Agenda 21 Limoges Métropole. Conférence du 11 mars 2009
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- Angèle Gamache
- il y a 7 ans
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1 Agenda 21 Limoges Métropole Conférence du 11 mars 2009 «Et si demain se déclinait sans désherbant chimique» Mme BIARDEAUD, vice-présidente de Limoges Métropole, débute la conférence par la présentation de ce 1 er mercredi du développement durable et affiche clairement l objectif des 17 communes membres de Limoges Métropole : «zéro pesticide». Un constat est établi : les désherbages chimiques ont un impact très important sur la dégradation des eaux. Mme BIARDEAUD insiste sur l existence d une attente forte de la part de la population. La réduction de l utilisation des produits phytosanitaires est primordiale pour l environnement, il faut maintenant rechercher des solutions alternatives. Carole CHEUCLE, Directrice de la Voirie, présente les intervenants et invite les participants à échanger sur leurs expériences ; toutes les questions sont les bienvenues. I. Présentation de la démarche bretonne : quels outils, quels conseils, quel bilan? M. Gérard ANGOUJARD, Directeur de la Fédérec Bretagne 1) L impact du désherbage chimique en milieu urbain : constat L utilisation de produits chimiques en milieu urbain influe fortement sur la dégradation des eaux, notamment en surface. La norme pour les eaux destinées à la consommation humaine est de 0,1 µg/l par matière active, quant à la norme concernant l eau potabilisable, les eaux de pompage ne doivent pas dépasser 0,5 µg/l par substance active. On sait actuellement qu il suffit de 3ml de Roundup, soit un bouchon de stylo, dans un cours d eau de 10km de long pour dépasser la norme d eau potable, ce qui démontre bien l impact sur la concentration des pesticides dans les eaux. Le désherbage en milieu urbain et en zone non agricole participe à la pollution des rivières. Les analyses réalisées le montrent : les rivières sont polluées par les pesticides. Le nombre de produits détectés dans les eaux est en constante hausse chaque année et le nombre de recherche et de tests a également fortement augmenté. Imperméabilité des espaces urbains : Rennes Métropole a mené une étude sur 3 ans sur un cours d eau qui serpente à travers la ville de Vezin le Coquet. Les analyses réalisées mettent en évidence que les différentes zones urbaines contribuent toutes au transfert des pesticides vers les eaux : le désherbage de la voirie n est pas le seul en cause. Le désherbage des massifs floraux, des jardins des particuliers et des terrains de football drainés entraîne des pollutions qui peuvent être graves. Sur sols urbains, les risques de transfert des pesticides vers les rivières sont plus importants.
2 La reconquête de la qualité de l eau est l affaire de tous, de nouvelles pratiques sont indispensables pour préserver les rivières. 2
3 Comment modifier les pratiques d entretien des espaces? La modification des pratiques d entretien nécessite un audit des pratiques actuelles afin de déterminer les solutions les plus adéquates pour les espaces concernés. Le plan de désherbage des espaces communaux La 1 ère étape consiste à déterminer les surfaces désherbées et les pratiques correspondantes ainsi que les zones non désherbées afin d établir un bilan. Cela se traduit par la définition de deux types de zones : Zones où le désherbage est nécessaire ce qui implique une exigence en terme d entretien Zones où le désherbage n est pas nécessaire. On module les exigences selon les secteurs. Quel paysage à quel endroit? La 2 ème étape vise à classer les zones à désherber pour définir le niveau de risque de transfert des produits vers l eau. Le classement aboutit à une cartographie des risques de transfert sur la commune et permet un meilleur choix des méthodes. Exemple : Les surfaces en contact avec un point d eau, c'est-à-dire avec un risque de transfert élevé, doivent être entretenues sans pesticide : zéro phyto. Sur les surfaces à risques réduits, l utilisation de produits phytosanitaires peut être envisagée mais ne reste pas souhaitable. 3
4 Plan de communication Modifier les pratiques de désherbage nécessite l engagement des élus. Tout doit être validé en conseil municipal. En effet, on modifie en profondeur le paysage et cela doit être porté par les élus. Une campagne d information est par ailleurs un préalable indispensable à la mise en œuvre des nouvelles pratiques, celle-ci devra concerner tous les utilisateurs de désherbants : le grand public, les communes, les professionnels, les jardiniers amateurs En Bretagne, les communes peuvent signer une charte d engagement qui comprend 4 niveaux : 1) respecter toute la réglementation, engager un plan de désherbage des espaces, avoir un agent formé à l entretien, informer la population sur la modification des pratiques de la commune. 2) Prendre en compte les contraintes d entretien dans la création d aménagement, associer les personnes chargées de l entretien dans le projet. 3) N utiliser aucun produit phytosanitaire sur les zones à risques élevés. 4) N utiliser aucun produit phytosanitaire sur l ensemble de la commune : «zéro phyto» Cette démarche doit être progressive, les élus et les équipes techniques doivent travailler ensemble. 2) Les alternatives à la gestion de la flore urbaine Pour réduire l utilisation des produits phytosanitaires, il y a 3 possibilités : - On peut empêcher les herbes de pousser, ce sont des techniques préventives, - On peut les détruire par des moyens non chimiques, ce sont des techniques curatives, - Et on peut laisser les plantes spontanées dans l espace urbain en veillant à leur intégration et à leur maîtrise. Les techniques alternatives préventives : Eviter la pousse des plantes spontanées, mise en place de nouvelles techniques. - le paillage, - le broyage des déchets verts, - les plantes couvre-sol, - le balayage des voies pour éviter la présence d humus. Les techniques alternatives curatives : Eradiquer les mauvaises herbes : techniques alternatives curatives au désherbage chimique : - le balayage très régulier (balayage mécanique) - le désherbage thermique - les combinés multifonction - le désherbage manuel (la binette) 4
5 Avoir un autre regard sur la végétation spontanée Accepter la présence de plantes spontanées : la gestion différenciée, est-il nécessaire de désherber? La présence d herbes spontanées en ville est perçue comme un défaut d entretien, il faut modifier cette perception et aménager l espace urbain pour qu elle y trouve sa place. - Les trottoirs : moins de bordures pour faciliter l accès des machines, trottoirs végétalisés - Les pieds d arbres : possibilité de végétalisation des pieds d arbres - Les places de stationnement : réaliser des surfaces homogènes sans recoin, sans différence de niveau - Les allées : la création des allées ne doit se faire qu en cas de nécessité, le cheminement naturel des piétons permet la démarcation des allées sans l utilisation de matériaux lourds. La question des techniques alternatives ne doit se poser qu à la fin de toute le démarche. Citoyens et acteurs de l entretien devront accepter un aspect différent de leurs lieux de vie ou de travail. Un objectif qu il est possible d atteindre car la présence d herbe n est pas perçue négativement à partir du moment où les habitants sont conscients d une démarche volontaire et qu ils constatent une continuité de l entretien par les services techniques. II. Témoignage de deux communes : quelles méthodes employées, quelles difficultés rencontrées? M. Robert ESNEAULT, Conseiller Municipal Délégué au développement durable de Mordelle (7200 hab.) La Ville de Mordelles est membre de Rennes Métropole (37 communes) et s implique activement dans la politique du développement durable. M. ESNEAULT nous raconte l engagement pris par sa commune dans la démarche vers le zéro phyto et nous fait part des méthodes utilisées et des difficultés qu il a rencontrées. Mordelle a signé la charte et n utilise plus actuellement de produits phytosanitaires sur les zones à risques élevés. La suppression quasi complète des désherbants chimiques est effective depuis L adaptation au changement a été progressive et la communication a été primordiale. Trois grandes phases : - Il a fallu sensibiliser les élus, les services techniques et l ensemble du personnel. - Le personnel a suivi des formations pour utiliser au mieux les nouvelles techniques employées pour l entretien des espaces. - Et développer un plan de communication auprès de la population, informer de la démarche entreprise par la commune et faire accepter la gestion différenciée (utilisation du bulletin local de presse, site internet ). 5
6 Mordelle a établi une cartographie des risques de transfert sur la commune ce qui a permis un meilleur choix des méthodes d entretien. (augmentation des interventions manuelles). Mais cela a aussi permis le développement des techniques alternatives. En effet, la commune a fait l acquisition d un désherbeur à eau chaude et d un désherbeur à gaz en achat groupé avec 7 autres communes membres de Rennes Métropole. Les services techniques ont également signé un marché avec une entreprise qui effectue le balayage mécanique (mensuel) de toutes les rues. L achat collectif d une balayeuse mécanique est à l étude avec les autres communes. Le balayage manuel ayant augmenté, lors des périodes de pousse, des saisonniers supplémentaires sont recrutés. M. ESNEAULT conclut que la reconquête de la qualité de l eau est un réel travail de militantisme. M. Daniel BARRET, Maire de Tréguidel (653 hab.) M. BARRET expose ensuite son implication personnelle, il en a fait son métier puis un objectif politique. La commune de Tréguidel a atteint le zéro phyto depuis 2001 déjà. M. BARRET a mené lui aussi un véritable travail de militantisme et la commune s est engagée également avec la signature de la chartre au niveau 4. - Un plan de désherbage a été établi - La commune s est engagée à respecter le plan et a réduit de 30 % déjà l achat de pesticides la première année jusqu à atteindre zéro. - Les méthodes alternatives chimiques ont été très vite adoptées, et le nettoyage manuel encore une fois a été privilégié. - La population a été sensibilisée, notamment à travers la distribution de bulletins de communication distribués dans les boîtes aux lettres. Cela a bien fonctionné puisque des familles ont récemment fait l acquisition de désherbeur thermique. M. BARRET insiste sur l importance de la communication avec les riverains, une campagne de sensibilisation est nécessaire. L envoi de courriers aux particuliers mais aussi la sensibilisation des enfants est déterminante. La commune de Tréguidel a été récompensé pour ses efforts et a été récompensée par le prix d excellence en
7 Ateliers de travail : Suite à la conférence, 3 groupes de travail ont été formés et les 3 thèmes suivants ont été abordés : Thème 1 : Les méthodes alternatives au désherbage chimique : expériences réussies, bilan carbone, coût. Thème 2 : Le plan local de désherbage et de fauchage : élaboration, rôle, objectifs Repenser l aménagement urbain en cohérence avec ses objectifs. Thème 3 : Apprivoiser l herbe en ville, notions de «propre» et de «sale», niveau de tolérance. Ci joint en annexe les comptes-rendus des trois tables rondes
8 Table ronde animée par FREDON LIMOUSIN Avant propos : Thème n 1 Méthodes alternatives au désherbage chimique Expériences réussies, bilan carbone, coût A terme, un changement des pratiques d'entretien des espaces communaux doit être mis en oeuvre pour limiter les risques de transfert des produits, de contamination des applicateurs et la dégradation de l'environnement. Les communes se doivent d'être valeur d'exemple pour initier ces changements. Pour cela, il existe aujourd'hui différentes possibilités applicables selon les besoins et les moyens de chaque collectivité qui permettent d'agir à différents stades d'intervention et sont appelés «Pratiques préventives» et «Pratiques curatives». Avant de mettre en application un ensemble de pratiques alternatives, il est important d'appréhender plusieurs aspects de la gestion de l'espace communal : - intégrer l'idée d'avoir de l'herbe en ville - réaliser une analyse complète de l'espace à entretenir (type, priorité...) - prévoir l'organisation du travail - mettre en place ce changement de manière progressive - intégrer l'entretien dès la conception d'espaces - mutualiser les investissements en matériels Les pratiques préventives : Un certain nombre de ces pratiques est déjà utilisé pour l'entretien des espaces par les services techniques de plusieurs communes notamment les plus répandues : - paillage en matière végétale recyclée : à l'aide de compost de déchets verts, broyat de branchages - paillage copeaux de bois - film en matière plastique Ces pratiques doivent permettrent de limiter l'utilisation de produits chimiques en limitant le développement de la flore adventice. Les pratiques curatives : Un certain nombre d'outils et de techniques est disponible pour détruire la flore adventice indésirable de manière non chimique : - le désherbage thermique - le désherbage thermique à vapeur d'eau - le désherbage thermique à mousse - le désherbage mécanique par brosse - le désherbage mécanique par balayage - le désherbage mécanique par sabot rotatif - le désherbage manuel / 8
9 Leur acquisition et leur utilisation doivent être cependant calculées selon plusieurs critères importants (quelle utilisation, coût de l'appareil, utilisateur...?). Bilan carbone et coût : Avant tout changement de pratique d'entretien, il apparaît comme primordial d étudier l'impact pour l'environnement que pourrait avoir l'utilisation de ces nouvelles méthodes. Il est important de prendre en compte les dégagements émis par les appareils, les volumes de combustibles utilisés pour le fonctionnement, les quantités d'eau utilisées pour les traitements... L'acquisition de ces matériels doit faire l'objet d'une étude approfondie préalable afin de réfléchir à une mutualisation de l'investissement. 9
10 Table ronde animée par FREDON LIMOUSIN Thème n 2 Plan Local de désherbage et de fauchage : élaboration, rôle, objectifs Repenser l'aménagement urbain en cohérence avec ces objectifs Le plan local de désherbage : Les avantages du plan de désherbage : - Économie en produits phytosanitaires, mais pas de baisse de budget à court terme. - Protection des captages d'alimentation en Eau Potable (AEP) - Appuyer la volonté politique des élus - Soutien pour la communication auprès des riverains - Gestion nouvelle des bords de rivière et évolution de l'esthétique des massifs Il semble important de préciser qu'il est absolument nécessaire de concilier les différentes Directions (Voirie, Espaces Verts, Sports) lors de la mise en place d'un plan de désherbage communal. Concernant la communication auprès des riverains, le problème de leur attente face à un entretien quasi parfait est revenu à plusieurs reprises lors de la table ronde. S agissant de la Communauté d'agglomération de Limoges métropole, l'idée d'une communication inter-service et d'un relais vers les agents des communes a été évoquée. De plus, les communes de petite taille ont fait remonter le besoin d'informations et de moyens. Le plan de fauchage : Les avantages du plan de fauchage : - Cibler des zones prioritaires - Respect de la flore et de la faune - Tenir compte de la sécurité routière - Esprit de cohérence sur le territoire communal - Eviter le ravinement des fossés La priorité principale doit être d'assurer la sécurité routière en conciliant le respect de la faune, de la flore et du milieu. Concernant les réseaux routiers, il est nécessaire que le Conseil Général et le Conseil Régional adoptent eux aussi un plan de fauchage afin d'assurer une cohérence entre l'entretien de bords de route pris en charge par la commune et celui pris en charge par les politiques publiques. Le fait d'adopter des niveaux d'entretien selon les zones, comme c'est le cas dans le plan de désherbage, est ressorti comme une action nécessaire lors de la table ronde. / 10
11 Repenser l'aménagement urbain en cohérence avec ces objectifs : Cette partie n'a été que très peu abordée par manque de temps. Il est tout de même ressorti que les élus devaient tenir compte de l'avis des riverains (le problème du rétrécissement des allées et de l'accès des handicapés a été évoqué). Il semble plus simple de travailler cette compétence sur la conception de nouveaux projets que sur les sites existants. 11
12 Table ronde animée par C.DEMANDRE Thème n 3 Apprivoiser l herbe en ville, notions de «propre» et de «sale», niveau de tolérance L objectif affiché du groupe est de travailler sur les thématiques suivantes : Perception de la mauvaise herbe : «vivre avec la végétation spontanée», Les accepter en les maîtrisant et/ou en les intégrant dans les projets, Importance de la hauteur du végétal (maîtriser la hauteur notamment pour ne pas favoriser l emprisonnement des détritus), Assimilation ou défaut d entretien : difficulté de perception par les usagers de la période transitoire entre le minéral et le végétal (effet de damier). Après de nombreux échanges basés notamment sur les expériences conjuguées de MM. Robert ESNAULT (Commune de Mordelles) et Gérard ANGOUJARD (Feredec Bretagne), les pistes à retenir pour la définition des niveaux de tolérance par les riverains et la meilleure approche des notions de propre et de sale sont les suivantes : Décliner un projet de service depuis le projet politique exprimé dans l agenda 21 visant à obtenir le «0 phytosanitaire». L objectif visé par cette première action est que les services s approprient la démarche et non pas que celle-ci leur soit imposée : o Dialogue avec les responsables d équipe (formation par organisme extérieur des services), o Nécessité d un suivi du processus et de la formation (= évaluation), etc. Etablir un plan de communication pour l information des tiers et des riverains : o «C est quoi une mauvaise herbe?», o Notion de biodiversité, o Plus largement «Pourquoi accepterait-on la végétation spontanée?». Cette action peut s articuler autour de : - Expositions - Article dans la presse - Panneau d information - Réunion publique et comité de quartier, etc
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