Compte rendu d une expérience L'interférence proactive en mémoire à court terme et son relâchement
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- Florence Forget
- il y a 7 ans
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1 Compte rendu d une expérience L'interférence proactive en mémoire à court terme et son relâchement 1. Introduction (présentation du cadre théorique) La mémoire à court terme (MCT) est considérée comme un système de stockage temporaire avec unecapacitélimitéeà7+ou 2chunks. La durée de vie des informations dans ce système de mémoire est très brève (environ 20 secondes), lorsque l'on empêche l'autorépétition mentale. Lorsqu on empêche l'autorépétition, les informations stockées en MCT disparaissent rapidement. L'information en MCT est évanescente. Une des caractéristiques importantes de la MCT semble donc être l'oubli. Question : comment expliquer le fait que les informations se perdent aussi rapidement au niveau de la MCT? Pour expliquer l'oubli en MCT, les chercheurs ont identifié deux processus à savoir l'oubli par estompage (déclin de la trace mnésique avec le temps) et l'oubli par interférence dû la capacité limitée de la MCT. L'oubli par estompage serait provoqué par l'écoulement du temps : l'allongement du délai temporel qui sépare la présentation d'un item de son rappel serait responsable de l'affaiblissement de sa trace mnésique de l'information traitée, autrement dit, il y aurait un accroissement du taux d oubli au fur et à mesure que le temps s écoule. Pour tester cette hypothèse, Brown (1958) et Peterson et Peterson (1959) ont réalisé une étude qui consiste à présenter à des sujets une séquence de consonnes (par exemple, «RKX») ; cette présentation très brève qui dure environ 1 seconde est suivie d abord d un délai (intervalle de rétention) pouvant aller de 1 à 30 secondes puis d une tâche de restitution (oralement) de la séquence de consonne. Durant ce délai de 1 à 30, les sujets effectuent une tâche de décomptage qui est censée supprimer l autorépétition en MCT. Dans cette tâche, encore appelée tâche Brown-Peterson, le pourcentage de rappel correct diminue régulièrement au fur et à mesure de l'allongement du délai entre la présentation des items et leur rappel. Après 18 secondes, l'information a pratiquement disparu de la MCT (cf. courbes ci-dessous). En d'autres termes, il y a un accroissement du taux d'oubli au fur et à mesure que le temps s'écoule. Ce résultat a été interprété comme appuyant l'existence d'un oubli dans la MCT causé par l'estompage. Ce serait le passage du temps qui serait responsable de l'estompage de la trace mnésique. TD-psy-gnle-dg2-CR-d expce 1
2 Délai temporel (en secondes) % rappel % de rappel correct en fonction du délai entre la présentation des items et leur rappel (d après Peterson et Peterson, 1959). % d'oubli en fonction du délai entre la présentation des items et leur rappel (d'après Perterson et Peterson (1959) 100 % d'oubli % d'oubli Délai temporel (en secondes) Pourcentage d'oubli en fonction du délai entre la présentation des items et leur rappel (d'après Peterson & Peterson, 1959). Cependant, le rôle de l'estompage dans l'oubli à court terme a déjà été mis en doute par les travaux de Keppel et Underwood (1962). En effet, ils ont clairement démontré qu'au premier essai d'une tâche de Brown-Peterson, un délai de dix-huit secondes n'entraîne aucun oubli. Leur hypothèse est que, l oubli en MCT est provoqué par un processus actif d interférence proactive autrement dit, ce sont les items présentés antérieurement qui affectent la capacité du sujet d'effectuer le rappel correct des items présentés à un essai ultérieur. L'interférence proactive, c'est l'effet de détérioration produit par un apprentissage antérieur sur un nouvel apprentissage. TD-psy-gnle-dg2-CR-d expce 2
3 Cette interférence proactive serait fortement influencée par la similarité des items utilisés au cours d un essai à l autre dans une expérience. Wickens & Born & Allen (1963) ont, par la suite, tenté d'analyser les caractéristiques de cette interférence proactive, à travers une tâche de type Brown-Peterson. Leur expérience comporte quatre essais. Les sujets doivent mémoriser des listes de composées de 4 trigrammes de consonnes, comme celles indiquée plus haut. Après 3 essais, les sujets sont répartis en deux groupes équilibrés. Le premier poursuit la tâche avec les consonnes pour le 4 ème essai (groupe A) et le second devait mémoriser des trigrammes de chiffres au 4 ème essai (groupe B). Pour chaque essai et pour chaque groupe, les auteurs calculent le nombre moyen d items rappelés. Ils observent une interférence proactive qui s'installe dès le deuxième essai, et qui s'accentue ensuite jusqu'au 4ème; Mais si au 4ème essai, les consonnes sont remplacées par des chiffres, alors le taux de rappel revient au niveau du premier essai: il y a alors relâchement de l'interférence proactive. Essai 1 Essai 2 Essai 3 Essai 4 Groupe A 3,8 2,9 2,5 0,5 Groupe B 4 2,6 2,3 3,5 Nombre moyen d items rappelés Nombre moyen de consonnes rappelées en fonction de la position de l'essai et du groupe 5 Nombre moyen de rappel correct Essai 1 Essai 2 Essai 3 Essai 4 Groupe A Groupe B Position de l'essai Wickens fait l'hypothèse que tout changement d'ordre sémantique peut produire cet effet de relâchement de l'interférence. C'est cette hypothèse que nous nous proposons de tester. Dans une tâche de type Brown-Peterson, une interférence proactive va s établir au fil des essais, mais si des facteurs d ordre sémantique interviennent dans le phénomène d interférence, alors un changement de catégorie sémantique devrait provoquer un phénomène de relachement de cette interférence. TD-psy-gnle-dg2-CR-d expce 3
4 2. Méthode 2.1. Sujets: X sujets tous des étudiants en Licence 2 de Psychologie, d'une moyenne d'âge de??? ans (écarttype) ont participé à deux expériences inspirées du paradigmes de Brown-Peterson (1959) et de l'expérience de Matériel Pour la première expérience, le matériel utilisé comprend : - une séquence de 9 essais constitués chacun de trois trigrammes listes de trigrammes de consonnes (essai 1 à 4 et essai 9) ou de trois trigrammes de chiffres (essai 5 à 8). - une série de 9 multiplications après chaque essai (exemple 5 x 3 =? - une feuille de réponse pour le report des résultats des calculs et pour le rappel des items. Le matériel utilisé dans l'expérience 2 est semblable à celui de l'expérience 1, sauf en ce qui concerne la nature des items. Il y a également 9 essais, cette foic-ci, constitués chacun d'une liste de quatre de noms de fruits (essai 1 à 4), de noms d'animaux (essai 5 à 8) ou de noms de profession (essai 9). Nous avons également utilisé un vidéoprojecteur pour la présentation des items et un ordinateur portable Procédure (déroulement de l expérience) Deux expériences ont été réalisées Expérience 1 La première expérience est une adaptation de l expérience de Wickens, Born et Allen (1963). Il comporte 9 essais et commence par la lecture de la consigne. Un essai commence par la présentation successive de trois trigrammes (exemples: vfh, 356). Aussitôt après, les sujets doivent répondre par écrit à une série de neuf questions portant sur la multiplication de deux nombres (exemple 3 x 5=?). Ensuite, apparaît à l'écran, le message rappel. A partir de ce moment, les sujets doivent rappeler par écrit et dans n importe quel ordre, les trois trigrammes qui viennent d'être présentés. Ce rappel dure 20 secondes pour rappeler. Au bout des 20 TD-psy-gnle-dg2-CR-d expce 4
5 secondes, un nouveau message attention apparaît accompagné d'un bip sonore pour le 2 ème essai et ainsi de suite jusqu'au 9 ème essai. Tous les sujets sont dans les mêmes conditions, contrairement à l expérience originale Expérience 2 Cette seconde expérience est une adaptation de l expérience de Wickens (1972) avec comme matériel des listes de mots appartenant à une catégorie sémantique donnée. Le déroulement de l'expérience 2 est semblable à celui de l'expérience 1. L'expérience 2 se distingue de l'expérience 1 au niveau du matériel utilisé. Chaque essai est constitué d'une liste de quatre de noms de fruits (essai 1 à 4), de noms d'animaux (essai 5 à 8) ou de noms de profession (essai 9) Les variables et plan d'expérience Expérience 1: VI1: Position de l'essai (à 4 degrés) notée P4. VI2: Nature des items (chiffres, consonnes). Tous les sujets passent dans les différentes conditions expérimentales (Groupes de mesures répétées). Expérience 2: VI1: Position de l'essai (à 4 degrés). VI2: Nature des items (fruits, animaux, profession). Tous les sujets passent dans les différentes conditions expérimentales (Groupes de mesures répétées) Hypothèses opérationnelles: Expérience 1: la présentation successive de 4 essais constitués de trigrammes de consonnes devrait entraîner une diminution progressive du rappel de l'essai 1 à l'essai 4. En revanche, le passage d'un rappel de consonnes à l'essai 4 à un rappel de chiffres à l'essai 5 devrait provoquer une augmentation du nombre d'items rappelés. De même, la similarité des items des essais 5 à 8 constitués uniquement de chiffres devrait entraîner une diminution progressive de nombre d'items au fil de ces essais suivie d'une augmentation importante du nombre d'items rappelés à l'essai 9, en raison du passage d'items chiffres à des items lettres. TD-psy-gnle-dg2-CR-d expce 5
6 Expérience 2: la présentation successive de 4 essais constitués de noms de fruit devrait entraîner une diminution progressive du rappel de l'essai 1 à l'essai 4. En revanche, le passage d'un rappel de noms de fruit à l'essai 4 à un rappel de noms d'animaux à l'essai 5 devrait provoquer une augmentation du nombre d'items rappelés. De même, la similarité des items des essais 5 à 8 constitués uniquement de noms d'animaux devrait entraîner une diminution progressive de nombre d'items au fil de ces essais suivie d'une augmentation importante du nombre d'items rappelés à l'essai 9, en raison du passage d'items fuits à des items de noms de professions. TD-psy-gnle-dg2-CR-d expce 6
7 3. Résultats et analyse : Expérience 1: les analyses portent sur le nombre moyen d'items correctement rappelés. Les données relatives au rappel sont présentées dans le tableau ci-dessous. Essai Nombre 1,25 0,58 0,29 0,7 0,54 1,12 0,25 0,58 0,85 Tableau 1: Nombre moyen d'items rappelés de l'essai 1 à l'essai 9 Nombre moyen de rappels corrects 3 2,5 2 1,5 1 0,5 0 Essai 1 Nombre moyen de rappels corrects au fil des essais Essai 2 Essai 3 Essai 4 Essai 5 Essai 6 Essai 7 Essai 8 Essai 9 Nombre moyen de rappels corrects On observe une diminution globale du nombre moyen d'items correctement rappelés de l'essai 1 à l'essai 4 (indiquer les chiffres) et une diminution de l'essai 4 à l'essai 5 (indiquer les chiffres). On observe ensuite une augmentation du rappel de l'essai 5 à l'essai 6 (indiquer les chiffres) suivie d'un diminution de l'essai 6 à l'essai 7 (indiquer les chiffres) et d'une augmentation de l'essai 7 à l'essai 8 (indiquer les chiffres). Enfin, entre l'essai 8 et l'essai 9, on observe une augmentation du nombre d'items rappelés (indiquer les chiffres). Comme on pouvait s'y attendre, il y a une diminution globale du rappel de l'essai 1 à l'essai 4. En revanche, nous n'avons pas pu observer de diminution nettre de l'essai 5 à l'essai 8. Cependant, nous observons une augmentation du moyen d'éléments rappelés entre les essais 8 et 9. Au regard TD-psy-gnle-dg2-CR-d expce 7
8 de ces éléments, notre 1 ère hypothèse n'est pas vérifiée (éventuellement, on peut dire que notre hypothèse est partiellement vérifiée en étant un peu plus souple). Expérience 2: les analyses portent sur le nombre moyen d'items correctement rappelés. Les données relatives au rappel sont présentées dans le tableau ci-dessous. Essai Nombre 3,7 3,7 3,5 2,8 3,4 3,5 3,6 3,08 3,7 Tableau 2: Nombre moyen d'items rappelés de l'essai 1 à l'essai 9 Ou Nombre moyen de rappels corrects 4 3,5 3 2,5 2 1,5 1 0,5 0 Essai 1 Nombre moyen de rappels corrects au fil des essais Essai 2 Essai 3 Essai 4 Essai 5 Essai 6 Essai 7 Essai 8 Essai 9 Nombre moyen de rappels corrects On observe une diminution du nombre moyen d'items rappelés de l'essai 1 à l'essai 4 (indiquer les chiffres) suivie d'une d'une augmentation du rappel de l'essai 4 à l'essai 5 (indiquer les chiffres). De même, on observe une diminution du nombre moyen d'items rappelés de l'essai 5 à l'essai 8 (indiquer les chiffres) puis une augmentation du rappel de l'essai 8 à l'essai 9 (indiquer les chiffres). Conformément à nos prédictions, il y a une diminution progressive du nombre moyen d'éléments rappel entre les essais 1 à 4 et les essais 5 à 8. En outre, le nombre moyen d'items correctement rappelés au 5 ème essai et au 9 ème essai revient à peu près au même niveau que TD-psy-gnle-dg2-CR-d expce 8
9 celui du 1 er essai. Cette amélioration du rappel coïncide avec le rappel aux essais où il y a eu un changement de catégorie sémantique. 4. Discussion Les données de l'expérience 2 vont dans le sens de l'hypothèse annoncées. Un effet d'interférence proactive se développe au fil des essais et le changement de catégorie sémantique au 5 ème et 9 ème essai provoque un relâchement de cette interférence. Des effets du même ordre ont été obtenus par Wickens (1972) dans des situations variées impliquant un changement de catégorie sémantique. Par exemple, dans des situations de passage d'une langue à une autre, de passage de noms féminins à des noms masculins, de noms abstraits à des noms concrets. Dans toutes ces situations, c'est la signification des items qui est manipulée, et non leurs caractéristiques superficielles (et non les caractéristiques visuelles ou phonétiques). Tout changement d'ordre sémantique peut produire l'effet désiré. Ceci semble indiquer qu'il serait sans doute simpliste de considérer que seuls des traitements de nature superficielle interviennent en MCT. Il pourrait y avoir, dans ces situations d interférence proactive, «intrusion» de la MLT dans la performance à une tâche de rétention à court terme. Pour expliquer ce phénomène, Baddeley (1972) fait l hypothèse que l interférence proactive affecterait les indices utilisés en MLT pour récupérer l information en MCT. Cependant, les données issues de l'epxérience 1 ne vont dans le sens de notre hypothèse. Ce résultat peut être attribuable à des erreurs dans la construction du matériel. En effet, à l'essai 6, la présentation des trigrammes et la tâche de calcul mental ont été inversés. Ce résultat peut également être attribuable à une confusion entre le matériel à retenir et le matériel utilisé dans la tâche de calcul mental. Enfin, il est possible que les tâches de calculs mentaux ne bloquent pas complètement l'autorépétition et que les sujets puissent furtivement procéder à une certaine autorépétition. En fait, il semble que lorsqu'un sujet sait qu'il devra effectuer le rappel immédiat d'items qui lui sont présentés, il tentera de procéder à de l'autorépétition en dépit des tentatives qui peuvent être faites pour l'en empêcher. Il est donc possible que les diverses procédures de contrôle de l'autorépétition, sans l'éliminer complètement, en fassent plutôt varier la quantité. C'est qui a été montré dans une série de travaux menés par Reitman (1971). TD-psy-gnle-dg2-CR-d expce 9
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