Utilisation des données de surveillance épidémiologique pour l'élaboration de la politique vaccinale en France
|
|
- Carole Leroux
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Utilisation des données de surveillance épidémiologique pour l'élaboration de la politique vaccinale en France Isabelle Parent du Châtelet Académie nationale de pharmacie, Paris, 17 octobre 2012
2 Principaux systèmes de surveillance des maladies à prévention vaccinale en France Maladies à déclaration obligatoire Collecte de données individuelles Méningocoque, Rougeole, Diphtérie, Tétanos, Tuberculose, Polio, Hépatite B, Hépatite A, Fièvre Jaune Centre nationaux de référence caractéristiques microbiologiques, expertise, surveillance, alerte, conseils aux professionnels Méningocoque, Hi, Pneumocoque, Diphtérie, Bordetelles, Mycobactéries, Rougeole, Rubéole maternofœtale, Grippe, HPV, Hépatite B, Hépatite A, Entérovirus, Arbovirus Réseaux volontaires de surveillance Réseaux de laboratoires : Infections invasives bactériennes (EPIBAC), rubéole maternofœtale (RENARUB) Réseaux hospitaliers : Coqueluche (RENACOQ), Hépatites chroniques B et C Réseau des GROG : grippe Réseau Sentinelles (Inserm) Grippe, varicelle, zona, oreillons. Enquêtes périodiques ou ponctuelles Enquête de séroprévalence Enquêtes de couverture vaccinale Bases de données indirectes SNIIR-AM, EGB, Données de ventes des vaccins Surveillance syndromiques, autres
3 Réseaux de surveillance au niveau régional (Europe) ECDC + Bureau régional de l OMS Réseaux de surveillance spécifiques Diphtérie «European Diphtheria surveillance network (DIPNET)» Grippe «European influenza Surveillance Network (EISN)» Infections bactériennes invasives «European IBD Surveillance Network (EU-IBD)» Maladies à prévention vaccinale «European VPD Surveillance Network (EUVAC-Net)» Tuberculose «European Tuberculosis Surveillance Network». TESSy (European Surveillance System) Recueil, validation, analyse données individuelles ou agrégées Par exemple, la France transmet Chaque semaine : grippe (saison épidémique) Chaque mois : rougeole Chaque année : HepB, Diph, Hi, Méningo, Pneumo, Coqueluche, Polio, Tétanos CISID SI-Données transmises par Etats-Membres Réseau de laboratoires (rougeole, rubéole..) Laboratoires régionaux de référence Programmes spécifiques lutte contre la tuberculose ; éradication de la poliomyélite, élimination de la rougeole/rubéole lutte contre la diphtérie
4 Utilisation des données épidémiologiques dans le processus aboutissant à une recommandation vaccinale L épidémiologie est un des paramètres intervenant dans le processus décisionnel concernant un nouveau vaccin / nouvelle stratégie vaccinale Incidence, morbidité sévère, mortalité, taux de séquelles Populations à haut risque (mode de vie, profession, leur lieu de résidence ) Epidémiologie + surveillance des effets secondaires = Balance bénéfice/risque Modélisation mathématique de l impact de la vaccination Modélisation médico-économique Suivi de l impact épidémiologique des vaccins Evolution de l incidence / Etudes de comparaisons avant-après Réceptivité à la maladie (séro-épidémiologie) Efficacité dans les conditions d utilisation réelle / études «d effectiveness» Couverture vaccinale
5 Conséquences favorables ou défavorables de l immunité de groupe Utilisation à large échelle peut induire des effets collectifs indirects, au delà du bénéfice direct de protection des sujets vaccinés Ils peuvent être préjudiciables par modification défavorable de l épidémiologie de la maladie par la vaccination Pour les maladies à transmission strictement inter-humaine du nombre de cas => risque d infection pour les sujets non vaccinés (immunité de groupe) déplacement de la maladie vers des âges où elle est plus sévère émergence de génotypes ou sérotypes non vaccinaux de remplacement Ces effets peuvent être bénéfiques de l'incidence pour les sujets non vaccinés ou non vaccinables élimination d une maladie sans atteindre 100 % de couverture
6 Incidence des méningites à Haemophilus influenzae Enfants de moins de 5 ans - France Taux/ Moins de 1 an De 1 à 2 ans De 3 à 4 ans Source : réseau Epibac
7 Quelques exemples Suivi d impact de la modification d une stratégie vaccinale BCG Adaptation d une stratégie vaccinale Pneumocoque Rougeole Introduction d un nouveau vaccin Méningocoque C
8 Taux pour Vaccination BCG jusqu en 2007 BCG Réglementation jusqu en 2004 Vaccination dès le premier mois pour les enfants vivant dans un milieu à risque Obligatoire pour l entrée en collectivité (et donc au plus tard à 6 ans) Couverture vaccinale en France à 24 mois stable à % entre 2001 et 2004 Suppression de toute revaccination depuis 2004 Janvier 2006 : retrait du marché du vaccin par multipuncture (Monovax ) : Baisse immédiate de la CV La vaccination systématique et obligatoire restait-elle justifiée? Morbidité et mortalité* liées à la tuberculose, France métropolitaine, Sources: InVS (déclaration obligatoire), INSERM (CépiDc) 32,5 3, Année Maladies Décès , ,3 * Tuberculose en cause principale de décès
9 Impact des modifications des modalités de vaccination BCG sur l épidémiologie de la tuberculose? Expertises 2004 et 2006 Définition suédoise des enfants à risque - Enfant de nationalité étrangère - Enfant de famille provenant d un pays de forte prévalence - Antécédent familial de tuberculose - Séjour prolongé prévu dans une pays de forte endémicité - 12 % des enfants en France (Ined / Insee) Lévy-Bruhl D, Rev Epidemiol Sante Publique des critères UICTMR pour envisager arrêt vaccination généralisée Taux annuel BAAR+< 5/
10 Balance bénéfices/risques chez enfants <15 ans de différentes options de modification de la primovaccination BCG (hypothèse moyenne d efficacité du BCG *) BCG BCG ciblé CV = 95 % BCG ciblé CV = 50 % Arrêt total Cas de TB additionnels BCGites 11 BCGites 12 BCGites Effets secondaires évités 260 adénites purulentes 280 adénites purulentes 300 adénites purulentes * Efficacité de 75 % contre les méningites et les miliaires, de 50 % contre les autres formes Arrêt obligation vaccinale + Vaccination des enfants à risque restent évités ¾ des cas préalablement évités Juillet 2007 : Suspension de l obligation vaccinale pour tous les enfants Mise en œuvre un plan national de lutte contre la tuberculose Forte recommandation de vaccination des enfants à risque élevé
11 Nombre de cas Evolution du nombre de cas déclarés <5 ans, Couverture vaccinale du BCG BCG 120 France (sans Ile de France et Guyane) Ile de France Guyane Années Baisse en IDF dans contexte global de baisse d incidence Hors Ile-de-France, diminution de la part des sujets vaccinés par le BCG Données pas en faveur d un impact au-delà de l attendu Couverture vaccinale BCG à 9 mois, région Ile-de-France, 2010* Nés n 2010 Ile de France 79% PMI 88% Libéral 67% (Données brutes avant redressement Source : Certificats de santé du 9 ème mois, services départementaux de PMI) Guthmann et al, BEH 2012
12 Taux pour ha Epidémiologie des infections à Pneumocoques, France Pneumocoque 1ère cause des infections invasives bactériennes : environ 7000/an, 1ère cause des méningites bactériennes : environ 700/an Incidence plus élevée aux âges extrêmes de la vie + groupes à risque Bactériém ies M éningites < 1 1 à 2 3 à 4 5 à à à et + Age (anné e s ) Réservoir : nasopharynx du jeune enfant rôle ++ des enfants dans la transmission Couverture sérotypique du PCV7 < 2 ans près de 70 % 2001 : AMM européenne 2003 : 1 ères recommandations : Enfants < 2 ans FDR liés au mode de vie ou médicaux 80% 2006 : vaccination universelle des enfants < 2 ans
13 Effet indirect : Evolution des infections invasives à pneumocoques de souches de sérotype vaccinal (STV), Etats-Unis Pneumocoque Source :CDC, MMWR 2003
14 Taux pour hab. % 1 dose à 6 mois Evolution de l incidence des infections invasives à pneumocoque vs 2009 et de la couverture vaccinale , France Absence d effet indirect? Pneumocoque < 2 ans 65 ans PCV7 +12% -22% 100% 90% 80% 70% 60% 50% ans +32% 40% 30% 20% 10% % Sources : Epibac, CNRP, Estimation de la couverture vaccinale à partir des données de l échantillon généraliste des bénéficiaires EGB (L. Fonteneau, InVS)
15 T a u x p o u r T a u x p o u r Evolution de l incidence des infections invasives à pneumocoque selon le sérotype chez les enfants de moins de 2 ans et les adultes de 65 ans et plus, France Pneumocoque 35 P C V < 2 ans vs 09 : STV : - 92% STNV : + 151% P C V 7 65 ans vs 09 : STV : - 70% STNV : + 109% Sources : Epibac, CNRP D après Agnès Lepoutre, invs
16 4 6B 9V 14 18C 19F 23F A 6C 7F 19A 22F 24F autrenonpcv13 Cas / Incidence des infections invasives à pneumocoque selon le sérotype chez les enfants de moins de 2 ans, versus , France Pneumocoque 8,0 19A, 7F : 53% des cas en ,0 6,0 5,0 4,0 3,0 2,0 1,0 0,0 7 Sérotypes vaccinaux 6 Sérotypes addititionnels (PCV13) Introduction des sérotypes de remplacement les plus fréquents dans la composition du vaccin conjugué 13-valent calendrier vaccinal du nourrisson en 2010 Sources : Epibac, CNRP D après Agnès Lepoutre, invs
17 Measles cases Distribution des cas de rougeole par mois et pays sièges des épidémies majeures, Région OMS Europe, Rougeole Ukraine Romania Bulgaria France ` 2011` Month and year Data Source: Monthly Measles Rubella Surveillance data, CDS/WHO/EURO Data as of Sep 2011
18 Caractéristiques de l épidémie en France ( ) Rougeole Incidence annuelle de la rougeole selon l âge en France Statut vaccinal des cas de rougeole selon les groupes d âge France, % 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% Vaccinés (? Doses) Vaccinés 2 doses Vaccinés 1 dose Non vaccinés 10% 0% < Groupes d'âge RRO1 à 12 mois RRO2 avant 2 ans 2 doses pour les sujets nés depuis dose pour sujets nées entre 1980 et 1991 Recommandation de 2 doses de vaccin trivalent au lieu d une seule pour les sujets nés entre 1980 et 1991
19 % de séronégatifs % de séronégatifs vis-à-vis de la rougeole chez les 6-49 ans, France métropolitaine 1998 vs Rougeole 12% 10% ESEN 1998 SéroInf % 6% Seuil OMS Europe 4% 2% 0% 11% 8% 7% 7% 2% 9% 1% 2% 0% 1% Groupe d'âge (année) Agnès Lepoutre, JNI 2011
20 IIM C France, Déclaration obligatoire et données du CNR des méningocoques Men-C IIM B IIM C % de PF 25 % 30 % Létalité 9 % 16 % Moyenne : 30 décès IIM C / an
21 Nombre de cas Modélisation de l impact de la vaccination contre le méningocoque C en France (vaccins conjugués) 2009 Men-C Choix du schéma vaccinal (3 versus 1 dose) Modèle dynamique de transmission prenant en compte de l immunité de groupe Années Situation actuelle 12 mois sans IG (cv=80%) 12 mois avec IG (cv=80%) mois sans IG (cv=65%) mois avec IG (cv=65%) Rattrapage (5 ans, CV 50%, < 20 ans) et rappel (12 ans, VC 80%) Source : CRESGE - InVS
22 Incidence (/ ) Avis du Haut conseil de la santé publique Men-C Impact attendu sur les nourrissons <1 an Vaccination intégrée dans le calendrier vaccinal 2010 Vaccination systématique des nourrissons à partir de l âge de 12 mois avec une seule dose Extension jusqu à l âge de 24 ans révolus avec une dose an 1-2 ans 2-5 ans 5-10 ans ans ans ans ans Vaccination 12 mois (CV 80%), rattrapage 2-20 ans (CV 50%), immunité de groupe
23 Discussion / Conclusions L épidémiologie et la prédiction de l impact épidémiologique sont des paramètres pris en compte dans l élaboration ou l adaptation d une politique vaccinale Autres paramètres : effets secondaires, aspect économiques, caractéristiques des vaccins, faisabilité de l introduction dans le calendrier vaccinal, perception sociale etc Dans contexte actuel, impact épidémiologique des nouveaux vaccins plus faible que pour les plus anciens (diphtérie, tétanos, poliomyélite ) Mortalité évitable par ces vaccins au maximum de quelques dizaines de décès par an versus quelques centaines/milliers (sauf vaccins HPV) Bénéfice de la vaccination est moins perçu du fait de ses succès (disparition des fléaux infectieux) Décision vaccinale plus vécue comme un arbitrage individuel et moins comme résultant de l application systématique d une décision prise à l échelle de la collectivité
Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis
Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis 12/09/2013 2 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012 : Nourrisson 3 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012
Plus en détailVACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES
VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation
Plus en détailClub Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005
Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE AVIS DU COMITE TECHNIQUE DES VACCINATIONS / DU CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE relatif à la vaccination par le vaccin
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailL assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices. Édition 2013
1 L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices Édition 2013 L assurance maternité Sommaire Les prestations maternité 3 Cas particuliers 8 Le congé paternité 11
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailSimplification du calendrier vaccinal. Collection Avis et Rapports
Simplification du calendrier vaccinal Collection Avis et Rapports Simplification du calendrier vaccinal Rapport 21 décembre 2012 Ce rapport a été adopté par la Commission spécialisée Maladies transmissibles
Plus en détailVaccinations et milieu professionnel
La place de la vaccination dans la prévention des risques infectieux La prévention des risques infectieux au travail ne se réduit pas à la protection vaccinale. La vaccination s inscrit comme une des mesures
Plus en détailvaccinale en France Mesure de la couverture Bilan des outils et des méthodes en l an 2000
Mesure de la couverture vaccinale en France Bilan des outils et des méthodes en l an 2000 Document préparé par le Comité de pilotage sur la couverture vaccinale en France sous la coordination de l InVS
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2006. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2006 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 200 La vaccination contre les infections invasives à méningocoque Depuis l introduction du vaccin contre
Plus en détailTout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans. Mikalou se fait vacciner
Tout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans Mikalou se fait vacciner Récit Mikalou n a peur de rien Dans le jardin, Mikalou s assoit sur la balançoire. Il n est pas une poule mouillée, et pourtant, il
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailÉvolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détailCalendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS.
Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS. Sommaire 1. Points-clés sur les nouvelles recommandations 4 2. Recommandations 5 Vaccination des personnes
Plus en détailLe niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france
Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Jean-Paul Guthmann, Pierre Chauvin, Yann Le Strat, Marion Soler,
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailSYNDICAT NATIONAL DE L ENSEIGNEMENT PRIVE
SYNEP Le «+ santé» Le «+ santé» est une mutuelle santé réservée aux adhérents de la CFECGC, à des conditions préférentielles négociées par la CFECGC en décembre 2007. Le «+ santé», mis à disposition des
Plus en détailPARTAGER NOTRE PASSION. Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins
PARTAGER NOTRE PASSION Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins PARTAGER NOTRE PASSION LIVRET DE PRÉSENTATION DE LA VACCINATION ET DE NOS VACCINS Ces hommes qui ont fait l histoire de
Plus en détailDu 20 au 27 avril 2013 Semaine européenne de la vaccination
Du 20 au 27 avril 2013 Semaine européenne de la vaccination Vaccination : êtes-vous à jour? DOSSIER DE PRESSE Dossier de presse national complété des informations en Vaucluse où la semaine se prolonge
Plus en détailLA VACCINATION PROFESSIONNELLE
F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège
Plus en détailSTAGE DE NATATION. Perfectionnement A GRAND-COURONNE. Comité Ile de France de Natation. (Bassin de 50m couvert) Du 6 au 10 juillet 2015
Comité Ile de France de Natation STAGE DE NATATION Perfectionnement A GRAND-COURONNE (Bassin de 50m couvert) Du 6 au 10 juillet 2015 Ouvert aux 11 / 13 ans - Licencié(e)s FFN 340 Transport compris - Départ
Plus en détailLA CAISSE PRIMAIRE D ASSURANCE MALADIE (CPAM) COMMENT ÇA MARCHE?
LA CAISSE PRIMAIRE D ASSURANCE MALADIE (CPAM) COMMENT ÇA MARCHE? La CPAM (sécurité sociale) permet d être remboursé entre 15 et 100% en fonction des soins donnés. Une mutuelle peut prendre en charge le
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailVaccins et chimiothérapies chez l adulte
Vaccins et chimiothérapies chez l adulte 1 1 Coordination Pr Odile LAUNAY (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris), Dr Pierre LOULERGUE (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris) Membres du groupe de travail
Plus en détailURGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS
1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 décembre 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 décembre 2010 MENVEO, poudre et solution pour injection Vaccin méningococcique des groupes A, C, W-135 et Y conjugué B/1 flacon + 1 seringue préremplie (CIP: 360 379-1)
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction de la prévention des risques infectieux Bureau des maladies infectieuses, des risques
Plus en détailA C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007
Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Edouard BINGEN, Robert COHEN, Corinne LEVY, France de La ROCQUE, Emmanuelle VARON, Yannick AUJARD, pour le GPIP-ACTIV Objectifs de l Observatoire des Méningites
Plus en détailLa politique vaccinale de la France
COMMUNICATION A LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES DU SENAT ARTICLE LO. 132-3-1 DU CODE DES JURIDICTIONS FINANCIERES La politique vaccinale de la France Octobre 2012 SOMMAIRE Avertissement... 5 Résumé...
Plus en détailGARANTIE Optimale. garantie santé
GARANTIE Mutuelle Référencée Ministère De la Défense Pour vous et votre famille, vous voulez ce qui se fait de mieux : une protection santé optimale et des prestations vous garantissant les meilleurs soins.
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailRougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche
Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche Comment protéger vos enfants? La seule protection efficace : la vaccination R.O.R COQUELUCHE ANNUAIRE Livret élaboré en partenariat avec : Conseil Général du Loir-et-Cher
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détailACADÉMIE NATIONALE DE PHARMACIE
ACADÉMIE NATIONALE DE PHARMACIE SANTÉ PUBLIQUE - MÉDICAMENT - PRODUITS DE SANTÉ - BIOLOGIE - SANTÉ ET ENVIRONNEMENT Fondée le 3 août 1803 sous le nom de Société de Pharmacie de Paris Reconnue d utilité
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailPLAQUETTE D INFORMATION
Mutuelle du personnel du groupe Société Générale PLAQUETTE D INFORMATION Registre National des Mutuelles N 784 410 805 Juillet 2010 Comment calculer un taux de remboursement de Mutuelle? Les remboursements
Plus en détailRETOUR D EXPÉRIENCE SUR LA CANICULE DE JUILLET 2006
RETOUR D EXPÉRIENCE SUR LA CANICULE DE JUILLET 2006 A. Fouillet 1, G. Rey 1,2, P. Bessemoulin 3, P. Frayssinet 3, E. Jougla 2, D. Hémon 1 (1) Inserm U4 IFR6 Epidémiologie environnementale des cancers,
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2012 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 293 Vaccinations pour les personnels de santé INTRODUCTION La vaccination des personnels de santé a
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailMutuelle santé. Vous pourrez. toujours compter. sur votre mutuelle! Activance TNS
Mutuelle santé Activance TNS Vous pourrez toujours compter sur votre mutuelle! Activance TNS Le haut de gamme pour les professionnels! Les Produit Prise en charge maximale pour l hospitalisation dès la
Plus en détailPour l'entrée en institut de formation paramédicale
FORMER Dossier médical Pour l'entrée en institut de formation paramédicale Avril 2015 Aide-soignant-e Auxiliaire de puériculture Infirmier-e Masseur-kinésithérapeute Manipulateur-trice en électroradiologie
Plus en détailC a p a c i t é d e M é d e c i n e T r o p i c a l e
C a p a c i t é d e M é d e c i n e T r o p i c a l e Etude préalable à la mise en place du carnet de vaccination électronique au Burkina Faso Présenté par MME DELPHINE RUIZ Directeur Pr JEAN-LOUIS KOECK
Plus en détailPROTOCOLE D IMMUNISATION DU QUÉBEC, ÉDITION MAI 2013 Liste des mises à jour d AVRIL 2014
PROTOCOLE D IMMUNISATION DU QUÉBEC, ÉDITION MAI 2013 Liste des mises à jour d AVRIL 2014 Mois Année Chapitre Section Sujets : changements - nouveautés Pages à changer Avril 2014 Table des matières Correction
Plus en détailReprésentant légal 1. Représentant légal 2. Situation de la famille
DOSSIER FAMILLE PERISCOLAIRE 2014-2015 Ce dossier est à rendre en mairie avec les pièces justificatives et ce, quelque soit votre situation avant le Tout dossier non complet ne sera pas traité. Date de
Plus en détailCOMPRENDRE LES MODALITES PRATIQUES DES VERSEMENTS
Bulletin de Versement AMPLISSIM PEE Ce document vous permet de : comprendre les modalités pratiques des versements, prendre connaissance des Conditions Générales d adhésion et de fonctionnement du service
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailContacts Presse Leem : Stéphanie Bou-Fleurot - Tél : 01 45 03 88 38-06 60 46 23 08 - sfleurot@leem.org Virginie Pautre - Tél : 01 45 03 88 87 -
50 QUESTIONS SUR LES VACCINS Contacts Presse Leem : Stéphanie Bou-Fleurot - Tél : 01 45 03 88 38-06 60 46 23 08 - sfleurot@leem.org Virginie Pautre - Tél : 01 45 03 88 87 - vpautre@leem.org 1 Les vaccins,
Plus en détailComparaison technique de l assurance maladie des quatre principaux régimes de protection sociale des doctorants en France
Comparaison technique de l assurance maladie des quatre principaux régimes de protection sociale des doctorants en France Les régimes considérés sont : Régime général de l Assurance maladie française Sécurité
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailGARANTIE Naturelle Pour aborder vos missions l esprit tranquille, vous devez vous sentir bien protégé. Naturelle a été pensée pour vous apporter
GARANTIE Pour aborder vos missions l esprit tranquille, vous devez vous sentir bien protégé. a été pensée pour vous apporter les garanties adaptées à vos attentes. La protection de votre famille est assurée
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3283 Convention collective nationale IDCC : 2021. GOLF AVENANT N 58 DU 12 FÉVRIER
Plus en détailSEBBAH (URPS-ML PACA),
ét udes et résultats N 910 mars 2015 Vaccinations : attitudes et pratiques des médecins généralistes Depuis près de deux siècles, la vaccination est un mode de prévention essentiel des maladies infectieuses
Plus en détailVaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques
Vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques Recommandations Collection Avis et Rapports Vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques Recommandations Rapport 2012 Haut Conseil
Plus en détailSMACL. Santé. Protection complémentaire santé. avec. Proposition de contrat collectif à adhésions facultatives
avec SMACL Santé En protégeant la santé des agents, nous assurons la qualité du service public territorial. Protection complémentaire santé Proposition de contrat collectif à adhésions facultatives Solidaire
Plus en détailDES PÈLERINS SE RENDANT À LA MECQUE
DES PÈLERINS SE RENDANT À LA MECQUE Pour accomplir votre pèlerinage, vous devez acheter votre voyage auprès d un opérateur immatriculé au registre des opérateurs de voyages et de séjours tenu par Atout
Plus en détailLa vaccination, une bonne protection
Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie
Plus en détailPlace et limites de la vaccination en santé au travail. Audition d experts
dmt TC d o s s i e r m é d i c o - t e c h n i q u e 122 Place et limites de la vaccination en santé au travail Audition d experts Une audition d experts (encadré 1), organisée par l INRS, a eu lieu à
Plus en détailDOSSIER D INSCRIPTION
DOSSIER D INSCRIPTION AUX ACCUEILS PERISCOLAIRES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES AGLY-FENOUILLEDES NAP ALSH DES MERCREDIS APRES-MIDI ALAE RESTAURATION SCOLAIRE Nom de l enfant :... Prénom :... Date de naissance
Plus en détailREGLEMENT MUTUALISTE
REGLEMENT MUTUALISTE TITRE I OBJET DE LA MUTUELLE CHAPITRE 1 er DÉNOMINATION DE LA MUTUELLE Article 1er Il est constitué une mutuelle dénommée MUTUELLE CHEMINOTS NORD qui est une personne morale de droit
Plus en détailPlan québécois de promotion de la vaccination
Plan québécois de promotion de la vaccination INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Plan québécois de promotion de la vaccination Direction des risques biologiques et de la santé au travail Octobre
Plus en détailDECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI)
DECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI) Arrêté du 5 juillet 2012 portant fixation du document type de la déclaration publique d'intérêts mentionnée à l'article L. 1451-1 du code de la santé publique Je soussigné(e)
Plus en détailPHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes
PHP 2 Pratique en santé publique fondée sur des données probantes But Les professionnels de la santé publique suivent de plus en plus une approche fondée sur des données probantes lorsqu il s agit de planifier,
Plus en détailMise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier
Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service
Plus en détailLe salaire des internes en DES de Médecine Générale
Le salaire des internes en DES de Médecine Générale *************** «Le salaire est la contrepartie du travail fourni» Guide pratique du droit au travail, La Documentation Française. **************** (I)
Plus en détailRÈGLEMENT DE FONCTIONNEMENT
REPUBLIQUE FRANÇAISE DEPARTEMENT de la CORREZE MAIRIE DE 19360 Cosnac Maison de la Petite Enfance Lotissement les Bouleaux 19360 COSNAC tél : 05 55 22 86 54 RÈGLEMENT DE FONCTIONNEMENT -------------------------------------------------------------------
Plus en détailVACCINER? MIEUX COMPRENDRE POUR DÉCIDER. ProVac
Comité de rédaction : M.C. Miermans, Provac, Université de Liège, Service STES-APES Dr B. Swennen, Provac, Université libre de Bruxelles, Ecole de santé publique M.C. de Terwangne, Service Education pour
Plus en détailGARANTIE VIAGÈRE IMMÉDIATE
Quelle est la date d effet de mon adhésion? Mon adhésion A défaut d user de ma faculté de renonciation prévue à l article L. 121-25 du Code de la Consommation et par dérogation à l article 3 du règlement
Plus en détailLes complémentaires santé et prévoyance sont déjà obligatoires dans les entreprises de certaines branches professionnelles.
ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL (2013/2014) «Rien n est permanent, sauf le changement.» (Bouddha) Reprenant strictement les décisions de l'ani, le texte de loi (décembre 2013) prévoit la généralisation
Plus en détailLa stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand
La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand 1 Quelles questions se poser? 1. La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle efficace? 2. Combien coûtent les colonisations/infections
Plus en détailRubrique SNIIRAM dans Statistiques et publications/ameli.fr
Rubrique SNIIRAM dans Statistiques et publications/ameli.fr Contenu Finalités du SNIIRAM... 2 Structure du SNIIRAM... 3 Comment est constitué le SNIIRAM?... 3 Comment sont restituées les données du SNIIRAM?...
Plus en détailMéthode et exemples d application. Congrès SFSE - Jeudi 15 décembre 2011
Exploitation des données de remboursement de médicaments de la Cnam-TS pour l'investigation rétrospective d'épidémie de Gastro-Enterites Aigues d origine hydrique Méthode et exemples d application Congrès
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailAudition publique sur la vaccination. Levée de l obligation vaccinale? Suivi de la synthèse et des recommandations de la Commission d Audition
Audition publique sur la vaccination des enfants par le BCG. Levée de l obligation vaccinale? Suivi de la synthèse et des recommandations de la Commission d Audition 13-14 novembre 2006 Société française
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailLes vaccinations en milieu professionnel
Les vaccinations en milieu professionnel Mise à jour Août 2008 Dans le cadre de la prévention du risque biologique, le code du travail précise, aux articles R.4421-1 et suivants, la démarche d'analyse
Plus en détailÉvaluation de la pertinence d un nouveau vaccin antipneumococcique conjugué au Québec INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC
Évaluation de la pertinence d un nouveau vaccin antipneumococcique conjugué au Québec INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Rapport Évaluation de la pertinence d un nouveau vaccin antipneumococcique
Plus en détailImportance de la Vaccination
VACCINER! Importance de la Vaccination VACCINER! «La vaccination complète de l enfant avant son premier anniversaire constitue son premier passeport pour la vie. Il est de notre devoir de nous assurer
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailL appel d offres «Equipes labellisées FRM 2016 présélection 2015» sera diffusé en avril 2015. Critères généraux concernant les aides individuelles
PROGRAMME 2015 ESPOIRS DE LA RECHERCHE Le programme Espoirs de la recherche de la Fondation pour la Recherche Médicale soutient des projets de recherche dans tous les domaines de la biologie et de la santé.
Plus en détailGARANTIE VIAGÈRE IMMÉDIATE
INITIAL Mon adhésion Quelle est la date d effet de mon adhésion? A défaut d user de ma faculté de renonciation prévue à l article L. 121-25 du Code de la Consommation et par dérogation à l article 3 du
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailGuide des stages des étudiants en entreprise
Guide des stages des étudiants en entreprise Ce guide vient compléter la charte des stages étudiants en entreprise (1) rédigée par les services de l État, les représentants des entreprises, des établissements
Plus en détail4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)?
GENERALITES SUR : SANTE et MALADIE SOINS de SANTE PRIMAIRES (SSP) INITIATIVE de BAMAKO (IB) Objectifs généraux Au terme de ce module de formation, les participants devraient être capables de: Comprendre
Plus en détail* Certificat de secourisme. * Certificat de RCR S S S S S R
Il est essentiel de communiquer oralement et par écrit en français et en anglais lors des stages cliniques. Échéanciers: R Avant la rentrée S Avant le stage Assistant de l'ergothérapeute et assistant du
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailCahier des Charges AMOA - Cartographie des solutions SI Sophie de Visme
Cahier des Charges AMOA - Cartographie des solutions SI Sophie de Visme Date de création : 11/02/2010 Statut : Validé Date de révision : 22/02/2010 Critère de diffusion : Public Version : 1.1 1 Introduction...
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDéveloppement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire
Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire JL Marchand E Imbernon M Goldberg (Département Santé Travail) Présentation / rappels Département Santé Travail de
Plus en détailRESTAURANT SCOLAIRE MACOT ET LA PLAGNE LA PLAGNE Tél. 04.79.06.87.62 MACOT : Tél. 04.79.08.97.83
REGLEMENT INTERIEUR Les services de cantines scolaires, qui n ont pas de caractère obligatoire, ont pour but, de permettre la restauration des enfants scolarisés, dont les parents travaillent. Les enfants
Plus en détailASSOCIATION GESTIONNAIRE DE CFA DU RÉSEAU CCCA-BTP Complémentaire santé
ASSOCIATION GESTIONNAIRE DE CFA DU RÉSEAU CCCA-BTP Complémentaire santé NOTICE D INFORMATION ÉDITION 2012 PARTICULIERS GARANTIES Les remboursements sont exprimés soit en forfait, soit en pourcentage de
Plus en détailLÉGUEZ-LEUR UN AVENIR!
LÉGUEZ-LEUR UN AVENIR! 1 SOMMAIRE Page 3 Unhéritage àpartager Pages 4-5 Le legs: un geste pour la vie Pages 6-8 Tendez-leur la main en leur offrant un avenir! Pages 9-11 Vous vous posez des questions?
Plus en détail