LES OBSTACLES ET LES CONTRAINTES DU DEVELOPPEMENT DE L'ASSURANCE-CREDIT EN AFRIQUE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LES OBSTACLES ET LES CONTRAINTES DU DEVELOPPEMENT DE L'ASSURANCE-CREDIT EN AFRIQUE"

Transcription

1 LES OBSTACLES ET LES CONTRAINTES DU DEVELOPPEMENT DE L'ASSURANCE-CREDIT EN AFRIQUE Par M. Jean-Paul GASON, Technical Credit Insurance Consultants S.A. Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, C'est un honneur pour moi d'avoir été invité en qualité d'orateur à cette première conférence sur le développement de l'assurance-crédit en Afrique et en Méditerranée organisée conjointement par la CNUCED et le CCI. Je voudrais tout d'abord remercier M. Rouben Indjikian de la CNUCED pour cette invitation qui me permet de partager aujourd'hui avec vous mon opinion, celle d'un consultant qui a beaucoup voyagé en Afrique et ailleurs dans le monde pour des projets d'assurance-crédit, sur les obstacles et les contraintes qui se dressent devant les initiatives de développement de l'assurance-crédit en Afrique, quelles soient privées ou publiques. Mais avant de commencer, je voudrais lancer un petit avertissement. En effet, la tâche que l on m a assignée est quelque peu ingrate par la nature même du thème "obstacles et contraintes". Ce ne sera donc pas toujours très réjouissant. Je ferai toutefois référence à quelques pistes de réflexion sur la gestion de ces contraintes. 1

2 1. Introduction Avant toute analyse des obstacles qui jalonnent le développement de l'assurance-crédit en Afrique, il est intéressant d observer où cette branche d'assurance s est développée et quels sont les facteurs qui ont favorisé l émergence de compagnies d assurance-crédit en certains lieux et pas en d autres. Lorsque l on observe la carte du continent africain, on constate que l assurance-crédit s est principalement, mais non exclusivement, développée dans les zones Nord et Sud. Entre ces deux extrémités, l existence d organisations offrant des services d assurance-crédit est très limitée. Par ailleurs, l histoire montre que l assurance-crédit africaine a vu le jour le long des côtes du continent et non en son centre. La pratique du commerce international est depuis toujours étroitement liée à une activité maritime et, pour un pays, l accès à la mer conditionne favorablement le développement de son commerce extérieur. C'est de cette relation qu'est née l'assurance-crédit en Europe au XIXème siècle, et il en est de même, à quelques détails près, pour l'afrique. Sur ce continent, la pratique de l assurance-crédit se fait d abord à l export avant d être domestique. 2. Les Obstacles au Développement de l Assurance-Crédit Les obstacles au développement de l assurance-crédit en Afrique ne sont pas exclusifs à ce continent, il y a en effet une sorte d'universalité qui peut être largement appliquée à d'autres régions du monde telle que l Amérique Latine et l'asie Centrale. Je classifierai les principaux obstacles en six catégories distinctes : (1) facteurs structurels, (2) facteurs logistiques, (3) facteurs politiques, (4) facteurs managériaux et (5) facteurs de marché. 2

3 1. Facteurs Structurels La structure même des exportations ne permet pas toujours d'assurer certains produits. Ce n'est pas tant que l'assureur-crédit y soit opposé mais davantage que les besoins du marché sont réduits. Les matières premières, quelles soient stratégiques (par exemple le diamant, le pétrole, l uranium, le cuivre, le zinc, etc.) ou non, se négocient au travers de filières où acheteurs et vendeurs sont en nombre limité et se connaissent fort bien. Dès lors, la plupart du temps, le commerce des matières premières ne s'inscrit pas toujours dans une dynamique assurance-crédit. Il se fait que l Afrique est avant tout un grand producteur de matières premières et c'est là une barrière naturelle au développement de l assurance-crédit traditionnelle. Ensuite, en ce qui concerne les exportations, principalement intraafricaines, la dimension risque politique ne peut non plus pas être sousestimée. Il y a encore aujourd'hui un bon nombre de pays africains sur lesquels une couverture risque politique n'est pas possible. Et bien que le secteur semble faire preuve de plus en plus d ouverture à l égard du risque pays, un certain nombre d'exclusions continueront toujours à exister. Rappelons aussi l importance que revêt le commerce informel local mais aussi transfrontalier dans les pays en voie de développement. Il représente quelquefois jusqu'à 40% voire 50% de l'activité économique d'une nation. De par sa nature, cette économie parallèle échappe à toute possibilité de couverture. Pour qu un organisme d assurance-crédit puisse économiquement justifier son existence, il importe qu il puisse opérer sur un marché où la masse critique, c est-à-dire le volume de prime réalisable, soit suffisamment important pour couvrir ses coûts organisationnels et opérationnels. A défaut, un tel projet ne pourra perdurer sans un subside de l Etat. Cependant, une telle approche ne trouve sa justification politique que si les 3

4 retombées économiques pour les exportateurs sont au moins à la hauteur des coûts engagés. Or, il se fait que pour que l assurance-crédit soit créatrice de valeur et puisse exercer pleinement son rôle d'utilité publique, elle doit pouvoir s inscrire dans un cadre plus général où cohabitent facilités de financement des exportations et promotion du commerce extérieur. En Afrique, et plus particulièrement au Sud du Sahara, ces facilités ne sont encore qu'embryonnaires, défaillantes ou inexistantes. L accès à des capacités de réassurance représente une contrainte majeure pour les promoteurs de nouveaux projets. Ne pouvant se prévaloir d'une historique statistique suffisante, la "start-up" assurance-crédit intéresse peu la plupart des grands réassureurs internationaux et, privée de capacité, elle ne pourra s'épanouir, voire subsister. Fort heureusement, à l'instar du capital à risque, le monde de l'assurance-crédit a aussi ses "business angels". Qu'ils soient assureurs ou réassureurs-crédit spécialisés, ceux-ci pourront apporter tout le savoir, la logistique et même le soutien financier pour autant que les projets qui leurs sont soumis s'inscrivent dans leurs stratégies de développement. En échange de quoi la "start-up" sera intégrée dans un réseau mondial et, bien qu'elle y sacrifie quelque peu son indépendance, elle devrait normalement en retirer des avantages largement supérieurs aux éventuels inconvénients. Enfin, en aval du processus, le recouvrement des créances commerciales constitue un élément essentiel du métier d assureur-crédit. Un recouvrement efficace est indispensable à la réussite économique de cette activité. Cette efficacité repose non seulement sur les hommes et les femmes qui exercent leurs talents dans cette discipline mais aussi sur les systèmes judiciaires en place dans les pays où les actions de recouvrement doivent avoir lieu. Malheureusement, dans un bon nombre de pays d Afrique, ces systèmes sont vétustes et ne sont pas nécessairement le reflet des mentalités locales. Cela affecte directement l efficacité du recouvrement dans le cadre du commerce intra-africain. 4

5 2. Facteurs Logistiques L Accès à l Information : L essence même du métier d assureur-crédit repose sur l analyse et l arbitrage des risques. Pour mener à bien une telle démarche, il importe que l assureur puisse disposer d informations fiables sur un risque donné, c est-à-dire sur un débiteur. Cette information de nature économique et financière mais aussi relative à la notoriété du débiteur fait trop souvent cruellement défaut en Afrique. En absence d une telle information, l assureur-crédit refusera la couverture. Ceci nous amène à une réflexion sur les priorités à adopter dans la mise en place de systèmes d assurance-crédit en Afrique. Si le commerce intra-africain est visé, il est impératif de s'assurer un accès à des sources d informations fiables. Aujourd hui, malgré quelques tentatives il faut bien constater que les réseaux d informations sur les entreprises africaines demeurent très limités. Or, il s agit là d un préalable important avant de se lancer dans la grande aventure de l assurance-crédit intra-africaine. Encore une fois, c est l Afrique subsaharienne qui a le plus de retard en cette matière. Les Réseaux de Distribution : La plupart des assureurs-crédit existants sont de taille modeste. Il en résulte qu il n ont pas toujours pu structurer un réseau de distribution de leurs services à l échelle du pays, concentrant leurs moyens dans la capitale économique et négligeant les autres régions. Les pays d Afrique sont grands et les distances à parcourir pour d hypothétiques contrats dépassent largement les moyens de petites équipes commerciales. D'un point de vue marketing, la démarche demeure encore trop souvent passive par contrainte mais aussi par manque d ambition. Les réseaux de distribution tiers sont trop souvent sous utilisés, tels que le recours aux courtiers, aux banques commerciales, aux compagnies d assurances, etc. Le développement du réseau Internet devrait tout au moins contribuer à mettre en place un nouveau mode de distribution ou en tout cas de promotion du produit qui devrait progressivement éliminer le problème 5

6 lié aux distances. Mais comme Internet ne connaît pas les frontières, cette technologie ouvre aussi la porte à de nouveaux entrants qui pourraient offrir leurs services en-ligne et rafler des parts de marché aux compagnies africaines sur leur propre terrain. 3. Facteurs Politiques Dans un contexte économique difficile, est-ce à l Etat ou au secteur privé de prendre l initiative de lancer de nouveaux projets d assurance-crédit? Partant du précepte qu'il appartient à l'etat de combler les carences du secteur privé, il y a selon moi une responsabilité politique qui ne peut être ignorée. A ce jour, il n y a pas eu beaucoup d initiatives démontrant une réelle volonté politique des gouvernements africains à mettre en place des structures destinées à couvrir les exportations contre la défaillance de paiement des acheteurs étrangers. La plupart des initiatives furent d origine privée et ne bénéficièrent pas du soutien, qu il soit moral et/ou financier, de l Etat. Dans le contexte que nous connaissons, la plupart de ces tentatives furent presque toutes des échecs. Par ailleurs, compte tenu des contraintes structurelles déjà mentionnées, peu nombreuses furent les initiatives des Etats à promouvoir le développement des exportations non traditionnelles. Il y a bien eu des efforts soutenus par des institutions multilatérales, qu elles fussent européennes ou non, mais toutes jusqu à présent se sont essoufflées notamment par manque d intérêt des Etats concernés. Il y en a toutefois une aujourd'hui qui, en association avec la Banque Mondiale et la COMESA, devrait aboutir à un bon modèle de développement pour l assurance-crédit en Afrique. Je laisserai donc le soin à mes collègues de s exprimer plus en profondeur sur cet intéressant projet. L absence de cadre légal pour l assurance-crédit, bien qu'il ne soit pas très développé même en Europe, peut parfois inhiber l'éclosion de cette branche d'assurance. 6

7 Un autre facteur à caractère "politique" mérite aussi d être mentionné. Sans être pour autant une cause prépondérante d échec, il s est révélé être à plusieurs reprises un inhibiteur du développement de l assurancecrédit : la concurrence que se livrent les institutions multilatérales dans le financement de projets à caractère sous régional. Cette concurrence sur l origine et le contrôle des projets a quelques fois bloqué l éclosion de certaines initiatives. Une meilleure coordination des projets entre ces institutions serait de nature à renforcer les chances de succès de tout nouveau projet. 4. Facteurs Managériaux On l a déjà dit, l assurance-crédit a une telle spécificité qu il est préférable d avoir une compagnie spécialisée ou tout au moins un département exclusivement dédié à cette discipline. Un cocktail qui n'a jamais été très heureux est le mariage de l'assurance-crédit avec toute autre branche d'assurance. Les raisons sont simples : absence de professionnalisme et non respect de l'indépendance des décisions. En Afrique, plusieurs initiatives privées ont échoué parce que cette discipline n avait pas reçu toute l attention qu elle méritait. En outre, on constate aussi que les promoteurs de nouveaux projets sont très impatients, ils espèrent une rentabilité immédiate et s attendent à des volumes de primes incompatibles avec le lancement d une nouvelle activité crédit. En fin de compte, découragés, ils abandonnent leurs projets. C est ainsi que certaines initiatives prometteuses à moyen terme n ont jamais dépassé la phase de lancement. On ne peut comparer le développement de l assurance-crédit à celui de toute autre branche d assurance générale. Enfin, certaines compagnies généralistes décident de se lancer en assurance-crédit pour répondre à une demande ponctuelle voire à une opportunité qui semble être prometteuse. Généralement, les résultats ne sont pas à la hauteur des espérances. On ne s improvise pas assureurcrédit. Rigueur et professionnalisme font trop souvent défaut chez les promoteurs africains. Il y a aussi d'autres dangers, plus techniques ceux-là, tels que des garanties financières déguisées en risques crédit classiques et 7

8 dont le montage échappe à des yeux non experts et en fin de compte c'est la catastrophe surtout pour des compagnies qui, faute d'avoir trouvé des réassureurs, se lance très éphémèrement sur ce marché en rétention propre. Ce sera en général la seule et unique expérience qu'ils consentiront à l'assurance-crédit. 5. Facteurs de Marché Sur la plupart des marchés africains, le concept d assurance-crédit demeure méconnu; il en résulte un important effort d éducation du marché. Tout nouvel opérateur ne pourra sous-estimer les efforts de communication et d'éducation qu il devra entreprendre. Il lui faudra tout d abord transmettre le concept, donner confiance et changer progressivement les pratiques en vigueur sur ces marchés. Tout cela prend du temps, des mois, voire des années avant que ne se manifeste un véritable retour sur l'investissement. La plupart des grands groupes d assurance-crédit mondiaux ont tous développé des programmes internationaux d assurances. Destinés aux multinationales, ces polices peuvent être offshore ou servies localement. Encore faut-il qu un service de qualité qui satisfasse les standards de ces grands groupes et de leurs clients existe localement. Comme la plupart du temps, ce n est pas le cas, ces polices échappent aux éventuels assureurscrédit locaux. Ceci nous amène tout naturellement à une dernière réflexion. On pourrait dire qu en dehors des grands réseaux, point de salut. Ce serait un peu excessif mais tellement proche de la réalité. On constate qu il y a aujourd hui de moins en moins d initiatives indépendantes à travers le monde. Et c est normal, pour se développer, atteindre des standards de qualité internationaux, participer aux programmes internationaux des grands assureurs-crédit, la meilleure voie à suivre est celle de l alliance stratégique avec l un d entre eux. Cette alliance ne revêt pas nécessairement la forme d une absorption, elle peut aussi être un partenariat, une coopération technique et commerciale, etc. Il importe maintenant de séduire ces grands groupes et de les convaincre à orienter une partie de leurs stratégies vers 8

9 l Afrique. Le support d institutions multilatérales comme la Banque Mondiale pourra grandement y contribuer. Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, L essentiel est dit. Ces obstacles et contraintes ne sont toutefois pas insurmontables, y a-t-il seulement une activité qui en soit exempte? Je pense que lorsque ces contraintes sont identifiées, il devient plus aisé de les gérer et en aucun cas elles ne doivent décourager toute nouvelle initiative qui soit sérieuse et professionnelle. Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, Je vous remercie pour votre attention. Jean-Paul GASON, Tunis, le 23 octobre

L affacturage en Afrique : Opportunités et défis

L affacturage en Afrique : Opportunités et défis L affacturage en Afrique : Opportunités et défis Par B.O. Oramah Vice président (développement commercial et financement de projet d'entreprise) Banque Africaine d'import-export Présenté au séminaire 2014

Plus en détail

Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles L EXPERIENCE ALGERIENNE. Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT

Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles L EXPERIENCE ALGERIENNE. Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT L EXPERIENCE NNE Àla Compagnie Centrale de Réassurance -Algérie ALGERI E I- Brève présentation

Plus en détail

Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles

Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint

Plus en détail

COMMISSION EUROPEENNE

COMMISSION EUROPEENNE COMMISSION EUROPEENNE Bruxelles, 06.11.2009 C(2009)8623 final Objet: Aide d'état N 532/2009 Belgique Assurance-crédit à l'exportation à court-terme Monsieur le Ministre, J'ai l'honneur de vous informer

Plus en détail

Dossier de presse. SIAL 2010 : Groupama Assurance-Crédit présente la nouvelle plaquette Défaillances d entreprises 2010-2011

Dossier de presse. SIAL 2010 : Groupama Assurance-Crédit présente la nouvelle plaquette Défaillances d entreprises 2010-2011 19 octobre 2010 Dossier de presse SIAL 2010 : Groupama Assurance-Crédit présente la nouvelle plaquette Défaillances d entreprises 2010-2011 «Les bilans des entreprises gardent les stigmates de la crise»

Plus en détail

COMMISSION EUROPEENNE

COMMISSION EUROPEENNE COMMISSION EUROPEENNE Bruxelles, 05.10.2009 C(2009) 7623 final Objet: Aides d'état N 449/2009 France Assurance-crédit à l'exportation à court-terme Monsieur le ministre, J'ai l'honneur de vous informer

Plus en détail

Contribution des autorités françaises concernant le. réexamen de la communication relative à l'assurance-crédit à l'exportation à court terme

Contribution des autorités françaises concernant le. réexamen de la communication relative à l'assurance-crédit à l'exportation à court terme Septembre 2011 Contribution des autorités françaises concernant le réexamen de la communication relative à l'assurance-crédit à l'exportation à court terme 1. Introduction Document de consultation Dans

Plus en détail

"High Performance Workplace Event: People mean business"

High Performance Workplace Event: People mean business "High Performance Workplace Event: People mean business" (Cette conférence a été organisée par la Présidence britannique de l'union européenne, avec le soutien de la Commission européenne) Londres, le

Plus en détail

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève *** Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention

Plus en détail

Avoir accès à la justice ou s exposer à l endettement

Avoir accès à la justice ou s exposer à l endettement Avoir accès à la justice ou s exposer à l endettement Comprendre qu il s agit d un choix difficile pour les Canadiens Aider les courtiers d assurance et les sociétés d assurance à mieux comprendre les

Plus en détail

Projet de loi n o 20

Projet de loi n o 20 Loi édictant la Loi favorisant l accès aux services de médecine de famille et de médecine spécialisée et modifiant diverses dispositions législatives en matière de procréation assistée Mémoire présenté

Plus en détail

LES CONSORTIUMS D EXPORTATION

LES CONSORTIUMS D EXPORTATION LES CONSORTIUMS D EXPORTATION Un outil pour la promotion des exportations des PME ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR LE DÉVELOPPEMENT INDUSTRIEL Qu est-ce qu un consortium d exportation? Les petites et

Plus en détail

Veuillez transmettre vos soumissions et vos questions à : M me Maria Policelli Directrice de politique

Veuillez transmettre vos soumissions et vos questions à : M me Maria Policelli Directrice de politique CCRRA Le 30 mars 2004 Madame, Monsieur, Au nom du Conseil canadien des responsables de la réglementation d assurance (CCRRA), je suis heureux de vous annoncer la publication d un document de consultation

Plus en détail

Avec Euler Hermes, assurez le succès de vos échanges commerciaux

Avec Euler Hermes, assurez le succès de vos échanges commerciaux Euler Hermes France Avec Euler Hermes, assurez le succès de vos échanges commerciaux *Notre savoir au service de votre réussite www.eulerhermes.fr * Cap sur la croissance rentable! Comment anticiper l

Plus en détail

FIN-NET. La résolution extrajudiciaire des litiges transfrontaliers dans le domaine des services financiers. Guide du consommateur

FIN-NET. La résolution extrajudiciaire des litiges transfrontaliers dans le domaine des services financiers. Guide du consommateur FIN-NET La résolution extrajudiciaire des litiges transfrontaliers dans le domaine des services financiers Guide du consommateur FIN-NET La résolution extrajudiciaire des litiges transfrontaliers dans

Plus en détail

L assurance crédit et le financement des exportations. Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier

L assurance crédit et le financement des exportations. Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier L assurance crédit et le financement des exportations 2 Section 1. Les modalités de paiement des exportations : le crédit documentaire Section 2. Les crédits à court terme et le financement des exportations

Plus en détail

PIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES

PIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES PIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES 1. Le constat : la trésorerie est l une des premières préoccupations des

Plus en détail

ET AU RENFORCEMENT DE LA TRESORERIE DES ENTREPRISES

ET AU RENFORCEMENT DE LA TRESORERIE DES ENTREPRISES CONVENTION DU MINISTRE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES, DE LA MEDIATION DU CREDIT ET DES ASSUREURS-CREDIT POUR PARTICIPER AU SOUTIEN DE L'ACTIVITE ECONOMIQUE ET AU RENFORCEMENT DE LA TRESORERIE DES ENTREPRISES

Plus en détail

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE

Plus en détail

ENTREPRENEURS EN AFRIQUE

ENTREPRENEURS EN AFRIQUE Entrepreneurs ENTREPRENEURS EN AFRIQUE Entrepreneurs Campus France Agence nationale qui a une double tutelle Ministère des affaires étrangères et du développement international Ministère de l éducation

Plus en détail

06/04/2009 ASSURANCE CREDIT CGPME. CGPME Direction des affaires économiques

06/04/2009 ASSURANCE CREDIT CGPME. CGPME Direction des affaires économiques 06/04/2009 CGPME ASSURANCE CREDIT CGPME Direction des affaires économiques SOMMAIRE - Chronologie des actions CGPME - Propositions CGPME - Présentation des dispositifs CAP et CAP+ - Propositions faites

Plus en détail

DEMANDE D ÉTUDE ASSURANCE-CRÉDIT

DEMANDE D ÉTUDE ASSURANCE-CRÉDIT ASSURANCE-CREDIT DEMANDE D ÉTUDE ASSURANCE-CRÉDIT Entreprise Raison sociale : Adresse du siège social : : Adresse commerciale (si différente) : : Téléphone : Fax : N TVA intracommunautaire N SIREN : ou

Plus en détail

Résumé. La transformation du système de crédit du Brésil. Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil?

Résumé. La transformation du système de crédit du Brésil. Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil? Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil? Résumé de recherche : Affectation de crédit pour l'investissement, la stabilité et la croissance : Leçons tirées

Plus en détail

Logistique et transport de marchandises au Maroc : État des lieux et enjeux. Professeur Mustapha EL KHAYAT

Logistique et transport de marchandises au Maroc : État des lieux et enjeux. Professeur Mustapha EL KHAYAT Logistique et transport de marchandises au Maroc : État des lieux et enjeux. Professeur Mustapha EL KHAYAT Président de l Association Marocaine pour la logistique ( AMLOG) I- Le coût de la logistique au

Plus en détail

MEMOIRE POUR UNE HABILITATION A DIRIGER DES RECHERCHES

MEMOIRE POUR UNE HABILITATION A DIRIGER DES RECHERCHES UNIVERSITE DE BOURGOGNE MEMOIRE POUR UNE HABILITATION A DIRIGER DES RECHERCHES Discipline : Sciences de Gestion Matière : Finance Candidate : Aurélie SANNAJUST Fonction : Maître de Conférences à l Université

Plus en détail

Analyse Financière. Tunis Re en Bourse. En toute Ré Assurance. Souscrire à l OPF

Analyse Financière. Tunis Re en Bourse. En toute Ré Assurance. Souscrire à l OPF Analyse Financière Tunis Re en Bourse En toute Ré Assurance Souscrire à l OPF Mars 2010 2A n a l y s e F i n a n c i è r e I n t r o d u c t i o n e n b o u r s e : O f f r e à p r i x f e r m e Secteur

Plus en détail

Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009

Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 PERSPECTIVES DES MARCHES D ASSURANCES AFRICAINS Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème qui nous a été confié porte sur les

Plus en détail

CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain»

CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain» CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain» ALLOCUTION INAUGURALE DE MONSIEUR ABDELLATIF JOUAHRI GOUVERNEUR

Plus en détail

TERANGA CAPITAL. Véhicule d investissement dédié aux TPE-PME du Sénégal. Présentation à l Atelier FIDA. 5 Décembre 2014.

TERANGA CAPITAL. Véhicule d investissement dédié aux TPE-PME du Sénégal. Présentation à l Atelier FIDA. 5 Décembre 2014. TERANGA CAPITAL Véhicule d investissement dédié aux TPE-PME du Sénégal Présentation à l Atelier FIDA 5 Décembre 2014 Olivier Furdelle VISION, MISSION ET OBJECTIFS La vision de TERANGA CAPITAL est de soutenir

Plus en détail

www.rbcassurances.com

www.rbcassurances.com Pour de plus amples renseignements, veuillez visiter le site www.rbcassurances.com CROISSANCE SOLIDITÉ INTÉGRATION APERÇU DE LA SOCIÉTÉ 2004 Marques déposées de la Banque Royale du Canada. Utilisées sous

Plus en détail

Guide pratique. Pour une recherche efficace de sponsors

Guide pratique. Pour une recherche efficace de sponsors Guide pratique Pour une recherche efficace de sponsors Guide Pratique Association Interfédérale du Sport Francophone asbl Quai de Rome 53 4000 LIEGE Tél.: 04/344 46 06 Fax: 04/344 46 01 E-mail: info@aisf.be

Plus en détail

Succès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base

Succès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base Succès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base Les 10 Principes de Base Introduction Tout d abord, une bonne nouvelle: vendre en Russie n exige en général pas plus de préparation ni d informations

Plus en détail

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) PLACE ET RÔLE DE L ADMINISTRATION - DE LA FONCTION PUBLIQUE - DANS LA MISE EN ŒUVRE DES MISSIONS DE L ETAT ET DE LA VISION NATIONALE DE DEVELOPPEMENT

Plus en détail

DOSSIER D ENTREPRISE ENTREPRENEURIAT TRANSFORMATION CROISSANCE

DOSSIER D ENTREPRISE ENTREPRENEURIAT TRANSFORMATION CROISSANCE DOSSIER D ENTREPRISE ENTREPRENEURIAT TRANSFORMATION CROISSANCE MOT DE BIENVENUE Le temps des défis est aussi celui des opportunités Madame, Monsieur, J ai le plaisir de partager avec vous le lancement

Plus en détail

II. La couverture du risque par recours aux partenaires externes

II. La couverture du risque par recours aux partenaires externes 187 II. La couverture du risque par recours aux partenaires externes En dépit de toutes les précautions qui peuvent être prises dans l'entreprise pour prévenir et limiter le risque de défaut d'un client,

Plus en détail

Avec la D.A.S. gardez toujours la tête hors de l eau

Avec la D.A.S. gardez toujours la tête hors de l eau Avec la D.A.S. gardez toujours la tête hors de l eau Pourquoi une assurance Protection juridique? LES QUESTIONS LES PLUS SOUVENT POSÉES 1. Que faire lorsque votre véhicule est déclaré en perte totale à

Plus en détail

Le nouveau dispositif sur l intermédiation

Le nouveau dispositif sur l intermédiation Le nouveau dispositif sur l intermédiation Une directive européenne du 9 décembre 2002 sur l intermédiation en assurance vient d être transposée en droit français par la loi du 15 décembre 2005. Un décret

Plus en détail

Comment avoir accès à la valeur de rachat de votre police d assurance vie universelle de RBC Assurances

Comment avoir accès à la valeur de rachat de votre police d assurance vie universelle de RBC Assurances Comment avoir accès à la valeur de rachat de votre police d assurance vie universelle de RBC Assurances Découvrez les avantages et désavantages des trois méthodes vous permettant d avoir accès à vos fonds.

Plus en détail

Avis légal. I 2 FISCALLIANCE 2011 L Incorporation des Courtiers Immobiliers du Québec

Avis légal. I 2 FISCALLIANCE 2011 L Incorporation des Courtiers Immobiliers du Québec Avis légal L incorporation des courtiers est un sujet très complexe, lequel ne saurait évidemment être traité en profondeur dans le présent document. Ce fascicule vise à sensibiliser les courtiers quant

Plus en détail

L'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3)

L'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3) L'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3) Lors d'une précédente analyse, nous avions présenté deux outils d'appel public à l'épargne qui bénéficient d'un régime légal favorable

Plus en détail

LES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT

LES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT LES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009 Une bonne stratégie à l export ne s improvise pas CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009

Plus en détail

BUSINESS CONTINUITY MANAGEMENT. Notre plan C pour situations d'urgence et de crise

BUSINESS CONTINUITY MANAGEMENT. Notre plan C pour situations d'urgence et de crise BUSINESS CONTINUITY MANAGEMENT I PLANZER I 2010 BUSINESS CONTINUITY MANAGEMENT Notre plan C pour situations d'urgence et de crise La sécurité n'est pas une valeur absolue. Une gestion de risque peut éventuellement

Plus en détail

TITRE Ier DISPOSITIONS GENERALES. Article 1 er

TITRE Ier DISPOSITIONS GENERALES. Article 1 er DECISION REGLEMENTAIRE N 12 DU 2 MARS 1948 DU CENTRE NATIONAL DE LA CINEMATOGRAPHIE RELATIVE AUX AUTORISATIONS D'EXERCICE DE LA PROFESSION modifiée par décisions n 12 bis du 18 mai 1949, 12 ter du 3 août

Plus en détail

Rapport Annuel d'activités 2005

Rapport Annuel d'activités 2005 Rapport Annuel d'activités 2005 SOMMAIRE Conseil d'administration et Membres de la Direction 2 Assemblée Générale de Bâloise Assurances Luxembourg S.A. 3-5 Rapport de gestion du Conseil d'administration

Plus en détail

Perspectives. Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud. Ediab Ali. que monétaire

Perspectives. Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud. Ediab Ali. que monétaire ARTICLE & ETUDE Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud Ediab Ali Le concept de la politi- Économiste que monétaire La politique monétaire est une des plus importants piliers

Plus en détail

ALLOCUTION DE LA 2 ème PROMOTION MBA-IP / SENEGAL «SOUMAÏLA CISSE, PRESIDENT DE LA COMMISSION DE L UNION ECONOMIQUE MONETAIRE OUEST AFRICAINE» A L

ALLOCUTION DE LA 2 ème PROMOTION MBA-IP / SENEGAL «SOUMAÏLA CISSE, PRESIDENT DE LA COMMISSION DE L UNION ECONOMIQUE MONETAIRE OUEST AFRICAINE» A L ALLOCUTION DE LA 2 ème PROMOTION MBA-IP / SENEGAL «SOUMAÏLA CISSE, PRESIDENT DE LA COMMISSION DE L UNION ECONOMIQUE MONETAIRE OUEST AFRICAINE» A L OCCASION DE LA CEREMONIE DE REMISE DE DIPLÔMES Dakar,

Plus en détail

JOURNEES DES COMMISSIONS 16 octobre 2008. Groupe thématique " Les programmes internationaux d assurances»

JOURNEES DES COMMISSIONS 16 octobre 2008. Groupe thématique  Les programmes internationaux d assurances» JOURNEES DES COMMISSIONS 16 octobre 2008 Groupe thématique " Les programmes internationaux d assurances» Modérateur : Zaïlla ASSAOUI, Responsable assurance groupe Yves Rocher Intervenants : Isabelle CREMIEUX,

Plus en détail

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement

Plus en détail

GAREAT. Documents annexes

GAREAT. Documents annexes GAREAT Documents annexes Qu est ce que le GAREAT? Le GAREAT est un Groupement d Intérêt Economique dont l objet est la mise en place d un programme de réassurance au nom et pour le compte de ses adhérents

Plus en détail

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag

Plus en détail

Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires

Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires Présentation : Banque Régionale de Marchés (BRM) Assemblée Générale Annuelle FANAF Février 2011, Dakar LA BRM EN QUELQUES MOTS Première banque

Plus en détail

Risques et sécurité des paiements

Risques et sécurité des paiements Dans le commerce intérieur, les partenaires commerciaux se reposent sur les lois et les règlements nationaux. En cas de non-paiement, des poursuites peuvent être entamées. L'économie bénéficie également

Plus en détail

L assurance à l exportaton : Cas de la SMAEX 2009/2010

L assurance à l exportaton : Cas de la SMAEX 2009/2010 Dans ce document, on a essayé de mettre la lumière davantage sur la compagnie assureuse de toute entreprise visant à exporter vers l étranger. Pour ce faire, on va commencer dans un premier lieu par une

Plus en détail

Redressement et stabilisation du cadre. Reformes structurelles de l économie Reformes des finances publiques Bonne gouvernance

Redressement et stabilisation du cadre. Reformes structurelles de l économie Reformes des finances publiques Bonne gouvernance Avant - Économie congolaise caractérisée par un tissu industriel délabré - Infrastructures socio-économiques de base détruites - Inflation galopante - Monnaie chancelante Après - Ambitieux programme de

Plus en détail

CONTRAT D ASSURANCE PROSPECTION PREMIERS PAS (A3P)

CONTRAT D ASSURANCE PROSPECTION PREMIERS PAS (A3P) CONTRAT D ASSURANCE PROSPECTION PREMIERS PAS (A3P) N ASSURÉ : Adresse : N de siren : Le contrat d assurance prospection premiers pas ci-après dénommé «le contrat», est régi par le droit commun des contrats.

Plus en détail

Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012

Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012 Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012 Introduction Le Groupe Co-operators limitée est détenu et dirigé par 45 membres-propriétaires de tout le Canada, issus

Plus en détail

Conditions générales de la boutique en ligne Vemma Europe (www.vemma.eu)

Conditions générales de la boutique en ligne Vemma Europe (www.vemma.eu) Conditions générales de la boutique en ligne Vemma Europe () 1. Informations sur la société La boutique en ligne Vemma Europe, présente à l'adresse Web (ci-après, la «boutique en ligne»), est exploitée

Plus en détail

ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE

ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE Le présent document reflète le travail d organismes de réglementation membres du CCRRA. Les opinions qui y sont exprimées ne doivent

Plus en détail

ANIL HABITAT ACTUALITE

ANIL HABITAT ACTUALITE Juin 2009 ANIL HABITAT ACTUALITE Faciliter le transfert de prêts pour favoriser la mobilité résidentielle Les propriétaires occupants sont relativement peu mobiles. Toutefois, au cours de la période 2002-2006,

Plus en détail

Agence d ingénierie d accompagnement à la création et au développement d entreprises

Agence d ingénierie d accompagnement à la création et au développement d entreprises Agence d ingénierie d accompagnement à la création et au développement d entreprises Tahar Tahar RAHMANI Immeuble le Vénitien - 27 Bv Charles Moretti 13014 Marseille France Tel : +33 (0)4 91 02 62 69 /

Plus en détail

LA GESTION DE LA FORCE DE VENTE ABORDEE SOUS L ANGLE DE LA REMUNERATION

LA GESTION DE LA FORCE DE VENTE ABORDEE SOUS L ANGLE DE LA REMUNERATION LA GESTION DE LA FORCE DE VENTE ABORDEE SOUS L ANGLE DE LA REMUNERATION Depuis quelques années, on constate une grande évolution de la fonction vente ; avec le passage de la notion de l acte de vente à

Plus en détail

IMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT

IMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT IMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT D ODIENNE (CECO) PRESENTATION DE MONSIEUR TOURE GAOUSSOU PRESIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE LA CAISSE D EPARGNE

Plus en détail

OBJECTIF DU GUIDE 1-L ENCADREMENT JURIDIQUE DES ACTIVITES D ASSURANCE

OBJECTIF DU GUIDE 1-L ENCADREMENT JURIDIQUE DES ACTIVITES D ASSURANCE OBJECTIF DU GUIDE Présenter au public et en particulier aux investisseurs, les règles de constitution et de fonctionnement des organismes d assurance. Arrêté n 2005-0773 du 14 décembre 2005 fixant les

Plus en détail

Workshop n 1 : les partenariats stratégiques inter-entreprises. Vers quelles formes de partenariats s orienter?

Workshop n 1 : les partenariats stratégiques inter-entreprises. Vers quelles formes de partenariats s orienter? Workshop n 1 : les partenariats stratégiques inter-entreprises Vers quelles formes de partenariats s orienter? Sommaire Définitions - rappels Les stratégies de croissance de l entreprise Les différentes

Plus en détail

QUIMBAYA TOURS, UNE AGENCE RECEPTIVE A DIMENSION INTERNATIONALE EN QUETE D UNE CLIENTELE NOUVELLE

QUIMBAYA TOURS, UNE AGENCE RECEPTIVE A DIMENSION INTERNATIONALE EN QUETE D UNE CLIENTELE NOUVELLE QUIMBAYA TOURS, UNE AGENCE RECEPTIVE A DIMENSION INTERNATIONALE EN QUETE D UNE CLIENTELE NOUVELLE Catarina Pascoal Equipe M Himali Patabendi 2013-2014 Sandrine Tan TABLE DES MATIERES I - Quimbaya Tours

Plus en détail

des sûretés Jean-Jacques LECAT Avocat Associé E-mail : jean-jacques.lecat@cms-bfl.com Pierre Marly Avocat Associé E-mail : pierre.marly@cms-bfl.

des sûretés Jean-Jacques LECAT Avocat Associé E-mail : jean-jacques.lecat@cms-bfl.com Pierre Marly Avocat Associé E-mail : pierre.marly@cms-bfl. Le nouveau droit OHADA des sûretés Jean-Jacques LECAT Avocat Associé E-mail : jean-jacques.lecat@cms-bfl.com Pierre Marly Avocat Associé E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com Juin 2011 Sommaire Introduction

Plus en détail

Présentation de XL Catlin Nos cinq atouts pour vous soutenir dans votre développement.

Présentation de XL Catlin Nos cinq atouts pour vous soutenir dans votre développement. Présentation de XL Catlin Nos cinq atouts pour vous soutenir dans votre développement. Avant même leur rapprochement, XL et Catlin étaient deux sociétés solides, très innovantes. Ensemble, nous sommes

Plus en détail

Logiciels de Gestion de Projet: Guide de sélection

Logiciels de Gestion de Projet: Guide de sélection Logiciels de Gestion de Projet: Guide de sélection Logiciels de Gestion de Projets: Guide de sélection PPM Software Selection Guide ETAPE 1: Faiblesses Organisationnelles identifier clairement vos besoins

Plus en détail

10 questions / réponses TLG GROUPE FINANCIER. www.tunisiefactoring.com

10 questions / réponses TLG GROUPE FINANCIER. www.tunisiefactoring.com 10 questions / réponses Le livret du Factoring TLG GROUPE FINANCIER www.tunisiefactoring.com a le plaisir de vous faire parvenir ce livret sur le factoring (ou affacturage) qui reprend, en synthèse, une

Plus en détail

Comment réussir son projet de Master Data Management?

Comment réussir son projet de Master Data Management? Comment réussir son projet MDM? Table des matières Comment réussir son projet de Master Data Management?...... 2 Un marché en croissance..... 2 Les démarches qui réussissent... 2 A quels projets métiers

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE -2014

DOSSIER DE PRESSE -2014 RESEAU DE CONSEILLERS EN IMMOBILIER INDEPENDANTS Compétences des conseillers - Sécurité absolue des transactions DOSSIER DE PRESSE -2014 Pour en savoir plus : www.optimhome.com Contact presse Agence Shan

Plus en détail

LE COURTAGE D ASSURANCE

LE COURTAGE D ASSURANCE Programme 1ère conférence : l éthique du courtier 2ème conférence : la profession du courtier Courtage et environnement concurrentiel Le cadre de l activité L activité La responsabilité des courtiers d

Plus en détail

Le capital-investissement en Afrique

Le capital-investissement en Afrique Neuvième Forum pour le développement de l'afrique Le capital-investissement en Afrique Document de travail Neuvième Forum pour le développement de l'afrique Des finan cements innovants pour l a transformation

Plus en détail

Introduction. Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas :

Introduction. Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas : Introduction Le CRM se porte-t-il si mal? Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas : «75 % de projets non aboutis» «La déception du CRM» «Le CRM : des

Plus en détail

RENFORCE LA CHAÎNE DE VALEUR AJOUTÉE DE SES PARTENAIRES

RENFORCE LA CHAÎNE DE VALEUR AJOUTÉE DE SES PARTENAIRES LA GARANTIE DE L AUTOMOBILE LA COMPAGNIE AUTOMOBILE D ASSURANCE ET DE REASSURANCE ASSOCIÉES est une société de souscription et de gestion en assurance et en réassurance qui RENFORCE LA CHAÎNE DE VALEUR

Plus en détail

~.~ CSCA CHAMBRE SYNDICALE DES COURTIERS O'ASSURANCES CODE MORAL

~.~ CSCA CHAMBRE SYNDICALE DES COURTIERS O'ASSURANCES CODE MORAL ~.~ CHAMBRE SYNDICALE DES COURTIERS O'ASSURANCES CODE MORAL Le courtier, en raison même de l'importance des intérêts qui lui sont confiés, est tenu de se conformer scrupuleusement aux devoirs que lui imposent

Plus en détail

Puissance Vie DEMANDE DE MODIFICATION

Puissance Vie DEMANDE DE MODIFICATION SA d assurances sur la vie Au capital de 270 120 720 Entreprise régie par le Code des assurances 9 boulevard Gouvion-Saint-Cyr 75017 PARIS Siren 412 257 420 RCS Paris Pour plus de simplicité : Nous vous

Plus en détail

présentés à l Ordre des ingénieurs du Québec

présentés à l Ordre des ingénieurs du Québec Commentaires de l Association des ingénieurs-conseils du Québec sur le projet de Règlement sur l assurance responsabilité professionnelle des membres de l Ordre des ingénieurs du Québec présentés à l Ordre

Plus en détail

Mot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP

Mot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP Mot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP 17 Septembre 2013, 9h00 Tunis, Tunisie Monsieur le Directeur du Département Assurance

Plus en détail

Réseau SCEREN. Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la. Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel.

Réseau SCEREN. Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la. Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Campagne 2013 Ce fichier numérique ne peut être reproduit, représenté, adapté

Plus en détail

Garanties 2007 APRIL Gestion du Risque Client

Garanties 2007 APRIL Gestion du Risque Client [ la protection financière ] Entreprises Garanties 2007 APRIL Gestion pour petites et moyennes entreprises Un contrat unique qui vous donne accès à tous les outils de gestion de vos risques d'impayés APRIL

Plus en détail

RÈGLEMENT RELATIF À LA DÉLIVRANCE ET AU RENOUVELLEMENT DU CERTIFICAT DE REPRÉSENTANT (n o 1)

RÈGLEMENT RELATIF À LA DÉLIVRANCE ET AU RENOUVELLEMENT DU CERTIFICAT DE REPRÉSENTANT (n o 1) RÈGLEMENT RELATIF À LA DÉLIVRANCE ET AU RENOUVELLEMENT DU CERTIFICAT DE REPRÉSENTANT (n o 1) Loi sur la distribution de produits et services financiers (L.R.Q., c. D-9.2, a. 200, 1 er al., par. 1, 2, 3,

Plus en détail

58 ème CONGRES DE L UIA Florence, Italie 29 octobre 02 novembre 2014

58 ème CONGRES DE L UIA Florence, Italie 29 octobre 02 novembre 2014 58 ème CONGRES DE L UIA Florence, Italie 29 octobre 02 novembre 2014 COMMISSIONS DROIT DES ASSURANCES/ DROIT MEDICAL Vendredi 31 Octobre 2014 LA TECHNOLOGIE MEDICALE DE POINTE ET SON COUT N GANN Supermann

Plus en détail

Valoriser dans une optique de développement: réussir une levée de fonds

Valoriser dans une optique de développement: réussir une levée de fonds ENTREPRISE ET PATRIMOINE RDV TransmiCCIon 23 mai 2013 Valoriser dans une optique de développement: réussir une levée de fonds Conseil en fusions-acquisitions et ingénierie financière Intégrité indépendance

Plus en détail

Libéralisation dans l assurance accidents

Libéralisation dans l assurance accidents Libéralisation dans l assurance accidents Exposé de Lucius Dürr, Directeur de l Association Suisse d Assurances, présenté à la conférence de presse du 25 janvier 2006 Mesdames, Messieurs, Ainsi que le

Plus en détail

Les obstacles : Solutions envisageables :

Les obstacles : Solutions envisageables : 1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un

Plus en détail

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise On ne peut concevoir l entreprise comme une entité isolée du milieu dans lequel elle agit. L entreprise

Plus en détail

Instant evolution à l ère du numérique. Faites de la technologie votre atout compétitivité

Instant evolution à l ère du numérique. Faites de la technologie votre atout compétitivité Instant evolution à l ère du numérique Faites de la technologie votre atout compétitivité On sous-estime facilement la distance parcourue en aussi peu de temps, de même que l ampleur des changements qu

Plus en détail

LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL. Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel

LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL. Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel Sommaire PRESENTATION GENERALE DU MARKETING: Qu est-ce que le Marketing? Introduction et définition

Plus en détail

LES CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE ENTRE PROFESSIONNELS

LES CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE ENTRE PROFESSIONNELS Ressources pour les enseignants et les formateurs Activités pour la classe CE, EO, EE, terminologie, phraséologie, discours Crédit : Michel Soignet. LES CONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE ENTRE PROFESSIONNELS

Plus en détail

LEXIQUE ASSURANCE-CREDIT

LEXIQUE ASSURANCE-CREDIT LEXIQUE ASSURANCE-CREDIT Accord cadre Accord bilatéral de consolidation Acheteur / débiteur privé Acheteur / débiteur public Acheteur / débiteur souverain Acompte Actualisation de prix Convention financière

Plus en détail

Liberez votre potentiel COURS PROGRAMME 2014

Liberez votre potentiel COURS PROGRAMME 2014 Liberez votre potentiel R COURS PROGRAMME 2014 Table des matières À propos de Evolia Training Page 1 A propos de nos services Page 2 Témoignages Page 3 Biométrie Consultance et Formation en Biométrie Page

Plus en détail

Développement des Marchés ASSURANCES OBLIGATOIRES & REASSURANCE

Développement des Marchés ASSURANCES OBLIGATOIRES & REASSURANCE Société Commerciale Gabonaise de Réassurance SCG-Ré Premier Forum des Marchés Zone FANAF Libreville, le 30 et 31 Octobre 2014 Développement des Marchés ASSURANCES OBLIGATOIRES & REASSURANCE vendredi 31

Plus en détail

En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures

En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme

Plus en détail

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise Etude de marché Selon l Agence Pour la Création d Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient mal réalisées ou de manière

Plus en détail

De ces définitions qui précèdent, Quels liens pouvons nous relever entre ces deux notions? La force de vente et la communication

De ces définitions qui précèdent, Quels liens pouvons nous relever entre ces deux notions? La force de vente et la communication De nos jours, la force de vente et la communication apparaissent comme des fers de lance de toute entreprise. En effet leur prise en compte engendre des chiffres d affaires notoires. La force de vente

Plus en détail

Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing

Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Ce que vous allez apprendre Définir le marketing et comprendre son rôle Comprendre les différentes évolutions du marketing Comprendre les nouveaux enjeux

Plus en détail

Solution proposée pour l'assurance ménage et responsabilité civile de particuliers

Solution proposée pour l'assurance ménage et responsabilité civile de particuliers Solution proposée pour l'assurance ménage et responsabilité civile de particuliers Preneur d'assurance / Proposant Monsieur Yildirim Güzel Chemin de Maisonneuve 12 A 1219 Châtelaine Conseiller en assurances

Plus en détail