Chapitre VI. La ville et ses équipements collectifs

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1 Chapitre VI La ville et ses équipements collectifs

2 Introduction L'intérêt accordé à la connaissance du milieu urbain et de ses équipements collectifs suscite un intérêt croissant, en raison de l urbanisation accélérée que connaît le pays, et de son effet sur les équipements et les dysfonctionnements liés à la répartition des infrastructures. Pour résorber ce déséquilibre et assurer la satisfaction des besoins, le développement d'un réseau d'équipements collectifs appropriés s'impose. Tant que ce déséquilibre persiste, le problème de la marginalisation sociale, qui s intensifie avec le chômage et la pauvreté va continuer à se poser La politique des équipements collectifs doit donc occuper une place centrale dans la stratégie de développement, particulièrement dans le cadre de l aménagement du territoire. La distribution spatiale de la population et par conséquent des activités économiques, est certes liée aux conditions naturelles, difficiles à modifier. Néanmoins, l'aménagement de l'espace par le biais d'une politique active peut constituer un outil efficace pour mettre en place des conditions favorables à la réduction des disparités. Cette politique requiert des informations fiables à un niveau fin sur l'espace à aménager. La présente étude se réfère à la Base de données communales en milieu urbain (BA.DO.C) de 1997, élaborée par la Direction de la Statistique et concerne le niveau géographique le plus fin à savoir les communes urbaines, qui constituent l'élément de base de la décentralisation et le cadre d'application de la démocratie locale. Au recensement de 1982, était considéré comme espace urbain toute agglomération ayant un minimum de habitants et qui présentait au moins quatre des sept conditions énumérées en infra 1. En 1994, la procédure pour attribuer le statut d urbain se fondait sur la confection du seuil d acceptation pour arrêter la liste des nouveaux centres. Cette classification englobait 10 critères qui prennent en compte les équipements administratifs, de services, d environnement et 1 L existence d'un réseau d'électricité, d'un réseau d'eau potable, d'un réseau d'évacuation par égout, d'un hôpital ou d'un dispensaire, d'un collège ou d'un lycée, d'un tribunal et d une population active non agricole d'au moins 50%. 289

3 d aménagement, de santé, d enseignement, de culture et de formation professionnelle, de sport, de tourisme et de loisirs, d industrie, d artisanat, de transport et voies de communication et du commerce de détail. 2 Tous ces points sont indispensables car ils sont les supports et les catalyseurs de toutes les réalisations visant le bien être de la population. Une ville est une imbrication d éléments naturels, d éléments humains et des équipements, et c est pour cette raison que l étude s attachera à mettre en parallèle les équipements collectifs et la population tant au niveau des régions qu au niveau des villes, les équipements seront regroupés en groupes homogènes (équipements et services administratifs, équipements et activités de services, équipements d enseignement ou de formation professionnelle, équipements et services de santé, équipements culturels, équipements d industrie, d artisanat et coopératives, équipements et services d hébergement et de festivité, équipements de sport et loisirs et équipements de transport et de communication). Ensuite l étude traitera des sources d'approvisionnement en eau potable et en électricité, de l accessibilité aux équipements pour enfin déboucher sur une hiérarchisation des villes. I- Les équipements collectifs Par équipements collectifs on entend, tous les équipements c'est à dire l ensemble des bâtiments et des installations à gestion publique ou privée qui assurent des prestations de services à la population. Un équipement collectif peut être défini comme étant «un capital ou un investissement matériel et immatériel, (1) dont la création et/ou la propriété reçue ou non en héritage des générations passées ainsi que la gestion peut être publique, mixte ou privée (au sens juridique du terme), (2) dont la consommation des biens et services qu il fournit, à titre gratuit ou onéreux, s adresse à tous sans exception, (3) ayant seul ou par son adjonction à d autres équipements un effet de structuration 2 Pour plus de détails voir: Chahoua, S. Problèmes de définition de l urbain: le cas du Maroc in Cahiers de la documentation marocaine, n 1, Juillet p

4 physique, économique et sociale de l espace, (4) et auquel sont affectées nécessairement, sous peine de dysfonctionnements graves: des dépenses de conservation ; des dépenses d investissement et d amortissement ; des dépenses de fonctionnement». 3. On a souvent tendance à associer un équipement et un bâtiment, ou une infrastructure, ce qui conduit à amoindrir, voire oublier purement et simplement l'aspect immatériel qui est fondamental. L'ensemble des commerces et des services privés ne sont collectifs ni dans leur propriété, ni dans leur gestion, ils peuvent l'être dans leur usage. On retient ainsi une définition élargie des équipements collectifs, dont la consommation bénéficie à l'ensemble de la population en même temps et lieu, sans condition restrictive de gratuité. Un équipement collectif est donc l'ensemble des constructions, des matériaux, des personnels nécessaires à une fonction collective. Un équipement est considéré comme collectif s'il est mis à l'égale disposition de tous, et s il profite à tous, ce qui suppose la non rivalité des consommations et la non exclusion. Pour des raisons manifestes de rentabilité des équipements collectifs publics, l'etat a tendance à les concentrer en certains points. Qu ils soient privés ou publics, les équipements s'inscrivent dans une même démarche: organiser, marquer et animer l'espace physique, économique et social. Ils ont pour fonction la satisfaction des besoins collectifs. Derrière la conception, la production et la réalisation des équipements, interviennent les acteurs économiques, qui peuvent être soit des détenteurs de capitaux motivés par la recherche du profit, et leur conduite s'inscrit dans une logique économique lucrative, soit l'etat qui joue alors le rôle de «redresseur de torts» et dont la démarche obéit à des préoccupations à la fois sociales et économiques. Les différents tels que les élus qu ils soient députés ou conseillers communaux, les médias et les associations surtout à but non lucratif (Partis politiques, amicales, coopérations...) sont perçus comme des 3 Brejon de Lavergnee, N., Politique d aménagement du territoire au Maroc, Ed. L Harmattan, Coll. «Villes et entreprises»,

5 contre pouvoirs ou encore des pouvoirs parallèles, qui viennent limiter, infléchir, voire contrôler les pouvoirs de l'etat en matière d équipements. Les équipements sont le reflet d'un certain type d'organisation familiale et sociale et de valeurs culturelles. Ils engendrent aussi des flux monétaires et financiers ainsi que des mouvements de personnes, de marchandises et de véhicules, qui ont un impact sur l'espace où ils sont situés. Les choix gouvernementaux en matière d'équipements collectifs favorisent la transformation du mode de vie des différentes couches sociales, et permettent de quadriller la totalité de l'espace social pour toutes les catégories de la population. Afin de mettre les équipements collectifs à la disposition des populations, on s appuie, en général sur des normes, dans le but de les répartir d une manière rationnelle, en tenant compte des contraintes de financement. La base normative au Maroc stipule qu il faut construire: une école primaire pour habitants ; un collège pour habitants ; un lycée pour habitants ; un centre de qualification professionnelle pour habitants ; Un institut de technologie appliqué pour habitants ; Et un centre de santé pour habitants. La typologie des équipements collectifs doit tenir compte de nombreux facteurs: leur nature matérielle (fonction et rôle urbanistique), leur mode de gestion et de fonctionnement (publique ou privée, nationale, régionale, provinciale ou communale). Les équipements revêtent une importance cruciale, car la ville est censée pouvoir offrir les meilleures conditions de vie, notamment par le biais d un réseau d équipements collectifs, dont la finalité est d assurer certaines fonctions. Jouant un rôle dans l armature urbaine, ces équipements ont pour but de faciliter la vie de communautés plus importantes, comme celle de la région, voire de la nation. Leur nombre est supposé évoluer pour suivre la croissance de la population, et gagner en qualité du fait de l évolution des attentes de la société. 292

6 I.1- La Population des villes Le paysage économique marocain s est intensément modifié par la dynamique démographique. La population du pays s est accrue à des rythmes forts. Il en a découlé un rajeunissement considérable du «potentiel humain», qui en dépit d'un ralentissement du rythme d accroissement au cours des dernières années, continuera à croître, d une manière significative. Le poids des jeunes, de moins de 15 ans, accentué par le transfert vers les villes d un grand nombre de ruraux resterait important. Les conséquences directes de cette évolution sur les besoins en équipements sont considérables (logements, établissements scolaires, hôpitaux, crèches...); ainsi que sur l emploi à travers un chômage difficile à contenir. La part de la population urbaine, qui avoisinait la moitié de la population globale du pays au début de la décennie 90, atteindrait 62% en La base de données communale a porté sur 295 villes, couvrant une population de habitants 4 dont résident dans 21 grandes villes, soit 69,3% de la population considérée et 7,1% des villes, dans 21 villes moyennes (10,6% de la population et 7,1% des villes) et dans 253 petites villes (20,1% et 85,8% des villes) 5. 4 Il s agit de l effectif de la population au recensement général de la population et de l habitat de La typologie des villes repose sur un découpage selon la population de 1994, cette typologie considère comme Petite ville (PV) toute ville dont la population est inférieure à habitants avec une distinction entre les petites villes de type 1 (PV1) dont la population de moins de habitants et les petites villes de type 2 (PV2), constituées des villes dont la population varie entre et moins de habitants). Les villes moyennes (VM) sont les villes de à moins de habitants. Les villes dont la population est supérieure à habitants sont considérées comme grandes villes, avec une distinction entre les grandes villes de type 1 (GV1), population variant entre et moins de habitants et les grandes villes de type 2 (GV2) constituées des villes de plus de habitants. Pour les agglomérations comme celle de Casablanca, Rabat, Agadir, etc. qui constituent des unités spatiales continues, chaque ville sera traitée comme indépendante pour les besoins de l étude. 293

7 La répartition des villes montre que près du cinquième de la population réside dans une petite ville (11,0% et 9,1% respectivement dans les PV1 et les PV2), 10,6% dans des villes moyennes alors que les grandes villes comptent l essentiel de la population avec 69,3% de cette population (9,2% dans les grandes villes de type 1 et 60,1% dans les grandes villes de type 2). 6 La population est répartie inégalement entre les régions. La région du Grand Casablanca abrite près du cinquième de cette population, suivie de la région Rabat Salé Zemmour Zaer avec 11,6%, Tanger Tétouan (8,5%) et Marrakech Tensift Al Haouz, Meknès Tafilalet, l Oriental, Fès Boulemane, avec chacune près de 7%. Ainsi, 77,4% de la population des villes se trouvent concentrés dans ces 8 régions. Les régions qui comptent un effectif des plus faibles de population sont Oued Eddahab Lagouira (0,2%), Laâyoune Boujdour Sakia El Hamra (1,2%), Guélmim Essemara (1,4%), Taza Al Hoceima Taounate (2,8%) et Tadla Azilal (3,3%), soit 9% de l ensemble de la population. 6 Les provinces et préfectures où prédominent les grandes villes (plus de 50% de la population résident dans de grandes villes) sont: Fahs Bni Makada, Marrakech Médina, Mohammédia, Zouagha Moulay Yacoub, Fès Médina, Laâyoune, Al Fida Derb Sultan, Tanger, Marrakech Ménara, Rabat, Ain Chock Hay Hassani, Ain Sebaâ Hay Mohammadi, Ben M Sick Sidi Othmane, Sidi Youssef Ben Ali, Tétouan, Meknès El Menzeh, Sidi Bernoussi Zénata, Salé, Skhirate Témara, Oujda Angad, Casablanca Anfa, Kénitra, Agadir Ida Ou Tanane, Fès El Jadid Dar Dbibagh, Larache, Khouribga. Les provinces et préfectures où les villes moyennes dominent (Plus de 50% de la population résident dans des villes moyennes) sont: Inezgane Aït Melloul, Guélmim, Jrada, Essaouira, Sidi Kacem, Settat, Taourirt, Safi, Berkane Taourirt, Sefrou, Khémisset. Les provinces et préfectures où les petites villes l'emportent (Plus de 50% résident dans de petites villes) sont: Al Haouz, Assa Zag, Azilal, Ben Slimane, Boujdour, Boulemane, Chefchaouen, Chichaoua, Chtouka Ait Baha, El Hajeb, Essemara, Figuig, Ifrane, Machouar Casablanca, Ouarzazate, Oued Eddahab, Tan Tan, Taounate, Tata, Tiznit, Zagora, Khénifra, El Kelaâ Sraghna, Errachidia, Taroudannt, Taza, Nador, Al Hoceima, El Jadida. Deux préfectures, Béni Mellal et Al Ismailia, présentent une répartition assez équilibrée entre les 3 types de villes. 294

8 I.2- Les équipements et services administratifs Par équipements et services administratifs 7 sont désignés les constructions et les services fournis à la population appartenant à l'administration publique, et utilisés d'une façon permanente. La région du Grand Casablanca accapare à elle seule 18,4% des équipements et services administratifs suivie de Rabat Salé Zemmour Zaer avec 9,6%. Ensuite arrive un deuxième groupe de régions, qui compte chacune près de 7% des équipements: Meknès Tafilalet (8,2%), Sous Massa Daraâ (7,8%), Tanger Tétouan (7,5%) et Fès Boulemane (7,3%). Lorsqu on met en parallèle la répartition du nombre d équipements selon les régions avec l effectif de la population 8, on constate que contrairement à ce que l on pourrait penser les régions qui jouissent d un bon niveau d équipement sont: Oued Eddahab Lagouira, Doukkala Abda, Chaouia Ouardigha et Tadla Azilal. Alors que les régions qui enregistrent le même poids d équipements et de population sont: Taza Al Hoceima Taounate, Meknès Tafilalet, Sous Massa Daraâ, Gharb Chrarda Bni Hssen, Fès Boulemane et Marrakech Tensift Al Haouz. Les régions qui se caractérisent par un relatif déséquilibre entre équipements et population sont: l Oriental, Guélmim Essemara, Tanger Tétouan, Grand Casablanca, Rabat Salé Zemmour Zaer et Laâyoune Boujdour Sakia El Hamra. Sur l ensemble des équipements et services administratifs, la chambre d agriculture est l équipement le moins fréquent, seules 37 villes sur 295 en disposent 9, alors qu à l autre extrémité, la poste est présente dans 287 villes. La poste fournit une bonne desserte, puisque ses bureaux existent dans 96,6% des villes. Sur l ensemble des villes, près de 8 sur 10 disposent d une maison communale et d un Caïdat. Les perceptions existent dans 46,1% des villes. Parmi les équipements dont le 7 Les équipements et services administratifs retenus sont: les maisons communales, le Caidat, la municipalité, le tribunal de première instance, les recettes du trésor, les perceptions, les bureaux de poste, le téléphone privé, les sapeurs pompiers et les chambres d agriculture. 8 Le poids relatif des équipements et services administratifs de chaque région est mis en parallèle avec le poids relatif de la population. 9 Comme on pouvait s y attendre, les villes sont en général dominées par les activités non agricoles. 295

9 rayonnement peut dépasser la ville, on relève le tribunal de première instance présent dans seulement 64 villes sur 295 (soit 21,7%) et la recette du trésor (17,6% des villes). Tableau 1: Répartition des villes selon l existence des équipements et activités de services Equipements et services administratifs Oui Villes disposant de Caidat ,6 Maison Communale ,6 Municipalité ,3 Tribunal de première instance 64 21,7 Recette du trésor 52 17,6 Perception ,1 Bureau de poste ,6 Téléphone privé ,3 Sapeurs pompiers 83 28,1 Chambre d'agriculture 37 12,5 Parmi les villes, 2 ne disposent d aucun équipement ou service administratif, soit une population de 1317 habitants (0,01% de la population urbaine). Celles qui disposent d un équipement ou service administratif seulement sont au nombre de 2, avec une population de habitants. Près de 0,17% de la population urbaine retenue par la BADOC, ne dispose que de deux équipements ou services administratifs ( habitants) et 10,4% de la population ne dispose que de 5 ou moins de ces équipements ou services administratifs, soit 189 villes avec habitants. A l autre extrémité, on retrouve 15 villes qui disposent de tous les équipements et services administratifs et totalisent une population de habitants, suivies de près par 13 villes qui jouissent de 9 de ces équipements, avec une population de habitants. Les villes qui disposent de 6 à 8 équipements sont au nombre de 78 (26,4% des villes) et comptent une population de habitants, soit 26,7% du total de la population concernée. I.3- Les équipements et activités de services Pour les équipements et activités de services 10, les fours à pain, les bains publics ou douches, les souks hebdomadaires et les stations 10 Ces équipements et activités de services englobent les Souks hebdomadaires, les abattoirs, les marchés de gros, les grossistes, les stations d'essence, les bains publics ou douches, les fours à pain, les auto écoles, les agences bancaires, les agences de 296

10 d essence sont omniprésents, on les retrouve dans presque toutes les villes (respectivement 93,9%, 92,5%, 86,8% et 86,4%). Il s agit d équipements qui fournissent des services de proximité qui, généralement, ne dépassent guère le quartier, comme dans le cas des fours à pain et des bains publics ou douches. Les souks hebdomadaires sont présents dans 256 villes (86,8%), ils sont toutefois localisés principalement dans les petites villes qui en abritent 73,4%, suivies des villes moyennes avec 8,6%, alors que seulement 6,6% des souks hebdomadaires sont situés dans les grandes villes. Les souks hebdomadaires se localisent donc principalement dans des villes où subsiste encore un caractère rural, c est à dire des villes nouvellement promues, les villes où prédominent des activités de type agricole et celles qui n ont pas connu une forte croissance démographique et économique, en raison de leur proximité d une grande ville, ou de leur éloignement des voies de communications. Tableau 2: Répartition des villes selon l existence des équipements et activités de services Equipements et activités de services Oui Villes disposant de Souk hebdomadaire ,8 Abattoir ,9 Marché de gros 38 12,9 Grossistes ,7 Station d essence ,4 Bain public ou douche ,5 Four à pain ,9 Auto-école ,1 Agence bancaire ,5 Agence de voyage 68 23,1 Architecte 48 16,3 Vétérinaire ,1 Topographe-géomètre 30 10,2 Comptable fiduciaire 41 13,9 Bureau d études 34 11,5 Agence d assurance 73 24,7 Avocat ,3 Adoul ,3 voyage, les architectes, les vétérinaires, les Topographes géomètres, les cabinets de comptables fiduciaires, les bureaux d'études, les agences d'assurance, les avocats et les adoul. 297

11 Les autres équipements et activités de services que l on rencontre dans près de 7 villes sur 10, sont les auto écoles, les abattoirs dans 8 villes sur 10 et les grossistes. A un degré moindre, on retrouve des équipements qui apparaissent avec un certain niveau de développement des villes, comme les agences bancaires (48,5% des villes), les avocats (38,3%) et les vétérinaires (44,1%). Au niveau supérieur, se situe une autre catégorie d équipements, qui est plutôt rare. Il s agit des agences d assurance (24,7%), des agences de voyage (23,1%), des architectes (16,3%), des cabinets de comptables fiduciaires (13,9%), des bureaux d études (11,5%), des marchés de gros (12,9%) et des topographes géomètres (10,2%). Au plan régional, on note une forte présence des souks hebdomadaires dans la région de Meknès Tafilalet, avec 13,4% des souks, de l Oriental (11,7%) et du Sous Massa Daraâ (11,3%), soit 36,4% des souks pour 21,5% de l ensemble de la population. Pour ce qui est des grossistes, la région du grand Casablanca, capitale économique, en abrite, à elle seule 31,2% suivie de Doukkala Abda, de Marrakech Tensift Al Haouz, de Fès Boulemane et de Sous Massa Daraâ, avec près de 8% pour chacune de ces régions. Ces dernières comptent 63,1% des grossistes. Les stations d essence se concentrent principalement dans les régions du Grand Casablanca (19,8%), de Meknès Tafilalet (10,1%), de Sous Massa Daraâ (9,3%) et de Rabat Salé Zemmour Zaer (8,8%), soit 48% des stations d essences. La région du Grand Casablanca compte aussi 16,4% des bains publics ou douches et la région de Meknès Tafilalet 10,7%, et l on note une bonne correspondance entre la part de la population dans chaque région et le nombre de bains publics ou douches qui s y trouvent. En ce qui concerne les auto écoles, près d une sur 5 est localisée au Grand Casablanca probablement en raison de l importance du parc automobile, et un peu plus de 1 sur 10 dans la région de Rabat Salé Zemmour Zaer. Les régions du Grand Casablanca, de Rabat Salé Zemmour Zaer, de Sous Massa Daraâ et de l Oriental accaparent 51% des auto écoles. Les agences bancaires se concentrent à hauteur de 28% dans le Grand Casablanca, et de 10% dans l Oriental. L essentiel des agences bancaires se concentre dans les régions du Grand Casablanca, l Oriental, Sous Massa Daraâ, Rabat Salé Zemmour Zaer et Tanger Tétouan (63%). Les agences de voyage, qui 298

12 sont fortement liées aux activités touristiques et aux ports et aéroports de transit des touristes, sont fortement présentes dans la région de Sous Massa Daraâ (26,8%) et du Grand Casablanca (16,2%) et à un degré moindre dans les régions de Marrakech Tensift Al Haouz (11,8%) et de Tanger Tétouan (10,3%). On relève aussi une forte concentration des architectes dans la région de Rabat Salé Zemmour Zaer avec 35,2%, suivie du Grand Casablanca (19,4%) et de Tanger Tétouan, avec 10,5%. La région de Rabat Salé Zemmour Zaer abrite le plus grand nombre de vétérinaires (21,2%), talonnée de loin par les régions à vocation agricole, le Gharb Chrarda Bni Hssen et Meknès Tafilalet avec 8,7% chacune. Les régions du Grand Casablanca et du Chaouia Ouardigha comptent respectivement 7,9% et 7,5% des vétérinaires, 54% des vétérinaires se concentrent dans ces 5 régions. La base de données communales a dénombré 173 topographes géomètres, dont 65,3% pratiquent dans 4 régions. Le Grand Casablanca en abrite, à lui seul, 30,1%, Rabat Salé Zemmour Zaer 18,7%, Tanger Tétouan 14,3% et Meknès Tafilalet 9,2%. Les comptables fiduciaires se concentrent principalement dans deux régions: le Grand Casablanca et Tanger Tétouan qui se partagent équitablement 48,3%, au deuxième rang, on retrouve la région de Fès Boulemane avec 10,8% et ensuite Rabat Salé Zemmour Zaer avec 9,1%. Les bureaux d études, au nombre de 182, se concentrent à hauteur de 48,9% dans trois régions: Rabat Salé Zemmour Zaer (18,7%), le Grand Casablanca (15,9%) et Tanger Tétouan (14,3%). Pour ce qui est des agences d assurance, une fois encore le Grand Casablanca se distingue du lot, avec un peu moins du quart de ces agences (23,6%), suivi de la région de Tanger Tétouan et de l Oriental avec respectivement 11,8% et 9,9%. Les régions de Rabat Salé Zemmour Zaer et de Meknès Tafilalet comptent chacune 6,9%. Les deux régions du Grand Casablanca et de Rabat Salé Zemmour Zaer comptent 27,6% des avocats (respectivement 16,3% et 11,3%), la région de Fès Boulemane (10,4%) et Tanger Tétouan (9,5%). Ainsi, près de la moitié des avocats se concentrent dans ces 4 régions. Le tiers du corps des adoul, qui en compte est concentré dans trois régions Tanger Tétouan (11,9%), Meknès Tafilalet (10,7%) et Fès Boulemane (10,5%). 299

13 On a recensé équipements et activités de services, dont 18,4% sont situés dans la région du Grand Casablanca, 9,6% dans celle de Rabat Salé Zemmour Zaer et 8,2% dans la région de Meknès Tafilalet. Les autres régions qui abritent un nombre important d équipements et activités de services sont: Sous Massa Daraâ, Tanger Tétouan, Fès Boulemane, Marrakech Tensift Al Haouz et l Oriental, avec chacune près de 7%. Toutefois, lorsqu on rapproche les équipements du nombre d habitants, on constate que la hiérarchie sur la base du seul nombre d équipements est trompeuse. En fait, les régions où le poids relatif des équipements et activités de services est plus important que leur poids relatif en terme de population sont dans l ordre: Oued Eddahab Lagouira, Doukkala Abda, Chaouia Ouardigha, Tadla Azilal, Taza Al Hoceima Taounate, Meknès Tafilalet, Sous Massa Daraâ, Gharb Chrarda Bni Hssen, Fès Boulemane. La région de Marrakech Tensift Al Haouz est celle où les parts relatives de la population et des équipements sont égales. Les régions où la part relative des équipements est plus faible que celle de la population sont: l Oriental, Guélmim Essemara, Tanger Tétouan, le Grand Casablanca, Rabat Salé Zemmour Zaer. Pour apprécier le rapport entre les équipements et les activités de services et la population censée les utiliser, le nombre d habitants par équipement fournit un indicateur pertinent, bien qu il ne tienne pas compte de l étendue et de la nature du territoire qu il dessert. Sur la base du nombre d habitants par équipement ou activités de services, on peut conclure que les fours à pain fournissent la meilleure desserte, leur desserte moyenne est de 2927 habitants, avec un minimum à Smimou avec 220 habitants et un maximum à Sidi Slimane habitants. En second lieu, on retrouve des services et des équipements comme les avocats et les grossistes, avec une desserte de près de habitants, alors que les bains publics ou douches et les adouls ont respectivement une desserte de 4025 et 5376 habitants. Les stations d essence, les agences bancaires, les auto écoles et les architectes, pour une desserte moyenne qui varie de à habitants. Les agences de voyage, les agence d assurances, les comptables 300

14 fiduciaires et les souks constituent le 3 ème groupe dont la desserte varie de à moins de habitants. Une autre catégorie comporte les vétérinaires, les bureaux d études et les topographes géomètres, avec une desserte moyenne qui varie de à habitants. I.4- Les équipements d enseignement ou de formation professionnelle Il est manifeste que lorsqu'une grande frange de la population n a pas accès à un minimum d'éducation, le développement du pays s en trouve hypothéqué. Contrairement aux idées avancées par les tenants du courant élitiste, qui prônent une certaine sélectivité qui favorise uniquement une partie réduite de la population, l'éducation de base constitue un préalable fondamental au processus d'apprentissage perpétuel nécessaire à la satisfaction des aspirations individuelles et sociales. Même si l'éducation de base ne constitue nullement la clé de la croissance durable, elle représente plutôt une base sur laquelle on peut progressivement bâtir le niveau de connaissances et de compétences requis à l'échelle mondiale. En matière d'enseignement et de formation professionnelle, malgré les progrès réalisés, la situation reste préoccupante. En témoigne le taux moyen de scolarisation, qui est de 62% dans l'enseignement fondamental et secondaire. Il est certain que l'introduction de l'enseignement dans de nouvelles régions, où la scolarisation d'un plus grand nombre d'enfants constituent un facteur d'accélération et de stimulation de l'évolution économique et sociale. Les enfants des familles défavorisées et des quartiers marginalisés ont moins de chances d'être scolarisés comparativement à ceux des milieux aisés. Ces enfants constituent, le plus souvent, un apport substantiel pour les activités marginales, quand même leurs parents voudraient les scolariser, leur volonté se trouve entravée parfois par l'éloignement de l'infrastructure scolaire, par les coûts que l école engendre et par l'inadaptation des programmes au milieu. Le système scolaire par son inadaptation à son environnement, fabrique des «chômeurs potentiels». Le système scolaire se caractérise par de fortes déperditions. Sur une cohorte de 100 enfants âgés de 7 ans, seulement 85 prennent le 301

15 chemin de l'école et 45 atteignent le deuxième cycle du fondamental. En fin du cycle secondaire, il n en subsiste que 17 élèves, dont seulement 10 au baccalauréat. Le système scolaire est appelé à subir une pression démographique qui s'exercera particulièrement par la tranche d âge des 6 et 7 ans, en quête d une place dans le fondamental. 11 L objectif de la généralisation de la scolarisation dans l'enseignement fondamental, pour les années à venir, n est réalisable que si l infrastructure suit l évolution des flux futurs, tout en s accompagnant par la formation du personnel enseignant et administratif équivalent. Tableau 3: Répartition des villes selon l existence des équipements d enseignement ou de formation professionnelle Equipements d enseignement ou de formation Oui Villes disposant de professionnelle Kouttab ou M sid ,8 Ecole coranique 82 27,8 Crèche ou garderie ,4 Ecole primaire ,3 Collège ,1 Lycée ,0 Etablissement d enseignement supérieur 19 6,4 Cité universitaire 15 5,1 Institut de technologie appliquée 37 12,5 Etablissement de formation professionnelle privé 56 19,0 Centre de formation professionnelle public 90 30,5 Ecole des adjoints techniques 8 2,7 Centre de formation des instituteurs 31 10,5 Centre pédagogique régional 13 4,4 Parmi Les équipements d enseignement ou de formation professionnelle 12, l école primaire se trouve dans presque toutes les villes (293 sur 295). Le Kouttab ou M sid est aussi un équipement omniprésent. Il peut remplir parfois une double fonction, il est lieu de 11 Ministère de la Prévision Economique et du Plan, Direction de la Programmation, Note d orientation pour la préparation du plan quinquennal , novembre Kouttabs ou M'sid (privés, publics), Ecoles coraniques, Crèches ou garderies (privés, publics), Ecoles primaires (privés, publics), Collèges (privés, publics), Lycées (privés, publics), Etablissements d'enseignement supérieur (privés, publics), Cités universitaires, Instituts de technologie appliquée, Etablissements de formation professionnelle privé, Centres de formation professionnelle publics, Ecoles des adjoints techniques, Centres de formation des instituteurs, Centres pédagogiques régionaux. 302

16 culte et en même temps lieu d'enseignement religieux, 256 villes en disposent. Sur l ensemble des villes, 248 disposent d un collège, soit 84,1% des villes, et près de deux villes sur 3 disposent d une crèche ou garderie alors que les lycées existent dans 180 villes. Les écoles coraniques, forme plus «évoluée» des Kouttabs ou M sids, n existent que dans 82 villes soit 27,8% de l ensemble. Parmi les équipements d enseignement ou de formation professionnelle les plus rares, figurent les instituts de technologie appliquée, présents seulement dans 37 villes, les établissement d enseignement supérieur dans 19 villes et les centres de formation des instituteurs dans 31 seulement, 15 villes disposent sur leur territoire d une cité universitaire et 13 d un centre pédagogique régional. Les centres de formation professionnelle, dont la mission est de préparer en liaison avec les employeurs, des agents aptes à exercer un métier déterminé, apparaissent encore en rupture avec cette conception, car il sont encore perçus comme «récupérateur des déperditions scolaires». Ce n est que dernièrement, avec l'accentuation du problème du chômage des jeunes, qu une réflexion a vu le jour, en vue de la réhabilitation de ce système de formation, afin qu'il puisse répondre aux exigences de l'économie. Il convient de relever, à cet égard, que la formation professionnelle assure un minimum d'apprentissage de métiers alors que les centres de formation technique requièrent un niveau d'instruction plus élevé lors du recrutement de leurs stagiaires, et par voie de conséquence assurent un apprentissage plus poussé. Les centres de formation professionnelle publics sont localisés dans 90 villes, soit dans 3 villes sur 10, alors que les établissements de formation professionnelle privés sont présents dans 82 villes, soit près de deux villes sur 5. La répartition régionale des équipements d enseignement ou de formation professionnelle indique que sur l ensemble des Kouttabs ou M'sids privés, le Grand Casablanca compte 13% et Rabat Salé Zemmour Zaer et Meknès Tafilalet près de 10% chacune. A un degré moindre, on retrouve Tanger Tétouan, l Oriental et Fès Boulemane avec près de 8%. Ces 6 régions totalisent 58,3% des Kouttabs ou M'sids privés. Pour ce qui est des Kouttabs ou M sids publics la région de Marrakech Tensift Al Haouz en abrite 30% et Sous Massa Daraâ 303

17 19,2%. En second lieu, on retrouve le Grand Casablanca et Chaouia Ouardigha et Tadla Azilal avec 8,9% chacune. Ces 5 régions s accaparent les trois quarts de cet équipement (75,9%). Les écoles coraniques sont localisées principalement dans les régions de Meknès Tafilalet, Fès Boulemane et Rabat Salé Zemmour Zaer, avec respectivement 17,8%, 16,5% et 13,4%. Les crèches ou garderies privées sont concentrées dans les régions de Rabat Salé Zemmour Zaer (16,8%), Tanger Tétouan (15,2%) et le Grand Casablanca avec 10,5%. Alors que les crèches ou garderies publiques sont localisées dans Marrakech Tensift Al Haouz, le Grand Casablanca et Meknès Tafilalet avec, dans l ordre 15,1%, 13,5% et 10,6. Pour ce qui est des écoles primaires privées, on constate une grande concentration dans la région du Grand Casablanca avec 46,9% et à un degré moindre à Rabat Salé Zemmour Zaer, avec 17,3%, soit 64,2% de l ensemble dans ces deux régions. Celles ci viennent également en tête pour les écoles primaires publiques, avec 13,8% pour le Grand Casablanca et 10% pour Rabat Salé Zemmour Zaer. Le même phénomène de concentration dans le Grand Casablanca est observé pour les collèges privés, avec 45,5%. Fès Boulemane vient en seconde position avec 9,9% et Tanger Tétouan en troisième position avec 8,9%. Pour les collèges publics, le Grand Casablanca se situe, encore une fois, en première position, avec 15,5%, suivi de Rabat Salé Zemmour Zaer avec 10,8%, et Meknès Tafilalet avec 8,4%. Un autre groupe de régions, constitué de l Oriental, de Tanger Tétouan, de Sous Massa Daraâ et de Fès Boulemane comporte des proportions qui varient de 7 à 7,8%. Pour les lycées, le Grand Casablanca compte 28,2% pour le privé et 11,2% pour le public, suivi de Rabat Salé Zemmour Zaer, avec respectivement 11,1% et 11%. La surconcentration est plus flagrante pour les établissements d'enseignement supérieur privés, le Grand Casablanca en compte 45,6% et Rabat Salé Zemmour Zaer 19,1%. Cette hiérarchie est quelque peu inversée pour les établissements d'enseignement supérieur publics, où Rabat Salé Zemmour Zaer compte 26,3% et le Grand Casablanca 22%, Fès Boulemane compte, pour sa part, 23,6% de ces établissements. En matière d instituts de technologie appliquée, le Grand Casablanca compte près du quart de ces instituts (23,3%) et Rabat Salé 304

18 Zemmour Zaer 11%. Les établissements de formation professionnelle privés se concentrent dans les régions du Grand Casablanca et de Tanger Tétouan (17,8% et 15,9%), un deuxième groupe de régions en compte près de 8%, il s agit de Doukkala Abda, Tadla Azilal et Rabat Salé Zemmour Zaer. Pour les centres de formation professionnelle publics, Marrakech Tensift Al Haouz et le Grand Casablanca se situent en première position avec 15,9% et 15,5%. Elles sont suivies de Rabat Salé Zemmour Zaer (11,5%), Meknès Tafilalet (10,2%) et Tanger Tétouan (8,8%). 305

19 Tableau 4: répartition des équipements d'enseignement ou de formation professionnelle selon les régions en% Régions Kouttabs ou M'sids Ecoles coraniques Crèches ou garderies Ecoles primaires privés publics privées Publiques privées publiques Oued Eddahab Lagouira 0,1 0,0 0,0 0,7 0,0 0,3 0,5 Laâyoune Boujdour Sakia El Hamra 1,5 2,3 0,0 4,6 0,4 0,5 1,3 Guélmim Essemara 4,0 1,4 0,5 1,7 3,3 0,3 2,0 Sous Massa Daraâ 6,8 19,2 7,6 8,6 9,8 3,9 7,6 Gharb Chrarda Bni Hssen 4,5 2,3 2,0 4,7 2,9 2,1 5,3 Chaouia Ouardigha 6,0 8,9 3,2 3,0 9,4 2,8 5,4 Marrakech Tensift Al Haouz 6,1 30,0 1,6 7,1 15,1 0,8 6,8 Oriental 8,1 2,8 9,2 5,4 8,2 4,1 8,8 Grand Casablanca 13,0 8,9 8,1 10,5 13,5 46,9 13,8 Rabat Salé Zemmour Zaer 10,8 3,8 13,4 16,8 2,9 17,3 9,9 Doukkala Abda 5,8 0,9 7,1 3,5 4,5 4,9 4,4 Tadla Azilal 4,0 8,9 0,6 3,1 8,2 0,3 4,2 Meknès Tafilalet 10,1 4,2 17,8 4,1 10,6 4,1 9,9 Fès Boulemane 7,8 0,5 16,5 7,3 2,0 6,2 8,0 Taza Al Hoceima Taounate 3,0 1,4 4,3 3,6 4,1 0,0 4,0 Tanger Tétouan 8,5 4,2 8,2 15,2 5,3 5,7 8,1 Total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Effectif Régions Collèges Lycées Etablissements d'enseignement supérieur privés publics privés Publics privés publics Oued Eddahab Lagouira 0,0 0,3 0,0 0,2 0,0 0,0 Laâyoune Boujdour Sakia El Hamra 0,0 1,4 0,0 1,5 0,0 0,0 Guélmim Essemara 0,0 1,6 0,0 1,8 0,0 0,0 Sous Massa Daraâ 5,0 7,2 6,0 9,0 2,9 4,2 Gharb Chrarda Bni Hssen 1,0 5,3 2,6 5,3 4,4 1,7 Chaouia Ouardigha 2,0 4,9 6,0 7,0 1,5 1,7 Marrakech Tensift Al Haouz 1,0 6,3 12,0 6,6 7,4 8,5 Oriental 5,0 7,8 2,6 7,3 2,9 0,8 Grand Casablanca 45,5 15,5 28,2 11,2 45,6 22,0 Rabat Salé Zemmour Zaer 6,9 10,8 11,1 11,0 19,1 26,3 Doukkala Abda 5,0 5,7 3,4 5,5 0,0 4,2 Tadla Azilal 4,0 4,9 5,1 4,2 0,0 1,7 Meknès Tafilalet 4,0 8,4 6,0 9,9 2,9 7,6 Fès Boulemane 9,9 7,0 7,7 8,4 8,8 13,6 Taza Al Hoceima Taounate 2,0 5,5 5,1 4,6 0,0 0,0 Tanger Tétouan 8,9 7,4 4,3 6,4 4,4 7,6 Total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Effectif

20 Régions Instituts de technologie appliquée Etablissements de formation professionnelle privés I.5- Les équipements et services de santé 307 Centres de formation professionnelle publics Total Oued Eddahab Lagouira 0,0 0,0 0,4 0,2 Laâyoune Boujdour Sakia El Hamra 1,4 1,2 0,9 1,6 Guélmim Essemara 0,0 1,6 1,8 2,5 Sous Massa Daraâ 8,2 4,3 6,2 7,3 Gharb Chrarda Bni Hssen 2,7 6,6 3,1 4,4 Chaouia Ouardigha 4,1 5,6 5,8 5,3 Marrakech Tensift Al Haouz 5,5 6,4 15,9 6,7 Oriental 6,8 1,4 5,8 7,3 Grand Casablanca 23,3 17,8 15,5 14,6 Rabat Salé Zemmour Zaer 11,0 7,8 11,5 11,3 Doukkala Abda 6,8 7,9 3,5 5,2 Tadla Azilal 1,4 7,9 4,9 4,0 Meknès Tafilalet 9,6 7,0 10,2 9,3 Fès Boulemane 4,1 6,6 3,5 7,9 Taza Al Hoceima Taounate 6,8 2,1 2,2 3,4 Tanger Tétouan 8,2 15,9 8,8 8,9 Total 100,0 100,0 100,0 100,0 Effectif Equipements Privé Public Ensemble % Privé M'sids ,9% Crèches, garderies ,2% Ecoles primaires ,8% Collèges ,7% Lycées ,5% Etablissements d'enseignement supérieur ,3% Formation professionnelle ,5% Ensemble ,7% Parmi les équipements d enseignement et de formation professionnelle, les Kouttabs, M'sids ou écoles coraniques et les écoles primaires fournissent la meilleure desserte (respectivement 2214 et 4785 habitants). Alors, qu une crèche ou une garderie dessert en moyenne 9171 habitants. Les collèges et les établissements ou centres de formation professionnelle ont une desserte moyenne respective de et habitants. La desserte moyenne pour un lycée est de l ordre de 23481, avec un maximum de habitants à Youssoufia et un minimum à Ain Dorij avec 1258 habitants. Les établissements d enseignement supérieur et les instituts de technologie appliquée sont des équipements peu fréquents et leur desserte est de habitants pour les premiers et de pour les seconds.

21 Les indicateurs de santé au Maroc sont encore faibles, malgré les progrès réalisés. Il incombe aux pouvoirs publics de combler le retard accumulé, et faire face aux nouveaux besoins qui découlent de la démographie en dotant les provinces et zones défavorisées d'infrastructure hospitalière, et en assurant la mise à niveau des équipements tout en améliorant la qualité du service. L implantation des équipements et services de santé devrait tenir compte de certains facteurs, tels que le relief et les moyens de communication. Pour l'encadrement médical, il faudrait disposer de près de 15 mille médecins à l horizon 2003, ce qui nécessite l accroissement de la formation des médecins. Parmi les équipements et services de santé 13, la pharmacie ou dépôt de pharmacie est l équipement le plus fréquent. On le rencontre dans 93,2% des villes. Le centre de santé, qui est une structure intermédiaire entre l'hôpital et le dispensaire, existe dans 244 villes, soit 82,7% de l ensemble. Sur l ensemble des villes, 211 disposent d un médecin privé et d un mécanicien dentiste. Les services d hygiène et les services du Croissant Rouge sont présents respectivement dans 60,3% et 45,8% des villes. L'hôpital étant une structure sanitaire complexe et coûteuse, il n'en existe que 122 unités, localisées dans 84 villes, ce qui équivaut à 28,5% des villes dépourvues d'hôpital. Le dispensaire est l'infrastructure de santé de base que l'on rencontre dans 33,9% des villes. Les équipements et services de santé les moins fréquents sont les infirmiers privés, les ambulances privées, les laboratoires d analyses médicales, les morgues, les cliniques et les sages femmes diplômées privées, respectivement 15,3%, 21,7%, 16,3%, 21,4%, 13,9% et 5,1%. Au plan régional, le Grand Casablanca et Rabat Salé Zemmour Zaer accaparent près de 40% des équipements et services de santé (respectivement 27% et 12,8%). La région du Grand Casablanca enregistre une grande concentration de ces équipements et services: 46,3% des sages femmes privées, 43,8% des infirmiers privés, 39,7% des 13 Il s agit des dispensaires, des centres de santé, des maternités, des hôpitaux, des cliniques, des services d hygiène, des morgues, des services de Croissant Rouge, des médecins privés, des chirurgiens dentistes, des mécaniciens dentistes, des infirmiers privés, des sages femmes diplômées privées, des laboratoires d analyses médicales, des pharmacies ou dépôts de pharmacies et des ambulances privées. 308

22 médecins spécialistes, 30,3% des chirurgiens dentistes, 28,6% des cliniques, 28,6% des laboratoires d'analyses médicales, 26,8% de médecins généralistes, 22,3% de pharmacies, 14,6% des dispensaires, 12,4% des centres de santé, 9% des hôpitaux et 8% des maternités. Tableau 5: Répartition des villes selon l existence des équipements et services de santé Equipements et services de santé Oui Villes disposant de Dispensaires ,9 Centres de santé ,7 Maternitsé ,0 Hôpitaux 84 28,5 Cliniques 41 13,9 Services d hygiène ,3 Morgues 63 21,4 Croissants rouges ,8 Médecins privés ,5 Chirurgiens dentistes 81 27,5 Mécaniciens dentistes ,9 Infirmiers privés 45 15,3 Sages femmes diplômées privées 15 5,1 Laboratoires d analyses médicales 48 16,3 Pharmacies ou dépôts de pharmacie ,2 Ambulances privées 64 21,7 Autres équipements de santé 31 10,5 La région de Rabat Salé Zemmour Zaer vient en second lieu avec 17,8% des chirurgiens dentistes, 17,4% des laboratoires d'analyses médicales, 15,3% des cliniques, 14,2% des dispensaires, 14,2% des pharmacies, 13,6% des médecins spécialistes, 12,1% des médecins généralistes, 11,8% des infirmiers privés, près de 10,5% des mécaniciens dentistes et des sages femmes privées, 9% des hôpitaux, 8% des maternités, 7,4% des services du Croissant Rouge et 6,6% des centres de santé. Immédiatement après, on trouve les régions de Tanger Tétouan, de Fès Boulemane, l Oriental, de Sous Massa Daraâ et de Meknès Tafilalet, qui comptent entre 6,0 et 7,1% des équipements et services de santé. Tableau 6: répartition des équipements et services de santé selon les régions en % Régions Dispensaires Centres Maternités Hôpitaux Cliniques de santé Oued Eddahab Lagouira 0,0 0,7 0,6 0,8 0,0 Laâyoune Boujdour Sakia El Hamra 0,0 1,7 1,2 2,5 0,5 Guélmim Essemara 4,4 1,5 2,5 3,3 0,0 309

23 Sous Massa Daraâ 4,7 7,9 9,2 9,8 6,9 Gharb Chrarda Bni Hssen 7,7 5,0 3,7 4,1 6,3 Chaouia Ouardigha 3,3 6,3 9,8 8,2 3,2 Marrakech Tensift Al Haouz 6,9 9,0 4,3 7,4 5,3 Oriental 9,5 7,6 7,4 5,7 3,7 Grand Casablanca 14,6 12,4 8,0 9,0 28,6 Rabat Salé Zemmour Zaer 14,2 6,6 8,0 9,0 15,3 Doukkala Abda 5,5 5,7 8,6 1,6 5,8 Tadla Azilal 1,5 5,2 6,7 4,1 4,2 Meknès Tafilalet 9,9 11,1 12,9 9,8 5,3 Fès Boulemane 6,9 6,1 4,9 7,4 5,8 Taza Al Hoceima Taounate 3,3 4,4 4,3 6,6 1,1 Tanger Tétouan 7,7 8,7 8,0 10,7 7,9 Total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Effectif Régions Croissant Médecins Total Chirurgiens Mécaniciens rouge Spécialistes Généralistes médecins dentistes Oued Eddahab Lagouira 0,3 0,0 0,0 0,0 0,0 0,2 Laâyoune Boujdour Sakia 0,7 0,2 0,4 0,3 0,4 0,7 El Hamra Guélmim Essemara 1,7 0,1 0,6 0,4 0,2 1,7 Sous Massa Daraâ 9,8 5,7 5,3 5,5 4,9 9,4 Gharb Chrarda Bni Hssen 6,7 4,5 5,7 5,2 3,9 4,0 Chaouia Ouardigha 6,1 2,2 6,1 4,5 3,5 4,1 Marrakech Tensift Al 4,7 2,2 8,5 5,9 2,8 7,7 Haouz Oriental 10,4 4,3 6,3 5,5 5,6 8,9 Grand Casablanca 10,1 39,7 26,8 32,1 30,3 16,1 Rabat Salé Zemmour Zaer 7,4 13,6 12,1 12,7 17,8 10,5 Doukkala Abda 11,1 2,7 6,3 4,8 5,0 5,2 Tadla Azilal 6,1 1,7 3,7 2,9 1,8 3,8 Meknès Tafilalet 8,4 3,1 4,7 4,1 6,7 8,9 Fès Boulemane 8,1 10,9 4,6 7,1 8,5 8,0 Taza Al Hoceima Taounate 2,4 0,9 2,6 1,9 1,9 4,8 Tanger Tétouan 6,1 8,3 6,3 7,1 6,7 6,0 Total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Effectif

24 Régions Infirmiers privés Sages femmes privées Laboratoire s d'analyses médicales 311 Pharmacies Dépôts de pharmacies Oued Eddahab Lagouira 0,0 0,0 0,0 0,2 0,0 0,1 Laâyoune Boujdour Sakia El 3,0 0,0 0,5 1,1 5,0 0,7 Hamra Guélmim Essemara 1,2 0,0 0,9 0,7 7,0 0,8 Sous Massa Daraâ 4,2 0,0 5,6 6,5 12,0 6,2 Gharb Chrarda Bni Hssen 0,9 0,0 2,3 6,2 4,0 5,0 Chaouia Ouardigha 3,9 0,0 4,7 5,6 4,0 4,7 Marrakech Tensift Al Haouz 1,8 7,5 8,5 6,0 7,0 5,9 Oriental 5,1 1,5 7,5 6,7 10,0 6,3 Grand Casablanca 43,8 46,3 28,6 22,3 7,0 27,0 Rabat Salé Zemmour Zaer 11,8 10,4 17,4 14,2 9,0 12,8 Doukkala Abda 2,7 0,0 4,2 5,4 2,0 5,1 Tadla Azilal 0,3 1,5 1,4 3,4 2,0 3,1 Meknès Tafilalet 10,0 10,4 4,7 7,1 12,0 6,0 Fès Boulemane 2,1 1,5 4,7 5,4 6,0 6,8 Taza Al Hoceima Taounate 0,6 1,5 1,9 2,6 5,0 2,4 Tanger Tétouan 8,5 19,4 7,0 6,7 8,0 7,1 Total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Effectif Il faut signaler aussi l'inadéquation des critères de programmation des équipements sanitaires, dont le seul indicateur pris en compte est le nombre d'habitant à prendre en charge par la formation sanitaire ( par centre de santé et par dispensaire), au mépris du critère de la distance et d accessibilité alors qu'un certain nombre de villes souffrent du problème de l'enclavement. Lorsqu on met en parallèle les équipements et les services de santé et l effectif de la population des villes, on constate une forte corrélation pour les centres de santé, les maternités et les hôpitaux (coefficient de corrélation supérieur à 0,86). Le coefficient de corrélation entre la population et les dispensaires est de 0,66. Pour les autres équipements et services de santé, on relève une faible corrélation avec la population, le coefficient étant inférieur à 0,4. Parmi les équipements et les services de santé, les pharmacies qui existent pratiquement dans toutes les villes assurent une bonne desserte, puisqu on a une pharmacie pour 5550 habitants. Cette desserte est de près de 6 mille habitants pour un médecin généraliste et de 8 mille pour un spécialiste. Toutefois, on note qu à Oulad H'riz Sahel, on a un médecin généraliste pour 539 habitants contre habitants à Dakhla, soit un rapport de 1 à 55. Total

25 Alors que pour les médecins spécialistes, qui d ailleurs se concentrent à hauteur de 61% dans trois grandes villes : Casablanca, Rabat et Fès, assurent une desserte moyenne de 8786 habitants, la meilleure desserte est celle enregistrée à Rabat, elle est 18 fois plus élevée que celle d Errachidia. Pour ce qui est des soins dentaires, les mécaniciens dentaires ont encore une meilleure proximité, leur desserte moyenne est de 9780 habitants contre pour un chirurgien dentiste. On relève aussi qu un centre de santé dessert en moyenne près de 30 mille habitants, cette desserte varie de 970 habitants à Hrara à habitants à Khouribga. Les infirmiers privés, le croissant rouge et les dispensaires assurent une desserte qui varie de à habitants, les laboratoires d'analyses médicales, les cliniques, les hôpitaux et les maternités quant à eux, ont une desserte de à habitants. Des ratios habitants par équipement et services de santé, il ressort qu il y a des écarts importants en terme de desserte, à titre d exemple, pour une maternité la desserte est 500 fois plus élevée à Marrakech qu à Brikcha (respectivement 1277 habitants et habitants). Le rapport entre la desserte maximale et minimale varie de 100 à 200 pour un dispensaire, un centre de santé, une clinique ou un hôpital. Il varie aussi entre 50 et 100 pour une sage femme privée, un infirmier privé, un mécanicien dentiste ou un médecin généraliste. Les plus faibles écarts sont ceux des dessertes relatives aux chirurgiens dentistes, aux pharmacies, aux médecins spécialistes et les laboratoire d'analyses médicales (entre 13 et 22) 312

26 I.6- Les équipements culturels En ce qui concerne les équipements culturels 14 on relève que certains sont fréquents comme les associations culturelles ou les librairies, d autres sont moins fréquents comme les bibliothèques, les salles de cinéma, les centres culturels ou les théâtres. Les associations culturelles et les librairies apparaissent comme les équipements les plus fréquents, on les retrouve respectivement dans 64,1% et 48,5% des villes. Les bibliothèques existent dans 37,3% des villes. Les équipements peu fréquents sont les salles de cinéma, les monuments historiques, les centres culturels (entre 15 et 30%). Les équipements rares sont les musées, et les théâtres (respectivement 4,7% et 3,7%). Tableau 7: Répartition des villes selon l existence des équipements culturels Equipements socioculturels Oui Villes disposant de Associations culturelles ,1 Librairies ,5 Bibliothèques ,3 Monuments historiques 75 25,4 Salles de cinéma 74 25,1 Centres culturels 45 15,3 Musées 14 4,7 Théâtres 11 3,7 Sur le plan régional, l expansion de fraîche date de la dimension culturelle, et qui fût, par ailleurs, longtemps menée par l Etat, explique le fort groupement de ces équipements dans deux régions: Grand Casablanca et Rabat Salé Zemmour Zaer, ces deux régions abritent 26,7% des équipements culturels. Cet surconcentration est principalement remarquable pour certains équipements, elles concentrent sur leur territoire plus de la moitié des théâtres, près de 35% des centres culturels et des librairies, 30,7% des salles de cinéma, 26,1% des bibliothèques et 23,5% des associations culturelles. Sur l ensemble des villes, 72 ne disposent d aucun équipement culturel, leur population représente 2,5% et 43 villes ne disposent que d un équipement culturel. Casablanca est la ville qui compte le plus d équipements culturels (581), elle devance largement Kénitra qui en 14 Il s agit des monuments historiques, des musées, des bibliothèques, des librairies, des centres culturels, des salles de cinéma, des théâtres et des associations culturelles. 313

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