ESDEP GROUPE DE TRAVAIL 3 FABRICATION ET MONTAGE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ESDEP GROUPE DE TRAVAIL 3 FABRICATION ET MONTAGE"

Transcription

1 ESDEP GROUPE DE TRAVAIL 3 FABRICATION ET MONTAGE Leçon 3.6 Inspection Assurance Qualité Fichier : L3-6.doc

2 OBJECTIF Expliquer pourquoi l'inspection est quelque chose d'essentiel pour assurer la sécurité de la structure et introduire les types d'inspection les plus importants - matériau, dimensions, soudures et boulons - et les équipements nécessaires à les mettre en œuvre. Définir les termes et donner les mises en garde relatives au sujet. PREREQUIS Volume 1A: Volume 1B: Volume 2: Volume 3: Volume 6 : Volume 11 : Volume 12 : Construction acier : Facteurs économiques et commerciaux Construction acier : Introduction à la conception Métallurgie appliquée Construction Stabilité appliquée Conception des assemblages Conception à la fatigue LEÇONS CONNEXES Leçon 1B.2.1 : Leçon : Leçon : Leçon 3.3 : Leçon 3.4 : Les différentes philosophies de la conception Principes généraux de fabrication des structures en acier 1 ère partie Principes généraux de fabrication des structures en acier 2 ème partie Principes du soudage Modes opératoires de soudage RESUME Cette leçon définit les termes importants utilisés dans ce domaine. Elle étudie les principaux objectifs de l'inspection et de l'assurance Qualité qui sont de vérifier que la sécurité est obtenue sans nuire à l'aspect économique. On y définit les interrelations qui existent entre les responsabilités de la conception, de la fabrication et de l'inspection. On y introduit les principaux types d'inspection et les méthodes les plus courantes d'inspection, avec quelques explications sur leur raison d'être. Page 1

3 1. INTRODUCTION / DEFINITIONS Les définitions suivantes s'appliquent généralement aux activités de conception et de fabrication, y compris celles qui concernent la construction métallique : Qualité : Assurance Qualité : Contrôle Qualité : Spécification : Inspection : Certification : La totalité des caractéristiques et des particularités d'un produit ou d'un service qui s'appuient sur sa capacité à satisfaire un besoin donné. Le système, y compris toutes les activités, documentation et fonctions, concernant la réalisation de la qualité exigée. Les modes opératoires et les activités qui ont pour but de vérifier que la qualité du produit ou du service satisfait aux exigences requises. Désigne aussi l'utilisation de ces modes opératoires et activités. Le document qui mentionne en détail les exigences auxquelles le produit ou service doit satisfaire. Le procédé de mesure, examen, essai, étalonnage ou autre permettant de comparer la pièce aux exigences auxquelles elle doit satisfaire. L'acte de l'autorité de contrôle de compléter le document de satisfaction des exigences. On verra à partir des définitions ci-dessus que l'inspection constitue une partie importante du Contrôle Qualité et que le Contrôle Qualité et la Certification constituent des parties importantes de l'assurance Qualité. Page 2

4 2. OBJECTIFS Les objectifs de l'assurance qualité en construction métallique sont de s'assurer que : La qualité de la conception, les spécifications et la conception de détail sont telles que les exigences des états limites soient satisfaites de la façon la plus économique possible. La qualité des matériaux, la fabrication et le montage satisfont aux exigences de la conception. Page 3

5 3. MARGES DE SECURITE 3.1 Écarts dus au procédé Tous les procédés sont sujets à des influences variables, dont certaines peuvent être au détriment de la sécurité ou de l'économie de la structure. Par exemple, si un profilé en acier est laminé beaucoup plus petit que les dimensions spécifiées, il peut être dangereux. S'il est laminé beaucoup plus épais que la valeur exigée, c'est du gaspillage. Les dimensions des profilés ne sont jamais exactement les mêmes que celles des valeurs standard. Les variations par rapport aux dimensions théoriques et aux propriétés du matériau sont dues aux limitations économiques sur le contrôle du processus de fabrication. Ces variations peuvent être déterminées de façon statistique et contrôlées de manière à assurer la conformité aux exigences, permettant par conséquent de choisir les valeurs appropriées du coefficient partiel de sécurité M. 3.2 Erreurs grossières D'autres types d'écarts peuvent être regroupés sous le nom d' «erreurs grossières». Ces variations sont rares, mais lorsqu'elles se produisent, les conséquences peuvent être graves. Par exemple, si on fournit un poteau laminé HEA 340 A à la place de la taille supérieure voisine (HEB 320) et s'il est utilisé sans que cela n'ait été remarqué, la perte potentielle de résistance est d'environ 38 %. Même pire, si la nuance de l'acier de soudure était du Fe 275 au lieu du Fe 350 spécifié, la perte de résistance serait supérieure à 23 %. Il n'est pas économique de permettre des erreurs grossières en augmentant le facteur de sécurité partielle du matériau. Le risque d'erreur grossière peut être réduit à un minimum acceptable au moyen de procédures de contrôle de la qualité adéquates. Il s'avère alors que corriger l'identification et la traçabilité est tout aussi important pour la sécurité que les mesures de routine et les essais. Page 4

6 4. RESPONSABILITES 4.1 Implication Les personnes concernées par l'assurance qualité dans un contrat de construction métallique sont : le concepteur/le client, le fournisseur du matériau/le fabricant/le monteur, l'inspecteur. Cette liste représente un découpage simplifié dans le but de définir les responsabilités. La structure de l'organisation dépend du type et des conditions du contrat. Par exemple le concepteur, le fabricant et l'inspecteur peuvent appartenir à une seule organisation et le client à une autre. Dans un autre cas, le client et le concepteur peuvent être la même entité. L'inspecteur peut ou non, être employé par le fabricant. On pourrait penser que la seule partie concernée par la réalisation de la qualité recherchée est l'inspecteur. Cependant, à partir du moment où on l'obtient l'acier, jusqu'au moment où la structure est achevée, toutes les personnes en liaison avec la planification, la conception, la fabrication et le montage de la structure sont concernées par un aspect ou un autre de sa qualité. L'Assurance Qualité désigne le mécanisme tout entier qui certifie que toutes les personnes concernées : a) savent ce qu'elles doivent faire, b) le font, c) montrent qu'elles l'ont fait. 4.2 Évolution à travers les pratiques Les systèmes d'assurance Qualité actuellement opérationnels ont évolué à travers les années. Ils sont écrits sous la forme de règles de pratique, spécifications standard et procédures. Ces documents sont inclus dans les contrats de conception et de construction. Le travail de l'inspecteur est principalement celui du point c) ci-dessus. La plupart du temps, les équipes chargées de la conception, de l'approvisionnement en matériau, de la fabrication ou du montage inspectent leur propre travail, dans la mesure où c'est leur responsabilité d'assurer la vérification des standards requis. Cependant, lorsque les Page 5

7 contrats sont adjugés sur la base d'un coût minimum à la soumission, il y a des pressions commerciales pour réduire les délais et donc le coût de chaque activité. 4.3 Causes et préventions des défauts Il y a toujours le risque que quelqu'un : soit ne sache pas toujours quoi faire, soit n'ait pas assez de temps ou oublie ce qu'il a à faire et que l'oubli d'une activité ne soit pas détecté. Ce sont là les premières causes de défauts de structure qui se répartissent de manière identique sur les opérations de conception, de fabrication et de montage. C'est la responsabilité de l'inspecteur indépendant d'agir comme une seconde ligne de défense, afin de réduire de telles aberrations à un minimum. Il ne serait évidemment pas économique de surveiller, de façon continue, l'activité de chacun. L'acte de l'inspection indépendante est donc de mesurer, d'examiner et de tester d'une manière telle et à un moment tel, que les erreurs graves aient la plus grande chance d'être détectées le plus tôt possible et avec le minimum de surcoûts à la production. 4.4 Situation dans le temps On ne met jamais assez l'accent sur l'importance de la détection précoce des erreurs ou de la non-conformité aux spécifications. La conséquence sur le coût d'une erreur qui reste non-détectée augmente de façon exponentielle avec le temps. Des erreurs peuvent survenir à des phases précoces de la conception qui peuvent être très graves. Si le comportement de la structure est modélisé de façon incorrecte, les contraintes fausses et les matériaux choisis incorrects, la conséquence sur le coût dans le cas où la structure a été construite, peut facilement être le doublement du coût. D'un autre côté, si on découvre une soudure fissurée et qu'elle soit réparée avant que l'équipe de soudage ne quitte la zone d'opération, les implications économiques seront relativement faibles. 4.5 Spécialisation L'inspection indépendante devient de plus en plus une activité spécialisée, au fur et à mesure que la demande en sécurité augmente. Les inspecteurs n'ont pas un rôle de gestionnaire ou de production et sont, d'habitude, qualifiés pour un type limité d'inspections. Dans le domaine de la conception, ils peuvent être nommés ingénieur en vérification, essai ou en certification, plutôt qu'inspecteurs. Page 6

8 4.6 Compte-rendu Une des fonctions les plus importantes de l'inspecteur est de fournir la preuve permanente de la conformité aux spécifications de qualité nécessaires. Cette exigence peut se faire de différentes façons, les plus fréquentes étant : (i) (ii) (iii) Rédiger un rapport. Témoigner d'une activité et signer un certificat de conformité. Marquer un composant avec une marque d'identification permanente et unique. Page 7

9 5. PRINCIPAUX TYPES D'INSPECTIONS 5.1 Conception En conception, les types d'inspections les plus importants concernent la vérification de ce que les dimensions sont compatibles avec une utilisation satisfaisante et que les matériaux, résistances et flèches sont en deçà des limites autorisées par les règlements devant être utilisés. Les calculs constituent la base principale de la conformité et la vérification est souvent faite par une tierce partie. Ces vérifications comportent l'examen des plans, spécifications, notes de calcul et listings de programmes informatiques. 5.2 Fabrication La fabrication des composants de base comme les profilés en acier et les plats, boulons et consommables de soudage nécessite les vérifications suivantes, faites d'habitude chez le fabricant : (i) (ii) (iii) (iv) Identification du lot. Analyse chimique. Essais mécaniques. Vérifications dimensionnelles - extérieures et intérieures. Un certificat de conformité est signé par l'inspecteur qui a mis en œuvre ou a été témoin des essais, ceux-ci ayant été réalisés normalement sur le produit fini. Aux stades de fabrication et de montage, au moment de l'assemblage des composants de base sur des unités importantes et plus complexes, il n'est pas pratique de faire une analyse chimique ou mécanique de la pièce elle-même. Ceci s'applique particulièrement au cas des joints soudés, pour lesquels l'acte de soudage peut modifier les propriétés chimiques et physiques des matériaux d'origine. Dans ce cas, la sécurité porte sur les vérifications du mode opératoire de soudage, selon spécification, suivi d'essais non destructifs. Page 8

10 6. STADES DE L'INSPECTION Dans le 4.4, on a mis l'accent sur l'importance de la situation dans le temps des inspections. Pour des contrats en construction métallique, il y a de nombreux stades d'inspection. Les plus importants sont : (i) (ii) (iii) (iv) (v) (vi) (vii) (viii) (ix) (x) (xi) (xii) (xiii) (xiv) Achèvement des calculs. Achèvement des plans d'exécution. Achèvement des plans de fabrication. Fabrication des produits de base. Livraison et enlèvement du magasin. Tests de procédure Tests de qualification de l'opérateur (en particulier pour le soudage). Achèvement de la préparation des matériaux (découpage, perçage...). Achèvement des gabarits et ajustement des composants. Fin de l'assemblage en atelier (soudage...). Achèvement de la préparation des revêtements de protection. Achèvement du revêtement de protection. Achèvement de l'assemblage sur site. Achèvement du montage sur site. La plupart des stades d'inspection mentionnés ci-dessus sont mis en œuvre à la fin d'une phase particulière sur le lieu de travail. De ce fait, tout défaut peut être rectifié, avec un coût et un délai minimum pour le programme. La conformité au programme de travail tel que le définit le planning est aussi une caractéristique importante de l'assurance qualité. Page 9

11 7. METHODES D'INSPECTION, BUTS ET CRITERES D'ACCEPTATION 7.1 Identification Les plats et les profilés en acier sont identifiés par leur numéro de coulée. Les pièces individuelles sont marquées de façon permanente par estampage à froid ou avec de la peinture indélébile. Lorsqu'elles sont recoupées, ces repères doivent être transférés sur tous les éléments du découpage, mis à part pour celles qui sont utilisées comme ferraille (diapositive 1). Les petits composants fabriqués, comme boulons ou rouleaux de soudure ont d'habitude leur référence ou classe marquée en relief ou notée sur chacun d'eux. Le numéro du lot est noté sur le sac ou la boite dans laquelle ils sont livrés. Les composants de structure ont des numéros d'identification qui leur sont donnés par le fabricant. Les éléments identiques ont d'habitude la même référence, afin d'éviter des complications pas nécessaires. On doit pouvoir repérer l'origine de tous les matériaux (traçabilité) et composants, quel que soit le stade du projet. Les plans et leurs différentes versions doivent être clairement identifiés et les versions antérieures retirées de l'atelier. Les certificats de tests doivent avoir un numéro d'identification unique. La première exigence de l'acceptation d'un produit est que son repère d'identification permette de remonter à son origine et de le confronter aux documents d'origine, tels que certificat, plan Analyse chimique Les vérifications de l'analyse chimique constituent une partie importante du contrôle qualité. L'analyse de l'acier se fait normalement à chaque coulée. Les taux de carbone et de manganèse ont des répercussions directes sur la résistance. Les taux de chrome, molybdène, vanadium, nickel et cuivre sont aussi pris en compte dans la mesure de la soudabilité, par l'utilisation de la formule du Carbone Équivalent. La vérification de ces taux est vitale pour la préparation des modes opératoires de soudage (voir leçon 3.4). Les niveaux de soufre et de phosphore doivent aussi être contrôlés, pour assurer ductilité et soudabilité. Page 10

12 La plupart des spécifications relatives à l'acier de structure définissent les limites de carbone, manganèse, soufre et phosphore. L'analyse de la coulée figure sur le certificat de test d'usine (diapositive 2). Les consommables de soudage sont soumis à des analyses particulières. L'analyse des aciers par spectrométrie-x est habituellement faite à l'usine. Les peintures sont soumises à des analyses spéciales, pour assurer leur uniformité d'un bain à l'autre. 7.3 Essais mécaniques L'essai mécanique le plus important est l'essai de traction. Cet essai est réalisé par le fournisseur d'acier sur chaque lot d'une coulée, d'une forme de produit, d'une nuance particulières. Un lot typique peut faire de 40 à 50 tonnes. L'éprouvette de traction (diapositive 3) est usinée à partir d'un bord de produit et testée jusqu'à rupture. On mesure l'effort et l'allongement. La limite élastique, la résistance ultime et l'allongement (ou la diminution de section) qui en résultent (diapositive 4) sont notés sur le certificat de test. Un autre essai mécanique important est l'essai de résilience Charpy-V, pour déterminer la résilience de l'acier à la température correspondante (diapositives 5 et 6). Cet essai doit être fait à une température donnée qui peut varier depuis la température ambiante (+ 20 C) à - 50 C ou 60 C selon la nuance d'acier spécifiée. L'exigence de l'essai est que l'absorption d'énergie ne soit pas être inférieure à l'énergie minimum spécifiée à la température de l'essai (d'habitude 27 Joules). L'orientation de l'éprouvette, sa localisation et son usinage sont précisés avec soin. On obtient d'habitude la température en utilisant de la neige carbonique. D'autres essais de matériaux comportent l'essai de ductilité dans le travers court, pour la détermination de la résistance à l'arrachement lamellaire, l'essai de pliage pour les soudures bout-à-bout (diapositive 7), l'essai de texture pour les cordons d'angle et l'essai de pliage pour les goujons. La qualité des soudures-tests est la plupart du temps déterminée en découpant une section transversale dans la soudure. Cette coupe est ensuite polie, puis attaquée à l'acide afin de montrer la limite de la zone fondue et la zone thermiquement affectée (ZTA). On réalise ensuite des essais de dureté, afin de trouver le pic de dureté. Ces essais comportent l'appui d'une pointe pyramidale de diamant sur la surface, avec une force déterminée et on mesure la taille de l'empreinte faite par le diamant (diapositive 8). Des spécifications limitent souvent la dureté autorisée aux environs de 350 Vickers pour la ZTA dans les soudures et les bords découpés au chalumeau. Pour les soudures bout-à-bout, dans certaines structures, on peut exiger que des essais de production soient faits sur des appendices-témoins qui sont des extensions de la soudure du joint de structure. Ces appendices-témoins sont constitués du même Page 11

13 matériau que celui de la structure et sont soudés en même temps. Ils sont plus tard coupés au bout du joint et soumis aux essais mécaniques appropriés. 7.4 Mesures dimensionnelles Extérieures Un ensemble d outils simples est utilisé pour vérifier la précision des dimensions (diapositive 9) Les épaisseurs des plats peuvent être vérifiées à l'aide de jauges micrométriques. Les longueurs et les sections sont vérifiées à l'aide de mètres rubans. La linéarité des poutres et poteaux est vérifiée à l'aide d'un fil tendu entre les extrémités. L'écart de linéarité est mesuré entre le bord de l'élément et la ligne, à différentes positions le long de l'élément. La planéité des éléments-plaques est vérifiée avec un bord rectiligne en aluminium et un palpeur ou un capteur plat. Les angles sont mesurés au moyen d'un prolongateur ou, dans le cas d'angles faibles, par la pente (cotangente) de l'angle, par exemple 1 pour 20, 1 pour Sur le chantier, les niveaux sont mesurés avec le niveau automatique d'un géomètre, et, pour les longueurs faibles, avec un niveau à bulle. Les poteaux sont mis d'aplomb au théodolite ou au fil à plomb. L'ajustement des éléments usinés est vérifié au moyen d'un ensemble de palpeurs ou de capteurs de délardage. Le but des vérifications dimensionnelles est de s'assurer de l'acceptabilité pour l'utilisation et du caractère satisfaisant de l'aspect, d'assurer un accostage, un assemblage et un montage corrects. L'acceptation se fait sur la base des tolérances spécifiées sur les plans ou dans les spécifications (diapositive 10) Intérieures (essais non destructifs) Détection par ultrasons (diapositive 11) Pour des travaux critiques, la qualité interne des produits en acier peut avoir à être vérifiée, afin d'être indépendante des défauts de laminage, tels que le feuilletage. Cette vérification est réalisée au moyen d'un sondage aux ultrasons qui envoie un faisceau sonore haute fréquence, d'habitude aux environs de 2 MHz. Toute discontinuité de planéité de la plaque renvoie une réflexion à la sonde. Le temps nécessaire pour aller et Page 12

14 revenir de la discontinuité s'affiche sur l'écran cathodique du détecteur de défauts sur son axe des x. L'intensité du signal de retour donne une indication de la sévérité de la discontinuité. Elle est affichée sur l'axe des y. Le même principe s'applique aux joints soudés. La seule différence est que la géométrie restreint la localisation de la sonde qui doit toujours se trouver sur une surface lisse, afin d'assurer la transmission correcte des ondes ultrasonores. Les soudures bout-à-bout sont vérifiées par cette technique et la mesure de la taille des défauts s'est maintenant beaucoup développée avec l'utilisation de systèmes informatisés. Cette méthode est très sensible à de petites discontinuités et constitue donc une bonne technique de détection. Ses principaux inconvénients sont que la caractérisation des discontinuités relève d'une exploitation subjective et que sa capacité de mesure de dimension est limitée (hauteur 3-4 mm ; longueur 5 mm). On utilise généralement une sonde d'angle pour les soudures Radiographie (diapositive 12) Cette méthode est aussi utilisée pour l'inspection des soudures. Elle présente l'avantage de produire un enregistrement permanent sur un film photographique. Le film est placé sur le bord opposé du joint par rapport à la source de rayons X. Cette technique donne une image meilleure de la qualité de la soudure, mais elle a des inconvénients différents comparée aux essais par ultrasons : 1. Elle est plus chère par mètre de longueur de soudure. 2. Elle est très disruptive pour la construction métallique en raison du danger des radiations. 3. Elle ne trouve pas les fissures étroites qui sont obliques par rapport au faisceau de rayons X. 4. Elle ne peut pas mesurer la hauteur des discontinuités avec précision. Son usage en construction métallique tend à être limité par rapport aux ultrasons Contrôle magnétoscopique (ou par aimantation) (diapositive 13) Cette technique est utilisée pour trouver des fissures très étroites ou très proches de la surface qui ne peuvent pas être vues à l œil nu. Elle repose sur le principe de l'application d'un champ magnétique au joint, en utilisant un aimant permanent ou un électro-aimant. Une solution, contenant des particules de fer est vaporisée sur la surface, les particules se rassemblent autour de toutes les variations du champ magnétique, comme celle qui est introduite par une fissure. Elle est rapide à utiliser, mais ne permet pas de conserver un enregistrement permanent, à moins de faire une photo. Le contrôle magnétoscopique peut aussi être utilisé pour détecter les fissures sur les bords découpés au chalumeau et les pliages formés à froid. Page 13

15 Ressuage d'un liquide pénétrant Cette méthode est utilisée dans le même but que la méthode magnétoscopique, sauf qu'elle ne peut détecter aucune fissure qui ne débouche pas à la surface. Le principe consiste à vaporiser un liquide coloré sur la surface qui est ensuite absorbé par la fissure. On nettoie ensuite la surface et on étale dessus une fine couche de craie. Le liquide de teinture est alors aspiré hors de la fissure dans la craie environnante. Le contrôle par aimantation et le ressuage d'un liquide pénétrant permettent d'estimer la longueur d'une fissure, mais pas sa profondeur. Page 14

16 8. CONCLUSION Cette leçon a permis de définir des termes importants. Elle a étudié les principaux objectifs de l'inspection et de l'assurance Qualité qui sont d'assurer que la sécurité est obtenue sans nuire à l'aspect économique. On y a défini les interrelations qui existent entre les responsabilités de la conception, de la fabrication et de l'inspection. On a introduit les principaux types d'inspection et les méthodes d'inspection les plus courantes, avec quelques explications sur leur raison d'être. Page 15

17 9. LECTURES COMPLEMENTAIRES 1. EN 29000, Quality systems 2. Burgess, N.I. : "Quality Assurance of Welded Construction", Applied Science Publishers, Différentes normes d'essais et d'inspection (Internationales, Européennes, and Nationales) sont aussi disponibles et doivent être citées en référence. Page 16

EN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs

EN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs EN 1090 : un nouveau défi pour les constructeurs métalliques, les maîtres d ouvrage et les concepteurs prof. ir. Wim HOECKMAN Victor Buyck Steel Construction (Eeklo) Vrije Universiteit Brussel infosteel

Plus en détail

LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation:

LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: 1 www.cetime.ind.tn LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: met à votre disposition des compétences et des moyens techniques pour vous assister dans vos démarches d innovation et d

Plus en détail

Le polissage par laser

Le polissage par laser B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques

Plus en détail

RESEAUX DE DISTRIBUTION DE GAZ REGLES TECHNIQUES ET ESSAIS SOMMAIRE

RESEAUX DE DISTRIBUTION DE GAZ REGLES TECHNIQUES ET ESSAIS SOMMAIRE CAHIER DES CHARGES AFG RESEAUX DE DISTRIBUTION DE GAZ REGLES TECHNIQUES ET ESSAIS RSDG 1 Rev1 Juillet 2013 SOMMAIRE 1. 2. 3. 4. 5. 6. OBJET DU CAHIER DES CHARGES 4 LES OUVRAGES CONCERNES 5 NORMES DE REFERENCE

Plus en détail

OPAC EN 1090-01 2004 OCAB/OCBS

OPAC EN 1090-01 2004 OCAB/OCBS OPAC EN 1090-01 Règlement d Application pour l Attestation de Conformité selon EN 1090 Révision 01 Approuvé par le BT3 le 20131204, par le Conseil d Administration le 20131206 Règlement d application pour

Plus en détail

Règlement EPAQ pour la qualité des profilés métalliques

Règlement EPAQ pour la qualité des profilés métalliques Règlement EPAQ pour la qualité des profilés métalliques Septembre 2010 Max-Planck-Straße 4 D-40237 Düsseldorf Téléphone: +49 211 6989411 Fax: +49 211 672034 E-mail : info@epaq.eu Règlement EPAQ pour la

Plus en détail

Assurance qualité du côté de l'entreprise (1) pour l'utilisation de systèmes de peintures intumescentes

Assurance qualité du côté de l'entreprise (1) pour l'utilisation de systèmes de peintures intumescentes Assurance qualité du côté de l'entreprise (1) pour l'utilisation de systèmes de peintures intumescentes sur acier (en tant qu'annexe 3 de la publication SZS C2.5 «Peintures intumescentes» reconnue officiellement

Plus en détail

Contrôle Non Destructif C.N.D.

Contrôle Non Destructif C.N.D. Contrôle Non Destructif C.N.D. 16 Principales techniques Particules magnétiques Pénétrants 7% Autres 7% 6% Ultrasons 30% Objets divers Pétrochimique 15% 10% Aérospatial 25% Courants de Foucault 10% Autres

Plus en détail

Colle époxydique multi usages, à 2 composants

Colle époxydique multi usages, à 2 composants Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,

Plus en détail

Nom du distributeur Adresse du distributeur

Nom du distributeur Adresse du distributeur Adresse du distributeur Numéro de licence R.B.Q. : MANUEL DE CONTROLE DE LA QUALITÉ Pour la vérification de l installation initiale et le contrôle de la corrosion de réservoir de propane sous terre conformément

Plus en détail

SOMMAIRE Thématique : Matériaux

SOMMAIRE Thématique : Matériaux SOMMAIRE Thématique : Matériaux Rubrique : Connaissances - Conception... 2 Rubrique : Essais... 7 Rubrique : Matériaux...11 1 SOMMAIRE Rubrique : Connaissances - Conception Connaître les matières plastiques...

Plus en détail

Règlement EPAQ pour la qualité des panneaux sandwiches

Règlement EPAQ pour la qualité des panneaux sandwiches Règlement EPAQ pour la qualité des panneaux sandwiches Septembre 2010 Max-Planck-Straße 4 D-40237 Düsseldorf Telephone: +49 211 6989411 Fax: +49 211 672034 E-mail: info@epaq.eu Règlement EPAQ pour la qualité

Plus en détail

JOURNEE TECHNIQUE AFIAP du 15 Mai 2014

JOURNEE TECHNIQUE AFIAP du 15 Mai 2014 JOURNEE TECHNIQUE AFIAP du 15 Mai 2014 Introduction des méthodes CND innovantes au service de la Catherine HERVE; Henri WALASZEK; Mohammed CHERFAOUI CETIM Page 1 Plan de la présentation Les méthodes CND

Plus en détail

GLOSSAIRE DU BÉTON ARMÉ

GLOSSAIRE DU BÉTON ARMÉ GLOSSAIRE DU BÉTON ARMÉ Accessoires Articles, à l'exception des barres d'armature; par exemple, les supports de barre. Adhérence Force de liaison entre l'acier d'armature et le béton. Armature en cisaillement

Plus en détail

Distribué par Produits Etang.ca 513, ch. de Knowlton Lac-Brome, Qc J0E 1V0 CANADA (866) 249-0976

Distribué par Produits Etang.ca 513, ch. de Knowlton Lac-Brome, Qc J0E 1V0 CANADA (866) 249-0976 Aération solaire pour lacs et étangs Manuel db,- 8/ 1',+ # 1" B# +1/# 1'# + Distribué par Produits Etang.ca 513, ch. de Knowlton Lac-Brome, Qc J0E 1V0 CANADA (866) 249-0976 IMPORTANT Cet équipement a été

Plus en détail

Les métaux pour construction métallique

Les métaux pour construction métallique Extrait d'un document interne du Sétra rédigé en 2002 par Daniel Poineau et actualisé en 2010. Voir également - l'article de JP Gourmelon dans le n 20 du bulletin Ponts métalliques de 2000 "Matériaux pour

Plus en détail

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES POUR L'INSPECTION VISUELLE DE LOTS DE CONSERVES QUANT AUX DEFAUTS INACCEPTABLES 1 TABLE DES MATIERES

LIGNES DIRECTRICES POUR L'INSPECTION VISUELLE DE LOTS DE CONSERVES QUANT AUX DEFAUTS INACCEPTABLES 1 TABLE DES MATIERES CAC/GL 17-1993 Page 1 de 7 LIGNES DIRECTRICES POUR L'INSPECTION VISUELLE DE LOTS DE CONSERVES QUANT AUX DEFAUTS INACCEPTABLES 1 CAC/GL 17-1993 TABLE DES MATIERES PAGE PREFACE EXPLICATIVE... 2 1. INTRODUCTION...

Plus en détail

Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault

Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Page 1 25 octobre 2012 Journée «Contrôle non destructif et caractérisation de défauts» Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Henri Walaszek sqr@cetim.fr Tel 0344673324

Plus en détail

Fixateurs pour murs périmétriques 3.2.4. 3.2.4.1 Description de l'application. 3.2.4.2 Description du produit. 3.2.4.3 Composition.

Fixateurs pour murs périmétriques 3.2.4. 3.2.4.1 Description de l'application. 3.2.4.2 Description du produit. 3.2.4.3 Composition. s pour murs périmétriques.....1 de l'application Les murs périmétriques, en tant que partie intégrante des murs-rideaux et des charpentes claires, sont courants dans les structures métalliques. Des profilés

Plus en détail

Contrôle non destructif Magnétoscopie

Contrôle non destructif Magnétoscopie Contrôle non destructif Magnétoscopie Principes physiques : Le contrôle magnétoscopique encore appelé méthode du flux de fuite magnétique repose sur le comportement particulier des matériaux ferromagnétiques

Plus en détail

Mise en œuvre des filets de sécurité en grandes nappes

Mise en œuvre des filets de sécurité en grandes nappes RECOMMANDATION R 446 Recommandation adoptée par le comité technique national du bâtiment et des travaux publics lors de sa réunion du 14 mai 2009. Cette recommandation annule et remplace la recommandation

Plus en détail

E. TECHNIQUES DES CONTROLES NON DESTRUCTIFS

E. TECHNIQUES DES CONTROLES NON DESTRUCTIFS Contrôles non destructifs E-1 E. TECHNIQUES DES CONTROLES NON DESTRUCTIFS 1. Défauts externes En dehors de l'examen visuel ou d'une recherche des défauts à l'aide d'une loupe, nous disposons d'autres méthodes

Plus en détail

POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE

POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE BELAC 2-003 Rev 1-2014 POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE Les versions des documents du système de management de BELAC telles que disponibles sur le site

Plus en détail

Long Carbon Europe Sections and Merchant Bars. Poutrelle Angelina. L alchimie réussie entre résistance, légèreté et transparence

Long Carbon Europe Sections and Merchant Bars. Poutrelle Angelina. L alchimie réussie entre résistance, légèreté et transparence Long Carbon Europe Sections and Merchant Bars Poutrelle Angelina L alchimie réussie entre résistance, légèreté et transparence Poutrelle Angelina Une idée audacieuse adaptée à un produit industriel Plus

Plus en détail

Normes CE Equipements de Protection Individuelle

Normes CE Equipements de Protection Individuelle E. P. I D O C U M E N T D I N F O R M A T I O N Normes CE Equipements de Protection Individuelle Normes CE EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE Définitions : E.P.I : Tout dispositif ou moyen destiné

Plus en détail

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur

Plus en détail

Recommandations pour le contrôle par méthode électrique des défauts des revêtements organiques appliqués sur acier en usine ou sur site de pose

Recommandations pour le contrôle par méthode électrique des défauts des revêtements organiques appliqués sur acier en usine ou sur site de pose RECOMMANDATION PCRA 003 Octobre 2003 Rev.0 Commission Protection Cathodique et Revêtements Associés Recommandations pour le contrôle par méthode électrique des défauts des revêtements organiques appliqués

Plus en détail

La présente fiche technique décrit les exigences auxquelles doit répondre le Système Barofor Round.

La présente fiche technique décrit les exigences auxquelles doit répondre le Système Barofor Round. 1 Objet La présente fiche technique décrit les exigences auxquelles doit répondre le Système Barofor Round. Le système complet comprend les éléments suivants: Panneaux Poteaux Accessoires tels que fixations

Plus en détail

Le chantier compte 4 étapes :

Le chantier compte 4 étapes : 02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton

Plus en détail

System de Gestion de la Qualité GE Oil & Gas Sourcing Directives pour les inspections FPQ/PLQ ARSB-O&G-004 Rév. : 2.0

System de Gestion de la Qualité GE Oil & Gas Sourcing Directives pour les inspections FPQ/PLQ ARSB-O&G-004 Rév. : 2.0 Validé par : Nom en lettres d imprimerie ou signature manuscrite Giovanni Cecchi TMS Quality Leader Livio Loschiavo Global Supply Chain & Global Operations QMS Leader Michele Serpi TMS Leader (Facultatif

Plus en détail

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une

Plus en détail

O v e r a l l e x p e r t i s e i n t h e m a i n t e n a n c e o f p l a t e s h e a t e x c h a n g e r s

O v e r a l l e x p e r t i s e i n t h e m a i n t e n a n c e o f p l a t e s h e a t e x c h a n g e r s Expertise globale de la maintenance des échangeurs thermiques à plaques O v e r a l l e x p e r t i s e i n t h e m a i n t e n a n c e o f p l a t e s h e a t e x c h a n g e r s LE CENTRE DE MAINTENANCE

Plus en détail

Sommaire Table des matières

Sommaire Table des matières Notice de montage 1 Sommaire Table des matières I. Mise en garde... 3 II. Avant de commencer... 4 1. Préparer vos outils... 4 2. Pièces nécessaires pour le montage de votre porte Keritek... 5 III. Étape

Plus en détail

Validation des processus de production et de préparation du service (incluant le logiciel)

Validation des processus de production et de préparation du service (incluant le logiciel) Validation des processus de production et de préparation du service (incluant le logiciel) Traduction non officielle du document Réponses et décisions de EK-Med 3.9 B 18 publié sur le site Web de l organisme

Plus en détail

Membrane synthétique pour étanchéité de toiture

Membrane synthétique pour étanchéité de toiture Notice produit Edition 03.2011 N d identification. 4761 Version no. 2011-376 Sarnafil TG 76-15 Felt Membrane synthétique pour étanchéité de toiture Description du produit Sarnafil TG 76-15 Felt (ép. 1,5mm)

Plus en détail

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes

Plus en détail

INFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage

INFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage INFLUENCE de la TEMPERATURE Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage Transition ductile/fragile Henry Bessemer (UK)! 1856 : production d'acier à grande échelle Pont des Trois-Rivières 31 janvier

Plus en détail

Avis Technique 14/14-2041. Luxor Silicone

Avis Technique 14/14-2041. Luxor Silicone Avis Technique 14/14-2041 Annule et remplace l Avis Technique 14/09-1511*V1 Flexibles comportant un tuyau en matériau thermoplastique revêtu d une tresse Flexibles de raccordement Flexible hoses Flexibel

Plus en détail

H1506 - Intervention technique qualité en mécanique et travail des métaux

H1506 - Intervention technique qualité en mécanique et travail des métaux Appellations Agent / Agente de contrôle destructif en mécanique et travail des métaux Contrôleur-vérificateur / Contrôleuse-vérificatrice en mécanique Agent / Agente de contrôle non destructif en mécanique

Plus en détail

BALAIS Moteur (charbons)

BALAIS Moteur (charbons) BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague

Plus en détail

Douille expansibleécarteur

Douille expansibleécarteur 08/2011 Instructions de montage 999415003 fr Douille expansibleécarteur 15,0 Référence 581120000 Description La douille expansible écarteur 15,0 sert à l ancrage du coffrage une face dans le béton. Il

Plus en détail

Les mesures à l'inclinomètre

Les mesures à l'inclinomètre NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien

Plus en détail

Fiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie

Fiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie ZI de Monterrat B.P.13 42501 Le Chambon Feugerolles Cedex France Tel : 04 77 40 54 38 Fax : 04 77 40 54 41 Mail : securite@somain.fr Fiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie ZI de Monterrat B.P.13

Plus en détail

On peut être «lourd» et agile!

On peut être «lourd» et agile! éditorial Traitements & Matériaux 412 Octobre - Novembre 2011 3 On peut être «lourd» et agile! La métallurgie est considérée comme une industrie «lourde», les traitements thermiques comme de «vieux» procédés,

Plus en détail

LES SYSTÈMES DE CONTRÔLE DE QUALITÉ (TELS QUE LE SYSTEME ISO 9000) POUR L'ÉVALUATION DES SERVICES VÉTÉRINAIRES DANS LE CADRE DU COMMERCE INTERNATIONAL

LES SYSTÈMES DE CONTRÔLE DE QUALITÉ (TELS QUE LE SYSTEME ISO 9000) POUR L'ÉVALUATION DES SERVICES VÉTÉRINAIRES DANS LE CADRE DU COMMERCE INTERNATIONAL LES SYSTÈMES DE CONTRÔLE DE QUALITÉ (TELS QUE LE SYSTEME ISO 9000) POUR L'ÉVALUATION DES SERVICES VÉTÉRINAIRES DANS LE CADRE DU COMMERCE INTERNATIONAL F. Gerster Directeur des Services vétérinaires, 4

Plus en détail

TUBES ET ACCESSOIRES Serrurier A ailettes Construction Canalisation Spéciaux

TUBES ET ACCESSOIRES Serrurier A ailettes Construction Canalisation Spéciaux TUBES ET ACCESSOIRES 47 Serrurier A ailettes Construction Canalisation Spéciaux Possibilité d autres sections sur demande. Les caractéristiques indiquées sont théoriques et non garanties. TUBES 48 TUBES

Plus en détail

POLITIQUE SUR LA SÉCURITÉ LASER

POLITIQUE SUR LA SÉCURITÉ LASER Date d entrée en vigueur: 30 aout 2011 Remplace/amende: VRS-51/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-51 Les utilisateurs de lasers devront suivre les directives, la politique

Plus en détail

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE 1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de

Plus en détail

HISTAR. ArcelorMittal Europe - Long products Sections and Merchant Bars

HISTAR. ArcelorMittal Europe - Long products Sections and Merchant Bars ArcelorMittal Europe - Long products Sections and Merchant Bars HISTAR Des qualités d acier innovant à haute limite d élasticité pour alléger les constructions ArcelorMittal Photo Library - Architect:

Plus en détail

Cycle de production et cycle des déchets

Cycle de production et cycle des déchets Cycle de production et cycle des déchets la solution informatique et gestionnaire de SISTEMA AMBIENTE DIGITALIS S.r.l. www.sistemaambiente.net digitalis@iride.to.it 1 La solution informatique donne la

Plus en détail

COMBISAFE ESCALIER UNIVERSEL TM MODE D EMPLOI

COMBISAFE ESCALIER UNIVERSEL TM MODE D EMPLOI COMBISAFE ESCALIER UNIVERSEL TM MODE D EMPLOI SOMMAIRE ESCALIER UNIVERSEL TM SOMMAIRE GÉNÉRALITÉ... 3 Introduction... 4 PRINCIPAUX ELEMENTS... 5 Accroches... 5 ASSEMBLAGE... 7 Assemblage de base... 7 ACCROCHES

Plus en détail

Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE

Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE MANUEL MANAGEMENT QUALITE Révision janvier 2010 Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE Place d

Plus en détail

Caractéristiques d'un contrat de progrès. Cliquez pour avancer

Caractéristiques d'un contrat de progrès. Cliquez pour avancer Caractéristiques d'un contrat de progrès Cliquez pour avancer La politique de contrats globaux de progrès est formulée au travers de 4 thèmes : le périmètre, les objectifs de progrès, l'expression de besoin

Plus en détail

Conditions d'attribution des Certifications COFREND selon Norme ISO 9712

Conditions d'attribution des Certifications COFREND selon Norme ISO 9712 Page 1/39 Conditions d'attribution des Certifications COFREND selon Norme ISO 9712 DESTINATAIRES : CAD CDC COMITÉS SECTORIELS CENTRES D EXAMEN DCO (Directeur Cofrend) RCQ (Responsable Certification et

Plus en détail

ASSURANCE QUALITE WORLDSKILLS

ASSURANCE QUALITE WORLDSKILLS 5 Date Approuvé ASSURANCE QUALITE WORLDSKILLS Description technique Conception et dessin industriel en mécanique/cdao Document No. TD5 Révision Projet de texte Suite à une résolution votée par le Comité

Plus en détail

"Construction d'un Laboratoire sec sur la mezzanine de l' UR IRMO"

Construction d'un Laboratoire sec sur la mezzanine de l' UR IRMO Département de l'hérault commune de Montpellier CEMAGEF Groupement de Montpellier Domaine de Lavalette 361 rue jean François Breton 34196 Montpellier C.C.T.P. "Construction d'un Laboratoire sec sur la

Plus en détail

Défauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification

Défauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification chapitre page 7 Index CHAPITRE 7 CATÉGORIES DES DÉFAUTS 7.1 Abrasion 7.2 Cloque 7.3 Canal de fuite 7.4 Joint comprimé (ou séparation des couches dans la zone de scellage) 7.5 Joint contaminé 7.6 Joint

Plus en détail

ICS Destiné à remplacer EN 926-1:1995. Version Française

ICS Destiné à remplacer EN 926-1:1995. Version Française NORME EUROPÉENNE EUROPÄISCHE NORM EUROPEAN STANDARD PROJET pren 926-1 Mars 2004 ICS Destiné à remplacer EN 926-1:1995 Version Française Equipement pour le parapente - Parapentes - Partie 1: Prescriptions

Plus en détail

1.2.1 Enlever et disposer, en tant que déchets de fientes de pigeon, tous les matériaux et les débris des surfaces situées dans la zone des travaux.

1.2.1 Enlever et disposer, en tant que déchets de fientes de pigeon, tous les matériaux et les débris des surfaces situées dans la zone des travaux. TRAVAUX DE NETTOYAGE DES FIENTES DE PIGEON TABLE DES MATIÈRES PAGE TRAVAUX DE NETTOYAGE DES FIENTES DE PIGEON... 1 1 GÉNÉRALITÉS... 1 1.1 CONDITIONS GÉNÉRALES ET TRAVAUX CONNEXES... 1 1.2 DESCRIPTION DES

Plus en détail

Construction. Sarnavap 5000E SA. Pare-vapeur. Description du produit. Tests

Construction. Sarnavap 5000E SA. Pare-vapeur. Description du produit. Tests Notice Produit Edition 09.2012 Identification no4794 Version no. 2012-208 Sarnavap 5000E SA Pare-vapeur Description du produit Sarnavap 5000E SA est un pare-vapeur auto-adhésif pour système en adhérence

Plus en détail

Eléments mobiles du moteur Moteur 1/9

Eléments mobiles du moteur Moteur 1/9 Eléments mobiles du moteur Moteur 1/9 I Diagnostic des anomalies - Perte de compression ( par les segment ou par le piston ). - Consommation d huile ( remontée d huile dans la chambre ). - Bruits de fonctionnement

Plus en détail

Navette SecurLine SL50 Notice d utilisation & d entretien Référence du document : SL-SL50 2013 V1-0 Mise à jour le 25 Juillet 2013

Navette SecurLine SL50 Notice d utilisation & d entretien Référence du document : SL-SL50 2013 V1-0 Mise à jour le 25 Juillet 2013 I. Navette SecurLine SL50 Notice d utilisation & d entretien Référence du document : SL-SL50 2013 V1-0 Mise à jour le 25 Juillet 2013 I. Introduction... 1 II. Rappel... 1 III. Consigne d utilisation...

Plus en détail

Le défi : L'avantage Videojet :

Le défi : L'avantage Videojet : Note d'application Impression-pose d'étiquettes Améliorez votre rendement : passez des applicateurs mécaniques à l'étiquetage Direct Apply TM Le défi : Au cours de ces 20 dernières années, les systèmes

Plus en détail

Atelier Mécanique de Production. Spécialiste de la mécanique générale et de précision.

Atelier Mécanique de Production. Spécialiste de la mécanique générale et de précision. Spécialiste de la mécanique générale et de précision. Présentation de la société Nos activités principales sont : L étude et la conception DAO, CFAO, développement de systèmes mécaniques,... L usinage

Plus en détail

LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES

LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES CONGRÈS MATÉRIAUX 2014 Colloque 6 «Corrosion, vieillissement, durabilité, endommagement» LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES Une méthode non destructive pour contrôler le vieillissement et l endommagement

Plus en détail

Carport Evolution 1 Voiture Adossant - 710470 -

Carport Evolution 1 Voiture Adossant - 710470 - Carport Evolution 1 Voiture Adossant - 710470-1 N O T I C E D E M O N T A G E du Carport Evolution 1 Voiture Adossant Après l ouverture du colis de votre Carport, n exposez pas les panneaux au rayonnement

Plus en détail

CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES

CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES Le cœur du produit de pointe que nous avons étudié et réalisé pour le secteur médical est représenté par le nouveau thermostat électronique HACCP, de série

Plus en détail

PARTIE 4 PROCESSUS DE SURVEILLANCE DES PRODUITS CERTIFIES MODIFICATIONS ET EVOLUTION

PARTIE 4 PROCESSUS DE SURVEILLANCE DES PRODUITS CERTIFIES MODIFICATIONS ET EVOLUTION REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NFPOSTES DE SECURITE MICROBIOLOGIQUE PARTIE 4 PROCESSUS DE SURVEILLANCE DES PRODUITS CERTIFIES MODIFICATIONS ET EVOLUTION SOMMAIRE 4.1. Processus de surveillance des produits

Plus en détail

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s) Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS

Plus en détail

pro-part Ficha técnica Applications recommandées Matériaux Supports

pro-part Ficha técnica Applications recommandées Matériaux Supports Ficha técnica pro-part Profilé décoratif pour revêtements céramiques, permet de remplacer la traditionnelle frise décorative en céramique. Convient à la finition des angles et des transitions entre carreaux

Plus en détail

RAPPORT D'ENQUÊTE D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE ÎLE-DE-MONTRÉAL-1 ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN EMPLOYEUR AU 426, RUE GAGNÉ, LASALLE LE 7 JUILLET 2003

RAPPORT D'ENQUÊTE D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE ÎLE-DE-MONTRÉAL-1 ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN EMPLOYEUR AU 426, RUE GAGNÉ, LASALLE LE 7 JUILLET 2003 EN003429 RAPPORT D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE ÎLE-DE-MONTRÉAL-1 ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN EMPLOYEUR AU 426, RUE GAGNÉ, LASALLE LE 7 JUILLET 2003 PAUL LÉTOURNEAU, ING., INSPECTEUR TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

INGOLD Leading Process Analytics

INGOLD Leading Process Analytics INGOLD Leading Process Analytics Systèmes de Turbidité Sondes InPro 8000 Transmetteurs Trb 8300 Qualité du produit et fiabilité du procédé améliorées Productivité accrue Adaption simple du procédé Usage

Plus en détail

MODE DE POSE DU SYSTÈME AXIOM MC PROFILÉ

MODE DE POSE DU SYSTÈME AXIOM MC PROFILÉ MODE DE POSE DU SYSTÈME AXIOM MC PROFILÉ Axiom Profilé est un système de garniture de périmètre sur mesure conçu pour les systèmes de suspension de panneaux acoustiques ou de mur sec d'armstrong. En tant

Plus en détail

Evolution des techniques de CND par électromagnétisme et ultrasons pour un contrôle fiable des soudures

Evolution des techniques de CND par électromagnétisme et ultrasons pour un contrôle fiable des soudures Evolution des techniques de CND par électromagnétisme et ultrasons pour un contrôle fiable des soudures E. CRESCENZO a, A. PELLETIER a a IXTREM 7 rue du Verger 71530 SASSENAY ixtrem@wanadoo.fr RESUME:

Plus en détail

Contrôle des installations nucléaires de base. Inspection n INSSN-CAE-2012-0634 du 15 février 2012.

Contrôle des installations nucléaires de base. Inspection n INSSN-CAE-2012-0634 du 15 février 2012. REPUBLIQUE FRANCAISE Division de Caen Hérouville-Saint-Clair, le 20 février 2012 N/Réf. : CODEP-CAE-2012-008140 Monsieur le Directeur de l Aménagement de Flamanville 3 BP 28 50340 FLAMANVILLE OBJET : Contrôle

Plus en détail

1 la loi: la loi du 4 août 1996 relative au bien-être des travailleurs lors de l'exécution de leur travail;

1 la loi: la loi du 4 août 1996 relative au bien-être des travailleurs lors de l'exécution de leur travail; Arrêté royal du 30 août 2013 fixant des dispositions générales relatives au choix, à l'achat et à l'utilisation d'équipements de protection collective (M.B. 7.10.2013) Chapitre I er. - Dispositions relatives

Plus en détail

Adhésif structural pour le collage de renforts

Adhésif structural pour le collage de renforts Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à

Plus en détail

DIRECTIVE D'APPLICATION

DIRECTIVE D'APPLICATION DIRECTIVE D'APPLICATION S & PD 10 MARS 2015 / VERSION 2.0 / SIKA SCHWEIZ AG / OLIVER HAASE SOMMAIRE 1 Domaine d'utilisation 3 2 Produits 3 2.1 S 3 2.2 PD 3 2.3 Système de colles Sikadur 3 3 Exigences concernant

Plus en détail

Système d enregistreurs de données WiFi

Système d enregistreurs de données WiFi Système d enregistreurs de Saveris 2 La surveillance de la température et de l humidité réinventée Transmission des données via WiFi Toutes les données de mesure disponibles à tout moment, partout, sur

Plus en détail

BEP Maintenance des produits et équipements industriels. Annexe I a. Référentiel des activités professionnelles. Page 4 sur 45

BEP Maintenance des produits et équipements industriels. Annexe I a. Référentiel des activités professionnelles. Page 4 sur 45 Annexe I a Référentiel des activités professionnelles Page 4 sur 45 Présentation Le diplôme du brevet d études professionnelles «Maintenance des produits et équipements industriels» (MPEI) valide un ensemble

Plus en détail

ESSAIS DE MISE EN MARCHÉ

ESSAIS DE MISE EN MARCHÉ 13.1 OBJECTIFS................................................................. 13-1 13.1.1 Objectifs de ce chapitre.................................................... 13-1 13.1.2 Objectifs d un essai

Plus en détail

Sont assimilées à un établissement, les installations exploitées par un employeur;

Sont assimilées à un établissement, les installations exploitées par un employeur; Arrêté royal du 4 décembre 2012 concernant les prescriptions minimales de sécurité des installations électriques sur les lieux de travail (M.B. 21.12.2012) Section I er. - Champ d'application et définitions

Plus en détail

2. Activités et Modèles de développement en Génie Logiciel

2. Activités et Modèles de développement en Génie Logiciel 2. Activités et Modèles de développement en Génie Logiciel Bernard ESPINASSE Professeur à l'université d'aix-marseille Plan Les Activités du GL Analyse des besoins Spécification globale Conceptions architecturale

Plus en détail

NOXTECH GARDE-CORPS EN VERRE. économique sûr facile à monter. Le système de balustrade

NOXTECH GARDE-CORPS EN VERRE. économique sûr facile à monter. Le système de balustrade NOXTECH Le système de balustrade GARDE-CORPS EN VERRE économique sûr facile à monter PROFIL POUR GARDE-CORPS EN VERRE Le verre remplace ou complète toujours plus les matériaux conventionnels, il permet

Plus en détail

= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE

= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe

Plus en détail

SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE

SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L - 72 FOURNITURE DE SEMELLES ELASTIQUES POUR LA FIXATION DE VOIE "TYPE BOTZELAER" EDITION: 04/2001 Index 1. INTRODUCTION... 3 1.1. DOMAINE

Plus en détail

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE , ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.

Plus en détail

Série sur les Principes de Bonnes Pratiques de Laboratoire et Vérification du Respect de ces Principes Numéro 4 (version révisée)

Série sur les Principes de Bonnes Pratiques de Laboratoire et Vérification du Respect de ces Principes Numéro 4 (version révisée) Non classifié ENV/JM/MONO(99)20 ENV/JM/MONO(99)20 Or. Ang. Non classifié Organisation de Coopération et de Développement Economiques OLIS : 22-Oct-1999 Organisation for Economic Co-operation and Development

Plus en détail

La réglementation et les obligations qui en découlent

La réglementation et les obligations qui en découlent Accessibilité en milieu urbain La réglementation et les obligations qui en découlent Actualités : les BEV La norme Afnor NF P 98-351 relative aux caractéristiques et essais des dispositifs podotactiles

Plus en détail

Le zinc source d inspiration

Le zinc source d inspiration Le zinc source d inspiration Programme de livraison NedZink Depuis plus d un siècle déjà, NedZink fabrique des produits haut de gamme en zinc pour le secteur de la construction. Les produits semi-finis

Plus en détail

Marquage CE Mode d emploi SOMMAIRE : I. Les produits concernés

Marquage CE Mode d emploi SOMMAIRE : I. Les produits concernés Marquage CE Mode d emploi Août 2014 SOMMAIRE : I. Les produits concernés II. Les acteurs concernés a. Le fabricant b. Le mandataire c. L importateur d. Le distributeur III. La mise en conformité des produits

Plus en détail

CHROMOPHARE Génération F : éclairage innovant à réflecteur avec LED. Un concept et un design d'éclairage qui réunissent fonctionnalité et esthétique

CHROMOPHARE Génération F : éclairage innovant à réflecteur avec LED. Un concept et un design d'éclairage qui réunissent fonctionnalité et esthétique CHROMOPHARE Génération F : éclairage innovant à réflecteur avec LED Un concept et un design d'éclairage qui réunissent fonctionnalité et esthétique Tuttlingen, novembre 2011 - La nouvelle CHROMOPHARE Génération

Plus en détail

B1 Cahiers des charges

B1 Cahiers des charges B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails

Plus en détail

Avis Technique 14/04-912 MULTYRAMA

Avis Technique 14/04-912 MULTYRAMA Avis Technique 14/04-912 Révision de l Avis Technique 14/01-621 Système de canalisations multicouches Multilayer piping system Verbundrohre Systeme Ne peuvent se prévaloir du présent Avis Technique que

Plus en détail

N 15 PLOMBERIE /CHAUFFAGE SUJET

N 15 PLOMBERIE /CHAUFFAGE SUJET PLOMBERIE /CHAUFFAGE SUJET Sélections régionales 2012 SOMMAIRE A. Explication du sujet... 3/4 B. Déroulement du concours... 5 C. Matériaux et consommables... 6/7 D. Caisse à outils... 8 E. Barème de correction...

Plus en détail

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...

Plus en détail

MACHINE A SOUDER MANUEL D UTILISATION

MACHINE A SOUDER MANUEL D UTILISATION MACHINE A SOUDER (Réf ME056) MANUEL D UTILISATION France DETECTION SERVICES ZA LA CIGALIERE 2 84250 LE THOR Tél. 04.90.33.75.14 Fax : 04.90.33.75.17 Contact: contact@fdspro.com Web site: fdspro.com 1 Affichage

Plus en détail

PROCEDURE DE CERTIFICATION IIW MCS SELON EN ISO 3834

PROCEDURE DE CERTIFICATION IIW MCS SELON EN ISO 3834 1 PROCEDURE DE CERTIFICATION IIW MCS SELON EN 2 SYNTHESE DES REVISIONS Révision 0 : Révision 1 : édition originale de la procédure modification du paragraphe 3.3.1 c) : critères pour évaluation des coordonnateurs

Plus en détail