Infiniment petit et infiniment grand, les liaisons dangereuses

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Infiniment petit et infiniment grand, les liaisons dangereuses"

Transcription

1 Infiniment petit et infiniment grand, les liaisons dangereuses S. Basa Laboratoire d Astrophysique de Marseille Observatoire des Sciences de l Univers - Institut Pytheas

2

3 La cosmologie, une jeune science!

4 L univers en 1923

5 Edwin Hubble : Edwin Hubble va définitivement sortir les nébuleuses de la Voie Lactée.

6 : E. Hubble découvre dans M31 une Céphéïde de 30 jours de période, 7000 fois plus brillante que le Soleil Hypothèse: les Céphéides de M31 sont identiques à celles observées dans la Galaxie. Conclusion: M31 est à années lumière!

7 La fuite généralisée des galaxies : la Loi de HUBBLE La naissance de la Cosmologie Moderne!

8 Les bases de la Cosmologie Le premier principe énonce qu il y a un sens à envisager une cosmologie scientifique, à parler d un Univers qui ne se réduit pas à la simple accumulation des objets existants, et que cet Univers est intelligible. On postule que les lois physiques sont partout les mêmes: les lois de la gravitation, de l électromagnétisme, de la physique quantique,... sont identiques en tout point de l Univers.

9 Le Principe Cosmologique L Univers présente le même aspect en chacun de ses points, c est-à-dire qu il est homogène et isotrope. Cette homogénéité s énonce sous la forme du Principe Cosmologique.

10 La Relativité Générale de Monsieur A. Einstein. Le cadre mathématique G μν = (8 π G / c 4 ) T μν

11 La Relativité Générale de Monsieur A. Einstein. Le cadre mathématique G μν = (8 π G / c 4 ) T μν

12 Les pères du Modèle Cosmologique A. Friedmann G. Gamow G. Lemaitre

13

14 L Univers en équation Observation: The Universe is expanding Principles: Homogeneous, isotropic Theory: General Relativity Friedman Equation, which governs expansion: H 2 2 a k 2 a 8 G 3 a 3 Ω M + Ω Λ + Ω k = 1 Matter Density Cosmological Constant/ Dark Energy Curvature 13

15 Dans quel Univers vivons-nous?

16 Peser l Univers, pourquoi faire?

17 La partie émergée de l iceberg

18 La partie émergée de l iceberg

19 La partie émergée de l iceberg

20 Eléments lourds: 0.03% Neutrinos: 0.47% Etoiles: 0.5% H et He 4% Energie Noire: 65% Matière Noire: 25%

21 La courbe de rotation des galaxies

22 La courbe de rotation des galaxies

23 Place à la Matière Noire Halo invisible Partie visible Un halo de matière invisible autour de chaque galaxie spirale. Fraction dominante de la masse de la galaxie.

24

25 Eléments lourds: 0.03% Neutrinos: 0.47% Etoiles: 0.5% H et He 4% Energie Noire: 65% Matière Noire: 25%

26

27

28 > 95% INCONNU Eléments lourds: 0.03% Neutrinos: 0.47% Etoiles: 0.5% H et He 4% Energie Noire: 70% Matière Noire: 25%

29 Un Univers en expansion accélérée Notre Univers

30 Why so small? Le problème de l énergie noire et de l énergie du vide Expectation: ~ M P 3 P l c orders of magnitudes larger then the observed value! Why now? Matter: ρ R -3 Vacuum Energy: ρ = constant

31

32 L avenir du futur...

33 Mais attention aux interprétations trop hâtives!!!

34 Mais attention aux interprétations trop hâtives!!!

35 Savoir rester modeste!

36 Savoir rester modeste!

37 Savoir rester modeste!

38 Savoir rester modeste!

39

Les objets très lointains

Les objets très lointains Les objets très lointains Lorsque les étoiles sont proches il est possible de mesurer la distance qui nous en sépare par une méthode dite abusivement directe, la trigonométrie, qui permet de déduire les

Plus en détail

Comment dit-on qu'une étoile est plus vieille qu'une autre ou plus jeune qu'une autre?

Comment dit-on qu'une étoile est plus vieille qu'une autre ou plus jeune qu'une autre? Comment dit-on qu'une étoile est plus vieille qu'une autre ou plus jeune qu'une autre? Comment peut-on donner un âge à l'univers? Dans l'univers, il y a beaucoup de choses : des étoiles, comme le Soleil...

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

Les moyens d observations en astronomie & astrophysique

Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L

Plus en détail

MOND avec ou sans matière noire

MOND avec ou sans matière noire MOND avec ou sans matière noire Luc Blanchet Institut d Astrophysique de Paris, GRECO, 98 bis boulevard Arago, 75014 Paris, France Françoise Combes Observatoire de Paris, LERMA, 61 avenue de l Observatoire,

Plus en détail

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie

Plus en détail

Quelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand

Quelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand Quelques liens entre l'infiniment petit et l'infiniment grand Séminaire sur «les 2» au CNPE (Centre Nucléaire de Production d'électricité) de Golfech Sophie Kerhoas-Cavata - Irfu, CEA Saclay, 91191 Gif

Plus en détail

Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies

Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies Ariane Lançon (Observatoire de Strasbourg) en collaboration avec: Jean-Luc Vergely,

Plus en détail

Si la source se rapproche alors v<0 Donc λ- λo <0. La longueur d onde perçue est donc plus petite que si la source était immobile

Si la source se rapproche alors v<0 Donc λ- λo <0. La longueur d onde perçue est donc plus petite que si la source était immobile Red shift or blue shift, that is the question. a) Quand une source d onde se rapproche d un observateur immobile, la longueur d onde λ perçue par l observateur est-elle plus grande ou plus petite que λo

Plus en détail

Seconde Sciences Physiques et Chimiques Activité 1.3 1 ère Partie : L Univers Chapitre 1 Correction. Où sommes-nous?

Seconde Sciences Physiques et Chimiques Activité 1.3 1 ère Partie : L Univers Chapitre 1 Correction. Où sommes-nous? Où sommes-nous? Savoir où nous sommes dans l Univers est une question fondamentale à laquelle les scientifiques de toutes les époques ont apporté des réponses, grâce aux moyens qui étaient les leurs. Pour

Plus en détail

Le satellite Gaia en mission d exploration

Le satellite Gaia en mission d exploration Département fédéral de l économie, de la formation et de la recherche DEFR Secrétariat d Etat à la formation, à la recherche et à l innovation SEFRI Division Affaires spatiales Fiche thématique (16.12.2013)

Plus en détail

Pourquoi la nuit est-elle noire? Le paradoxe d Olbers et ses solutions

Pourquoi la nuit est-elle noire? Le paradoxe d Olbers et ses solutions Festival de Fleurance, août 2008 Pourquoi la nuit est-elle noire? Jean-Marc Lévy-Leblond, Université de Nice «Cette obscure clarté qui tombe des étoiles» Corneille, Le Cid Document Le paradoxe d Olbers

Plus en détail

Le monde fascinant des galaxies

Le monde fascinant des galaxies Le monde fascinant des galaxies Introduction Au XVIIIe siècle, l'anglais Thomas Wright étudie la Voie lactée et montre que le Soleil se trouve à l'intérieur d'un disque plat constitué d'étoiles: c'est

Plus en détail

Simulations hydrodynamiques relativistes de la phase émission rémanente dans les GRB. Séminaire au L.U.Th, Observatoire de Paris

Simulations hydrodynamiques relativistes de la phase émission rémanente dans les GRB. Séminaire au L.U.Th, Observatoire de Paris Simulations hydrodynamiques relativistes de la phase émission rémanente dans les GRB Zakaria Meliani Séminaire au L.U.Th, Observatoire de Paris Janvier 2007 Les grandes lignes de la présentation Les propriétés

Plus en détail

Exo-planètes, étoiles et galaxies : progrès de l'observation

Exo-planètes, étoiles et galaxies : progrès de l'observation Collège de France Chaire d Astrophysique Observationnelle Exo-planètes, étoiles et galaxies : progrès de l'observation Cous à Paris les mardis de Janvier et Mars cours à Marseille le 20 Février, à Nice

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Université de Caen. Relativité générale. C. LONGUEMARE Applications version 2.0. 4 mars 2014

Université de Caen. Relativité générale. C. LONGUEMARE Applications version 2.0. 4 mars 2014 Université de Caen LMNO Relativité générale C. LONGUEMARE Applications version.0 4 mars 014 Plan 1. Rappels de dynamique classique La force de Coulomb Le principe de moindre action : lagrangien, hamiltonien

Plus en détail

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par

Plus en détail

THEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES.

THEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES. THEME 3. L UNIVERS CHAP 2. LES SPECTRES MESSAGES DE LA LUMIERE DES ETOILES. 1. LES SPECTRES D EMISSION. 1.1. SPECTRES CONTINUS D ORIGINE THERMIQUE. Spectres d émission successifs d un corps porté à des

Plus en détail

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément

Plus en détail

Ondes gravitationnelles de basses fréquences et relativité

Ondes gravitationnelles de basses fréquences et relativité Ondes gravitationnelles de basses fréquences et relativité numérique Jérôme Novak LUTH : Laboratoire de l Univers et de ses THéories CNRS / Université Paris 7 / Observatoire de Paris F-92195 Meudon Cedex,

Plus en détail

Notre galaxie, la Voie lactée

Notre galaxie, la Voie lactée Chapitre 1 Notre galaxie, la Voie lactée Misha Haywood Au début du XX e siècle, alors que notre galaxie était encore désignée comme un «univers-île», expression forgée par Alexander V. Humboldt, un astronome

Plus en détail

Panorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques

Panorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,

Plus en détail

Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique

Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique J.M. Raimond Université Pierre et Marie Curie Institut Universitaire de France Laboratoire Kastler Brossel Département de

Plus en détail

Voyage autour (et a l inte rieur) d un trou noir

Voyage autour (et a l inte rieur) d un trou noir Voyage autour (et a l inte rieur) d un trou noir Alain Riazuelo Institut d astrophysique de Paris Confe rence de l IAP, 3 janvier 2012 Titre Plan Trous noirs E toiles Relativite Simulations Horizon Conclusion

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

La physique aujourd hui : objet, énigmes et défis

La physique aujourd hui : objet, énigmes et défis O. FASSI-FEHRI - La physique aujour d hui : objet, énigmes et défis 85 La physique aujourd hui : objet, énigmes et défis Omar FASSI-FEHRI (*) 1. Introduction Le sujet dont je vais essayer de vous entretenir

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

Entités de recherche. Centre de Recherche Astrophysique de Lyon CRAL

Entités de recherche. Centre de Recherche Astrophysique de Lyon CRAL Entités de recherche Évaluation du HCERES sur l unité : Centre de Recherche Astrophysique de Lyon CRAL sous tutelle des établissements et organismes : Université Claude Bernard Lyon 1 - UCB École Normale

Plus en détail

Rayonnements dans l univers

Rayonnements dans l univers Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter

Plus en détail

Michel Le Bellac. HAL Id: cel-00092961 https://cel.archives-ouvertes.fr/cel-00092961

Michel Le Bellac. HAL Id: cel-00092961 https://cel.archives-ouvertes.fr/cel-00092961 Relativité générale pour débutants Michel Le Bellac To cite this version: Michel Le Bellac. Relativité générale pour débutants. DEA. 2004. HAL Id: cel-00092961 https://cel.archives-ouvertes.fr/cel-00092961

Plus en détail

FORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE

FORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE Comment une étoile évolue-t-elle? Comment observe-t-on l'évolution des étoiles? Quelques chiffres (âges approximatifs) : Soleil : 5 milliards d'années Les Pléiades : environ 100 millions d'années FORMATION

Plus en détail

FORMATION ECLAIRAGE PUBLIC

FORMATION ECLAIRAGE PUBLIC FORMATION ECLAIRAGE PUBLIC DIR Centre Est Mâcon 22/10/07 1 La norme éclairage NF EN 13 201 Avant : Recommandations AFE : référence pour la profession Février 2005: Application de la norme Éclairage NF

Plus en détail

Retour d expérience en Astrophysique : utilisation du Cloud IaaS pour le traitement de données des missions spatiales

Retour d expérience en Astrophysique : utilisation du Cloud IaaS pour le traitement de données des missions spatiales Retour d expérience en Astrophysique : utilisation du Cloud IaaS pour le traitement de données des missions spatiales Cécile Cavet cecile.cavet at apc.univ-paris7.fr Centre François Arago (FACe), Laboratoire

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

GAIA Dossier d information. Arpenteur de la Galaxie

GAIA Dossier d information. Arpenteur de la Galaxie GAIA Arpenteur de la Galaxie CNES/ILL.D.DUCROS -CNES/E.Grimault, 2013 Sommaire p. 4 p. 6 p. 10 p. 16 p. 18 p. 20 p. 24 p. 22 GAIA 2 En bref Les grandes étapes du programme Gaia Quelques chiffres 1. Les

Plus en détail

a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov

a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov V. Les réactions r thermonucléaires 1. Principes a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov 2. Taux de réactions r thermonucléaires a. Les sections

Plus en détail

La Relativité Générale et ses Applications

La Relativité Générale et ses Applications Relativité Générale et Applications Mai 2011 Cité de l Espace, Toulouse La Relativité Générale et ses Applications M2R Cosmos, Champs et Particules - Montpellier Commissariat à l Energie Atomique CEA -

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière

Plus en détail

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le

Plus en détail

À TOI DE JOUER! VIVRE EN FRANCE L EXPLORATION DE L ESPACE. 1. Observez ces documents et cochez la bonne réponse.

À TOI DE JOUER! VIVRE EN FRANCE L EXPLORATION DE L ESPACE. 1. Observez ces documents et cochez la bonne réponse. A B C 1. Observez ces documents et cochez la bonne réponse. 1. Quel est l argument de tous ces documents? 4. Helios est un film L espace traditionnel La Terre en relief Les avions en noir et blanc 2. Dans

Plus en détail

Chap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE

Chap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE Chap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE Exercice 0 page 9 On considère deux évènements E et E Référentiel propre, R : la Terre. Dans ce référentiel, les deux évènements ont lieu au même endroit. La durée

Plus en détail

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x = LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste

Plus en détail

Explorons la Voie Lactée pour initier les élèves à une démarche scientifique

Explorons la Voie Lactée pour initier les élèves à une démarche scientifique Explorons la Voie Lactée pour initier les élèves à une démarche scientifique Responsables : Anne-Laure Melchior (UPMC), Emmanuel Rollinde (UPMC/IAP) et l équipe EU-HOUMW. Adaptation du travail novateur

Plus en détail

www.machpro.fr : Machines Production a créé dès 1995, le site internet

www.machpro.fr : Machines Production a créé dès 1995, le site internet www.machpro.fr : www.machpro.fr Machines Production a créé dès 1995, le site internet www.machpro.fr destiné à fournir aux lecteurs de la revue et aux mécanautes un complément d'information utile et régulièrement

Plus en détail

Prise en main de la suite HyperWorks 11.0 Dr. Arnaud Delamézière InSIC

Prise en main de la suite HyperWorks 11.0 Dr. Arnaud Delamézière InSIC Prise en main de la suite HyperWorks 11.0 Dr. Arnaud Delamézière InSIC Innovation Intelligence Maître-Assistant Directeur de la Formation de l'école des Mines de Nancy spécialité Ingénierie de la Conception

Plus en détail

LE CATALOGUE MESSIER

LE CATALOGUE MESSIER LE CATALOGUE MESSIER Le Français Charles Messier ( 1730-1817 ), surnommé le furet des comètes par Louis XV, fut l un des plus brillants astronomes de son époque. De nos jours, il est surtout connu pour

Plus en détail

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800

Plus en détail

La magnitude des étoiles

La magnitude des étoiles La magnitude des étoiles 1.a. L'éclat d'une étoile L'éclat d'une étoile, noté E, est la quantité d'énergie arrivant par unité de temps et par unité de surface perpendiculaire au rayonnement. Son unité

Plus en détail

Sur une possible fusion nucléaire quasi-catalytique à basse température

Sur une possible fusion nucléaire quasi-catalytique à basse température Annales de la Fondation Louis de Broglie, Volume 37, 2012 187 Sur une possible fusion nucléaire quasi-catalytique à basse température Georges Lochak Fondation Louis de Broglie 23, rue Marsoulan 75012 Paris

Plus en détail

Notes sur le temps en physique (classique)

Notes sur le temps en physique (classique) Notes sur le temps en physique (classique) Titre : Jean-Philippe Uzan Institut d Astrophysique de Paris Le sujet imposé par Annick était le temps en cosmologie. Ce qu un physicien peut faire, c est parler

Plus en détail

Les équations n ont pas de préjugés

Les équations n ont pas de préjugés Stéphane Durand Professeur de physique Cégep Édouard-Montpetit DossierAstronomie Big Bang, expansion de l'univers, antimatière, trou noir, quarks, quanta. Comment les physiciens ont-ils imaginé ces idées?

Plus en détail

Les galaxies et leur évolution

Les galaxies et leur évolution Michel Willemin Avril 1996 Les galaxies et leur évolution 2 ème partie 9. Les galaxies proches - Le groupe local Question : Que trouve-t-on au-delà de notre disque galactique et de son essaim d amas globulaires

Plus en détail

Lycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC

Lycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC SVOIR Lycée français La Pérouse TS CH P6 L énergie nucléaire Exos BC - Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. - Définir et calculer l'énergie de liaison par nucléon. - Savoir

Plus en détail

Gaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine

Gaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine Gaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine Laboratoire d'astrophysique de Bordeaux Scénario de base Le gaz moléculaire se forme par

Plus en détail

La place de l homme dans l univers. par Trinh Xuan Thuan *

La place de l homme dans l univers. par Trinh Xuan Thuan * La place de l homme dans l univers par Trinh Xuan Thuan * Je voudrais présenter ce sujet en deux volets : le premier s intitulerait «le fantôme de Copernic», montrant comment l homme a rapetissé de plus

Plus en détail

2015 : L Odyssée de la Lumière un voyage dans le cosmos du 17 mars au 30 août 2015 à la Cité des sciences et de l industrie

2015 : L Odyssée de la Lumière un voyage dans le cosmos du 17 mars au 30 août 2015 à la Cité des sciences et de l industrie dossier de presse mars 2015 2015 : L Odyssée de la Lumière un voyage dans le cosmos du 17 mars au 30 août 2015 à la Cité des sciences et de l industrie 2015 est l Année internationale de la lumière. À

Plus en détail

Table des matières. Avant-propos. Chapitre 2 L actualisation... 21. Chapitre 1 L intérêt... 1. Chapitre 3 Les annuités... 33 III. Entraînement...

Table des matières. Avant-propos. Chapitre 2 L actualisation... 21. Chapitre 1 L intérêt... 1. Chapitre 3 Les annuités... 33 III. Entraînement... III Table des matières Avant-propos Remerciements................................. Les auteurs..................................... Chapitre 1 L intérêt............................. 1 1. Mise en situation...........................

Plus en détail

La physique nucléaire et ses applications

La physique nucléaire et ses applications La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension

Plus en détail

La relativité générale est quelquefois considérée

La relativité générale est quelquefois considérée Relativité et interactions fondamentales La relativité générale et la spirale infernale des étoiles binaires compactes La théorie relativiste de la gravitation, très bien vérifiée par les tests classiques

Plus en détail

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du

Plus en détail

Le pâle écho lumineux du Big Bang vu par le satellite Planck

Le pâle écho lumineux du Big Bang vu par le satellite Planck Le pâle écho lumineux du Big Bang vu par le satellite Planck Alain Riazuelo Institut d astrophysique de Paris riazuelo AT iap.fr Gap, 21 août 2014 Préc. Suiv. FS Fin Plan 1. Introduction (rapide!) à la

Plus en détail

La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur!

La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur! La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur! 10-35 Mètre Super cordes (constituants élémentaires hypothétiques de l univers) 10 +26 Mètre Carte des fluctuations du rayonnement thermique

Plus en détail

ASTROPHYSIQUE. Aurélien Barrau et Gaëlle Boudoul sont chercheurs à l Institut des sciences nucléaires de Grenoble (CNRS/université Joseph-Fourier).

ASTROPHYSIQUE. Aurélien Barrau et Gaëlle Boudoul sont chercheurs à l Institut des sciences nucléaires de Grenoble (CNRS/université Joseph-Fourier). ASTROPHYSIQUE EN DEUX MOTS Des trous noirs aussi petits que le noyau d un atome, mais aussi lourds qu une montagne pourraient avoir été créés dans les premières phases de l Univers. Dans les années soixantedix,

Plus en détail

Laboratoire franco-chinois. Physique atomique et moléculaire, optique quantique, information quantique, nano-photonique, métrologie, atomes froids

Laboratoire franco-chinois. Physique atomique et moléculaire, optique quantique, information quantique, nano-photonique, métrologie, atomes froids PHYSIQUE FONDAMENTALE 18 localisation*: physique fondamentale france chine Groupement manipulation quantique d atomes et de photons (QMAP) Physique atomique et moléculaire, optique quantique, information

Plus en détail

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,

Plus en détail

Stabilité et Réactivité Nucléaire

Stabilité et Réactivité Nucléaire Chapitre 1 Stabilité et Réactivité Nucléaire Les expériences, maintes fois répétées, montraient chaque fois que les déflexions subies par les particules chargées en interaction avec les noyaux ne correspondaient

Plus en détail

INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE

INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles

Plus en détail

SYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières

SYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières Physique Générale SYSTEME DE PARTICULES DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) TRAN Minh Tâm Table des matières Applications de la loi de Newton pour la rotation 93 Le gyroscope........................ 93 L orbite

Plus en détail

Bachelor Informatique et Systèmes de Communication

Bachelor Informatique et Systèmes de Communication INFORMATIQUE ET SYSCOM Bachelor Informatique et Systèmes de Communication Prof.E.Telatar,SylvianeDalMas, Cecilia Bigler et Martine Emery 1 SUJETS ABORDÉS Rappel conditions passage en 3 ème Branches de

Plus en détail

Contenu / Content. Rushes Durée/Duration: 21 CNRS Interview de Dario Autiero. Dario Autiero's interview

Contenu / Content. Rushes Durée/Duration: 21 CNRS Interview de Dario Autiero. Dario Autiero's interview Film Plus vite que la lumière? / Faster than Light? Un film de / A film by Luc Ronat, Christophe Gombert Durée / Duration: 4 CNRS Images Contenu / Content Crédit des images additionnelles / Additional

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

RÉDUISEZ VOS CONSOMMATIONS ALLÉGEZ VOS FACTURES ÉNERGÉTIQUES

RÉDUISEZ VOS CONSOMMATIONS ALLÉGEZ VOS FACTURES ÉNERGÉTIQUES RÉDUISEZ VOS CONSOMMATIONS ALLÉGEZ VOS FACTURES ÉNERGÉTIQUES «Lean Energy Analysis» : une étude de 3e-performance pour traquer vos gaspillages et bâtir une stratégie d action 1 LEAN ENERGY ANALYSIS: DISTINGUER

Plus en détail

Lancement de la mission GAIA, jeudi 19 décembre 2013 au LUPM à partir de 9h15

Lancement de la mission GAIA, jeudi 19 décembre 2013 au LUPM à partir de 9h15 -------------------------------------------------- INVITATION PRESSE UM2 CNRS -------------------------------------------------- Lancement de la mission GAIA, jeudi 19 décembre 2013 au LUPM à partir de

Plus en détail

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)

Plus en détail

Le Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.

Le Soleil. Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles

Plus en détail

PHYSIQUE Discipline fondamentale

PHYSIQUE Discipline fondamentale Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et

Plus en détail

Disparités entre les cantons dans tous les domaines examinés

Disparités entre les cantons dans tous les domaines examinés Office fédéral de la statistique Bundesamt für Statistik Ufficio federale di statistica Uffizi federal da statistica Swiss Federal Statistical Office EMBARGO: 02.05.2005, 11:00 COMMUNIQUÉ DE PRESSE MEDIENMITTEILUNG

Plus en détail

Kardó. Une combinaison infinie de lumiere

Kardó. Une combinaison infinie de lumiere Kardó Une combinaison infinie de lumiere CONCEPT Design: eer architectural design, Belgique 2 - Kardó Kardó est un système d éclairage spécial qui permet de s adapter à l architecture à travers tout le

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)

Plus en détail

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la

Plus en détail

La crise de 1929. Lionel Artige. Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège

La crise de 1929. Lionel Artige. Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège La crise de 1929 Lionel Artige Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège Expliquer la crise de 1929? La crise de 1929 a été l objet de nombreuses publications tentant d expliquer ses causes,

Plus en détail

EMPRUNTS OBLIGATAIRES EMIS PAR LES SOCIETES. Conséquences du financement par emprunt obligataire dans le tableau de financement de l'entreprise.

EMPRUNTS OBLIGATAIRES EMIS PAR LES SOCIETES. Conséquences du financement par emprunt obligataire dans le tableau de financement de l'entreprise. EMPRUNTS OBLIGATAIRES EMIS PAR LES SOCIETES Objectif(s) : o Pré-requis : Conséquences du financement par emprunt obligataire dans le tableau de financement de l'entreprise. o Outils de mathématiques financières

Plus en détail

Types d ordres particuliers

Types d ordres particuliers Le Canada compte de nombreux marchés financiers et CitiGroup Global Markets Canada Inc. (CGMCI) souhaite informer ses clients de la façon dont elle gère leurs ordres. Sachez que sauf instructions contraires

Plus en détail

Par Richard Beauregard. Novembre 2011

Par Richard Beauregard. Novembre 2011 Par Richard Beauregard Novembre 2011 La lutte contre le bruit et autres parasites lumineux Le temps d exposition versus le compositage Les images de prétraitement L'image de précharge (Offset ou Bias)

Plus en détail

Panorama de l astronomie

Panorama de l astronomie Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement

Plus en détail

Chapitre 7 - Relativité du mouvement

Chapitre 7 - Relativité du mouvement Un bus roule lentement dans une ville. Alain (A) est assis dans le bus, Brigitte (B) marche dans l'allée vers l'arrière du bus pour faire des signes à Claude (C) qui est au bord de la route. Brigitte marche

Plus en détail

livret-guide des séances année scolaire 2007-2008

livret-guide des séances année scolaire 2007-2008 Le Planétarium Peiresc est une réalisation de l association des Amis du Planétarium Numéro spécial rentrée 2007 d Aix en Provence, avec le soutien de : Ville d Aix-en en-provence Conseil Général des Bouches

Plus en détail

Professeur Nébil BEN NESSIB

Professeur Nébil BEN NESSIB Ministère de l Enseignement Supérieur Université de Tunis Institut Supérieur de l Education et de la Formation Continue ASTROPHYSIQUE A l usage des étudiants au second cycle Professeur Nébil BEN NESSIB

Plus en détail

«Les Variabilistes II» Mission T60

«Les Variabilistes II» Mission T60 «Les Variabilistes II» Mission T60 du lundi 23 au samedi 28 février 2009 Sommaire Les missionnaires Les cibles programmées Les observations effectuées Remerciements Les résultats obtenus Les missionnaires

Plus en détail

Objectifs du cours Modélisation de la Turbulence M2 - EE

Objectifs du cours Modélisation de la Turbulence M2 - EE Objectifs du cours Modélisation de la Turbulence M2 - EE Gomez Thomas Institut Jean Le Rond d Alembert Caractériser et classifier les écoulements turbulents. Introduire les outils mathématiques. Introduire

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :

Plus en détail

ANGULAR JS AVEC GDE GOOGLE

ANGULAR JS AVEC GDE GOOGLE ANGULAR JS AVEC GDE GOOGLE JUIN 2015 BRINGING THE HUMAN TOUCH TO TECHNOLOGY 2015 SERIAL QUI SUIS-JE? ESTELLE USER EXPERIENCE DESIGNER BUSINESS ANALYST BRINGING THE HUMAN TOUCH TO TECHNOLOGY SERIAL.CH 2

Plus en détail

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)

Plus en détail

C. R. Acad. Sci. Paris, Ser. I 336 (2003) 245 250. Géométrie différentielle/physique mathématique

C. R. Acad. Sci. Paris, Ser. I 336 (2003) 245 250. Géométrie différentielle/physique mathématique C. R. Acad. Sci. Paris, Ser. I 336 (2003) 245 250 Géométrie différentielle/physique mathématique Feuilletages des espaces temps globalement hyperboliques par des hypersurfaces à courbure moyenne constante

Plus en détail

Équivalence masse-énergie

Équivalence masse-énergie CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en

Plus en détail

master Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE

master Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE Collection master BANQUE FINANCE ASSURANCE Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Table des matières Introduction... 9 Chapitre 1 L entreprise : l investissement

Plus en détail

Order Binding Certain Agents of Her Majesty for the Purposes of Part 1 of the Personal Information Protection and Electronic Documents Act

Order Binding Certain Agents of Her Majesty for the Purposes of Part 1 of the Personal Information Protection and Electronic Documents Act CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Order Binding Certain Agents of Her Majesty for the Purposes of Part 1 of the Personal Information Protection and Electronic Documents Act Décret liant certains mandataires

Plus en détail