CRLC 35 BILAN ANNUEL ommission de règlement des litiges de consommation d Illeet-Vilaine

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CRLC 35 BILAN ANNUEL 2012. ommission de règlement des litiges de consommation d Illeet-Vilaine"

Transcription

1 CRLC 35 Consommation C ommission de règlement des litiges de consommation d Illeet-Vilaine BP Rennes Cedex BILAN ANNUEL 2012 La Commission de règlement des litiges de consommation d Ille-et-Vilaine a été instaurée par un arrêté ministériel du 20 décembre 1994 SOMMAIRE Le mot du Président Au revoir et merci à M. Blanc La CRLC 35 : principes et fonctionnement Le bilan 2012 de la CRLC 35 Juin 2013 Maison de la consommation et de l environnement Centre technique de la consommation Bretagne 81 bd Albert 1 er Rennes Tél :

2 LE MOT DU PRÉSIDENT 2012, la CRLC 35 : une nécessaire instance de conciliation Depuis sa création, la Commission de règlement des litiges de consommation d Ille-et-Vilaine a traité plus de dossiers, répondant ainsi à sa vocation voulue par les Pouvoirs publics en 1994 et ses promoteurs en Le taux de réussite de son action, de plus de 80% en moyenne, de 88% l an passé et cette année 2012, souligne sa place indispensable dans le paysage de la consommation en Ille-et- Vilaine. Ce succès est le fruit d une triple conjonction : François Galard, Président CRLC 35 Un héritage précieux Nos prédécesseurs, et particulièrement son président fondateur Michel Blanc, ont su lui insuffler une motivation, mettre en place une organisation, des méthodes de travail et les résultats positifs ont confirmé qu elle répond à un besoin. Une demande sociale L intervention de la Commission permet : de dépasser incompréhensions mutuelles, dialogue mal engagé, sentiment d impuissance des consommateurs, mauvaise foi parfois, pour rechercher une solution raisonnable s inscrivant dans le droit ou l équité. de dénouer, avec le consommateur, l écheveau complexe des relations et des responsabilités respectives des fabricants ou fournisseurs, vendeurs, transporteurs, livreurs, installateurs, assurances, etc. d éviter le recours à une justice surchargée, jugée inaccessible et obligatoirement coûteuse pour les budgets de plus en plus contraints des consommateurs souvent très modestes. Une équipe Alliance bien rodée de professionnalisme -celui du secrétariat et d engagements bénévoles -des rapporteurs issus d associations de consommateurs et -des assessesseurs : c est bien la détermination, la diplomatie et l expérience de l ensemble de ces acteurs qui assurent le succès de la Commission. Qu ils en soient chaleureusement remerciés. François Galard, Président CRLC 35 1

3 AU REVOIR ET MERCI A MICHEL BLANC En mai 2012, passage de relais de la présidence 17 années d engagement au service des consommateurs et des professionnels. Renouer le dialogue entre consommateurs et professionnels à la suite d un conflit, c est l objectif que s était fixé la Commission de règlement des litiges de consommation d Ille-et-Vilaine lors de sa création en mai Michel Blanc, Directeur départemental des affaires sanitaires et sociales honoraire, entamait alors un long parcours de 17 années en qualité de Président de cette Commission qui, mise en place à titre expérimental et financée par le Ministère de l Économie et des Finances, déjà avait pu dresser un bilan très positif de son action après deux ans de fonctionnement. Depuis la mise en place de la Commission, Monsieur Blanc a ainsi assuré la fonction de Président, et au cours de 8 mandats de 2 ans, a participé activement à son évolution. Cet homme de dialogue a largement contribué à la pérennité de la Crlc 35. Le crédo «simplicité, gratuité et efficacité» a permis à nombre de consommateurs et professionnels du département de trouver une solution amiable et équitable au litige les opposant. Monsieur Michel Blanc nous a laissé à tous, membres de la Commission, un précieux héritage et de grands souvenirs. Nous lui souhaitons une bonne retraite! Monsieur Michel BLANC a exercé la fonction de Président de la Crlc 35 pendant 17 années (mai 1995 à mai 2012). 17 années d activité 2263 dossiers instruits. Un taux moyen de conciliation de 82%. Une procédure simple, rapide et gratuite. Un guichet unique de règlement amiable des litiges de consommation. Une équipe de 17 personnes associant professionnels et associations de consommateurs. Un rôle social incontournable. 3 financeurs solidaires : État, Ville de Rennes et Conseil général d Ille-et-Vilaine. Le soutien technique de la Maison de la consommation et de l environnement. 2

4 PRINCIPES ET FONCTIONNEMENT La CRLC 35 : une instance efficace de conciliation au service des consommateurs et des professionnels du département. La conciliation fait partie, aujourd- hui, des modes alternatifs de résolution des conflits et est reconnue comme tel par la Communauté européenne. La Commission de règlement des litiges de consommation d Ille-et- Vilaine permet par une procédure simple, rapide, facile d accès et gratuite, aux consommateurs de faire valoir leurs droits, quel que soit le montant de leur litige et quel que soit leur lieu de résidence dans le département. Son action s intercale utilement entre celles menées par les associations de défense de consommateurs et le recours à la justice. Une conciliation efficace : 8 affaires sur 10 se règlent à l amiable Son fonctionnement L objectif de l ensemble des membres de la Commission est de trouver une solution amiable aux litiges de consommation en rétablissant le dialogue entre les parties consommateurs et professionnels. Pour cela, un ensemble de moyens est déployé. Après s être manifesté auprès du secrétariat de la Commission, le consommateur reçoit un questionnaire à remplir et à renvoyer accompagné de toutes les pièces utiles à l étude de son dossier. Accord sur solution amiable : conciliation le dossier est clos. Conciliation des parties pendant la réunion : le dossier est clos. Réception du dossier complet : un rapporteur est désigné. Traitement du dossier par le rapporteur (6 semaines environ). Rapport au secrétariat : 3 possibilités Pas d accord finalisé : Réunion de conciliation entre les parties Non-conciliation des parties pendant la réunion : le dossier est clos Arrêt de la procédure par l une ou l autre des parties : l action de la Commission est terminée. Proposition (valable 1 mois) : accord ou désaccord des parties : le dossier est clos Suivi du secrétariat pendant toute la procédure de traitement du dossier jusqu à l exécution des engagements pris par les parties. Définitions Conciliation simple : la seule saisine de la Commission en dehors de toute action du rapporteur a suffi à trouver un terrain d entente entre les deux parties. Procédure simplifiée : l action du rapporteur a permis la conciliation entre les deux parties. Conciliation en réunion : l action du rapporteur n ayant pas aboutie à une conciliation, les parties sont invitées à une réunion de la Commission pendant laquelle un accord est finalement trouvé. Non conciliation : malgré l action du rapporteur et de la Commission, aucun accord n a pu être dégagé entre les parties. Quelle que soit l issue de la procédure de conciliation, un procèsverbal est établi par la Commission et transmis aux parties. 3

5 PRINCIPES ET FONCTIONNEMENT Son champ de compétences : La nature des litiges : entre consommateurs et professionnels. Le territoire : le département de l Ille-et-Vilaine (il suffit que le consommateur ou le professionnel réside en Ille-et- Vilaine). Les domaines d intervention : téléphonie-internet, commerce et e-commerce, artisanat, réparation automobile, fournisseurs d énergie, cuisinistes, voyagistes, pressing Une procédure simple, rapide, facile d accès et gratuite pour tous les consommateurs du département Un rôle social reconnu et indispensable Sa composition Un président, choisi parmi des personnalités neutres. Des assesseurs représentant respectivement les consommateurs et les professionnels. Des rapporteurs, issus d associations de consommateurs, chargés d instruire les dossiers et de proposer à la Commission une solution amiable. Un secrétariat qui assure le fonctionnement général de la CRLC 35. Une combinaison de compétences permettant de rétablir des relations normales entre les parties en litige. La persistance des effets de la crise font que les consommateurs les plus démunis trouvent en la Commission un interlocuteur de confiance. Son rôle social constitué d accompagnement, d explication, de dialogue et d écoute fait partie intégrante de son projet d intervention. C est en effet un axe de travail intégré dans les pratiques quotidiennes de l ensemble des membres de la CRLC 35. «Faire avec les consommateurs et non à leur place», c est leur redonner confiance car la gestion d un litige demande d affronter la réalité. En effet, le plus souvent le montant du litige très important combiné aux difficultés financières quotidiennes des consommateurs concernés font qu au-delà de la tentative de règlement du litige, l écoute, l accompagnement et la prévention représentent une source d apaisement et une aide secourable. Car pour ce public fragile, la CRLC 35 est bien souvent considérée comme le «dernier recours» dans la recherche de résolution du conflit car l éventualité d une action en justice lui est difficilement envisageable. 4

6 L équipe de la Commission en 2012 Une organisation bien rodée, des compétences plurielles Les présidents : au nombre de trois (un titulaire et deux suppléants), ils sont choisis parmis des personnalités neutres afin d offrir aux parties en litige des garanties d impartialité et d indépendance. Ils tiennent un rôle fondamental dans l animation des débats car ils ne sont pas là pour juger mais bien pour permettre de trouver une solution équitable pour l ensemble des parties. Les rapporteurs associatifs : issus de 5 associations de consommateurs -Afoc, Asseco-Cfdt, Indecosa-Cgt, Udaf et Ufcs-Fr- ils assurent une fonction fondamentale pour clarifier le litige et restaurer le dialogue entre le consommateur et le professionnel. Leurs compétence, expertise, technicité et savoir-faire sont la clef favorisant la conciliation amiable. Les assesseurs associatifs et professionnels: issus respectivement de 3 associations de consommateurs (Acdcl, Asseco-Cfdt et Udaf) et de 2 organisations professionnelles (Cci et Cnpa), ils permettent d officialiser le côté paritaire de la Commission et jouent un role très actif dans la demarche de conciliation. Leur expertise technique, qualité d écoute, bon sens apaisent les conflits et font émerger des propositions de conciliation réalistes et acceptables par les deux parties. 5 Le secrétariat : interface permanent au service des membres de l équipe de consommateurs et de professionnels, il est en charge de l organisation générale de la Commission. Après reception des saisines, il procède dans un premier temps à la mise en état des pièces du dossier permettant ainsi sa recevabilité. Ensuite, une étroite collaboration avec les rapporteurs est mise en oeuvre ainsi qu un service d appui sur les dossiers les plus techniques. Lors de la conclusion de la procédure, le secrétariat s assure du suivi de l exécution des engagements pris par les parties en litige et en cas de désaccord persistant, il peut conseiller le demandeur sur les possibilités de poursuivre l action devant les juridictions contentieuses compétentes. Dans certains cas, cela favorise le règlement amiable car face à une probable action en justice, le professionnel accepte alors de transiger.

7 La composition de la CRLC 35 Mandat de 2 ans Présidents et rapporteurs consommateurs Mandat de 3 ans Assesseurs consommateurs et professionnels PRÉSIDENCE TITULAIRES : M. BLANC Michel M. GALARD François SUPPLÉANTS : M. BOULARD Henri M. MAHÉ Jacques SECRÉTARIAT Mme DELSAUX Morgane Mme BRUCH Véronique Fait marquant : Le changement de Président et la venue de deux nouveaux co-présidents RAPPORTEURS CONSOMMATEURS Mme LEJAS Lucette (Afoc) M. TUAL Jacques (Asseco-cfdt) M. SAUNIER Gilbert (Asseco-Cfdt) Mme DARIDE Claudine( Indecosa-Cgt) Mme BOULANGER Jacqueline (Udaf) Mme DEHERY Chantal (Ufcs-Fr) M. VIOLEAU Gilbert (Ufcs-Fr) ASSESSEURS CONSOMMATEURS TITULAIRE : Mme TOUCHAIS Christiane (Acdcl) SUPPLÉANTS : M. GOUPIL Jean Paul (Asseco-Cfdt) Mme MOINS M. Josèphe (Udaf) ASSESSEURS PROFESSIONNELS TITULAIRE : M. JOSSE Roland (Cnpa) SUPPLÉANT : M. DALLIES-LABOURDETTE Gérard (Cci) 6

8 L activité de la Commission en chiffres En 2012, la Commission a traité au total 120 réclamations dont 13 de l année 2011 qui étaient alors incomplètes ou en cours d instruction par les rapporteurs : 77 réclamations ont été instruites par les rapporteurs, 29 ont été traitées par le secrétariat et 14 sont en cours d instruction ou encore incomplètes. A cela, on doit ajouter 485 appels téléphoniques traités par le secrétariat dans le cadre du traitement des dossiers ainsi qu une cinquantaine de rendezvous. Comparativement à l année passée, le nombre de réclamations instruites par les rapporteurs est en baisse de 27 % mais le taux de conciliation de 88 %, quant à lui, reste stable. 120 réclamations écrites traitées par la CRLC appels traités dans le cadre du traitement des dossiers «Une activité stable avec un taux de conciliation de 88 %.» 77 réclamations instruites : 88% ont abouti à un constat de conciliation Répartition des 120 réclamations 68 constats de conciliation : 36 dans le cadre de la procédure simplifiée, 18 conciliations simples, 4 conciliations pendant la réunion et 10 dressés par la Commission suite à proposition élaborée lors des reunions de conciliation. 9 constats de non-conciliation dressés par la Crlc suite à proposition élaborée lors des reunions de conciliation. 24% 12% 64% Instruites par les rapporteurs et examinées en séances Examinées et traitées par le secrétariat En cours d'instruction ou encore incomplètes 29 réclamations examinées et traitées par le secrétariat de la Commission 17 réclamations classées sans suite : pas de réponse au questionnaire dans le délai imparti de 2 mois. 8 réclamations classées en incompétence d attribution ne s agissant pas de litiges de consommation. 2 réclamations orientées vers une instance contentieuse. 2 réclamations classées en incompétence territoriale. 14 réclamations en cours d instruction ou encore incomplètes 8 réclamations en cours d instruction par les rapporteurs. 4 réclamations examinées en réunion de conciliation et en attente de la décision des parties. 2 réclamations encore incomplètes demandant un complement d information avant son attribution à un rapporteur. 7

9 Les réunions de conciliation En 2012, 5 réunions de conciliation ont permis d examiner 19 réclamations en attente d un règlement amiable entre les parties en litiges. En effet, si en amont, aucune solution n a émergé ou si les parties sont restées en désaccord sur les propositions formulées de part et d autre, une réunion de conciliation est organisée. Celle-ci se déroule en présence d un assesseur représentant les professionnels, d un assesseur représentant les consommateurs et d un président assurant la neutralité des débats. De cette rencontre pourra naître une conciliation, une proposition de conciliation avec un mois de réflexion ou un constat de non-conciliation. 5 réunions annuelles de conciliation 19 réclamations examinées lors de ces réunions «La parité consommateurs / professionnels fait l originalité de la Crlc 35.» Secteur du commerce : 1 affaire sur 6 s est réglée à l amiable 6 réclamations ont été examinées lors des réunions de conciliation relevant des secteurs du commerce traditionnel et du e- commerce. 1 dossier a trouvé une issue favorable et ce en présence des deux parties en litige. Secteur de la prestation de services : 3 affaires sur 5 se sont réglées à l amiable. 5 réclamations ont été examinées lors des réunions de conciliation relevant des secteurs des voyagistes, des cuisinistes, des réparateurs. 3 dossiers ont trouvé une issue favorable et ce en présence des deux parties en litige. Secteur de l automobile : 1 affaire sur 4 s est réglée à l amiable. 4 réclamations ont été examinées lors des réunions de conciliation relevant des dommaines de la reparation automobile, de l achat d un véhicule d occasion et des garanties. 1 dossier a trouvé une issue favorable et ce en présence des deux parties en litige. Répartition des 19 réclamations examinées en réunions artisanat 16% automobile 21% Secteur de l artisanat : 2 affaires sur 4 se sont réglées à l amiable. 4 réclamations ont été examinées lors des réunions de conciliation relevant des dommaines de la pose de carrelage, de cheminée à foyer fermé et de travaux de maçonnerie. 2 dossiers ont trouvé une issue favorable et ce suite à la proposition formulée par la Commission en l absence de la partie professionnelle. Secteur du crédit : l affaire s est réglée à l amiable. 1 réclamation a été examinée lors de la réunion de conciliation relevant du domaine du credit affecté. Ce dossier a trouvé une issue favorable et ce suite à la proposition formulée par la Commission en l absence de la partie professionnelle. crédit 5% prestations de services 26% commerce 32% La volonté des parties de faire un pas l un vers l autre est primordiale pour tenter de trouver une conciliation. Et la rencontre en direct des deux protagonistes permet bien souvent d engager un dialogue qui n avait pu s établir jusqu alors. 8

10 L origine géographique du consommateur 40% Rennes 54% Reste du département (dont 38% dans l agglomé- ration rennaise) Les origines des litiges L origine géographique : A l identique des années précédentes, la vocation départementale de la Commission est confirmée par le nombre de réclamations émanant de consommateurs qui sont issus de communes de l agglomération rennaise (38%) ou de celles situées en milieu rural (16%). Les rennais, quant à eux seuls, représentent 40 % des réclamations d où le rôle important de proximité de la Commission. Concernant celle des professionnels, l on constate que 58% d entre eux sont issus hors du département de l Ille-et-Vilaine. Cela s explique par le fait que ceux-ci sont le plus souvent des opérateurs de téléphonie, des fournisseurs d accès à Internet, de marchands en ligne dont leurs sièges sociaux se trouvent basés dans d autres départements. 6% Hors département L origine géographique du professionnel 8% Rennes 34% Reste du département (dont 23% dans l agglomé- ration rennaise) 58% Hors département L origine de la demande : Elle est assez diversifiée, mais l on peut constater qu à l instar de l année passée, le relais d une association de consommateurs, intermédiaire privilégié, est toujours le premier canal de saisine (45% des cas) informant le consommateur de l existence de la Commission. En effet, les associations de consommateurs jouent un rôle pédagogique et informatif auprès de leurs adhérents souhaitant poursuivre leur action de conciliation. Ensuite, viennent : le Cdas par le biais des travailleurs sociaux (19%) qui relayent les plaintes des consommateurs souvent les plus démunis, le milieu judiciaire (14%), l Internet dont le site web de la Mce (11%), la Ddccsp (6%) et les mairies via les bulletins municipaux (5%). L'origine de la demande ASSOCIATION CDAS TRIBUNAL INTERNET DDCCSP MAIRIE 11% 14% 6% 5% 19% 45% 9

11 La typologie des réclamations 58% Trois secteurs d activités concentrent à eux seuls 58% des réclamations. En tête de ce classement : le secteur de la téléphonie-fournisseurs d accès à Internet et câble, suivi par ceux du commerce et de l artisanat : 25% dans la téléphonie-fournisseurs d accès à Internet-câble : représentant 19 saisines avec un taux de conciliation à 100% 19% dans le commerce : représentant 15 saisines avec un taux de conciliation de 80% 14% dans l artisanat : représentant 11 saisines avec un taux de conciliation de 82% 58% des réclamations concer- nent 3 secteurs : Téléphonie Internet Commerce Artisanat. «Une ventilation des réclamations autour de 8 secteurs d activité» Ventilation des réclamations Crédit Assurance 4% Réparation 7% Téléphonie - Internet - Câble 25% automobile Prestataires de service 10% Fournisseurs d'énergie 13% Commerce 19% Artisanat 14% 10

12 Les secteurs d activité Téléphonie mobile Internet Câble 100 % de satisfaction Avec 25% des saisines, ce secteur est à l identique de l année passée en tête du classement des réclamations avec cependant une nette baisse (-68%) de ses réclamations. Les principales sources de conflit proviennent en premier lieu des litiges liés à la facturation. En effet, les contestations portent sur des appels surtaxés, des connexions Internet non souhaitées ou des services optionnels venant alourdir au final la facture. Viennent ensuite, les litiges liés au contrat et les demandes de remboursement ou de dédommagement en cas de non fourniture de service. La résiliation est aussi une source de contestation car les frais imputés dûs aux demandes de résiliation anticipée ont des conséquences financières très importantes. Ce secteur représente 100% de réclamations satisfaites par les services nationaux consommateurs de ses entreprises qui sont fortement impliquées dans le processus de règlement amiable des litiges. 80 % de satisfaction Commerce et e-commerce Avec 19% des saisines, le secteur du commerce et du e-commerce se voit, comme l année dernière, placé en deuxième position du classement. Son taux de conciliation est stable et l on constate toujours une part importante des litiges liés au commerce en ligne. Les sources des mécontentements sont très variées : non-conformité du produit par rapport aux descriptions faites lors de la commande, refus d exécuter la garantie, prestation de service non assurée Concernant ce domaine d activité, les professionnels du commerce traditionnel se rangent le plus souvent à l avis formulé par la Commission. Ceux du commerce en ligne sont difficilement joignables et peu enclins à accepter la conciliation. Trois dossiers relevant du e-commerce ont donc fait l objet d une action en justice. 82 % de satisfaction Artisanat Avec 14% des saisines, ce secteur se classe en troisième position. L on constate une augmentation des plaintes liées aux artisans (+45%) et un taux de conciliation stable. Dans ce domaine, les malfaçons arrivent en tête des litiges et souvent, lors de chantiers importants, la réception des travaux fait souvent défaut. Les retards et reprises de travaux sont eux aussi très souvent source de litiges. De même, si l artisan est correctement assuré en décennale ou en responsabilité civile, il peut dans certains cas ne pas vouloir reconnaître ses torts. Et donc, pour tenter de trouver une solution amiable au litige, le rôle de conciliateur du rapporteur permet d apaiser les tensions et de dégager un compromis acceptable par les parties en litige. 11

13 100 % de satisfaction Fournisseurs d énergie Avec 13% des saisines, ce secteur d activités, regroupant les fournisseurs d électricité et de gaz, se trouve encore classé en quatrième position. Son pourcentage de litiges augmente de 10% par rapport à l année dernière. Les problèmes se concentrent principalement autour de l absence de relève de compteur entraînant une lourde facturation, de l inadéquation tarifaire, du dysfonctionnement de compteur, de la résiliation d un contrat et de sa facture de clôture. Les montants en jeu sont très conséquents et peuvent se chiffrer jusqu à plus de euros. Mais sur la base d une analyse très approfondie de ces dossiers complexes et techniques, l intervention de la Commission auprès des interlocuteurs dédiés des entreprises du secteur a permis aux 10 saisines de toutes trouver une issue favorable. En effet, des gestes commerciaux ont été consentis et des plans d apurement des dettes mis en place. Prestations de services : cuisinistes, voyagistes, club de sport, société de maintenance % de satisfaction Toutes rubriques confondues, ce secteur représente 10% des saisines avec un taux global de conciliation de 88%. Les montants en jeu varient considérablement d une vingtaine d euros jusqu à plus de 1000 euros. La nature, elle aussi, est différente : cette année, on peut observer que les litiges liés aux voyagistes ont tous trouvé une issue favorable et ce, grâce à la ténacité des rapporteurs. Ceux liés aux cuisinistes ont été plus difficiles à concilier : un relevant du démarchage abusif et dont le contrat a pu être annulé ; l autre redirigé vers les tribunaux compétents car la société se trouvant en cessation de paiement. Réparation automobile Avec 8 % des saisines, ce secteur voit son taux de plaintes augmenter, passant ainsi de 2 à 6 réclamations. Les litiges portent principalement sur des réparations mal effectuées, des pannes à répétition et des garanties. Les montants en jeu varient de 80 euros à plus de euros. Les dossiers très techniques ont reçu en amont l appui et l expertise d un de nos assesseurs professionnels. 2 dossiers, moins complexes, ont été résolus dans le cadre de la procédure simplifiée et les 4 autres, discutés lors des réunions de conciliation, ont trouvé une issue acceptable par les deux parties. 50 % de satisfaction 12

14 Assurance Avec 6% des saisines, l on observe cette année une légère augmentation du nombre des réclamations de ce secteur d activité : passant de 3 à 5. Les litiges sont divers et variés et émanent des domaines de la résiliation des contrats, du démarchage à domicile, de l assurance spectacle et de l application de franchise en cas de sinistre. Ils ont tous trouvé une issue favorable et ce, malgré pour certains cas un long traitement du dossier. Le domaine de l assurance peut s avérer complexe et un travail de décorticage des contrats souvent nécessaire. 100 % de satisfaction Crédit Avec seulement 4% des saisines représentant 3 dossiers, ce secteur d activité se retrouve en dernière position du classement. Les thématiques abordées sont liées au crédit affecté, au crédit immobilier et à la carte de crédit de magasin. Les montants en jeu varient considérablement d une vingtaine d euros à plus de euros. Tous ces dossiers ont trouvé une issue favorable. Concernant les dossiers de crédit affecté et crédit immobilier, les pourparlers se sont éternisés dans le temps du fait de leur complexité et aussi des montants financiers en jeu. 100 % de satisfaction 13

15 Dossier suivi par Des exemples de conciliation réussie «Un vélo pas tout terrain» M. S. a commandé, via un site marchand, un VTT qu il a fait assemblé par un professionnel pour un coût total de Après un usage très bref, le VTT présente un défaut dans la structure du cadre. Le consommateur a donc contacté le professionnel afin de mettre en œuvre les garanties. Après plusieurs échanges infructueux du fait que le professionnel refuse toute responsabilité dans ce défaut, le consommateur décide donc de saisir la CRLC 35. L action du rapporteur a permis de trouver une solution amiable. En effet, l importateur a accepté de remplacer le cadre défaillant à prix coûtant, soit 600. «De l eau dans le gaz» Après avoir résilié un compte professionnel gaz auprès d un fournisseur et simultanément souscrit un contrat particulier gaz, Mme H. s est vue prélevée le même mois 10 factures sur son compte pour un montant total de Elle a donc interrogé le service clients pour obtenir des explications et surtout le remboursement des sommes indûment perçues. Même si ce service admet qu il y a eu un dysfonctionnement au niveau du système de facturation, il ne procède pas au remboursement demandé malgré les diverses relances de la consommatrice. Elle fait appel à la CRLC 35 afin de trouver une issue favorable à son litige. Grâce à la ténacité du rapporteur, le fournisseur a admis le bien fondé de la réclamation et a procédé au remboursement du trop perçu ainsi qu un geste commercial de 100. «Aux abonnés absents» M. P. a souscrit un contrat Internet téléphone fixe + forfait mobile 2 heures auprès d un fournisseur d accès à Internet assorti d une période d engagement de 2 ans. Dès le début de sa souscription, il a rencontré des problèmes de réseau sur son téléphone mobile rendant impossible son utilisation. Il a donc contacté le Service clients à plusieurs reprises sans que le problème ne soit résolu. Après plusieurs mois passés, sans résultat, M. P. a demandé la résiliation de son contrat. Il a donc reçu une facture de clôture faisant état de frais de résiliation anticipée d un montant total de Il a donc saisi la CRLC 35 qui, après plusieurs échanges avec le fournisseur, a réussi à trouver une solution amiable : la totalité de la dette a été annulée au regard de tous les désagréments subis. 14

16 Dossier suivi par Des exemples de conciliation réussie «Écrasement de ligne» M. R. a souhaité modifier son contrat Internet et téléphonie auprès de son FAI tout en conservant le dégroupage partiel. Cependant, quelques jours plus tard, sa ligne de téléphonie a été coupée par le FAI et il s est vu contraint de demander la réactivation à ses frais. Malgré cela, M. R. ne bénéficie pas des services contractés du fait de l incompatibilité du modem. 4 mois plus tard, sa ligne est résiliée et donc M. R. proteste auprès du service clients afin de demander le remboursement de ses mensualités. Las de faire des réclamations sans suite, il saisit donc la CRLC 35. L action du rapporteur a favorisé la conciliation, à savoir que le FAI a procédé au remboursement des factures acquittées pour un montant total de ainsi qu un geste commercial de 200. De plus, M. R. a obtenu la résiliation sans frais de son abonnement. «Chère chute de moquette» Mme L. a fait réaliser un devis auprès d un professionnel pour l achat et la pose d une moquette pour un montant total de Elle a réglé une partie de la facture avec un solde à devoir de la commande de 500. Suite aux mesures prises, le poseur a constaté qu il ne pouvait pas poser la moquette dans le sens prévu. Cela a engendré une chute importante de 5 m² correspondant à une valeur totale de 460 euros. Au vu de cette erreur commerciale, la consommatrice a donc demandé, sans succès, au professionnel le remboursement. Après avoir saisi la CRLC 35, l action du rapporteur a permis de trouver un accord amiable, à savoir une remise de 250 sur le solde de la commande. «Inadéquation tarifaire» Lors de son emménagement, M. B. a souscrit par téléphone auprès d un fournisseur d énergie un contrat gaz et électricité associé à une mensualisation de sa consommation. Dès les premières factures, il constate que le contrat proposé est un contrat éclairage et eau chaude et qu il ne correspond pas à sa demande qui comporte en plus le chauffage. Du fait ses mensualités sont sous estimées et la facture de rattrapage très onéreuses. M. B. fait donc une réclamation auprès du service clients sans que rien ne se passe. Il décide donc de saisir la CRLC 35 qui, après plusieurs échanges avec le service consommateurs, met fin au litige. En effet, le fournisseur d énergie reconnaît enfin son erreur en adaptant le contrat et la mensualisation est recalculée. Enfin, un dédommagement de 50 lui est accordé. 15 «Une résiliation fantôme» Mme P. possède 3 contrats, téléphonie mobile et Internet, auprès d un FAI. Rencontrant des dysfonctionnements pendant une longue période, elle décide donc de résilier ses contrats en respect des conditions générales de vente. Le FAI prend bien en compte la résiliation de ses contrats mobiles mais celle du contrat Internet. De plus, suite à ces résiliations pendant une période de 7 mois, elle se voit prélever la somme de sur son compte. De plus, harcelée par les sociétés de recouvrement, Mme P. règle par chèque la somme de Ne sachant plus comment faire, elle saisit donc la CRLC 35 qui, grâce à l action du rapporteur, met fin au litige. En effet, le FAI procède donc au remboursement de la somme de et prend acte de la résiliation.

17 Avec le soutien financier tripartite : État (Dgccrf), Ville de Rennes, Conseil général d Ille-et-Vilaine

www.energie-mediateur.fr Paris, le 10 octobre 2012 Dossier suivi par : XXXX Tél. : 01.44.94.66.XX Courriel : recommandations@energie-mediateur.

www.energie-mediateur.fr Paris, le 10 octobre 2012 Dossier suivi par : XXXX Tél. : 01.44.94.66.XX Courriel : recommandations@energie-mediateur. Paris, le 10 octobre 2012 Dossier suivi par : XXXX Tél. : 01.44.94.66.XX Courriel : recommandations@energie-mediateur.fr N de saisine : XXXX N de recommandation : 2012-1805 Objet : Recommandation du médiateur

Plus en détail

Recommandation n 2010-300/PG en application de l article 43-1 de la loi n 2000-108 et du décret n 2007-1504

Recommandation n 2010-300/PG en application de l article 43-1 de la loi n 2000-108 et du décret n 2007-1504 N de saisine : 480718-170856752 / YM Date de la saisine : 11 juin 2008 Recommandation n 2010-300/PG en application de l article 43-1 de la loi n 2000-108 et du décret n 2007-1504 Consommateur: Mme H. Fournisseur(s)

Plus en détail

REGLEMENT FINANCIER ET CONTRAT DE PRELEVEMENT MENSUEL AUTOMATIQUE. relatif au paiement de la facture d eau et d assainissement. Entre..

REGLEMENT FINANCIER ET CONTRAT DE PRELEVEMENT MENSUEL AUTOMATIQUE. relatif au paiement de la facture d eau et d assainissement. Entre.. DEPARTEMENT D EURE ET LOIR ARRONDISSEMENT DE NOGENT LE ROTROU CANTON DE LA LOUPE REGLEMENT FINANCIER ET CONTRAT DE PRELEVEMENT MENSUEL AUTOMATIQUE relatif au paiement de la facture d eau et d assainissement

Plus en détail

On vous réclame une dette : ce qu il faut savoir

On vous réclame une dette : ce qu il faut savoir Dessins : Gérard Gautier - Création et réalisation : Esprit Graphique F. Fullenwarth - Impression : Hauts de Vilaine On vous réclame une dette : ce qu il faut savoir Maison de la consommation et de l environnement

Plus en détail

Avec mes fournisseurs, je préfère être bien accompagné et régler mes litiges à l amiable.

Avec mes fournisseurs, je préfère être bien accompagné et régler mes litiges à l amiable. Avec mes fournisseurs, je préfère être bien accompagné et régler mes litiges à l amiable. Avec les juristes d Allianz 70 % des litiges trouvent une solution à l amiable. Protection Juridique Une assurance

Plus en détail

MEMO A L USAGE DES LOCATAIRES ET DES PROPRIETAIRES

MEMO A L USAGE DES LOCATAIRES ET DES PROPRIETAIRES MEMO A L USAGE DES LOCATAIRES ET DES PROPRIETAIRES Association Villeurbannaise pour le Droit au Logement 277, rue du 4 août 69 100 Villeurbanne Téléphone : 04 72 65 35 90 Télécopie : 04 78 85 40 53 avdl.asso@wanadoo.fr

Plus en détail

NOTICE EXPLICATIVE. Formulaire ASSURANCE. Exercice 2011 SUR LES RÈGLES DE PROTECTION DE LA CLIENTÈLE

NOTICE EXPLICATIVE. Formulaire ASSURANCE. Exercice 2011 SUR LES RÈGLES DE PROTECTION DE LA CLIENTÈLE RAPPORT DE CONTRÔLE INTERNE ANNEXE RELATIVE A L APPLICATION DES RÈGLES DE PROTECTION DE LA CLIENTÈLE NOTICE EXPLICATIVE Formulaire ASSURANCE Exercice 2011 TRANSMISSION DE L ANNEXE AU RAPPORT DE CONTRÔLE

Plus en détail

DIVORCE l intérêt du consentement amiable

DIVORCE l intérêt du consentement amiable Conférence-débat du jeudi 2 octobre 2014 DIVORCE l intérêt du consentement amiable Depuis le 1 er janvier 2005 (date d entrée en vigueur de la loi sur le divorce du 26 mai 2004), les époux ont le choix

Plus en détail

CONTRAT COLLECTIF D ASSURANCE DE PROTECTION JURIDIQUE

CONTRAT COLLECTIF D ASSURANCE DE PROTECTION JURIDIQUE CONTRAT COLLECTIF D ASSURANCE DE PROTECTION JURIDIQUE souscrit par la Mutuelle Familiale auprès de Matmut Protection Juridique Notice d information ASSISTANCE JURIDIQUE «VIE PRIVEE» PROTECTION JURIDIQUE

Plus en détail

CHARTE BNP Paribas Personal Finance DU TRAITEMENT AMIABLE DES RECLAMATIONS

CHARTE BNP Paribas Personal Finance DU TRAITEMENT AMIABLE DES RECLAMATIONS CHARTE BNP Paribas Personal Finance DU TRAITEMENT AMIABLE DES RECLAMATIONS RECLAMATION & MEDIATION «BNP Paribas Personal Finance» veille à apporter à ses clients la meilleure qualité de service. Toutefois,

Plus en détail

Guide pratique du nouveau code des marchés publics

Guide pratique du nouveau code des marchés publics Dominique Legouge Guide pratique du nouveau code des marchés publics Les nouvelles règles du jeu issues du décret de janvier 2004 Deuxième édition, 2004 ISBN : 2-7081-2998-8 Chapitre 7 Quels sont les rôles

Plus en détail

Comment régler un litige avec son vendeur de produits financiers?

Comment régler un litige avec son vendeur de produits financiers? Comment régler un litige avec son vendeur de produits financiers? Elsa Aubert Direction des relations avec les épargnants Le 16 novembre 2011 2 Plan de la présentation I Auprès de qui réclamer? 1. L interlocuteur

Plus en détail

On vous doit de l argent en Europe... Deux procédures judiciaires simplifiées à portée de main!

On vous doit de l argent en Europe... Deux procédures judiciaires simplifiées à portée de main! Finances Achats e-commerce Santé Tourisme Véhicules Shutterstock Immobilier énergie Justice On vous doit de l argent en Europe... Deux procédures judiciaires simplifiées à portée de main! brochure réalisée

Plus en détail

LOI CONSOMMATION. Suppression des frais de restitution de dossier en cas de changement d autoécole

LOI CONSOMMATION. Suppression des frais de restitution de dossier en cas de changement d autoécole LOI CONSOMMATION La loi consommation du 17 mars 2014 redonne du pouvoir au consommateur. Nous vous proposons de découvrir cette série de mesures en faveur des français selon différentes thématiques : VOITURE

Plus en détail

Le suivi des règlements clients. Céline MONNIER Rapport de stage UE 7 Relations professionnelles DCG Session 2009

Le suivi des règlements clients. Céline MONNIER Rapport de stage UE 7 Relations professionnelles DCG Session 2009 Le suivi des règlements clients Céline MONNIER Rapport de stage UE 7 Relations professionnelles DCG Session 2009 SOMMAIRE La mise en relation des parties La facturation Les délais de règlement Le paiement

Plus en détail

zone 1 zone 2 zone 3 zoe 4 zone 5 zon 6 Abo mensuel 15,40 15,40 15,40 15,40 15,40 15,40 15,40 0,0498 0,0504 0,0511 0,0518 0,0524 0,0532

zone 1 zone 2 zone 3 zoe 4 zone 5 zon 6 Abo mensuel 15,40 15,40 15,40 15,40 15,40 15,40 15,40 0,0498 0,0504 0,0511 0,0518 0,0524 0,0532 DIRECT ENERGIE Direct Energie SA Capital : 9 786 660 - - immatriculée au RCS de Paris sous le n 448 570 057 - SIRET : 448 572 057 00058- Siège : 2 bis rue Louis Armand 75015 Paris Fiche Descriptive de

Plus en détail

CONTRAT DE SYNDIC n Conforme à l'avis du Conseil National de la Consommation du 27 septembre 2007 et arrêté NOVELLI du 19 mars 2010

CONTRAT DE SYNDIC n Conforme à l'avis du Conseil National de la Consommation du 27 septembre 2007 et arrêté NOVELLI du 19 mars 2010 DIRECTION COPROPRIETE 51 rue Louis Blanc 92917 PARIS LA DEFENSE Cedex 01 46 91 25 25 ENTRE LES SOUSSIGNES : CONTRAT DE SYNDIC n Conforme à l'avis du Conseil National de la Consommation du 27 septembre

Plus en détail

NOTICE D INFORMATION

NOTICE D INFORMATION CONTRAT COLLECTIF D ASSURANCE DE PROTECTION JURIDIQUE souscrit par l Union Nationale Interprofessionnelle des Mutuelles Cogérées auprès de Matmut Protection Juridique NOTICE D INFORMATION UMC JURIS Ayant

Plus en détail

BOURSE AU PERMIS DE CONDUIRE

BOURSE AU PERMIS DE CONDUIRE Paris, le 5 février 2008 BOURSE AU PERMIS DE CONDUIRE Le dispositif consiste dans la prise en charge par la commune d une partie du coût du permis de conduire en échange d une activité bénévole d intérêt

Plus en détail

Résumé des débats Adoption du Procès Verbal de l Assemblée Générale du 17 novembre 2009 le Procès Verbal est adopté à l unanimité

Résumé des débats Adoption du Procès Verbal de l Assemblée Générale du 17 novembre 2009 le Procès Verbal est adopté à l unanimité Rappel de l ordre du jour de l Assemblée Générale Ordinaire Lecture et adoption du Procès Verbal de l Assemblée Générale du 17 novembre 2009. Rapport moral du Président, Monsieur Michel Grangeré. Rapport

Plus en détail

Séparation, rupture. Séparation, rupture de la vie commune. Comment. ma? mapeut-elle. Bon à savoir

Séparation, rupture. Séparation, rupture de la vie commune. Comment. ma? mapeut-elle. Bon à savoir ? Séparation, rupture Séparation, rupture de la vie commune? Comment ma? mapeut-elle banque m accompagner?? Bon à savoir 2 NOTES Édito Chère cliente, cher client, Nous nous connaissons peut-être depuis

Plus en détail

LE référentiel des métiers

LE référentiel des métiers LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des

Plus en détail

Statuts de la Mutuelle Des Inspecteurs Et Officiers Des Douanes Du Cameroun TITRE I DISPOSITIONS GENERALES CHAPITRE I

Statuts de la Mutuelle Des Inspecteurs Et Officiers Des Douanes Du Cameroun TITRE I DISPOSITIONS GENERALES CHAPITRE I Statuts de la Mutuelle Des Inspecteurs Et Officiers Des Douanes Du Cameroun 1 TITRE I DISPOSITIONS GENERALES CHAPITRE I DE LA DENOMINATION ET DU SIEGE Article 1 : La Mutuelle créé entre les Inspecteurs

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES DE VENTE EN LIGNE

CONDITIONS GENERALES DE VENTE EN LIGNE CONDITIONS GENERALES DE VENTE EN LIGNE Les présentes conditions visent à définir les modalités de vente entre NGE et l Utilisateur, de la commande aux biens ou services, en passant par le paiement et la

Plus en détail

PROTECTION DES DROITS DU TRADUCTEUR ET DE L INTERPRETE

PROTECTION DES DROITS DU TRADUCTEUR ET DE L INTERPRETE PROTECTION DES DROITS DU TRADUCTEUR ET DE L INTERPRETE Le traducteur ou l interprète non salarié doit en permanence veiller à la préservation de ses droits tant dans l établissement de sa relation avec

Plus en détail

Conditions Générales de Location de Matériel et de Prestation de Services Musicaux (FESTI LOCA)

Conditions Générales de Location de Matériel et de Prestation de Services Musicaux (FESTI LOCA) Conditions Générales de Location de Matériel et de Prestation de Services Musicaux (FESTI LOCA) ARTICLE 1 Généralités 1.1. Les présentes Conditions Générales ont vocation à régir les relations contractuelles

Plus en détail

Service de Banque à Distance- Mascareignes Direct. Conditions générales. Banque des Mascareignes

Service de Banque à Distance- Mascareignes Direct. Conditions générales. Banque des Mascareignes Service de Banque à Distance- Mascareignes Direct Conditions générales Banque des Mascareignes 1.1 Objet Les dispositions suivantes ont pour objet de définir les Conditions Générales d accès et d utilisation

Plus en détail

175 lettres pour résoudre vos litiges au quotidien

175 lettres pour résoudre vos litiges au quotidien Maya BARAKAT-NUQ 175 lettres pour résoudre vos litiges au quotidien Factures erronées, Nuisances de voisinage, Retards de livraison..., 2003 ISBN : 2-7081-2866-3 Introduction...........................................

Plus en détail

3. Relations clientèle et solidarité

3. Relations clientèle et solidarité 3. Relations clientèle et solidarité Maintenir une proximité forte avec ses clients via un dispositif d accueil animé par plus de 6 000 conseillers, construire des partenariats de médiation sociale pour

Plus en détail

REGLEMENT FINANCIER ET CONTRAT DE PRELEVEMENT AUTOMATIQUE (POUR LE REGLEMENT DES FACTURES D'EAU)

REGLEMENT FINANCIER ET CONTRAT DE PRELEVEMENT AUTOMATIQUE (POUR LE REGLEMENT DES FACTURES D'EAU) M A I R I E D E REPUBLIQUE FRANCAISE Seyne-les-Alpes ALPES DE HAUTE PROVENCE : 04.92.35.00.42 : 04.92.35.18.98 : mairie@seynelesalpes.fr EXEMPLAIRE CLIENT (à conserver) REGLEMENT FINANCIER ET CONTRAT DE

Plus en détail

CONVENTION DE PRESTATIONS INTEGREES POUR L UTILISATION DES OUTILS DE DEMATERIALISATION

CONVENTION DE PRESTATIONS INTEGREES POUR L UTILISATION DES OUTILS DE DEMATERIALISATION CONVENTION DE PRESTATIONS INTEGREES POUR L UTILISATION DES OUTILS DE DEMATERIALISATION Société Publique Locale SPL-Xdemat (SPL) 1/9 ENTRE La Collectivité dont le numéro SIRET est, Indiquez ci-dessus le

Plus en détail

PARLEMENT EUROPÉEN. Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs DOCUMENT DE TRAVAIL

PARLEMENT EUROPÉEN. Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs DOCUMENT DE TRAVAIL PARLEMENT EUROPÉEN 2004 2009 Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs 15.2.2008 DOCUMENT DE TRAVAIL sur le rapport d initiative sur certains points concernant l assurance automobile

Plus en détail

RÈGLEMENT DU JEU «1 SEJOUR CENTER PARCS A GAGNER» Le présent règlement définit les règles juridiques applicables à cette opération.

RÈGLEMENT DU JEU «1 SEJOUR CENTER PARCS A GAGNER» Le présent règlement définit les règles juridiques applicables à cette opération. Le présent règlement définit les règles juridiques applicables à cette opération. Article 1 - Organisation Mutuelle Bleue, mutuelle régie par le Livre II du Code de la Mutualité, dont le siège social est

Plus en détail

Tribunal des Conflits n 3776 Conflit sur renvoi du tribunal administratif de Montpellier

Tribunal des Conflits n 3776 Conflit sur renvoi du tribunal administratif de Montpellier Tribunal des Conflits n 3776 Conflit sur renvoi du tribunal administratif de Montpellier SAS Mona Parfums Holding c/ SAS Centre Départemental de Télésurveillance Sécurité Séance du 28 mars 2011 Rapporteur

Plus en détail

Conditions générales du contrat Dynatic-Vol de Atral-Services

Conditions générales du contrat Dynatic-Vol de Atral-Services Conditions générales du contrat Dynatic-Vol de Atral-Services Préambule Dynatic-Vol d Atral services est un service innovant permettant au Client équipé d un boitier télématique, embarqué dans son véhicule,

Plus en détail

CHAMP D APPLICATION DES DISPOSITIONS DU CODE DE LA CONSOMMATION

CHAMP D APPLICATION DES DISPOSITIONS DU CODE DE LA CONSOMMATION INC document JURISPRUDENCE LE CRÉDIT À LA CONSOMMATION Malgré l existence des dispositions protectrices du code de la consommation, le contentieux reste abondant en matière de crédit à la consommation.

Plus en détail

Document mis en distribution le 24 novembre 1999 N o 1931 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 ONZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 16 novembre 1999.

Plus en détail

L assurance de. Protection Juridique. Pour tous les litiges de la vie quotidienne, nos juristes sont là pour défendre vos clients.

L assurance de. Protection Juridique. Pour tous les litiges de la vie quotidienne, nos juristes sont là pour défendre vos clients. L assurance de Protection Juridique Un atout dans votre stratégie de développement 100 % Clients 100 % Innovant 100 % Simple www.allianz.fr Pour tous les litiges de la vie quotidienne, nos juristes sont

Plus en détail

CONTRAT COLLECTIF RESPONSABILITE CIVILE SWISSLIFE ASSURANCE DE BIENS

CONTRAT COLLECTIF RESPONSABILITE CIVILE SWISSLIFE ASSURANCE DE BIENS Assurance Responsabilité Civile Contrat n : 011194281 SwissLife Assurances de Biens Siège social : 7, rue Belgrand 92300 Levallois SA au capital de 80 000 000 Entreprise régie par le Code des assurances

Plus en détail

Séparation, rupture de la vie commune

Séparation, rupture de la vie commune Séparation, rupture de la vie commune ÊTRE ACCOMPAGNÉ PAR SA BANQUE À CHAQUE ÉTAPE DE SA VIE. 2 SOMMAIRE QUELLES DÉMARCHES POUR... Que notre relation soit ancienne ou plus récente, nous nous engageons

Plus en détail

Les travaux de l ARCEP afin d améliorer les offres faites aux consommateurs de services de communications électroniques. FRATEL Jeudi 12 mai 2011

Les travaux de l ARCEP afin d améliorer les offres faites aux consommateurs de services de communications électroniques. FRATEL Jeudi 12 mai 2011 Les travaux de l ARCEP afin d améliorer les offres faites aux consommateurs de services de communications électroniques FRATEL Jeudi 12 mai 2011 Le panorama institutionnel en matière de protection des

Plus en détail

«AMICALE DES CADRES DE LA POLICE NATIONALE ET DE LA SECURITE INTERIEURE» «ACPNSI»

«AMICALE DES CADRES DE LA POLICE NATIONALE ET DE LA SECURITE INTERIEURE» «ACPNSI» «AMICALE DES CADRES DE LA POLICE NATIONALE ET DE LA SECURITE INTERIEURE» «ACPNSI» Mutuelle régie par les dispositions du Livre III du Code de la mutualité et immatriculée au registre national des mutuelles

Plus en détail

LA DÉCISION D'URGENCE PROPOS INTRODUCTIFS

LA DÉCISION D'URGENCE PROPOS INTRODUCTIFS LA DÉCISION D'URGENCE PROPOS INTRODUCTIFS L exécution d un chantier ou d une prestation de service sur une période relativement longue conduit quasi-inévitablement à des divergences de points de vue entre

Plus en détail

CONTRAT DE SOUSCRIPTION «ALERTES par SMS ou e-mail» Compléter les zones grisées, signer et renvoyer à l adresse suivante :

CONTRAT DE SOUSCRIPTION «ALERTES par SMS ou e-mail» Compléter les zones grisées, signer et renvoyer à l adresse suivante : CONTRAT DE SOUSCRIPTION «ALERTES par SMS ou e-mail» Compléter les zones grisées, signer et renvoyer à l adresse suivante : Crédit agricole Centre-est Relation Clients 69541 CHAMPAGNE MONT D OR CEDEX Entre

Plus en détail

CONTRAT DE TELESURVEILLANCE DES INSTALLATIONS DE SECURITE ANTI-INTRUSION DES BATIMENTS MUNICIPAUX

CONTRAT DE TELESURVEILLANCE DES INSTALLATIONS DE SECURITE ANTI-INTRUSION DES BATIMENTS MUNICIPAUX CONTRAT DE TELESURVEILLANCE DES INSTALLATIONS DE SECURITE ANTI-INTRUSION DES BATIMENTS MUNICIPAUX Entre : Adresse : COMMUNE DE CLOUANGE 1, rue Mal Joffre 57185 CLOUANGE ci-après qualifiés le Client, d

Plus en détail

A propos de la médiation

A propos de la médiation A propos de la médiation La médiation, une démarche volontaire mais spécifique Si toute personne peut, en principe, être médiateur, il faut avoir suivi avec un succès une formation d'un minimum de 90 heures

Plus en détail

Comment régler un litige avec ma banque?

Comment régler un litige avec ma banque? MARS 2014 N 3 DIFFICULTÉS LES MINI-GUIDES BANCAIRES lesclesdelamediationbancaire.com Le portail de la médiation bancaire lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent Comment régler

Plus en détail

Comment régler un litige avec ma banque?

Comment régler un litige avec ma banque? Juillet 2012 n 3 difficultés Les mini-guides bancaires www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent Comment régler un litige avec ma banque? FBF - 18 rue La Fayette - 75009 Paris

Plus en détail

CONTRAT DE PRISE D ORDRES

CONTRAT DE PRISE D ORDRES CPO_20110615_FR PREAMBULE - DEFINITIONS La SOCIETE GENERALE est mandatée par la société émettrice pour tenir le service de ses titres nominatifs et/ou assurer la gestion des options de souscription ou

Plus en détail

Comment régler un litige avec ma banque?

Comment régler un litige avec ma banque? MARS 2014 N 3 DIFFICULTÉS LES MINI-GUIDES BANCAIRES Comment régler un litige avec ma banque? sec_01-2 Ce mini-guide vous est offert par : Pour toute information complémentaire, nous contacter : info@lesclesdelabanque.com

Plus en détail

Camping-car Park est un concept novateur de gestion d aires d étapes de camping-cars en France et à l Etranger, ouvertes 24 H/24, toute l année.

Camping-car Park est un concept novateur de gestion d aires d étapes de camping-cars en France et à l Etranger, ouvertes 24 H/24, toute l année. CONDITIONS GENERALES DE VENTES CAMPING-CAR PARK Camping-car Park est un concept novateur de gestion d aires d étapes de camping-cars en France et à l Etranger, ouvertes 24 H/24, toute l année. PRÉAMBULE

Plus en détail

Le dispositif de la maladie imputable au service

Le dispositif de la maladie imputable au service LA QUESTION DE L IMPUTABILITÉ AU SERVICE DES MALADIES RÉSULTANT DE LA FRAGILITÉ PSYCHOLOGIQUE D UN FONCTIONNAIRE EN DEHORS DE TOUTE FAUTE DE L EMPLOYEUR PUBLIC Le dispositif de la maladie imputable au

Plus en détail

Ecoute Clients GrDF Rhône-Alpes & Bourgogne

Ecoute Clients GrDF Rhône-Alpes & Bourgogne Ecoute Clients GrDF Rhône-Alpes & Bourgogne Les usagers face aux contentieux de l énergie Espace Rhône-Alpes de Rovaltain VALENCE Distributeur de gaz en clair, «on est là» pour: Nos missions: - Acheminer

Plus en détail

Conditions Générales de Vente de Webncie

Conditions Générales de Vente de Webncie Conditions Générales de Vente de Webncie 1 - NOTRE SOCIETE SARL Webncie société de droit Français représentée par Jacques DANCEDE au capital de 7000 euros, domicilié : 4 impasse du Bois des Lacs 31120

Plus en détail

SENTENCE ARBITRALE DU COLLEGE ARBITRAL DE LA COMMISSION DE LITIGES VOYAGES

SENTENCE ARBITRALE DU COLLEGE ARBITRAL DE LA COMMISSION DE LITIGES VOYAGES SENTENCE ARBITRALE DU COLLEGE ARBITRAL DE LA COMMISSION DE LITIGES VOYAGES AUDIENCE DU 17 juin 2008 En cause de : Monsieur A et Madame B, domiciliés à xxx, Demandeurs absents à l audience, mais dûment

Plus en détail

Petites entreprises, votre compte au quotidien

Petites entreprises, votre compte au quotidien Petites entreprises, votre compte au quotidien Créée en 1957 par les Caisses d Epargne, Finances & Pédagogie est une association qui réalise des actions de sensibilisation et de formation, sur le thème

Plus en détail

Magasins Filière BIO Assurément Durable

Magasins Filière BIO Assurément Durable Magasins Filière BIO Assurément Durable 1 Madame, Monsieur, Voil{ maintenant plus de 15 ans qu un certain nombre d entre vous, ont osé développer leurs activités dans le domaine des produits naturels,

Plus en détail

La Régie des rentes du Québec

La Régie des rentes du Québec La Régie des rentes du Québec La Régie des rentes du Québec est chargée d appliquer la Loi sur le régime de rentes du Québec et la Loi sur les régimes complémentaires de retraite. De plus, elle administre

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DE LA COMMUNE DE BESANÇON 2011-1427

BULLETIN OFFICIEL DE LA COMMUNE DE BESANÇON 2011-1427 BULLETIN OFFICIEL DE LA COMMUNE DE BESANÇON 2011-1427 14 - Relations Internationales - Coopération avec Aqabat Jabr - Bilan du premier programme de coopération relatif à la rénovation du réseau d eau -

Plus en détail

Nouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté. 1 er juillet 2014

Nouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté. 1 er juillet 2014 Nouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté 1 er juillet 2014 Nouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté 2 S O M M A I R E PAGES Contexte 3 Rappel des différentes procédures existantes

Plus en détail

Annexe 5. CONTRAT CYBERPLUS PRO Souscrit dans le cadre du cyberp@iement Titre 1Conditions Particulières

Annexe 5. CONTRAT CYBERPLUS PRO Souscrit dans le cadre du cyberp@iement Titre 1Conditions Particulières Annexe 5 Souscrit dans le cadre du cyberp@iement Titre 1Conditions Particulières DESIGNATION DE L ENTREPRISE ci-après "le Client" Nom ou Dénomination sociale... représentée par.. (Nom et prénom du représentant

Plus en détail

Comment me protéger face aux risques liés à ma fonction de dirigeant d'entreprise?

Comment me protéger face aux risques liés à ma fonction de dirigeant d'entreprise? Comment me protéger face aux risques liés à ma fonction de dirigeant d'entreprise? PASS RC des Dirigeants d'entreprise Prévention juridique ASSistance pénale d urgence Responsabilité Civile des Dirigeants

Plus en détail

PLUS DE DROITS ET PLUS DE CHOIX POUR LE CONSOMMATEUR. Plus d informations sur la loi Consommation : mars 2015

PLUS DE DROITS ET PLUS DE CHOIX POUR LE CONSOMMATEUR. Plus d informations sur la loi Consommation : mars 2015 Plus d informations sur la loi Consommation : www.loiconso.gouv.fr #LoiConso VOITURE CONSOMMATION RESPONSABLE QUALITÉ & TRAÇABILITÉ CARTE DE FIDÉLITÉ ON LITIGES OFF LUTTE CONTRE LE SURENDETTEMENT SANTÉ

Plus en détail

RÉFLEXES CONSO. les droits et devoirs du consommateur. se déplacer acheter. voyager s installer gérer COmmuniquer. www.mce-info.

RÉFLEXES CONSO. les droits et devoirs du consommateur. se déplacer acheter. voyager s installer gérer COmmuniquer. www.mce-info. RÉFLEXES CONSO les droits et devoirs du consommateur se déplacer acheter voyager s installer gérer COmmuniquer Exposition produite par la Maison de la consommation et de l environnement, extraite du guide

Plus en détail

Responsabilité Personnelle des Dirigeants Entreprises

Responsabilité Personnelle des Dirigeants Entreprises D I R I G E A N T S D E S O C I É T É P r é v o y a n c e ( Responsabilité Personnelle des Dirigeants Entreprises ) Une solution simple et complète pour préserver votre patrimoine privé en cas de mise

Plus en détail

Allianz, assureur officiel de la FFME

Allianz, assureur officiel de la FFME Allianz, assureur officiel de la FFME Assurance automobile des déplacements bénévoles www.allianz.fr Avec vous de A à Z Cette notice a pour objet de préciser les termes de la convention passée entre la

Plus en détail

I. OUVERTURE D UNE PROCEDURE COLLECTIVE SUR ASSIGNATION DU CREANCIER

I. OUVERTURE D UNE PROCEDURE COLLECTIVE SUR ASSIGNATION DU CREANCIER DROITS DES CREANCIERS 23/07/2012 Lorsqu une entreprise éprouve des difficultés financières telles qu elle se trouve en état de cessation des paiements, il y a lieu d ouvrir une procédure judiciaire. Cette

Plus en détail

Rappel chronologique. Projet de loi présenté au Conseil des ministres du 26 juin 2013. Loi votée les 20 et 21 février 2014.

Rappel chronologique. Projet de loi présenté au Conseil des ministres du 26 juin 2013. Loi votée les 20 et 21 février 2014. Information Atelier PLH Grand Avignon 7 octobre 2014 Rappel chronologique Projet de loi présenté au Conseil des ministres du 26 juin 2013. Loi votée les 20 et 21 février 2014. Décision du Conseil constitutionnel

Plus en détail

CONTRAT DE DOMICILIATION COMMERCIALE

CONTRAT DE DOMICILIATION COMMERCIALE Domiciliation Artisanale et Commerciale 41 rue Barrault 75013 PARIS Tél : 01 45 89 02 60 Fax : 01 45 89 30 21 Email : ism41@wanadoo.fr CONTRAT DE DOMICILIATION COMMERCIALE ET DE FOURNITURE DE PRESTATIONS

Plus en détail

FONDS DE SOLIDARITE POUR LE LOGEMENT

FONDS DE SOLIDARITE POUR LE LOGEMENT Annexe à la convention de partenariat et d objectifs FONDS DE SOLIDARITE POUR LE LOGEMENT REGLEMENT INTERIEUR Le Fonds de Solidarité Logement a été institué par la loi n -449 du 31 mai 19 visant à la mise

Plus en détail

Cahier des Clauses Particulières Valant Acte d Engagement CCP/AE

Cahier des Clauses Particulières Valant Acte d Engagement CCP/AE Marché Publics de fournitures courantes et services Cahier des Clauses Particulières Valant Acte d Engagement () - Personne Publique : Mairie Boissy-sous-Saint-Yon Service des Marchés Publics Place du

Plus en détail

Diplôme Universitaire Avocat Généraliste

Diplôme Universitaire Avocat Généraliste Diplôme Universitaire Avocat Généraliste Directeurs de la formation René Despieghelaere : Ancien Bâtonnier du Barreau de Lille Bernard Bossu : Doyen de la Faculté des Sciences Juridiques, Politiques et

Plus en détail

Le Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011

Le Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011 Le Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011 Références à rappeler : CM/JPR/RODII/064 036 931 Monsieur le Directeur, Par lettre du 21 janvier 2011, vous avez été informé que la chambre régionale des comptes

Plus en détail

Conditions générales

Conditions générales Conditions générales Article 0 Conditions générales Etant donné que RELI opère dans un environnement commercial, technologique et règlementaire qui change constamment, RELI peut toujours adapter les présentes

Plus en détail

10 Septembre 2015. DIECCTE de La Réunion

10 Septembre 2015. DIECCTE de La Réunion 10 Septembre 2015 DIECCTE de La Réunion Actualités réglementaires De nombreux textes ont, depuis 2014, amélioré l information et les droits des consommateurs: Loi Hamon Loi ALUR Ordonnance n 2015-1033

Plus en détail

Changer plus facilement d opérateur de télécommunications. Consultation publique

Changer plus facilement d opérateur de télécommunications. Consultation publique Changer plus facilement d opérateur de télécommunications Consultation publique Le développement d un marché concurrentiel des services de communications électroniques suppose que les consommateurs puissent

Plus en détail

CONVENTION PORTANT SUR L INSTRUCTION DES AUTORISATIONS D OCCUPATION ET D UTILISATION DU SOL

CONVENTION PORTANT SUR L INSTRUCTION DES AUTORISATIONS D OCCUPATION ET D UTILISATION DU SOL COMMUNE DE... Textes législatifs CONVENTION PORTANT SUR L INSTRUCTION DES AUTORISATIONS D OCCUPATION ET D UTILISATION DU SOL Vu le Code Général des Collectivités Territoriales, notamment l article L5211-4-2

Plus en détail

COMPTE RENDU DU CM du 25 JANVIER 2011. Le P. V. de la précédente séance est approuvé à l'unanimité et Mr le Maire, ouvre la séance.

COMPTE RENDU DU CM du 25 JANVIER 2011. Le P. V. de la précédente séance est approuvé à l'unanimité et Mr le Maire, ouvre la séance. COMPTE RENDU DU CM du 25 JANVIER 2011 Convocation du : 18/01/2011 Etaient présents : MM BOISSARD Pascal PONSOT Gérard BOUVERET Michel Mr COMMUN André Mmes CHABAS Florence BOUTON Nicole BRET Annick MM COMMARET

Plus en détail

Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur

Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur Ces dispositions ne concernent pas les renouvellements à l identique des mesures de tutelle. Par contre, si

Plus en détail

Fédération Nationale de la Mutualité Française. Assemblée générale du 6 juin 2013 MÉDIATION FÉDÉRALE

Fédération Nationale de la Mutualité Française. Assemblée générale du 6 juin 2013 MÉDIATION FÉDÉRALE Fédération Nationale de la Mutualité Française Assemblée générale du 6 juin 2013 MÉDIATION FÉDÉRALE Rapport d activité 2012 PREFACE La médiation fédérale mutualiste est devenue un mode de résolution incontournable

Plus en détail

CONDITONS GENERALES DE LOCATION

CONDITONS GENERALES DE LOCATION CONDITONS GENERALES DE LOCATION Toute commande passée à COLOS implique de la part du locataire, et ce sans restriction aucune, l acceptation de nos conditions générales de location qui prévalent sur tout

Plus en détail

PROTOCOLE. Entre le Barreau de Paris, le Tribunal de Commerce et le Greffe. Le Barreau de Paris, représenté par son Bâtonnier en exercice,

PROTOCOLE. Entre le Barreau de Paris, le Tribunal de Commerce et le Greffe. Le Barreau de Paris, représenté par son Bâtonnier en exercice, PROTOCOLE Entre le Barreau de Paris, le Tribunal de Commerce et le Greffe Le Barreau de Paris, représenté par son Bâtonnier en exercice, Le Tribunal de commerce de Paris, représenté par son Président en

Plus en détail

RÈGLEMENT DU JEU «À QUI RESSEMBLEZ-VOUS?»

RÈGLEMENT DU JEU «À QUI RESSEMBLEZ-VOUS?» Le présent règlement définit les règles juridiques applicables à cette opération ainsi que l ensemble des modalités de participation et de tirage au sort. Article 1 - Organisation Mutuelle Bleue, mutuelle

Plus en détail

Questionnaire RC Professionnelle des Courtiers d assurance et des Intermédiaires financiers

Questionnaire RC Professionnelle des Courtiers d assurance et des Intermédiaires financiers Ce questionnaire a pour objet de renseigner l Assureur sur le risque à garantir. Les réponses apportées aux questions posées ci-après ainsi que les documents à fournir serviront de base à l établissement

Plus en détail

Garantie locative et abus des propriétaires

Garantie locative et abus des propriétaires Recht/Droit Garantie locative et abus des propriétaires La garantie locative, encore communément appelée «caution», est destinée en principe à protéger le propriétaire vis-à-vis d un locataire qui ne respecterait

Plus en détail

LE GUIDE DU COPROPRIÉTAIRE

LE GUIDE DU COPROPRIÉTAIRE LE GUIDE DU COPROPRIÉTAIRE Avant-propos Cher copropriétaire, Vous venez d acquérir un logement dans un immeuble en copropriété. Nous sommes heureux de vous accueillir et nous vous souhaitons d y vivre

Plus en détail

Conditions Générales d Utilisation

Conditions Générales d Utilisation Conditions Générales d Utilisation Les présentes Conditions Générales d'utilisation de MaGED (ci-après désignées les "Conditions Générales"), ont pour objet de définir les relations contractuelles entre

Plus en détail

F.F.M.E. Assurance automobile des déplacements. bénévoles. Notice. Assurance. Assureur officiel de la FFME

F.F.M.E. Assurance automobile des déplacements. bénévoles. Notice. Assurance. Assureur officiel de la FFME F.F.M.E. Assurance automobile des déplacements Notice bénévoles Assurance Assureur officiel de la FFME Cette notice a pour objet de préciser les termes de la convention passée entre la Fédération Française

Plus en détail

Statuts et Usages de l'association des Commerçants d'art de Suisse

Statuts et Usages de l'association des Commerçants d'art de Suisse Statuts et Usages de l'association des Commerçants d'art de Suisse Statuts de l'association des Commerçants d'art de Suisse Association selon l article 60 et suivants du Code des obligations 1. L Association

Plus en détail

OTRT : Office Tchadien de Régulation des Télécommunications. Contrat de Bureau d enregistrement

OTRT : Office Tchadien de Régulation des Télécommunications. Contrat de Bureau d enregistrement REPUBLIQUE DU TCHAD Unité - Travail - Progrès REPUBLIQUE DU TCHAD Unité - Travail - Progrès OTRT : Office Tchadien de Régulation des Télécommunications Contrat de Bureau d enregistrement Contrat de Bureau

Plus en détail

Conditions générales de vente

Conditions générales de vente Conditions générales de vente En vigueur au 01/08/2015 et modifiables à tout moment. I/ PREAMBULE Les présentes conditions générales de vente ont pour objet de définir les droits et les obligations des

Plus en détail

CONDITIONS GÉNÉRALES

CONDITIONS GÉNÉRALES ASSURANCE PROSPECTION GARANTIE DU REMBOURSEMENT DES CRÉDITS DE FINANCEMENT ASSURANCE PROSPECTION CONDITIONS GÉNÉRALES RÉFÉRENCE : FAP - 01 SOMMAIRE Préambule 5 Article 1 Objet de la garantie 6 Article

Plus en détail

Le guide du logement. à Montpellier. Le Département vous informe et vous accompagne. Votre Département Solidaire

Le guide du logement. à Montpellier. Le Département vous informe et vous accompagne. Votre Département Solidaire Le guide du logement à Montpellier Le Département vous informe et vous accompagne Votre Département Solidaire "Un toit pour chacun" C est l un des huit défis que nous avons choisi de relever pour une citoyenneté

Plus en détail

CMP-Banque, une banque municipale et sociale

CMP-Banque, une banque municipale et sociale CMP-Banque, une banque municipale et sociale Un acteur de la politique sociale CMP-Banque, la banque du Crédit Municipal de Paris, est une institution bancaire ancienne et singulière où la responsabilité

Plus en détail

AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D AUVERGNE, STATUANT EN SECTION

AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D AUVERGNE, STATUANT EN SECTION CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D'AUVERGNE COMMUNE DE CERILLY N codique : 003 015 048 Département : Allier Trésorerie de Cérilly-Ainay-Le-Château Exercices 2004 et 2005 Audience publique du 9 juin 2010 Lecture

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA JUSTICE ET DES LIBERTÉS Décret n o 2010-148 du 16 février 2010 portant application de la loi organique n o 2009-1523 du 10 décembre 2009 relative

Plus en détail

Particuliers, la Banque de France vous informe LE SURENDETTEMENT. Vos droits, vos obligations Les solutions possibles La vie de votre dossier

Particuliers, la Banque de France vous informe LE SURENDETTEMENT. Vos droits, vos obligations Les solutions possibles La vie de votre dossier Particuliers, la Banque de France vous informe LE SURENDETTEMENT SURENDETTEMENT Vos droits, vos obligations Les solutions possibles La vie de votre dossier Sommaire 1. Être surendetté : qu est-ce que c

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES DE VENTE

CONDITIONS GENERALES DE VENTE CONDITIONS GENERALES DE VENTE Article 1. Préambule : DSI SYSTEM est un auto entrepreneur représenté en la personne de Mr GUERMAH inscrit au répertoire des entreprises sous le numéro de SIREN 500 771 696.

Plus en détail

REGLEMENT COMPLET Jeu «Gagnez un séjour Thalasso» Du 31 mars au 24 mai 2014

REGLEMENT COMPLET Jeu «Gagnez un séjour Thalasso» Du 31 mars au 24 mai 2014 REGLEMENT COMPLET Jeu «Gagnez un séjour Thalasso» Du 31 mars au 24 mai 2014 Article 1 Organisation et thème Eovi-Mcd mutuelle, mutuelle ayant son siège social 44 rue Copernic, 75016 Paris, soumise aux

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES DE VENTE

CONDITIONS GENERALES DE VENTE 1 ) Définitions CONDITIONS GENERALES DE VENTE Les termes ci-après définis auront dans les présentes Conditions Générales de Vente les significations suivantes : Vendeur : la société 37DEUX, société à responsabilité

Plus en détail