ECHANGE DE DONNÉES ENTRE APPLICATIONS 4D Etude historique et comparative des techniques de transfert de données avec 4D v11 SQL

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ECHANGE DE DONNÉES ENTRE APPLICATIONS 4D Etude historique et comparative des techniques de transfert de données avec 4D v11 SQL"

Transcription

1 Livre Blanc 4D ECHANGE DE DONNÉES ENTRE APPLICATIONS 4D Etude historique et comparative des techniques de transfert de données avec 4D v11 SQL v avril D v11 SQL Product Line

2 2 Sommaire Echange de données entre applications 4D 4 Chapitre 1 : Historique des techniques de connectivité 5 4D Open for 4D 5 HTTP 5 XML et SOAP 5 SQL 6 Chapitre 2 : Inventaire des solutions actuelles 7 SQL Pass-through 7 Web Services avec SOAP 7 XML sur HTTP 7 Chapitre 3 : Quelques scénarios d utilisation 9 Synchronisation 9 Interopérabilité 9 Applications distribuées 9 Tableau comparatif des technologies d échange de données incluses dans 4D 11 Annexes : fiches techniques des différentes solutions 12 SQL pass-through 13 Généralités sur SQL pass-through 13 Comment établir la connexion 13 SQL pass-through et la sécurité 15 Bénéfices de SQL pass-through 15 Inconvénients de SQL pass-through 15 Principales caractéristiques de SQL pass-through 16 SOAP/Web Services 17 Généralités sur les Web Services 17 Description d une séquence requête/réponse SOAP 18 Contenu d un message SOAP 19 Optimisation de SOAP entre deux applications 4D 19 SOAP et la sécurité 20 Bénéfices de SOAP 20 Inconvénients de SOAP 21 Principales caractéristiques de SOAP 21

3 3 XML sur HTTP (avec 4D Web Server) 22 Généralités sur le protocole HTTP 22 Optimisation de la communication HTTP avec "Keep-Alive" 22 HTTP et la sécurité 23 Mise en œuvre d un service XML sur http 23 Bénéfices de XML sur HTTP 24 Inconvénients de XML sur HTTP 24 Principales caractéristiques de XML sur HTTP 25 Bibliographie 26

4 4 Echange de données entre applications 4D Très tôt dans l histoire de 4D, ses utilisateurs professionnels ont cherché à faire collaborer leur application avec d autres instances de bases de données 4D, que ce soit pour répliquer ou distribuer leur information. En effet, au sein du réseau local, 4D Server (en tant que serveur applicatif et de données) et 4D Backup (intégrant une solution de miroir prête-à-l emploi) couvraient généralement ces deux fonctions, mais pour ce qui est des réseaux étendus (WAN), et malgré quelques tentatives en ce sens (comme l ancien 4D Remote) la notion de client léger propriétaire (c est-à-dire sans avoir recours à des solutions de type TSE ou Citrix) ne pouvait être implémentée de façon aussi efficace que les autres briques de l architecture 4D. Le principal défi consistait à garantir un taux de transfert suffisamment rapide sur des tuyaux extrêmement fins, et ce malgré des connexions et déconnexions répétées, afin d offrir à l utilisateur une expérience acceptable. De son côté, le développeur se devait d être extrêmement sélectif dans ses choix, et faire en sorte de rendre le plus parcellaire possible l échange d information entre applications 4D distantes, afin de ne pas saturer bande passante, mémoire et buffers. Aujourd hui, alors que le besoin s'est accru (agences multi-sites, mobilité des intervenants), le contexte technologique a beaucoup changé, et 4D lui-même a beaucoup évolué. La notion de distance ne dépend plus de la géographie, et, l offre créant le besoin, les volumes mis en jeu ont explosé tout autant que les capacités physiques de transfert (disponibilité haut-débit, ADSL). Alors que, fait extrêmement rare dans l industrie du logiciel, il est courant de voir du code 4D de plus de quinze ans d âge continuer à tourner à l identique sur des applications professionnelles parfois critiques, 4D a procédé avec la version 4D v11 SQL, à sa plus grande mutation technologique depuis sa création. Il apparaît donc opportun de procéder à un état des lieux des solutions d échange de données entre bases 4D non connectées.

5 5 Chapitre 1 : Historique des techniques de connectivité Chronologiquement, quatre technologies sont successivement apparues pour répondre au besoin de d échange de données entre applications 4D. 4D Open for 4D 4D Open for 4D est un plug-in basé sur l API native de 4D (dénommée 4D Open) qui a vu le jour en 1994 pour répondre aux besoins de connexion distante depuis n importe quel type d application 4D vers 4D Server. Reconnue comme extrêmement efficace car économe en ressource, rapide et solide, cette solution avait pour seul inconvénient de nécessiter l écriture d une couche logique en plus du code 4D. En effet tout un jeu de commandes spécifiques à 4D Open for 4D, à implémenter côté client, permettait de découvrir la structure de données (fonction que n offrait pas le propre langage de 4D), puis de consulter et modifier des sélections d enregistrements, après avoir créé des liaisons fortes, ou binds, entre les tables, champs, variables ou tableaux des deux constituants de la connexion 4D Open. Avec l avènement de 4D v11 SQL, le format natif des données 4D a été profondément bouleversé occasionnant une conversion radicale de la structure comme des données des versions antérieures. Les interpréteurs des langages SQL et 4D ayant le même niveau d accès à la base de données, et 4D pouvant dialoguer nativement avec toute source ODBC, recréer ou convertir une API de communication est devenu inutile. Plutôt que s efforcer de maintenir artificiellement une surcouche obsolète, il a été fait le choix de continuer à privilégier l adoption des standards les plus répandus et d investir les efforts de développement vers des technologies innovantes. C est pourquoi 4D Open for 4D a officiellement cessé d être supporté. A noter cependant que sous Windows et Mac PPC, il est encore possible d utiliser le plug-in 4D Open for 4D 2004 dans un projet v11 SQL pour interroger une application tournant sous 4D Server Si cette annonce a pu inquiéter un certain nombre de développeurs, ce n est pas tant par nostalgie de la technologie 4D Open, que par interrogation sur les moyens à mettre en œuvre pour remplacer un code parfois existant de longue date (et, au passage, probablement largement rentabilisé) et ayant coûté un investissement en temps relativement important. Mise à jour après mise à jour, et particulièrement depuis 4D v11 SQL Release 3, il s avère que des solutions encore plus économes et flexibles existent pour remplir les mêmes fonctions, comme nous le verrons plus loin. HTTP Depuis 1995, 4D intègre un serveur HTTP performant permettant bien sûr la publication de pages Web dynamiques ou statiques. Mais, en tant que protocole parfaitement défini et largement accepté dans la plupart des entreprises, certaines d entre elles n ouvrant parfois que le port 80, et du fait qu aucune passerelle additionnelle ne filtre l accès aux enregistrements, HTTP est également une alternative intéressante pour le transport de données de type texte, et permet donc la mise en place d outils de dialogue entre deux applications 4D (à condition que l une d entre elles au moins possède une licence Web Server ou Web Services Server). Cette programmation de bas niveau, robuste et rapide n a que le défaut de ses qualités, elle s éloigne des paradigmes du développement rapide et requiert dont un certain investissement initial en temps que le développeur 4D n'a pas toujours la possibilité d'effectuer. XML et SOAP Défini en 1998, et désormais parfaitement mature, XML s est imposé comme un format standard d'échanges de données incontournable depuis plusieurs années. Puis, par la force de l usage, SOAP a émergé en tant que principal protocole d'exploitation de Services Web. 4D a su rester à la pointe de cette évolution avec une implémentation dès 4D 2003 des premières fonctions de manipulation XML et le support des Web Services, complété et renforcé en 4D Depuis, l usage d XML s est répandu jusque dans la gestion des préférences de 4D, de la sauvegarde, ou encore la manipulation des formulaires utilisateurs. Quant aux Web Services, ils sont disponibles en mode Serveur (avec licence dédiée) ou Client (en standard), avec des fonctions avancées telles que le support des modes RPC et DOC, la génération automatique de méthodes proxy ou la création

6 6 automatique de WSDL dynamique. Naturellement XML et SOAP sont d excellents candidats au transfert de données entre applications 4D. SQL SQL (Structured Query Language) est l un des derniers standards intégré au cœur de 4D. Non pas que 4D fût auparavant incapable de comprendre le SQL, mais son interprétation passait par des couches logicielles intermédiaires, en particulier l API 4D Open citée plus haut dans le cas d une requête ODBC entrante. La réécriture complète du noyau est le plus grand chantier réalisé depuis les origines de 4D. Le résultat est un environnement à la fois complètement standardisé, comparable aux bases de données du marché les plus réputées, et totalement compatible, après conversion, avec les anciennes applications. Ceci permet de continuer à travailler en langage 4D tout en insérant à tout moment des sections entières de commandes SQL. Rappelons que les deux langages sont traités de la même façon au niveau de la base de données et qu aucun des deux n a priorité sur l autre. Au bénéfice de SQL, la possibilité de tirer parti du traitement multithread préemptif de 4D v11 SQL, une meilleure expressivité des requêtes particulièrement sensible sur les recherches complexes et les jointures, enfin une popularité importante permettant de réutiliser du code source d un environnement à l autre et d être compréhensible par n importe quel développeur. Pour preuve de la richesse issue de l implémentation de SQL dans 4D, après seulement quelques mois, des supports aussi différents que le driver ODBC de 4D, les connexions SQL Pass-through (voir ci-dessous) ou la toute nouvelle librairie de connexion 4D for Flex ont pu voir le jour et reçoivent depuis lors de constantes améliorations. Ainsi tout en ayant mis en place un protocole SQL propriétaire, à l instar de ses concurrents, 4D a su le rendre ouvert et documenté. Dans cet esprit, 4D reste à l écoute pour toute sorte de collaboration visant à l implémentation de son protocole de communication entre son serveur SQL et d autres langages. Les prochaines versions de 4D offriront certainement d autres nouveautés dans ce domaine.

7 7 Chapitre 2 : Inventaire des solutions actuelles SQL Pass-through Le terme SQL Pass-through recouvre simplement la capacité qu a une base 4D d interroger une application tierce en langage SQL. La plupart des produits 4D ont cette faculté que ce soit pour des motifs de développement ou de déploiement (voir tableaux comparatifs sur le site 4D). Le code SQL s inscrit entre deux balises SQL Login et SQL Logout insérées dans une méthode 4D. Appliqué entre deux applications 4D, ce mode implique que l application recevant l appel contienne la fonction SQL Server activée. Depuis 4D 11.3, il n est plus nécessaire d installer un driver ODBC du côté de l application 4D appelante. La connexion devient très simple à mettre en œuvre et offre un rendement bien plus élevé qu avec ODBC. Au fond la logique correspond à celle de 4D Open for 4D, en établissant une connexion native privilégiée, à la différence près que cette fois le langage utilisé est le standard de référence. Le développeur 4D ne maîtrisant pas SQL n aura ainsi aucun mal à sous-traiter l écriture de ses requêtes complexes, mais en général, s agissant de remplacer 4D Open, celles-ci resteront pour la plupart très simples. De plus, les objets de l interface 4D facilitent l exploitation des résultats de la requête SQL dans l environnement 4D. Tout particulièrement, l objet listbox, qui se reformate automatiquement, en ajoutant, supprimant et redimensionnant les colonnes et les lignes nécessaires pour afficher les résultats, donne la mesure de la facilité de mise en œuvre de SQL Pass-through. Web Services avec SOAP L utilisation des Web Services entre deux applications 4D présente l énorme avantage de ne nécessiter aucune connaissance additionnelle concernant le protocole de transport des données ou la mise en œuvre d XML. Le développeur 4D conserve ainsi ses habitudes et ne manipule d un bout à l autre de la chaîne que des commandes 4D, certaines d ailleurs automatiquement écrites par l assistant de Web Services. Ainsi il peut se consacrer à la logique de service (le mot le plus important dans Web Services) qu il emploiera pour imaginer les requêtes et les réponses entre les deux applications. A sa disposition deux modes de communication : le mode simple RPC qui permet d obtenir rapidement une valeur, et le mode DOC qui permet d encapsuler toute une série de données variées. Dans les deux cas, depuis 4D v11.3, la communication entre les deux instances 4D peut tirer parti d une compression/décompression automatique (via un standard HTTP) qui diminue de façon très sensible les temps de réponse. SOAP étant un standard largement adopté dans l industrie, un service Web créé d abord pour 4D pourra ensuite être mis à disposition de toutes sortes de clients. Il est bien sûr aussi possible de consommer un service tiers. Attention cependant à bien surveiller la conformité à la norme qui n est pas toujours interprétée de la même manière, ce qui nécessite de bien tester les différents paramètres du Web Service, surtout s il a été généré dans un autre langage. XML sur HTTP Pour le dire simplement, faire de l XML sur HTTP consiste à recréer un Web Service personnalisé sans tout l enrobage de compatibilité universelle que contient le standard SOAP, donc de façon plus concise, précise et puissante. Grâce à la connaissance précise des objets à échanger, nul besoin de couvrir tous les cas de figure concernant tous les types d objets par exemple. Cependant, aucun assistant prêt-à-l emploi n existe dans ce cas précis. Ce sera au développeur de comprendre et implémenter les différentes étapes de la communication, depuis l interrogation du service, jusqu au transfert des données. Une bonne maîtrise du protocole HTTP et de la syntaxe XML sont donc requis. Mais le niveau de difficulté technique reste modéré. En récompense, le développeur 4D obtiendra un code totalement personnalisé, facile à optimiser grâce à ses retours d expérience, qui deviendra rapidement du code générique réutilisable.

8 8 Note sur TCP/IP De longue date, grâce au plug-in 4D Internet Commands, inclus dans tous les produits 4D, il est possible d implémenter des solutions de connectivité entre deux applications 4D via TCP/IP. Le principe consiste a construire un émetteur et un récepteur s échangeant des données à travers un port dédié, le cas échéant en mode binaire. Cette programmation de bas niveau n est pas couverte dans le présent livre blanc car sa mise en œuvre n est pas aussi aisée que les solutions présentées ci-dessus, plus conformes à la philosophie de 4D, car simples et rapides à implémenter tout en offrant des performances élevées. Les lecteurs intéressés par le TCP/IP peuvent se reporter aux différentes notes techniques sur le sujet dans la base de connaissances 4D.

9 9 Chapitre 3 : Quelques scénarios d utilisation Les trois solutions décrites ci-dessus sont équivalentes fonctionnellement dans le cadre d une mission d échange de données entre bases 4D. Chacun peut avoir ses préférences ou ses habitudes, mais le lecteur appréciera certainement d être guidé pour s orienter sur l une ou l autre de ces technologies en fonction de ses besoins et du contexte d utilisation. Synchronisation Réplication de base (maître/esclave) : il peut s agir d une réplication pour motifs de robustesse (mirroring), ou bien d une répartition des tâches d édition de données globales depuis un site unique vers différents sites de consultation ou d exploitation locaux. Objectif recherché : vitesse, fiabilité, facilité de maintenance. Réseau en étoile : plusieurs sites de même niveau doivent répliquer leurs données, de façon à obtenir le même jeu final (cas différent de l application distribuée ci-après). Des règles logiques de synchronisation doivent être établies, ainsi qu une définition des priorités par table ou par champ en cas de conflit logique. Objectif recherché : sécurité, gestion des erreurs performante. Préconisation : 1. SQL pass-through 2. XML sur HTTP 3. Web Service SOAP Interopérabilité Architecture provisoire, ou soumise à des changements fréquents. Nécessité de garantir une évolution de scalabilité, en passant de 4D à une autre application distante. Réusabilité du code dans de multiples configurations dans lesquelles 4D n est pas assuré d être toujours présent. Nécessité d utiliser un port standard. Couplage faible entre les différentes applications 4D. Objectifs : flexibilité, rapidité de mise en œuvre. Préconisation : 1. Web Service SOAP 2. SQL Pass-through 3. XML sur HTTP Applications distribuées Répartition des données sur plusieurs sites à consulter en temps réel. Objectifs : temps de réponse faible. Consolidation des données issues de divers sites, et regroupées au sein d une interface unique sur un site consommateur du service. Objectif : rapidité d affichage, flexibilité (capacité à faire évoluer la structure des écrans de consolidation très rapidement) Préconisation : 1. SQL Pass-through 2. Web Service SOAP 3. XML sur HTTP

10 10 Vous trouverez dans la base exemple jointe à ce livre blanc une illustration concrète de la mise en œuvre de chacune des trois solutions. Cette base de données simule le transfert de données d archives concernant le taux de change de diverses monnaies par rapport à l Euro, grâce à une interface très simple. Vous pouvez comparer la vitesse de transfert entre les différentes méthodes de connexion en fonction du volume de données échangées. Le code source pourra être réutilisé et modifié pour vos propres besoins. Prenez soin de lire attentivement les instructions d installation du fichier Lisez-moi fourni avec la base de démo. Consultez également le tableau comparatif et les annexes ci-dessous pour toutes vos questions techniques.

11 11 Tableau comparatif des technologies d échange de données incluses dans 4D SQL Pass-through SOAP XML/HTTP Code requis côté serveur Couplage fort à la BDD Protocole standard Port standard SSL Programmation Langage 4D Licence spécifique (1) (2) (3) Interopérabilité Native ou ODBC Appel de méthode Possible Requis Possible Version minimum 4D v11 SQL 4D D 2003 Possible entre versions différentes de 4D Mode connecté Compilé Gestion d'erreurs (v11.3+) Modélisation des données Via schéma Via schéma XML Interception des paquets Threads Préemptifs Coopératifs Coopératifs Assistant de génération de code Compression des paquets (v11.3+) Securité Schémas Droits d'accès aux méthodes Code ou Droits d'accès aux méthodes Type de paquet Texte + Binaire Texte Texte Données binaires Oui (BLOBs) Encodage base64 Encodage base D Server offre deux modes de connexion SQL : à la connexion ou illimité 2. Licence Web Services Server 3. Licence Web Server Voir descriptif complet des licences sur

12 12 Annexes : fiches techniques des différentes solutions

13 13 SQL pass-through Généralités sur SQL pass-through SQL pass-through permet d utiliser les commandes SQL pour interroger un serveur distant 4D v11 SQL Server. Alors que dans les versions précédentes, un pilote ODBC devait être installé pour permettre à deux applications 4D de communiquer entre elles, ce pilote n est plus nécessaire à partir de la version En plus d être plus simple, la connexion bénéficie d une rapidité d exécution accrue. Comment établir la connexion Pour se connecter au 4D Server distant on utilise la commande SQL LOGIN. Par la suite tous les ordres SQL EXECUTER seront redirigés sur le serveur 4D distant jusqu à ce qu un appel à SQL LOGOUT ferme la session. Exemple : SQL LOGIN ("4D:4D_Source_Donnees";"utilisateur";"motDePasse") Dans ce cas le premier paramètre pourra être : "4D:4D_Nom_Publication" ou "IP: " "4D_Nom_Publication" est le nom sous lequel est publié la base de données distante et " " est son adresse IP (Si la base 4D distante n utilise pas le port par défaut, le numéro de port doit être ajouté après l adresse IP sous la forme ":NumeroPort"). Quelques exemples : SQL LOGIN ("4D:4D_Nom_Publication";"utilisateur";"motDePasse") SQL LOGIN ("IP: ";"utilisateur";"motDePasse") SQL LOGIN ("IP: :19832";"utilisateur";"motDePasse") Deux options supplémentaires sont disponibles pour le premier paramètre : 1. La constante SQL_INTERNAL renvoie toutes les requêtes SQL suivantes sur le propre moteur de la base de données appelante (dans ce cas les deux paramètres utilisateur et motdepasse sont requis mais peuvent être laissés vides). 2. Une chaîne vide ("") ouvre un dialogue de connexion standard permettant de se connecter manuellement à la source de données. Si vous souhaitez inclure le code SQL entre deux balises Debut SQL et Fin SQL, vous devrez ajouter un quatrième paramètre * à la commande SQL LOGIN. SQL LOGIN ("IP: ";"utilisateur";"motDePasse";*) Debut SQL SELECT * FROM CD Fin SQL

14 14 Notes : Seules certaines licences dans la gamme de produits 4D ont la possibilité d établir une connexion directe avec une autre application 4D, ou de répondre à une requête en tant que serveur SQL. Consultez la table comparative des licences sur le site Web de 4D. Une seule connexion est autorisée par process. Si vous désirez établir plusieurs connexions simultanées, vous devez créer autant de process que nécessaire. Vous devez démarrer la fonction Serveur SQL du côté serveur. Vous pouvez le faire par la fenêtre d Administration de 4D Server, onglet Serveur SQL : "Démarrer le serveur SQL" ou bien dans les Préférences : "Préférences/SQL/Publication du serveur SQL/Lancer le serveur SQL au démarrage". Pour changer le nom de publication de la base, allez dans "Préférences/Client-Serveur/Réseau/Nom de publication:". Vous pouvez augmenter le niveau de sécurité en cochant l option "Activer SSL" dans la page "Préférences/SQL". N oubliez pas de copier les fichiers key.pem et cert.pem à l endroit suivant : MaBaseDeDonnees/Preferences/SQL/ ("MaBaseDeDonnees" représentant le dossier ou package de la base 4D). SQL pass-through peut aussi servir à appeler des méthodes ou des fonctions : Exemple : TABLEAU TEXTE(monTableau;0) SQL LOGIN("IP: ";"utilisateur";"motDePasse";*) Si (OK=1) Debut SQL SELECT {FN getinfo(id_cd) AS VARCHAR} FROM CD INTO :montableau; Fin SQL Fin de si SQL LOGOUT La méthode getinfo est appelée pour chaque enregistrement présent dans la sélection construite par la requête SELECT. Le tableau texte montableau est rempli par des chaînes concaténées à partir d informations extraites de l enregistrement CD. Notez comment une variable 4D est référencée dans du code SQL grâce à la syntaxe ':' (ou aussi <<montableau>>). Voici le code de la méthode getinfo (dont l option "Disponible via SQL" a été activée dans la fenêtre de propriétés de la méthode) : C_ENTIER LONG($1) CHERCHER([CD];[CD]ID_CD=$1) $0:=[CD]Titre+" "+[CD]Interprete+" "+[CD]Description Veuillez noter qu il n existe aucun contexte ni aucun enregistrement courant dans la méthode appelée. Si vous souhaitez gérer "l enregistrement courant correspondant au contexte de la requête SQL du côté de 4D, il vous appartient de charger celui-ci en passant son numéro d identifiant comme paramètre à la méthode appelée comme dans l exemple ci-dessus. Si vous souhaitez n exécuter la méthode qu une fois, il vous suffit d utiliser la clause LIMIT dans la requête : Debut SQL SELECT {FN getinfo(id_cd) AS VARCHAR} FROM CD LIMIT 1 INTO :montableau; Fin SQL

15 15 SQL pass-through et la sécurité SQL pass-through est compatible avec SSL. La communication via SQL pass-through peut donc être protégée. Côté serveur, la méthode base "Sur authentification SQL, si elle a été définie, est appelée lors de l ouverture de la connexion. De plus, les schémas, fonctionnalité apparue en version 11.3, autorisent le contrôle d accès de façon standard à un jeu de tables. Une table ne peut être assignée qu à un (et un seul) schéma. Cette opération est réalisée en mode Développement ou par une commande SQL. Les utilisateurs et les groupes 4D reçoivent des privilèges d accès à chaque schéma (lecture-seule, lecture-écriture, ou tous droits). Ces droits sont attribués ou modifiés par des commandes SQL. Enfin seules les méthodes 4D dont la propriété "Disponible via SQL a été cochée peuvent être invoquées. Bénéfices de SQL pass-through SQL pass-through est rapide. SQL pass-through se connecte directement en mode multithread préemptif au moteur de base de données. SQL Pass-through est une solution connectée/avec maintien de session SQL pass-through accepte l utilisation de transactions dans la base de données SQL pass-through supporte les types 4D natifs (pas de transtypage). Un mode sécurisé est disponible pour les connexions SQL pass-through (grâce à l usage de certificats SSL). Inconvénients de SQL pass-through SQL pass-through est une solution puissante, mais elle nécessite un effort initial pour maîtriser le langage SQL. Tout comme avec ODBC, le "client" doit savoir à priori comment accéder à la structure interne de la base de données du "serveur". Ceci implique que vous devez exposer votre modèle de données. Il n y a pas de possibilité d abstraction des données. Un couplage fort est imposé. La version 11.3 améliore cet état de fait en proposant l utilisation de schémas, qui permettent de masquer certaines parties du modèle en fonction des droits de l utilisateur. SQL pass-through n utilise pas de port standard.

16 16 Principales caractéristiques de SQL pass-through Critère Type de protocole Mode Securité (transport, authentification) Securité (autorisations) Possibilité de se connecter à 4D monoposte Compatible avec autres/anciennes versions de 4D Description Protocole orienté données Maintien de session Oui (optionnel avec SSL) Oui (privilèges d accès contrôlés par schémas) Oui (usage restreint selon la licence) Non Protocole basé sur SQL Pass-trough

17 17 SOAP/Web Services Généralités sur les Web Services Acronyme Nom complet Description Lien SOAP Simple Object Access Protocol (1 ) Protocole d échange d informations à base de messages WSDL Web Services Description Language Langage de description de Web services UDDI Universal Description, Discovery, and Integration Spécifications pour les services d annuaires (comme les pages jaunes ) ou les Web services Dans le cadre du présent document, nous resterons centrés sur SOAP, qui peut être utilisé sans les deux autres technologies, même si WSDL est le plus souvent associé à la fonction de découverte. SOAP est un protocole basé sur XML, qui s utilise généralement sur HTTP ou HTTPS. Dans l implémentation au sein de 4D, SOAP est exclusivement utilisable sur HTTP et HTTPS. L objet de ce protocole est d échanger des messages de données structurées tout en décrivant la propre structure des messages et des erreurs SOAP. La structure basique d un message SOAP est l enveloppe : A l intérieur de l enveloppe, un élément "Corps" contient l information décrivant la procédure distante qui est invoquée ainsi que les paramètres qui seront envoyés ou reçus. SOAP propose des types de données standardisés. Les tableaux de données sont supportés. Une requête SOAP est envoyée dans une requête http POST. Il existe deux types de messages SOAP : RPC et DOC. Le style RPC est le plus simple à implémenter entre deux applications 4D car il est basé sur des paramètres typés. A l inverse, le style DOC est utilisé pour l échange de documents XML structurés. Cette distinction n affecte absolument pas le type de données échangées mais simplement la façon dont elles sont encapsulées dans le message. 1 A l origine SOAP signifiait "Simple Object Access Protocol", puis il a été traduit par "Service Oriented Architecture Protocol", mais ces acronymes ont été abandonnés depuis la version 1.2 de SOAP car ils étaient considérés comme source de confusion. Depuis la version 1.2, SOAP n est plus un acronyme.

18 18 Description d une séquence requête/réponse SOAP Il est important de comprendre ce qui se produit lorsqu est appelée la commande APPELER WEB SERVICE. Voici la description de ce processus :

19 19 Contenu d un message SOAP La taille de l enveloppe est fixe mais celle du corps dépend grandement de la complexité (et de la quantité) des données transférées. L en-tête XML (dont la fonction est de formater les données du corps d une façon standard) peut, dans certains cas, générer un fort ratio signal/bruit (par comparaison avec un simple protocole brut ou binaire). Ceci est particulièrement vrai par exemple pour transférer des tableaux. Par exemple, un tableau d entiers de 66 lignes sera transféré comme suit : <SOAP-ENC:Array id="ref-1" SOAP-ENC:arrayType="xsd:int[66]"> <item1>1</item1> <item2>2</item2>... <item65>65</item65> <item66>66</item66> </SOAP-ENC:Array> Heureusement, le XML se compresse très facilement (voir ci-après). La compression permet d accélérer le temps de transfert, mais pas d améliorer le temps de traitement de la génération ou du parsing du corps du message. Optimisation de SOAP entre deux applications 4D 4D v11.3 offre une nouvelle fonctionnalité qui peut être activée pour comprimer les données en utilisant l algorithme standard Deflate. Cette option permet d accélérer le transfert d informations SOAP entre deux applications 4D. Elle s active à partir du client SOAP, grâce à la commande FIXER OPTION WEB SERVICE : FIXER OPTION WEB SERVICE (Web Service Compression HTTP; Web Service Compression Deflate) APPELER WEB SERVICE (...) Cette option doit être activée pour chaque utilisation de la commande APPELER WEB SERVICE (et avant ladite commande). Elle est remise à la valeur par défaut (pas de compression) après chaque appel. Ceci permet d activer l option selon les besoins précis. Par exemple, elle sera activée pour un service dont la bande passante et limitée (Internet ou WAN) et désactivée si la bande passante n est pas limitée (réseau de type LAN). Par défaut, aucune compression HTTP n est effectuée. La compression se sera possible que si les deux applications 4D sont compatibles avec cette fonctionnalité (c est-à-dire égale ou supérieure à 11.3) La compression peut être optimisée pour vos besoins en utilisant deux nouveaux paramètres de la base de données (depuis 4D v 11.3). Ces paramètres peuvent s ajuster sur le serveur et/ou le client (avec des valeurs différentes). Ils s appliquent à toutes les requêtes et les réponses SOAP. Le premier paramètre est le taux de compression : -1 : automatique (meilleur compromis) 1 : plus rapide (moins exigeant en CPU/plus rapide, moins de compression/volume de données plus grand) 9 : plus compressé (plus exigeant en CPU/moins rapide, plus de compression/volume de données plus faible) Le niveau de compression par défaut est 1 (plus rapide) FIXER PARAMETRE BASE (Niveau de compression HTTP; -1) FIXER PARAMETRE BASE (Niveau de compression HTTP; 1) FIXER PARAMETRE BASE (Niveau de compression HTTP; 5) FIXER PARAMETRE BASE (Niveau de compression HTTP; 9)

20 20 Le deuxième nouveau paramètre est le seuil de compression. Il permet d éviter de comprimer de trop petits paquets. La notion de «petitesse» est définie grâce au seuil. En-dessous du seuil, le paquet ne sera pas compressé. Au-dessus du seuil, les paquets seront compressés. Le seuil par défaut est de 1024 octets. FIXER PARAMETRE BASE (Seuil de compression HTTP; 2048) Toujours en ce qui concerne l optimisation, SOAP, travaillant sur la couche http, bénéficie de toutes les améliorations propres au serveur HTTP interne. C est le cas par exemple pour la fonctionnalité Keep-alive comme nous le verrons plus bas. SOAP et la sécurité L authentification peut être contrôlée par la méthode de base "Sur authentification Web". Depuis 4D v11.2 le mode "digest" est admis pour l authentification SOAP. Dans les versions précédentes, seul le mode "basique" était supporté. Le mode Digest offre un plus haut niveau de sécurité étant donné que l authentification est réalisée par un procédé à sens unique appelé "hachage", qui rend le contenu impossible à déchiffrer. Cependant l authentification Digest est une fonction HTTP 1.1 et n est pas compatible avec tous les navigateurs. Depuis 4D v11.3 il est possible d effectuer une authentification SOAP sur un Web Service situé derrière un proxy. Ceci illustre la volonté de 4D de continuer à améliorer l implémentation de SOAP dans ses versions successives. SOAP peut être utilisé sur HTTPS. La communication SOAP est dans ce cas totalement protégée. L authentification peut être vérifiée avec SSL. Sur le serveur, dans la méthode de base "Sur authentification Web", la fonction Connexion Web securisee peut servir à détecter si la connexion a été effectuée en SSL. L autorisation (le contrôle des accès à tels objets ou telles données pour un utilisateur donné) doit être implémentée dans la logique métier du serveur. Ceci est acceptable étant donné que la solution est "orientée service" de toutes façons. L accès aux méthodes, via SOAP, est contrôlé par l option "Offerte comme Web Service" (dans la fenêtre "Propriétés de la méthode"). La publication automatique de la WSDL peut également être activée/désactivée dans le même dialogue. Bénéfices de SOAP SOAP est un standard de l industrie ouvert. Il est possible (et sûr) d utiliser SOAP pour échanger des données entre différentes versions de 4D. SOAP est un protocole intelligible et intuitif (basé sur XML) et donc facile à déboguer. Des outils tels que des sniffers HTTP peuvent vous aider à tester vos services. SOAP est très simple à mettre en œuvre (grâce à l "Assistant de Web Services" qui génère automatiquement le code requis pour appeler le Web Service). Il ne faut que quelques minutes pour mettre en place un Web Service parfaitement fonctionnel entre deux applications 4D, sans aucun besoin de gérer les détails internes du protocole.

Notes de mise à jour. 4D v11 SQL Release 2 (11.2) Notes de mise à jour

Notes de mise à jour. 4D v11 SQL Release 2 (11.2) Notes de mise à jour Notes de mise à jour 4D v11 SQL Release 2 (11.2) Notes de mise à jour 2 Découvrez ci-dessous les principales fonctionnalités de 4D Server v11 SQL et 4D v11 SQL Release 2 (11.2). Pour plus de détails consultez

Plus en détail

Notes de mise à jour. 4D v11 SQL Release 3 (11.3) Notes de mise à jour

Notes de mise à jour. 4D v11 SQL Release 3 (11.3) Notes de mise à jour Notes de mise à jour 4D v11 SQL Release 3 (11.3) Notes de mise à jour 2 Découvrez ci-dessous les principales fonctionnalités de 4D v11 SQL Release 3 (11.3). Pour plus de détails consultez l addendum v11.3

Plus en détail

Mettre en place un accès sécurisé à travers Internet

Mettre en place un accès sécurisé à travers Internet Mettre en place un accès sécurisé à travers Internet Dans cette partie vous verrez comment configurer votre serveur en tant que serveur d accès distant. Dans un premier temps, les méthodes pour configurer

Plus en détail

Préconisations Techniques & Installation de Gestimum ERP

Préconisations Techniques & Installation de Gestimum ERP 2015 Préconisations Techniques & Installation de Gestimum ERP 19/06/2015 1 / 30 Table des Matières Préambule... 4 Prérequis matériel (Recommandé)... 4 Configuration minimum requise du serveur (pour Gestimum

Plus en détail

4D v11 SQL BREAKING THE LIMITS * Les nouveautés

4D v11 SQL BREAKING THE LIMITS * Les nouveautés BREAKING THE LIMITS * *Dépasser les limites 4D v11 SQL Les nouveautés SQL natif intégré Nouveau moteur de base de données ultra-performant Productivité de développement inégalée Architecture Universal

Plus en détail

Tutorial Terminal Server sous

Tutorial Terminal Server sous Tutorial Terminal Server sous réalisé par Olivier BOHER Adresse @mail : xenon33@free.fr Site Internet : http://xenon33.free.fr/ Tutorial version 1a Page 1 sur 1 Index 1. Installation des services Terminal

Plus en détail

Exécution de PCCOMPTA à distance sous Terminal Server 2003.

Exécution de PCCOMPTA à distance sous Terminal Server 2003. Développement de logiciels de gestion Exécution de PCCOMPTA à distance sous Terminal Server 2003. PCCOMPTA SOUS REMOTE DESKTOP CONNECTION Mai 2011. Exécution de PCCOMPTA SOUS Windows 2003 SERVER PCCOMPTA

Plus en détail

Hébergement de sites Web

Hébergement de sites Web Hébergement de Solutions complètes et évolutives pour l hébergement de sites Web dynamiques et de services Web sécurisés. Fonctionnalités Serveur Web Apache hautes performances Apache 1. et.0 1 avec prise

Plus en détail

UltraBackup NetStation 4. Guide de démarrage rapide

UltraBackup NetStation 4. Guide de démarrage rapide UltraBackup NetStation 4 Guide de démarrage rapide Table des matières 1 Fonctionnalités... 3 1.1 Ce qu UltraBackup NetStation permet de faire... 3 1.2 Ce qu UltraBackup NetStation ne permet pas de faire...

Plus en détail

Sécurisation du réseau

Sécurisation du réseau Sécurisation du réseau La sécurisation du réseau d entreprise est également une étape primordiale à la sécurisation générale de votre infrastructure. Cette partie a pour but de présenter les fonctionnalités

Plus en détail

Guide d administration de Microsoft Exchange ActiveSync

Guide d administration de Microsoft Exchange ActiveSync Guide d administration de Microsoft Exchange ActiveSync Copyright 2005 palmone, Inc. Tous droits réservés. palmone, HotSync, Treo, VersaMail et Palm OS sont des marques commerciales ou déposées dont palmone,

Plus en détail

Tous les autres noms de produits ou appellations sont des marques déposées ou des noms commerciaux appartenant à leurs propriétaires respectifs.

Tous les autres noms de produits ou appellations sont des marques déposées ou des noms commerciaux appartenant à leurs propriétaires respectifs. Apache, Mod_proxy et 4D Par Timothy PENNER, Technical Services Team Member, 4D Inc. Note technique 4D-201003-05-FR Version 1 - Date 1 mars 2010 Résumé Cette note technique porte sur l utilisation du serveur

Plus en détail

Les Architectures Orientées Services (SOA)

Les Architectures Orientées Services (SOA) Les Architectures Orientées Services (SOA) Ulrich Duvent Guillaume Ansel Université du Littoral Côte d Opale 50, Rue Ferdinand Buisson BP 699 62228 Calais Cedex Téléphone (33) 03.21.46.36.92 Télécopie

Plus en détail

FileMaker Server 14. Guide de démarrage

FileMaker Server 14. Guide de démarrage FileMaker Server 14 Guide de démarrage 2007-2015 FileMaker, Inc. Tous droits réservés. FileMaker, Inc. 5201 Patrick Henry Drive Santa Clara, Californie 95054 FileMaker et FileMaker Go sont des marques

Plus en détail

STATISTICA Version 12 : Instructions d'installation

STATISTICA Version 12 : Instructions d'installation STATISTICA Version 12 : Instructions d'installation STATISTICA Entreprise Server Remarques : 1. L'installation de STATISTICA Entreprise Server s'effectue en deux temps : a) l'installation du serveur et

Plus en détail

Configuration du nouveau Bureau Virtuel (BV) collaboratif de Lyon I

Configuration du nouveau Bureau Virtuel (BV) collaboratif de Lyon I Configuration du nouveau Bureau Virtuel (BV) collaboratif de Lyon I Date : 13 octobre 2009 / Auteur : David ROMEUF / Version : 1.1 / Diffusion : Utilisateurs Table des matières Cas 1 : un poste MS-Windows

Plus en détail

MANUEL D INSTALLATION

MANUEL D INSTALLATION Data Processing Commission Fast Advanced Software for Table soccer - v 1.0 Logiciel de gestion de tournoi de football de table MANUEL D INSTALLATION INSTALLATION INFORMATIQUE DE LA TABLE DE MARQUE & CONFIGURATION

Plus en détail

Fiche Technique Windows Azure

Fiche Technique Windows Azure Le 25/03/2013 OBJECTIF VIRTUALISATION mathieuc@exakis.com EXAKIS NANTES Identification du document Titre Projet Date de création Date de modification Fiche Technique Objectif 25/03/2013 27/03/2013 Windows

Plus en détail

FileMaker Server 14. Aide FileMaker Server

FileMaker Server 14. Aide FileMaker Server FileMaker Server 14 Aide FileMaker Server 2007-2015 FileMaker, Inc. Tous droits réservés. FileMaker, Inc. 5201 Patrick Henry Drive Santa Clara, Californie 95054 FileMaker et FileMaker Go sont des marques

Plus en détail

FileMaker Pro 13. Utilisation d une Connexion Bureau à distance avec FileMaker Pro 13

FileMaker Pro 13. Utilisation d une Connexion Bureau à distance avec FileMaker Pro 13 FileMaker Pro 13 Utilisation d une Connexion Bureau à distance avec FileMaker Pro 13 2007-2013 FileMaker, Inc. Tous droits réservés. FileMaker, Inc. 5201 Patrick Henry Drive Santa Clara, Californie 95054

Plus en détail

LES ACCES ODBC AVEC LE SYSTEME SAS

LES ACCES ODBC AVEC LE SYSTEME SAS LES ACCES ODBC AVEC LE SYSTEME SAS I. Présentation II. SAS/ACCESS to ODBC III. Driver ODBC SAS IV. Driver ODBC SAS Universel V. Version 8 VI. Références I. Présentation Introduction ODBC, qui signifie

Plus en détail

Manuel du logiciel PrestaTest.

Manuel du logiciel PrestaTest. Manuel du logiciel. Ce document décrit les différents tests que permet le logiciel, il liste également les informations nécessaires à chacun d entre eux. Table des matières Prérequis de PrestaConnect :...2

Plus en détail

Network Shutdown Module V3 Extension du Manuel Utilisateur pour architecture Virtualisée Virtual Server de Microsoft

Network Shutdown Module V3 Extension du Manuel Utilisateur pour architecture Virtualisée Virtual Server de Microsoft Network Shutdown Module V3 Extension du Manuel Utilisateur pour architecture Virtualisée Virtual Server de Microsoft Virtual Server 2005 R2 Network Shutdown Module Système Principal (hôte) Virtual Server

Plus en détail

Messagerie asynchrone et Services Web

Messagerie asynchrone et Services Web Article Messagerie asynchrone et Services Web 1 / 10 Messagerie asynchrone et Services Web SOAP, WSDL SONT DES STANDARDS EMERGEANT DES SERVICES WEB, LES IMPLEMENTATIONS DE CEUX-CI SONT ENCORE EN COURS

Plus en détail

UE 8 Systèmes d information de gestion Le programme

UE 8 Systèmes d information de gestion Le programme UE 8 Systèmes d information de gestion Le programme Légende : Modifications de l arrêté du 8 mars 2010 Suppressions de l arrêté du 8 mars 2010 Partie inchangée par rapport au programme antérieur Indications

Plus en détail

Sage CRM. 7.2 Guide de Portail Client

Sage CRM. 7.2 Guide de Portail Client Sage CRM 7.2 Guide de Portail Client Copyright 2013 Sage Technologies Limited, éditeur de ce produit. Tous droits réservés. Il est interdit de copier, photocopier, reproduire, traduire, copier sur microfilm,

Plus en détail

NiceLabel pour Services Microsoft Windows Terminal Serveur et Citrix MetaFrame

NiceLabel pour Services Microsoft Windows Terminal Serveur et Citrix MetaFrame www.nicelabel.fr info@nicelabel.fr NiceLabel pour Services Microsoft Windows Terminal Serveur et Citrix MetaFrame White Paper Version 20051114-06-FR 2005 Euro Plus. Tous droits réservés. http://www.nicelabel.fr

Plus en détail

WEB & DÉVELOPPEMENT LES BASES DU WEB LE LANGAGE HTML FEUILLES DE STYLES CSS HISTORIQUE D INTERNET ET DU WEB LES DIFFÉRENTS LANGAGES

WEB & DÉVELOPPEMENT LES BASES DU WEB LE LANGAGE HTML FEUILLES DE STYLES CSS HISTORIQUE D INTERNET ET DU WEB LES DIFFÉRENTS LANGAGES WEB & DÉVELOPPEMENT LES BASES DU WEB HISTORIQUE D INTERNET ET DU WEB LES DIFFÉRENTS LANGAGES LE LANGAGE HTML STRUCTURE D UNE PAGE En-tête et corps Syntaxe INSÉRER DES CONTENUS Texte : formatage (titre,

Plus en détail

Recommandations techniques

Recommandations techniques Recommandations techniques Sage 30 Génération i7 Sage 100 Génération i7 1 Introduction 4 Contenu de ce manuel 4 Déclinaison des offres 4 Configuration matérielle et logicielle 5 Configuration postes clients

Plus en détail

Guide de Démarrage Rapide

Guide de Démarrage Rapide 1 Guide de Démarrage Guide de Démarrage Laplink Software, Inc. Pour toute question concernant le support technique, rendez-vous au site : www.laplink.com/fr/support Pour tout autre renseignement, voir

Plus en détail

Introduction à. Oracle Application Express

Introduction à. Oracle Application Express Introduction à Oracle Application Express Sommaire Qu est-ce que Oracle Application Express (APEX)? Vue d ensemble des fonctionnalités et des différents composants d Oracle APEX Démonstration de création

Plus en détail

SQL Server Installation Center et SQL Server Management Studio

SQL Server Installation Center et SQL Server Management Studio SQL Server Installation Center et SQL Server Management Studio Version 1.0 Grégory CASANOVA 2 SQL Server Installation Center et SQL Server Management Studio [03/07/09] Sommaire 1 Installation de SQL Server

Plus en détail

Guide SQL Server 2008 pour HYSAS

Guide SQL Server 2008 pour HYSAS Guide SQL Server 2008 pour HYSAS Sommaire 1- Lancement de l exécutable 3 2- Paramétrage pour des postes clients 11 3- Paramétrage Windows 13 4- Création de l installation avec Visor 24 1- Lancement de

Plus en détail

FileMaker Server 11. Publication Web personnalisée avec XML et XSLT

FileMaker Server 11. Publication Web personnalisée avec XML et XSLT FileMaker Server 11 Publication Web personnalisée avec XML et XSLT 2007-2010 FileMaker, Inc. Tous droits réservés. FileMaker, Inc. 5201 Patrick Henry Drive Santa Clara, Californie 95054 FileMaker est une

Plus en détail

Personnaliser le serveur WHS 2011

Personnaliser le serveur WHS 2011 Chapitre 17 Personnaliser le serveur WHS 2011 Windows Home Server 2011 peut être personnalisé en ajoutant différentes fonctionnalités au logiciel. Comme pour Windows Server 2008 R2 dont Windows Home Server

Plus en détail

Cours CCNA 1. Exercices

Cours CCNA 1. Exercices Cours CCNA 1 TD3 Exercices Exercice 1 Enumérez les sept étapes du processus consistant à convertir les communications de l utilisateur en données. 1. L utilisateur entre les données via une interface matérielle.

Plus en détail

Windows Internet Name Service (WINS)

Windows Internet Name Service (WINS) Windows Internet Name Service (WINS) WINDOWS INTERNET NAME SERVICE (WINS)...2 1.) Introduction au Service de nom Internet Windows (WINS)...2 1.1) Les Noms NetBIOS...2 1.2) Le processus de résolution WINS...2

Plus en détail

Manuel du client de bureau distant de KDE

Manuel du client de bureau distant de KDE Manuel du client de bureau distant de KDE Brad Hards Urs Wolfer Traduction française : Joëlle Cornavin Traduction française : Yann Neveu Relecture de la documentation française : Ludovic Grossard 2 Table

Plus en détail

Chapitre 1 Windows Server 2008 11

Chapitre 1 Windows Server 2008 11 Chapitre 1 Windows Server 2008 11 1.1. Les fondations du système... 15 1.2. La virtualisation... 16 1.3. La sécurité... 18 1.4. Le Web... 20 1.5. Fonctionnalité disponible dans Windows Server 2008... 21

Plus en détail

Installation Client (licence réseau) de IBM SPSS Modeler 14.2

Installation Client (licence réseau) de IBM SPSS Modeler 14.2 Installation Client (licence réseau) de IBM SPSS Modeler 14.2 Les instructions suivantes permettent d installer IBM SPSS Modeler Client version 14.2 en utilisant un licence réseau. Ce présent document

Plus en détail

Sauvegarde des données d affaires de Bell Guide de démarrage. Vous effectuez le travail Nous le sauvegarderons. Automatiquement

Sauvegarde des données d affaires de Bell Guide de démarrage. Vous effectuez le travail Nous le sauvegarderons. Automatiquement Sauvegarde des données d affaires de Bell Guide de démarrage Vous effectuez le travail Nous le sauvegarderons. Automatiquement Guide De Démarrage Introduction...2 Configuration Minimale Requise...3 Étape

Plus en détail

Réplication de données de classe entreprise pour environnements distribués et reprise sur sinistre

Réplication de données de classe entreprise pour environnements distribués et reprise sur sinistre Réplication de données de classe entreprise pour environnements distribués et reprise sur sinistre La tendance actuelle vers une conception distribuée de l entreprise, avec des agences, des centres de

Plus en détail

Serveur FTP. 20 décembre. Windows Server 2008R2

Serveur FTP. 20 décembre. Windows Server 2008R2 Serveur FTP 20 décembre 2012 Dans ce document vous trouverez une explication détaillé étapes par étapes de l installation du serveur FTP sous Windows Server 2008R2, cette présentation peut être utilisée

Plus en détail

FORMATION PcVue. Mise en œuvre de WEBVUE. Journées de formation au logiciel de supervision PcVue 8.1. Lieu : Lycée Pablo Neruda Saint Martin d hères

FORMATION PcVue. Mise en œuvre de WEBVUE. Journées de formation au logiciel de supervision PcVue 8.1. Lieu : Lycée Pablo Neruda Saint Martin d hères FORMATION PcVue Mise en œuvre de WEBVUE Journées de formation au logiciel de supervision PcVue 8.1 Lieu : Lycée Pablo Neruda Saint Martin d hères Centre ressource Génie Electrique Intervenant : Enseignant

Plus en détail

Guide Utilisateur. Edition Mars 2012. Agenda. E-mails. Evènements. Synchroniser avec les identités de gestion, de. Messagerie interne. Post-it.

Guide Utilisateur. Edition Mars 2012. Agenda. E-mails. Evènements. Synchroniser avec les identités de gestion, de. Messagerie interne. Post-it. Edition Mars 2012 Agenda E-mails Evènements Synchroniser avec les identités de gestion, de syndic, de transaction Messagerie interne Post-it Notes Statistiques Guide Utilisateur Prenez le temps de lire

Plus en détail

Formation en Logiciels Libres. Fiche d inscription

Formation en Logiciels Libres. Fiche d inscription République Tunisienne Ministère de l'industrie et la Technologie - Secrétariat d'état de la Technologie Unité des Logiciels Libres Formation en Logiciels Libres Fiche d inscription (Une fiche par candidat)

Plus en détail

«clustering» et «load balancing» avec Zope et ZEO

«clustering» et «load balancing» avec Zope et ZEO IN53 Printemps 2003 «clustering» et «load balancing» avec Zope et ZEO Professeur : M. Mignot Etudiants : Boureliou Sylvain et Meyer Pierre Sommaire Introduction...3 1. Présentation générale de ZEO...4

Plus en détail

4D v11 SQL Release 5 (11.5) ADDENDUM

4D v11 SQL Release 5 (11.5) ADDENDUM ADDENDUM Bienvenue dans la release 5 de 4D v11 SQL. Ce document présente les nouveautés et modifications apportées à cette nouvelle version du programme. Prise en charge de nouvelles plates-formes La release

Plus en détail

Java et les bases de données: JDBC: Java DataBase Connectivity SQLJ: Embedded SQL in Java. Michel Bonjour http://cuiwww.unige.

Java et les bases de données: JDBC: Java DataBase Connectivity SQLJ: Embedded SQL in Java. Michel Bonjour http://cuiwww.unige. : JDBC: Java DataBase Connectivity SQLJ: Embedded SQL in Java Michel Bonjour http://cuiwww.unige.ch/~bonjour Plan JDBC: API bas niveau pour l accès aux BD (SQL) - Introduction - JDBC et : Java, ODBC, SQL

Plus en détail

Manuel d utilisation du logiciel de messagerie personnelle Palm VersaMail 2.5

Manuel d utilisation du logiciel de messagerie personnelle Palm VersaMail 2.5 Manuel d utilisation du logiciel de messagerie personnelle Palm VersaMail 2.5 Copyright 2003 Palm, Inc. Tous droits réservés. Graffiti, HotSync, MultiMail, le logo Palm, PalmModem et Palm OS sont des marques

Plus en détail

Supplément de renseignements : Examens d applications et pare-feux d applications web clarifiés Normes : Normes en matière de sécurité des données de

Supplément de renseignements : Examens d applications et pare-feux d applications web clarifiés Normes : Normes en matière de sécurité des données de Supplément de renseignements : Examens d applications et pare-feux d applications web clarifiés Normes : Normes en matière de sécurité des données de la PCI (PCI DSS) Version : 1.2 Date : Octobre 2008

Plus en détail

Manuel de l utilisateur

Manuel de l utilisateur 1 Laplink Software, Inc. Manuel de l utilisateur Service clientèle/support technique : Web : http://www.laplink.com/fr/support E-mail : CustomerService@laplink.fr Tel (USA) : +1 (425) 952-6001 Fax (USA)

Plus en détail

UserLock Quoi de neuf dans UserLock? Version 8.5

UserLock Quoi de neuf dans UserLock? Version 8.5 UserLock Quoi de neuf dans UserLock? Version 8.5 Table des Matières 1. UserLock Version 8... 3 1.1. Le Statut utilisateur, un nouvel indicateur de risque... 3 1.2. Des alertes en temps réel contre les

Plus en détail

Système Principal (hôte) 2008 Enterprise x64

Système Principal (hôte) 2008 Enterprise x64 Network Shutdown Module V3 Extension du Manuel Utilisateur pour architecture Virtualisée avec : Hyper-V 6.0 Manager Hyper-V Server (R1&R2) de Microsoft Hyper-V 6.0 Network Shutdown Module Système Principal

Plus en détail

FICHE PRODUIT COREYE CACHE Architecture technique En bref Plateforme Clients Web Coreye Cache applicative Références Principe de fonctionnement

FICHE PRODUIT COREYE CACHE Architecture technique En bref Plateforme Clients Web Coreye Cache applicative Références Principe de fonctionnement COREYE CACHE Solution d absorption de charge pour une disponibilité et une performance optimales des applications Web En bref Architecture technique La plateforme Coreye Cache délivre la majeure partie

Plus en détail

Base de Connaissances SiteAudit. Utiliser les Rapports Planifiés. Sommaire des Fonctionnalités. Les Nouveautés

Base de Connaissances SiteAudit. Utiliser les Rapports Planifiés. Sommaire des Fonctionnalités. Les Nouveautés Base de Connaissances SiteAudit Utiliser les Rapports Planifiés Avril 2010 Dans cet article: Sommaire des fonctionnalités Les nouveautés Planifier des rapports SiteAudit 4.0 fournit une nouvelle interface

Plus en détail

Manuel de l utilisateur. Soft-phone - Client VoIP 3CX Version 6.0

Manuel de l utilisateur. Soft-phone - Client VoIP 3CX Version 6.0 Manuel de l utilisateur Soft-phone - Client VoIP 3CX Version 6.0 Copyright 2006-2008, 3CX Ltd. http:// E-mail: info@3cx.com Les informations contenues dans ce document sont sujettes à modifications sans

Plus en détail

Urbanisme du Système d Information et EAI

Urbanisme du Système d Information et EAI Urbanisme du Système d Information et EAI 1 Sommaire Les besoins des entreprises Élément de solution : l urbanisme EAI : des outils au service de l urbanisme 2 Les besoins des entreprises 3 Le constat

Plus en détail

CONTACT EXPRESS 2011 ASPIRATEUR D EMAILS

CONTACT EXPRESS 2011 ASPIRATEUR D EMAILS CONTACT EXPRESS 2011 ASPIRATEUR D EMAILS MANUEL D UTILISATION Logiciel édité par la société I. PREAMBULE a) Avant propos... 3 b) Support... 3 c) Interface d accueil... 4 à 5 d) Interface de Recherche...

Plus en détail

2. MAQUETTAGE DES SOLUTIONS CONSTRUCTIVES. 2.2 Architecture fonctionnelle d un système communicant. http://robert.cireddu.free.

2. MAQUETTAGE DES SOLUTIONS CONSTRUCTIVES. 2.2 Architecture fonctionnelle d un système communicant. http://robert.cireddu.free. 2. MAQUETTAGE DES SOLUTIONS CONSTRUCTIVES 2.2 Architecture fonctionnelle d un système communicant Page:1/11 http://robert.cireddu.free.fr/sin LES DÉFENSES Objectifs du COURS : Ce cours traitera essentiellement

Plus en détail

Les nouveautés d AppliDis Fusion 4 Service Pack 3

Les nouveautés d AppliDis Fusion 4 Service Pack 3 Les nouveautés d AppliDis Fusion 4 Service Pack 3 Systancia Publication : Novembre 2013 Résumé La nouvelle version AppliDis Fusion 4 Service Pack 3 ajoute des fonctionnalités nouvelles au produit AppliDis.

Plus en détail

TUTORIEL RADIUS. I. Qu est-ce que RADIUS? II. Création d un groupe et d utilisateur

TUTORIEL RADIUS. I. Qu est-ce que RADIUS? II. Création d un groupe et d utilisateur TUTORIEL RADIUS Dans ce tutoriel nous allons voir, comment mettre en place une borne wifi avec un protocole RADIUS. Pour cela, vous aurez besoin : - d un serveur Windows 2012 - d un Active Directory -

Plus en détail

Services bancaires par Internet aux entreprises. Guide pratique pour : Rapports de solde Version 8.05.22

Services bancaires par Internet aux entreprises. Guide pratique pour : Rapports de solde Version 8.05.22 Services bancaires par Internet aux entreprises Guide pratique pour : Rapports de solde Version 8.05.22 Table des matières Avez-vous besoin d aide?... 3 Exigences informatiques... 4 Navigateurs acceptés...

Plus en détail

Utilisation de KoXo Computers V2.1

Utilisation de KoXo Computers V2.1 Version 2.1.0.0 / Mai 2013 Page 2/45 Sommaire 1 Présentation... 4 2 Configuration des stations... 4 2. 1 Démarche manuelle (non conseillée)... 4 2. 2 Démarche automatique par les stratégies de groupe (conseillée)...

Plus en détail

Contrôleur de communications réseau. Guide de configuration rapide DN1657-0606

Contrôleur de communications réseau. Guide de configuration rapide DN1657-0606 K T - N C C Contrôleur de communications réseau Guide de configuration rapide DN1657-0606 Objectif de ce document Ce Guide de configuration rapide s adresse aux installateurs qui sont déjà familiers avec

Plus en détail

Mise en œuvre d une Gateway HTTP/HTTPS avec un serveur de Présentation en DMZ

Mise en œuvre d une Gateway HTTP/HTTPS avec un serveur de Présentation en DMZ Fiche technique AppliDis Mise en œuvre d une Gateway HTTP/HTTPS avec un serveur de Présentation en DMZ Fiche IS00198 Version document : 4.01 Diffusion limitée : Systancia, membres du programme Partenaires

Plus en détail

Guide de Démarrage. Introduction... 2 Scénarios pour l utilisation de votre procloud@ocim.ch... 2 Scénarios à venir :... 2

Guide de Démarrage. Introduction... 2 Scénarios pour l utilisation de votre procloud@ocim.ch... 2 Scénarios à venir :... 2 Guide de Démarrage Introduction... 2 Scénarios pour l utilisation de votre... 2 Scénarios à venir :... 2 Accès à vos données depuis un navigateur internet... 3 Démarrage... 3 Explorez votre nouvel environnement...

Plus en détail

Présentation de la solution Open Source «Vulture» Version 2.0

Présentation de la solution Open Source «Vulture» Version 2.0 Présentation de la solution Open Source «Vulture» Version 2.0 Advens IST Day 15 septembre 2011 http://www.vultureproject.org 1 s/apache/mod_perl/ LE PROJET VULTURE Advens IST Day 15 septembre 2011 http://www.vultureproject.org

Plus en détail

Système de vidéosurveillance Guide de configuration

Système de vidéosurveillance Guide de configuration Guide de configuration Introduction Les technologies de vidéosurveillance ne sont plus considérées comme «nouvelles» de nos jours, puisque l on enregistre et archive des vidéos depuis maintenant de nombreuses

Plus en détail

CARPE. Documentation Informatique S E T R A. Version 2.00. Août 2013. CARPE (Documentation Informatique) 1

CARPE. Documentation Informatique S E T R A. Version 2.00. Août 2013. CARPE (Documentation Informatique) 1 CARPE (Documentation Informatique) 1 CARPE Version 2.00 Août 2013 Documentation Informatique S E T R A Programme CARPE - Manuel informatique de l'utilisateur CARPE (Documentation Informatique) 2 Table

Plus en détail

D une part, elles ne peuvent faire table rase de la richesse contenue dans leur système d information.

D une part, elles ne peuvent faire table rase de la richesse contenue dans leur système d information. PACBASE «Interrogez le passé, il répondra présent.». Le Module e-business Les entreprises doivent aujourd hui relever un triple défi. D une part, elles ne peuvent faire table rase de la richesse contenue

Plus en détail

Symantec Backup Exec 12.5 for Windows Servers. Guide d'installation rapide

Symantec Backup Exec 12.5 for Windows Servers. Guide d'installation rapide Symantec Backup Exec 12.5 for Windows Servers Guide d'installation rapide 13897290 Installation de Backup Exec Ce document traite des sujets suivants: Configuration requise Conditions préalables à l'installation

Plus en détail

FileMaker Pro 12. Utilisation d une Connexion Bureau à distance avec FileMaker Pro 12

FileMaker Pro 12. Utilisation d une Connexion Bureau à distance avec FileMaker Pro 12 FileMaker Pro 12 Utilisation d une Connexion Bureau à distance avec FileMaker Pro 12 2007-2012 FileMaker, Inc. Tous droits réservés. FileMaker, Inc. 5201 Patrick Henry Drive Santa Clara, California 95054

Plus en détail

18 TCP Les protocoles de domaines d applications

18 TCP Les protocoles de domaines d applications 18 TCP Les protocoles de domaines d applications Objectifs 18.1 Introduction Connaître les différentes catégories d applications et de protocoles de domaines d applications. Connaître les principaux protocoles

Plus en détail

Table des matières PRESENTATION DU LANGAGE DS2 ET DE SES APPLICATIONS. Introduction

Table des matières PRESENTATION DU LANGAGE DS2 ET DE SES APPLICATIONS. Introduction PRESENTATION DU LANGAGE DS2 ET DE SES APPLICATIONS Depuis SAS 9.2 TS2M3, SAS propose un nouveau langage de programmation permettant de créer et gérer des tables SAS : le DS2 («Data Step 2»). Ces nouveautés

Plus en détail

Guide de configuration. Logiciel de courriel

Guide de configuration. Logiciel de courriel Guide de configuration Logiciel de courriel Août 2013 Table des matières 1. Logiciels de courriel Mac 1.1 Télécharger, installer et mettre à niveau Microsoft Outlook (Utilisateurs du Courriel Affaires

Plus en détail

Documentation Liste des changements apportés

Documentation Liste des changements apportés Version 4.1.000 Documentation Liste des changements apportés C2 Innovations 2010 Table des matières À LA VERSION 4.1... 4 NOUVEAU PRE REQUIS POUR L INSTALLATION DE C2... 4 FERMER LA SESSION D UN UTILISATEUR

Plus en détail

B-web V4 MANUEL D UTILISATION. Espace de travail. Clear2Pay Belgium SA B-web V4 Manuel d Utilisation: Espace de travail

B-web V4 MANUEL D UTILISATION. Espace de travail. Clear2Pay Belgium SA B-web V4 Manuel d Utilisation: Espace de travail B-web V4 MANUEL D UTILISATION Espace de travail Document: BWeb V4 Workspace v1.0 - VF.doc Version: 1.0 Date de révision: 08/11/2007 Clear2Pay Belgium SA Avenue Eugène Plasky, 157 B 1030 Brussels Belgium

Plus en détail

Installation d un serveur HTTP (Hypertext Transfer Protocol) sous Débian 6

Installation d un serveur HTTP (Hypertext Transfer Protocol) sous Débian 6 Installation d un serveur HTTP (Hypertext Transfer Protocol) sous Débian 6 1 BERNIER François http://astronomie-astrophotographie.fr Table des matières Installation d un serveur HTTP (Hypertext Transfer

Plus en détail

Créer et partager des fichiers

Créer et partager des fichiers Créer et partager des fichiers Le rôle Services de fichiers... 246 Les autorisations de fichiers NTFS... 255 Recherche de comptes d utilisateurs et d ordinateurs dans Active Directory... 262 Délégation

Plus en détail

avast! EP: Installer avast! Small Office Administration

avast! EP: Installer avast! Small Office Administration avast! EP: Installer avast! Small Office Administration Comment installer avast! Small Office Administration? avast! Small Office Administration est une console web qui permet la gestion a distance de

Plus en détail

4D Web 2.0 Pack DATA LIVES HERE. TM. Internet Riche et Solutions Mobiles en toute simplicité. 4D Ajax Framework 4D Ajax for Dreamweaver 4D for Flex

4D Web 2.0 Pack DATA LIVES HERE. TM. Internet Riche et Solutions Mobiles en toute simplicité. 4D Ajax Framework 4D Ajax for Dreamweaver 4D for Flex DATA LIVES HERE. TM 4D Web 2.0 Pack Internet Riche et Solutions Mobiles en toute simplicité 4D Ajax Framework 4D Ajax for Dreamweaver 4D for Flex *Faites vivre vos données 4D Web 2.0 Pack fournit aux développeurs

Plus en détail

Serveurs de noms Protocoles HTTP et FTP

Serveurs de noms Protocoles HTTP et FTP Nils Schaefer Théorie des réseaux (EC3a) Serveurs de noms Protocoles HTTP et FTP Théorie des réseaux (EC3a) Séance 7 Pourquoi DNS? Internet est une structure hiérarchique et arborescente de réseaux et

Plus en détail

Keyyo Guide de mise en service CTI / API / TAPI Keyyo

Keyyo Guide de mise en service CTI / API / TAPI Keyyo Keyyo Guide de mise en service CTI / API / TAPI Keyyo Keyyo Opération & Support http://www.keyyo.fr/fr/support/expert.php Version 1.0.7 Sommaire 1 Portée du document... 3 2 Introduction à la configuration...

Plus en détail

MANUEL D INSTALLATION DE WATCHDOC 2011 (EVALUATION)

MANUEL D INSTALLATION DE WATCHDOC 2011 (EVALUATION) MANUEL D INSTALLATION DE WATCHDOC 2011 (EVALUATION) SOMMAIRE AVANT PROPOS... 3 PRÉSENTATION FONCTIONNELLE WATCHDOC... 4 APERÇU DU MANUEL... 5 INTRODUCTION... 5 CONTACTER DOXENSE... 5 PRÉPARER L INSTALLATION...

Plus en détail

Atelier Le gestionnaire de fichier

Atelier Le gestionnaire de fichier Chapitre 12 Atelier Le gestionnaire de fichier I Présentation Nautilus est un gestionnaire de fichiers pour l environnement de bureau Gnome. Il offre toutes les fonctions de gestion de fichier en local

Plus en détail

PROCÉDURE D AIDE AU PARAMÉTRAGE

PROCÉDURE D AIDE AU PARAMÉTRAGE PROCÉDURE D AIDE AU PARAMÉTRAGE SOMMAIRE Futur a fait évoluer son service de messagerie professionnel Futur Office. Le présent document va vous accompagner pas à pas vers la récupération de vos divers

Plus en détail

Manuel Utilisateur Version 1.6 Décembre 2001

Manuel Utilisateur Version 1.6 Décembre 2001 Manuel Utilisateur Version 1.6 Décembre 2001 Table des matières TABLE DES MATIERES 2 PRESENTATION 4 À PROPOS DU FORMAT PDF 4 PDFMAIL : L ASSOCIATION DU FORMAT PDF ET DE L EMAIL 4 PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT

Plus en détail

Administration de systèmes

Administration de systèmes Administration de systèmes Windows NT.2000.XP.2003 Copyright IDEC 2002-2004. Reproduction interdite. Sommaire... 2 Eléments logiques et physiques du réseau... 5 Annuaire et domaine... 6 Les utilisateurs

Plus en détail

Business Process Execution Language

Business Process Execution Language Business Process Execution Language Rapport du projet de systèmes distribués d information Markus Lindström 6 mai 2009 Motivation personnelle Le sujet que j ai retenu et présenté dans le cadre du cours

Plus en détail

Manuel du Desktop Sharing

Manuel du Desktop Sharing Brad Hards Traduction française : Ludovic Grossard Traduction française : Damien Raude-Morvan Traduction française : Joseph Richard 2 Table des matières 1 Introduction 5 2 Le protocole de mémoire de trame

Plus en détail

Comment utiliser mon compte alumni?

Comment utiliser mon compte alumni? Ce document dispose d une version PDF sur le site public du CI Comment utiliser mon compte alumni? Elena Fascilla, le 23/06/2010 Sommaire 1. Introduction... 2 2. Avant de commencer... 2 2.1 Connexion...

Plus en détail

Procédure pas à pas de découverte de l offre. Service Cloud Cloudwatt

Procédure pas à pas de découverte de l offre. Service Cloud Cloudwatt Procédure pas à pas de découverte de l offre Service Cloud Cloudwatt Manuel Utilisateur 03/07/2014 Cloudwatt - Reproduction et communication sont interdites sans autorisation 1/45 Contenu 1. Introduction...

Plus en détail

Sage 100 CRM Guide de l Import Plus avec Talend Version 8. Mise à jour : 2015 version 8

Sage 100 CRM Guide de l Import Plus avec Talend Version 8. Mise à jour : 2015 version 8 Sage 100 CRM Guide de l Import Plus avec Talend Version 8 Mise à jour : 2015 version 8 Composition du progiciel Votre progiciel est composé d un boîtier de rangement comprenant : le cédérom sur lequel

Plus en détail

MANUEL D INSTALLATION D UN PROXY

MANUEL D INSTALLATION D UN PROXY MANUEL D INSTALLATION D UN PROXY Squid, SquidGuard, Dansguardian Dans ce guide on va détailler l installation et la configuration d une solution proxy antivirale en utilisant les outils ; squid, dansguardian,

Plus en détail

GPI Gestion pédagogique intégrée

GPI Gestion pédagogique intégrée Société GRICS GPI Gestion pédagogique intégrée Guide d installation Fonctionnalités Internet GPI 2012 Version mise à jour le 29 janvier 2014 Société GRICS Page 1 de 23 Table des matières PRESENTATION DES

Plus en détail