Angioplastie de l artère iliaque interne et de ses branches chez le patient claudiquant
|
|
- Ariane Brousseau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Angioplastie de l artère iliaque interne et de ses branches chez le patient claudiquant J Baqué, H Jean-Baptiste, F Fornéris, R Hassen Khodja, PJ Bouillane, P Haudebourg, S Declémy, M Batt Service de Radiologie Service de Chirurgie Vasculaire Hôpital Saint Roch CHU Nice
2 Introduction La claudication fessière fait partie des symptômes des lésions occlusives aortoiliaques (syndrome de Leriche)
3 Introduction Cependant, la claudication fessière isolée est rare, et l origine vasculaire est souvent méconnue [1,2] Elle est le plus souvent attribuée à des atteintes : Musculeux tendineuses Ostéo-articulaires Neurologiques
4 Rappels anatomiques Les muscles de la fesse (Glutéus Maximus et Glutéus Médius) sont vascularisés principalement par l artère glutéale supérieure (ou artère fessière) Cette artère est une branche postérieure de l artère iliaque interne. Elle pénètre dans la région fessière en passant entre le muscle pyramidal et le bord supérieur de l échancrure sciatique (canal sus-pyramidal).
5 Rappels anatomiques Canal sus-pyramidal
6 Rappels anatomiques Le canal sus-pyramidal est une pince formée en haut par l échancrure sciatique, en bas par l arcade tendineuse de Bouisson et le muscle piriforme [3]. Artère glutéale supérieure Arcade de bouisson Muscle piriforme
7 Etiopathogénie Les lésions athéromateuses sténosantes de l iliaque interne ou de la glutéale supérieure entraînent un hypodébit à l effort dans les masses musculaires, ce qui entraine une claudication à l effort La sténose de l artère glutéale pourrait parfois s intégrer dans un syndrome canalaire suspyramidal, même si celui-ci est difficile à démontrer cliniquement [4,8].
8 Objectifs de l étude Le traitement endovasculaire des lésions iliaques internes et/ou de l artère glutéale supérieure est décrit depuis 1986 et plusieurs cas cliniques ont été publiés depuis [5-9]. L objectif de cette étude est d évaluer sur un groupe de 14 patients la faisabilité et les résultats à long terme du traitement endovasculaire de ces lésions.
9 Méthodes Critères de sélection Claudication fessière (uni ou bilatérale) Absence de claudication des membres inférieurs Bilan Doppler iliaque primitif, externe et trépied fémoral sans anomalie Bilan ostéo-articulaire normal
10 Matériels De 2003 à patients (13 H, 1 F), Age moyen 69 ans (54-92) FDR cardio-vasculaires (HTA, tabac) Antécédent de chirurgie vasculaire des membres inférieurs (6/14) Tableau clinique : Claudication de fesse (14/14) Unilatérale 6/14 Bilatérale 8/14 Trouble de l érection (2/14)
11 Méthodes Artériographie chez tous les patients Aortographie face, obliques droit et gauche Cathétérisme sélectif des iliaques internes avec 2 incidences obliques Angioplastie Matériel monorail (14/15) Ballon en première intention Recanalisation si occlusion (guide hydrophile droit 0.035) Stenting si mauvais résultat de l angioplastie
12 Bilan artériographique initial OAD 45 OAG 45 Incidences aortique de face puis les deux obliques Bilan lésionnel aorto-iliaque Dégage des ostia des iliaques internes
13 Bilan artériographique initial Occlusion AGS G D Injections sélectives des iliaques internes Occlusion bilatérale des artères glutéales supérieures Reprise de la distalité par la collatéralité venant des ilio-lombaires
14 RESULTATS 14 patients, 32 artères Iliaque primitive n=14 (43%) Sténose n=10 Occlusion n=3 Glutéale sup. n=19 (59%) Sténose n=13 Occlusion n=6 Atteinte bilat. 9 patients
15 RESULTATS Succès technique = 100% Complication = 0% Stent = 6 artères 4 iliaques internes (stent sur ballon) 2 glutales sup (stent autoexpensible) Suivi clinique Suivi moyen 10 mois [1-32] Aggravation 0 patient Récidive 3 patients (21%)
16 Cas n 1 Quelques exemples angioplastie artère iliaque interne Cas n 2 recanalisation iliaque interne Cas n 3 angioplastie artère glutéale supérieure Cas n 4 recanalisation artère glutéale supérieure
17 Cas n 1 Angioplastie iliaque interne Angioplastie-stenting (6-18mm) d une sténose ostium artère iliaque interne droite. Sténoses de l artère glutéale supérieure traitées par ballon au décours
18 Cas n 2 Recanalisation iliaque interne Recanalisation par ballon 5-40mm d une occlusion de l iliaque interne. Bon résultat initial sans stent
19 Cas n 3 Angioplastie artère glutéale Angioplastie ballon 3-30mm artère glutéale supérieure, voie controlatérale
20 Cas n 4 Recanalisation artère glutéale Recanalisation par ballon 3-30mm d une occlusion de la glutéale supérieure. Bon résultat initial sans stent
21 DISCUSSION Le traitement endovasculaire est à proposer en première intention: technique simple, peu de complication Les résultats à 10 mois de suivi moyen sont bons 3/14 patients ont récidivé (2 recanalisations sans pose de stent) Quelle est la place du stenting? L artère glutéale supérieure passe dans un canal ostéomusculaire Doit-on placer un stent dans ces artères de petit calibre?
22 DISCUSSION Le bilan vasculaire initial est souvent négatif (palpation des pouls, echo-doppler) Doit on proposer un examen complémentaire afin d évaluer les iliaques internes et ses branches : Mesure de la TcPo2 [10] Écho-Doppler des artères fessières [11] angio-scanner ou une angio-irm L artériographie et le cathétérisme sélectif reste la référence
23 CONCLUSION La symptomatologie est souvent méconnue et doit être recherchée (rythme vasculaire de la claudication) L écho-doppler négatif n élimine pas le diagnostic Une imagerie complémentaire est à étudier Le traitement endovasculaire est simple et présente de bons résultats
24 BIBLIOGRAPHIE 1. Berthelot JM, Piller JC, Mitard D, Chevalet-Muller F, Planchon B, Maugars Y Claudication fessière du fait d une thrombose à la naissance de l artère glutéale supérieure: un cas diagnostiqué seulement sur l artériographie sélective de l iliaque interne, puis guéri par la pose d un stent par voie transcutanée. Revue du rhumatisme 2007; 74: Lequesne M, Zaoui A. Misleading hip or buttock pain: proximal arteritis or lumbar spinal stenosi. Presse Mad 2006; 35: Bouillane PJ, Batt M, Hassen-Khodja R, Declemy S, Pittaluga P. Anatomic bases for compression of the superior gluteal artery at the level of the gluteal canal. Surg Radiol Anat 1999; 21: Diop M, Parratte B, Tatu L, Vuillier F, Faure A, Monnier G. Anatomical bases of superior gluteal nerve entrapment syndrome in the suprapyriformis forman. Surg Radiol Anat 1999;24: Morse SS, Cambria R, Strauss EB, Kim B, Sniderman KW. Transluminal angioplasty of the hypogastric artery for treatment of buttock claudication. Cardiovasc Intervent Radiol 9(1986) Cook AM, Dyet JF. Case report Percutaneous angioplasty of the superior gluteal artery in the treatment of buttock claudication. Clinical Radioloogy 41(1990),63-65
25 BIBLIOGRAPHIE 7. Senechal Q, Auguste M, Louail B, Lagneau P, Pernes JM. Relief of buttock claudication by percutaneous recanalization of an occluded superior glutel artery. Cardiovasc Intervent raiol 23(2000), Batt M, Baqué J, Bouillanne PJ, Hassen-Khodja R, Haudebourg P, Thevenin B. Percutaneous angioplasty of the superior gluteal artery for buttock claudication: A report of seven cases and literature review. J Vasc Surg 2006; 43: Chaer RA, Faries PL, Lin S, Dayal R, McKinsey JF, Kent KC. Successful percutaneous treatment of gluteal claudication secondary to isolated bilateral hypogastric stenoses. J Vasc Surg 2006; 43: Abraham P, Picquet J, Vielle B, Sigaudo-Roussel D, Paisant-Thouveny F, Enon B, et al. Transcutaneous oxygen pressure measurements on the buttock during exercise to detect proximal arterial ischemia: comparaison with arteriography. J Vasc Surg 2005;41: Bruninx G, Salam H, Wery D, Delcour C. Gluteal duplex scan: an effective tool to exclude a vascular disease in buttock or hip pain and a useful complement of lower limb arteries Doppler. J Mal Vasc 2002; 27:12-7
RESTENOSES ENDOSTENTS: 51 PATIENTS
RESTENOSES ENDOSTENTS: 51 PATIENTS A.N. Diop, L. Cassagnes, V. Vo Hoang, A.T. Alfidja, E. Dumousset, A. Ravel, P. Chabrot, L. Boyer. Service de Radiologie B CHU de Clermont-Ferrand INTRODUCTION L angioplastie
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailSurveillance de l opéré vasculaire. DIU d échographie. L examen pré et postinterventionnel. Surveillance du geste de revascularisation
DIU d échographie module vasculaire DESC de médecine vasculaire L examen pré et postinterventionnel Gudrun Böge Médecin Vasculaire CHU de Montpellier-Nîmes Surveillance de l opéré vasculaire Surveillance
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détaililiaque ZENITH abdomina aortique ale) 244 février 2015 : COOK France Demandeur Les modèles Indications retenues : Service Attendu (SA) :
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DEE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 244 février 2015 CONCLUSIONS ZENITH ALPHA SPIRAL Z, jambage abdomina ale) Demandeur : COOK France
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailTraitement carotidien endovasculaire comme protocole préopératoire dans la chirurgie coronaire
Traitement carotidien endovasculaire comme protocole préopératoire dans la chirurgie coronaire Pilar Garrido, Heliodoro Vallés*, Ibrahin Nassar, Ramiro De La Llana, Jorge Lopez*, Mª Teresa Rodrigo- Bello*,
Plus en détailMarche normale et marche pathologique
Marche normale et marche pathologique Pr. JM Viton, Dr. L. Bensoussan, Dr. V. de Bovis Milhe, Dr. H. Collado, Pr. A. Delarque Faculté de Médecine, Université de la Méditerranée, Fédération de Médecine
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailFarzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV
Nouveautés dans le diagnostique et le traitement de la maladie coronaire du dialysé Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France Probability of cardiovascular events Mortalité
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailLa maladie de Takayasu
La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Takayasu. Elle ne se substitue
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailLa mesure de la réserve coronaire
Revues Générales Qu est-ce que la FFR? Comment l utiliser? réalités Cardiologiques # 291_Janvier/Février 2013 Résumé : La mesure de la réserve coronaire (FFR : Fractional Flow Reserve) s est imposée depuis
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailCoronarographie : Matériel, optimisation de l image, incidences de base, aspect angiographique des coronaires. Dr Pierre Meyer
Coronarographie : Matériel, optimisation de l image, incidences de base, aspect angiographique des coronaires Dr Pierre Meyer Institut Arnault Tzanck Saint Laurent du Var Plan du cours 1. Introduction
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailMÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE
MÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE Mai 2004 Service Évaluation Technologique - 1 - Pour recevoir la liste des publications de l Anaes, il vous suffit d envoyer vos coordonnées à l adresse
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détailCONTROVERSES en chirurgie de la hanche. C. Schwartz Conflit d intérêt: FH Orthopedics Colmar
CONTROVERSES en chirurgie de la hanche C. Schwartz Conflit d intérêt: FH Orthopedics Colmar Une invention française Gilles Bousquet CHU de Saint-Etienne - Jean Rieu, Professeur à l Ecole des Mines de Saint-Etienne
Plus en détailLes dissections des artères cervicocéphaliques représentent environ 20 %
REVUES GENERALES Neurologie G. MELIKSETYAN, H. HOSSEINI Service de Neurologie, Unité des Soins Intensifs Neurovasculaires, CHU Henri Mondor, CRETEIL. Manipulations cervicales et risque de dissection vertébrale
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailDr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger
Dr N. BOUCHAOUR,Dr L.STOF, Pr B.MANSOURI Service d Imagerie Médicale CHU Beb-el-Oued Alger *Malgré les progrès de dialyse, la transplantation rénale demeure le meilleur choix thérapeutique de l insuffisance
Plus en détailImputabilité de la frange synoviale huméro-radiale dans l épicondylalgie latérale de coude
Nantes, Congrès de la Société d Orthopédie de l Ouest 2015 Imputabilité de la frange synoviale huméro-radiale dans l épicondylalgie latérale de coude D Utruy A, Tarissi N, Potage D, Siedlecki C, Auquit-Auckbur
Plus en détailVertiges et étourdissements :
: comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailLe compte rendu de scanner et d IRM du cœur. DIU Imagerie CV 2007
Le compte rendu de scanner et d IRM du cœur DIU Imagerie CV 2007 Importance de la communication Interface entre secrétariats de radiologie et de cardiologie Adaptation du schéma proposé par l ESC (07/06)
Plus en détailTraitement Percutané des Rétrécissements Aortiques : Evaluation TDM Avant et Après Procédure
Nathalie Pirot * Jérôme Caudron * Jeannette Fares * Hélène Eltchaninoff Alain Cribier Jean-Nicolas Dacher * Traitement Percutané des Rétrécissements Aortiques : Evaluation TDM Avant et Après Procédure
Plus en détailContention Veineuse chez la Femme Enceinte
IVème Journée d Actualités Interdisciplinaires en Gynécologie Obstétrique Hémostase et Anesthésie Avec le soutien du Groupe d Etudes sur l Hémostase et la Thrombose (GEHT) et la Société Française de Médecine
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailSe préparer à une angiographie artérielle
Se préparer à une angiographie artérielle Table des matières Sujet Page Qu est-ce que l athérosclérose?... 1 Durcissement graduel des artères (athérosclérose)... 2 Pourquoi dois-je subir une angiographie
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailMODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE
Collège des Enseignants en Radiologie de France MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Paris, 3 et 4 Février 2015 PROTECTION DES OPERATEURS EN RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE
Plus en détailROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE:
ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE: FAISABILITÉ ET PERSPECTIVES FUTURES Fabien THAVEAU, Nabil CHAKFE, Jean-Georges KRETZ Service de Chirurgie Vasculaire, Strasbourg INTRODUCTION CHIRURGIE MINI-INVASIVE: but:
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailPrise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale
Prise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale Ould Ouali.A, Amari.A, Lyazidi.O, Benbetka.L, Lakrouf.F, Rachedi.M MPR-HMUS-Staoueli 3eme congrès de la
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Mars 2007 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2 avenue
Plus en détailLA VIE APRES VOTRE INFARCTUS
Hôpital Privé d Antony LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Livret d information Hôpital Privé d Antony - OPC/KINE/268 Page 1 sur 5 Intervenants Rédigé par : C.DUPUY M.CERISIER Masseur Kinésithérapeute Masseur
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD
PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD Douleurs du post-partum : Douleurs cicatricielles (déchirures ou épisio) Dyspareunies orificielles
Plus en détailDocteur, est-ce que je fais une phlébite? Alain Beaumier
Docteur, est-ce que je fais une phlébite? Alain Beaumier Trois patients qui vous consultent à votre cabinet ou à l urgence craignent d avoir une thrombophlébite. O M me Lafrance, 52 ans et adepte de la
Plus en détailItem : Souffle cardiaque chez l'enfant
Item : Souffle cardiaque chez l'enfant Collège des Enseignants de Cardiologie et Maladies Vasculaires Date de création du document 2011-2012 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Généralités...
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailAccidents cardiaques chez les athlètes de 35 à60ans
Accidents cardiaques chez les athlètes de 35 à60ans Karl Cernovitch Alex C. Samak Jay Brophy MD, PhD, Mark Goldberg PhD Hôpital Royal Victoria Division d'épidémiologie clinique C est arrivé à un Pro. Pourquoi
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailNEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE
NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE D r Eric OUHAYOUN Service de Médecine Nucléaire - P r J.P. Esquerré CHU Purpan Toulouse - France Néphrogramme isotopique Principe :
Plus en détailDirection générale de l offre de soin
Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailProgramme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse
Programme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse Mardi 24 janvier2012 au vendredi 27 janvier 2012 Informations générales Intervenants Dr
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailHospital Anxiety and Depression Scale (HADS)
dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailSéquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI
Séquence maladie: insuffisance cardiaque Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Janvier 2012 Finalité de l atelier: Présentation de la séance Cette séance a pour buts de vous permettre
Plus en détailANNEXE A : CERTIFICAT D ASSURANCE
ANNEXE A : CERTIFICAT D ASSURANCE Assurance maladie grave collective en vertu de la Police collective 90341 POLICE COLLECTIVE : 90341 émise à Services le Choix du Président inc. RÉDUCTIONS EN RAISON DE
Plus en détailTraumatismes pelviens
Traumatismes pelviens Baptiste Vallé Desc Mu Nov 2012 GENERALITES Traumatismes fréquents, graves, violents et générés à haute énergie: Polytraumatisme: AVP, chute de grande hauteur Pronostic vital en jeu
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailService d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3
Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,
Plus en détailGuide des définitions des maladies graves
Guide des définitions des maladies graves Assurance maladies graves Sun Life La vie est plus radieuse sous le soleil Guide des définitions des maladies graves Ce guide vous aidera à comprendre les maladies,
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailL IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.
L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailRééducation des accidents vasculaires cérébraux
Module «Système nerveux central et MPR» Septembre 2008 Rééducation des accidents vasculaires cérébraux G. Rode, S. Jacquin-Courtois, A. Yelnik Ce document est le support des cours «AVC» faits lors de la
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détail