Information annexe Questions
|
|
- Jean-Pascal Lanthier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Commenter ce graphique illustrant les variations respectives du CO2 et du Fer dans les bulles d air emprisonnées dans la glace. (Source Dossier Pour la Science; octobre 1998; p. 56) Information annexe : Dans les milieux océaniques les plus éloignés des continents, même en présence des nutriments classiques (P, N), la productivité du phytoplancton peut être très faible. On attribue ceci à une carence en fer. Questions : (i) pourquoi travailler avec des bulles d air emprisonnées dans la glace? (ii) pendant une période glaciaire, les zones désertiques (zones à très faible hygrométrie et non recouvertes par la glace) ont-elles tendance à augmenter ou à diminuer? (iii) pourquoi la quantité de Fer peut augmenter durant les périodes glaciaires? (iv) sachant qu une carence en Fer provoque une diminution de la concentration en chlorophylle ou une dégénérescence des chloroplastes, expliquer les liens possibles entre Fer et CO2?
2 Eléments de correction (i) l air piégé dans des micro-poches de glace n est pas en communication avec l extérieur et reflète donc la composition de l air au moment de son piégeage. Estimation de l âge en fonction de la teneur en isotopes stables (on connaît la demi-vie ou période). Donc conditions expérimentales permettent de penser qu il n y a pas de contamination. Ce qui est mesuré dans les bulles correspond à ce qu a été piégé au moment ou la bulle s est formée. L air emprisonné est donc représentatif d le air à une époque donnée. (ii) le Fer provient essentiellement du domaine terrestre par érosion éolienne et transport par les vents ou les masses d eaux continentales. (iii) en période glaciaire, il y a une déshydratation poussée des zones désertiques : l humidité de l air est condensée sous forme de glace dans les hautes latitudes et n est pas redistribuée à l échelle planétaire. Il en résulte une avancée ou une extension des zones désertiques. La conséquence (pas d obstacle au vent) est une accélération de l érosion éolienne et donc une augmentation du flux de Fer vers les domaines océaniques. (iv) le rôle du Fer chez les végétaux n est pas forcément très bien compris (voir Hopkins. Physiologie Végétale; De Boeck; page 70-72), mais on sait qu il intervient dans la synthèse de la chlorophylle et qu une carence prolongée induit une dégénérescence des chloroplastes. Dans les milieux océaniques les plus éloignés des continents, même en présence des nutriments classiques (P, N), la productivité du phytoplancton peut être très faible. On attribue ceci à une carence en fer. En période glaciaire, l augmentation des apports en Fer a pu relancer la productivité du phytoplancton. La quantité de carbone fixée a donc considérablement augmenté et, en conséquence, la pression partielle de CO 2 a diminuée dans l air. Cette diminution de CO 2 a entraîné une diminution de l effet de serre naturel (voir cours sur l effet de serre) et accentué le refroidissement de l atmosphère. Sans intervention d un autre processus, le système s auto-entretient, du moins un certain temps. Un réchauffement climatique a des effets inverses : recul des déserts, diminution de l érosion éolienne, diminution des apports en Fer en zone océanique, baisse de la productivité du phytoplancton et augmentation de la pression partielle de CO 2.
3 Remarque 1 (biologie) : les besoins en Fer sont très importants pour les unicellulaires autotrophes. Certains comme le flagellé Ochromonas sont même capables de phagocyter des bactéries contenant du fer pour assurer une partie de leur approvisionnement en fer. R. Maranger et ses collaborateurs (1998; Nature, 396: ) ont montré que 35 à 58% des apports en fer du phytoplancton autotrophe en zone équatoriale étaient assurés par mixotrophie (phagocytose de bactéries). Cette possibilité de passer d un statut d autotrophe à un statut de mixotrophe peut représenter une adaptation aux milieux pauvres en fer. Remarque 1 (statistique) : la corrélation apparente entre les concentrations en fer et en CO2 ne peut être traduite en relation de cause à effet. Il faut se référer à un processus physiologique (augmentation de la productivité primaire) et physique (diminution CO2 - diminution Effet de Serre - diminution de la température) pour pouvoir confirmer la relation de cause à effet.
4 Blain et al. (2007; Nature 26 avril) : a - position du Plateau des Kerguelen; b - image satellite du bloom phytoplanctonique (trait blanc = déplacement du navire océanographique); c - concentration en chlorophylle a dans les stations au centre du bloom; d - mesure de la pco 2 le long du trajet du bateau (voir a); figure ci-contre - mesure de la Dfe (dissolved iron; fer soluble) de la surface à 500 m de fond au centre du bloom (rouge, courbe de droite) et à l extérieur du bloom (bleu, courbe de gauche), c est à dire en dehors du Plateau des Kerguelen (symbolisé par le rectangle sous la courbe rouge). Questions : (i) quels liens peuvent être établis entre les figures b et c; b et d; c et d? (ii) expliquer la différence de concentration en fer au-dessus et en dehors du Plateau des Kerguelen; (iii) quel(s) lien(s) avec les remarques faites à la question (i)?
5 Eléments de réponse un bloom phytoplanctonique correspond à une prolifération du plancton végétal (mis en évidence par l augmentation de la chlorophylle a) une augmentation de la concentration en phytoplancton se traduit par une augmentation de l activité photosynthétique et donc une diminution de la pression partielle de CO 2 cette activité est rendue possible par la disponibilité en sels nutritifs et en fer; la concentration en fer est supérieure (en profondeur) au centre du bloom et plus faible à l extérieur : il n y a donc pas assez de fer disponible pour favoriser la photosynthèse et donc le développement du phytoplancton (pas de bloom). l existence de vagues internes (agitation; énergie auxiliaire primaire) permet la remobilisation de nutriments et de fer cette expérience confirme l importance de la disponibilité en fer pour assurer un développement important du phytoplancton et donc une diminution de la p CO 2 de l eau de mer. A terme, un bloom important de phytoplancton peut entraîner une séquestration du carbone sous forme organique. Remarques expérience naturelle, c est à dire sans enrichissement en fer artificiel des expériences passées d enrichissement en fer de l eau de mer avait démontré la possibilité de stimulation de la croissance du phytoplancton. Ces expériences étaient à court terme et mettaient difficilement en évidence une séquestration de carbone. notion de confounding effects cette séquestration de carbone par ajout de fer n est pas une solution pour faire diminuer le CO 2 atmosphérique car il faut également des nutriments; il est donc préférable de travailler sur les limitations de rejet de CO 2 Par contre, cette expérience est importante pour comprendre le comportement au cours des dernières glaciations.
6 Situation des océans au niveau mondial - 30% des océans sans apport de Fer dissous et avec une limitation de la croissance du phytoplancton, malgré la présence de nitrates en quantité suffisante : ce sont les zones à forte concentration en nitrate et faible concentration en chlorophylle (high-nitrate low-chlorophyll, HNLC, regions; Boyd & Ellwood, 2010) - les apports éoliens sont une source importante - les cendres volcaniques sont une source potentielle importante à l heure actuelle et dans les périodes anciennes (paléo-oceans). Pourtant peu d observations directes pour valider le lien cendres volcanique et croissance du phytoplancton. - éruption du volcan Eyjafjallajökull a commencé le 14 avril 2010; jusqu au 22/05, rejet de ~270 ± m 3 de cendres dans l atmosphère; 75% des cendres se sont déposées dans l océan. (Achterberg, E. P., C. Mark Moore, S. A. Henson, S. Steigenberger, A. Stohl, S. Eckhardt, L. C. Avendano, M. Cassidy, D. Hembury, J. K. Klar, M. I. Lucas, A. I. Macey, C. M. Marsay, and T. J. Ryan-Keogh (2013), Natural iron fertilization by the Eyjafjallajökull volcanic eruption. Geophys. Res. Lett., 40: , doi: /grl.50221)
7 Aluminium (d) : un marqueur des aérosols
8 Augmentation très rapide de la concentration en chlorophylle (mesures par satellite) durant l éruption volcanique (trait horizontal). Trait noir épais : 2010; trait gris (et zone grisée) : moyenne (erreur standard)
9 Grandes Réserves de Carbone Contenu(Gt de C) CH 4 de l atmosphère Biomasse vivante (matière organique) CO 2 océanique dissout CO 2 atmosphérique Ion carbonate océanique Carbone organique dans les sols et sédiments Réserves connues de combustibles fossiles Ion bicarbonate océanique Carbone organique des roches sédimentaires Calcaires des roches sédimentaires Tableau 1 : Réservoirs de carbone du système Terre (hors couches profonds) en giga tonnes (Gt). Source: Krump L.R. et al, 1999 (in Figure 1 : Cycle global du carbone et principaux échanges entre les principaux compartiments du système terrestre (tiré de
10 Synthèse des émissions ou des stockages de CO 2 à l échelle terrestre - Un volcan en activité émet en moyenne 1.3 million de t de CO 2 par an, soit au total sur Terre de 130 à 175 million de t/an Entre 1850 et 1998, l utilisation de combustibles fossiles et la production de ciment ont injecté environ 270 (± 30) GtC dans l atmosphère sous forme de CO 2 Dans le même temps, les émissions dues au changement d affectation des terres (déforestation: 87%; agriculture: 13%) sont évaluées à 136 (± 55) GtC injectées dans l atmosphère sous forme de CO 2. Chaque année, les récifs coralliens fixent environ 111 million de t de carbone sous forme de carbonate de calcium. Le réchauffement actuel de l atmosphère a provoqué la disparition de 20% des récifs coralliens et 40 % seraient en danger. Question 1 : Question 2 : Quelles sont les proportions de carbone dans les grands réservoirs : atmosphère, écosystèmes terrestres (biomasse vivante et sols), océans, croûte terrestre (combustibles fossiles compris)? Comparez les stocks de CO 2 entre l atmosphère et la biomasse vivante? entre les sols et les végétaux? entre la biomasse terrestre (végétaux/animaux et sols) et l atmosphère (CO 2 uniquement)? entre les océans et l atmosphère? entre les réservoirs fossiles et l atmosphère? Sur la figure 1 estimez les échelles de temps associées aux différents processus. A quel(s) niveau(x) l homme peut intervenir et perturber ces cycles? Des processus irréversibles peuvent-ils être identifiés? Question 3 : Que représente l émission de CO 2 par les volcans par rapport au stock de CO 2 atmosphérique? Que représente la perte en récifs coralliens? Comment interpréter le tableau 1 Question 4 : Question 5 : A la fin du XX ème siècle, l augmentation de carbone dans l atmosphère était évaluée à 176 (± 10) GtC? Est-ce logique? Sachant que les océans peuvent assimiler 120 (± 50) GtC sous forme carbonatées, quelle est la balance émission/stockage? La forêt pourrait-elle absorber la différence sachant qu on estime à 16.1 millions d hectares la superficie des forêts naturelles qui, à l échelle mondiale, ont été perdues chaque année pendant la décennie (14.6 par déforestation et 1.5 par conversion à des plantations forestières)? Question 6 : Faire un schéma de synthèse pour les questions 4 et 5.
11 Eléments de Correction Question 1 Atmosphère : = 770 Terre + Sol : = Océans : = Croûte Terre : = donc, les stocks de carbone sont dans les proportions suivantes : Atmosphère Végétation terrestre Sol 3 fois Végétaux Terre + Sol 3 fois Atmosphère Océans 50 fois Atmosphère Fossiles 5 fois Atmosphère Question 2 Photosynthèse/Respiration : moins de 10 ans (8 ans le plus souvent) Océans : 1000 ans Altération Roches : 200 millions d années Enfouissement Matière organique : processus très lent Volcanisme : court à l échelle terrestre du moins car il y a souvent des volcans en activité Précipitation dans les Océans : ans Il y a donc 2 types de cycles : les cycles courts reposant sur des phénomènes biologiques et des cycles longs ou très longs reposant sur des processus géologiques ou géochimiques. Quand l homme intervient sur des cycles biologiques, le turn-over est tel que des compensations peuvent se mettre en place ou alors si les perturbations s arrêtent, le cycle reprend. Ces perturbations ne sont pas irréversibles. Par contre, quand l homme intervient sur des cycles longs (géologiques ou géochimiques) comme la combustion de matières carbonées fossiles (charbon, pétrole, gaz), les stocks injectés ne peuvent être recyclés : les processus sont irréversibles.
12 Question 3 Volcans Récifs coralliens Par contre, si la surface (volume) occupée par les récifs coralliens diminue (réchauffement, destructions anthropiques - ancrage, pollution, lessivage des sols tropicaux suite à la déforestation), la quantité de carbone fixée sous forme de carbonates diminuera. Le puits représenté par ce compartiment récifs coralliens sera donc moins important. Des études récentes ont montré que le taux de calcification des récifs coralliens diminuait quand la pression partielle de CO 2 augmentait. Beaucoup de ces résultats sont issus d expériences en mésocosme et sont difficilement applicables, telles quelles, au milieu naturel. Il faut donc être prudent dans les déductions qui en sont faites. Toutefois, il est probable le taux de calcification (fixation de carbone sous forme de carbonates) diminuera dans le futur. A titre d exemple, les données ci-dessous sont extraites de l article de Leclercq et al., 2002 (Leclercq N., Gattuso J.P., Jaubert J Primary production, respiration, and calcification of a coral reef mesocosme under increased CO 2 partial pressure. Limnol. Oceanog., 47(2): ). Cette diminution du taux de calcification est essentiellement due à la diminution du niveau de saturation en aragonite. Tableau : Les valeurs de pco 2 (ìatmos.) sont celles couramment admises par la communauté scientifique. RC et Algues: taux de calcification (kg CaCO 3.m -2.an -1 ) pour les récifs coralliens (RC) et les algues calcaires qui se développent sur substrat sableux. Aragonite: niveau de saturation en aragonite. Dernier maximum glaciaire pco RC Algues Aragonite
13 Question Il existe un manque de 110 GtC à la balance : 406 injectées (= ) et 296 incorporées dans l atmosphère ou les océans (= ). C est un puits manquant. Pendant longtemps, la nature de ce puits manquant a été débattue : où passe le carbone en excès? La végétation terrestre est en nette diminution avec d une part une déforestation et d autre part une modification des pratiques agricoles. Il en résulte un relargage de CO 2 dans l atmosphère. Si la végétation a quand même pu absorbée cet excédent de CO 2, malgré sa régression, c est qu il y a un effet fertilisant du CO 2. On sait qu en général, une augmentation du CO 2 peut entraîner une augmentation de la productivité des plantes. Toutes ne sont pas égales à ce niveau. Les plantes en C3 (photosynthèse en C3 ou C4; voir cours de physiologie végétale) sont favorisées par une augmentation.
14 Toutefois, la réponse globale est très difficile à analyser car des phénomènes annexes peuvent se mettre en place : (i) production de méthane par des zones à forte productivité (c est un gaz à effet de serre qui vient donc contre-carrer la baisse de CO 2 - voir cours sur Effet de serre). (ii) réponse positive (augmentation productivité) à courte échelle de temps et réponse négative à plus longue échelle On ne sait toujours pas comment ce puits fonctionne, mais il fonctionne... et surtout, on ne sait pas pendant combien de temps il fonctionnera encore? Ce qui est également une source de discussion, ce sont les capacités de la biomasse terrestre à stocker du carbone : le stock actuel ne représente que 3 fois le stock atmosphérique (question 1) et les échanges se font sur une courte échelle de temps (question 2). La biomasse terrestre ne peut donc avoir le même rôle régulateur que les océans (rapport de 1 à 50 et cycle voisin de 1000 ans).
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailPrésentation générale des principales sources d énergies fossiles.
Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.
Plus en détailPiegeage et stockage du CO 2
Piegeage et stockage du CO 2 Résumé du rapport spécial du GIEC, le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat Un résumé réalisé par: LE PIÉGEAGE ET STOCKAGE DU DIOXYDE DE CARBONE (PSC)
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailVégétaux Exemples d individus
Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»
Plus en détailLa diversité des climats
Les interactions entre l océan et l atmosphère Chaque jour, la météorologie occupe une place importante (voire le devant de la scène), lorsque surviennent tempêtes, vagues de chaleur ou de froid, ou inondations.
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailQuel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel?
Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet Pourquoi a on défini 7 couleurs pour l arc an ciel A cause de l'analogie entre la lumière et le son, la gamme
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailLa modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation
La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation Quels rôles jouent les surfaces continentales dans le système climatique? Nathalie de Noblet-Ducoudré nathalie.de-noblet@lsce.ipsl.fr
Plus en détailQue sont les sources d énergie renouvelable?
Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détailThème Le domaine continental et sa dynamique
Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailDesclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques. Catherine Jeandel Des clés pour comprendre l océan :
Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques 1 Un cycle de la matière qui conditionne la chimie des océans et le climat La Terre, notre planète bleue (Figure 1), est constituée
Plus en détailInterprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)
L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est
Plus en détailne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détailBiomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution?
C est correct. La scie mécanique fonctionne au biocarburant. Biomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution? Evelyne Thiffault David Paré Jacques Morissette Sébastien Dagnault Ressources naturelles
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailVAlorisation et Stockage du CO 2. Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire
VAlorisation et Stockage du CO 2 Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire Gilles Munier Directeur Général gmu@geogreen.fr Projet cofinancé par:
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailChangement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est?
Dossier pédagogique 3 Langues, géographie, sciences, histoire Changement Climatique (1/2) : Qu est-ce que c est? plus de 100 ans de recherches scientifiques Changement climatique, Effet de serre, gaz à
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailQuestionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE
Questionnaire Lycée Ce musée vous offre une approche de l Eau dans toute sa grandeur. A vous de faire connaissance avec cet élément naturel. 1) Origine de l eau SALLE DES EAUX DU MONDE Vous vous aiderez
Plus en détailCONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP)
Repère à reporter sur la copie SESSION DE 28 CONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP) Section : SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE COMPOSITION
Plus en détailComment réduire les émissions de CO 2? Les réponses de l'ifp
Septembre 2005 Comment réduire les émissions de CO 2? Les réponses de l'ifp L'IFP inscrit les travaux sur la réduction des émissions de CO 2 au cœur de ses programmes de recherche. La stratégie de l'ifp
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailPlate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière
Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailAnnexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets
Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets ARTICLE 1 OBLIGATIONS GENERALES 1. La présente Annexe s'applique aux activités
Plus en détailLSCE Laboratoire des sciences du climat et de l environnement
LSCE Laboratoire des sciences du climat et de l environnement octobre 2011 CONTACTS PRESSE : Service de presse de CEA - Tél : 01 64 50 16 49 presse@ceafr Service de presse du CNRS - Tél : 01 44 96 51 51
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détailRadosław Tarkowski, Barbara Uliasz-Misiak 1. Le stockage souterrain : une solution pour le dioxyde de carbone 2
Radosław Tarkowski, Barbara Uliasz-Misiak 1 Le stockage souterrain : une solution pour le dioxyde de carbone 2 Introduction On considère de plus en plus souvent le dioxyde de carbone comme la principale
Plus en détailGUIDE de L ÉCO CITOYEN. au BUREAU
GUIDE de L ÉCO CITOYEN au BUREAU SUIVEZ LE GUIDE...................................................................... p.03 QUELS BESOINS, QUELS IMPACTS? ce qui est consommé ce qui est rejeté > Transport
Plus en détailBilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton
Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France Olivier Laguitton Saint Etienne, le 18 février 2013 Contenu de la présentation Le contexte du développement durable Passage en revue de la législation
Plus en détail1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ
1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à
Plus en détailOléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière
L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement
Plus en détailCapture et stockage du CO2 (CCS)
European Technology Platform for Zero Emission Fossil Fuel Power Plants (ZEP) Capture et stockage du CO2 (CCS) Une solution majeure pour combattre le changement climatique 50% de réduction des émissions
Plus en détailA. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire
Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailSystème d énergie solaire et de gain énergétique
Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailJeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur
Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailLe bois, la première des énergies renouvelables
Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire
Plus en détailÉpreuve collaborative
Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?
Plus en détailGIRAFE ENERGIES RENOUVELABLES MATERIAUX RENOUVELABLES LA SYNERGIE PARFAITE
GIRAFE ENERGIES RENOUVELABLES MATERIAUX RENOUVELABLES LA SYNERGIE PARFAITE Résumé La Girafe est un Carport hybride prêt pour fournir de l électricité à votre véhicule ou à votre maison juste en capturant
Plus en détailLe changement climatique et le recours nécessaire au stockage géologique du CO 2... 4
Sommaire Le changement climatique et le recours nécessaire au stockage géologique du CO 2............................ 4 1. Où peut-on stocker le CO 2 et en quelle quantité?............................................................
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailL ÉLECTRICITÉ C EST QUOI?
L ÉLECTRICITÉ C EST QUOI? L électricité est le moyen de transport de l énergie! L électricité, comme l énergie, est présente dans la nature mais on ne la voit pas. Sauf quand il y a un orage! L électricité
Plus en détailLa production énergétique à partir de la biomasse forestière : le devenir des nutriments et du carbone
La production énergétique à partir de la biomasse forestière : le devenir des nutriments et du carbone Jessica François, Mathieu Fortin et Anthony Dufour Journées CAQI les 8 et 9 avril 2014, Gembloux,
Plus en détailQuestions fréquentes. Citations des présentes questions : Lors de la citation d un groupe de questions, donner la référence suivante :
Extraits du Rapport accepté par le Groupe de travail I du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat mais non approuvé dans les détails Questions fréquentes Citations des présentes
Plus en détailPrix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement
Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l
Plus en détailAtelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8
Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable S e p t e m b r e 2 0 0 8 Le PADD : un Projet Politique Le PADD : un Projet Politique L e S C O T, u n o u t i l a
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailCONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières
CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010
Plus en détailQue savons-nous de la réduction des émissions de gaz à effet de serre?
Que savons-nous de la réduction des émissions de gaz à effet de serre? Un guide simplifié du rapport GIEC: Changement climatique 2001 : Atténuation Avant-propos Les concepts et conclusions présentés par
Plus en détailLe stockage géologique du CO 2
Énergies renouvelables Production éco-responsable Transports innovants Procédés éco-efficients Ressources durables Le stockage géologique du CO 2 Les solutions IFP Energies nouvelles pour un déploiement
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détail16- Grand lac Shaw Portrait 2006
Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude
Plus en détailLa Vinification en Alsace
La Vinification en Alsace La grande caractéristique des Vins d Alsace est qu ils sont tous élaborés à partir de cépages très aromatiques. Le vinificateur n aura de cesse, tout au long des vendanges et
Plus en détailQuel avenir pour l énergie énergie nucléaire?
Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailFabriquer ses produits ménagers naturels. Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013
Fabriquer ses produits ménagers naturels Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013 Fabriquer ses produits ménagers naturels Programme Intérêt de fabriquer ses produits Les principaux ingrédients
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailLE POINT DE VUE DE FNE
LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés
Plus en détailREDD-plus. Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques.
REDD-plus Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques novembre 2009 Programme de Conservation des Forêts Le mécanisme REDD-plus
Plus en détailPour une meilleure santé
Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES
Plus en détailOn the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun
On the spot Ecocertification et images satellites Exploitation forestière tropicale au Cameroun Exploitation forestière tropicale au Cameroun Un nombre croissant d opérateurs forestiers s engagent dans
Plus en détailUNE REFLEXION PREALBLE
UNE REFLEXION PREALBLE NOUS N AVONS JAMAIS ETE AUSSI RICHES IL N Y A JAMAIS EU AUTANT DE PAUVRES QUI GERE LA REPARTITION? 1 ÉNERGIE ET TRANSITION Comprendre la situation est facile Ce qu il faut faire
Plus en détailRessources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech
Ressources minérales et Hydrocarbures Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Colloque IMT «Ressources naturelles & Environnement», 5 et 6 novembre 2014 Les minéraux d intérêt économique Minéraux
Plus en détailLa consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre.
Contexte / Objectifs La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. A titre d exemple, pour compenser les émissions
Plus en détailTraçant le chemin vers l Electrification de l Automobile - Les Véhicules à Pile à Combustible de GM
Traçant le chemin vers l Electrification de l Automobile - Les Véhicules à Pile à Combustible de GM Congrès SATW, Yverdon 29-30 août 2008 G. Planche Directeur Déploiement HydroGen4, Berlin 1 Agenda La
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailRégionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL
Plus en détailÉconomie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante
Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Juillet 2011/White paper par Christophe Borlein membre de l AFF et de l IIF-IIR Make the most of your energy Sommaire Avant-propos
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détailComment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET?
Comment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET? Décembre 2010 En 2009, Eco-Emballages, ELIPSO et Valorplast se sont associés pour conduire une étude d évaluation des impacts environnementaux
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailLe Conseil Municipal,
MF/EG SEANCE DU 13 FÉVRIER 2006 2006/6197 - INSTALLATION CLASSÉE POUR L'ENVIRONNEMENT SOUMISE À AUTORISATION - DEMANDE D'AUTORISATION PRÉSENTÉE PAR LA SOCIÉTÉ OMNITHERM EN VUE DE MODIFIER LES INSTALLATIONS
Plus en détailLe ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.
Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment
Plus en détailENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires
ENJEUX ENERGETIQUES Le Monde et la France L énergie dans les territoires * Bernard LAPONCHE (Données statistiques : Enerdata) 1 Monde : Consommation d énergie primaire (2008 : 12,2 milliards de tep) Energies
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailChauffage à granulés de bois
0 Chauffage à granulés de bois Alliance pour le Climat Luxembourg Protection du climat à la base En partenariat avec plus de 00 villes et communes européennes, plusieurs communes de l Alliance pour le
Plus en détail