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- Emmanuel Meunier
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1 1ère partie 30/07/04 19:04 Page 42 L INCONSCIENT SUJET DISSERTATION 4 SÉRIE L SUJET NATIONAL JUIN 2004.Avant de commencer. Principales notions abordées La conscience ; le désir ; l interprétation ; la matière et l esprit ; la raison et le réel. Repères utilisés Abstrait/concret ; en acte/en puissance ; cause/fin ; essence/accident ; origine/fondement ; principe/conséquence ; en théorie/en pratique. Analyse du sujet La formulation peut être déroutante du fait de l association entre un concept clair du programme de philosophie et un adjectif peu utilisé ou plus réservé à des spécialistes. La nature du problème posé doit être bien comprise en examinant l angle d approche concernant la définition de l inconscient. Il ne s agit pas de restituer un cours sur la psychanalyse. L inconscient est présenté comme une notion, il ne faut donc pas le considérer d emblée comme une réalité. La notion d inconscient psychique est-elle contradictoire? Se préparer. Cette partie vous permet de réaliser toutes les étapes préparatoires du sujet. La dissertation est à rédiger sur des feuilles à part. 1. Analyser les termes du sujet. (Que signifie l adjectif «psychique»? Y a-t-il d autre «inconscient» que psychique, et y a-t-il plusieurs types d inconscients psychiques pour une seule notion générale? Que veut-elle dire? Qu est-ce qu une «notion contradictoire»?) 42
2 1ère partie 30/07/04 19:04 Page Élaborer la problématique. (Quelle difficulté logique la notion d «inconscient psychique» pose-t-elle? En quoi ne semble-t-elle pas adaptée à la réalité décrite ou la signification voulue? Qu est-ce qui justifie pourtant son emploi, sa pertinence? Peut-on en trouver une meilleure?) 3. Construire le plan détaillé. 43
3 1ère partie 30/07/04 19:04 Page Élaborer l introduction. 5. Élaborer la conclusion. 44
4 1ère partie 30/07/04 19:04 Page 45 SUJET CORRIGÉ 4 A. Corrigé des questions préparatoires 1 et 2 1. L adjectif «psychique» a pour origine le terme grec psuchè, qui veut dire «âme». Il a pour sens ce qui se rapporte à l esprit, à la pensée. Il pourrait avoir pour synonyme mental. Il se distingue de l adjectif psychologique qui, lui, s applique à ce qui concerne la psychologie comme science (étymologie : «la science de l âme»). On parle, par exemple, de phénomènes ou processus psychiques pour l association d idées, d états psychiques pour le rêve, voire de troubles psychiques. C est ensuite une méthode psychologique qui peut traiter ces derniers. Enfin, de façon plus globale, le psychisme désigne l ensemble de la vie de l esprit dans la mesure où l on y présuppose des lois et processus internes. «Inconscient» est, au départ, un adjectif utilisé dans deux domaines. Dans le domaine de la morale, quand on fait le reproche d inconscience, on signifie que l individu ne s est pas rendu compte de la gravité des conséquences éventuelles de ses actes sur autrui, en roulant à forte vitesse par exemple, ou ce qui revient au même n a pas mesuré l importance d un fait en tant qu il bafoue un principe moral essentiel. Par exemple, obéir à un ordre dégradant ou proférer des propos racistes. Dans le domaine de la psychologie, le champ est beaucoup plus large. Il désigne évidemment l absence de conscience ce qui regroupe à nouveau deux éléments : d une part, ce dont on n a pas conscience (beaucoup de processus physiologiques importants sont inconscients, ou certains gestes et tics) et, d autre part, ce qui n est pas conscient : une personne évanouie, par exemple, ou somnambule n a pas conscience de ses actes. L inconscient, devenu substantif, qualifie toujours ce qui échappe à la conscience, mais au sens psychique, et non moral. L inconscient, au sens strict, est donc psychique. Cela peut prendre en gros deux formes, résumées par Freud : d abord, tous les phénomènes psychiques, comme les souvenirs qui échappent à la conscience, mais de manière momentanée, et qui restent accessibles s il y a effort de recherche ou de concentration. Ensuite, tous les phénomènes sur lesquels s exerce une force de rétention les empêchant de devenir conscients. Dans ce dernier cas, découvert et théorisé par Freud, c est à la fois ce qui est retenu et la force de rétention elle-même qui sont inconscients. Il y a donc d un côté ce qui est seulement latent, c est-à-dire en puissance de devenir conscient mais pas encore en acte. Et d un autre côté ce qui est refoulé. Pour Freud, «l inconscient, c est le refoulé». Cela va même plus loin. Tout ce qui est conscient subit la loi de l inconscient, tandis que ce qui est inconscient peut se passer de ce qui est conscient : l inconscient est comme un grand cercle qui en contiendrait un plus petit, c est «le psychique lui-même et son essentielle réalité». Ces deux types d inconscient sont appelés par Freud «l inconscient au sens descriptif ou statique» et «l inconscient au sens dynamique», puisqu il y a une force en présence. L adjectif «contradictoire» s applique à des termes ou propositions dont l affirmation de l un implique nécessairement la négation de l autre et dont la négation de l un entraîne nécessairement l affirmation de l autre. Par exemple, mort et vif : si tel animal est mort, il ne peut être vivant ; et s il n est pas mort, c est qu il est vivant, comme dirait La Palice. En logique, le principe de non-contradiction est présenté ainsi : deux propositions contradictoires ne peuvent être ni vraies, ni fausses, toutes les deux en même temps. De façon précise, cela diffère donc d un rapport de contraire, ou de contrariété. Là aussi, l affirmation de l un implique la négation de l autre : blanc et noir (si le chat est blanc, il ne peut être noir) ; mais la négation de l un n implique pas l affirmation de l autre (s il n est pas blanc, il n est pas pour autant noir, il peut être gris). S il y a contradiction, l alternative est donc simple : s il y a inconscient ou inconscience, il n y a pas de psychisme, et s il y a psychisme, il n y a pas d inconscient. Une «notion» est un concept très général et abstrait, qui regroupe des réalités concrètes différentes ou des significations multiples, parfois assez imprécises : la notion de bonheur, par exemple. Par le terme «notion», on insiste donc sur le caractère abstrait et théorique du concept général. Ici, la notion est contradictoire si le terme utilisé se nie théoriquement lui-même. 2. La problématique repose sur une question logique : elle demande si l on peut mettre au jour une contradiction dans l énoncé d une notion ou d une expression telle que «inconscient psychique». Il faut donc considérer tous les aspects du terme «inconscient», puisqu il s agit de la notion générale, et pas seulement de la définition particulière qu en donne Freud. Étant donné le sens premier des termes, la réponse semble évidente et la tâche facile. En même temps, cette notion existe et possède, on l a vu, plusieurs sens. Pour le sens plus général, le problème consiste à savoir si toutes les manifestations de l esprit sont présentes à la conscience, si cette dernière englobe tout ce qui est mental ou psychique. N y a-t-il de pensée que sous forme de conscience? 45
5 1ère partie 30/07/04 19:04 Page 46 Est-il contradictoire qu une pensée puisse en quelque sorte ne pas être toujours consciente d elle-même? Si non, y a-til plusieurs niveaux d inconscient? Le sens plus précis est celui qui constitue le fondement majeur de la psychanalyse. Le sujet demande donc que l on débatte de la cohérence ou la justification rationnelle de l idée d inconscient psychique. Freud l a en effet présentée comme un modèle d explication théorique, voire au début comme une hypothèse ou interprétation explicative des phénomènes observés. Elle a son origine dans une pratique thérapeutique et non dans une fantaisie irrationnelle. Mais est-ce une notion bien trouvée? N aurait-il pas pu en choisir une autre, moins ambiguë ou contradictoire? On voit bien qu il ne s agit pas de traiter la problématique avec le seul cours sur la psychanalyse. Il faut s aider de toutes les définitions faites de la pensée ou de l esprit en général, conçus comme conscience. Les analyses de Hegel et Descartes sont les plus évidentes. De la même façon, les limites ou illusions de la conscience sur elle-même rentrent déjà dans la catégorie de ce qui est inconscient, ce dont on n a pas conscience, et qui est pourtant psychique. Par exemple, les causes de nos désirs pour Spinoza, ou un certain nombre de petites perceptions qu évoque Leibniz. Il y a aussi tous les souvenirs non présents à l esprit, qui justifient l association entre des phénomènes psychiques et le terme «inconscient». Les analyses de Bergson exploitent cette veine. B. Corrigé du sujet (plan détaillé) Introduction Quand quelqu un roule à grande vitesse, on lui fait le reproche d être inconscient. On lui attribue une faute morale : il n a pas voulu mal faire, mais il n a pas compris pourquoi il a mal fait. Si l inconscience morale est reconnue, l inconscient psychique est, lui, beaucoup plus délicat. Cette notion ne repose-t-elle pas sur une erreur, sur une contradiction de principe qui pose problème? Il s agit de savoir si toutes les manifestations de l esprit prennent la forme de la conscience, si cette dernière est l essence et le mode d existence unique de ce qui est mental ou psychique. N y a-t-il de pensée que sous forme de conscience? Et si non, y a-t-il plusieurs niveaux d inconscient? Dans la mesure où le substantif a un sens plus général que celui donné par Freud, il faut en effet les examiner et les nuancer. Peut-on aller jusqu à utiliser ce terme pour qualifier une force agissante, et non pas simplement une défaillance ou une limite de la conscience? 46 I. Une contradiction de principe 1. L esprit et la conscience On sépare l esprit et le corps sur le critère de ce qui est matériel et immatériel, mais aussi sur un autre critère essentiel : celui de la représentation et de la conscience de soi. Un esprit sans représentation de lui-même ou de quelque chose d autre que lui-même n est pas un esprit. Référence : Hegel fait ainsi la différence entre deux façons d exister. Celle appelée «en soi» concernant les choses de la nature, les corps, et celle de l homme qui, parce qu il est esprit ou parce qu il a un esprit, possède une représentation de lui-même. Il a donc en quelque sorte une double existence, puisque ce qu il est lui est représenté en même temps dans son esprit. C est le «pour soi». Exemple : la démarche du doute cartésien aboutit à la seule certitude «Je pense, donc je suis», qui permet de démontrer l existence de la pensée, alors que celle des corps est moins assurée, et de définir cette pensée par la conscience, puisqu elle se présente toujours sous la forme du «je». 2. L inconscient et le corps Quand le terme «inconscient» s applique au psychisme, c est justement pour montrer les limites de l esprit, c est pour signaler qu il n y a pas conscience du phénomène. Ce n est pas pour désigner un élément ni une force agissante du psychisme lui-même. Ce que l on appelle «l inconscient» est donc le propre du corps, car s il y a esprit ou psychisme, il y a nécessairement conscience ; c est pour cela que l on peut être inconscient de ce qui se passe dans le corps, mais dire que l inconscient est psychique ou que le psychique est inconscient, c est énoncer une contradiction. Référence et exemple : le jugement de Spinoza selon lequel «nul ne sait ce que peut le corps», car on n a pas conscience de tous ses mécanismes, ni de tous ses effets directs ou indirects sur la pensée. Par exemple, quand on dit que l on bouge un bras par la volonté, on ne sait pas quel est le processus. De la même façon, le corps peut agir sur l esprit sans que nous sachions comment, ni à quel point. 3. Erreur logique et faute morale Non seulement l expression est une erreur logique, mais presque une faute morale. Si l inconscient désigne une réalité ou une force d essence psychique, cela revient à donner deux «moi» ou deux «je» différents à la même personne : ce qui constitue une excuse toute trouvée pour des fautes de comportement. De son corps, en revanche, on doit davantage répondre. D une force purement mécanique, et en partie contrôlable par l esprit, on passe à une force psychique qui dépasse celle de la conscience et de la volonté.
6 1ère partie 30/07/04 19:04 Page 47 Référence et exemple : l analyse critique que fait Alain de la psychanalyse en général. La peur ou le rêve relèvent de mécanismes dont on n est pas conscient, car ils viennent du corps et se répercutent dans l esprit. Si l on en fait des phénomènes d essence psychique, ou si l on dit que c est l inconscient qui y exprime ses désirs, on fait du corps un autre «moi», doté d intention et agissant contre moi. Il existe pourtant bien des troubles psychiques qui mettent en jeu cette situation : la schizophrénie, par exemple. La cause n en est pas physiologique. Le psychisme est donc plus complexe que cela. II. Les contenus et limites de la conscience 1. Les souvenirs Sans aller jusqu à l exemple de la maladie mentale, il est vrai, pour tout le monde, que ce dont a conscience n épuise pas la totalité de ce que l on dans l esprit. Exemple : les souvenirs sont bien d essence psychique, ce sont des représentations mentales de scènes qui n existent plus matériellement. Cependant, ils ne sont pas présents en tête, ils ne peuvent ressurgir que par un effort, ou parfois sans notre volonté directe, à la simple perception d une maison ou d une photo, etc. Référence : Bergson montre ainsi que la conscience est mémoire, puisque ce que j ai présent à l esprit, un discours à prononcer par exemple, nécessite un certain temps. Cette mémoire est nécessairement limitée aux éléments nécessaires à mon action présente. Le reste est enfoui et oublié provisoirement, grâce à un mécanisme cérébral plus ou moins efficace, mais reste psychique. 2. Les perceptions Même ce qui se passe au présent dans l esprit n est pas totalement conscient. Qu il s agisse de perceptions sensorielles (ou de sentiments), on ne peut en avoir une saisie claire et précise dans certaines conditions. Exemple : des petites perceptions, comme le bruit de fond des voitures en ville ou de l eau près d un torrent, finissent par ne plus être entendues. Pourtant, si quelqu un nous le fait remarquer ou si un changement important s opère, un bruit plus fort de sirène par exemple, cela devient conscient. On s aperçoit rétroactivement que tous ces bruits étaient bien enregistrés d une manière ou d une autre. Référence : l analyse faite par Leibniz des «petites perceptions» de la conscience. Ce n est pas l ouïe qui est défaillante, mais c est la conscience qui laisse passer ces informations. Pourtant, elle les possède bien, puisqu elles peuvent ressurgir. 3. Les sentiments Le processus est plus défaillant encore sur les sentiments : toutes les nuances et tous les changements de nos états d âme ne sont pas aperçus par la conscience, du fait de leur finesse ou rapidité. Exemple et référence : l analyse faite par Bergson du sentiment que l on appelle «l amour». Le mot est dans l abstrait le même pour tous, alors qu en réalité il y a un sentiment concret qui change et varie sans arrêt. Sous l influence du langage, notre esprit n en a plus conscience. Dans tous ces cas, le psychisme subit l effet de mécanismes, d habitudes ou d influences dont il n a pas conscience, mais dont la source lui est extérieure. Il n en est pas lui-même la cause. Or, le concept d inconscient défini par Freud va bien au-delà de cela, puisqu il désigne une force psychique agissante, à l origine du processus. III. La force inconsciente du psychisme 1. Rappel de la théorie psychanalytique Ce ne sont pas seulement les pensées latentes, en puissance et non en acte, dont parle Freud, mais celles qui sont expressément retenues par une action de refoulement. Ces pensées sont, pour la plupart, des désirs et des intentions de nature érotique. Il faut donc intégrer deux éléments : la notion d inconscient psychique et le fait que cet inconscient contienne des désirs et agisse en fonction de fins. Une intention inconsciente est plus paradoxale encore qu une pensée inconsciente. Exemple et référence : Descartes, dans l épreuve du doute, montre bien que l âme est capable de deux opérations : la pensée abstraite et la volonté, mise en œuvre dans le doute. Or, ici, c est le fait de vouloir qui peut aussi être inconscient. 2. Fondement rationnel Les désirs sont bien le propre d un être doté d esprit, car ils s accompagnent toujours de la représentation, fantasmatique ou pas, de ce que l on désire : ce pour quoi ils ne se limitent pas aux instincts ou aux besoins, exclusivement physiologiques. Pourtant, si nos désirs sont conscients, leur origine ou leur raison d être ne l est pas forcément. On croit que l on désire par volonté libre, et non par cause antérieure, laquelle existe nécessairement car tout fait a besoin d une cause pour le produire, qui elle-même a une cause, etc. Nos expériences passées psychiques sont donc déterminantes. Référence et exemple : l analyse que fait Spinoza de l illusion du libre arbitre reposant sur l ignorance des causes qui nous déterminent à désirer. Il y a bien inconscience sur la présence d une force, ou illusion sur la nature de cette force. 3. Fondement factuel La psychanalyse développe exactement cette idée. Elle uti- 47
7 1ère partie 30/07/04 19:04 Page 48 lise le principe du déterminisme psychique, dont elle tire toutes les conséquences. Il est vrai, néanmoins, que cette théorie rationnelle est une des seules à trouver dans la réalité un processus en lui-même contradictoire : ce pour quoi le terme est justifié. Référence : les pulsions de vie et de mort sont contradictoires et présentes ensemble. La névrose est à la fois un désir et le désir inverse, ce pour quoi il y a conflit. Freud dit même que le névrosé désire et ne désire pas guérir. Exemple : analyse d une névrose particulière comme le complexe d Œdipe, dans lequel le garçon désire à la fois la protection et la disparition du père. Conclusion Le concept d inconscient psychique repose sur un paradoxe apparent que l on peut néanmoins atténuer. Il y a des éléments psychiques non conscients, il y a même des mécanismes agissant sur et dans le psychisme, sans la réflexivité consciente de celui-ci à leur égard. Il y a, enfin, un mécanisme d intentions psychiques ignoré. Ce dernier point oblige à donner du réel une interprétation complexe. Ce n est pas en théorie seulement, mais en pratique que le réel est contradictoire. D autres sciences n arrivent-elles pas à la même conclusion? 48
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