PERCEPTION DES MALADIES DIARRHEIQUES ET IMPACT SUR LES ITINERAIRES THERAPEUTIQUES CHEZ LES POPULATIONS DU BASSIN VERSANT DE YITENGA AU BURKINA FASO

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1 11 e Colloque international «Développement, Environnement et Santé» du SIFÉE & IEPF avec la collaboration du Ministère de l Environnement et de l Assainissement du Mali PERCEPTION DES MALADIES DIARRHEIQUES ET IMPACT SUR LES ITINERAIRES THERAPEUTIQUES CHEZ LES POPULATIONS DU BASSIN VERSANT DE YITENGA AU BURKINA FASO S. Yonkeu, Z. Bouraima, J. Wethé, A.H. Maiga, H. Yacouba, J. N. Poda, K. Deyingba, Z. Toure, Ph. Compaore, N. Gansore, A. B. Djotsa, M. Mampouya

2 PLAN DE LA PRESENTATION INTRODUCTION PRESENTATION DE LA ZONE D ETUDE METHODOLOGIE RESULTATS CONCLUSION

3 INTRODUCTION L analyse des liens entre les risques de maladies diarrhéiques pour les populations humaines et l écosystème du barrage de Yitenga a été abordée selon l approche systémique à la santé humaine. Cette approche qui permet de prendre en compte les divers déterminants de l environnement physique, socioculturel, socio-économique et comportementaux, mais aussi d identifier des opportunités de changements à mettre en œuvre pour l amélioration du cadre de vie des populations, nous a amené à examiner: la perception des maladies par les populations du bassin versant de Yitenga et l impact qu à cette perception sur l itinéraire thérapeutique des malades.

4 METHODOLOGIE Les outils utilisés pour cette étude ont été surtout les enquêtes individuelles en milieu urbain ou semi structurées de groupe (focus-group) en milieu rural. l échantillon d enquête était de 300 personnes

5 METHODOLOGIE Les entretiens de groupe (focus-group) ont été conduits dans les 6 villages échantillons aux jours et heures arrêtées de commun accord avec les différents groupes choisis (hommes, femmes) et confirmés lors de la visite préliminaire de terrain. l ensemble des focus-group a permis de rencontrer environ 200 personnes dont 58% étaient des hommes et 42% des femmes.

6 Il ressort de cette étude que les trois quarts (soit 223 personne) de l échantillon d enquête (300 personnes) décrivent méthodiquement les manifestations des maladies diarrhéiques. Ces personnes connaissent également les signes cliniques de la diarrhée et lui donnent un nom en langue locale. Les correspondances nosologiques de chacune de ces appellations locales ont été identifiées.

7 A l inverse, les modes de transmission de la maladie sont mal connus des populations de la zone d étude où 70% affirment ne pas les connaître. De l avis de ceux qui prétendent les connaître, seulement 31% ont énuméré les causes qui tiennent à un certain nombre de facteurs comportementaux. Les deux tiers (69%) conçoivent la diarrhée comme un phénomène surnaturel et lui attribuent des causes surnaturelles.

8 Ces considérations sont les mêmes que celles trouvées par Soubeiga et Sondo (1997) dans la région du Centre-Est du Burkina. Leur étude a révélé les trois conceptions suivantes des maladies diarrhéiques par les populations : elles peuvent être naturelles, c est-à-dire, liée à l environnement, au mode de vie de l individu ou de la collectivité ; elles peuvent être vues comme un sort jeté par un tiers qui vous jalouse ou veut se venger de vous ; elles peuvent être la manifestation du châtiment des dieux, des ancêtres, des génies en cas de non-respect des moeurs et des traditions. Ces trois conceptions se retrouvent aussi chez les populations riveraines du barrage de Yitenga.

9 Figure : Répartition des causes présumées de la diarrhée chez les sujets enquêtés

10 La méconnaissance des causes de la maladie par les populations a de fortes conséquences sur leur comportement aussi bien vis-à-vis des choix thérapeutiques pour se faire soigner que de l impact possible des mesures de prévention. En effet, un malade qui est convaincu qu il s agit d un sort dont il est victime, même s il a les moyens, même si l hôpital est à proximité de son domicile ne s y rendra pas, il ira chercher la solution à sa maladie ailleurs. D où la nécessité de l appropriation des causes de la maladie par les populations.

11 Selon Fainsang (1986) la logique de la conception de la maladie est déterminante pour le choix d un système de soins et de schéma thérapeutique. Ce choix thérapeutique à été identifié par Vital (1999), dans son étude sur «la promotion de la santé et les itinéraires thérapeutiques», qui trouve que le choix est déterminé par divers facteurs dont les plus cités sont : le modèle explicatif de la maladie (naturelle et surnaturelle) ; la gravité de la maladie ; l accessibilité financière ; le rôle joué par l entourage dans la gestion de la maladie.

12 L entourage du malade joue un rôle important dans la gestion de la maladie. En effet, On a identifié trois niveaux de traitement de la maladie : la cellule familiale, la communauté villageoise et ses environs, ainsi que les centres de santé modernes.

13 Famille Communauté Acteurs du système -hommes -femmes -Ménages -Enfants -Agents locaux -Guérisseurs Facteurs de choix du niveau de traitement -Connaissances locales -Présence de guérisseurs -Types et gravité de la maladie -Moyens financiers Hôpital Saint-Camille Hôpital Pouytenga ou Koupela Schéma 1: Acteurs, facteurs et niveaux de traitement de la maladie

14

15 Le choix des recours thérapeutiques guérisseurs traditionnels, recours à l automédication et centres de santé, etc. s effectue, en grande partie, selon diverses formes d évaluation profane de la qualité des structures de soins et de leur supposée capacité à traiter les maladies, non telles qu elles sont médicalement définies, mais selon la manière dont elles sont ressenties et interprétées

16 CONCLUSION Il faut donc tenir compte de cette perception pour toutes les activités de réduction des risques de maladies diarrhéiques dans cette communauté

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