Contexte mondial, national et régional. L activité physique et sportive. Les aides : l APA, l ASI et l APSA

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1 Contexte mondial, national et régional L activité physique et sportive Les aides : l APA, l ASI et l APSA

2 Contexte mondial, national et régional : quelques chiffres MONDE FRANCE GUADELOUPE Le vieillissement de la population mondiale dans les pays en développement comme dans les pays développés est un indicateur de l amélioration de la santé. Selon l Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le vieillissement de la population mondiale se confirme. Entre 2006 et 2050, la proportion des personnes âgées de 60 ans ou plus dans la population mondiale devrait être multipliée par deux, passant de 11 % (650 millions) en 2006 à 22 % (2 milliards) en Au 1 er janvier 2006, 21,1 % de la population française est âgée de 60 ans ou plus. Selon l INSEE, la population des personnes âgées de 75 ans ou plus sera multipliée par 2,5 entre 2000 et 2040, pour atteindre plus de 10 millions de personnes. Au 1 er janvier 2006, les personnes âgées de 60 ans ou plus représentent 16,6 % de la population guadeloupéenne ; l espérance de vie à la naissance est de 75,0 ans pour les hommes et de 82,7 ans pour les femmes. Même si la Guadeloupe est la troisième région de France la plus jeune, l écart se réduit régulièrement depuis En effet, la part des 60 ans ou plus a augmenté de 2,6 points entre 1999 et Entre 2006 et 2030, la proportion des personnes âgées de plus de 60 ans devrait être multipliée par deux et atteindre 31 % en L activité physique et sportive L activité physique et le maintien de l autonomie des personnes âgées Selon l OMS, «une activité physique régulière améliorerait l état fonctionnel et la qualité de vie des personnes âgées. Il leur est ainsi recommandé d avoir au moins 30 minutes d activité physique d intensité modérée 5 jours par semaine en fonction de leur situation». En France, deux plans nationaux recommandent l activité physique des seniors : o Le Plan National Nutrition Santé o Le Plan Bien vieillir «La promotion de la santé par les activités physiques ou sportives (APS) des seniors peut contribuer à un vieillissement réussi et à limiter ses accélérations pathologiques. Elle est associée dans cette tranche d âge à une amélioration de la qualité de vie, à une augmentation de l espérance de vie en bonne santé, sans incapacité ni dépendance, et à une diminution de la mortalité des patients atteints de pathologies chroniques. Elle participe au maintien de l autonomie, à la diminution des hospitalisations et des consommations médicamenteuses et retarde la dépendance». Objectif du PNAPS pour les séniors : «Encourager la pratique des activités physiques et sportives des seniors en toute sécurité pour contribuer à améliorer leur endurance cardiorespiratoire et musculaire, leur force et leur souplesse, leur équilibre et leur qualité de vie». Recommandations nationales en termes d activité physique Le Ministère de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie Associative a mis en place un Plan National de prévention par l Activité Physique ou Sportive (PNAPS) afin d encourager la pratique d activités physiques auprès de la population. La recommandation nationale en termes d activité physique est de «pratiquer l équivalent d au moins 30 minutes de marche rapide chaque jour». Il s agit en fait, de réaliser 30 minutes ou plus d activité physique modérée au moins cinq jours par semaine, et de préférence tous les jours. Elle s inspire de la recommandation émise en 2007 par le Collège américain de médecine du sport et de l Association américaine d étude des maladies du cœur.

3 Enquête APHYGUAD : Zoom sur l activité physique des personnes âgées Un des volets du Plan Régional de Santé Publique (PRSP) de la Guadeloupe est consacré à la nutrition et à l activité physique. Dans ce contexte, le Groupement Régional de Santé Publique (GRSP) a financé, en 2007, la mise en place d une enquête destinée à dresser un état des lieux de la pratique de l activité physique, en Guadeloupe. La phase de terrain a été confiée à l institut de sondage Qualistat et l analyse des données a été confiée l ORSaG. La population d étude est constituée de 685 personnes âgées de 15 ans ou plus vivant en Guadeloupe, 16 % de personnes âgées de 65 ans ou plus ont participé à cette étude. Répartition par âge de la population guadeloupéenne Répartition par sexe des personnes âgées de 65 de 15 ans ou plus selon le niveau de recommandations ans ou plus selon le niveau de recommandations 62% 38% Recommandations non atteintes Recommandations atteintes 66% 34% 62% 38% 57% 43% ans ans ans ans 44% 56% 65 ans et plus 100% 80% 60% 40% 20% 0% Recommandations non atteintes Recommandations atteintes 67% 61% 39% 33% Hommes Femmes. ACTIVITE PHYSIQUE En Guadeloupe, 44 % des personnes ACTIVITESPORTIVE âgées de 65 ans ou plus ont un La pratique du sport diminue avec l âge. En effet, un tiers niveau d activité physique en accord avec les des personnes âgées de 65 ans ou plus contre 40,6 % des recommandations nationales ans pratiquent un sport régulièrement. Parmi les La proportion des personnes âgées de 65 ans ou plus personnes âgées de 65 ans pratiquant un sport: passant plus de 2 heures par jour : devant la télévision est de 40 %. Ils ne passent pas plus de temps que les autres groupes d âges. devant un ordinateur à la maison est de 2 %, elle est de 7 % chez les ans. SEDENTARITE 11 % consacrent plus de 2 heures à chaque séance 89 % font leur activité principale en plein air, hors structure d encadrement 78 % font leur activité principale librement et seul 3 % font leur activité principale en club Raisons évoquées par les personnes âgées de 65 ans ou plus pour justifier la pratique d une activité sportive régulière Raisons évoquées par les personnes âgées de 65 ans ou plus pour justifier la non-pratique d un sport Pour la santé Conseils d'un médecin Pour le plaisir Pour occuper le temps libre Pour garder la ligne Pour rencontrer des amis Pour le goût de l'effort Pour l'image de soi 9% 7% 2% 16% 35% 63% 60% 95% Les personnes âgées de 65 ans ou plus exercent une activité physique principalement pour se maintenir en bonne santé (95 %). Trop âgé Conseil médecin Pas de temps Trop d'effort Pas d'équipement Maladie chronique Manque d'intérêt Blessé Manque de motivation Obligations familiales 29% 26% 19% 16% 9% 9% 6% 4% 3% 69%

4 Les aides : l APA, l ASI et l APSA En 2000, la France entière comptait personnes âgées dépendantes, en majorité des femmes. Le nombre de personnes dépendantes augmenterait de 50 % entre 2000 et 2040 selon l INSEE. L Allocation Personnalisée d Autonomie (APA) Le vieillissement de la population conduit à une augmentation du nombre de personnes âgées dépendantes. Aujourd hui, la prise en charge de ces personnes combine à la fois solidarité familiale, à travers l aide apportée par les proches, et solidarité collective, par le biais de prestation comme l Allocation Personnalisée d Autonomie (APA). Entrée en vigueur le 1 er janvier 2002, l APA a pour but de prendre en charge une partie des dépenses liées à la perte d autonomie, des personnes âgées de 60 ans ou plus, évaluée selon la grille AGGIR. Qu est-ce que la grille AGGIR (autonomie gérontologique groupes iso-ressources)? La grille AGGIR est un outil de mesure de l autonomie, à travers l observation de 10 activités que peut ou non effectuer seule une personne âgée : se laver, s habiller, se déplacer, etc. Elle comprend notamment deux variables permettant d appréhender l autonomie mentale (se situer dans le temps, savoir discuter et se comporter de façon cohérente). Le degré d autonomie pour chacune des 10 activités fondamentales est représenté par une variable à trois modalités : A : fait seul, totalement, habituellement et correctement ; B : fait partiellement, ou non habituellement, ou non correctement ; C : ne fait pas. À partir des modalités prises par ces 10 variables, un algorithme classe les individus en 6 groupes GIR (groupes iso-ressources). La dépendance lourde correspond aux GIR1 et GIR2 (personnes confinées au lit ou au fauteuil et/ou ayant perdu leur autonomie mentale), la dépendance moyenne aux GIR3 et GIR4, et la non-dépendance aux GIR5 et GIR6 (personnes autonomes pour les actes discriminants de la vie quotidienne ou ne nécessitant qu une aide ponctuelle pour la toilette, la préparation des repas et le ménage). Tableau I. Évolution des bénéficiaires de l Allocation Personnalisée d Autonomie entre 2004 et Nombre de bénéficiaires de l APA pour (p) personnes âgées de 75 ans ou plus Nombre de bénéficiaires de l APA tous âge Evolution du nombre de bénéficiaires - 19,0 % -7,2% -8,3% -8,8% -5,0% Source : Conseil Général de la Guadeloupe, DREES, INSEE- estimations de population et statistiques de l'état civil (p): à partir des estimations de population INSEE, résultats provisoires arrêtés fin Depuis 2004, le nombre de bénéficiaires de l APA ne cesse de diminuer en Guadeloupe. En effet, entre 2004 et 2009, le nombre de bénéficiaires de l APA est passé de en 2004 à en 2009, soit une baisse de 38,3 % (Tableau I). Quelle que soit l année, la majorité des bénéficiaires est âgée de 75 ans ou plus (80 % ± 3). Entre 2004 et 2007, la proportion de bénéficiaires de l APA parmi les 75 ans ou plus a baissé de 16 points. Malgré les diminutions observées, en 2007, la part des bénéficiaires parmi les personnes âgés de 75 ans ou plus est 1,8 fois plus élevée en Guadeloupe qu en France hexagonale.

5 Cette diminution du nombre de bénéficiaires ne reflète pas une diminution du nombre de personnes dépendantes. Il s agit d un réajustement de la gestion et du pilotage du dispositif APA dans lequel s est engagé le Conseil général de la Guadeloupe depuis Ces progrès sont évoqués dans un rapport de synthèse (mars 2008), dans le cadre de la mission d appui et de contrôle de l Inspection Générale des Affaires Sociales et de l Inspection de l administration demandée par les Ministères de l Outre-mer et de la Santé. Tableau II. Bénéficiaires de l APA à domicile et en établissement par GIR au 31/12/2009 Niveau de dépendance Lourde Moyenne Aucune GIR 1 GIR 2 GIR 3 GIR 4 GIR 5 et 6* Total Bénéficiaires à domicile Bénéficiaires en établissement Total des bénéficiaires (*) Prise en charge facultative par le département Source : Conseil Général de la Guadeloupe, DREES En 2009, la Guadeloupe compte bénéficiaires de l aide personnalisée à l autonomie dont 93,7 % vivent à domicile. Les personnes ayant une dépendance moyenne, représentent un peu plus de la moitié des bénéficiaires de l APA, soit 53,6 %. Les personnes ayant une dépendance lourde, c est-à-dire, confinées au lit ou au fauteuil et/ou ayant perdu leur autonomie mentale représentent 17,2 % des bénéficiaires de l APA (Tableau II). Les personnes ayant une dépendance lourde représentent 64,1 % des bénéficiaires en établissement, soit 5 fois plus que parmi celles vivant à domicile (14,1 %). Tableau III. Part des bénéficiaires de l APA par sexe et âge au 31/12/2009 selon le lieu de résidence (%) Bénéficiaires de l APA à domicile Bénéficiaires de l APA en établissement (hors dotation globale) ans ans 85 ans ou + Ensemble ans ans 85 ans ou + Ensemble Hommes 5,0 11,7 12,3 29,0 13,7 14,3 11,2 39,2 Femmes 10,9 27,6 32,5 71,0 8,3 17,6 34,9 60,8 Total 15,9 39,3 44, ,0 32,0 46,1 100 Source : Conseil Général de la Guadeloupe, DREES En 2009, en Guadeloupe, les premiers bénéficiaires de l allocation personnalisée à l autonomie, quel que soit le mode d hébergement, sont les femmes. En effet, elles représentent 71,0 % des bénéficiaires de l APA à domicile et 60,8 % en établissement (Tableau III). La majorité des bénéficiaires de l APA, quel que soit le lieu de résidence, sont des personnes âgées de 75 ou plus. Cependant, la part des bénéficiaires de l APA de ce groupe d âge, est plus élevée à domicile qu en établissement : respectivement 84,1 % et 78,1 %. La part des personnes âgées de 60 à 75 ans parmi les bénéficiaires de l APA à domicile est de 15,9 %. En établissement cette proportion est de 22,0 %. Les caractéristiques en termes d âge et de sexe ne diffèrent pas sur la période allant de 2005 à Schéma départemental de l autonomie adopté par l assemblée départementale en mai Les attentes des acteurs et leurs propositions sont : Le soutien des personnes âgées à domicile : Prendre en charge l augmentation de la demande d aide à domicile Améliorer la qualité de la prise en charge à domicile Adapter le logement et l habitat des personnes âgées Aider au transport des personnes âgées Permettre l accès aux loisirs et à la culture Inciter à l accueil familial La prise en charge des personnes âgées en établissement: Soutenir l évolution de l offre d hébergement Soutenir la qualité de la prise en charge en établissement Soutenir le développement de l hébergement alternatif Professionnaliser la prise en charge en établissement Soutenir le coût des structures d accueil pour la personne âgée, sa famille et la collectivité Soutenir la prise en charge des personnes atteintes de la maladie d Alzheimer ou de troubles apparentés sur le territoire

6 Deux nouvelles allocations : l ASI et l ASPA Depuis le 1 er janvier 2006, deux nouvelles allocations remplacent celles qui constituaient antérieurement le minimum vieillesse (AVTS, AVTNS, secours viager, allocation supplémentaire, allocation aux mères de famille, allocation spéciale vieillesse, allocation viagère des rapatriés, et allocation vieillesse agricole). L'allocation supplémentaire d'invalidité (ASI) et l'allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA), prévues par une ordonnance du 24 juin 2004, sont aujourd'hui en place après une période transitoire correspondant à l'année Sources Tableaux économiques régionaux 2007 INSEE Guadeloupe. Vieillissement des populations et état de santé dans les régions de France - septembre FNORS. Enquête APHYGUAD : état des lieux de la pratique de l activité physique en Guadeloupe- Décembre ORSaG. Regards sur l APA trois ans après sa création Edition 2006 La dépendance des personnes âgées : une projection en Extrait de INSEE références Données sociales, - Edition L allocation personnalisée d autonomie Études et Résultats n 529, 415 et 388 DRESS. Stratégie mondiale pour l'alimentation, l'exercice physique et la santé l activité physique des personnes âgées - Organisation mondiale de la santé. PNAPS, Plan National de prévention par l Activité Physique ou Sportive Ministère de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie Associative PLAN NATIONAL BIEN VIEILLIR Ministère de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie Associative - Ministère de la Santé et des Solidarités Ministère délégué à la Sécurité Sociale, aux Personnes âgées, aux Personnes handicapées et à la Famille. Schéma départemental en faveur des personnes âgées et des personnes handicapées : Schéma départemental de l autonomie Conseil Général de la Guadeloupe. Mission de contrôle et d appui : la gestion de l allocation personnalisée d autonomie en Guadeloupe et à la réunion (Rapport de synthèse définitif) juin 2008 Inspection Générale de l Administration et Inspection Générale de Affaires Sociales. Rédaction et conception de la fiche thématique : Christine RAMBHOJAN, Vanessa CORNELY Observatoire Régional de la Santé de Guadeloupe (ORSaG) 1301, cité Grain d Or Circonvallation BASSE TERRE (Guadeloupe) Tél : Fax : Courriel : contact@orsag.org Site internet :

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