bain langagier va les constituer. Mais pour se constituer véritablement comme sujet, pour se constituer comme individu complet, pour avoir du désir, pour pouvoir naître véritablement à la parole, il (ou elle) va devoir inconsciemment se battre contre ce discours commun : c est une lutte. Les enfants sont obligés de se battre contre nos discours. La difficulté ce n est pas l amour. La difficulté c est de laisser une place au discours de l Autre. Et là il faut un peu de père. Alors qu est-ce qu un père? Énorme question. C est un autre discours. C est la confrontation à deux discours au moins qui ouvre à la construction subjective. Autrement l enfant va devenir l objet de la mère ou du père, et tout ce que vous pouvez imaginer. Il va être dans un discours duel. L enfant, pour avoir un désir, est obligé de se battre inconsciemment ou préconsciemment contre la parole de l Autre. Ce n est pas ce qui est écrit dans les livres. S il ne veut pas se battre, il va devenir fou ou autiste, c est-à-dire que la normalité vue sous l angle psychanalytique c est une conflictualité, mais une conflictualité inconsciente. Quel est le résultat de cette conflictualité? C est de créer du symptôme ; c est ce en quoi la psychanalyse n est pas de la psychiatrie. Créer du symptôme c est une manière 3
4 d essayer de se défendre contre la parole de l autre, de créer sa propre parole. Mais pour cela il faut quand même que quelqu un vous écoute, et ne veuille pas vous soigner tout de suite, vous faire des électrochocs. Le symptôme est une formation de l inconscient, c est-à-dire c est une création ce qui n est pas uniquement quelque chose de l ordre d une plainte. La question du langage permet donc au sujet de se constituer. Alors tout cela ne se passe pas dans la joie. Il y a, à un moment donné, quelque chose qui se passe dans l évolution de l enfant ; quelque chose qui a été mis en place, qui a été repéré, en particulier par Jacques Lacan. Et l enfant? De quoi s agit-il? Il s agit à un moment donné pour l enfant de se voir autonome par rapport aux autres, de trouver une coupure ; c est quand même un moment mythique mais l enfant va être plein de joie en voyant son image dans le miroir. Quelque chose va se constituer alors qu il est dans l incoordination totale, alors qu il ne tient pas debout, alors qu il n a pas la parole, alors qu il court de tous les côtés sans jambe. À un certain moment, il va anticiper son unité dans le miroir. Il va anticiper une image qui n est pas encore acquise. Et c est dans cet écart entre ce qu il est réellement et cette image qu il va se constituer comme sujet. C est ce qu on appelle le stade du miroir. C est quelque chose d extraordinaire ; Saint Augustin avait été un très bon psychanalyste. Lui n a pas traité la question du stade du miroir mais il a traité la question de la «frérocité» avec, accrochés à la louve romaine, Romulus et Remus qui ne sont pas du tout bien ensemble. Ils pourraient avoir chacun une mamelle et téter tranquillement, mais chacun est jaloux de l autre qui est accroché à la mamelle. Ce qui veut donc dire qu il y a, chez chaque enfant, à la fois des pulsions d amour et des pulsions agressives. 4
5 Dans le groupe, on fonctionne comme s il n y avait pas cette ambivalence, comme si tout était amour, comme s il n y avait pas de haine dans la société, comme si tout allait pour le mieux, qu il n y aurait pas d exclus et pas de persécutés. On dénie cette ambivalence que chaque individu est à la fois composé d amour et de haine et que c est tout à fait normal. La personne hospitalisée, la personne qui est en clinique se trouve dans une dévalorisation considérable. Elle a déjà perdu quelque chose de l ordre de son image et va donc être dans une position infantile de grand désarroi. Alors comment faire pour que la personne puisse prendre la parole dans cette position-là? Et là se pose toute la question du transfert. Cette notion de transfert dont vous avez entendu parler a à voir avec les liens que vous avez eus pendant votre enfance et que vous allez progressivement mettre en place, de différentes manières ; ces liens d enfance que vous allez répéter. La psychanalyse elle-même a pour unique but d essayer de vous faire maître de vous-même sans répéter ce que vous avez déjà vécu. C est extraordinaire ; le lien premier que l on va avoir avec l autre, que l on appelle transfert, est avant tout la répétition du stéréotype infantile. Alors vous voyez l amour Est-ce qu il y a de l amour dans l infantile? C est une bonne question. Est-ce qu il y a des amours adultes? La question qui se pose c est de savoir s il y a différents niveaux de liens entre les gens. Seule la psychanalyse permet de repérer les différents types de liens qui vont se poser. Alors voici quelques exemples de ces différents rapports au langage. 5
6 Les différents niveaux du rapport au langage D abord il y a ce que Lacan appelait la «stéréotypie de bistrot». En Alsace, les personnes se réunissent beaucoup dans des «Winstub», elles vont au restaurant et se retrouvent toujours à la même table, à la même place, y retrouvent les mêmes amis et causent. Cela ne veut pas dire qu elles écoutent ce que l autre dit. Ce n est pas le but de l opération. C est un niveau d une parole très sociale. C est celui qui manque d ailleurs actuellement parce que là, il s agit de quelque chose de l ordre d un lien social qui, en particulier en Europe, s est beaucoup appauvri. Ensuite, il y a un autre niveau qui est celui de la relation en général. On va prendre comme modèle la relation amoureuse. La relation amoureuse, comme le dit Freud, c est, avant tout, on va aimer «ce qu on est, ce qu on a été, ce qu on aurait voulu être». Bref on n aime pas l autre mais on aime une image. Ça c est le premier type. Dans cette relation, il y a parfois l amour trans-narcissique. C est exceptionnel! C est l amour qui n est pas uniquement l amour de sa propre image, ou l amour de ce que l on aurait voulu être, ou de ce que l on a été, ou de sa petite maman, ou de son petit papa. C est quelque chose de «trans-», au-delà de soi-même, au-delà de son moi. Et c est là que la psychanalyse a inventé une notion très importante qui est la question du transfert, à savoir que le transfert c est un lien, c est un lien que l on assoit, on va en enrouler l autre. Alors qu est-ce que le coup de foudre? C est un sacré coup. Il y a beaucoup d auteurs littéraires qui nous ont montré que ce qui provoque le coup de foudre, l amour fou, c est un trait de l autre. Dans l analyse on va se rendre compte que l on est amoureux d un trait de l autre. Et là cela provoque quelque chose qui est de l ordre de la passion. Mais qui n a pas 6
7 vécu de passion n est pas humain. Il faut avoir vécu cela. La passion est-elle pour autant de l amour? Il y a quelque chose ici qui a été repéré dans la psychanalyse, qui permet autre chose que cette passion, qui est la question du transfert. Ce transfert est le moteur de tout ce que vous allez faire. Dans votre métier en particulier. Si je vous en parle c est que tous les malades, notamment hospitalisés, sont dans une position régressive. Ils vont être aptes à un amour régressif et nous ne devons pas en profiter. C est là tout le problème de l analyse et de la psychanalyse. Comment faire pour ne pas confondre cet amour qui va apparaître, ce lien qui va se constituer, avec l amour de tous les jours, de notre famille s il y en a? Ce n est pas sûr que les familles se constituent autour de l amour. Là il y a quelque chose qui se constitue que l on appelle le transfert. Le transfert, c est le fait de transférer des notions inconscientes qui ont à voir avec notre histoire, avec notre passé, avec ce que nous avons vécu, avec ce que nous n avons pas vécu, et d enrouler l autre comme avec un lasso, de l entourer, contourner l autre. Ce transfert a donc à voir directement avec nos mécanismes inconscients. Quand les gens sont en position de faiblesse, donc de dépendance, d aliénation, suspendus à la parole du médecin, attendant le sourire de l infirmière, ou d en parler avec la psychologue, les réponses c est très important, les réponses qui vont être données à cet endroit-là vont avoir un rôle considérable. C est là où le poids de la parole vient à être très important. Plus la personne est en position de faiblesse, même si elle a l impression de ne rien entendre, plus elle subit les mots de l autre. Dans la position hospitalière, c est un problème, ce n est pas tellement «hospitalier» d être en position de dépendance considérable, la personne ne va pas être dans son état normal. Elle va être dans un entre-deux. Le malade, on peut le dire en général, même si c est un grand professeur, un grand docteur, est en position régressive infantile. Et là attention, qu est-ce qui va se passer? C est que vous allez avoir une sensibilité inconsciente considérable. Ce qui va 7
8 être dit à ce moment-là, les diagnostics qui vont être posés, l inflexion de la voix vont avoir un effet considérable et vont pouvoir provoquer, selon votre attitude, il faut le savoir, ce qu on appelle des «érotomanies», ce qui est une psychopathologie très précise. Fonctions du psychologue Comme psychologue, vous ne pouvez être trop à distance et vous ne pouvez pas être trop proche, alors vous êtes comme écartelé. Et là, il faut retenir une chose qui est tout de même tout à fait analytique et qui peut aider : tout lien qu on appelle transférentiel est une forme de relation amoureuse, c est même vrai dans les couples mais ça, vous vous en débrouillez à la maison, plus ou moins bien! À l hôpital qu est-ce qui se passe : il y a la personne elle-même, le psychologue ou la psychologue, il y a ce qu il est réellement et surtout ce qu on lui suppose être. C est ce qu on appelle, en langage technique, le dédoublement transférentiel. Et ça, en tant que psychologue vous y êtes confronté tout le temps. Ce n est pas obligatoirement pour vous que l on vient vous parler. On vous parle parce que vous avez une certaine fonction. Et plus vous écoutez, plus vous provoquez ce transfert. Mais ne croyez pas que «c est pour vos beaux yeux». C est là où il ne faut pas de confusion. Il y a un point très important pour la pratique : faites très attention à la manière dont vous allez faire écho à ce qui vous est dit, les répercussions peuvent être considérables. À partir du moment où vous êtes en fonction, l autre va (vous) supposer des choses, il va dérouler tout son psychisme sur vous, et plus il va se livrer, plus il risque d être attaché à vous. Alors cela a des conséquences pratiques qu il faut que vous connaissiez : c est que vous ne pouvez pas fonctionner dans une complicité. Vous êtes en fonction professionnelle. 8
9 C est là que les «supervisions» de type Balint sont utiles. Ce sont des groupes où des praticiens se réunissent avec un psychanalyste pour pouvoir parler de leurs propres difficultés. Parce que la difficulté est de ne pas confondre pour le psychanalyste, le psychologue, le psychiatre de ne pas confondre ce qu il est avec ce que le patient lui suppose être. Il y a là un écart. Et ça, c est un point qu il faut mettre au travail tout le temps et qui vous permet de vivre. Il faut trouver des moyens de parler de ce que vous avez à subir, avoir des endroits un peu en dehors qui vous permettent de parler de votre pratique, de ce que vous avez vécu, etc. En sachant que la plupart des choses se guérissent par le biais du transfert. Si vous voulez, c est une bonne utilisation de la suggestion hypnotique. Mais la question de la psychanalyse est au-delà de ça. On peut aller au-delà de la question de la relation où va naître quelque chose de l ordre de l inconscient du sujet qui va pouvoir dire des choses qu il n a jamais dites ailleurs. C est qu il n y a pas seulement le problème des névroses, ce qu on appelle les névroses : la névrose phobique, la névrose obsessionnelle et la névrose hystérique. Ça c est d une part. Mais actuellement on mesure surtout la question de la somatisation, qui reste une énigme. Pourquoi quelqu un va «attraper» un cancer? Pourquoi quelqu un va-t-il avoir une maladie de système? Pourquoi quelqu un va faire un ulcère? Comment s en sortir avec cette histoire-là? Il s agit d un terrain de recherche très important. Il y a donc des choses à différencier dans sa pratique. Ce qu on appelle les manifestations d une névrose, ce sont des manifestations autour de la question de l angoisse. Comment quelqu un va-t-il créer des phobies, créer des obsessions, comment va-t-il créer une 9
10 hystérie? On laisse cela de côté pour les psychanalystes. Même si je vous fais remarquer que dans les nosographies internationales actuelles, on a ôté entièrement la notion de névrose comme si les névrosés n existaient plus. On a fait disparaître les névrosés. Une vraie catastrophe D autre part il y a la question de la somatisation où quelque chose d une lésion existe. Quand il y a lésion, nous sommes dans un terrain de recherche concernant la psyché. Vous pouvez tous participer à cette recherche parce qu il y a un rapport entre la parole et le corps réel, mais on ne le sait pas avant. Votre travail en tant que psychologue, c est un travail très difficile, c est de réintroduire la parole. 10
«La capacité à être seul», WINNICOTT
«La capacité à être seul», WINNICOTT La capacité d être seul est un signe des plus importants de la maturité du développement affectif. On repère chez le sujet ce qu il éprouve dans des situations de solitude,
Plus en détailProchaine rencontre: jeudi 15 mai, 10h00/12h00 Maison des Habitants Centre-ville - 2 rue du Vieux Temple - Grenoble
Prochaine rencontre: jeudi 15 mai, 10h00/12h00 Maison des Habitants Centre-ville - 2 rue du Vieux Temple - Grenoble mortderuegrenoble.wordpress.com La «barque-mémoire» et «la passerelle», construits en
Plus en détailLettre n 12, Novembre 2012
Lettre n 12, Novembre 2012 Cher(e) ami(e), Le silence des vacances cède la place au vacarme de la rentrée qui nous renvoie les premiers effets de la loi sur le titre de psychothérapeute et le redémarrage
Plus en détailATELIER 2: Les «bénéfices psychologiques» de l ETP: psychothérapie, thérapie cognitivocomportementale. quels équilibres?
12èmes Journées Régionales d échanges en Education du Patient EDUCATION DU PATIENT : «Entre bénéfices possibles et attendus.vers de nouveaux équilibres» jeudi 29 et vendredi 30 novembre 2012 ATELIER 2:
Plus en détailMÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART. première partie
MÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART première partie Alessandra Guerra En France il y a des jugements sur la question psychothérapiepsychanalyse J ai entendu
Plus en détailRecommandez Sunrise. Un partenaire de confiance.
Recommandez Sunrise Un partenaire de confiance. Soins de longue durée et soins pour personnes semi-autonomes Soins pour personnes souffrant de l Alzheimer ou éprouvant des troubles de la mémoire Soins
Plus en détailEsprit critique et dérives psychologique
Esprit critique et dérives psychologique L'esprit critique et l'autodéfense intellectuelle... Psy : clés d interprétation de notre environnement La construction et la transmission du savoir recouvre des
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détailLes stagiaires, au nombre de 12 maximum, disposent de tables de travail et de chaises.
Créé en 2005, l Institut Mots pour Maux est une association d accompagnement et d aide à la personne. Son objectif est de favoriser et de développer l amélioration de la condition de l être humain et son
Plus en détailSOINS ET ACCOMPAGNEMENTS. Professionnels de la psychiatrie. www.psycom.org
SOINS ET ACCOMPAGNEMENTS Professionnels de la psychiatrie www.psycom.org Professionnels de la psychiatrie SOMMAIRE Organisation des soins psychiatriques Professionnels de la psychiatrie Psychiatre et pédopsychiatre
Plus en détaildroits des malades et fin de vie
DOCUMENT à CONSERVER ET À EMPORTER si VOUS êtes HOSPITALISé droits des malades et fin de vie La loi Leonetti Le respect de la personne Le rôle de votre médecin L accès aux soins palliatifs Photo couverture
Plus en détailPSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE
UNIVERSITE MONTPELLIER 1 DIPLOME UNIVERSITAIRE PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE Option A: Psychosomatique, thérapies de relaxation. Option B: Psychosomatique et psychothérapies
Plus en détailAnnie Claude Sortant-Delanoë. L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir
Annie Claude Sortant-Delanoë L angoisse, nécessité logique entre jouissance et désir À sa naissance, l enfant est un organisme dont le cri exprime un besoin. Ce cri n a aucune intention de signification.
Plus en détailRégion Nord-Pas de Calais
Psychothérapeute - Formatrice - Spécialiste de l enfant CYCLE DE FORMATION SPÉCIALISÉE SÉMINAIRES DE DÉVELOPPEMENT PERSONNEL SUPERVISIONS DE PRATIQUE FORMATIONS SUR MESURE Région Nord-Pas de Calais Béthune
Plus en détailCOACH ME if you can! par Christine Thioux Administrateur-Directeur d A-Th & Associates
COACH ME if you can! par Christine Thioux Administrateur-Directeur d A-Th & Associates Avec le support de Bernard Baert, Senior Consultant, A-Th. & Associates Et André Thioux, Fondateur A-Th & Associates
Plus en détailSchi ose échanger. Schi ose dire. «La schizophrénie, ça se soigne» Quelques réponses aux questions que vous vous posez. oser parler des Schizophrénies
R E P É R E R C O M P R E N D R E A G I R Schi ose dire oser parler des Schizophrénies Schi ose échanger oser les rencontres sur la Schizophrénie 5 «La schizophrénie, ça se soigne» Quelques réponses aux
Plus en détailLES BASES DE LA MÉTAPSYCHOLOGIE
Chapitre 1 LES BASES DE LA MÉTAPSYCHOLOGIE I. RAPPEL THÉORIQUE Le terme Métapsychologie désigne le cadre théorique que Freud a élaboré et enrichi tout au long de sa vie. La métapsychologie constitue la
Plus en détailSommaire. Sommaire. L Entreprise Page 3. Qu est-ce que la PNL? Page 4. Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7
Sommaire L Entreprise Page 3 Qu est-ce que la PNL? Page 4 Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7 Préparation mentale pour sportif Page 8 Arrêter de fumer Page 11 Mincir par l hypnose Page 12 Traitement
Plus en détailCHACUN A SA PLACE. 15 ème Assises Nationales des Avocats d Enfants. Vendredi 21 et Samedi 22 novembre 2014. Partenaires de l événement
15 ème Assises Nationales des Avocats d Enfants CHACUN A SA PLACE Vendredi 21 et Samedi 22 novembre 2014 Partenaires de l événement Avec le soutien de 15 ème Assises Nationales des Avocats d Enfants CONFERENCE
Plus en détailLucile Cognard. S identifier à son symptôme
Lucile Cognard S identifier à son symptôme Dans notre milieu analytique, l expression est connue : «s identifier à son symptôme». D où vient-elle, que recouvre-t-elle? C est la question que je me suis
Plus en détailJE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!
rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,
Plus en détailJoseph Mornet PSYCHOTHÉRAPIE INSTITUTIONNELLE HISTOIRE & ACTUALITÉ CHAMP SOCIAL ÉDITIONS
Joseph Mornet PSYCHOTHÉRAPIE INSTITUTIONNELLE HISTOIRE & ACTUALITÉ CHAMP SOCIAL ÉDITIONS Préface Lorsque Joseph Mornet m a proposé d écrire une préface pour son livre sur la Psychothérapie institutionnelle,
Plus en détailGROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH) QUESTIONNAIRE POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS
Strasbourg, 17 février 2010 [cdcj/cdcj et comités subordonnés/ documents de travail/cj-s-ch (2010) 4F final] CJ-S-CH (2010) 4F FINAL GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH)
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailJean-Jacques Gorog. La dritte Person*
Jean-Jacques Gorog La dritte Person* Le dispositif du contrôle est très manifestement construit sur la place troisième, celle qui structure le mot d esprit freudien, de la même façon que la passe, selon
Plus en détailQUELQUES MOTS SUR L AUTEURE DANIELLE MALENFANT
Activité pédagogique autour du roman, de Danielle Malenfant ISBN 978-2-922976-38-0 ( 2013, Joey Cornu Éditeur) Téléchargeable dans la rubrique Coin des profs sur 1 Activités autour du roman RÉSUMÉ DU
Plus en détailPSYCHOLOGUE AU DOMICILE : PRATIQUES SINGULIERES OU PLURIELLES?
PSYCHOLOGUE AU DOMICILE : PRATIQUES SINGULIERES OU PLURIELLES? Françoise ELLIEN, Psychologue-Psychanalyste Psychanalyste Directrice du réseau de santé ville-hôpital SPES XII ème Congrès National de la
Plus en détailInformation aux patients et à leurs proches. Espace médiation. Lieu d écoute et de dialogue pour les patients et leurs proches
Information aux patients et à leurs proches Espace médiation Lieu d écoute et de dialogue pour les patients et leurs proches Quand solliciter l espace médiation? Vous rencontrez un problème à l hôpital
Plus en détailQue peut nous apporter une réflexion sur nos désirs?
Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs? Problématique : La difficulté lorsque vous vous trouvez face à un tel sujet est de confondre le thème avec le problème du sujet. Ici le thème était
Plus en détailAffirmation de soi, confiance en soi, estime de soi
Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi Estime de soi MOI Affirmation de soi AUTRES Confiance en soi ACTION Contexte Règles fondamentales de la communication 1) On ne peut pas décider, par
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailLUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?
LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles
Plus en détailAssises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS
EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS INTRODUCTION (Présentation de l'association François-Xavier Bagnoud) L'Association L'association qui porte le nom de François-Xavier Bagnoud est une
Plus en détailEnjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur
Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur Jessica FRIPPIAT Psychologue clinicienne Service d Hémato-oncologie Unité de Psychologie Hôpital Universitaire des enfants Reine Fabiola
Plus en détailQUELQUES RÉFLEXIONS SUR UNE PSYCHANALYSE POSSIBLE DES BÉBÉS
QUELQUES RÉFLEXIONS SUR UNE PSYCHANALYSE POSSIBLE DES BÉBÉS Annie Anzieu P.U.F. La psychiatrie de l'enfant 2007/2 - Vol. 50 pages 417 à 422 ISSN 0079-726X Article disponible en ligne à l'adresse: http://www.cairn.info/revue-la-psychiatrie-de-l-enfant-2007-2-page-417.htm
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. PENTA Editions Des livres qui résonnent
DOSSIER DE PRESSE En couverture : Ludwig van Beethoven, impression couleur d après une peinture de Johann Baptist Reiter Beethoven-Haus Bonn Partie de violon de quatuor à cordes op. 135 de Ludwig van Beethoven,
Plus en détailinstitut européen psychanalyse & travail social programme 2015 - joseph rouzel formations www.psychasoc.com N de déclaration : 91.34.04490.
institut européen psychanalyse & travail social programme 2015 - joseph rouzel formations www.psychasoc.com N de déclaration : 91.34.04490.34 Edito L heure est grave. J en voudrais pour preuve les textes
Plus en détailDans le cadre du décret Education Permanente. La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE. (11 074 signes espaces compris)
1 Dans le cadre du décret Education Permanente La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE (11 074 signes espaces compris) Le volontariat et ses limites dans le secteur social et des soins
Plus en détailComment se constitue la personnalité? Un bébé heureux a-t-il le plus de chances de devenir un adulte heureux?
Philippe Scialom 1 Un bébé heureux a-t-il le plus de chances de devenir un adulte heureux? La petite enfance est une période beaucoup plus déterminante qu on ne pourrait le penser : tout ce que va vivre
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailHISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR
HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR CHANTAL COUVREUR Sociologue, Docteur en Santé Publique Présidente de «Mediteam» Si l on s intéresse à l histoire des soins palliatifs, on constate
Plus en détailConseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail
Conseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail Document réalisé avec l aide de Philippe BIELEC, Ingénieur Conseil à la Direction des risques professionnels de la
Plus en détailL'engagement http://gazette.ditaime.com/article/38.html
L'engagement http://gazette.ditaime.com/article/38.html Définition Que veut dire au juste le mot engagement? Le dictionnaire nous en donne la définition suivante : «Promesse formelle, acte par lequel une
Plus en détailFins d analyse T R A N S. Note: À partir du présent numéro, la revue paraît en hiver et en été. H I V E R 1 9 9 5
T R A N S R E V U E D E P S Y C H A N A L Y S E Fins d analyse Note: À partir du présent numéro, la revue paraît en hiver et en été. H I V E R 1 9 9 5 T R A N S C.P. 842, succ. Outremont, Montréal, (Québec)
Plus en détailUNE CHIRURGIE D UN JOUR POUR VOTRE ENFANT
23 UNE CHIRURGIE D UN JOUR POUR VOTRE ENFANT Comment aider votre enfant à vivre cette expérience Pour vous, pour la vie Une chirurgie d un jour pour votre enfant Votre enfant aura bientôt une opération
Plus en détailJe m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale
Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Ma mutuelle paye un montant fixe chaque mois à ma maison médicale LE FORFAIT est un contrat entre patient, maison médicale et
Plus en détailOrganisation des études et conditions d inscription
COLLÈGE CLINIQUE PSYCHANALYTIQUE DE PARIS Organisation des études et conditions d inscription COLLÈGE CLINIQUE PSYCHANALYTIQUE DE PARIS Les enseignements proposés se répartissent ainsi : I Les Unités cliniques,
Plus en détailAttirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices
Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Un Bébé - un Livre
keskidi Keskili? 25 route du Sacré Cœur 97420 Le Port 06.92.95.34.24 keskidikeskili@gmail.com Keskidi Keskili? : Orthophonie et Prévention à La Réunion DOSSIER DE PRESSE Un Bébé - un Livre NOVEMBRE 2013
Plus en détailQuestionnaire pour les enseignant(e)s
info@educatout123.fr www.educatout123.fr +31 614303399 L enfant qui bouge beaucoup! C est un fait, un enfant bouge beaucoup, il a besoin de se dépenser. Il arrive même parfois qu on n arrive plus à tenir
Plus en détailProblèmes de rejet, de confiance, d intimité et de loyauté
Chapitre 7 Problèmes de rejet, de confiance, d intimité et de loyauté Il y a en moi un désir profond d avoir une relation longue et pleine de sens avec quelqu un, mais cela me fait peur, parce que si vous
Plus en détailNOTRE HÔPITAL S ENGAGE. Au-delà du soin, vous comprendre. Au-delà du soin, vous comprendre
NOTRE HÔPITAL Au-delà du soin, vous comprendre S ENGAGE 4, rue Kléber 3, rue Barbès 92300 Levallois-Perret Tél. : 01 47 59 59 59 www.ihfb.org Au-delà du soin, vous comprendre UNE NOUVELLE IMAGE DE NOUVELLES
Plus en détailRésidence MBV Les FIGUERES -Capendu-
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement
Plus en détailLe processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins?
Le processus de professionnalisation du cadre de santé : Cadre de santé ou Cadre de soins? Laurent QUENEC HDU Descriptif : Le métier de cadre de santé est en constante évolution : le cadre est aujourd
Plus en détailMON LIVRET DE COMPETENCES EN LANGUE (Socle commun) Niveau A1/A2 / B1
Nom : Prénom :.. MON LIVRET DE COMPETENCES EN LANGUE (Socle commun) Niveau A1/A2 / B1 Récapitulatif pour la validation du Diplôme National du Brevet (Attestation du Niveau A2 en Langue Vivante) : ACTIVITES
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailAspects pratiques de la pédagogie Pikler
Paola Biancardi Aspects pratiques de la pédagogie Pikler Le CVE de Grattapaille dans lequel je travaille comme directrice, se trouve dans les hauts de Lausanne et regroupe deux sites : la Nurserie Sous-Bois
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailL articulation Hôpital de jour Accueil de jour
les hôpitaux de jour dans les filières de soin : un dispositif en marche L articulation Hôpital de jour Accueil de jour Dr Nathalie SCHMITT Dr Jacques HILD CH Colmar L articulation Hôpital de jour Accueil
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailMutex Indépendance Services - 10 % si vous adhérez en couple. Gardez le contrôle de votre vie!
- 10 % si vous adhérez en couple Mutex Indépendance Services Gardez le contrôle de votre vie! Les 10 raisons de souscrire Mutex Indépendance Services Une rente mensuelle de 300 f à 2000 f en fonction de
Plus en détailEsthétique du symptôme : quand la trace se fait désir
Esthétique du symptôme : quand la trace se fait désir Préambule Chaque pulsion de mon corps est trace enregistrée, comptée. La fièvre l amour, la douleur, le délire multiplie la trace. La trace est liée
Plus en détailTapori France ATD Quart Monde 2014 1/5
1/5 Les enfants, acteurs essentiels du combat contre les idées reçues. Prendre en compte leur parole et les actes concrets qu ils posent. Réfléchir et débattre ensemble PROPOSER UN DEBAT PHILO Il s'agit
Plus en détailProgramme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI
Programme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI La formation continue du Centre d Ouverture Psychologique Et Sociale (Copes) s adresse à tous les acteurs du champ médical, psychologique,
Plus en détailPlanification des soins de longue durée Lorsqu il n est plus possible de recevoir des soins à domicile
Planification des soins de longue durée Lorsqu il n est plus possible de recevoir des soins à domicile COMMENT NOUS POUVONS AIDER Le Centre d accès aux soins communautaires (CASC) de Champlain vous procure
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailL ACQUISITION DU LANGAGE CHEZ LE TOUT PETIT EN VIE COLLECTIVE INSTITUTIONNELLE
N 220 - ROUFIDOU Irini L ACQUISITION DU LANGAGE CHEZ LE TOUT PETIT EN VIE COLLECTIVE INSTITUTIONNELLE Pendant notre recherche du D.E.A., nous avons étudié l acquisition du langage chez le tout petit en
Plus en détailLES MECANISMES DE DEFENSE
LES MECANISMES DE DEFENSE Table des matières Table des matières 3 I - GENERALITES, DEFINITION 7 A. GENERALITES, DEFINITION...7 II - LES PRINCIPAUX MECANISMES DE DEFENSE 9 A. le refoulement :...9 B. la
Plus en détailLivret d accueil pour les futurs parents, les parents et les assistant(e)s maternel(le)s
Livret d accueil pour les futurs parents, les parents et les assistant(e)s maternel(le)s Un livret, pour qui? Ce livret est destiné aux parents et futurs parents qui souhaitent trouver un mode de garde
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailHARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer!
HARCÈLEMENT CRIMINEL Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! Qu est-ce que c est? Le harcèlement criminel est un crime. Généralement, il s agit d une conduite répétée durant une période de temps qui
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailUn certain regard sur la psychanalyse. Rencontre avec Christopher Bollas
102 Filigrane, volume 6, numéro 2, 1997, pages 102 à 112 Un certain regard sur la psychanalyse. Rencontre avec Christopher Bollas doris-louise haineault Christopher Bollas est psychanalyste et membre de
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailAvec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose
Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose Le «blues du post-partum» est FRÉQUENT chez les nouvelles mères. Quatre mères sur cinq auront le blues du post-partum. LE «BLUES DU POST-PARTUM» La
Plus en détailEducation Thérapeutique (ETP)
Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline
Plus en détailLorsqu une personne chère vit avec la SLA. Guide à l intention des enfants
Lorsqu une personne chère vit avec la SLA Guide à l intention des enfants 2 SLA Société canadienne de la SLA 3000, avenue Steeles Est, bureau 200, Markham, Ontario L3R 4T9 Sans frais : 1-800-267-4257 Téléphone
Plus en détailComment l enfant pense à la mort
Chapitre 1 Comment l enfant pense à la mort 1. Les situations dans lesquelles un enfant peut être confronté à la mort 2. Le concept de la mort chez l enfant 3. La mort dans le fonctionnement psychique
Plus en détailUNIVERSITÉ PAUL-VALÉRY MONTPELLIER III Arts et Lettres Langues et Sciences Humaines SUFCO U.F.R. I DÉPARTEMENT MUSIQUE
UNIVERSITÉ PAUL-VALÉRY MONTPELLIER III Arts et Lettres Langues et Sciences Humaines SUFCO U.F.R. I DÉPARTEMENT MUSIQUE Enseignements de la Musicothérapie Diplôme Universitaire de Musicothérapie (1 er niveau)
Plus en détailLa santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services
1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires
Plus en détailStress des soignants et Douleur de l'enfant
5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d
Plus en détailPRIVILÈGE 100% NOUS : SOLUTION MUTUELLE SANTÉ OFFRE SENIORS. Une approche mutualiste responsable
PRIVILÈGE 100% NOUS : SOLUTION MUTUELLE SANTÉ OFFRE SENIORS Une approche mutualiste responsable Une mutuelle adaptée à vos vrais besoins! La mutuelle qui vous ressemble! Les besoins en complémentaire santé
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailQuand les enfants apprennent plus d une langue
Quand les enfants apprennent plus d une langue En tant que parent d un enfant qui apprendra deux langues ou plus, vous avez peut-être des questions. Cette brochure basée sur des recherches récentes vous
Plus en détailA vertissement de l auteur
A vertissement de l auteur Attention, ce livre n est pas à mettre entre toutes mains ; il est strictement déconseillé aux parents sensibles. Merci à Madame Jeanne Van den Brouck 1 qui m a donné l idée
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailLa protection de vos données médicales chez l assureur
La protection de vos données médicales chez l assureur Brochure 2009 2 Questions & Réponses fréquentes FAQ 2009 La communication de données est le point de passage obligé pour le bon fonctionnement de
Plus en détailLa notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION
La notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION Le concept d équipe de soutien dans les soins palliatifs à domicile belges est récent. On évoque aussi
Plus en détailCecile Meignant. Infographie - Illustration - photographie. 42 ans. cecile.meignant@wanadoo.fr 06 88 75 07 99
Formation a l ESAG (atelier Met de Penninghen), Paris en 5 ans Salariée en milieu associatif : responsable de communication et monteuse de projets culturels En Free lance depuis 7 ans Cecile Meignant 42
Plus en détailSociété Française de Coaching Compte rendu de conférence
ATELIER SFCoach PACA du 30 septembre 2003 Marseille Les contre-indications du coaching Intervenant : Roland BRUNNER (RB): coach et psychanalyste, membre fondateur de la SF Coach, Vice Président de l'institut
Plus en détailParent avant tout Parent malgré tout. Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille.
Parent avant tout Parent malgré tout Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille. Edition: Addiction Suisse, Lausanne 2012 Que vous soyez directement concerné-e ou que
Plus en détailAnnoncer une mauvaise nouvelle
Annoncer une mauvaise nouvelle Ce texte a pour objectif d aider les professionnels à améliorer leurs pratiques pour mieux répondre aux attentes des patients. Sommaire Sommaire... 2 Introduction... 3 Points
Plus en détailLes enfants malentendants ont besoin d aide très tôt
13 CHAPITRE 2 Les enfants malentendants ont besoin d aide très tôt Pendant les premières années de leur vie, tous les enfants, y compris les enfants malentendants, apprennent rapidement et facilement les
Plus en détailBonnes pratiques RÉSEAUX SOCIAUX DES
Bonnes pratiques RÉSEAUX SOCIAUX DES Les réseaux sociaux sont des espaces sur Internet où les utilisateurs peuvent échanger, créer des liens, partager des opinions ou des informations entre amis, proches,
Plus en détailL impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU
L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,
Plus en détail«SOINS ET PSYCHOSE : QUESTION DE TEMPS»
«SOINS ET PSYCHOSE : QUESTION DE TEMPS» Les 8 et 9 mai 1998 LE CORUM MONTPELLIER Organisé par l association ISADORA et le Centre psychothérapique Saint Martin de Vignogoul Atelier E Président : P. FAUGERAS
Plus en détailAnnée universitaire 2011-2012
Association Institut de Psychosomatique Pierre Marty IPSO Pierre Marty Centre d enseignement et de formation CEFP Année universitaire 2011-2012 20 rue Bellier Dedouvre - 75013 Paris Secrétariat : 06 85
Plus en détailDepuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services
Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte
Plus en détail