Suivi des papillons de jours (Rhopalocères) de Haute-Normandie

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1 Biodiversité Fiche métadonnées et méthodes N 2 Suivi des papillons de jours (Rhopalocères) de Haute-Normandie Contexte dans lequel s inscrit l indicateur Thème Sous-thème Axe Nature de l indicateur Suivi Evolution de la diversité spécifique et de l abondance des papillons de jour Biodiversité Suivi Indices - Richesse spécifique relative - Fréquence d observation - Abondance relative - Communautés d espèces par grands types d habitats Objectif Origine Relation avec d autres indicateurs Echelle de restitution Producteur indicateur Evaluer l état du peuplement de papillons de jour de Haute-Normandie et son évolution future OBHN - Fragmentation des espaces naturels et semi-naturels - Evolution de l occupation du sol Région Haute-Normandie Conservatoire d Espaces Naturels de Haute-Normandie (entomologiste : Adrien SIMON ; cartographie : Charles BOUTEILLER) en coopération avec le réseau d observateurs : Bernard DARDENNE, Emmanuel MACE, Matthieu LORTHIOIS, Marc MAZURIER, Nicolas MOULIN & Adrien SIMON et l appui scientifique de Peter STALLEGGER Données utilisées Donnée n 1 : OBHN - résultats du protocole STERF Niveau d accessibilité des public données Source (s) OBHN Description Le STERF, pour Suivi Temporel des Rhopalocères de France, est un programme national qui vise à suivre à long terme l évolution des populations de papillons de jour, en relation avec les modifications environnementales et le changement climatique. Ce protocole permet d acquérir des «données brutes» sur les papillons d un territoire défini. Les sites de suivis sont tirés de manière aléatoire de façon à être représentatifs des paysages du territoire. 40 sites de suivis ont été définis en Haute-Normandie. Chaque site héberge entre 5 et 10 transects. Dans ce cas, 320 transects ont été mis en place, chacun prospecté à quatre périodes différentes de l année, soit un nombre total de 1280 relevés. Tous les papillons observés sont dénombrés à l occasion des prospections. Ces sites restent toujours les mêmes dans le temps et doivent être suivis annuellement pour obtenir des tendances d évolutions à long terme. Format Données brutes stockées sous base de données, compatibles SINP Etendue temporelle Emplacement des carrés de suivi La cellule permanente de l OBHN est cofinancée par l UE. L Europe s engage en Haute-Normandie

2 Fiche métadonnées et méthodes Généalogie (méthode Protocole STERF appliqué à 40 sites échantillons d acquisition) Emprise Région Haute-Normandie Résolution spatiale (cas SIG) Fréquence d actualisation annuelle La cellule permanente de l OBHN est cofinancée par l UE. L Europe s engage en Haute-Normandie

3 Fiche métadonnées et méthodes Méthodologie de création de l indicateur Méthodes de calcul PREAMBULE : Les papillons sont des insectes dont l activité dépend directement des conditions météorologiques. Le facteur climatique influe très fortement sur le résultat des comptages effectués, et cela à différents niveaux : - Lors de la réalisation des comptages. Selon les températures, la couverture nuageuse, l intensité du vent lors de la réalisation des suivis, les résultats peuvent varier de manière importante. Or, en Haute-Normandie, des conditions climatiques peu favorables peuvent perdurer longtemps au cours d une période de relevé. Il faut donc s accommoder de cette météo et certains relevés sont effectués dans des conditions moins favorables que d autres. - A l échelle d une saison. Des «accidents climatiques» pouvant survenir à n importe quelle période de la saison, comme par exemple un hiver très froid, un printemps maussade et humide, une période de sécheresse peuvent impacter négativement les populations en provoquant une surmortalité quel que soit le stade de développement (œuf, chenille, nymphe, adulte ). A l inverse, les hivers doux ou les étés chauds favoriseront plutôt les espèces. D autre part, d autres facteurs, comme le taux de parasitisme des chenilles, les phénomènes migratoires, des actions de perturbation ponctuelle du milieu naturel (fauche, pâturage intense en période de vol, ) et bien d autres encore, impactent également les populations de papillons. Au final, de nombreuses espèces présentent d importantes fluctuations interannuelles de leurs effectifs, ponctuelles, sans que cela ne corresponde à une tendance évolutive profonde. Seule l analyse sur le long terme des résultats obtenus pourra permettre de mettre en avant des tendances évolutives significatives des populations de papillons de jour. Pour limiter l impact des fluctuations interannuelles propres à chaque espèce, il est possible de constituer des groupes d espèces présentant des traits de vie communs ou proches. On parlera de «communautés écologiques». A court terme, plutôt que d étudier chaque espèce de manière individuelle, on peut s intéresser à l évolution de l ensemble de la communauté écologique constituée, ce qui présente l avantage de pondérer les fluctuations saisonnières propres à certaines espèces et de définir des tendances pour un ensemble de taxons représentatifs d un habitat. Cette démarche permet ainsi de faire le lien entre les résultats obtenus et des habitats particuliers. - Communauté d espèces par grands types d habitats Ce classement permet d étudier les résultats sous un aspect écologique. Il repose sur la répartition des 94 espèces de rhopalocères observées au moins une fois en Haute- Normandie en différentes «communautés écologiques» se développant dans des conditions environnementales similaires. On distinguera deux principales catégories : les espèces sténoèces (dites spécialistes) et les espèces euryèces (dites généralistes). Par souci de vulgarisation, on pourra parler d espèces «spécialistes» et d espèces «généralistes». Les espèces spécialistes supportent mal les modifications qui touchent à leurs habitats et leurs cortèges évoluent généralement rapidement lorsque les conditions nécessaires à leur développement se modifient. En général, ces espèces sont exigeantes vis-à-vis de la qualité écologique des milieux et disparaissent rapidement en cas d atteinte portée à l intégrité écologique de leurs habitats.

4 Fiche métadonnées et méthodes Par opposition aux espèces spécialistes, on retrouve les espèces généralistes, plus tolérantes vis-à-vis des conditions environnementales nécessaires à leur développement, capables de se développer potentiellement dans tous les habitats, plus ou moins naturels. Ces espèces supportent mieux les modifications de leurs habitats et peuvent se maintenir même dans des habitats dégradés. Sur la base des préférences écologiques des espèces vivant dans la région, il est possible de proposer les communautés écologiques suivantes : Code Communauté écologique Habitats associés I II III Espèces banales des friches et jardins (= ubiquistes) Espèces des boisements Espèces des zones humides IV Espèces des «campagnes» V VI Espèces des milieux chauds et secs Espèces migratrices Potentiellement dans tous les habitats, y compris dégradés (terrains vagues, friches rudérales, bord de routes ) Bois, forêts, lisières, clairières, landes boisées Tourbières, prairies humides, roselières, mégaphorbiaies Prairies mésophiles, bocage, zones herbeuses Coteaux calcaires, terrasses alluviales, carrières Variés lors des phases de déplacement Espèces généralistes Espèces spécialistes Une catégorie spécifique a été créée pour les espèces à caractère migrateur, même si certaines présentent des populations sédentaires. Ce choix repose sur les variations considérables d effectifs de ces espèces lors d une année de migration, ce qui vient biaiser les résultats et complexifier leur analyse. Cinq espèces y ont été associées : Aglais urticae, Colias crocea, Issoria lathonia, Lampides boeticus et Vanessa cardui. L analyse de l évolution spatiale et temporelle de ces communautés d espèces permet de définir des indicateurs liés au déclin, ou à l inverse, l extension de certains habitats ou de leur qualité. - Richesse spécifique globale La richesse spécifique (RS) représente le nombre d espèces observées au cours d une période déterminée. En Haute-Normandie, le nombre d espèces présentes dans la région varie selon les époques. Actuellement, 78 espèces peuvent être observées sur notre territoire. Elles étaient 92 au début du XX ème siècle. 14 espèces ont donc disparu au cours des dernières décennies. Tableau 1 : Nombre d espèces de rhopalocères connues en Haute-Normandie à différentes périodes D après l atlas des rhopalocères de Normandie + informations d entomologistes locaux. Nombre d espèces de papillons de jours observées en Haute-Normandie vers 1900 vers 1960 vers La richesse spécifique globale annuelle (RSg) de notre suivi correspond donc au nombre total d espèces observées sur l ensemble des transects étudiés au cours d une année «N».

5 Fiche métadonnées et méthodes Elle peut être exprimée en effectif brut («X» espèces observées), ou bien sous la forme d un pourcentage par rapport au «pool régional». Le «pool régional» correspond au nombre maximal d espèces actuellement observables en Haute-Normandie, en l occurrence 78 espèces. - Richesse spécifique relative Pour analyser de manière plus précise l évolution temporelle de la richesse spécifique, cette dernière peut être relativisée et rapportée à un élément précis du suivi (par exemple à un transect, ou à un passage). Dans le cas de ce suivi nous avons choisi de la rapporter au transect. La richesse spécifique relative annuelle (RSr) correspond alors au nombre moyen d espèces observées par transect au cours d une année «N». Cet indice s obtient en divisant la somme du nombre d espèces observées par transect, par le nombre total de transects suivis. RSr année «n» = Σ (RS transect1 + RS transect2 + + RS transect«n» ) Nb transects suivis En 2012 et 2013, 320 transects ont été suivis chaque année. L évolution sur le long terme des RSg et RSr contribue à analyser l évolution du peuplement régional de rhopalocères, mais ne peut suffire à elle seule à mettre en évidence un déclin des populations de papillons car elle ne tient pas compte des effectifs ou des fréquences d observations. - Fréquence d observation La fréquence d observation représente le nombre de fois où une espèce a été observée au cours de la période de suivi. Le nombre d observations réalisées étant directement dépendant du nombre de relevés effectués, la fréquence est relativisée et rapportée à un transect. Ainsi, la fréquence relative annuelle correspond au nombre d observations réalisées au cours d une année «N», divisé par le nombre de transects suivis au cours de cette même période. Pour «X» observations de papillons réalisées sur «Y» transects au cours de l année «N», alors la fréquence relative annuelle (F) d observation correspond à : F année «n» = X n /Y n Cet indice présente l avantage d être simple à obtenir et reste comparable dans le temps, même si le nombre de transects effectués varie légèrement d une année à l autre. L évolution dans le temps de la fréquence d observation est un indice intéressant pour voir si une espèce devient plus ou moins répandue sur le territoire, mais ne suffit pas à mettre en avant l évolution des populations de papillons de jour car il se base sur la présence/absence des taxons, mais n intègre pas leurs effectifs. - Abondance relative L abondance représente les effectifs comptabilisés pour une espèce ou un groupe d espèces au cours de la période de suivi. Les effectifs recensés étant directement dépendants du nombre de relevés effectués, l abondance est relativisée et rapportée à un transect. Ainsi, l abondance relative annuelle correspond aux effectifs cumulés, comptabilisés au

6 Fiche métadonnées et méthodes cours d une année «N», divisé par le nombre de transects suivis au cours de cette même période. Pour «Z» papillons comptabilisés sur «Y» transects au cours de l année «N», alors l abondance relative annuelle (A) correspond à : A année «n» = Z n /Y n Comme la fréquence, cet indice présente l avantage d être simple à obtenir et reste comparable dans le temps, même si le nombre de transects effectués varient légèrement d une période à l autre. Les indices présentés ci-dessus peuvent être appliqués soit à une espèce donnée, soit à l ensemble des espèces regroupées dans une même communauté écologique. Il est impossible de définir des tendances évolutives à partir de seulement deux années de suivis. A court terme les indices ne sont appliqués que pour les communautés écologiques et constituent un état des lieux qui sera utile pour définir des tendances à l avenir. Date de création Février 2014 Date de diffusion 2014 Référent (s) technique/scientifique (validateur) CSRPN, Conservatoire d Espaces Naturels de Haute-Normandie (Adrien SIMON), et le réseau d observateurs (Bernard DARDENNE, Emmanuel MACE, Matthieu LORTHIOIS, Marc MAZURIER, Nicolas MOULIN & Peter STALLEGGER). Fréquence d actualisation Annuelle de l indicateur Contact OBHN obhn@hautenormandie.fr Bibliographie DARDENNE B. & SAUVAGERE M., Indices de rareté des Lépidoptères de Haute-Normandie, Association Entomologique d Évreux, 19 p. DARDENNE B., DEMARES M., GUERARD P., HAZET G., LEPERTEL N., QUINETTE J-P., RADIGUE F., Papillons de Normandie et des Iles Anglo-Normandes. Atlas des Rhopalocères et des Zygènes. AREHN éd. Rouen. 200 p. DUPONT P., Programme de restauration pour la conservation des Lépidoptères diurnes, Première phase OPIE - MNHN, 188 p. LAINE M., Macrolépidoptères de Normandie, Tome 1 : Rhopalocères Etudes écologique et géonémique ; Annales du Muséum du Havre, fascicule 4, Edit. Muséum du Havre, 32 p. MANIL L. & HENRY P-Y., 2007 Suivi temporel des rhopalocères de France. Protocole STERF. Museum d histoire Naturelle. 10 p.

7 Biodiversité N 2 Suivi du peuplement de papillons de jour en HAUTE-NORMANDIE En tant qu auxiliaire de la nature, le rôle des papillons est essentiel. A l instar d autres insectes comme les abeilles ou les bourdons, ils assurent un rôle de pollinisation déterminant. En transportant le pollen d une fleur à l autre, ils contribuent directement à la survie des plantes. Leur pouvoir pollinisateur sur les espèces et les variétés végétales confère donc aux papillons un rôle prépondérant dans le maintien de la biodiversité végétale, non seulement dans les milieux naturels, mais aussi dans certains agro-systèmes. D autre part, ces insectes sont à la base de nombreuses chaînes alimentaires. Les chenilles et les papillons adultes sont une source alimentaire pour beaucoup d espèces d oiseaux, de chauves-souris et d'autres insectes prédateurs ou parasites. Préserver les papillons, c est contribuer au maintien d un ensemble bien plus vaste d espèces et donc à la préservation d un écosystème «vivant». Les laisser disparaitre, c est prendre le risque de déséquilibrer toute la chaîne alimentaire et mettre en péril l ensemble de l écosystème. De plus, les papillons de jour sont de bons bioindicateurs de la qualité et de la diversité des habitats naturels ouverts au regard de leurs caractéristiques biologiques. La courte durée de vie de la plupart des espèces au stade imago (de l ordre d une dizaine de jours, sauf pour les espèces qui hivernent à l'état adulte), leur faible capacité de déplacement, de l ordre d un ou deux kilomètres en moyenne et le régime alimentaire spécifique des chenilles inféodées à quelques plantes hôtes, sont un ensemble de facteurs qui caractérisent la forte sensibilité des papillons aux modifications des habitats naturels. Dans ces conditions, on comprendra que des perturbations intervenant sur les milieux naturels peuvent rapidement conduire à une réduction, voire une disparition de ces populations témoignant d une dégradation générale du patrimoine naturel et, par extension, d une diminution de la qualité du cadre de vie haut-normand. La mise en œuvre sur le long terme d un suivi des papillons de jour de Haute-Normandie permettra d évaluer le taux de disparition des espèces dans notre région, mais également de voir si certaines espèces progressent à la faveur des modifications climatiques en cours. Une bonne connaissance du peuplement améliorera l identification des menaces qui pèsent sur les papillons et une meilleure prise en compte de leurs besoins pour assurer leur préservation.

8 Tableaux de synthèse des indices de suivis Après deux années de mise en place du protocole STERF en Haute-Normandie, il est possible de comparer les résultats obtenus, sans toutefois tirer de conclusions sur l évolution des populations. Seul un suivi sur le long terme permettra de définir des tendances fiables Nombre d espèces cumulés Richesse spécifique globale (RSg) Richesse spécifique relative (RSr) 6,57 7,55 Nombre d'observations Fréquence d'observation annuelle des espèces par transect (Fr) 10,51 10,93 Effectifs annuels Abondance moyenne annuelle de papillons par transect (Ar) 28,75 32,41 Ainsi, il semble que l année 2013 se soit révélée un peu plus favorable pour l observation des papillons que 2012, même si force est de constater que les résultats obtenus entre les deux années sont globalement très proches. A l exception du nombre global d espèces observées (RSg), qui passe de 57 à 55, tous les autres indices sont plus élevés en 2013 qu en Alors que 6,57 espèces étaient observées en moyenne par transect (RSr) en 2012, l année 2013 a permis d en recenser 7,55, soit en moyenne une espèce supplémentaire observée par transect. On constate également que le nombre annuel d observations progresse de 3365 en 2012 à 3498 en 2013, ce qui correspond à une fréquence d observation par transect de 10,51 en 2012 contre 10,93 en 2013, soit une augmentation d environ 4%. De même, l abondance annuelle passe de 9206 papillons comptabilisés en 2012 à en 2013, soit une abondance relative progressant de 28,75 à 32,41 individus comptabilisés en moyenne par transect (12,5% d augmentation). Il est évident qu il ne s agit pas là d une évolution profonde des populations de papillons, mais plutôt de fluctuations interannuelles liées à différents facteurs environnementaux. Parmi ceux-ci, le facteur météorologique, s exprimant notamment à travers le très bel été 2013 ayant favorisé un important phénomène migratoire, constitue la principale explication à ces évolutions. Fréquence d observation 3365 observations rassemblant 57 espèces ont été réalisées en 2012, tandis que 3498 observations correspondant à 55 espèces ont été recensées en Ainsi, entre 2012 et 2013 la richesse spécifique globale (RSg) baisse légèrement, alors que le nombre de données récoltées progresse très légèrement. Ces résultats apparaissent au global très proches l un de l autre. Certaines espèces n ont été notées qu une seule année et ce sont donc 61 espèces au total, soit 78% du pool régional, qui ont été recensées après deux années de suivi. Au cumul des deux années, les espèces les plus fréquemment observées sont logiquement les plus communes dans la région. Parmi les dix espèces les plus fréquentes, huit sont considérées comme très communes (CC) et deux comme communes (C). Pieris rapae (la piéride de la rave), en tête du classement, représente à elle seule 13,8% des observations. On retrouve ensuite Maniola jurtina (le myrtil) avec 10,5%, puis Pararge aegeria (le tircis) 7,7%. D un point de vue écologique, les espèces les plus fréquentes appartiennent aux espèces qualifiées de «généralistes». Il s agit d espèces banales ou migratrices, que l on rencontre potentiellement dans tous les habitats. A l inverse, dans le bas du classement, on retrouve les espèces «spécialistes», liées à des habitats particuliers et peu répandus dans la région (coteaux calcaires, zones humides, pelouses sableuses ). La fréquence d observation, c est-à-dire le nombre de fois où l espèce a été observée au cours de l année, fluctue légèrement d une espèce à l autre entre 2012 et 2013, mais reste globalement comparable. Toutefois, certaines espèces présentent des variations plus importantes (Colias crocea, Aglais urticae ), alors que d autres sont à l inverse particulièrement stables (Coenonympha pamphilus, Polyommatus icarus ). Ces variations sont liées à des fluctuations interannuelles habituelles chez de nombreuses espèces de papillons et plus encore chez celles qui présentent un caractère migrateur.

9 Rang Communauté rareté Total Espèce écologique régionale général proportion 1 I Pieris rapae (Linnaeus, 1758) CC ,79% 2 IV Maniola jurtina (Linnaeus, 1758) CC ,55% 3 II Pararge aegeria (Linnaeus, 1758) C ,70% 4 I Aglais io (Linnaeus, 1758) CC ,79% 5 I Vanessa atalanta (Linnaeus, 1758) CC ,06% 6 II Pyronia tithonus (Linnaeus, 1771) CC ,77% 7 VI Aglais urticae (Linnaeus, 1758) CC ,44% 8 I Pieris napi (Linnaeus, 1758) CC ,44% 9 IV Coenonympha pamphilus (Linnaeus, 1758) C ,06% 10 I Pieris brassicae (Linnaeus, 1758) CC ,84% 11 VI Colias crocea (Fourcroy, 1785) C ,47% 12 V Melanargia galathea (Linnaeus, 1758) CC ,79% 13 IV Polyommatus icarus (Rottemburg, 1775) C ,33% 14 I Anthocharis cardamines (Linnaeus, 1758) CC ,07% 15 VI Vanessa cardui (Linnaeus, 1758) C ,69% 16 II Polygonia c-album (Linnaeus, 1758) AC ,64% 17 I Celastrina argiolus (Linnaeus, 1758) C ,54% 18 IV Lasiommata megera (Linnaeus, 1767) C ,47% 19 IV Ochlodes sylvanus (Esper, 1777) C ,46% 20 II Aphantopus hyperantus (Linnaeus, 1758) AC ,38% 21 I Gonepteryx rhamni (Linnaeus, 1758) CC ,34% 22 IV Aricia agestis (Denis & Schiffermuller, 1775) AC ,28% 23 I Araschnia levana (Linnaeus, 1758) C ,10% 24 IV Lycaena phlaeas (Linnaeus, 1761) C ,99% 25 V Polyommatus coridon (Poda, 1761) AC ,53% 26 V Boloria dia (Linnaeus, 1767) AR ,50% 27 IV Leptidea sinapis (Linnaeus, 1758) AC ,37% 28 V Coenonympha arcania (Linnaeus, 1761) C ,34% 29 V Colias alfacariensis Ribbe, 1905 AC ,29% 30 II Argynnis paphia (Linnaeus, 1758) AR ,24% 31 V Erynnis tages (Linnaeus, 1758) AC ,24% 32 II Limenitis camilla (Linnaeus, 1764) PC ,24% 33 V Polyommatus bellargus (Rottemburg, 1775) C ,23% 34 IV Melitaea parthenoides Keferstein, 1851 RR ,18% 35 V Thymelicus lineola (Ochsenheimer, 1808) AR ,18% 36 V Callophrys rubi (Linnaeus, 1758) AC ,16% 37 V Papilio machaon Linnaeus, 1758 AC ,16% 38 VI Issoria lathonia (Linnaeus, 1758) AR ,13% 39 V Carcharodus alceae (Esper, 1780) R ,11% 40 V Cupido minimus (Fuessly, 1775) AC ,11% 41 IV Thymelicus sylvestris (Poda, 1761) AC ,11% 42 V Arethusana arethusa (Denis & Schiffermuller, 1775) R ,10% 43 V Euphydryas aurinia (Rottemburg, 1775) AC ,10% 44 V Maculinea arion Linnaeus, 1758 E ,10% 45 II Apatura ilia (Denis & Schiffermuller, 1775) AR 4 4 0,06% 46 II Nymphalis polychloros (Linnaeus, 1758) PC 4 4 0,06% 47 II Apatura iris (Linnaeus, 1758) R ,05% 48 V Hamearis lucina (Linnaeus, 1758) PC ,05% 49 II Thecla betulae (Linnaeus, 1758) AR ,05% 50 V Brenthis daphne (Bergstrasser, 1780) NE ,03% 51 III Cyaniris semiargus (Rottemburg, 1775) R ,03% 52 VI Lampides boeticus (Linnaeus, 1767) RR 2 2 0,03% 53 II Melitaea athalia (Rottemburg, 1775) R ,03% 54 V Pyrgus malvae (Linnaeus, 1758) AR 2 2 0,03% 55 II Quercusia quercus (Linnaeus, 1758) AR 2 2 0,03% 56 V Spialia sertorius (Hoffmannsegg, 1801) AC ,03% 57 V Glaucopsyche alexis (Poda, 1761) R 1 1 0,02% 58 V Iphiclides podalirius (Linnaeus, 1758) AR 1 1 0,02% 59 V Lasiommata maera (Linnaeus, 1758) PC 1 1 0,02% 60 V Limenitis reducta Staudinger, 1901 RR 1 1 0,02% 61 V Thymelicus acteon (Rottemburg, 1775) PC 1 1 0,02% Total rang espèces ,00% Pieris sp (napi/rapae) ,22% Colias sp (alfacariensis/hyale) ,54% Thymelicus sp (sylvestris/lineolus) ,06% Polyommatus sp (femelles coridon/bellargus /icarus) ,05% Total tous rangs Lepidoptera (= données d'absence)

10 Les espèces les plus communes dans la région représentent le socle du peuplement de papillons de jour de Haute-Normandie. Ces espèces ont été retrouvées de manière équivalente lors des deux années de suivi. Les trois catégories de rareté les plus abondantes : CC, C et AC présentent les mêmes résultats avec respectivement 11, 12 et 13 taxons observés chaque année. Ces 36 papillons peuvent être considérés comme des espèces que l on s attend à retrouver tous les ans. L observation des espèces plus rares semble plus incertaine. On constate en effet de légères différences pour les catégories PC, AR et R entre les deux années de suivis. Les résultats restent néanmoins dans le même ordre d idée. Répartition annuelle du nombre d espèces observées par statuts de rareté Ainsi, pour le moment, la répartition par statuts de rareté des espèces observées lors des suivis est extrêmement proche d une année à l autre. La fréquence relative exprimée pour chaque communauté écologique, c est-à-dire le nombre d observations réalisées rapportées au nombre de transect suivis, présente des résultats contrastés selon les communautés. Les espèces spécialistes présentent une fréquence d observation particulièrement stable entre les deux années. A l inverse, les espèces généralistes et migratrices montrent d importantes fluctuations. En raison d un afflux massif d individus au cours de l été 2013, les espèces migratrices voient leur fréquence d observation fortement augmenter. En revanche, à cause de l hiver 2013 tardif impactant les piérides, habituellement très fréquentes en début de saison, les espèces banales, ont été moins fréquemment observées L évolution sur le long terme de cette fréquence relative constituera un des indices d évolution des populations de papillons de jour de Haute-Normandie. Fréquence relative annuelle par communautés écologiques Evolution saisonnière de la fréquence d observation par communauté spécifique En regroupant les taxons par communautés écologiques, il est possible d analyser l évolution de la fréquence des espèces au cours de la saison tout en limitant les biais liés aux fluctuations saisonnières propres à chaque espèce. A long terme, la comparaison année après année des fréquences d observations de chaque communauté permettra de percevoir les tendances évolutives de ces groupes d espèces en lien avec des habitats particuliers. Evolution de la fréquence d observation des différentes communautés écologiques au cours de la saison. En 2012 comme en 2013, c est au cours de la période III (juillet/aout) que la fréquence d observation de chaque communauté écologique est la plus élevée. En d autres termes, en Haute-Normandie, c est au cours des mois de juillet et aout que l on rencontre le plus de papillons, peu importe leurs préférences écologiques. Les espèces banales des friches et jardins, considérées comme ubiquistes en raison de leur capacité à coloniser tous les habitats,

11 sont logiquement plus fréquemment observées que les autres communautés et cela tout au long de la saison. A l inverse, les espèces des milieux chauds et secs, liées à des habitats précis, peu répandus dans la région, se rencontrent logiquement moins souvent. Les espèces migratrices présentent la plus importante fluctuation saisonnière. La comparaison de leur fréquence d observation entre 2012 et 2013 met clairement en évidence le phénomène migratoire important qui a eu lieu en 2013, notamment en juillet/aout, période à laquelle leur fréquence d observation est maximale. Les espèces forestières présentent des fréquences d observation identiques en 2012 comme en 2013, sans fluctuations interannuelles notables. En revanche, on constate un net pic d activité pour cette communauté au cours de la période III. Enfin, les espèces de campagnes ont été observées dans des proportions similaires entre 2012 et 2012, avec toutefois un léger pic lors de la période III de 2013, lié sans doute au très bel été ayant favorisé leur développement. Abondance régionale Les espèces les plus abondantes sont parmi les plus communes dans la région. Les trois taxons qui cumulent le plus d effectifs : Maniola jurtina (le myrtil), Pieris rapae (la piéride de la rave) et Melanargia galathea (le demi-deuil) représentent à eux trois plus du tiers des effectifs totaux. L appartenance à une communauté écologique ne semble pas vraiment influer sur l abondance, puisque les cinq espèces les plus nombreuses appartiennent à cinq communautés différentes. On remarque toutefois que les espèces banales des friches et jardins, considérées comme ubiquistes, figurent toutes parmi les 25 espèces les plus comptabilisées. Ces espèces très tolérantes peuvent potentiellement se rencontrer dans tous les habitats et il est logique qu elles apparaissent parmi les plus nombreuses. A l inverse, parmi les espèces les moins abondantes, on retrouve surtout des papillons typiques des milieux les plus chauds et secs, comme les coteaux calcaires ou terrasses alluviales. Beaucoup de ces espèces sont en limite septentrionale d aire de répartition en Haute-Normandie et sont donc très rares et souvent présentes en effectifs peu élevés. Rang Communauté Rareté Espèce écologique régionale Total général Proportion 1 IV Maniola jurtina (Linnaeus, 1758) CC ,56% 2 I Pieris rapae (Linnaeus, 1758) CC ,79% 3 V Melanargia galathea (Linnaeus, 1758) CC ,09% 4 II Pyronia tithonus (Linnaeus, 1771) CC ,10% 5 VI Aglais urticae (Linnaeus, 1758) CC ,87% 6 II Pararge aegeria (Linnaeus, 1758) C ,47% 7 IV Coenonympha pamphilus (Linnaeus, 1758) C ,88% 8 I Aglais io (Linnaeus, 1758) CC ,73% 9 I Pieris napi (Linnaeus, 1758) CC ,88% 10 V Polyommatus coridon (Poda, 1761) AC ,62% 11 VI Colias crocea (Fourcroy, 1785) C ,09% 12 I Vanessa atalanta (Linnaeus, 1758) CC ,90% 13 IV Polyommatus icarus (Rottemburg, 1775) C ,17% 14 I Pieris brassicae (Linnaeus, 1758) CC ,09% 15 II Aphantopus hyperantus (Linnaeus, 1758) AC ,17% 16 I Anthocharis cardamines (Linnaeus, 1758) CC ,15% 17 IV Aricia agestis (Denis & Schiffermuller, 1775) AC ,92% 18 IV Ochlodes sylvanus (Esper, 1777) C ,91% 19 VI Vanessa cardui (Linnaeus, 1758) C ,81% 20 IV Lasiommata megera (Linnaeus, 1767) C ,78% 21 I Gonepteryx rhamni (Linnaeus, 1758) CC ,68% 22 II Polygonia c-album (Linnaeus, 1758) AC ,65% 23 I Araschnia levana (Linnaeus, 1758) C ,63% 24 I Celastrina argiolus (Linnaeus, 1758) C ,62% 25 V Boloria dia (Linnaeus, 1767) AR ,55% 26 IV Lycaena phlaeas (Linnaeus, 1761) C ,45% 27 V Coenonympha arcania (Linnaeus, 1761) C ,44% 28 V Polyommatus bellargus (Rottemburg, 1775) C ,39% 29 IV Melitaea parthenoides Keferstein, 1851 RR ,34% 30 V Arethusana arethusa (Denis & Schiffermuller, 1775) R ,29% 31 V Euphydryas aurinia (Rottemburg, 1775) AC ,24% 32 V Colias alfacariensis Ribbe, 1905 AC ,21% 33 V Erynnis tages (Linnaeus, 1758) AC ,21% 34 IV Leptidea sinapis (Linnaeus, 1758) AC ,16% 35 II Limenitis camilla (Linnaeus, 1764) PC ,12% 36 V Cupido minimus (Fuessly, 1775) AC ,11% 37 II Argynnis paphia (Linnaeus, 1758) AR ,10% 38 V Thymelicus lineola (Ochsenheimer, 1808) AR ,10% 39 V Callophrys rubi (Linnaeus, 1758) AC ,078% 40 V Maculinea arion Linnaeus, 1758 E ,078%

12 41 IV Thymelicus sylvestris (Poda, 1761) AC ,072% 42 II Melitaea athalia (Rottemburg, 1775) R ,067% 43 V Carcharodus alceae (Esper, 1780) R ,061% 44 V Papilio machaon Linnaeus, 1758 AC ,055% 45 VI Issoria lathonia (Linnaeus, 1758) AR ,050% 46 II Apatura ilia (Denis & Schiffermuller, 1775) AR 5 5 0,028% 47 II Apatura iris (Linnaeus, 1758) R ,028% 48 III Cyaniris semiargus (Rottemburg, 1775) R ,028% 49 V Pyrgus malvae (Linnaeus, 1758) AR 5 5 0,028% 50 V Hamearis lucina (Linnaeus, 1758) PC ,022% 51 II Nymphalis polychloros (Linnaeus, 1758) PC 4 4 0,022% 52 II Quercusia quercus (Linnaeus, 1758) AR 4 4 0,022% 53 V Brenthis daphne (Bergstrasser, 1780) ,017% 54 II Thecla betulae (Linnaeus, 1758) AR ,017% 55 VI Lampides boeticus (Linnaeus, 1767) RR 2 2 0,011% 56 V Spialia sertorius (Hoffmannsegg, 1801) AC ,011% 57 V Thymelicus acteon (Rottemburg, 1775) PC 2 2 0,011% 58 V Glaucopsyche alexis (Poda, 1761) R 1 1 0,006% 59 V Iphiclides podalirius (Linnaeus, 1758) AR 1 1 0,006% 60 V Lasiommata maera (Linnaeus, 1758) PC 1 1 0,006% 61 V Limenitis reducta Staudinger, 1901 RR 1 1 0,006% Total rang espèces ,00% Pieris sp (napi/rapae) Colias sp (alfacariensis/hyale) Thymelicus sp (sylvestris/lineolus) Polyommatus sp (femelles coridon/bellargus /icarus) Total tous rangs L essentiel des effectifs comptabilisés appartiennent à des espèces très communes ou communes. Le graphique ci-contre présente la répartition des effectifs 2012 et 2013 cumulés par statuts de rareté. A l image des spectres de richesse spécifique, ceux des effectifs sont également très proches. Seule la part des espèces «communes» progresse fortement entre 2013 et 2012, en raison de l abondance cette année-là de certaines espèces migratrices comme Colias crocea, ou Vanessa cardui, dont les statuts de rareté régionale sont (C). Les 36 espèces les plus communes (59% des espèces observées) représentent 98,1% des effectifs comptabilisés au cours de ces deux années tandis que les 25 autres espèces observées se partagent les 1,9% restant. Répartition annuelle des effectifs observés par statuts de rareté Le graphique ci-contre présente l abondance relative par communautés écologiques des effectifs 2012 et Plus de papillons ont été dénombrés en 2013 qu en 2012, mais cela tient exclusivement aux espèces migratrices. En effet, à l image de la fréquence, on constate que l abondance relative des trois catégories d espèces spécialistes reste très similaire entre 2012 et En revanche, l abondance des espèces migratrices explose entre 2012 et 2013 en raison de l arrivée massive d individus d espèces migratrices en fin de saison A l inverse, les espèces banales ont été moins nombreuses en 2013 qu en Beaucoup d espèces de papillons sont connues pour présenter d importantes fluctuations interannuelles et leurs effectifs peuvent varier dans des proportions très élevées selon les saisons et les conditions météorologiques de l année. On notera l absence de la communauté des espèces de zones humides pour laquelle une seule espèce ne représentant que 0,028% des effectifs totaux (cinq spécimens), a été observée. Ces résultats quasi négligeables ne ressortent pas sur le graphique. Répartition annuelle des effectifs observés par communauté écologiques

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